ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
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L'Artiste peintre embellit une voiture de collection.
Il peut travailler dans un garage, un concessionnaire réparateur, une grande entreprise disposant d'un parc de véhicules ou une filiale de marque automobile ou et c'est souvent le cas dans un petit atelier des plus modestes.
Ce sont de véritables artistes qui redonnent vie aux motos ou autos ....Chapeau bas messieurs !
Les Renault 8 sont les dernières voitures du constructeur Renault avec un moteur placé à l'arrière, jusqu'à la Renault Twingo III de 2014.
La Renault 10 est une version allongée sur l'avant et sur l'arrière de la Renault 8. Les Renault 8 et 10 ont été produites en France à l'usine de Flins (Yvelines).
Lancée en juin 1962, la Renault 8 est dessinée par Gaston Juchet et Philippe Charbonneaux. C'est l'une des premières voitures françaises avec quatre freins à disques. Le « moteur Sierra » (connu également sous le nom de « moteur Cléon-Fonte ») à cinq paliers est nouveau. Ce moteur élaboré par l'ingénieur René Vuaillat connaîtra une longue carrière puisqu'il sera encore utilisé sur les Twingo, Express, Clio et Super 5 dans les années 1990.
Pour les modèles 1964, la planche de bord avec une boîte à gants est nouvelle et il existe une version mieux finie à moteur 1 108 cm³ provenant de la Caravelle 1100 et à boîte de vitesses à quatre rapports dénommée R8 Major.
Pendant le courant de l'été 1965, elle est remplacée par la Renault 10 Major. Il s'agit d'une version allongée de la Renault 8, avec un coffre avant et un compartiment moteur plus grands, mais la cellule centrale, et donc l'habitabilité, reste identique mais traité plus luxueusement.
Pour les modèles 1965, Renault commercialise la version sportive Gordini du nom du célèbre préparateur de moteurs. Elle est considérée comme la première "GTi"1. C'est effectivement la première compacte ayant des performances sportives pour un tarif de voiture de série.
Pour les modèles 1968, le moteur de la Renault 8 passe de 956 cm³ à 1 108 cm³ tandis que l'appellation Major réapparaît. Le tableau de bord comporte des cadrans ronds.
À partir d'août 1968, la Renault 8 S, qui est une version sportive moins chère que la Renault 8 Gordini, possède le moteur de 60 ch à carburateur double corps de la Caravelle 1100 S. La Renault 8 S s'équipe d'un compte-tours, de quatre phares et de jantes larges. La Renault 8 S est supprimée en 1971 à Flins, elle sera définitivement arrêtée en 1976. Elle a été fabriquée de 1968 à 1971 à Flins et de 1968 à 1976 par la filiale espagnole Fasa-Renault. Elle est sortie en peinture unie en jaune, blanc et rouge.
Courant 1973, la Renault 8 n'est plus disponible en France.
Pendant la dernière année, les Renault 8, qui possèdent désormais des freins arrière à tambours, sont fabriquées par Fasa-Renault laquelle continue la fabrication jusqu'en 1977. En mai 1973, les Renault 8 et 8 TS espagnoles sont modernisées : les feux avant passent sous le pare-chocs rehaussé, les quatre projecteurs sont en série et les feux arrière s'agrandissent. Source : tom cazals
Dans cet épisode, nous suivons la restauration d'une Motobécane 350 par Julien.
Un vrai passionné du modèle et de la marque qui nous rend impatients de l'entendre démarrer, de la regarder rouler et d'en savoir toujours plus sur ces modèles si rares et particuliers que sont ces Motobécane 350 !
Il s'est passé un truc, on a dû se faire ensorceler : la moto et la France, c'est l'histoire d'une malédiction.
Après un âge d'or entre les deux grands conflits mondiaux, tout le reste a été synonyme de ratages, de plantages, d'échec. Pourtant séduisante sur le papier, la Motobécane 350 n'échappe pas à cette tragédie.
Motobécane 350, sa vie, son œuvre C'est l'histoire d'un des plus gros producteurs mondiaux de deux-roues (si l'on inclut les vélos et les cyclos) qui veut s'attaquer aux Japonais sans s'en donner les moyens.
Dit comme ça, le scénario commence mal. Motobécane est alors une firme gigantesque qui possède 20 000 revendeurs rien que sur le territoire français. Imaginez la force de frappe. Force qui est totalement tétanisée : en deux ans, sur 786 machines produites (de fin 1972 à fin 1974), ce réseau de la loose parviendra à en écouler 600 exemplaires, et encore, certains sont partis soldés bien des années après l'arrêt de la production, malgré une apparition dans le film "La Gifle" avec Isabelle Adjani. D'un côté, les revendeurs qui écoulaient des mobylettes (et bien souvent, des hameçons et des accessoires pour les pécheurs du coin) n'avaient pas envie de s'embêter avec cet engin compliqué ; de l'autre, les acheteurs préféraient la technologie des Honda 4-temps ou les performances des Kawasaki 2-temps.
