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jeudi 21 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des anciennes au château de Neuville...

 

À l’occasion des Journées du Patrimoine le week-end du 16-17 septembre, le parc du château de Neuville, à Gambais dans les Yvelines, s'est transformé en musée automobile à ciel ouvert. Pour la quatrième année consécutive, l’événement «Art & Automobile» créé par Jean-Marc Thévenet, célèbre l’histoire de l’automobile et plus particulièrement celle des Yvelines, dans le cadre du château de Neuville, à Gambais, près de Versailles. Cette manifestation s’était inscrit dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, le week-end des 16 et 17 septembre. Durant ces deux jours, près de deux cents véhicules de collection sont attendus sur les pelouses du domaine. Certains brillaient par leur rareté. C’est le cas de l’Auto Union Type A de 1934 exposée. Rien que ce fleuron du sport automobile de l’entre-deux-guerres, symbole des désirs de domination de l’industrie allemande en ces années de montée des périls, mérite le déplacement. 
L’an dernier, une superbe sélection de modèles racontant la saga des automobiles Gabriel Voisin occupait l’espace devant le château. Certaines de ces pièces de l’ingénieur visionnaire étaient de nouveau présentes. La manifestation «Art & Automobile» permet de se souvenir que le département des Yvelines a toujours été une terre d’accueil pour l’automobile. 
On y trouve deux usines automobiles de première importance: Poissy et Flins. La première a commencé à produire des Ford en 1946. Devenue le fief de Simca, Poissy est désormais un site industriel du groupe Stellantis. Pour sa part, Flins est en train de devenir un site dédié aux projets d’économie circulaire de Renaut. 
Les Yvelines, c’est aussi la terre de Pierre Benoist, premier champion du monde automobile en 1927 sur Delage. Héros de la Résistance, ce natif d’Auffargis est déporté à Buchenwald où il décède en septembre 1944. Au château de Neuville, l’Art n'était pas très loin. L’artiste Sonia Delaunay résidait à Gambais. Elle est l’initiatrice des Art Cars, reproduisant dès 1925 des motifs de son œuvre sur une Citroën B12. 
On se souvient aussi que la Bugatti 35 de Marc Nicolosi, le fondateur du salon Rétromobile, avait revêtu les couleurs de l’artiste locale. 
Cette année encore, la manifestation de Gambais a témoigné du génie et de l’imagination d’un secteur automobile sans cesse en mouvement. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'infos...

lundi 18 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le Roi Charles III arrive en France… en Bentley un peu spéciale !

 

Le souverain britannique effectue sa première visite officielle en France du 20 au 22 septembre 2023. Pour l’occasion, sa Bentley Royal State Limousine va traverser la Manche. Construite sur une base de Bentley Arnage à deux exemplaires seulement, cette royale limousine répond à un cahier des charges très strict. Le véhicule doit en effet assurer la sécurité du roi d’Angleterre, comme il le fit avec la reine Elisabeth II, et cela dans un confort absolu. Confort et sécurité Un habitacle confortable et adapté aux précieuses toilettes est une priorité. Pour cela la Bentley repose sur un châssis rallongé qui porte sa longueur à 6m22 tandis que le ciel de toit a été largement rehaussé pour accueillir les royales coiffes. Le cuir Connolly gris est légion du sol au plafond de même que les essences de bois précieux. 
La surface vitrée est immense pour permettre de voir et être vu lors des parades officielles. La Bentley d’Elisabeth II Il faut rappeler que la Reine d’Angleterre était une grande amatrice de belles automobiles qu’elle ne manquait pas de conduire. Jaguar, MG, Bentley, Rolls Royce et bien entendu ses si précieux Range Rover. Pour l’anecdote, Elisabeth II ne disposait pas de permis de conduire ! Lors de la mise en place du permis pour tous, elle était déjà reine d’Angleterre et à ce titre seule personne du Royaume-Uni habilitée à attribuer le précieux sésame. Comme toutes les limousines commandées par sa gracieuse majesté, la Bentley dispose d’une teinte bicolore bordeaux et noire. Les 2 exemplaires ont été fabriqués par Mulliner Coachworks, carrossier attitré de la marque et de la couronne. Enfin, sous ses airs de veille aristocrate la voiture est intégralement blindée et équipée contre toute sorte de menace. Elle résiste aux balles, aux missiles sol/sol mais également aux attaques chimiques ou bactériologiques. 
Source / mobiwisy.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 10 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Jaguar Type E la plus chère du monde...

