ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
- ASSOCIATION LOI 1901 -
secretariat.5aclub@gmail.com / club5ablog@gmail.com
Affichage des articles dont le libellé est V.Auto Moto- Musée-Salon-Concentration. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est V.Auto Moto- Musée-Salon-Concentration. Afficher tous les articles
Le salon Rétromobile, c'est l’événement annuel incontournable consacré au monde et à l’histoire de l'automobile de collection. Chaque année, le Salon attire des amateurs, professionnels et curieux du monde entier tous animés par la même passion : les belles anciennes, le bruit ronflant des moteurs, la beauté des courbes et des mécaniques.
Le salon des anciennes et collections
Le salon rétromobile porte de Versailles, entre voitures de collection et chars, chaque allée cache une moto à découvrir.
La Grange à Bécanes » de Bantzenheim est le premier Musée Vivant de la moto ancienne qui permettra aux amoureux de mécaniques d'antan d'admirer des modèles des années 1920 à 1960, tout en goûtant aux impressions qu'apportaient la conduite de ces engins... découverte et visite guidée...
Depuis mars 2013, les six communes de Porte France Rhin Sud (Chalampé, Banztenheim, Ottmarsheim, Hombourg, Petit-Landau et Niffer) ont rejoint l’OTC de Mulhouse et sa région, entre autres pour aider à la promotion du tout nouvel équipement touristique du territoire, « La Grange à Bécanes », qui a ouvert ses portes le 2 avril.
Installé dans une grange réhabilitée de 750 m2 et doté d’une scénographie originale, ce musée vivant dédié à la moto, présente 90 véhicules anciens issus de la « collection Lemoine », dont une collection unique de motos RAVAT et d’autres marques françaises et étrangères. Il permet aux visiteurs de vivre une expérience unique et riche en sensation, en « vivant » l’histoire de la moto.
L’ÉPOPÉE DE LA MOTO est le premier musée québécois dédié à la moto ancienne. Situé en bordure du fleuve Saint-Laurent à Saint-Jean-Port-Joli, un des plus beaux villages du Québec, il est la destination de randonnée estivale par excellence pour tout les amoureux de la moto au Québec.
Propriété de François et Jean Gagnon, il est le fruit d’une passion de longue date puisque les deux frères collectionnent les motos depuis plus de 30 ans avec l’objectif constant de regrouper les modèles qui ont marqué chaque époque. Ils ont ainsi constitué une collection exceptionnelle de 220 motos, cyclomoteurs et scooters, dont une centaine sont exposés.
Il y a quelques années, le Temple de la renommée de la moto du Canada remettait à François et Jean Gagnon le prestigieux prix ¨Bar & Hedy Hodgson¨, en reconnaissance de leur contribution significative à la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine motocycliste canadien. Avec un peu de chance, vous retrouverez la moto que vous rêviez d’avoir ou que vous aviez à 18 ans… celle que vous n’avez jamais oubliée!
Claire Martin nous présente L'Épopée de la Moto, musée de la moto d'époque situé à Saint-Jean-Port-Joli en Chaudière-Appalaches, Québec. Propriété des frères François et Jean Gagnon, le musée s'est taillé toute une réputation depuis son ouverture.
Il est visité tout les été par des centaines de passionnés de la moto qui viennent y admirer la centaine de modèles exposés datant de 1903 à nos jours. On y relate 100 ans d'histoire de la moto au travers de plus de 50 marques.
Lors de l’excellent ‘Salon Auto-Moto Rétro de Dijon‘, j’avais fait le connaissance de Michel Pont, Fondateur et Propriétaire du « Musée de Savigny lès Beaune« .
Un personnage hors du commun -dans le bon sens du terme- et qui ne saurait laisser indifférent?!
Je m’étais promis de retourner le voir dès que possible et visiter attentivement son Musée que l’on disait tout à fait… exceptionnel !
Un mois et demi après, c’est chose faite.
Savigny lès Beaune est un petit village à la sortie nord de Beaune. Toute l’économie de la région tourne, je ne vous surprendrai pas, tourne naturellement autour du vin de Bourgogne.
Le Bourgogne ?
Michel Pont, n’est pas né dans un fût mais presque, fils de vigneron il n’était guère passionné par les études, du coup son père lui dit : «maintenant, tu vas travailler à la vigne»
À 15 ans, il remarqua que les vendanges étaient très imparfaites et laissaient de nombreuses grappes sur les pieds de vigne.
Pas farouche pour deux sous, le gamin Michel, demanda alors à son père, oncle et amis, l’autorisation de passer derrière eux, pour récupérer ce qui allait être gâché.
Il en fit une récolte de 600 bouteilles avec lesquelles, il acheta son premier lopin de vigne. Début d’une success-story comme cela était possible dans l’immédiat après-guerre.