Bref, la 350 Motobécane s'est retrouvée le cul entre deux chaises. Il faut dire qu'elle n'a pas été aidée par la presse de l'époque, peu extatique...
Motobécane 350, 3 choses qui m'ont fait kiffer
Et pourtant, la 350 Motobécane n'était pas une mauvaise moto. En roulant à son guidon, j'ai aimé :
Le confort : on imagine que les trois cylindres 2-temps des engins inroulables, mais pas celle-ci. Assise confortable, selle épaisse, position de conduite neutre, on a envie de tailler la route à son guidon et en réalité, elle était faite pour cela.
La qualité de l'équipement : chaîne secondaire sous carter avec lubrification par injection d'huile, graissage séparé avec petit hublot sur le carter pour vérifier le niveau d'huile, phare à iode pour rouler la nuit, la 350 était une vraie moto malgré une consommation élevée, compensée par un grand réservoir (20 litres d'essence + 2,5 litres d'huile).
Le moteur : il fait partie des rares 3 cylindres 2-temps, ronds, souples, coupleux, capable de reprendre à 2000 tr/mn en 4ème sur un filet de gaz. Ce n'est certes pas le grand frisson, mais il est agréable, et on se délecte les oreilles avec cette sonorité typique.
Une Motobécane 350 aujourd'hui : combien, comment ?
Déjà, bonne chance pour en trouver une. Les 350 Motobécane (elles ont été aussi vendues sous la marque Moto-Confort - la majorité d'entre elles, en fait !) ne roulent quasiment plus, elles ne s'échangent qu'entre initiés et, hélas, les prix ont grimpés. Pendant quelques temps, une belle 350 valait 10 000 €, mais on en a vu récemment partir en vente aux enchères à 19 000 €. Et bien entendu, il n'y a plus de pièces.
La boîte de vitesse à croisillons reste perfectible et les carburateurs Gurtner se dérèglent souvent, mais ceux-ci, on peut les refaire. La plupart des 350 sont jaunes, à part une dizaine de rouges au tout début de la production. La bleue a été peinte exprès pour le film "La Gifle" et la verte des catalogues n'est jamais entrée en production, tout comme les 500 à injection.
Dommage...
Quelques chiffres clé :
- 3 cylindres en ligne, 2-temps,-349 cm3, 53 x 52,8 mm
3 carburateurs Gurtner, diamètre 24 mm
38 ch à 7500 tr/mn
36 Nm à 6000 tr/mn
170 kilos à sec
160 km/h
Un essai de choc (terme traduit de l'anglais crash test) est une opération réalisée en laboratoire consistant à tester le comportement des véhicules en cas de choc ou de collision. Le véhicule testé (automobile, voiture de chemin de fer…) est soit projeté à une vitesse donnée sur un obstacle massif, soit immobilisé et soumis à un choc d'un mobile de masse déterminée de façon à reconstituer les conditions d'un choc et de mesurer les déformations de sa structure et les dommages résultants pour les passagers.
Ceux-ci sont souvent représentés par des mannequins spécialement étudiés : les dispositifs anthropomorphes d'essai (et parfois des cadavres). Ces essais, destructeurs par définition, sont relativement coûteux et doivent être soumis à un protocole rigoureux pour en tirer le maximum d'enseignements.
À la fin des années trente, le nombre de morts par accidents de la route était considérable. Les autorités prennent conscience que l'augmentation du nombre de véhicules engendre une augmentation importante des morts.
Après la création d'études d'accidentologie sur l'automobile, le constat est qu'aucune voiture n'est conçue pour un accident. Et le sort de l'occupant n'est pas pris en considération.
Depuis, l'amélioration de la sécurité d’une automobile est l'un des critères de conception d'un moyen de transport. Elle est dictée par des normes et aussi (depuis peu) par des aspects médiatiques et commerciaux.
Pour voir l'historique des premiers essais de choc, réalisés principalement aux États-Unis, se reporter à l'article Dispositif anthropomorphe d'essai. Source : Jeff Quitney / Josh Baker
Une version mise à jour est apparu en 1937 avec des changements de coiffeuses principalement, mais le châssis a été rigidifié et les freins de tige Girling remplacé ceux hydrauliques qui ont été montés sur les voitures antérieures. 200 voituresont été faites en 1947 et 1948 avec les quatre premiers corps par Rover et le reste par 196 AP Coachbuilders de Coventry. Les modèles 1938 avaient fixé côtés du capot et 1,939 synchronisée a été ajouté aux deux premiers rapports sur la boîte de vitesses. 11 786 ont été faites avant la guerre et après 4840. Cette Rover modèle final faisait partie de la Rover P2 gamme, avec Rover 10, Rover 14, Rover 16 et Rover 20 variantes. Les voitures définitives ont été faites en 1948.