 

ENCHÈRES - La maison Gooding & Company a adjugé plus d’un million d’euros un cabriolet de la fameuse sportive de la firme de Coventry, dans une vente à Londres. Tous les exemplaires d’un même modèle ne se valent pas. On en veut pour preuve l’enchère atteinte par le lot 22 de la vente publique que la maison Gooding & Company organisait à Londres, le vendredi 1 septembre dernier. Ce lot était celui d’une Jaguar Type E Cabriolet 3,8 litres de 1961, c’est-à-dire qu’il appartient à la première série de la sportive que le constructeur de Coventry a dévoilée à l’occasion du salon de Genève de 1961. 
Moteur six-cylindres en ligne 3,8 litres XK, boîte de vitesses Moss à première non synchronisée et plancher plat: la Série 1 est certainement aujourd’hui la plus recherchée de toutes les versions de Type E. Si cet exemplaire bleu nuit, intérieur rouge rutilant a établi un nouveau record, franchissant la barre du million d’euros (1 067 590 euros, soit 911 250 livres sterling), ce n’est pas en raison de son état de restauration proche du neuf mais à cause de son pedigree. Certes, les Type E de compétition appartenant à la lignée des Lightweight avoisinent les 10 millions d’euros mais, c’est la première fois qu’une Type E de série dépasse le million d’euros. 
Jusqu’ici, des modèles de Série 1 dans un état irréprochable n’ont jamais franchi la barre des 400 000 dollars dans une vente américaine. Ce cabriolet immatriculé «1600 RW» pouvait se prévaloir d’une sacrée filiation. Portant le numéro de châssis 850004, le cabriolet de la vente n’est pas seulement le quatrième véhicule conduite à droite produit début 1961 par l’usine. 
C’est l’une des Type E parmi les plus importantes selon les historiens. Dévolu aux premiers essais presse, le cabriolet bleu nuit devait devenir par la suite le véhicule personnel de Franck «Lofty» England, le responsable du programme compétition et de l’engagement de Jaguar au Mans. À la suite du départ de Sir William Lyons en 1967, Lofty England devait devenir directeur général de Jaguar puis président à partir de 1972. Pour acquérir cette Type E au parcours «royal», un amateur n’a donc pas hésité à débourser une surprime. 
 Source : Sylvain Reisser-le figaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

samedi 2 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Bentley S1 Cabriolet de Jay Kay en vente...

 

Passionné de voitures, le chanteur du groupe Jamiroquai se sépare de son cabriolet anglais présent dans le clip du titre «Love Foolosophy». Immortalisée dans le clip vidéo du titre «Love Foolosohpy» du groupe Jamiroquai, la Bentley S1 Continental Drophead Coupé du chanteur Jay Kay est en vente. C’est la maison anglo-saxonne RM Sotheby’s qui a été chargée de trouver un nouvel acquéreur pour ce cabriolet habillé par le carrossier Park Ward, dans le cadre de ses ventes privées. Ce modèle de la firme de Crewe est depuis vingt-deux la propriété de Jay Kay, le chanteur du groupe Jamiroquai. 
C’est à la fin des années 1990 que le groupe Jamiroquai est devenu une célébrité internationale, se classant troisième artiste britannique le plus vendu de la décennie, après les Spice Girls et Oasis. Fortune faite avec le succès du cinquième album studio, «A Funk Odyssey», Jay Kay a enfin pu s’adonner à sa passion pour les voitures de collection. Outre les Ferrari qui ont sa préférence, le chanteur s’intéresse aussi aux voitures anglaises de prestige. C’est ainsi que, sur les conseils d’experts de la marque de Crewe, il se porte acquéreur en 2001 de la Bentley S1 Continental Drophead Coupé de 1958. L’année suivante, le cabriolet anglais croise sa vie professionnelle et personnelle lorsqu’il est décidé que la voiture figurerait dans le clip vidéo du troisième single extrait de l’album «A Funk Odyssey». Pas question pour Jay Kay de refuser quoi que ce soit à son amie mannequin Heidi Klum qui souhaite figurer dans le clip à bord de la Bentley. C’est ainsi que la Bentley est expédiée à Marbella, en Espagne, où sera tourné le clip. 
Pendant le premier tiers de la vidéo, on voit le chanteur de Jamiroquai conduire la Bentley sur les routes de montagne, la belle Klum se prélassant à l’arrière. Sur le siège du passager avant a pris place un lévrier afghan. En vente depuis quelques jours, la Bentley de Jay Kay est estimée 1 million de livres sterling. 
 Source: Sylvain Reisser-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 30 août 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Alfa Romeo 33 Le design de la future super sportive imaginé par les fans grâce à l'IA...

