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lundi 5 février 2024

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE ALFA-ROMEO GIULIA GT JUNIOR !!

La Giulia GT Junior est une voiture coupé à caractère sportif, produite de 1966 à 1971 par le constructeur italien Alfa Romeo et qui porte le nom de code usine 105.30 00530. Ce modèle remplaça la mythique Alfa Romeo Giulietta Sprint. Créée pour être la version populaire de la Giulia Sprint GT, afin de la rendre plus accessible aux jeunes, elle connaîtra un énorme succès commercial au point de la rendre plus recherchée que sa sœur aînée tout en conservant sa réputation de coupé sportif. La première série disposait d'un équipement relativement simplifié par rapport à la Sprint GT de base mais, dès la seconde version de cette série, l'équipement s'étoffa. 
 La seconde série, présentée en 1969, marque un tournant dans la gamme avec l'adoption d'un équipement propre au modèle : tableau de bord spécifique, roues de 14" et barre stabilisatrice. Les deux premières séries sont baptisées « marche » par les puristes italiens en raison du léger décalage existant entre le dessus de la calandre et le bord du coffre, qui est le signe distinctif commun avec les autres modèles de la gamme Sprint GT et GTA. Les 1ères séries sont appelées "scalino" ou "boite aux lettres" du fait de la forme du capot avant. Le dessin sera aplani lors du restylage de la 2e série. 
 La Giulia Sprint GT Junior était une véritable version sportive, avec les mêmes qualités des autres modèles de la gamme dont elle dérivait étroitement. Équipée de quatre freins à disque et grâce à son poids bien maîtrisé, elle offrait des distances d'arrêt très performantes. Le pont arrière rigide faisait un peu souffrir les passagers arrière sur mauvais revêtement, comme bon nombre de voitures de cette époque, mais la tenue de route était bonne et très sûre même si les pneumatiques de l'époque avaient une dérive très prononcée. Giulia GT Junior 1re série 
Les accélérations et les reprises étaient particulièrement enthousiasmantes, compte tenu de la cylindrée 1 300 cm3. La consommation, qui n'était pas un critère important, restait modeste tant que l'on ne faisait pas rugir le moteur. La vitesse maxi dépassait les 170 km/h, ce qui n'était pas commun, même pour des voitures de cylindrée nettement plus importante. Cette vitesse pouvait être maintenue sur de très longues distances car, comme toutes les Alfa Romeo, le rapport de transmission était long sur le cinquième rapport et pouvait être conservé sans problème de fatigue ni de surchauffe. 
La boîte de vitesses à 5 rapports faisait sensation car cela représentait une exception dans le panel automobile, à cette époque les constructeurs français préconisaient encore les boîtes à trois vitesses et les Allemands restaient bloqués à quatre ! Le système de refroidissement était particulièrement efficace même s'il fut critiqué en Italie car, pour des raisons d'économie, le ventilateur était entraîné par une courroie et non pas par un moteur électrique comme sur les autres modèles italiens de l'époque. Les soupapes étaient au sodium pour mieux répartir la chaleur et les bougies étaient à « quatre pointes » pour une combustion meilleure et plus régulière quel que soit le régime moteur.
Source : Francis Humbert

jeudi 1 février 2024

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION ....DES ASTUCES POUR L'ENTRETIEN DE VOTRE VOITURE !!

 