Restauration125 CBS de 1972 Ce n’était pas gagné : la mécanicienne n’avait jamais mécaniqué (son amour pour les deux roues était né d’une sortie en 50cc un an auparavant, au cours de laquelle elle avait appris à démarrer, à rigoler, et à faire la course !!!)
Achat de la « bête » le 7 janvier 2016, il a fallu obtenir la carte grise… Avec un vendeur peu coopératif, elle n’est arrivée que le 23 février. Ça m’a encouragée à suivre la « formation 125 » : papier en poche le 27, des fois que j’arriverais à la faire rouler en une semaine !!!
Entre-temps j’avais listé les défauts esthétiques : - état général : très rouillée ; moteur non bloqué ; 14000km affichés non garantis - absence de clé de contact, cache latéral gauche, pare-chaîne inférieur, bavettes, rétroviseurs, catadioptres - garde-boue avant recoupé - échappement troué - joint de bouchon d’essence en liège tout desséché - levier de frein cassé
- intérieur de réservoir tout rouillé...
Jean-Marc m’a fourni La Bible : RMT, manuel d’atelier, et parts-list.
Ensuite c’est devenu un travail d’équipe : tous les membres du Forum Honda 70s
m’ont accompagnée jour après jour dans cette restauration. Ça a commencé par « comment on fait pour enlever la selle et le réservoir, et accéder dessous à ce mélange de fils et de pièces métalliques mystérieuses ? » Et ça a fini par un dépeçage total, vis après vis, timidement, me disant chaque fois « celle-ci seulement hein, tu la sors tu l’astiques et tu la remets en place aussitôt sinon tu ne sauras plus où elle va »
Je me suis mise aussi en quête de pièces sur Internet, découvrant que parfois il est préférable de modifier (réalésage, soudures) voire remplacer par du neuf (piston, pignons).
J’ai appris à souder, ou plutôt braser, et ainsi réparé mon contacteur HS
J’ai appris à rétamer pour redonner sa forme au garde-boue
Refusé catégoriquement de démonter les rayons des roues, je ne veux pas la remettre à neuf, je veux rouleeeeeeeeeer !
Gratter, poncer, peindre c’est devenu des automatismes
Pas osé m’attaquer au réservoir : décidé de conserver l’état extérieur, et fait résiner l’intérieur
Demander où on rebranche les câbles dont je ne sais même pas à quoi ils servent
Nettoyer les commodos et courir après les billes baladeuses !!! Nettoyer un robinet d’essence vieux de 40 ans et découvrir des joints, tamis, mini-tuyaux de laiton bien amochés
Tester l’étincelle à la bougie, démonter-remonter l’anti-parasites, nettoyer-poncer les grains du rupteur, et le 5 juin 2016 direction le garage moto de Castelnaudary pour la décorer d’une plaque d’immatriculation !!!
Elle posait toujours quelques problèmes : remplacement du joint spi de sortie de boîte qui fuyait, rectification du conduit de boisseau du carburateur : déformé il coinçait le boisseau en position accélération et je freinais des pieds !!! Remplacement du flotteur percé, qui coulait rempli de carburant (après moult tentatives de brasure…) Pendant l’été j’ai « trouvé » la clé pour les bouchons des culbuteurs, et atténué le claquement des soupapes. Restait le bruit de la chaîne de distribution : j’avais décidé d’ouvrir le moteur pendant l’hiver… En septembre le ressort de kick s’est cassé, m’obligeant à précipiter mon programme ! Depuis septembre l’an dernier j’ai donc pénétré dans le Saint des Saints : l’intérieur d’un moteur ! Quel bonheur ! J’étais aux commandes ! C’est moi qui ai tout démonté et remonté…
Remplacement de la chaîne de distribution et ses deux pignons, du piston après réalésage de la chemise ; rectification des queues des deux soupapes ; remontage de la boîte de vitesses en plusieurs fois avant de ne plus oublier de rondelle et de mettre tous les pignons dans le bon sens ; réglages de l’avance à l’allumage, de l’avance centrifuge, du jeu aux soupapes et aux grains du rupteur…
Le lève-soupapes, la pince à circlips et la clé dynamométrique déposés au pied du sapin par le Père Noël ont été appréciés comme les plus beaux jouets de la création !!!