Parallèlement à ses activités de vigneron, Michel Pont avait la passion des motos… et des automobiles de sport, les… Abarth !
Les premières pour se déplacer, les secondes pour courir et s‘aligner dans des Courses de Côte.
Il se décrit lui-même comme un ‘bon’ pilote, sans être exceptionnel, mais il termina tout de même second du Championnat de France de la Montagne de sa catégorie, grâce à sa régularité et à son assiduité.
Qu’en aurait-t-il été, s’il avait consacré 100 % de son temps à la Compétition ?
On ne saura jamais, on ne refait pas l’histoire…
Au fur et à mesure qu’il développait son domaine viticole, Michel commença à recueillir et j’insiste sur le terme, vous verrez un peu plus tard, il a toute son importance, des motos et des Abarth.
Aujourd’hui, il y a près de 200 motos dont environ 100 sont à restaurer mais bien préservées, au fur et à mesure de ses possibilités -il fait tout avec ses propres moyens sans solliciter aucune aide ou subvention- et donne à restaurer les plus belles pièces, notamment une rarissime moto Blériot ou encore des Vincent…
Il possède même les trois «Tigre» deux en version civile et une en version racing endurance…
La Tigre était un prototype très abouti de la fin des années 60, début des années 70, autour d’un Flat Twin de Panhard PL 17…
Plus de 200 km/h réels, une consommation de moineau, légèreté et fiabilité mais hélas jamais industrialisée !
Deux raisons à cela: La clientèle moto ne jurait à l’époque que par la révolution Japonaise, la moto Française était un pan de l’industrie, ayant perdu son pouvoir de séduction auprès des banquiers et industriels Français. Ils oubliaient volontiers que dans les années 50, la France était quasiment leader mondial dans les petites et moyennes cylindrées !
Un seul géant de l’industrie Française vola à son secours !
Marcel Dassault rachetant sa participation Motobécane à Renault en 80. Trop tard, déjà trop tard…
Et puisque nous parlons de Marcel Dassault, continuons donc la visite du ‘Musée de Savigny’, avec pas moins d’une centaine d’avions de chasse !
Nous connaissons tous, un oncle François ou une tante Marie qui, par amour des animaux, pour empêcher qu’ils ne soient euthanasiés, recueille un chat, un chien, deux chats, deux chiens et se retrouve au final avec une maison refuge d’animaux…
Michel Pont, a agi de la sorte avec ces avions qui, sans lui, auraient terminé leur vie tronçonnés par des ferrailleurs !
Un «privé» qui rachète des avions avec son propre argent et les entrepose dans le parc de son château !
Vous imaginez ce que l’ homme a pu endurer comme dénigrement, jalousie ?
Oublions ces vilains traits de la nature humaine (Balzac les a dépeints mieux que quiconque dans la Comédie Humaine que je vous invite à lire, ou relire ô toi ami lecteur.)
Certes, les avions sont entreposés en plein air et non pas dans des hangars chauffés. Notre ami Vigneron consacre tous ses moyens à cette passion.
S’il avait consacré tout son temps, toute cette énergie, tous ses moyens à la vigne et à son activité première, nulle doute qu’aujourd’hui, ce ne sont pas dix-sept hectares qu’il aurait, mais trois, quatre, dix fois plus et probablement les moyens d’abriter cette collection dans de beaux hangars…
Oui, à un détail près, la plupart des avions auraient déjà été tronçonnés depuis des décennies.
Ne boudons pas notre plaisir et saluons le travail accompli, la passion, la préservation du patrimoine.
Dans un pays anglo-saxon, les mécènes afflueraient pour l’aider, qu’ils soient privés ou entreprise. Ici ce n’est hélas pas encore dans les mentalités.
Autre exemple de la passion et des qualités humaines de Michel Pont, il a rassemblé (refrain : toujours avec ses propres deniers) une partie des collections du Musée des engins de Pompier de Jean Claude Picot…
Ceci amène à une réflexion un peu triste :
Le Musée Maeght près de Cannes dans l’Estérel ? Vendu, dispersé aux enchères avec de nombreuses autos parties à l’étranger.
Le Musée des Voitures de Chefs d’État de Montjalin ? Vendu aux enchères avec de nombreuses autos parties à l’étranger.
Le Musée Jean Claude Picot ? Vendu aux Enchères !
La Collection Chapleur (motos) du Musée d’Amneville? En grand danger !
Etc, etc …
Saluons donc la formidable passion d’un Michel Pont, d’un Michel Hommell avec son Musée de Lohéac et qui se battent pour continuer à offrir aux regards des spectateurs, les véhicules de leur jeunesse.
Une visite à Savigny lès Beaune ?
À 3 heures de Paris, une heure et demi de Lyon.