Quelques astuces pour garder son véhicule comme neuf... On estime que nous passons 51 minutes en moyenne à conduire dont à terme une grande partie de notre vie dans nos voitures et l’utilisation quotidienne que nous leur faisons subir les affecte peu à peu. Ces astuces, contrairement à la croyance populaire, ne nécessitent pas de produits coûteux ou de projets à forte intensité de main-d’œuvre. 
 De la bouteille de Coca-Cola que vous n’avez pas finie aux vieilles chaussettes qui trainent au fond du tiroir, il est plus facile que jamais de faire en sorte que votre voiture ressemble au jour où vous l’avez sortie du parking, sans que cela ne vous coûte un bras. Lisez donc cet article pour commencer à faire des économies ! 
1. La bouteille de Coca-Cola Ce dont vous aurez besoin : Une bouteille de Coca-Cola Prix estimé : 1€ Avec le temps, les bornes de la batterie ont tendance à accumuler de la graisse et de la poussière, des saletés qui peuvent rendre difficile le fonctionnement du moteur, voire empêcher le démarrage de la voiture. Et bizarrement, ce grave problème peut être résolu avec quelque chose d’aussi simple qu’une bouteille de Coca-Cola.Le célèbre soda élimine la corrosion des bornes de manière assez efficace. Tout ce que vous avez à faire est de rincer un chiffon avec de l’eau chaude et de verser soigneusement le Coca-Cola sur le même chiffon. Grâce à cette technique, les débris se décolleront facilement et vous épargneront des problèmes de batterie à l’avenir. 
2. Nettoyez chaque coin Ce dont vous aurez besoin : Gel nettoyant Prix estimé : 8€ Dans les voitures, il y a beaucoup de petites crevasses qui sont difficiles d’accès pour le nettoyage. Les petits coins du tableau de bord, les fentes de la climatisation, les boutons avec un peu de relief sont autant d’espaces quasi impossibles à atteindre. En revanche, en utilisant du gel nettoyant, une substance collante semblable à du slime, nous pouvons atteindre tous ces coins, en réussissant à enlever toute la poussière qui s’accumule au fil du temps. Au-delà de la composante esthétique, cette astuce est très importante pour la santé de tous ceux qui montent dans notre voiture, car le nettoyage des bouches d’air conditionné est nécessaire pour la pureté de l’air. Lorsque vous avez fini d’utiliser le gel, il suffit de le laver, et voilà, vous pouvez le réutiliser à tout moment. 
3. Poignées de porte décongelées Ce dont vous aurez besoin : Vaporisateur de cuisson Prix estimé : 1.70€ Un autre problème que nous avons rencontré par temps froid est de se réveiller le matin pour constater que la poignée de la porte de la voiture est gelée. C’est aussi frustrant que ça en a l’air, quand on est coincé avec du café dans une main et qu’on tire sur une poignée de porte inamovible avec l’autre, dans l’espoir d’entrer à l’intérieur et de faire exploser la chaleur aussi vite que possible. La solution à ce problème se trouve également dans la cuisine, cette fois sous la forme d’un spray de cuisson (peu importe le type d’huile) à vaporiser sur les charnières des poignées. Avec cette simple astuce, ces moments douloureux du matin d’hiver peuvent être complètement évités ! 
 4. Faites de la magie avec du WD-40 Ce dont vous aurez besoin : WD-40 Prix estimé : 8€ Même quelque chose d’aussi petit qu’un insecte peut être problématique pour votre voiture si vous ne l’attrapez pas rapidement. L’insecte se colle, vous ne le voyez pas quand il arrive, et quand vous le trouvez enfin, il est presque impossible de l’enlever sans endommager la peinture. Le WD-40 est une substance huileuse qui permet d’éliminer même l’insecte le plus tenace, le tout sans une tonne d’huile de coude. Vous devez utiliser l’aérosol comme indiqué sur l’étiquette et le laisser sécher pendant environ 10 minutes. Lorsque vous retirez le WD-40, les insectes se détachent immédiatement. Mais attention, il n’est pas recommandé d’utiliser le WD-40 sur les fenêtres ou le pare-brise. 
 5. Phares + dentifrice Ce dont vous aurez besoin : Dentifrice blanchissant Prix estimé : 2.50€ Les phares de la voiture sont exposés quotidiennement aux éléments extérieurs : changements de temps, pierres, insectes, pluie, grêle, etc. Ces éléments jaunissent peu à peu les phares, rendant la lumière plus faible au fil du temps. Ce problème plutôt grave peut être résolu en moins de 30 minutes avec un chiffon, de l’eau, du savon et du dentifrice blanchissant. Tout d’abord, lavez les phares à l’eau et au savon. Une fois propres, appliquez une fine couche de dentifrice blanchissant sur les phares. Laissez sécher pendant environ cinq minutes et, à l’aide d’un chiffon légèrement humide, nettoyez la zone dans un mouvement circulaire, en étalant le dentifrice. Après environ quatre minutes de polissage, vous pouvez déjà voir une différence.