 

Alfa Romeo va dévoiler sa future super sportive mercredi 30 août 2023. En attendant, la firme de Turin laisse libre cours à la créativité de ses fans australiens en leur proposant d'imaginer à quoi elle pourrait ressembler grâce à l'intelligence artificielle. Le résultat est parfois surprenant. La révélation de la future super sportive signée Alfa Romeo le 30 août prochain est un événement que les aficionados de la marque au Biscione ne manqueront pour rien au monde. Sauf qu'aujourd'hui, rien n'a véritablement fuité sur le design et la fiche technique de cette voiture destinée à marquer les esprits.
De quoi alimenter les rumeurs et autres fantasmes les plus fous sur l'apparence et les caractéristiques de cette italienne exclusive. Sera-t-elle inspirée de la mythique Tipo 33 Stradale ? Reprendra-t-elle le V6 2.9 biturbo de la Giulia Quadrifoglio en version optimisée pour dépasser la barre des 520 ch ? Les paris vont bon train ! Chez les bookmakers, les noms de 33 ou 33 Stradale tiennent la corde. D'autant plus que l'italienne ne serait produite qu'à 33 exemplaires. Pour tirer parti de l'effervescence autour de la présentation de ce modèle d'exception, Alfa Romeo a lancé un défi à ses fans sur son site australien : imaginer le design de cette machine d'exception avant qu'elle soit officiellement présentée. 
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les participants à cette expérience originale ont fait preuve d'imagination et de créativité dans des registres parfois extrêmement différents. Des designs néo-rétro… Il y a visiblement deux catégories de fans chez Alfa Romeo : ceux qui font table rase du passé et ceux qui sont nostalgiques des belles heures du style de la marque. La seconde famille s'en est donné à coeur joie avec des concepts néo-rétro aux couleurs et aux influences diverses.
 Certains se sont inspirés de la supercar 8C et de sa petite sœur, la 4C. D'autres sont allés puiser plus loin avec des créations résolument classiques. On retrouve en effet une Alfa-Romeo 8C 2900B (1937-1939) réinventée, une sorte de Tipo 33 Stradale version 2.0 ou encore ce qui ressemble à une réinterprétation des Ferrari 250 GTO et Dino 246 GT. … et des approches futuristes Le futur de la marque imaginé par les amoureux de la firme de Turin a également donné lieu à la conception de bolides à l'apparence futuristes. 
Portes à ouverture en élytre, silhouette ultra-basse et élancée à l'extrême, optiques aux formes novatrices, jantes au dessin inédit… L'inventivité de certains alfistes, boostée par l'intelligence artificielle, semble s'affranchir de tous les codes sans la moindre limite. Laquelle de ces réalisations sera la plus proche de la réalité ? Pour le savoir, rendez-vous lors de la révélation de cette auto superlative qui sera diffusée le 30 août 2023 à 17h en direct de l'Alfa Romeo Museum situé dans l'ancienne usine d'Arese de la marque. L'argus y sera. 
Source : largus.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 8 août 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Jaguar XKSS échappée des circuits...

 

Événement exceptionnel: RM Sotheby’s vend, en marge du concours d’élégance de Pebble Beach en Californie, l’un des seize roadsters dérivé de la Type D du Mans. XKSS: quatre lettres entrées dans l’histoire presque par défaut et devenues, au gré des décennies, la reine des Jaguar. En cette année 1956, en dépit de ses succès commerciaux et de ses deux victoires consécutives aux 24 Heures du Mans avec sa barquette à dérive, Jaguar renonce à poursuivre son engagement en compétition et à suivre la course à l’armement stimulée par Ferrari et Maserati. Problème? Se retrouver avec vingt-cinq châssis de la Type D sur les bras. 
C’est ainsi que sir William Lyons, le patron de la marque anglaise, décide de modifier ces voitures et de les commercialiser pour un usage routier. Sous la désignation XKSS, les ingénieurs donnent naissance à un modèle qui se distingue de la voiture de course par l’absence de dérive arrière et l’adoption d’équipements de confort et de sécurité, dont un grand pare-brise, une capote rudimentaire en tissu, des pare-chocs chromés type banane à l’avant et à l’arrière, des feux arrière de XK140 et un porte-bagages sur la malle arrière. Voulu plus fonctionnel, le roadster de route se dote d’une petite portière, côté passager. 
Le six cylindres XK provient de la D. La plupart des premiers châssis prend la direction de la Californie. Estimation: entre 12 et 14 millions de dollars Devenu propriétaire de l’un d’eux, Steve McQueen fera beaucoup pour la renommée. La production ne dépassera pas les 16 unités. En cours de montage, les neuf restants sont détruits dans l’incendie qui ravage l’usine de Browns Lane à Coventry, le 12 février 1957. La vente RM Sotheby’s de Californie (du 15 au 17 août) représente donc une opportunité rare d’acquérir ce joyau de la marque anglaise. 
Né XKD564 et rebaptisé XKSS 707, cet exemplaire possède une histoire limpide. Après avoir passé la première partie de sa vie en Californie, «JAG 1» est revenu sur ses terres natales, passant chez les collectionneurs Anthony Bamford et Campbell McLaren. Elle est estimée entre 12 et 14 millions de dollars. 
Source : Sylvain Reisser -Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

