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samedi 11 octobre 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - Course Automobile à Brooklands en 1928 !!

Course automobile à Brooklands.
Les pilotes de voitures de course prennent le départ au début d’une compétition automobile en 1928.
Le circuit de Brooklands est un circuit automobile de 4,43 km de développement situé près de Weybridge, dans le comté de Surrey, au Royaume-Uni. 
Il a ouvert en 1907 et est le premier lieu consacré au sport automobile construit spécialement à cet effet. Il fut l'un des premiers aérodromes de Grande-Bretagne. 
Le circuit a accueilli sa dernière course en 1939 et abrite aujourd'hui le Musée Brooklands consacré à l'aviation et à l'automobile. 
Le circuit demeure un lieu de rencontres pour voitures et motos anciennes et autres événements liés aux transports.  
Source : British Pathé

lundi 22 septembre 2025

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - COURSE AUTOMOBILE DU DÉBUT DU SIÈCLE ....

Encore un petit moment d'histoire automobile intéressant montrant une course automobile du début de ce siècle tout y est ......  
En février 1884, Édouard Delamare-Deboutteville (1856-1901) construisait en effet le premier moteur à explosion. Quelques années auparavant, les recherches sur la traction à vapeur – menées par Amédée Bollée (1844-1917), Léon Serpollet (1858-1917) et la Société de constructions mécaniques de Dion-Bouton et Trépardoux – avaient connu de nombreuses applications : le monde industrialisé était mûr pour l’automobile.
 Des bricoleurs de génie – comme le marquis Albert de Dion (1856-1946), Émile Levassor (1844-1897) ou Serpollet – aux industriels comme André Citroën (1878-1935) ou Louis Renault (1877-1944), des trompe-la-mort qui, dès 1899, dépassaient les 100 kilomètres/heure aux artistes comme Ettore Bugatti (1881-1947), installé en Alsace, les débuts de l’aventure automobile écrivent une saga bien française… 
 Cependant, ces nouveaux engins faisaient encore peur ; de fortes résistances psychologiques les discréditaient. Ils suscitaient l’incrédulité quant à leur viabilité et à leur endurance. À l’époque, l’automobile est surtout un sport, non un moyen de locomotion, et la compétition devient l’un de ses modes naturels d’expression, synonyme de modernité. 
Constructeurs désireux de prouver la qualité de leurs modèles et de mettre à l’épreuve leurs innovations techniques, sportsmen adorant relever des challenges, tous participèrent avec enthousiasme à ces courses qui n’étaient pas dénuées de danger puisqu’il y eut des victimes, tant parmi les concurrents que dans les rangs des spectateurs. Néanmoins, elles préfiguraient les grands rallyes automobiles du siècle suivant.
Source : Wilfrid Jacquemoud / histoire-image.org

dimanche 21 septembre 2025

CLUB5A- REPORTAGE AUTO - L'HISTOIRE D'AMEDEE GORDINI !

