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samedi 14 juin 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - En voiture, pourquoi il faut boucler les ceintures de sécurité à l’arrière, même sans passager à bord...

 

Attacher les ceintures sur la banquette arrière même en l’absence de passager, est un réflexe simple qui renforce la sécurité à bord et permet d’éviter «l’effet éléphant». 
Lorsque vous montez en voiture, pensez-vous à attacher les ceintures de la banquette arrière même s’il n’y a pas de passager ? 
Si cette habitude peut paraître étrange au premier abord, c’est pourtant une recommandation officielle, que l’on trouve nichée dans une petite note de la revue numérique publiée par la Direction Générale de la Circulation (DGT) espagnole. Toutes les banquettes arrière ne sont pas fixées de manière définitive. 
Sur certains modèles, particulièrement les véhicules anciens, elles peuvent légèrement bouger, glisser ou même se déformer lors de manœuvres brusques ou d’impacts. 
Les ceintures attachées contribuent à rigidifier l’ensemble de la banquette et empêchent ces mouvements intempestifs qui pourraient compromettre la sécurité des occupants avant. Elles agissent comme un renfort supplémentaire, maintenant la structure en place. Une recommandation établie à cause des bagages dans le coffre Concrètement, la recommandation dont on parle s’applique surtout lorsque l’automobiliste transporte des bagages dans le coffre, ou bien sur la banquette arrière (de manière plus évidente). 
La DGT, établit donc six indispensables pour transporter des bagages en toute sécurité. Premièrement chaque chose à sa place : le principe est que tous les bagages doivent se trouver à l’intérieur du coffre à bagages. Il faut également placer les bagages les plus lourds dans la partie inférieure du coffre, ce qui permettra au véhicule de maintenir son centre de gravité, améliorant ainsi sa stabilité. 
 Remarquez, qu’il est «nécessaire d’éviter que les bagages ne se déplacent pendant le voyage. Pour ce faire, une fois placé, il peut être entouré d’un filet», indique la DGT. Et enfin, la recommandation la plus surprenante : «même s’il n’y a pas de passagers à l’arrière du véhicule, ces ceintures de sécurité peuvent être attachées pour empêcher la charge du coffre de pénétrer dans le véhicule en cas de collision». L’effet éléphant C’est là où intervient le fameux effet éléphant. 
Ce concept est fait pour illustrer la force dévastatrice d’un objet ou d’un corps non attaché lors d’un choc. À 60 km/h, un objet ou un passager de 75 kg non attaché peut frapper le siège avant avec une force équivalente à celle d’un éléphant de 4,2 tonnes. Ce principe s’applique donc également aux bagages lourds du coffre : s’ils traversent la banquette, ils peuvent causer de graves blessures. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 25 mai 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - Ce panneau surprend les automobilistes à tous les coups : comment réagir si vous le voyez...

 

Ce mystérieux panneau P-35, un triangle à bord rouge et flèches croisées, a de quoi intriguer de nombreux automobilistes qui l’aperçoivent. 
La signalisation routière est particulièrement riche et diversifiée. Un peu trop ? 
Parfois la signification de certains panneaux ne saute pas aux yeux. En France, on recense près de 600 modèles différents dans le Code de la route.... 
Il est déjà bien compliqué de tous les retenir. Alors, pour les vacances, quand on se rend dans les pays étrangers, il faut parfois improviser, car ils en ont tout autant. En témoigne, le catalogue officiel de la DGT (Dirección General de Tráfico) espagnole, qui compte, lui, plus de 500 panneaux différents. 
Et les conducteurs français qui sont nombreux chaque année à conduire sur les routes de nos voisins de l’autre côté des Pyrénées, devraient apprendre à les connaître mieux. 
 C’est donc en Espagne que l’on rencontre ce fameux panneau P-35, un triangle à bord rouge sur fond blanc, affichant deux voitures noires en parallèle avec deux flèches croisées. 
Ce panneau n’existe pas en France et peut donc surprendre les automobilistes. Il a été mis en place pour répondre à un besoin précis : alerter les conducteurs sur des zones où les trajectoires des véhicules s’entrecroisent, typiquement à l’approche d’une bifurcation combinant une voie d’accélération et une voie de décélération. 
Ces zones, appelées « zones de tressage », sont particulièrement accidentogènes, car elles impliquent de nombreux changements de voie simultanés, augmentant le risque de collisions. 
Comment réagir face à ce panneau ? 
Face à ce panneau, il est donc recommandé de ralentir, d’observer attentivement les mouvements des autres véhicules, de céder le passage aux usagers circulant sur la voie principale, d’effectuer les changements de file de manière progressive et de toujours maintenir une distance de sécurité suffisante. Utilisez systématiquement le clignotant pour signaler tout changement de voie et si possible, changez de voie à l’avance. 
Selon le média espagnol Motor.es, la DGT a reçu de nombreuses demandes de renseignements sur ce panneau. Cette confusion générale parmi les conducteurs a plusieurs raisons. D’abord, le design du panneau, avec deux voitures et des flèches croisées, peut rappeler d’autres panneaux tels que le celui du franchissement de voie, qui avertit d’un croisement de voies sur les autoroutes. Un autre facteur contribuant à la confusion est que les voies tressées ne sont pas particulièrement courantes sur toutes les autoroutes du pays.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