samedi 29 juillet 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GT Zagato une berlinette à double bosse..

 

C’est l’un des événements de Pebble Beach: RM Sotheby’s vend l’une des cinq berlinettes «Tour de France» carrossées par Zagato. Les collectionneurs se frottent les mains. Tout finit par arriver sur le marché. C’est juste une question de timing. Ces dernières années ont ainsi vu la vente de monstres sacrés ou de modèles de grande importance que l’on croyait jamais devoir changer de mains. 

Il en va ainsi de la Mercedes 300 SLR Coupé Uhlenhaut, de la Mercedes300 SL Cabriolet de Juan Manuel Fangio, de la Bugatti Type 59 ayant appartenu au roi Leopold III de Belgique, de la Ferrari 275 P provenant de la collection Bardinon et victorieuse à deux reprises aux 24 Heures du Mans. En marge de l’édition 2023 du concours d’élégance de Pebble Beach, le marché de la collection s’apprête à vivre des moments forts. Alors que la maison Bonhams est chargée par Jim Glickenhaus de vendre sa Ferrari 412 P (ex-Maranello Concessionnaires), le catalogue Gooding & Company propose une Ferrari 250 GT Passo Corto (3507 GT) jamais restaurée. 
Dans la bataille à la plus belle affiche, la maison RM Sotheby’s multiplie aussi les pépites. Ses ventes représentent une occasion en or d’acquérir l’une des seize Jaguar XKSS, une Ferrari 250 LM ou encore une Jaguar Type D. Ces machines d’exception sont pourtant éclipsées par un autre monstre sacré. En préambule de ses trois ventes programmées entre le 17 et le 19 août à Monterey, RM propose le 16 août une Ferrari 250 GT «Tour de France» habillée par le carrossier Zagato. Ce n’est pas loin d’être un événement. Le carrossier milanais n’a pas posé sa griffe que sur cinq châssis 250 GT châssis long «Tour de France»: 0515 GT, 0537 GT, 0665 GT, 0689 GT et 1367 GT. Assez proches, les cinq châssis ont connu des fortunes diverses. La voiture de la vente RM est sans doute la plus prestigieuse. Portant le numéro de châssis #0665 GT, cette berlinette bleu nuit, toit gris clair et intérieur cuir bordeaux a été commandée par le Génois Camillo Luglio, un pilote amateur. 
Le carrossier Zagato s’est écarté de la berlinette «usine» pour livrer des formes très personnelles, en ligne avec sa signature. Alors que l’on retrouve le toit à double bosse, l’une des caractéristiques du style Zagato, les projecteurs sous globe descendent très bas sur les ailes avant. Quant aux ailes arrière potelées et fuselées, elles se terminent en pointe par des petits feux verticaux. Troisième des cinq 250 GT «Tour de France» produites, la 250 GT #0665 GT est à peine livrée que Luglio l’engage au Giro di Sicilia où il termine 5e au général et 2e de sa catégorie. Avec Umberto Carli, il enchaîne avec les Mille Miglia. Portant le numéro 441, qui est celui de l’horaire de départ de la voiture, la 250 GT Zagato bleu nuit passe à travers toutes les embûches du parcours pour franchir la ligne d’arrivée des dernières Mille Miglia de l’histoire à la 6e place au général. A la suite de la sortie de route de leur Ferrari 315 S en raison de l’éclatement d’un pneu, le marquis de Portago et son coéquipier sont tués sur le coup. 
Mais la voiture provoque un carnage dans une foule qui n’a jamais été aussi nombreuse et dense: neuf malheureux spectateurs n’en réchapperont pas. On retrouve Luglio et sa Ferrari engagés aux 12 Heures de Reims 1957 en compagnie du Français François Picard. Là encore, leur course régulière est récompensée par une cinquième place au général. Après les 3 Heures de Pau 1958, Luglio vend #0665 GT à un autre gentleman driver italien, Vladimiro Galuzzi. En 1959, la berlinette Zagato prend le chemin des États-Unis. Elle revient en Europe au début des années 1980. L’Allemand Peter Kaus s’est mis en tête de collectionner toutes les carrosseries Zagato de première importance. La berlinette bleu nuit en fait partie. L’Allemand donne naissance à la collection Rosso Bianco, l’une des plus importantes, si ce n’est la plus importante, en matière de modèles Zagato et Maserati. À la suite d’un revers de fortune, Kaus commence à vendre ses machines au début des années 1990. L’étude Poulain-Le Fur organise une vente Zagato au Palais des Congrès, à Paris. La Ferrari n’est pas vendue. Elle le sera à Gstaad, neuf ans plus tard, par la maison Brooks. La Zagato refranchit l’Atlantique. Elle rejoint la collection de Lee Herrington qui comporte essentiellement des Ferrari de route, souvent à carrosserie spéciale. Avec sa vente à Pebble Beach, la 250 GT Zagato 0665 GT s’apprête à commencer une nouvelle vie. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 13 juillet 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Jaguar ressort ses premières Type E de course...