Il n'est pas question ici de détailler le palmarès, ni de décrire les aspects techniques des voitures d'Amédée Gordini. Nous nous efforcerons simplement de raconter comment cet homme ingénieux est parvenu à imposer son nom dans le milieu de la compétition automobile hexagonale, comment il a représenté le bleu français au coeur des années 50, avant de s'abandonner à la toute puissante Régie Nationale. 
Ce qui nous vaut aujourd'hui cette rétrospective, c'est l'initiative de Renault en 2010 de faire revivre ce nom mythique en apposant des bandes blanches sur des Clio et des Twingo bleues.
  Avant de devenir le complice sportif de Renault, Amédé Gordini eut l’intention en solitaire avec les noms les plus prestigieux. Par sa ténacité et son ingéniosité, « le sorcier » est presque parvenu à faire trembler les légendes pendant les 30 glorieuses. Amédé Gordini, est né au tournant du XX ème siècle, le 23 Juin 1899 à Bazzano, près de Bologne en Italie. La mécanique fascine le petit italien. 
La mécanique, mais aussi la France, où il imagine pouvoir réaliser son rêve, à savoir travailler sur les automobiles. La période SIMCA ! Amédé Gordini immigre alors en France et trouve un emploi au garage Cataneo, à Saint Cloud. Au milieu des années trente, il entreprend d’ensorceler des mécaniques Fiat qui vont bientôt porter le label S.I.M.C.A. De fil en aiguille, de réglages en transformations, il métamorphose les moteurs qui passent entre ses mains. Il parvient même à déguiser les modestes Simca Cinq et Huit en véritables machines de course en vue des 24 Heures du Mans. Après la seconde guerre mondiale, tout semble permis. Amédé Gordini aiguise ses ambitions et envisage de construire ses propres modèles. 
Dans le sillage de la reconstruction de l'industrie de l'automobile française, Amédé Gordini décide d'élaborer des monoplaces de compétition, toujours en utilisant des composants d'origine Simca. Sa première « vraie » création voit le jour en 1946, dans un atelier du boulevard Victor, près de la porte de Versailles, à Paris. En 1947, la cylindrée passe à 1 220 cm3, et l'année suivante, à 1 430 cm3. Mais la parenté avec la Simca Huit reste toujours lisible au delà des formes joliment fuselées de la machine. 1950, première année du Championnat du monde des conducteurs... 
Amédé Gordini estime qu'il peut se lancer dans la grande aventure et qu'il dispose d'un bloc capable d'accéder à la Formule 1. La réglementation limite la cylindrée à 4500 cm3 sans compresseur et 1 500 cm3 avec compresseur. Gordini décide de monter sur le bloc 1 430 un compresseur Wade à simple étage tournant à 10 000 tr/min, soit une fois et demie plus vite que le moteur. On reconnaît toujours l'embasse du bloc Simca à trois paliers qui s'avère naturellement fragile lorsqu'elle se trouve sollicitée, par la suralimentation. Les soupapes, en particulier sont dépassées par les évènements... 
 Le châssis a lui aussi une apparence plutôt grêle, avec son cadre à fins longerons et sa suspension avant de série. Ces handicaps se transforment en arguments positifs quand on parle de poids: la Simca est plus légère que toutes ses rivales de Grands Prix. Elle est également l'une des rares voitures ambivalentes, utilisées en Formule 1 et Formule 2 (seule la HWM de Stirling Moss se trouve dans le même cas). Les petites et fragiles Simca parviennent parfois à jouer les troubles fêtes, Manzon prenant une belle quatrième place au Grand Prix de l'Automobile Club de France. En 1951, A.Gordini dispose d'un tout nouveau moteur qui ne doit plus rien au groupe Simca. 
Le bloc comporte un vilebrequin cinq paliers, il arbore des cotes rigoureusement carrées (78x78 mm) et est coiffé d'une culasse à double arbre à cames en tête. Le châssis, ultra léger, demeure pratiquement inchangé. Tout au long de la saison 1951, Gordini jongle entre la Formule 1 et la Formule 2. Les mécaniciens passent jours et nuits à monter et démonter les compresseurs pour s'adapter à l'une ou l'autre catégorie. Les hommes et le matériel arrivent sur les circuits épuisés et mal préparés. En outre, Gordini s'entête à participer aussi aux 24 heures du Mans. Au bout du compte, Gordini n'obtient de réussite dans aucun des domaines.
 Résultats, le patron de Simca de l'époque s'impatiente et lui retire son soutien à la fin de la saison 1951. Cette année là, la seule victoire de l'écurie Simca-Gordini fut obtenue au Grand Prix d'Albi, hors championnat, par Maurice Trintignant. Les années 50, une période difficile qui va démontrer le génie du sorcier... Durant l'hiver suivant, Gordini se retrouve pratiquement ruiné. Solitaire, mais déterminé, le sorcier va se surpasser. Il dessine un nouveau moteur satisfaisant aux normes de la Formule 2, catégorie selon laquelle doit alors se disputer le championnat du monde des conducteurs en 1952 et 1953. 
Le 6 cylindres 2 litres a toujours des côtes carrées (75x75 mm) et il dispose désormais d'un carter sec. L'atout majeur de la Gordini réside dans son rapport poids-puissance: 155 ch pour 450 kg. Après un galop d'essai à Marseille, la première manche du Championnat du monde se déroule en Suisse. Le camion bleu arrive sur le circuit pour la première séance d'essais avec une seule voiture. Pendant ce temps, ce sont les mécaniciens, qui à Paris, s'affairent sur la seconde voiture. Le seul moyen d'arriver à temps pour se qualifier serait de rejoindre le circuit par la route. 
Qu'a cela ne tienne ! Quand la voiture est prête, on lui appose une plaque d'immatriculation, et Jean Behra prend le volant de la monoplace. Il descend à Berne en se faufilant au milieu de la circulation, sur les routes de Bourgogne et du Jura, et la voiture arrive à temps pour prendre le départ du Grand Prix de Suisse! Berhra se classera troisième ! En Juin 1952, au Grand Prix de la Marne, qui se dispute sur le circuit de Reims, Jean Behra réussit un autre exploit: il s'impose devant les Ferrari 500F2 de Farina et Ascari, réputées imbattables... 
Malheureusement, l'épreuve ne compte pas pour le championnat du monde. En 1951, avec le retour de la F1 et sa cylindrée fixée à 2.5 litres, Gordini développe une monoplace entièrement nouvelle, moderne, ambitieuse, profilée... Celle ci dispose d'un moteur huit cylindres associé à une boîte de vitesse à cinq rapports , et d'une suspension à quatre roues indépendantes. Gordini s'entête jusqu'à la fin de saison 1956. Il jette définitivement l'éponge après le Grand Prix de Naples en 1957. Il abandonne de même la partie aux 24 heures du Mans, où il avait pourtant été présent depuis la reprise de 1949. Ses meilleurs résultats dans cette épreuve resteront les sixièmes places de 1953 et 1954. 
Gordini s'allie avec Renault, et le mythe arrive en France En 1956, Amédé Gordini sombre et timide songe déjà à sa reconversion. Il rencontre alors Pierre Dreyfus, le patron de la Régie de l'époque, à laquelle il va apposer son nom. La première Dauphine Gordini apparaît en septembre 1957. Elle sera suivie des légendaires R8 Gordini de 1964 à 1970 et des R12 Gordini de 1970 à 1974. La plus connue des Gordini, la R8 De plus, les Alpine des 24 heures du Mans seront animées avec succès par des moteurs Renault-Gordini. Lorsque la lignée s'interrompt, le sorcier a 75 ans. Il prend du recul, s'isole dans son atelier du Boulevard Victor, rêve encore de mécanique, alors qu'il a donné son nom à l'usine de Viry-Châtillon. Il s'éteint le 25 mai 1979. Une place porte aujourd'hui son nom près de la porte de Versailles.
Source : THERRIEZ DIDIER-gtmag.fr/