lundi 21 avril 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - Ce panneau entre officiellement dans le code de la route, ne pas le respecter peut coûter 135 euros d’amende...

 

Depuis le 9 avril, ce nouveau panneau - qui était testé depuis 3 ans - est désormais officiellement entré en vigueur. Le Figaro résume ce qu’il faut savoir. 
Depuis le 9 avril 2025, un nouveau panneau de signalisation routière vient de faire officiellement son entrée dans le code de la route. 
Il s’agit de «la création d’une nouvelle signalisation verticale d’information relative au respect du corridor de sécurité». Ce panneau - à la définition un peu barbare -, signifie simplement qu’à «la vue d’un véhicule immobilisé ou circulant à faible allure sur bande d’arrêt d’urgence» faisant l’usage «de ses feux de détresse ou de ses feux spéciaux», il faut ralentir, s’éloigner, et changer de voie si possible. 
Gare à l’amende Selon l’arrêté relatif à la modification de la signalisation routière, cette évolution vise à «améliorer la sécurité des usagers de la route et la sécurité des agents de la route», et à «adapter la signalisation à certaines contraintes des gestionnaires de voirie». 
Une amélioration de la sécurité qui n’intervient pas du jour au lendemain, le dispositif est testé depuis trois ans en expérimentation sur les autoroutes Vinci et plusieurs axes très fréquentés. 
Et si vous ne respectez pas ce panneau, attention à l’amende, une contravention de quatrième classe est prévue, soit 135 euros. Dans les faits, même avant l’installation de ces panneaux, le corridor de sécurité, était déjà inscrit dans le Code de la route depuis 2018 (article R.412-11-1). 
Texte qui imposait déjà aux conducteurs de ralentir, de s’écarter ou de changer de voie «lorsqu’ils croisent un véhicule d’intervention ou un véhicule en détresse sur l’accotement ou la bande d’arrêt d’urgence». 
D’après le baromètre 2024 de la conduite responsable, publié par Vinci Autoroutes, l’installation de ces panneaux a entraîné une meilleure connaissance de la règle : la part de conducteurs ignorants le corridor de sécurité est passée de 27% en 2020 à 19% en 2024. 
Même si, selon la même étude, 67 % des conducteurs n’appliquent pas systématiquement cette règle, «et chaque semaine, un véhicule d’intervention est percuté sur le réseau Vinci Autoroutes», indique le concessionnaire autoroutier. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 16 avril 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - Mais au fait, c’est quoi la différence entre un rond-point et un carrefour giratoire ?

 