 

Les premiers coupés et cabriolets de la Type E victorieux en compétition en 1961 donnent lieu à une superbe réédition limitée. Le filon semble inépuisable. Après la fabrication de répliques de la Type E Lightweight, de la Type D, de la Type C et de la XKSS, Jaguar continue d’exhumer les plus belles pages de son histoire sportive. À la peine sur le terrain commercial - aucun nouveau modèle d’ici son virage 100 % électrique à l’horizon 2025 -, le constructeur anglais se console en cultivant son passé. Cette fois-ci, la firme de Coventry a décidé, ni plus ni moins, de reproduire les premières Type E victorieuses en compétition: le cabriolet bleu marine «ECD 400» au volant duquel Graham Hill remportait la course de Grand Tourisme sur le circuit d’Oulton Park, le 15 avril 1961, et le coupé gris clair «BUY 1» au volant duquel Roy Salvadori terminait 3e. 

Un mois plus tard, le 21 mai, le coupé de Salvadori gagnait à Crystal Palace. Prenant la piste juste quelques semaines après la première publique de la Type E au salon de Genève, «ECD 400 «et «BUY 1» se présentaient au départ des épreuves sportives strictement d’origine. Les deux voitures ne peuvent pas être achetées séparément et font l’objet d’une série baptisée ZP Collection et fabriquées chacune à sept unités, soit 14 véhicules. Produit à partir de Type E de Série 1 dans les ateliers de Jaguar Classic, chacun des 14 modèles nécessite 2 000 heures de travail. Toutes les voitures sont équipées du six-cylindres XK de 3,8 litres développant 265 chevaux . 
Seule entorse à l’histoire: pour faciliter leur usage, Jaguar a remplacé la boîte de vitesses Moss d’époque à quatre rapports dont le premier n’est pas synchronisé par une boîte à 5 rapports synchronisés. De même, les Type E de la série ZP Collection reçoivent un ventilateur électrique et un allumage électronique. Les habitacles sont identiques à ceux des voitures originelles. C’est ainsi que le cabriolet reprend la sellerie en cuir rouge et le coupé hérite de l’intérieur bleu marine. Ces reproductions se reconnaissent à la présence sur le tunnel de transmission en aluminium anodisé d’une gravure à la main représentant dans le cas de «BUY 1», la silhouette du coupé et le tracé de Crystal Palace et, pour le cabriolet, le tracé d’Oulton Park. 
 Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr - Merci David SARDA pour le suivi de l'info....

vendredi 30 juin 2023

CLUB5A- REVUE DE PRESSE - Artcurial disperse une collection d’Alfa Romeo au Mans Classic...

 

