lundi 2 décembre 2024

CLUB5A - EPHEMERIDE - Aujourd'hui le 2 Décembre . Ce jour-là en 1993 décédait Pablo Emilio Escobar "le narcos" . Celui-ci était aussi pilote de course de Renault 4 et de Porsche 911...

 

L'histoire commence en 1966, avec l'importation en Colombie d'une voiture française utilitaire et basique appelée Renault 4. Un concessionnaire automobile Colombien (Auto Andes) importe alors cette auto de l'usine Fasa-Renault Espagnole. Mis à part sa ressemblance avec un cube, la 4L était une auto fiable et abordable qui a permis aux classes moyennes émergentes Colombiennes de découvrir le bonheur de l’automobile. Au cœur de la stratégie commerciale de Renault en Colombie figurait la participation à des courses tel que le Rallye de Colombie. 
La petite 4L était ainsi amenée à sillonner le pays sur des routes dangereuses, démontrant son agilité et sa capacité à passer partout. Les Colombiens furent convaincus par la courageuse petite française, et surtout l’un d’eux lui trouva beaucoup de qualités. Le lundi 28 mai 1979, le journal colombien « El Tiempo » publie un reportage sur la course de la Copa Renault (4 L) qui s'était déroulée ce week-end-là. A la fin de l’article, une courte mention illustre une photo : « les nouveaux arrivants, Lucio Bernal, de Bogotá ; Pablo Escobar, Gustavo Gaviria et Juan Yepes, tous originaires de la capitale d'Antioquia. » La première apparition dans les médias colombiens de Pablo n'avait rien à voir avec le trafic de drogue, le meurtre ou la violence politique. 
 C’est bien à ses débuts en tant que pilote de course au volant d’une Renault 4 que sa première citation dans la presse fait référence. Par la suite le journal a continué à citer Escobar dans les comptes rendus des courses du reste de la saison. Bien qu'il n’ait débuté le championnat qu’en cours d’année et n'ait participé qu'à six courses, à la fin de la compétition Copa Renault 1979, Escobar est second au classement. Conduire à toute vitesse lui plaisait. D'après le livre 'El Patron. Vie et mort de Pablo Escobar’, de Luis Cañón, la plupart du temps, avant de courir, « il fumait une dose modérée de marijuana pour activer sa perception, ses sens et son niveau de concentration ». 
Pour les spectateurs naïfs, parfaitement inconscients des activités d'Escobar, il pouvait sembler que Don Pablo avait du talent pour le sport automobile. Pour les autres, son classement sur le podium était tout à fait prévisible. Alors que les articles de l'époque étaient lyriques sur ses capacités de pilotes, aucun ne faisait mention d’un point capital. Les autos de cette coupe devaient toutes avoir les mêmes spécifications techniques et donc avoir des performances égales. Pour paraphraser une citation célèbre de « La ferme aux animaux » de Georges Orwell, toutes les voitures de la coupe étaient égales mais la voiture de Pablo était un peu plus égale que les autres. 
À plusieurs reprises, il fut dépassé par d’autres concurrents dans les parties sinueuses, mais il les repassait miraculeusement dans les lignes droites. Sans surprise, l'interprétation d'Escobar de l’équité technique n'a jamais été contestée et aucune tricherie n'a jamais été relevée. Les comportements « borderline » de Don Pablo pour gagner les courses ne s’arrêtaient pas au périmètre des circuits. Lors d'une course, le patron du cartel aurait utilisé ses relations avec la police locale pour empêcher ses rivaux d'atteindre le circuit. Il avait aussi une autre façon de tenir la concurrence à distance. Il avait sa « garde rapprochée « sur la piste. Il avait engagé dans la Copa son cousin Gustavo Gaviria. 
 Mais au-delà de la famille, ses « amis-concurrents » s'étendaient aussi à ses « amis » narcos, les frères Ochoa, avec qui il dirigeait le célèbre cartel de Medellín. Fidèle à l'image d’homme excessif qu'il incarnera plus tard, la présence de Don Pablo sur un meeting de course auto était un spectacle en lui-même. Luis Canon raconte : "Il était le seul à arriver en hélicoptère", « Mais après la course, il offrait à tout le monde un repas somptueux arrosé de champagne et entouré de femmes magnifiques » Il conclut : » Je me demande si quelqu'un croyait vraiment qu'il ne vendait pas de drogue ». 
La fortune d'Escobar ayant commencé à croître considérablement dans les années 80, son appétit pour la course automobile de haut niveau crût de façon parallèle. Bien qu'il ait commencé sa carrière dans le sport automobile avec une Renault 4 de 24 chevaux, il n'a pas tardé à rêver à des machines plus puissantes et plus efficaces. En achetant par exemple une Porsche 911 RSR de 1974 ex-Emmerson Fittipaldi. Le baron du cartel participa alors à d'autres courses en Amérique du Sud ainsi qu’à des courses de côte organisées dans sa ville natale. C'est au cours de l'un de ces événements qu’Escobar rencontra Ricardo Londoño lui aussi natif de Medellín. 
Ricardo Londoño est alors reconnu comme l'homme le plus rapide de Colombie et le coureur le plus prometteur du pays. Mais revenons à la course de « Las Clapping ». La légende raconte que Ricardo Londoño, très sûr de lui, a parié un million, qu'il finirait la course de Medellín avec au moins quinze secondes d'avance sur Pablo. Comme on peut le supposer cette déclaration fit beaucoup de bruit à Medellín. La course se déroula par un beau dimanche ensoleillé et « Cuchilla » (le surnom de Ricardo Londoño) réalisa sa montée en neuf minutes et 45 secondes, soit huit secondes de moins qu'Escobar. Le « Boss of evil » avait remporté son pari. « Ce jour-là, j'étais très heureux. Il y avait un pari juteux en jeu, que j'ai gagné dans un combat régulier », déclara Escobar. 