Ronds-points et carrefours giratoires ne sont pas des synonymes. Chacun a des règles bien distinctes qu’il faut connaître pour éviter l’accident. Gare aux formules du langage courant. Deux termes que l’on peut penser identiques désignent en réalité deux choses différentes dans le Code de la route : les ronds-points et les giratoires. En l’espèce, sur le territoire français, la majorité «des intersections circulaires» (voilà un terme qui réconcilie tout le monde) sont des giratoires. 
Pour autant, la plupart des automobilistes diront s’être engagés sur un rond-point. Aucun «gilet jaune» n’a non plus déclaré occuper un «carrefour giratoire». Alors quelle est la différence ? Le carrefour giratoire se distingue par sa signalisation spécifique : un panneau triangulaire avec trois flèches en cercle, accompagné d’un panneau «cédez le passage». Au sol, des lignes discontinues marquent l’entrée de l’anneau. Et la règle fondamentale demeure que la priorité va aux véhicules déjà engagés dans l’anneau. Le rond-point, quant à lui, ne possède aucun panneau spécifique et n’est pas caractérisé par un marquage au sol particulier. Il fonctionne selon la règle classique de priorité à droite, ce qui signifie que les véhicules entrants sont prioritaires sur ceux qui circulent dans l’anneau. 
C’est le cas sur le célèbre rond-point de l’Étoile, autour de l’Arc de Triomphe à Paris. De la nécessité de connaître cette différence Cette différence de priorité change très concrètement le comportement des usagers. Dans un giratoire, le trafic reste fluide car les véhicules dans l’anneau ne s’arrêtent pas pour laisser entrer de nouveaux véhicules. En revanche, dans un rond-point, les véhicules circulant dans l’anneau doivent céder le passage aux entrants, ce qui peut créer des engorgements et ralentir considérablement la circulation. 
 Connaître ces différences est crucial tant la confusion entre ces deux types d’intersections peut entraîner des comportements dangereux. Et appliquer la priorité à droite dans un giratoire constitue une faute grave, tout comme ne pas céder le passage dans un rond-point. Pour éviter les accidents, il est essentiel de repérer systématiquement la signalisation à l’approche de ces intersections circulaires. Il convient aussi d’adapter sa vitesse pour pouvoir réagir en fonction des règles applicables et de signaler clairement ses intentions aux autres automobilistes. Trop de fois les clignotants sont oubliés dans ces intersections circulaires. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 30 mars 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - La fin du permis de conduire rose est inéluctable : pourquoi et comment en changer dès maintenant...

 

Vous possédez encore le bon vieux permis de conduire au format cartonné rose ? 
Que cela vous plaise ou non, il est temps d'en changer. 
Nous vous expliquons comment procéder. Il n'est plus délivré aux nouveaux conducteurs depuis 2013, mais il loge probablement encore dans très nombreux portefeuilles. 
Il s'agit évidemment du permis de conduire rose, cette grande feuille cartonnée plastifiée et pliée en trois. 
Que le vôtre soit en bon état ou en fin de vie, une date limite pour l'échanger contre le format plus moderne façon carte de crédit a été annoncée par le gouvernement démissionnaire : le 19 janvier 2033. Plutôt que d'attendre cette date butoir où se presseront les retardataires, ou encore de risquer d'être en infraction en l'oubliant, n'hésitez pas à faire l'échange dès à présent. 
La démarche s'effectue en ligne et gratuitement. En plus de gagner de la place dans votre portefeuille, le format moderne est plus robuste, mieux sécurisé et reconnu dans toute l'Union européenne. 
Rappelons en passant que depuis quelques mois, il est possible d'importer son permis dans l'app France Identité. Comment changer son permis de conduire rose ? Direction donc le site de l'ANTS (Agence nationale des titres sécurisés). 
Après vous être connecté avec vos identifiants ou FranceConnect, cliquez sur Permis de conduire. 
Cochez Je demande la fabrication d'un titre de permis de conduire, puis cliquez sur le bouton Continuer. Suivez les étapes en veillant à sélectionner Remplacement d'un permis détérioré ou d'un permis pliant 3 volets dans la rubrique Quel est le motif de renouvellement ? 
Il faudra ensuite fournir ce qui suit au format numérique : Un justificatif d'identité (carte nationale d'identité valide ou périmée depuis moins de cinq ans, passeport biométrique valide ou périmé depuis moins de cinq ans…) 
Un justificatif de domicile (facture datant de moins de six mois d'eau, électricité, gaz ou téléphone fixe ou mobile, avis d'imposition, quittance de loyer…) 
Une photo-signature numérique ou son code (photographie qui comprend aussi une représentation numérique de votre signature, à réaliser dans un Photomaton agréé par l’ANTS ou auprès d’un photographe professionnel lui aussi agréé par l’ANTS). 
Il est possible d'envoyer une photo d'identité classique au format papier durant la démarche Le permis rose cartonné à remplacer (il ne sera pas obligatoire de le restituer quand vous aurez reçu votre nouveau permis) Si nécessaire, un formulaire Cerfa d'avis médical lorsque votre titre de conduite l’exige Suivez toute l'actualité des Numériques sur Google Actualités et sur la chaîne WhatsApp des Numériques 
Source : Actu.fr

dimanche 19 janvier 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - AUGMENTATION DU COUT DE LA CARTE GRISE !