 6. Le bouton inconnu Ce dont vous aurez besoin : Bouton « Recirculation ». Prix estimé : Pas un rond ! Il existe un bouton sur le tableau de bord de nos voitures qui influence réellement l’air que nous respirons, et il s’agit d’un bouton inconnu de la plupart des conducteurs. Il s’agit du bouton de recirculation de la voiture, qui détermine l’endroit où nous voulons que la voiture prenne l’air. 
Par défaut, c’est l’air extérieur, mais par exemple, si nous sommes arrêtés dans un embouteillage et que nous voulons éviter l’air hyper-pollué de l’extérieur, nous pouvons appuyer sur le bouton et la voiture deviendra pratiquement hermétique en recyclant l’air propre que nous avions déjà à l’intérieur. En plus d’être bénéfique pour notre santé, l’utilisation de ce bouton nous aidera également à économiser du carburant puisque la climatisation et le compresseur devront faire moins d’efforts pour continuer à refroidir la voiture. Il s’agit d’une astuce facile qui permet d’économiser un peu d’argent à la fois, ce qui n’est pas négligeable. 
 7. Plus de bosses ! Ce dont vous aurez besoin : Plongeur Prix estimé : 8.50€ Les bosses sur la carrosserie de votre voiture vous ennuient ? Avez-vous déjà prêté votre voiture à un ami, pour la récupérer avec des marques qui, selon lui, étaient là avant ? Voilà un autre problème qui peut être résolu avec des objets que nous avons déjà à la maison. Dans ce cas, nous aurons besoin d’une ventouse ordinaire et d’eau chaude. Si vous aspergez d’eau chaude la ventouse et la bosse, et que vous commencez petit à petit à pousser et à tirer avec la ventouse, la bosse s’en ira miraculeusement. Si la carrosserie n’est pas gravement endommagée, la bosse devrait disparaître immédiatement, et si elle n’est pas complètement réparée, elle aura au moins l’air moins proéminente.
 8. Votre propre désodorisant Ce dont vous aurez besoin : Cire de bougie parfumée, bocal en verre. Prix estimé : 6€ Nous avons tous chez nous un petit bocal en verre qui contenait à l’origine un produit alimentaire ou un autre article ménager, que nous avons depuis lavé et qui a fini dans un tiroir quelque part. Cette astuce est l’occasion pour ce récipient aléatoire de briller, sous la forme d’un désodorisant pour voiture. La première étape consiste à percer quelques trous dans le couvercle du bocal en verre. Ensuite, vous pouvez prélever de la cire parfumée d’une bougie et la placer au fond du bocal. Désormais, lorsque la voiture sera suffisamment chaude, au lieu de sentir mauvais, la cire fondra et dégagera son agréable arôme dans toute la voiture.
 9. Ne perdez pas vos pièces de monnaie Ce dont vous aurez besoin : Tubes de piscine Prix estimé : 6€ Que ce soit lors d’un déplacement ou dans une voiture garée, il est toujours facile de perdre ses affaires sous le siège d’une voiture. Le problème n’est pas lorsque vos pièces de monnaie ou votre téléphone tombent sous le siège devant vous, mais lorsque vos objets tombent dans la minuscule crevasse entre les sièges et la console centrale que cela devient un véritable casse-tête. Cet espace étroit est difficile à atteindre même pour les plus petites mains d’enfant, et beaucoup d’entre nous finissent par utiliser un bâton ou un cintre pour récupérer nos objets. Cependant, pour ce problème ennuyeux, il existe une solution simple : les tubes de piscine en mousse. Il suffit de les couper à la longueur de l’espace en question, de les insérer et le problème est résolu ! 
 10. La vaseline : Le meilleur ami d’un propriétaire de voiture Ce dont vous aurez besoin : Vaseline Prix estimé : 3.40€ Nous associons normalement la Vaseline à la solution pour une peau extrêmement sèche ou pour venir à bout des lèvres fendues par temps froid, mais l’efficacité de la Vaseline pour un tableau de bord digne de ce nom a été présentée par les experts comme étant comparable même aux produits les plus spécialisés. L’astuce consiste à nettoyer d’abord le tableau de bord avec un peu d’eau et une solution de nettoyage que vous avez sous la main, puis, une fois sec, à appliquer une petite quantité de vaseline sur un chiffon propre et à nettoyer à nouveau le tableau. 
 11. Utilisez des chaussettes pour protéger vos essuie-glaces Ce dont vous aurez besoin : Vieilles chaussettes Prix estimé : 0€ Nous avons tous à la maison cette pile de chaussettes qui sont restées sans partenaire lorsqu’elles sont entrées dans la machine à laver. Nous pourrions utiliser certaines de ces chaussettes non appariées pour réduire la condensation, mais nous avons aussi un autre usage pour le reste d’entre elles. Il s’agit de recouvrir l’essuie-glace avec la chaussette pour éviter que les essuie-glaces ne collent au pare-brise lorsque la température baisse. Il est très important de veiller à maintenir les essuie-glaces en position verticale lorsque vous mettez les chaussettes afin de ne pas les casser ou de ne pas forcer la structure. 