Après cette courte compétition, son association avec Ricardo Londoño allait pouvoir commencer, marquant un tout nouveau chapitre dans la carrière de Don Pablo en sport automobile. Après avoir fait ses preuves au volant, du moins à ses yeux, la présence d'Escobar dans une voiture de course n’a plus été qu’un souvenir à mesure que son empire commercial tentaculaire l’accaparait de plus en plus. En cette fin des années 70, la carrière de pilote de Londoño était en plein essor. Ses succès dans les championnats nationaux de stock-car et de moto de vitesse lui valurent le surnom de" Cuchilla ", qui se traduit par « lame de rasoir ». Après ses victoires colombiennes, Il partit aux États-Unis pour courir en IMSA GT. Il réussit même à se classer septième aux 24 heures de Daytona l'année suivante. De l'avis de tous, c’était un pilote à surveiller et destiné à devenir le pilote le plus titré que la Colombie n’ait jamais connu. 
Alors que le « Escobar au volant « était pratiquement terminé, le patron du cartel tenait toujours à naviguer dans le sport automobile et Londoño s'est avéré être un moyen de le faire. Finalement, Londoño déménagea en Europe en 1980 avec le soutien de la «National Association of Coffee Growers». Londoño débute à Silverstone avec une ancienne F1 Lotus sur une épreuve du championnat britannique de Formule 1. Loin d’avoir une voiture de haut niveau, Londoño fit de son mieux et termine la course à une respectable septième place. Le talent du Colombien, sans parler du riche sponsor qui l’accompagne, a fait de lui un pilote attrayant pour une équipe de Formule 1 en difficulté. Après avoir perdu leur sponsor majeur « Unipart », les représentants de l'équipe britannique Ensign étaient à la recherche d'argent frais. 
Les voilà donc parti au cœur de la campagne colombienne invités dans la ferme familiale plutôt luxueuse de Londoño. Le voyage comprend une visite des installations (qui comprenait une piste d’atterrissage) et un délicieux dîner. A l’issu du voyage un accord de coopération est conclu et Londoño signe avec l'équipe pour la saison 1981. Londono manque la première course faute d'avoir la bonne licence et doit attendre la course suivante qui se déroule au Brésil pour réaliser son premier essai en Formule 1. Mais un incident en piste avec Keke Rosberg lors de la première séance d'essai incite Bernie Ecclestone, à se pencher un peu plus sur les financements de Londoño. 
Ecclestone relie rapidement les bailleurs de fonds du pilote à une entreprise basée à Medellín, dont le propriétaire n'était autre que Don Pablo lui-même. Préoccupés par la divulgation dans la presse d'une connexion aussi peu recommandable entre Londono et le cartel de Medellin, Ecclestone et les organisateurs de la Formule 1 interdirent l'entrée de Londoño au circuit quelques heures avant le départ, sabordant ainsi sa carrière. Au milieu des années 80, le partenariat entre Escobar et Londoño avait rapproché la Colombie du sommet du sport automobile comme jamais auparavant. Ce n'est que lors de la participation de Juan Pablo Montoya au championnat de formule 1 avec Williams en 2001 que le pays pourra enfin soutenir un champion automobile Colombien. Après s'être fait les dents en roulant avec des Renault 4 miteuses sur un circuit délabré à l'extérieur de Bogotá, Don Pablo s'était retrouvé deux ans plus tard au plus haut échelon du sport automobile mondial. 
La vitesse à laquelle son implication dans le sport automobile s'est développée correspond au rythme auquel Escobar s'est positionné comme l'un des criminels les plus riches et les plus connus qui ai existé. Le cartel de Medellín gagnait jusqu'à 420 millions de dollars par semaine à son apogée, ce qui plaçait la richesse personnelle d'Escobar à 25 milliards de dollars dans les années 1980. Cela équivaut à environ 79 milliards de dollars d'aujourd'hui. Mais le sort d'Escobar et de Londoño dans le sport automobile ne fût pas qu’un conte de fées. 
Comme tout le monde le sait Escobar a été abattu sur un toit de Medellín en 1993. Londoño, lui, déprimé par l'expérience ratée de la Formule 1, fit ses valises et rentra chez lui en Colombie. Il créa alors un commerce de bateaux, d’avions et d’hélicoptères avec presque exclusivement comme clients des narcos et criminels de tous genres. En 2000, les tribunaux colombiens confisquèrent à Londoño pour plus de 10 millions de dollars de voitures anciennes et de biens acquis illégalement grâce au trafic de drogue et à ses liens avec le cartel de Medellín. Malgré l'action en justice, Londoño réussi à échapper à la prison, mais neuf ans plus tard, l’aventure de l’ex-pilote de F1 s’arrêta.
 Alors qu'il séjournait dans son hôtel de la baie de Cispatá, Londoño et ses deux gardes du corps furent abattus en plein jour par six hommes armés d'un cartel rival, abattant de 12 balles, l'ancienne star de la course automobile. 
Source : histo-auto.com/