 

En 2025, le coût de la carte grise connaît une hausse dans plusieurs régions de France métropolitaine, avec un tarif pouvant atteindre 60 euros par cheval fiscal en Normandie et en Centre-Val de Loire. Trois autres régions seront concernées par l'augmentation de la taxe régionale à compter du 1er février. Qu'est-ce qui va changer pour les cartes grises en 2025 ? Quels sont les changements ?
Jusqu'à présent, vous recevez vos certificats d'immatriculation en recommandé contre signature, une procédure souvent contraignante. Désormais, les cartes grises seront envoyées en « lettre suivie » comme c'est déjà le cas pour le permis de conduire. Comme nous vous l’avons annoncé dans notre article du 5 Septembre 2024, le prix de la carte grise en Occitanie va augmenter au 1er Octobre. 
Il passera de 47 € à 54,50 € ce qui représente une augmentation de 7,50 € (16 %) ! La carte en augmentation pour la région Occitanie Pour faire face à une pression croissante sur les budgets publics, la région a décidé de procéder une nouvelle fois à l’augmentation du prix du cheval fiscal. En effet, en Septembre 2023, son montant unitaire avait déjà augmenté de 3 €, passant de 44 € à 47 €. 
A cela s’ajoutait la fin de l’exonération des véhicules dit-propres en Mars 2023. 
 En un an, le prix de la carte grise en Occitanie aura augmenté de 10,50 €. Avec 23,9 %, il s’agit d’une des plus fortes augmentations en une année. 
Ce n’est que la région Normandie qui avait fait plus fort : 31,4 % entre 2023 et 2024 pour passer de 35 € à 46 €. 
Avec 54,50 €, l’Occitanie entre dans le club des régions les plus chères de France.

samedi 18 janvier 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - Sécurité routière : les véhicules devront tous être équipés d’un gyrophareen Espagne en 2026...

 

Une petite révolution de l’autre côté des Pyrénées. Les autorités espagnoles ont annoncé début janvier la présence obligatoire d’un nouvel équipement dans les voitures dès le 1er janvier 2026 pour améliorer la sécurité routière. 
Sur son site, la direction générale du trafic (DGT) espagnole explique en détail les capacités du V-16 connecté, un petit gyrophare qui émet une lumière jaune ou orange et qui devra donc être à bord de tous les véhicules locaux ou étrangers circulant sur le territoire. 40 à 50 euros Selon la DGT, ce nouvel équipement possède de nombreux avantages. Son signal lumineux est visible à un kilomètre, même en cas de brouillard, est géolocalisable et transmet la position de la voiture à la DGT afin d’alerter au plus vite les services de secours. 
Son coût est estimé entre 40 et 50 euros. 
Le gyrophare a été jugé plus visible pour les automobiles et moins dangereux que le triangle de présignalisation par les autorités espagnoles. Le V-16 est un petit boîtier lumineux, capable d’émettre une lumière de haute intensité à 360° de manière intermittente et continue pendant au moins 30 minutes. 
En cas de panne ou d’accident, il devra être installé sur le toit ou sur une porte du véhicule par un des occupants. Le reste du temps, le V-16 doit être présent dans la boîte à gants de la voiture. Une fois le gyrophare homologué, dès le passage de l’année prochaine, les conducteurs devront l’avoir sur eux sous peine de recevoir une sanction, avec des amendes allant de 80 à 200 euros. En France, le triangle de signalisation est toujours obligatoire en cas de panne ou d’accident. Son absence peut être passible d’une amende de 750 euros, sauf si le conducteur estime que sa vie peut être mise en danger. 
 Source : lefigaro.fr - Maxime Dubernet de Boscq -Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 12 janvier 2025

CLUB5A - REGLEMENTATION - Les motards pourront circuler en interfiles partout en France...