 12. Téléphone mains libres Ce dont vous aurez besoin : Bande élastique, stylo Prix estimé : 4.20€ Pour être clair, aucun conducteur responsable n’utiliserait jamais son téléphone au volant. Les textos, la navigation sur le Web et les appels téléphoniques sont interdits. Mais qu’en est-il du GPS ? Aujourd’hui, presque tous les conducteurs utilisent l’une des nombreuses applications GPS pour trouver leur chemin, mais il peut être difficile de naviguer avec son téléphone sur les genoux. Avec un simple élastique et un stylo, vous pouvez créer un support de téléphone qui se fixe au système de ventilation et résout ce problème. Si vous placez l’élastique autour de la ventilation et que vous utilisez le stylo pour l’enrouler de façon à ce qu’il dépasse du bas, il est facile de fixer votre téléphone en le plaçant dans les boucles supérieure et inférieure. Le support de téléphone portable est prêt !
 13. WD-40, le retour ! Ce dont vous aurez besoin : WD-40 Prix estimé : 8€ Peut-être votre voiture était-elle équipée d’autocollants lorsque vous l’avez achetée, ou peut-être avez-vous traversé une période difficile au cours de laquelle vous avez exprimé vos émotions à l’aide d’autocollants. Quoi qu’il en soit, il se peut que vous souhaitiez un jour les enlever sans avoir à faire appel à un professionnel. Reprenez le WD-40, la même méthode que celle utilisée pour enlever les insectes qui s’étaient incrustés dans la peinture de votre voiture. Avec le WD-40, vaporisez tout ce que vous voulez enlever, laissez tremper, et les autocollants devraient s’enlever facilement en quelques minutes. 
 14. Les essuie-tout sont toujours pratiques Ce dont vous aurez besoin : Rouleau d’essuie-tout, cordon élastique Prix estimé : 7.60€ Les essuie-tout sont le top des produits de nettoyage. Elles sont multi-usages, car elles sont super absorbantes et peuvent remplacer d’autres objets lors du nettoyage. C’est l’objet idéal à avoir dans la voiture pour parer à toute éventualité, mais elles peuvent facilement finir par se perdre dans votre coffre. En revanche, si vous placez un petit cordon élastique à l’intérieur du couvercle du coffre, vous pourrez y placer un rouleau d’essuie-tout de manière utile, en évitant qu’il ne soit endommagé. Dans toutes les situations, vous serez désormais prêt à nettoyer les dégâts, petits ou grands.
Source : mx.investing.com/-Lama Faché
Lama Faché

mercredi 13 décembre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE AUTOS - LE MOTEUR DIESEL VERS UNE CARBURATION AU GPL ....

 

Une entreprise française a inventé un kit de conversion. Jusqu'ici impossible, la conversion d'un moteur diesel vers une carburation au gaz de pétrole liquéfié (GPL) est désormais à la portée des automobilistes. Rétrogaz a mis au point un boîtier permettant ladite conversion, révèle Le Parisien ce lundi. Cette société française propose un kit, vendu environ 3.000 euros, permettant notamment d'installer un second réservoir sur le véhicule. Après l'opération, "il roule en bicarburation, c’est-à-dire en permanence avec 40% de diesel et 60% de gaz", explique Iphigénie Ngounou, la présidente-directrice générale de Rétrogaz à TF1/LCI. 
 Ce nouveau système, validé par l'administration, permet à l'automobiliste qui en fait le choix de bénéficier de la vignette Crit’Air 1, indispensable pour circuler dans les zones à faibles émissions (ZFE), obligatoire d'ici 2025 pour circuler dans 43 agglomérations françaises de plus de 150.000 habitants. Et d'économiser sur le prix du carburant.
 90 centimes le litre "Le prix du litre de GPL, c’est environ 90 centimes, alors que sur le diesel, c’est quasiment 2 euros, donc fatalement les économies générées vont permettre de rentabiliser l’investissement sur le kit", se félicite Pierre Chasseray, porte-parole de l'association 40 millions d’automobilistes. Ainsi, l'installation d'un kit sur une petite voiture citadine Crit'Air 3 permettrait d'économiser 40% du prix du carburant chaque année. Soit de quoi de rentabiliser l'investissement en six ans. La France compte quelque 18 millions de véhicules diesel en circulation.
Source : lindependant.fr/

samedi 9 décembre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - LA HONDA 350 FOUR ....PETITE SŒUR DE LA CÉLÈBRE 4 PATTES !!

Extrait de l'émission : BIKERS DANS L'ÂME. Cameron Smith le mécanicien a commencé à travailler sur la Honda CB 350 FOUR mais rien qu’en voyant l’aspect extérieur il était inquiet du travail que ça allait demander…
La Honda CB 350 F est un modèle de moto 4 cylindres en ligne produit par Honda de 1972 à 1974. Après avoir présenté la CB 750 4 cylindres en 1969, Honda a poursuivi avec une série de 4 cylindres plus léger, la CB 500 F, la CB 400 F et la CB 350 F. 
 Il n'y a pas beaucoup de changements sur le modèle 1973, mais le modèle 1974 sera nommé CB 350 F1. Après que la production soit arrêtée, la 350 est remplacée par la CB 400 F. De plus Honda possède déjà la CB 350 T (350 bicylindre) qui est plus puissante, plus légère et moins coûteuse. 
Aussi, beaucoup estiment que la CB 350 F est plus rapide et plus lisse à la conduite du fait de son moteur 4 cylindres. Après le succès remarquable de la CB 750 de 1968, quatre Honda ont commencé à transférer ce concept au moindre déplacement. Ainsi, en 1971, le CB 500 Four , puis le CB 350 Four et leur successeur en 1975, le CB 400 Four sont apparus en 1971 . 
La CB 350 Four était donc le plus petit modèle de cette série de motos Honda à quatre cylindres montés transversalement. Au cours des dernières années, la série a été étendue à d’autres variantes de déplacement et d’équipement, notamment une Honda CB 360 . Le CB 350 Four a été proposé au milieu de 1974 en Allemagne pour 4 499 DM , taxe de vente de 11% incluse , ce qui correspond aujourd'hui à environ 6 600 euros. Le moteur à quatre temps à quatre cylindres avait une moyenne de couple de 27,6 Nm (2,81 mkg) à 8500 min
La zone rouge du compte-tours commence à 10 000 min , mais il peut être mis en rotation en toute sécurité au - delà. Lors d'un essai effectué au milieu de 1974, le magazine "The Motorcycle" (numéro 16/74) permettait d'atteindre une vitesse de 159 km / h (en solo) et une accélération de 0 à 100 km / h en 6,8 s. Aujourd'hui, le modèle est recherché comme une moto vintage et rare.
Source : Nat Geo France