CLUB5A – LE DESSIN DU JOUR - 02/12 - UN BON CROQUIS VAUT MIEUX QU'UN LONG DISCOURS….


 

CLUB5A - Noël n'est pas un jour ni une saison c'est un état d'esprit...



CLUB5A- REPORTAGE AUTOS - LE MUSÉE NETHERCUTT...UN DES PLUS GRAND MUSÉE D'AUTOMOBILES AU MONDE !!

Le Musée Nethercutt présente plus de 130 automobiles une des plus grande collection du monde, des automobiles classiques et d'intérêt !! 

Cette collection est vraiment magnifique, les voitures sont dans un état exceptionnelle. L'entrée du musée et gratuite. Si vous avez un peu de temps et que vous êtes de passage à Los Angeles, allez-y, cela en vaut vraiment la chandelle !

collection de plus de 250 voitures, une centaine de voitures automobiles américaines et européennes des années 1895 à1997 exposées dans un véritable décor de château.
Elles sont toutes en état de marche, et chaque année certaines participent au grand concours d'élégance de Pebble Beach.. On les sort du musée sur des coussins d'air..  Derrière le musée une locomotive Hudson de la Canadian Pacific Roy 1937.
 Un magnifique bond dans le passé !
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 -   Samuel Cernuto

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - AL CAPONE SUR LES ROUTES DU QUEBEC ...