 

Cette pratique est généralisée à tout le territoire français dès ce samedi. Mais elle est encadrée par diverses mesures qui, en cas de non-respect, donneront lieu à verbalisation. Les motards le voulaient, la sécurité routière l’a fait. Après deux campagnes d’expérimentation, la circulation en interfiles (CIF) des motos à 2 et 3 roues est enfin généralisée. 
Une annonce tombée vendredi 10 janvier qui réjouit leurs usagers. «C’est une mesure de bon sens, car cela fait des années que l’on pratique l’interfile. 
Cela fait au moins 70 ans, depuis qu’il y a des bouchons sur les routes!», indique Jean-Marc Belotti, coordinateur de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) de Paris et sa petite couronne. 
 Cette mesure qui entre en vigueur dès samedi a reçu le feu vert du gouvernement après neuf années d’expérimentation démarrée en 2016 et au cours desquelles il s’agissait de s’assurer que cette pratique n’entraînait pas plus d’accidents. 
En charge de cette évaluation, le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a donc rendu son verdict. 
Chiffres à l’appui, cet établissement public qui relève du ministère de la Transition écologique a donc constaté qu’avec l’interfile l’accidentalité restait stable. 
À condition toutefois de respecter certaines règles. Des amendes prévues en cas de non-respect des règles Tout d’abord, l’interfile pourra, selon les nouveaux textes, être pratiquée «sur les autoroutes et les routes à deux chaussées séparées par un terre-plein central et dotées d’au moins deux voies chacune, et sur lesquelles la vitesse maximale autorisée se situe entre 70 km/h et 130 km/h». 
Le même texte précise que l’interfile est autorisée sur les voies où la vitesse a été abaissée localement par décision de l’autorité de police locale de circulation comme c’est le cas sur le périphérique parisien où la vitesse est désormais de 50km/h. Également, il est précisé que la circulation en interfile se pratique à une vitesse de 50 km/h au maximum. 
Mais si l’une des files est à l’arrêt, cette limite est abaissée à 30 km/h maximum. 
Par ailleurs, «lorsque le trafic se fluidifie et que les véhicules circulent à plus de 50 km/h sur au moins une des deux files, les deux ou trois-roues motorisés doivent reprendre leur place dans les voies», précise-t-on à la sécurité routière. 
 Le non-respect d’au moins une des conditions est puni d’une contravention de 4e classe ( 135 euros pouvant être minorée ou majorée) et du retrait de 3 points du permis de conduire. Cette infraction pourra être constatée par vidéoverbalisation. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 3 décembre 2023

CLUB5A - REGLEMENTATION - Permis de conduire : un nouveau site pour connaître son solde de points

 

DROIT DE L’USAGER - Un nouveau téléservice permet aux usagers de la route la consultation des informations relatives au solde de leurs points et la validité de leur permis de conduire. Un nouveau site remplace le téléservice «Télépoints» supprimé depuis mi-novembre. Pour tout comprendre, il suffit de suivre le lien suivant: https://mespoints.permisdeconduire.gouv.fr/ 
La consultation de ce nouveau site est désormais accessible: - Via votre identité numérique à l’aide de FranceConnect - Via votre numéro de dossier du permis de conduire (ou NEPH). Il permet de consulter son solde de points mais aussi son relevé d’information restreint (RIR). Ce RIR atteste de la validité et de l’étendue des droits de conduire et précise les catégories de véhicule que vous pouvez conduire. 
 Comme le reconnaît l’administration, le service n’est pas nécessairement à jour. Il y a un décalage entre le temps où l’infraction au code de la route est commise et son enregistrement sur le site. De même, il existe un décalage entre le temps où les points sont réattribués et le moment où le site «Mes points permis» enregistre l’ajout des points. 
 On regrettera le temps d’actualisation des informations du site mais aussi l’impossibilité d’avoir accès à son relevé d’information intégral (RII) permettant de lister l’ensemble des points perdus et réattribués dans le temps. 
 Source : Rémy Josseaume-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 1 novembre 2023

CLUB5A - Réglementation - L’Obligation de Pneus Neige en France- La loi Montagne...