Le ressort en se cassant avait cassé les nervures du carter : rendez-vous chez le spécialiste des soudures moto Toulousaing : Momo
Une fois remonté le moteur en juillet je me suis crue au bout de mes peines mais non : impossible de la démarrer toute seule… Révision du circuit électrique de façon à ce qu’elle ne cale plus lorsque je mets les phares, remplacement de l’anti-parasites, de la bobine d’allumage… Première sortie sur Ma Belle avec le Club des 5A en octobre : elle roule bien !!! Le problème subsiste : difficulté au démarrage, à froid… Et aussi j’entends un grésillement ou plutôt un claquement régulier en 3ème vitesse quand j'arrive à 40km/h, ça recommence en 4ème à 50km/h, et encore en 5ème à 60km/h...
A peaufiner donc, car l’objectif est qu’elle m’amène aux 1000vaches 2017 à Meymac le WE du 10 décembre, retrouver une belle brochette de motards de mon forum !!!
Pour répondre à quelques membres du Club des 5A, OUI c’est possible de ressusciter une moto…
Même pour un débutant, même pour une fille, même dépourvue de patience !!! Pour certains en solitaire à l’aide de lectures comme la RMT, pour d’autres en communiquant sur un forum avec des passionnés (professionnels pour certains)…
Merci ISE de nous avoir relaté tes aventures sur la restauration de ta 125 HONDA CBS et chapeau bas pour le travail accompli !!!! Vous aussi membres des 5.A vous avez surement une restauration ou une histoire à nous raconter...alors n'hésitez pas !!!
Prototype vu au Conservatoire Citroën à Aulnay sous Bois (93). Équipée d'un moteur prototype de DS (4 cylindres, double arbre).
La Panhard 24, voiture automobile de la marque Panhard produite de 1963 à 1967 ; elle marque également le dernier modèle et la fin de production de la « doyenne des marques » automobiles françaises.
La Panhard 24 est la dernière voiture créée par la société Panhard et Levassor. Cette firme fut la première au monde à se lancer dans la construction en série d’automobiles en 1890. Après la Seconde Guerre mondiale, Panhard obtient de l'État français la possibilité de produire une voiture en aluminium (pour créer un débouché à ce matériau), ce sera la Dyna X suivie de la Dyna Z. Vers 1957, l’aluminium cédera la place à l’acier sur les Dyna Z puis sur les PL 17 leurs héritières.
La branche automobile de Panhard se trouvait en difficulté financière à cause d’une gestion trop frileuse et paternaliste.
Un rapprochement avec Citroën amorcé en 1955 scellera le destin de la marque. Citroën a des moyens colossaux mais articule sa production de berlines sur deux modèles diamétralement opposés, la 2CV et la DS/ID. Panhard n’a qu’un modèle la Dyna Z, modèle de milieu de gamme typée sportive dotée d’un bicylindre à plat refroidi par air de 848 cm3 faisant une quarantaine de chevaux. Les deux gammes se complètent parfaitement, et la Dyna Z vient à point nommé concurrencer l'Aronde de Simca comme la 403 de Peugeot. L'avenir semble souriant pour Panhard.
En 1959, au moment du lancement de la PL 17, Panhard pense déjà à son avenir et au modèle qui succédera à la nouveauté. Citroën s’oppose formellement à l’étude d’une nouvelle berline qui risquerait de concurrencer les ID et la future Ami 6. Il est donc décidé de lancer un coupé. C'est une merveille de design et d’ingéniosité si l'on considère le peu de moyens de Panhard et l’impossibilité d’étudier un nouveau moteur, notamment un projet de moteur à 4 cylindres en X.
Louis Bionier, dessinateur des Panhard depuis les années 1930, assisté de René Ducassou-Pehau et André Jouan, réalisera là son chef-d’œuvre. Les doubles optiques avant (non orientables) sont protégées par une vitre, principe qui sera repris par la DS à partir de 1967. Le toit est plat, la face avant est lisse, avec une fine entrée d'air intégrée au pare-chocs et un jonc chromé ceinture la carrosserie. La silhouette très basse et élancée est une réussite. Le modèle fut présenté à la presse le 24 juin 1963 : une 24 C bicolore quetsche / gris capelinos
Source : Mister59Bean
Restauration vieille Peugeot 55 AL de 1953 sortie d'une grange après plusieurs année
C'est en 1946 qu'apparaît le premier "Type 55" construit sur la base du modèle P53 d'avant guerre dont la cylindrée est passée de 100 à 125 cc.
Ce modèle est équipé
* d'une fourche à parallélogramme, pas de suspension arrière,
* d'une boite 3 vitesses commandée à main,
* d'une culasse ronde.
Les nombreux modèles basés sur le "type 55" ont eu un grand succès populaire dans l'immédiat après guerre.
Ces "vélomoteurs", selon l'appellation officielle, sont avant tout des utilitaires simples et fiables. Ces caractéristiques et leur grande diffusion font qu'aujourd'hui, ils servent souvent de base à une première restauration.
Ils sont en outre parfaitement aptes à rouler tous les jours, mais attention, la robustesse n'est pas leur point fort.