mercredi 17 septembre 2025

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES GRANDES HEURES DE LA COMPÉTITION AUTOMOBILES..C’ÉTAIT EN 1933 !!

Les débuts de la course automobile Les années 30 furent fertiles pour l'apparition des bons pilotes, elles furent surtout marquées par la préoccupation par rapport à la sécurité de ces voitures qui devenaient de plus en plus puissantes et c'est l'accident mortel de Antonio Ascari, de Dario Resta 
et des américains Jimmy Murphy et Joy Boyer qui en fit réfléchir plus d'un. Plusieurs règlements dont les dimensions des moteurs furent adoptés par l'A.I.A.C.R. (Association Internationale des Automobiles Clubs Reconnus) car certains atteignaient la vitesse folle de 240 km/h, ce qui était beaucoup pour ces voitures peu stables.   
Source : David Guénard laberezina.com

mercredi 20 août 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE AUTO - L'ASSISTANCE AU PARKING EXISTAIT DEJA EN 1927 !!

Cramponnez-vous bien, nous sommes en 1927 !!! 
 Cela s'est passé sur la place d'Arras... 
Nous n'étions pas encore nés, et l'assistance au parking existait déjà !
C'est quoi de nos jours un stationnement automatique ??
Le stationnement automatique est une aide à la conduite qui automatise des actions du conducteur durant une manœuvre de stationnement. 
Il existe trois type de systèmes de stationnement automatique : Le parking mains-libres, où le système prend le contrôle du volant et laisse le contrôle longitudinal (accélération, freinage) au conducteur. Le parking mains-libre freineur, où le système prend le contrôle du volant et du freinage, et laisse l'accélération au conducteur. 
Le stationnement totalement automatique, où le système prend le contrôle de la direction assistée, de l'accélération et du freinage. Selon les modèles, le système est capable d'aider le conducteur à se garer dans des places en créneau, bataille ou épi.
 Certains systèmes proposent aussi une assistance pour sortir d'une place Le véhicule est équipé de capteurs ultrasons positionnés sur les boucliers avant et arrière, qui sont capables de détecter les obstacles aux alentours. Lorsque le véhicule avance à vitesse modérée, les capteurs latéraux scannent les côtés du véhicule. Quand le système détecte une place disponible, il prévient l'utilisateur. Si l'utilisateur accepte l'emplacement proposé, le système calcule la trajectoire optimale pour se garer, puis prend le contrôle du véhicule. 
 Le système est souvent couplé à l'Aide au parking ou à la Caméra de recul pour donner des repères au conducteur durant la manœuvre. Il existe plusieurs manières d'interrompre une manœuvre, comme tenir le volant ou ouvrir une portière. Certains systèmes permettent d'utiliser une télécommande ou une application pour garer automatiquement son véhicule
Source : British Pathé -WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