mercredi 6 décembre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RÉNOVATION D'UNE 2CV CITROËN......

La 2cv 6 Spécial va subir quelques évolutions notables. Citons le pare brise feuilleté en 1983, l'option "hayon" en 1984 et l'adoption de ceintures de sécurité à brin semi-rigides à l'avant en 1983 ainsi qu'un pare brise feuilleté la même année. Côté teintes intérieures et extérieures, si le début de la décennie 1980 est marqué par une palette haute en couleur, au fil des années cette dernière va devenir de plus en terne, à mesure que les ventes chutent...
Rénovation d'une 2 CV-6
Année 1984 par Charly...Bravo joli travail...
Au fil des années justement, on observe que malgré la multiplication des séries spéciales et/ou limitées (jusqu'à une par an...) les ventes de la 2cv chutent inexorablement. Il faut dire que la vieille dame de Javel accuse bientôt 40 ans de production. Sa ligne, rétro à souhait, se montre à la peine. Toutefois, elle séduit encore. 
Le principal problème réside dans ces 2 points : la sécurité et la pollution (eh oui, déjà à cette époque...). Côté sécurité, elle n'est ni plus ni moins que celle d'une voiture dans la conception remonte à la fin des années 1930 : désastreuse. La 2cv a toujours eu la réputation de transformer les mannequins des crash test en petit bois ! 
Côté pollution, le bicylindre nécessite une profonde refonte pour passer les nouvelles normes anti-pollution car le passage du carburateur à l'injection ainsi que la catalysation des moteurs vont bientôt devenir obligatoires... Le choix se pose à Citroën : une profonde refonte ou l'arrêt de la fabrication. Du côté de la concurrence ça n'est guère mieux. Dès les années 1980, des alternatives moins chères et plus modernes que la 2cv apparaissent sur le marché français, notamment la petite Fiat Panda, la nouvelle Seat Ibiza et la Lada Samara. 
L'arrivée de ces voitures va causer une désaffection certaine pour la bonne vieille Deuche qui, bien que choyée, voit ses volumes de production dégringoler. Le problème est d'ailleurs le même pour sa rivale de chez Renault, la R4. Un autre constat sans appel se dévoile : produite en très grande partie à la main, la 2cv coûte de plus en plus cher. A la fin des années 1980, le modèle Charleston coûte plus cher qu'une Renault Supercinq Five nettement plus moderne... A la chute des ventes s'ajoute l'arrêt de distribution des 2cv neuves sur plusieurs marchés étrangers, faute de mise aux normes.
 L'investissement demandé étant trop élevé par rapport aux retombés possibles, Citroën prend la décision de cesser de produire la 2cv. Dépassée techniquement et rendue quasiment obsolète par la concurrence, la vieille star de chez Citroën n'a plus qu'à disparaître, dans la plus grande émotion... 
Source : Charles Costa / deudeuchmania.over-blog.com/

mardi 21 novembre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Jean-Luc et la passion des meules !!