Franchement, l’occasion de passer un bon moment en compagnie du ‘Maître’ des lieux, Michel Pont, charmant jeune homme de… 85 ans, heureux de partager avec ses visiteurs histoires et anecdotes.
Par ailleurs, ce peut être l’occasion de remplir votre cave, le Château-Musée, proposant en effet, d’excellents Bourgognes et ce à des tarifs, on ne peut plus attractifs
Enfin, entre les petites routes viroleuses et tous les bons restaurants (raisonnables entre 15 et 30 €) il faudrait vraiment être ennemi du bonheur, pour reporter une visite et ne pas se laisser tenter… Source : Patrick HORNSTEIN-autonewsinfo.com/Photo : FranckM-Syl Vie
Cadillac - Ford Thunderbird de 1962 - Marmon Roosevelt de 1929 - Buik de 1935 que de belles voitures et cela présenté par un passionné de ce musée ...
Que ce soit en France, en Allemagne ou en Italie, les musées automobiles regorgent de raretés et de pépites pour les passionnés
Que vous soyez fans de Ferrari, Lamborghini, Volvo ou tout simplement un amoureux de l’automobile en général, il y a forcément un musée pour vous. L’Europe regorge en effet de lieux dédiés à la passion de la voiture, qu’il faut au moins avoir visité une fois dans sa vie.
L’automobile en France, ce n’est pas seulement les embouteillages, la pollution et les taxes. C’est avant tout un extraordinaire moyen de liberté pour se déplacer. Mais aussi une culture, un patrimoine, des industries, des chefs d’œuvre à (re)découvrir.
Pour se replonger dans l’histoire automobile de notre pays ou dans l’histoire automobile tout court, plusieurs musées sont dédiés.
Source vidéo : Eric Lambert / autostop
Paris, la capitale de la voiture de collection avec l' édition du salon Rétromobile. Toujours unique en son genre, ce salon propose une photographie assez unique de l'histoire de l'automobile. Visite guidée.
Que vient-on chercher à Rétromobile? Tout et rien. Une pièce détachée pour son ancienne, un livre, de la documentation technique, un modèle réduit, un vêtement pour rouler dans sa décapotable, des produits d'entretien. On vient aussi à Rétromobile pour souscrire une assurance, adhérer au club de sa marque ou de son modèle préféré, faire ses premiers pas de collectionneur en achetant un véhicule auprès d'un marchand ou dans l'une des ventes aux enchères Artcurial.
Dans tous les cas, les visiteurs ont à cœur d'entretenir la nostalgie et de raviver des souvenirs d'enfance. Si ce salon a su traverser les époques et les décennies, c'est qu'il a su rester le même tout en se renouvelant. Autour d'un noyau dur d'animations et d'exposants, Rétromobile repart d'une feuille blanche chaque année. C'est ainsi que, même, les habitués et les dévots de la voiture ancienne ont l'impression de découvrir un nouveau Rétromobile à chaque édition.
Les unes après les autres, les plus grandes collections d’automobiles constituées durant les Trente glorieuses se retrouvent sur le marché après le décès de leur propriétaire. C’est le cas de celle de l’Américain Oscar Davis. Immigré hongrois arrivé aux États-Unis à l’âge de 3 ans en 1929, M. Davis a voué toute sa vie à la passion de l’automobile.
Fortune faite dans les accessoires et les équipements de piscine avec la société Hayward Industries qu’il avait racheté en 1964, Oscar Davis s’était constitué l’une des plus belles collections de voitures d’exception. L’une de celles qui suscitent le respect et l’admiration tant les modèles qu’il a rassemblés représentent le pinacle de l’automobile. Ses voitures, principalement des GT et des voitures de course d’avant et d’après-guerre, font rêver tous les collectionneurs et représentent en quelque sort la collection idéale.
Décédé à l’âge de 95 ans la collection Oscar Davis ne compte que des machines d’exception italiennes, allemandes, anglaises et françaises. C’est ainsi que l’on trouve l’une des berlinettes Talbot Lago T150-C SS carrossées par Figoni & Falaschi en 1937 mais aussi une Bugatti 57 S Aravis. Une des BMW 328 roadster Bugelfalte qui a participé à la course des Mille Miglia en 1940. Autres trésors de la collection: une berlinette Alfa Romeo 6C 2300, quatre Lancia B24 Spider, une Maserati 450 S de compétition, une Maserati A6G/54 2000 Spyder et un bel échantillon de Ferrari.
Sa collection de modèles de Maranello comprend notamment une 166 MM, une 375 MM Spider, le cabriolet spécial Pininfarina (1737 GT) réalisé à la demande de l’avocat Paul Villard sur un châssis court 250 GT et carrosserie inspirée de la 400 Superamerica, la 250 GT Passo châssis 1757 GT et une 250 GT Spider California.