JC FORTIN nous présente son camion GENERAL MOTORS 
de 1929..
Une jolie histoire en direct du Québec.. 
L’ancêtre de ce camion roulait probablement pour Al Capone.
Alphonse Gabriel Capone (Alfonso Capone en italien), dit Al Capone, né à Brooklyn (New York) le 17 janvier 1899 et mort à Miami Beach (Floride) le 25 janvier 1947, est un des plus célèbres gangsters américains du xxe siècle. 
Surnommé « Scarface » (« Balafré »), il fait fortune dans le trafic d'alcool de contrebande durant la prohibition dans les années 1920. 
 D'origine italienne et parrain de l'Outfit de Chicago de 1925 à 1931, il est arrêté grâce à l'enquête de l'agent spécial du service d'enquête de l'Internal Revenue Service Frank J. Wilson et du juge James Herbert Wilkerson, qui le condamne le 24 octobre 1931 à 17 années de prison dont 11 ans ferme. 
Al Capone contribue fortement à l'émergence du système de mafia, usant de la corruption des policiers, de la justice, des figures politiques, ainsi que des menaces physiques pour éviter les témoins à charge, n'hésitant pas à faire exécuter des centaines de personnes, voire des milliers. 
 Personnage emblématique de l’essor du crime organisé dans les États-Unis de la prohibition, il contribue à donner au Chicago des années 1920 et 1930 sa réputation de ville sans foi ni loi. Al Capone est devenu l'archétype du gangster et de l'anti-héros. Son mythe se développe avec Scarface d'Howard Hawks dès 19322, ce qui lui vaut une réputation quelque peu surfaite, la légende dépassant bien souvent la réalité.
Source : ChaineTruckeditions

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - PASSAGE A GUE POUR LA 2CV CITROEN !!


 

CLUB5A - CALENDRIER DE L'AVENT POUR LES GRANDS - AUJOURD'HUI LE 2 DECEMBRE ET DANS 23 JOURS C'EST NOEL !!!





 

CLUB5A - COMMUNICATION - BIENTOT LE REPORTAGE COMPLET DE LA SORTIE MOTO CASSOULET DU 1er DECEMBRE 2024...RESTEZ CONNECTES !

 


LE SAVIEZ-VOUS ? ...CONNAISSEZ-VOUS VRAIMENT NICOLA TESLA ?

 

Nikola Tesla, l'inventeur et ingénieur serbe né en 1856, a démontré dès son plus jeune âge une ingéniosité étonnante. 
Un jour, convaincu qu'il pouvait voler, il décida de se jeter du toit de la ferme familiale avec un parapluie. 
L'expérience ne s'est pas déroulée comme prévu, et il a passé six semaines avec sa jambe traction, ce qui l'a amené à abandonner son hypothèse de vol. 
Tesla prétendait avoir une oreille exceptionnellement aiguë, capable de percevoir des sons aussi lointains que le sifflement d'une machine à vapeur à 30 kilomètres de là, ou même le bruit d'une mouche qui se pose sur une table.
 Cependant, sa véritable passion était l'électricité, un intérêt qu'il a suscité à trois ans lorsqu'il a observé les étincelles provoquées par l'électricité statique dans la fourrure de son chat Macak.
Cette curiosité l'a poussé à réfléchir : « La nature est-elle un chat gigantesque ? 
Si oui, qui lui gratte le dos ? ". Tout au long de sa carrière, Tesla a développé des idées inhabituelles. Il recommandait de l'électricité pour stimuler les étudiants moins actifs et a créé une plateforme vibratoire pour traiter la constipation. 
Son ami, le célèbre écrivain Mark Twain, était un utilisateur régulier de cette invention, avec des résultats assez urgents. Tesla ne s'est jamais mariée, arguant que le mariage pourrait entraver son génie créatif. 
Une fois, il a répondu à un interviewer qui ne pouvait citer de grandes inventions créées par des hommes mariés. Ses idées sur les femmes étaient influencées par leur aversion pour les bijoux féminins et leur incapacité à toucher les cheveux des autres, sauf si c'était absolument nécessaire. 
Obsessionnel compulsif, Tesla avait une obsession particulière pour le numéro 3. Il insistait pour que sa chambre d'hôtel soit divisible par trois. 
À l'hôtel New Yorker, où il a passé ses dernières années, il a vécu dans la chambre 3327 au 33ème étage. Avant d'entrer à l'hôtel, il faisait trois tours de pâté de maisons, et tout ce qu'il portait, des draps aux couverts, devait respecter sa règle de trois. 
Tesla avait une peur intense des microbes et exigeait que tout ce qu'elle portait soit stérilisé. 
Il nettoyait même personnellement chaque objet avant de l'utiliser, armé de 18 serviettes. Il a prédit qu'il vivrait jusqu'à 140 ans, croyant que l'alcool était un élixir de vie longue, mais après la prohibition, il s'est rétracté. 
Le 7 janvier 1943, Tesla a été retrouvé mort par une serveuse qui a ignoré le panneau "Ne pas déranger" sur la porte de sa chambre. 
Ainsi a pris fin la vie d'un homme dont l'héritage continue d'illuminer le monde. 
Source : Dimitry Samuel Pomié

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - PRÉPAREZ VOS MÉCANIQUES - DIMANCHE 15 DÉCEMBRE 2024 RONDE DE NOEL DANS LE CENTRE VILLE DE CARCASSONNE !