Jean-Luc Bertrand est un passionné des meules. Il s'est constitué une collection, où il possède une douzaine de motos, dont la plus ancienne date de 1932. 
 Portrait Bien avant que les entrepreneurs se passionnent pour les meules bleues, dans un village malouin, Jean-Luc Bertrand, 60 ans, s'est constitué une collection à faire pâlir les participants à l'événement organisé par son ami Philippe Maindron. 
Voilà maintenant 23 ans, qu'il a acheté sa première moto, une Follis de 1956. « Nous sommes tombés sous le charme lors d'un rétro safari à Port-Saint-Père. 
Nous participons deux à six fois par an aux rallyes organisés par les clubs de motos anciennes. » Si l'on demande au jeune retraité combien d'engins il possède, la réponse n'est pas tout à fait spontanée. 
Il compte et recompte pour annoncer finalement qu'il a une douzaine de motos, la plus ancienne datant de 1932, treize Mobylettes des années 1960 et un triporteur, plus rare et plus précieux. Les bécanes possèdent toujours leur couleur d'origine. 
La collection se poursuit avec une dauphine de 1958 et un camion Mercédes 508 D de 1971. « Ma première, je l'ai récupérée à la déchetterie » « J'ai la nostalgie de cette mécanique, simple et robuste. 
Quand l'engin s'arrête, un coup de Kick et ça repart. Ce n'est plus le cas avec les véhicules récents. Le bruit aussi me fait vibrer. Les rallyes nous permettent de découvrir de superbes paysages que nous ne verrions pas en voiture. » Passion partagée par Josiane, son épouse, et toute la famille, entraînée à suivre le patriarche en vadrouille. « Quand j'étais jeune, on était trop pauvre pour avoir une Mobylette. Ma première, je l'ai récupérée à la déchetterie. » 
Alors, Jean-Luc est un peu perplexe devant la flambée des prix des meules à la suite de l'organisation de l'événement. « C'est complètement dingue, l'autre jour, sur un site de vente, j'ai demandé à l'annonceur s'il n'avait pas mis un zéro en trop : une meule à 1 300 €. » De quoi faire râler les collectionneurs, ou bien de valoriser les engins roulants. À chacun son point de vue. Pour autant, Jean-Luc ne rechigne pas s'il faut donner un coup de main. « Lors de la première édition, j'ai prêté des meules à Philippe pour le circuit à La Rabatellière. » 
Et les Malouins ont aussi testé, lors de l'édition du Téléthon 2006, « les trente heures des Mobylettes bleues ». Car lorsque Jean-Luc n'est pas affairé à ses engins, il imagine le prochain Téléthon. Sa dernière trouvaille, un Vélo-rail installé à la gare de Saint-Laurent-sur-Sèvre, à croire qu'avec Jean-Luc, tout roule.
 Source : ouest-france.fr

lundi 20 novembre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - L' URAL DE MON GRAND PERE !!


Restauration d'une vieille moto soviétique

Je me souviens comment, enfant, mon grand-père avait un Ural avec un berceau, la moto semblait si énorme et puissante qu'elle grondait dans tout le village. Grand-père le regardait et se préparait pour l'été chaque hiver. Nous sommes allés à la rivière, il a pêché, et je me suis assis dans l'Oural et j'ai roulé, pensant que quand je serai grand, je m'en achèterai certainement un. C'est Ural M63, année 1969, il est resté immobile pendant de nombreuses années. 
Source : Great idea

Dans sa course à l’armement d’avant guerre, l’Allemagne nazie se dote (entre autres véhicules), de motocyclettes attelées. En effet, facile à produire, peu cher à entretenir, doué sur tous les terrains, le side-car est d’une grande utilité pour les armées d’alors. Sa mobilité et ses facilités de portage – personnel, armement, approvisionnement- ne tarde pas à susciter des convoitises … notamment de la part de son voisin, le géant soviétique, bien mal équipé en moyens de transport légers et qui voit avec inquiétude la militarisation croissante de l’Allemagne ainsi que ses appétits de conquêtes. 
 La URAL Aussi en 1939, dans le plus grand secret, et par le biais d’intermédiaires suédois, les russes acquièrent plusieurs attelages et procèdent à du “reverse engineering”. Autrement-dit, ils les démontent pour en copier les éléments et les reproduire à l’identique.. Enfin ça c’est la version officielle… On dit également que la maîtrise de la construction de cette machine (plans, savoir-faire) et jusqu’à l’outillage sont volontairement transmis aux russes, par leur ami Allemand, dans le cadre d’accords industriels et commerciaux qui agrémentent le pacte Germano-soviétique de l’été 1939. D’ailleurs, le premier véhicule produit aurait bien été la “M71” M pour “Moscou” et 71…. selon les spécifications du catalogue BMW ! Mais cette page peu glorieuse serait volontairement “révisionnée” en un fait d’espionnage plus valorisant… Par ailleurs, les Allemands travaillent déjà sur la BMW R75 et finalement la R71 dont elle fait “don” à la Russie n’est qu’une technologie dépassée (c’est le dernier modèle à soupapes latérales de BMW) présentée comme un cadeau de valeur… (d’ailleurs, elle ne fut jamais un véhicule réglementaire de la Wehrmacht). 
 Quoiqu’il en soit, ce nouveau véhicule est baptisé M72 et est fabriqué sur deux sites : Moscou et Léningrad. Malheureusement en 1941, les troupes allemandes se ruent sur l’union soviétique et les usines doivent être déplacée hors d’atteinte des bombardements nazis. Celle de Moscou est reconstruite dans les montagnes de l’Oural à Irbit en Sibérie. Le sigle de l’usine est IMZ (Irbitskiy Motocykletnyi Zavod) et la M72, qui n’a pas vraiment de nom, devient connue sous le nom d’URAL, sa province d’origine. L’usine de Leningrad est, quant à elle, déplacée à Gorkii (jusqu’en 1956, cette usine fabriquera tous les châssis et caisses des side-cars). Les aléas militaires retardent la production et les premières M72 sont livrées le 25 octobre 1942. 9799 d’entre elles seront produites au cours du conflit. En fait, il apparaît que, pour des raisons de capacité des sites de production, d’autres usines, à Kiev et Harkov, participeront, au cours de la guerre, à la production de la M72.
 Pendant la guerre, à titre d’aide, Les États-Unis fourniront une partie des machines-outils (certaines, parait-il, encore utilisées de nos jours…) nécessaires à la production de la M72. Malheureusement, après les hostilités, la méfiance dont fait l’objet l’URSS totalitaire la prive de toute nouvelle aide technologique ou financière de la part des alliés. C’est donc sans évolution majeure que la M72 reste en production et, bien que continuant à fournir l’armée rouge, l’usine Ural commence à approvisionner le marché civil. Dans les années 50 (vraisemblablement encore une fois par “récupération technologique”), la moto bénéficie enfin de la distribution culbutée avec soupapes en tête. L’usine d’Irbit est alors majoritairement dédiée au marché civil dans les Républiques Socialistes Soviétiques et, à partir de 1953, à l’exportation dans les pays frères du COMECON. 
En 1957, la production militaire est transféré à Kiev, en Ukraine, pour produire la DNEPR. 
 A l’occasion de cette redistribution des rôles, le temps des moteurs à soupapes latérales étant presque révolu, l’usine de Gorki est fermée et ses outillages sont cédés à la Chine qui va produire la CHANG-JIANG. Cette mutation se traduit, chez URAL par la production exclusive de modèles civils à 1 roue motrice. Ce n’est qu’en 1995 qu’apparaîtront à nouveau les modèles à 2 roues motrices. 
Source : http://dnepr-ural.fr/