 

Pour améliorer la circulation sur les routes dans les régions montagneuses et la sécurité des usagers, il est obligatoire d'équiper son véhicule de pneus hiver ou de détenir des chaînes ou chaussettes à neige, du 1er novembre 2023 au 31 mars 2024, dans certaines zones montagneuses. Afin de renforcer la sécurité routière et d’assurer la fluidité du trafic en période hivernale, le gouvernement vote en 2021 la loi Montagne II. 
Elle rend obligatoire l’utilisation de pneus neige ou le transport de dispositifs antidérapants amovibles 
— chaînes ou chaussettes à neige 
— dans les régions montagneuses. 
La liste des communes concernées par cette obligation est définie par les préfets. 
La loi Montagne II décrète l’obligation d’utiliser des équipements hivernaux pour circuler dans les régions montagneuses en hiver. 
Les véhicules concernés devront être équipés de quatre pneus hiver ou détenir des chaînes ou chaussettes à neige sur au moins deux roues motrices. 
Cette obligation est effective pendant la période hivernale, du 1er novembre au 31 mars. 
 Tous les véhicules à 4 roues sont concernés : 
 Les véhicules légers et utilitaires 
Les camping-cars et les poids lourds 
Les bus et autocars 
Le décret paru dans le journal officiel le 18 octobre 2020 et entré en vigueur le 1er novembre 2021 cherche à limiter les embouteillages et à préserver la sécurité des usagers sur les routes enneigées ou verglacées. 
La liste des communes concernées est établie par les préfets de 48 départements présents dans les 6 zones montagneuses de France (Alpes, Corse, Vosges, Jura, Massif central, Pyrénées) où les conditions de conduite sont difficiles en hiver. 
Chaque année, les préfets de ces 48 départements doivent organiser une concertation et rendre leur décision avant la saison d'hiver. 
 Pour l'hiver 2022-2023
— du 1er novembre 2022 au 31 mars 2023 — 34 départements et 4174 communes étaient concernés par l’obligation d’équiper les véhicules en pneus neige ou de détenir un équipement antidérapant. 
14 départements ont décidés de ne pas appliquer l’obligation. Pour l’hiver 2023-2024 — du 1er novembre 2023 au 31 mars 2024 — la liste n’a pas encore été communiquée. 
Vous pourrez télécharger la liste de toutes les communes concernées ici dès que l’information officielle aura été publiée. Afin de rappeler l’obligation, deux nouveaux panneaux ont été ajoutés au Code de la route : les panneaux B58 et B59. Ils indiquent les entrées et sorties de zones concernées par cette obligation. 
 → Le panneau B58 Le B58 indique le début de zone d’obligation d’équipements en période hivernale. De forme rectangulaire à fond blanc et doté d’une bordure rouge, le panneau B58 est un panneau de prescription zonale. Il est complété par un panonceau M11b1 signalant les dates de la période hivernale. Lorsqu’une zone d’obligation s’étend sur l’ensemble d’une commune, il est aussi accompagné d’un panonceau M9z indiquant la mention « sur l’ensemble de la commune ». 
Ce panneau indique la fin de la zone d’obligation. 
Contrairement au panneau B58, il est bordé par une bande noire et non rouge. Il sera facultatif dans deux situations : Si le périmètre d’obligation s’applique de façon continue sur deux départements. 
S’il s’étend sur l’ensemble du département. En octobre 2022, le ministère des Transports annonce qu’aucune sanction ne sera appliquée jusqu’à fin 2022. Au-delà de ce délai, tout conducteur en infraction sera sanctionné d’une contravention de 4e classe, soit une amende de 135 euros. 
Il risque également une immobilisation du véhicule. 
 Cette obligation s’étend jusqu’au 31 mars, quel que soit le temps. 
Si le soleil brille, et que vous n’êtes pas équipés de pneus hiver, vous devez au minima détenir des chaînes ou des chaussettes de neige dans le véhicule. 
Source : codedelaroute.io/

samedi 20 mai 2023

CLUB5A - REGLEMENTATION - Les automobilistes vont pouvoir conduire avec ...