Nous comptons sur vous pour une mobilisation générale de tous les membres des 5.A afin de participer à cette parade autos-motos-solex-mob....
Attention les repas sont limités à 60 personnes..
Réponse avant le 8 décembre 2024

Pensez à vous mettre dans l'ambiance de Noël et à décorer votre véhicule. ... 
Pour vous inscrire téléchargez votre bulletin d'engagement et cliquez sur l'affiche dans le menu de droite..



CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Pour les Français.... l’auto reste sacrée !!

 

Selon une étude réalisée par l’institut Odoxa pour BMW, l’automobile n’a rien perdu de son pouvoir d’attraction. C’est un phénomène bien français: l’automobile, on adore la détester. Mais à la fin, on ne peut pas s’en passer. C’est ce que révèle une étude réalisée par l’institut Odoxa pour le constructeur allemand BMW auprès de 3 000 personnes représentatives de tous les territoires. Loin des clichés, des idées reçues et des gesticulations de quelques politiques assoiffés de pouvoir, les Français réaffirment leur attachement à la bagnole. L’étude montre ceci d’intéressant que les Français ne sont pas égaux face à la mobilité. 
À la campagne où l’offre de transport en commun est quasiment inexistante, la voiture n’est pas un luxe mais une nécessité. C’est bien pour cela que le 80 km/h sur les routes, la hausse des carburants au nom de la transition écologique et la stigmatisation du diesel alors qu’il rejette comparativement moins de CO2 que son homologue à essence n’ont fait qu’accroître l’exaspération des Français et creuser le fossé avec une élite décidément déconnectée des préoccupations des citoyens. Georges Pompidou, le dernier président de la Ve République à défendre l’automobile et à comprendre le rapport que la population française entretient avec ce mode de déplacement, avait raison lorsqu’il disait qu’il fallait arrêter d’emmerder les Français. La mobilité, qui est un droit, est l’un des principaux sujets de crispation. On connaît la suite. Le mouvement des Gilets jaunes s’est construit sur ce terreau. 
Malgré la diversité des modes de transports et des moyens de mobilités mis à la disposition des Français, 47 % d’entre eux continuent d’utiliser leur voiture tous les jours. Sa baisse est surtout spectaculaire dans l’agglomération parisienne où les pouvoirs publics multiplient les initiatives pour réduire sa présence, voire la supprimer, mais dans les autres grandes villes et d’une manière générale en province, elle reste le moyen de déplacement numéro 1. C’est l’un des enseignements de cette étude, contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire, les Français sont attachés à la complémentarité des moyens de transport. Il n’y a que les édiles les plus radicaux et les Khmers verts pour opposer les mobilités entre elles. La vérité oblige à admettre que beaucoup de Français cumulent les modes de déplacement pour se déplacer quotidiennement. Voiture puis train ou métro, train puis vélo ou trottinette électrique, marche et vélo ou bus: la multimodalité est vécue comme un atout pour optimiser les temps de transport. 
L’étude révèle que 28 % des Français - le double en région parisienne - utilisent plusieurs moyens de transport distincts pour leurs trajets domicile-bureau. Ils passent en moyenne 48 minutes par jour dans les transports pour aller travailler; 43 minutes en zone rurale et 60 minutes en région parisienne. Au-delà d’une heure 10 minutes aller-retour par jour, l’expérience est mal vécue. Malgré l’avènement de nouvelles mobilités, les modes de transports traditionnels ne font pas l’objet d’un rejet. Au contraire, l’étude montre que la voiture reste, de loin, le mode de transport le plus utilisé et le plus apprécié. L’automobile est considérée comme le moyen de transport le plus fiable, le plus sûr et le plus pratique. Pour 88 % des personnes interrogées, la voiture reste associée à la notion de liberté, et pour 71 % d’entre eux, c’est aussi un plaisir. La voiture est considérée comme beaucoup moins stressante que les transports en commun - le métro pointe en tête -, ce qui peut se comprendre dans le contexte de la crise du coronavirus. 
Les Français rechignent à emprunter les transports en commun. Outre les incivilités et leur faible fiabilité, ils pointent du doigt l’insécurité liée au non-respect de la distanciation sociale. La conduite d’une automobile n’aurait ainsi rien de la corvée que certains dépeignent. Raison pour laquelle, 86 % des Français estiment encore qu’il est «important» de posséder sa propre voiture. 
La voiture arrive systématiquement première sur 4 des 5 critères jugés les plus importants par les Français: la sécurité, la durée du trajet, la facilité d’accès et la disponibilité. Le seul reproche que formulent les Français, c’est son coût jugé trop élevé. Les coûts d’usage (maintenance, entretien, essence, assurance) arrivent d’ailleurs devant le coût d’acquisition. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr

dimanche 1 décembre 2024

CLUB5A - ..LA BOUTIQUE EN LIGNE DU CLUB 5A EST OUVERTE.....PENSEZ A VOS CADEAUX DE NOEL ....VOUS AVEZ LA POSSIBILITE DE COMMANDER PAR MAIL !..

Contact, renseignements et commandes  : 

LISELE  : lisele.lee@gmail.com
 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - IL Y AVAIT DU SPECTACLE CETTE ANNEE LA SUR LES BOULEVARDS DE CARCASSONNE LORS DE LA MAGIE DE NOEL ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PARIS EST VRAIMENT LA VILLE LUMIERE !!


 

CLUB5A - Noël n'est pas un jour ni une saison c'est un état d'esprit...



 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - INDIAN MOTORCYCLE COLLECTION....

Indian est une marque américaine de motos fabriquées de 1901 à 1953 à Springfield,Massachusetts, par la firme d'abord connue sous le nom d'Hendee Manufacturing Company, rebaptisée Indian Motocycle Manufacturing Company en 1928.

Fondation d'une marque de légende. 
 Oscar Hedström avec le premier prototype Indian 1901 En 1899, Oscar Hedström était impliqué dans les courses de motos sur piste. Désireux de mettre au point un tandem motorisé en vue de l'entraînement des coureurs, il s'inspire d'un moteur De Dion-Bouton pour créer son propre propulseur. George Hendee, qui était représentant en bicyclettes fut impressionné par les prestations de ce tandem et proposa une association à Hedstrom. 
De cette association naquit, en 1901 leur première moto, à laquelle ils donnèrent le nom de Indian. Cette moto était fort évoluée pour son époque, avec un carburateur concentrique, mis au point par Hedström lui-même, une transmission par chaîne, un allumage par bobine et un cadre qui intégrait déjà le moteur.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 vidéo : hoohoohoblin

CLUB5A - HUMOUR AUTO - FAITE-LUI UNE BELLE SURPRISE POUR NOEL ...UN CADEAU SURPRENANT ET TRES Utile....

 


CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - LES AUTOMOBILES MORGAN - LE MODÈLE 3 WHEELER !!......L'AVENTURE !

C’était quand la dernière fois que vous avez comparé un trajet en voiture à une aventure ? 
 Avec la nouvelle Morgan 3-wheeler, l’aventure recommence, retrouvez le fun et la passion qui manquent tant de nos jours ! Sautez à bord, asseyez-vous dans le « cockpit » revêtu de cuir, appuyez sur le bouton « start » et régalez vos oreilles avec le fabuleux bruit du grand « Vee-Twin ». 
L’iconique Morgan 3-wheeler (3-roues) est de retour depuis 2012. Remise au goût du jour, la formule de la 3-wheeler est toujours gagnante. Avec un puissant moteur SS V2 refroidi par air de 1976 cm3, connecté à une boîte Mazda 5-vitesses (et marche-arrière), et une voie avant très large, la nouvelle 3-wheeler est aussi simple que ludique à conduire, sourires garantis ! 
 Certaines choses n’ont pas changé, chez Morgan, la forme de la nouvelle 3-wheeler rappelle l’originale Morgan Supersports 3-wheeler des années 30. 
Avec sa coque simple en forme de balle de fusil, rien n’est superflu. Juste de la place pour le conducteur, son passager et un petit sac à l’arrière, autrement dit, l’essentiel pour l’aventure...
Source : Bold Ride / marcassus-sport.com