jeudi 9 novembre 2023

CLUB5A - Technique et restauration - Rénovation d'une 2 CV Charleston...


Rénovation d'une 2cv Charleston Année 1983

La 2CV Charleston Présentée en octobre 1980 au salon de l’automobile la 2CV 6 Charleston sort d’abord en série limitée.
En effet, prévue pour être fabriquée à 8000 exemplaires, la Charleston obligea Citroën à prolonger de 4 ans la carrière de la 2CV. Au vu de l’enthousiasme du public et des ventes, la direction de Citroën décide donc de l’intégrer au catalogue de 1982. Citroën touche une nouvelle clientèle “jeune” qui ne se serait jamais dirigée vers la marque au double chevrons sans la sortie de la Charleston. La base de ce nouveau modèle est évidemment celle de la 2 CV 6 : bicylindres 602cc, soupapes en V, arbre à cames central, bloc/culasse en alliage léger, chemises sèches amovibles… Pour 29ch à 5750 tr/mn, la consommation usine est annoncée pour 5,4L à 90 km/h et 6,8L en cycle urbain.
Source : eremy Defreyne J/2cv-legende.com

vendredi 20 octobre 2023

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - FAUT'IL PASSER A L'ALLUMAGE ELECTRONIQUE POUR NOS VOITURES DE COLLECTION....

 