En marge de la rétrospective du Mans, vendredi 30 juin, la maison du Rond-Point des Champs-Elysées vend parmi sa sélection de GT une grande collection de la marque milanaise. Trois semaines après l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans qui a vu l’organisation, sous l’égide de la maison RM Sotheby’s, d’une vente aux enchères de voitures de course ayant participé à l’épreuve, c’est au tour de la maison française Artcurial de tenir le marteau dans le cadre du Mans Classic. Le catalogue est une nouvelle fois de qualité avec une sélection de GT des années cinquante, soixante et modernes ainsi que quelques voitures de course éligibles dans la rétrospective du Mans. 
C’est le cas de l’Aston Martin Ulster de 1934 (estimation de 1,1 à 1,3 million d’euros), de la Singer N1 ½ Litre qui a terminé à la 7e place des 24 Heures du Mans 1934 sous les couleurs de l’écurie Fox & Nicholl (estimation de 200 à 300 000 euros) ou de la Lotus Elite qui a couru l’édition 1961 des deux tours d’horloge sarthois sous la bannière de l’écurie Los Amigos (estimation 160 à 180 000 euros). La petite anglaise fut peu après modifiée par l’aérodynamicien Franck Costin. Comme toujours, le catalogue propose un bel échantillon de GT de Maranello mais c’est une autre marque italienne, Alfa Romeo en l’occurrence, qui retient l’attention. 
Artcurial disperse la collection d’un amateur dijonnais comprenant pas moins de 21 modèles représentant la crème de la production d’après-guerre. Commencée alors qu’il était étudiant, la collection de cet amateur éclairé des modèles sportifs de la firme d’Arèse compte quelques raretés comme une Berline 2000 de 1961, sa descendante de 1976 mais également une berline Alfetta 2 litres de 1979, une berline Alfa 6 Quadrifolio Oro de 1984. 
Les coupés sont particulièrement bien représentés avec une Giulia Sprint GT 1600 de 1966, des GTV des années 1980, une GTV de 1995 développée pour le marché italien avec son V6 2litres, une Montréal. Les fleurons de cette collection sont un coupé SZ conçu par Zagato au début des années 1990, une berlinette 4C de 2015, l’une des rares 8C Competizione de 2008 livrée en France - elle compte à peine 6 000 km - et la dernière série limitée de la marque, une berline GTAM (estimation 220 à 260 000 euros). Ce collector affiche seulement 76 km au compteur. Tous les lots de la collection Alfa Romeo sont dans un état irréprochable. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 22 juin 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GTE, la quatre places du Mans

 

La maison RM Sotheby’s vend le 9 juin au Mans la plus illustre des 250 GTE: la voiture de sécurité de l’édition 1963 des 24 Heures du Mans. Partenaire officiel de l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans, la maison RM Sotheby’s va disperser la veille du départ, le 9 juin, dans l’enceinte du circuit, une sélection de 21 véhicules qui se sont illustrés dans la Sarthe. La plus originale n’y a pas couru mais elle a occupé une place importante, sinon essentielle, dans l’histoire de l’épreuve sarthoise. Il s’agit du véhicule qui officiait comme voiture de sécurité lors de l’édition 1963 des 24 Heures du Mans remportée par une Ferrari 250 P. RM Sotheby’svend ainsi la Ferrari250 GTE que la Franco Britannic, l’importateur français de la marque italienne basé à Levallois-Perret, a fournie à l’Automobile Club de l’Ouest. La berlinette 2 + 2 avait été commandée à ce titre. 
Sortie de l’usine le 30 janvier 1963 dans un élégant bleu marine coordonné à un intérieur en cuir gris clair, la 250 GTE #4155 appartenant à la Série III avait été livrée à la Franco Britannic dans le courant du mois de février. Elle prend ensuite le chemin des ateliers Chapron pour y recevoir les modifications en vue du Mans, à savoir l’installation des porte-fanions, écussons, ceintures de sécurité et feu additionnel au centre de la calandre.
 À maintes reprises pendant les 24 Heures du Mans 1963, la 250 GTE allait prendre la piste. Notamment lors de l’accident de la René Bonnet de Roger Masson ou de celui qui coûte la vie à Christian «Bino» Heinz (Alpine M63). Elle était pilotée par Donald Sleator, l’un des patrons de la Franco-Britannic. Après son rôle au Mans, la berlinette 2 + 2 apparaît dans le film Pouic-Pouic avec Louis de Funès. Revenue du tournage, elle est ensuite remise en état et vendue à Guy Verrechia.
 Il la conserve que quelques mois avant de s’en séparer au profit de Charles Pozzi à cette époque concessionnaire Ferrari officiel. En mai 1965, la 250 GTE change encore de mains au profit d’un certain Pierre Foujean. En 1970, elle devient la propriété de Christian Fifis. À la suite de son décès au début des années 2010, la voiture est vendue. Depuis sa sortie de l’usine de Maranello en janvier 1963, la berlinette bleu marine n’a parcouru que 63 129 km comme attestent les documents et factures accompagnant le dossier de la vente. La vente du Mans est sans doute une occasion unique d’acquérir la plus célèbre des 250 GTE. Vendue sans prix de réserve, elle est estimée entre 550 000 et 650 000 euros. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 21 juin 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des Ferrari suédoises au marteau...