Pendant 10 ans, le Type 55 va évoluer et Peugeot va donner naissance à une foule de modèles différents.
55 AL, C, T, TA, TC, TCL, GL, GLT, GTS, avec ou sans suspension arrière coulissante, avec fourche à parallélogramme ou télescopique, vitesses à main ou sélecteur au pied, versions économiques ou luxe, bref, il y en avait pour tous les goûts et toutes les bourses !
Au total près de 16 modèles différents pour le Type 55.
Cela ne facilite pas la tâche du restaurateur scrupuleux.
D'autant plus qu'il existe assez peu de "refabrications" pour cette gamme de modèles exceptés les caoutchoucs, les décalcomanies et les dessus de selle.
Heureusement les machines ont été construites à grand nombre d'exemplaires et l'on trouve encore son bonheur dans les différentes bourses.
Source : Chaîne de Gordette67/ motocollection.com
La restauration d’une voiture est opération complexe, très complexe. Même si les émissions de télévision comme Wheeler Dealers laissent penser que c’est rapide, facile et sans risque de perte financière ou de frustration, c’est rarement le cas. La plupart des restaurations nécessitent des centaines, voire des milliers d’heures de travail, une somme d’argent considérable et un délai qui peut s’étendre sur des années.
Bien sûr, il y a des moments d’enthousiasme, comme le jour de l’achat, le jour de la peinture, le premier démarrage du moteur ou le premier trajet. Mais il y a aussi des moments d’abattement, quand on découvre des dommages inattendus, des dépassements de budget et des erreurs pures et simples, qu’il est parfois difficile d’admettre (par amour propre).
Même si vos propres erreurs vous en apprennent probablement davantage, apprendre de celles des autres coûte généralement moins cher.
Avant de vous lancer, prenez le temps d’étudier ces neuf erreurs courantes de la restauration des anciennes…
1 – Commencer avec la mauvaise voiture
Démarrer avec une voiture à reconstruire de fond en comble n’est sans doute pas la meilleure idée. Restaurer n’est pas entretenir. La « bonne voiture » sera presque toujours celle dans le « moins mauvais état » que vous puissiez trouver. La rouille, les pièces manquantes, les dommages causés par une collision ou l’usure extrême rendent une voiture moins chère à l’achat mais généralement beaucoup plus coûteuse à restaurer. Rechercher soigneusement un bon exemple accélérera votre restauration et préservera votre budget.
2 – Ne pas en avoir conduit une autre avant
La plupart des restaurations commencent par un rêve : une vision idéalisée de ce que sera la voiture au final. Le problème est que la plupart des restaurations, aussi bien exécutées soient-elles, ne concernent encore que de vieilles voitures une fois terminées.
La plupart des voitures anciennes n’ont rien à voir avec les voitures contemporaines. Elles démarrent moins bien, ne freinent pas aussi bien, n’éclairent pas aussi bien, ne se conduisent pas aussi bien ou ne disposent pas des commodités que nous avons oubliées tellement nous les aimons.
Essayez de conduire un modèle similaire déjà restauré, avant de vous lancer dans votre projet.
Découvrez si vous avez le feeling … ou pas au volant. Performances, tenue de route, confort, freinage, … encore une fois, même restaurée à neuf, une voiture des années 50 ne sera jamais une voiture des années 2000. Quoi qu’il en soit, ce serait dommage d’attendre la fin de la restauration pour découvrir que vous n’aimez pas tant que ça conduire votre voiture…
3 – Refaire le moteur trop tôt
La règle est simple : ne reconstruisez pas le moteur avant qu’il soit temps de le remettre en place. Le risque est de « cramer » le budget et de se retrouver avec un moteur rutilant mais sans le budget pour travailler correctement la carrosserie, la sellerie et le châssis qui sont au final les postes de restauration les plus importants.
On peut toujours repeindre un moteur usagé, changer quelques joints, le remettre en place, rouler (quitte à remettre un peu d’huile périodiquement) pour le re-déposer et le reconstruire plus tard.
4 – Lésiner sur la carrosserie et la peinture
Nous venons de le dire au point 3. Vous pouvez refaire à peu près n’importe quel travail mécanique avec un peu de temps et un peu d’argent, mais refaire une carrosserie à la va-vite, c’est mettre un pansement sur une jambe de bois.
La carrosserie est généralement la partie la plus coûteuse de la restauration, et trop de gens tentent de réduire les coûts en rognant sur les bonnes pratiques. On peut toujours recouvrir à la pelle à tarte un bas de caisse pourri avec du mastic et une belle peinture brillante. Mais dans 2 ans, tout sera cloqué et sera à refaire. C’est une fausse économie : la seule façon d’économiser sur la carrosserie et la peinture est de trouver une voiture saine et surtout de s’assurer que les travaux seront faits dans les règles de l’art
5 – Ne pas vérifier les références des professionnels
Que vous confiiez la restauration complète à un professionnel ou juste quelques éléments, il est essentiel de vérifier ses références. Notez le pluriel, car une seule référence ne suffit pas.