 

Avant la fin de l'année, les usagers pourront présenter leur précieux sésame téléchargé sur leur téléphone portable lors d'un contrôle routier ou d'une location de véhicule. En format carte de crédit après avoir longtemps été un parchemin rose plié dans leur portefeuille, les automobilistes vont pouvoir enfin découvrir le permis de conduire dématérialisé. Téléchargeable en quelques clics après s'être authentifié sur le site sécurisé FranceConnect, le précieux sésame pourra être présenté en sortant son téléphone portable aux contrôles routiers, à un employeur lors d'une recherche d'emploi ou encore lors d'une location d'un véhicule.
 Nouvelle pièce qui étoffe la panoplie de l'identité numérique, où se trouve déjà la carte d'identité accessible sur le site France identité lancée sur Android puis en octobre dernier sur iOS, ce permis sera expérimenté dans les départements du Rhône, des Hauts-de-Seine et de l'Eure-et-Loir.
 «Il y a deux avantages pour nos concitoyens : la lutte contre la perte ou le vol mais aussi la tranquillité d'esprit puisque les usagers n'auront qu'à sortir avec leur mobile, sans penser à prendre leur papier ou leur sac», insiste-t-on au ministère de l'Intérieur qui promeut la mise en place de ce «service de justification d'identité régalien, gratuit, et sécurisé qui préfigure les usages de demain et la dématérialisation progressive de l'identité dans les démarches de service public».
 Dévoilé très officiellement  par Gérald Darmanin, ce permis du XXIe siècle est présenté comme une «première brique vers un portefeuille d'identité numérique européen interopérable» appelé à être généralisé «avant la fin de l'année». 
Changer la vie des Français.
 Comme il l'avait fait en mettant en place l'impôt à la source lorsqu'il était ministre du budget, Gérald Darmanin est persuadé que ces mesures vont «changer la vie des Français». Ainsi, dans les trois départements test, l'hôte de Beauvau a annoncé une expérimentation menée en lien avec les services de MaProcuration pour déposer une procuration totalement dématérialisée, sans se déplacer en commissariat ou en gendarmerie. 
«Cela va permettre des économies importantes puisque chaque procuration coûte dix euros et nécessite dix minutes de travail par agent», a estimé Gérald Darmanin en présentant le plan de transformation numérique de son ministère. Parmi les chantiers phares, figure aussi une autre petite révolution pour les usagers : la visioplainte qui permettra de ne plus se rendre au commissariat. Là encore, le principe est simple. Depuis son smartphone, sa tablette ou encore son ordinateur, la victime se connecte à FranceConnect pour accéder au téléservice. 
Après avoir laissé son numéro de téléphone mobile pour être rappelé en cas de coupure intempestive du réseau, elle coche un créneau de 15 minutes de son choix comme elle le ferait sur Doctolib avant de se connecter à l'heure du rendez-vous. Après avoir patienté quelques secondes dans une salle d'attente virtuelle, un brigadier apparaît à l'écran sur lequel est partagé le procès-verbal rempli en temps réel. Des documents ou des photos susceptibles d'alimenter le dossier sont aussi partagés par «chat». «L'entretien durera le temps nécessaire, sans limitation», explique un des pilotes du projet. Une première expérimentation a débuté dans le département des Yvelines, avec pour objectif de traiter tout type de contentieux et être rendu accessible à tous les citoyens. 
«L'idée est d'offrir de précieux gains de temps pour les usagers mais aussi pour les policiers et les gendarmes appelés à sortir des bureaux pour être redéployés sur le terrain», souffle-t-on place Beauvau, engagée dans la promesse qu'a faite Emmanuel Macron, de doubler les patrouilles sur le terrain. Remettre du «bleu» dans la rue Autant dire que l'exécutif va accélérer sur ce front de la modernisation numérique, tant ce secteur stratégique devrait libérer les énergies et remettre du «bleu» dans la rue. 
«La nécessité d'investir massivement dans le domaine technologique s'est traduite dans la loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur et des Outre-mer (LOPMI)», a martelé mercredi Gérald Darmanin qui a rappelé qu'un investissement sans précédent de sept milliards d'euros a été dédié au numérique. Objectif ? 
Créer 450 postes sur cinq ans et offrir des «capacités inédites», en particulier dans le cadre du grand plan «radio du futur» qui permettra à 300 000 policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers ou encore médecins du SAMU d'échanger sur un réseau unique à haut débit. 
 Source : Christophe Cornevin.lefigaro.fr -Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info....