dimanche 10 août 2025

CLUB5A- IMAGES D'ARCHIVES - Rétrospective de l'Automobile en FRANCE ...c'était en 1934


Reportage de 1934, de PATHE ( Jean LOUBIGNAC) sur l'industrie en France, notamment l'AUTOMOBILE en FRANCE : RENAULT
Source : Giacomo ROWLAND / PATHE / persee.fr

jeudi 3 juillet 2025

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - RÉTROSPECTIVE DE L'AUTOMOBILE EN FRANCE EN 1934..

L'automobile reste plus que jamais un indicateur majeur de l'activité économique d'un pays. Industrie phare au point d'être érigée en modèle, parfois même en symbole, l'automobile est un des reflets les plus précis d'une situation industrielle. Ainsi, l'analyse des différentes industries automobiles européennes au cours des années d'avant guerre, permet de mieux mesurer les choix stratégiques. 
Même si les différents pays ont en commun de voir enfin l'automobile comme un secteur clé de l'économie et de la puissance militaire, si tous veulent imposer leurs directives, notamment privilégier le collectif et l'équipement à la consommation, s'ils souhaitent gérer la pénurie et répartir les productions, de réelles différences subsistent pourtant. La France, probablement plus que tout autre, montre des particularités qui sont à la fois les reflets d'une situation présente et d'un héritage difficile à assumer.  
Source : Giacomo ROWLAND / cinéma pathé

samedi 11 janvier 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE - UN DODGE DANS LES ANNÉES 20 ....MÊME PAS PEUR !