Les rassemblements d’anciennes vous permettront surement de croiser d’anciens client de votre futur atelier. Il y a trois choses à leur demander : L’atelier a-t-il effectué un travail de qualité ? Était-ce dans le budget ? Était-ce à l’heure ? La prise d’information est un sujet difficile. Un client déçu dira-t-il « Je me suis fait avoir, j’ai choisi Untel et il n’a pas fait un bon boulot » ?
Si ce n’était pas un travail de qualité, éloignez-vous. Si ce n’était pas dans les délais ou dans le budget, cela peut être acceptable – la qualité coûte du temps et de l’argent, après tout – mais vous devrez planifier en fonction de ces éléments. Et suivre le chantier régulièrement.
Pour la carrosserie et la peinture, vous ne devez pas seulement parler aux derniers clients, mais aussi essayer de voir des voitures qui ont été restaurées il y a 2, 3 ou 5 ans. Ca peut parfois être mal perçu, mais le client est roi et on est sur des budgets conséquents qui méritent de prendre des garanties.
Dans le « monde des Anciennes » on est trop souvent dans l’affect, dans le monde des copains… Devis verbal à la louche (effet Vintage Mecanic), prix dit « d’ami », liste approximative des travaux prévus … on s’accommode de pratiques que l’on accepterai pas pour l’achat d’un canapé. Sans être trop procédurier, il faut trouver le bon compromis. De toute façon, c’est réglementaire …
6 – Acheter des pièces trop tôt
C’est un corollaire de nos conseils moteur. Trop de gens s’approvisionnent en pièces détachées pour des milliers d’euros bien avant d’en avoir besoin.
Ces pièces peuvent être endommagées lors du stockage, égarées, être les mauvaises et ne plus pouvoir être échangées et, encore une fois, elles accaparent une part importante du budget.
Ne vous laissez pas embobiner par un vendeur qui assure que c’est son dernier lot. Vous seriez surpris de constater le nombre de pièces que l’on trouve actuellement sur le marché et qui étaient pourtant réputées « introuvables » il y a 30 ans ! Si vous laissez passer une vente, il y en aura probablement une autre dans 3 mois. Achetez vos pièces en temps et heure mais n’achetez pas de pièces que vous n’êtes pas _absolument_ prêt à utiliser.
7 – Oublier vos objectifs de départ
Sans objectifs, les restaurations échouent. J’espère que votre premier objectif est de vous amuser. Au-delà de cela, vous voudrez peut-être recevoir des prix, faire de belles balades, dire que vous l’avez fait vous-même ou rencontrer des personnes partageant les mêmes idées.
Mais si vous occultez l’aspect émotionnel et êtes trop préoccupé par les plannings, les budgets, les problèmes ou autres distractions, votre restauration risquera un échec majeur. Gardez cet objectif émotionnel à l’avant-plan de votre esprit et ajustez les choses rapidement si vous vous en éloignez.
Notez bien que nous n’avons pas mentionné « faire une plus-value ». Là encore, les émissions de télé où l’on ne comptabilise pas les heures de main d’oeuvre, où tous les outils tombent gratuitement du ciel, où les « prix d’amis » sont généralisés, où les voitures se vendent en 30 secondes … restent des fictions à finalité de divertissement. Pas la vraie vie.
8 – Vouloir finir trop vite
Nous pensons que la plupart des voitures présentées comme « restaurées » sont en réalité à encore 50 à 100 heures de leur finition. Bien sûr, elles sont jolies et se conduisent plutôt bien, mais sont-elles vraiment terminées ?
Une bonne restauration se termine par de nombreux essais de conduite et par l’établissement de listes. Les listes indiqueront les irritants, les choses qui ne vont pas tout à fait bien, les pièces qui ne s’ajustent pas si bien que ça et tous les points qui nécessitent une attention particulière. Ils peuvent même inclure un gros travail, comme retirer la transmission pour modifier quelque chose.
Vous n’avez peut-être plus d’argent, vous en avez marre de travailler sur votre voiture, après tout le temps passé et vous voulez avant tout rouler avec. Mais le contrôle objectif du « reste à faire » et sa planification transformera une restauration correcte en une excellente restauration voire exceptionnelle.