PASSEZ À L’ALLUMAGE ÉLECTRONIQUE !
 L’allumage traditionnel présente plusieurs points faibles. Nous allons les lister et vous expliquer comment un allumage électronique va améliorer et fiabiliser l’allumage de votre voiture ancienne. Focus sur une modification quasi-obligatoire ! L’allumage d’origine de nos moteurs consiste à créer un courant haute tension à partir de la basse tension de la batterie (6 ou 12V) et de le distribuer au bon moment sur la bougie du bon cylindre. 
Pour ce faire, le distributeur sous l’action des cames de son axe, actionne le rupteur pour envoyer une impulsion électrique à la bobine qui va créer la haute tension qui sera orientée vers la bonne bougie via le rotor et la tête d’allumeur. Pour compléter le système, on trouve un condensateur dont la fonction est de supprimer l’arc électrique qui se forme entre les contacts du rupteur au moment de son ouverture. 
Les points faibles d’un allumage traditionnel sont : 
– la faible puissance de l’étincelle au ralenti (à fortiori en 6V) 
– la faible puissance de l’allumage au démarrage moteur 
– l’usure importante des surfaces de contact du rupteur 
– réglages fréquents du rupteur 
– remplacement régulier du rupteur VOUS ÊTES LE MAILLON FAIBLE ...
Le point faible des allumages traditionnels c’est donc le rupteur. C’est mécanique, ça s’use, ça se dérègle et la coupure électrique à bas régime n’est pas franche, ce qui diminue la puissance à l’étincelle. Et ça devient de plus en plus difficile d’en trouver en qualité d’époque. Il y a deux écoles d’allumage électronique qui vont permettre d’améliorer les choses et fiabiliser l’allumage de votre voiture de collection : 
 LES MODULES À TRANSISTORS 
Le principe des modules d’allumage électronique à transitors est de ne plus utiliser le rupteur pour commuter le courant du circuit primaire de la bobine mais de l’utiliser uniquement comme un simple interrupteur de commande de la partie électronique, la commutation du courant dans le circuit primaire de la bobine étant alors confiée à un système électronique simple généralement basé sur un montage à transistors de type Darlington (qui fonctionne à des fréquences élevées tout en pouvant commuter plusieurs ampères). 
Le front de coupure reste constant quel que soit le régime et devient beaucoup plus précis avec une énergie à l’étincelle constante de 700 tr/mn à plus de 5000 tr/mn. On insère le module transistorisé entre la borne « – » de la bobine et le fil qui vient du rupteur. Les autres fils nécessaires concernent l’alimentation de celui-ci à prendre sur la borne « + » de la bobine et la masse. 
Le courant électrique qui traverse le rupteur passe alors de plusieurs ampères à quelques centaines de milliampères. Soit environ 10 à 20 fois moins, augmentant d’autant sa durée de vie. Le module transistorisé prend un rôle d’interrupteur de puissance. Avec ce système, on a éliminé tous les défauts engendrés par les rupteurs. Il ouvre aussi la possibilité d’utiliser une bobine « haute puissance » grâce aux possibilités d’augmentation du courant primaire dans la bobine. 
On obtient ainsi l’arrêt des réglages répétitifs du rupteur qui ne s’use plus, une énergie constante à l’étincelle, une meilleure combustion du mélange air-essence, une légère baisse de la consommation et du CO/CO2, un ralenti très régulier, des démarrages à froid améliorés et l’on constate généralement une meilleure souplesse du moteur. Autre avantage : on peut revenir à l’allumage traditionnel en quelques instants puisque l’on a conservé le rupteur. 
 Les modules à transistors existent depuis les années 60, souvent sous le nom d’Assistance à l’Allumage. Si vous désirez rester cohérent avec l’époque de votre voiture, vous pouvez vous mettre en quête d’un tel module. On les déniche en petites annonces, en bourse d’échange … mais attention à ne pas vous faire refourguer un module grillé. Plus prêt de nous, les constructeurs ont généralisé ces systèmes sur les productions des années 80 et 90 avant de passer aux allumages pilotés. On trouve donc des modules qui peuvent s’installer facilement sur nos anciennes. 
Il s’agit des modules Cartier 2341 et 2346, Valeo 245528 par exemple. Les spécialistes de la voiture de collection proposent également ce type de module. C’est le cas du MPA de Multic ou le PowerDriver de Gammatronix par exemple, qui sont très discrets. 

LE MODULES À EFFET HALL 
Avec ce système, on ajoute au système à transistor la suppression du rupteur. Le principe d’un capteur à effet Hall est d’émettre un signal lorsqu’il détecte un champs magnétique ou une pièce métallique. Ce signal est alors amplifié par un petit module transistor et permet donc d’attaquer le primaire de la bobine. Il offre aussi l’avantage de générer une coupure de durée stable, quel que soit le régime de rotation. 
En pratique, un allumage électronique à effet Hall se présente sous la forme d’un disque ou d’une bague comportant 4 aimants situés à 90° les uns des autres (pour un 4 cylindres) et du capteur proprement dit. Le signal d’allumage est généré lorsque l’aimant passe au dessus (ou devant) le capteur. Le capteur à effet Hall offre pratiquement les mêmes avantages qu’un allumage à transistors Disparition du rupteur : – pas d’usure, pas de réglages, pas de remplacement 
– Courant primaire de bobine plus élevé 
– Durée d’ouverture/fermeture du circuit primaire stable Seul inconvénient : si le module grille, il faut réinstaller des rupteurs pour revenir à l’allumage traditionnel. Même si la panne n’est pas fréquente, nous, on recommande d’avoir un module de secours dans la trousse à outils … 
Les modules à effet Hall existent en grande variété de production, il faut juste veiller à ce qu’il soit compatible avec l’allumeur de votre voiture. 
EN CONCLUSION 
Le circuit électrique de nos anciennes vieillit lui aussi. Les cables s’oxydent, leur résistance augmente progressivement, les baisses de tension augmentent (c’est la plaie en 6V) et il n’y a donc que des avantages à opter pour un allumage électronique. 
On oublie les régles du rupteur, et le moteur fonctionne mieux grâce à une étincelle puissante à tous les régimes. Si vous voulez totalement supprimer les rupteurs, vous opterez pour un système à effet Hall. Mais un module à transistors suffit largement pour muscler l’étincelle de votre système d’allumage, pour seulement quelques dizaines d’euros. Il ne faut pas s’en priver ! 
 Source : AUTOCOLLEC-- targa azimut
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