 

Le 20 mai prochain, en marge du concours d’élégance de la Villa d’Este, RM Sotheby’s disperse une collection de douze Ferrari de premier plan. La roue tourne. Sous le sobriquet «Aurora Collection», la maison d’enchères RM Sotheby’s disperse le 20 mai, dans le cadre du concours d’élégance de la Villa d’Este, une collection de Ferrari provenant d’un collectionneur suédois. Homme de goût, cet amateur des machines de Maranello avait rassemblé douze modèles essentiellement de route. Le seul modèle de course est une barquette 500 TR de 1956, la 3e des 17 produites et répertoriée sous le numéro de châssis #0610 MDTR. Elle est estimée entre 4 et 4,5 millions d’euros. 
Son premier propriétaire est le prince italien Gaetano Starrabba di Giardinelli. Passionné de courses automobiles, ce gentleman driver prend part à moins de dix courses au volant de sa barquette rouge, terminant 3e en deux occasions. En 1957, la 500 TR prend le chemin de la Suède. Au début des années 1970, on la retrouve en France chez Marc Nicolosi, le fondateur du salon Rétromobile. Une autre Ferrari de la collection Aurora a séjourné en France. Il s’agit de la plus importante pièce de l’ensemble vendu par RM Sotheby’s: une 250 GT Passo Corto caisse acier. La berlinette est réputée pour être l’un des chefs-d’œuvre de la carrosserie italienne.
Dans un état remarquable, l’exemplaire de la vente est la 62e berlinette sur les 165 produites. Portant le numéro de châssis 2347 GT, cette 250 GT Passo Corto a été pendant une vingtaine d’années la propriété du Marseillais Jean-Claude Tripier. Entrée dans la collection suédoise en 2011, la berlinette sortie de l’usine en février 1961 est estimée entre 7,5 et 8,5 millions d’euros. Visiblement, ce collectionneur suédois a un faible pour la conduite cheveux au vent puisque sur les onze modèles de route, sept sont des décapotables. La collection comporte une rare 365 GTS/4 Daytona de 1973, la 113e des 122 fabriquées mais aussi une 275 GTS de 1965, une 250 GT Cabriolet Série II de 1961 et une 550 Barchetta de 2001. Le modèle le plus récent de cette collection est la barquettte Monza SP1 de 2019 appartenant à la nouvelle famille des modèles hors-série apparue en 2018. Le propriétaire actuel l’a acheté en septembre 2022. Le compteur n’indique que 26 kilomètres. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 20 juin 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des Ferrari oubliées aux enchères...

 

Abandonnée depuis le passage de l’ouragan Charley, une collection de 20 Ferrari d’exception va être dispersée à Pebble Beach par RM Sotheby’s. C’est une histoire qui relève du roman. En août 2004, le cyclone Charley sème la mort et la désolation à travers les États-Unis. Après avoir dévasté une partie des Caraïbes, cette tempête d’une intensité exceptionnelle déferle sur le littoral sud des États-Unis et touche quatre Etats, de la Floride à la Louisiane en passant par le Mississippi et l’Alabama. Sur son passage, Charley cause des dégâts considérables. Des maisons sont détruites. À Kissimmee, en Floride, l’une d’entre elles abrite les Ferrari d’un certain Walter Medlin. 
Promoteur immobilier, ce passionné de voitures de la marque italienne est, au cours des années 1970, à la tête d’une collection de premier plan comportant une bonne vingtaine de véhicules dont les exclusives 330 P3 et d’une 330 P4. 
À cette période, Walter Medlin acquiert aussi une 250 GTO devenue la Ferrarila plus chère de l’histoire et une 250 GT California Spider. À la suite de démêlées avec le fisc, ces prototypes comme d’autres modèles finiront pas être saisis. Mais Walter Medlin a réussi à sauver 20 Ferrari. Enfin pas tout à fait puisque le cyclone Charley détruit en 2004 le bâtiment où sont entreposées les Ferrari. Les photos font le tour du monde. Spectacle de désolation: on voit la structure du bâtiment qui s’est effondrée sur les machines italiennes. Les dégâts sont énormes. Le toit d’une 365 GT 2 + 2 de 1969 est littéralement enfoncé; le pare-brise est éventré. 
Certaines ont mieux survécu, comme la 410 Superamerica Coupé présentée au salon de Paris 1956 (#0497 SA) et qui a appartenu au pilote Joachim Bonnier. Parmi cette collection de premier plan, on trouve aussi quelques pépites: la 250 GT Coupé Spéciale carrossée par Pinin Farina (#0469 GT) en 1956 à la demande du roi Mohammed V du Maroc. La collection contient également la 512 BB Compétition que le distributeur américain Luigi Chinetti engage aux 24 Heures du Mans 1978 sous les couleurs du NART (North American Racing Team). La berlinette sera pilotée par Jean-Pierre Delaunay, Jacques Guérin et Gregg Young. De toutes les voitures de la vente, la 500 Mondial de 1954 est celle qui va nécessiter le plus de soins. Faisant partie d’une série de 13 Spiders réalisés par Pinin Farina, la 500 Mondial est complète mais réduite à l’état d’épave. 
Cet exemplaire fut piloté durant la saison 1954 par Franco Cortese, un ex-pilote de la Scuderia Ferrari. Après le passage de l’ouragan, cette collection de Ferrari avait été déplacée dans le centre-ville de Speedway, dans l’Indiana, en face du légendaire Indianapolis Motor Speedway. Elle va être dispersée aux enchères par RM Sotheby’s en août prochain, en marge du concours d’élégance de Pebble Beach. Une nouvelle vie va pouvoir commencer pour ces trésors oubliés.
Source : lefigaro.fr-Merci à DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 8 juin 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Les Français champions de la petite voiture...