9 – Ne pas admettre ses erreurs
Voilà, le plus important : si vous avez commis des erreurs dans votre restauration, admettez-les et posez vous la question de savoir pourquoi vous les avez commises :
J’essayais de gagner du temps
J’essayais d’économiser de l’argent
Je pensais que c’était OK
Je n’ai pas réfléchi à la prochaine étape
Mon pote pensait que ça avait l’air bien
Le gars du (magasin/piste/meeting) a dit que ça marcherait
Je ne voulais pas attendre la bonne pièce/outil/aide
J’ai vu quelqu’un d’autre le faire
…
Le sujet est vaste. La restauration d’un véhicule ancien est une expérience incroyable, mais à condition d’en mesurer toutes les arcanes et d’avoir du temps, de l’énergie et de l’argent à y consacrer.
BMW R75 / 5 avec transformé en 900cc, pistons de 336 , les freins avant à double disques.
Maître-cylindre.....Brembo....Démultiplication finale, allégée, 36mm Dellorto, échappement mégaphone ouvert et seulement un kick !
L’hiver est finalement là, c’est donc le moment idéal pour acheter une nouvelle base sur laquelle faire une préparation pour l’été !
Un Café Racer est une moto dépouillée avec un look à la fois vintage et sportif. Elle aura généralement une mono place avec une coque arrière de selle et des poignées bracelet.
La Jawa 350 est une moto produite par Jawa Moto en Tchécoslovaquie depuis les années 1930 jusqu'en 1992 et en République tchèque jusqu'à ce jour. Dans les années 1950, avec son moteur de 343 cm3 à refroidissement par air, il pouvait atteindre une vitesse de 132 km / h et était exporté dans plus de 120 pays du monde.
Le Jawa 350 reste populaire grâce à sa domination des pays du bloc communiste d’ Europe de l’Est des années 1960 aux années 1990. Les concurrents de cette époque étaient les allemands MZ (250 cm3) et Simson (250 cm3 Sport & Avo), la Pannonia hongroise (250 cm3), le Junak polonais (350 cm3) et l' IZh soviétique (350 cm3). C'était une période avant la pénétration de l'Europe de l'Est par les fabricants de motos japonais.
Au début des années quatre-vingt-dix a été faite modèle supplémentaire ligne Jawa 350 type 640.
La moto Jawa 350 bicylindre à deux temps est toujours en production, bien que son style et sa conception aient changé au fil des ans. Elle est restée presque mécaniquement inchangée depuis les années 1970, mais très fiable. Il est importé et vendu au Royaume-Uni, où les deux modèles à deux temps de 350 cm 3 portent le nom de "Classic" et de "Sport".
Les modèles 2012 du Royaume-Uni sont équipés d'un allumage électronique, de démarreurs électriques et d'une injection d'huile à pompage automatique. Ils sont également importés et vendus en Irlande et sont distribués dans toute l'Europe.
C'était le premier et le seul (jusqu'en 1991) véhicule étranger disponible à la vente dans l'URSS d'après-guerre.
Le bicylindre à deux temps 350/640 n'a pratiquement pas changé depuis les années 1970 mais il est très fiable, il est toujours vendu avec succès principalement aux pays d' Amérique latine .
Le nouveau Jawa 350 OHC étant conforme aux normes EURO IV en vigueur, il peut être vendu (contrairement au Jawa 350/640 âgé) dans l’ Union européenne .
Jawa 350 OHC est fabriqué depuis 2017, le design tente de rappeler la moto Jawa 350/634 des années 70. Contrairement à toutes les motos Jawa 350 précédentes, qui étaient deux cylindres à deux temps, il s'agit d'un monocylindre à quatre temps. Pour la première fois dans l'histoire de Jawa, ce modèle est également équipé d' une assistance au freinage ABS . Design de Jawa 350 OHC La variante spéciale est inspirée de la moto de course Jawa 350/673 (une spéciale, construite en trois pièces en 1967). Il adopte une conception de café racer... Source : Jan Macak
La Citröen B12 est une automobile fabriquée par Citroën d'octobre 1925 à janvier 1927.
La B12 concurrence la Peugeot 177 et la Renault KZ.
La B12 remplace la Citroën B2, dont un des principaux défauts était l'absence de freins avant.
Deux motorisations de 1,5 litre existaient avec des puissances de 20 ch à 22 ch.
La B12 a été produite en 38 381 exemplaires.
Plusieurs types de carrosseries étaient disponibles : torpédo, conduite intérieure (la plus courante), cabriolet, torpédo commercial et Normande, Boulangère. Source : sical3
Panne de batterie, fuite d’huile, pneus dégonflés, scénarios que les automobilistes veulent à tout prix éviter. Le moteur ne démarre plus ou il émet une sonorité inhabituelle ; les pneus sont dégonflés et avachis ; une mare d’huile ou d’eau s’est déclarée sous la voiture. Ce sont des scénarios que les automobilistes veulent à tout prix éviter.