Dans les  "années 1920" 
 Film Promotionnel 
 
Dodge est une marque américaine d'automobiles et de poids lourds. Fondé par les frères Dodge en 1914, le constructeur est absorbé par le groupe Chrysler en 1928. Haut de gamme, Dodge a peu à peu évolué vers la conception de voitures à tendance sportive, à l'instar de Pontiac au sein du groupe General Motors.
 Son logo représentait jusqu'à mai 2010 une tête de bélier avec le slogan « Grab life by the horns ». Depuis le rachat de Chrysler par Fiat le 1er juin 2011, la marque Dodge n'est plus vendue en Europe.Commençant leur carrière professionnelle à la Murphy Engine Company, en 1886, les frères John et Horace Dodge font ensuite fortune dans la production de bicyclettes, à la tête de leur compagnie Evans & Dodge Bicycle Company.
 En 1901, les deux frères déplacent leur usine de bicyclettes et de machines à Détroit dans le Michigan. Ils y fabriquent des roulements et d'autres pièces pour les premières industries automobiles. Ils aident à la mise au point des moteurs des premières Oldsmobile. En 1902, les frères Dodge sont approchés par Henry Ford qui cherche de l'aide pour financer sa propre société de fabrication d'automobiles. Les frères Dodge aident donc Ford à financer son entreprise. Ils deviennent les premiers actionnaires et constructeurs des moteurs de la Ford Motor Company.
 Au moment de la fondation de la Ford Motor Company, Henry Ford donne cinquante actions à chacun des deux frères Dodge. Lorsqu’en 1919, les frères vendent les parts Ford, ils récupérèrent la somme de 25 millions de dollars En 1914, les frères Dodge décident de créer leur propre marque à leur nom. La firme est ainsi fondée à Hamtramck (Michigan)5. Les premiers modèles ressemblent à la Ford T décapotable, mais avec quelques innovations comme un démarreur électrique. Fort de leur excellente réputation de motoristes, les commandes affluent et leur première voiture se pose pendant un temps en véritable rivale de la Ford T3. 
Leur slogan est « Fiable ! ». À la fin de 1914, 249 voitures sont construites par la Dodge Brothers Motor Company. Ils en écouleront par la suite des centaines de milliers. Les automobiles Dodge acquièrent une réputation d'automobiles fiables et robustes. Tout naturellement, l'armée de terre américaine s'y intéresse. Le général Pershing les utilise pour la première fois lors de l'expédition punitive à l'encontre des bandits mexicains, sous les ordres de Pancho Villa, ordonné par le président Wilson au début de l'année 1916. 
C'est le 14 mai 1916 que le lieutenant George Patton, à la tête d'un groupe de dix hommes accompagné de deux guides mexicains dans trois voitures Dodge, ramène au poste de commandement du général Pershing, créant ainsi la sensation en faisant la une des journaux américains, les dépouilles des bras droits de Villa dont le général Bob Cardena, ficelées au garde-boue. En 1917, les deux frères se lancent dans la construction de poids lourds, au départ pour l'armée des États-Unis pendant la Première Guerre mondiale, puis pour les usages civils après la fin des hostilités. Ils appellent leur premier modèle Commercial Car : il s'agit d'un pick-up construit sur un châssis standard avec de larges ouvertures entre les côtés et le toit, qui seront remplacées par des côtés pleins par la suite Cependant.
 En 1920, alors que Dodge occupe la deuxième place des ventes de voitures aux États-Unis, l'avenir de Dodge bascule du tout au tout. Terrassé par une pneumonie, John décède le 14 janvier, tandis que Horace, inconsolable et dépressif, meurt à son tour en décembre des suites de la grippe et d’une cirrhose. Le troisième constructeur américain de l'époque passe alors sous le contrôle d'un groupe bancaire, en 1925. Cette même année, la société des frères Dodge est rachetée par Dillon, Read & Co. pour 146 millions de dollars, la plus importante transaction financière jamais vue à l'époque. Dillon Read revend ensuite la société à Walter Chrysler le 31 juillet 1928. Dodge fait à présent partie du groupe Chrysler qui passera sous la houlette du groupe italien Fiat à partir du 30 avril 2009 avant d'être entièrement racheté par Fiat le 1er juin 2011.
 Le groupe Chrysler a été incorporé dans le groupe Fiat le 1er janvier 2014 pour former FCA Automobiles. Les modèles automobiles de la marque Dodge ne sont plus commercialisés en Europe.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

mercredi 8 janvier 2025

CLUB5A - IMAGE D'ARCHIVE AUTO - LES PREMIÈRES COMPÉTITIONS AUTOMOBILES...C’ÉTAIT EN 1919...


 
Les premières  courses automobiles filmée en 1919. Ceci et un film rare de Louis Chevrolet (le co-fondateur d'Entreprise Chevrolet) faisant une compétition à l'Île Coney, NEW YORK en septembre 1919. Louis conduit la voiture numéro 7 "Frontenac". 
Les images montrent les courses automobiles dans le sens des aiguilles d'une montre autour de la piste. Louis est assis sur le côté en "fonds de terre" dans sa voiture, avec son mécanicien assis sur l'extérieur de la voiture. Ceci était une des dernières courses dans lesquelles il a jamais rivalisé. Il est parti quand sa voiture a pris feu. 
Source : SportingHistory/ film PATHE

mercredi 25 décembre 2024

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - 1935 Grand Prix de France à Montlhéry........