 

De plus en plus petite et sobre: le portrait-robot de la voiture des Français selon la dernière étude de L’Argus. La fiscalité de plus en plus contraignante pour les grandes routières et les SUV, les primes à l’achat accordés aux véhicules électrifiés et la tendance accentuée au «car-bashing» orientent les achats automobiles. L’Argus, qui scrute depuis 1953 l’évolution du marché de l’automobile pour dresser le portrait-robot de la voiture type des Français, constate pour cette année marquée par la crise sanitaire un renforcement du mouvement engagé il y a quelques années.
Résultant de la compilation des données d’immatriculations sur une année, l’étude de nos confrères montre que le marché français est dominé par les citadines polyvalentes.
Frein à l’achat, le malus écologique oriente de nombreux ménages vers l’achat de véhicules d’occasion. Ce n’est pas une bonne nouvelle car cette tendance, qui s’accentue, traduit une paupérisation de la société. C’est ainsi que la voiture neuve que les Français ont acheté il y a quelques temps voit l’ensemble de ses caractéristiques revues à la baisse. 
Sous le poids de la Commission européenne qui a annoncé dans le cadre de la loi Climat, une baisse de 55 % des émissions de CO2 en 2030 et l’arrêt de la commercialisation des véhicules à moteurs thermiques (y compris les véhicules hybrides) dès 2035, le marché devrait continuer à évoluer. 
Reste que pour convertir une grande partie du parc en électrique, il faudra à la fois augmenter le parc VO et réduire le prix des véhicules neufs zéro émission. 
 Source : lefigaro.fr-Voitures & Ingénierie
Voitures & Ingénierie

mardi 30 mai 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - les voitures d'interventions rapides historiques de la Gendarmerie....

Dès l'ouverture des premières autoroutes dans les années 1960, il fut confié aux gendarmes la mission d'interpeller les automobilistes y commettant des infractions. 

S'agissant d'axes à haute vitesse, la Gendarmerie nationale dut s'équiper de véhicules assez performants pour suivre ou rattraper les contrevenants. C'est ainsi que naquit la BRI (Brigade d'Intervention Rapide) que l'on connaît aujourd'hui. Celle-ci s'est dotée de plusieurs voitures de sport remarquables en six décennies. 

Ces voitures n'ont cessé de gagner en puissance au fur et à mesure du renouvellement du parc des véhicules d'intervention, leur permettant d'être toujours à un niveau correspondant à celui des usagers des autoroutes bien qu'il ne s'agisse évidemment pas de supercars. 

 Des Françaises, mais pas seulement La BRI commença fort, avec des sportives à moteur central-arrière ou arrière signées Matra et Alpine. Par la suite et jusqu'en 2006, la Gendarmerie s'est fournie chez différents constructeurs en restant fidèle aux marques françaises. Les autorités ont ensuite été voir ce qui se faisait ailleurs en matière de voitures de sport correspondant à leurs besoins. 

Et elles ont jeté leur dévolu sur la Subaru Impreza WRX, offrant à cette légende du rallye une nouvelle livrée bleue iconique après celle de la compétition. Après un retour aux voitures françaises avec Renault, la Gendarmerie vient de se tourner de nouveau vers une firme étrangère en s'équipant de plusieurs Seat Leon Cupra.

Source : autoplus.fr-gabriel lothe