Chacun le sait: une voiture qui ne roule pas se dégrade. Si l’on n’y prend pas garde, les véhicules pourraient subir des dommages à la suite de leur immobilisation prolongée. Pour se prémunir de ce genre de désagrément et maintenir leur bon état de marche, voici quelques précautions d’usage à suivre.
Du fait d’une immobilisation prolongée, la batterie est le premier organe du véhicule qui peut se trouver détérioré.
Du fait d’une immobilisation prolongée, la batterie est le premier organe du véhicule qui peut se trouver détérioré. C’est particulièrement vrai pour les modèles récents bardés d’électronique: les accumulateurs peuvent se décharger très vite.
Pour éviter de vous retrouver en panne et s’assurer que le moteur s’ébroue au premier coup de clé, vous pouvez soit débrancher la batterie - la borne négative suffit -, soit brancher la batterie à un mini-chargeur (maintien de charge) alimenté sur le secteur.
Dans le cas d’un véhicule moderne, nous conseillons la connexion d’un maintien de charge car le débranchement d’une cosse de batterie va couper l’alimentation du calculateur électronique de la voiture et remettre à zéro l’ordinateur de bord. Les modèles dotés d’un accès main libre avec reconnaissance de la clé électronique pourraient connaître d’autres complications.
S’agissant d’un véhicule 100 % électrique doté de batterie lithium-ion, il faut s’assurer que le niveau des accumulateurs ne descend pas sous les 10 %, ce qui aurait pour conséquence de mettre en défaut les contrôleurs électroniques des cellules et des modules dont la mission est justement de vérifier l’état de la batterie.
L’inverse est également vrai: maintenir la charge en permanence et stocker 100 % d’énergie est à éviter. Cela entraînerait un vieillissement prématuré des cellules. Il est conseillé de veiller à ce que le niveau de charge se situe entre 50 et 75 %. Les véhicules électriques sont également sensibles aux amplitudes de température.
Un mercure trop bas affecte la capacité de la batterie. Dans la mesure du possible, il serait souhaitable que votre véhicule zéro émission puisse trouver refuge dans un parking fermé. Dans le cas de batteries lithium-métal-polymère, qui équipent notamment les Bolloré Bluecar et Citroën e-Mehari, les dispositions à prendre sont différentes. Ces modèles doivent être branchés en permanence pour maintenir une température de l’ordre de 70 degrés. Deux jours sans branchement suffisent à vider la batterie.
La mémoire du pneu... Tout le monde n’a pas un fil à la patte.
Pour les véhicules à moteur thermique, il est préconisé de faire tourner régulièrement le moteur pendant plusieurs minutes pour maintenir le niveau de la batterie. Cette dernière opération est de toute façon impérative pour maintenir le bon état des organes mécaniques. Au moins une fois par semaine et pendant un bon quart d’heure, de manière à ce que le moteur atteigne sa température de fonctionnement et que les fluides circulent et assurent une parfaite lubrification de l’ensemble des pièces.
Les systèmes de dépollution modernes n’apprécient guère de ne fonctionner que quelques minutes à froid. Après avoir pris soin de consulter le manuel de bord, ce sera l’occasion de vérifier le niveau d’huile et d’eau de votre moteur. Pensez aussi à desserrer le frein avant (engager une vitesse) afin d’éviter que les garnitures collent.
Pour les véhicules à moteur thermique, il est préconisé de faire tourner régulièrement le moteur pendant plusieurs minutes pour maintenir le niveau de la batterie.
Si votre véhicule dispose d’une climatisation, n’oubliez pas de la faire fonctionner. Cela va permettre une bonne lubrification du compresseur et de tous les joints, car l’huile est véhiculée par le fluide frigorigène.
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Enfin, il faudra veiller à surgonfler les pneumatiques en ajoutant autour de 0,2 à 0,5 bar.
En raison de l’immobilisation du véhicule pendant plusieurs semaines, ceux-ci vont nécessairement perdre un peu de pression. Si l’immobilisation venait à se prolonger au-delà d’un mois, il est préconisé de gonfler les pneumatiques à 3 ou 4 bars de manière à éviter qu’ils se retrouvent presque à plat. Cela entraînerait une trop grande déformation de la bande de caoutchouc. Or, ce que l’on sait moins, c’est que le pneu possède une mémoire. Il se souvient ainsi d’avoir été malmené.
Un pneu qui a subi un plat ne retrouve jamais sa forme originelle. Dans ce cas, il sera indispensable de procéder à leur remplacement.
Les deux ou trois-roues motorisés ne sont pas exemptés des opérations de maintenance. Attention toutefois, la batterie nécessite un maintien de charge adapté. L’ampérage ne devra pas excéder 5 A. Un tour de clé ou un coup de kick une fois par semaine sera également bienvenu pour préserver les organes de sa machine. Source : lefigaro.fr -Deadmaus Gaming