Le Grand Prix automobile de France en 1935 est un Grand Prix hors-championnat qui s'est tenu sur l'autodrome de Linas-Montlhéry le 23 juin 1935.
Photo de Rudolf Caracciola.
           Rudolf Caracciola le vainqueur de l'épreuve au milieu de la foule…
Photo de Rudolf Caracciola pilotant une Mercedes-Benz W25B.
…rentrant aux stand pour son arrêt ravitaillement.
Otto Wilhelm Rudolf Caracciola1, dit Rudolf Caracciola, né le 30 janvier 1901 à Remagen dans le royaume de Prusse (aujourd'hui en Rhénanie-Palatinat), sous l'Empire allemand et mort le 28 septembre 1959 à Cassel dans la Hesse, en Allemagne de l'Ouest, est un coureur automobile et moto allemand puis Suisse. 
Il est considéré comme l'un des plus grands pilotes de Grands Prix d'avant-guerre et reconnu pour son perfectionnisme. Son record de victoires au Grand Prix d'Allemagne est toujours inégalé en 2019.  
 Rudolf Caracciola remporte le Championnat d'Europe des pilotes d'avant-guerre (l'équivalent du Championnat du monde de Formule 1 actuel) à trois reprises et le Championnat d'Europe de la montagne trois fois, dont deux avec Mercedes-Benz (à l'époque des Flèches d'Argent, signant là plusieurs records de vitesse pour l'écurie) et une avec Alfa Corse. Surnommé Karratsch par le public allemand, il est surtout connu sous le surnom de Regenmeister (ou Maître de la pluie) pour ses performances sous la pluie, notamment au Grand Prix d'Allemagne 1926. 
 Caracciola commence à courir sur moto, puis sur auto alors qu'il travaille en tant qu'apprenti pour les automobiles Fafnir à Aix-la-Chapelle au début des années 1920. Il pilote ensuite pour Mercedes-Benz avec qui il remporte le Championnat d'Europe de la montagne à deux reprises (1930 et 1931) puis signe chez Alfa Romeo qui lui permet de remporter ce même championnat en 1932. L'année suivante, il fonde, avec le Monégasque Louis Chiron, la Scuderia CC (pour Caracciola et Chiron) ; à la suite des séquelles d'un accident aux essais du Grand Prix de Monaco 1933 qui lui occasionne de multiples fractures à la jambe droite, il est obligé de se retirer de toute compétition pendant plus d'un an. De retour à la compétition en 1934 avec l'écurie Mercedes-Benz, récemment reformée, il remporte trois championnats d'Europe des pilotes, en 1935, 1937 et 1938.
 Comme de nombreux pilotes allemands des années 1930, Rudolf Caracciola appartient au groupe paramilitaire nazi Nationalsozialistisches Kraftfahrkorps (NSKK) même s'il n'a jamais été membre du parti nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, Caracciola reprend la compétition automobile mais un nouvel accident aux 500 miles d'Indianapolis 1946 le plonge plusieurs jours dans le coma. Rappelé par Mercedes-Benz en 1952 pour courir le Championnat du monde des voitures de sport sur les 300 SL W194, il est victime d'une triple fracture à la jambe gauche lors d'un accident à Bremgarten en Suisse et arrête sa carrière de pilote. Après avoir pris sa retraite sportive, Rudolf Caracciola travaille pour Mercedes-Benz en tant que vendeur, avec pour mission de cibler les troupes de l'OTAN stationnées en Europe. 
Il meurt en 1959 à Cassel en Allemagne de l'Ouest des suites d'une insuffisance hépato-cellulaire et est enterré en Suisse où il vivait depuis le début des années 1930. 
Source :sagitt76-WKPDIA

samedi 14 décembre 2024

CLUB5A - PRESENTATION DE LA NOUVELLE RENAULT 4L...C'ETAIT EN 1961 !!

La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958. 
 Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.

 La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité. 
 En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
À côté de la R3 et de la R4 de base — sensiblement équivalente à la R3 dans sa présentation — il existait une déclinaison « Luxe » dite R4 L, elle se caractérisait par sa troisième vitre latérale et différents accessoires et baguettes inox, qui la rendait plus luxueuse. 
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L. 
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable. 
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

vendredi 13 décembre 2024

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES VÉHICULES RENAULT EN DIRECTION DU CAP...C’ÉTAIT EN 1951 !!

Participation de six véhicules Renault au rallye Méditerranée-Le Cap, en février 1951. L'équipe Renault comprenait deux 4CV, une Savane série Coloral, un pick-up série Coloral, un break 1000 kilos Tropic et un camion 5 tonnes avec un moteur horizontal sous le chassis. 
La randonnée Alger-Le Cap (16000 km en 32 étapes) est une épreuve sportive mais aussi un banc d'essai. Avant le départ, les pilotes présentent à Billancourt leurs véhicules et matériel à la direction de la Régie qui n'a pas craint d'engager dans l'épreuve les derniers nés de la série Coloral. Long résumé en images de l'épreuve Alger-Le Cap et des étapes à : Gao, Fort Lamy, Stanleyville, Elisabethville, Victoria Falls, Pretoria, Johannesburg, Port-Elizabeth .   
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0. ina.fr