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mardi 13 février 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - "R5, Mini, Fiat 500, Coccinelle... Avec le courant neo-rétro, les voitures iconiques ne meurent jamais"

 

R5, Mini, Fiat 500, Coccinelle... Avec le courant neo-rétro, les voitures iconiques ne meurent jamais... Le groupe Renault s’inspire de la résurrection réussie de la Mini et de la Fiat 500 pour lancer sa nouvelle voiture électrique. La recette néorétro, qui a si bien réussi avec la Fiat 500 et la Mini, sera-t-elle aussi efficace avec la R5, la 4L et la Twingo? 
Chez Renault, le compte à rebours a été lancé il y a trois ans. Dès son arrivée aux commandes du groupe, en juillet 2000, l’Italien Luca de Meo a mobilisé ingénieurs et designers pour faire renaître la R5 dans une version électrique et techno. Depuis, un prototype jaune de l’icône des années 1970 et 1980 remise au goût du jour l’accompagne: en janvier 2021, lorsqu’il présente Renaulution, le plan de retournement du groupe, au Salon automobile de Munich et au Mondial à Paris. 
Le 26 février à Genève, Luca de Meo lèvera le voile sur la vraie nouvelle R5 à batterie, qui arrivera dans les concessions automobiles cet été. Le patron de Renault était directeur du marketing chez Fiat lorsque Sergio Marchionne, le directeur général du groupe alors en mauvaise posture, a décidé de relancer la Fiat 500, si chère au cœur des Italiens: de 1957 à 1975, 3,9 millions de la première… 
Source lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 4 février 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Royaume-Uni : un Range Rover de la reine Elizabeth II est à vendre...

 

Cette voiture qui a été intégrée à la flotte de la famille royale en 2016, est en vente au prix de 260.000 euros. Le Range Rover bleu de la reine Elizabeth II est actuellement à la recherche d'un nouveau propriétaire. La voiture a été fréquemment photographiée lors d'événements royaux, notamment lors de la visite d'État de l'ancien président américain Barack Obama et de son épouse Michelle Obama en avril 2016. Cette voiture a été intégrée à la flotte de la famille royale en 2016. 
Usage royal Soulignant son illustre passé royal, le véhicule arbore la même plaque d'immatriculation qu'à l'époque où il était utilisé par Elizabeth II, une particularité rare, selon le vendeur de voitures Jack Morgan-Jones de Bramley Motor Cars, interrogé sur Sky News. «En général, on s'efforce de changer le numéro d'immatriculation des voitures royales, mais dans ce cas, le numéro reste inchangé, éliminant ainsi tout doute sur le fait que c'était la voiture utilisée par la reine», a-t-il souligné. 
 Conçue spécifiquement pour un usage royal, la voiture est équipée d'un éclairage discret, de marches fixes adaptées et d'un éclairage d'urgence de la police. De plus, une modification ordonnée par Elizabeth II a été apportée pour faciliter l'accessibilité à la voiture. «Un indicateur évident qu'il s'agit d'une voiture de service royal est l'ajout par la reine de poignées supplémentaires à l'arrière, facilitant ainsi l'entrée et la sortie», a expliqué M. Morgan-Jones au média britannique. La voiture est actuellement proposée à 224.850 livres sterling, soit environ 260.000 euros. Ce sera la première fois que la voiture sera mise en vente après le décès d’Elizabeth II. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 1 février 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Rétromobile, pourquoi il faut y aller...

 

ACTUALITÉ - Plus de 550 exposants et plus de 1 000 véhicules - autos et motos - sont attendus à la porte de Versailles cette semaine pour le plus ancien et le plus prestigieux salon de voitures anciennes au monde. Dans un monde où les tensions et les crises se multiplient, Rétromobile apparaît comme une bulle d’oxygène. Une parenthèse enchantée. Dès ce mercredi 31 janvier, la 48e édition de ce salon inimitable ouvre ses portes. Jusqu’au dimanche 4 février, les visiteurs ont l’assurance de passer un bon moment, pour ne pas dire inoubliable. Les motifs de satisfaction sont nombreux et variés. 
Rétromobile multiplie les animations. Le salon rassemble quasiment tous les acteurs du secteur de la voiture de collection et de prestige que ce soit les organisateurs de manifestations et d’événements français mais également internationaux, les principaux assureurs spécialisés dans la voiture ancienne, les marchands de miniatures et d’ouvrages spécialisés, les grands ateliers de restauration, les principaux marchands européens et les grandes maisons de ventes aux enchères. À ce titre, il faut s’attendre à quelques surprises. Le pavillon 1 comptera un nombre jamais vu ici de Ferrari. Deux exemplaires de la fameuse 250 GTO sont annoncés. Simon Kidston et Lukas Hüni nous réservent des plateaux d’exception dont ils ont le secret. Cette année, les constructeurs sont présents en nombre, même si on déplore l’absence des marques du groupe Stellantis. Au moment où le groupe tente de faire renaître Lancia, la décision de «sécher» ce grand rendez-vous paraît incompréhensible. Elle témoigne de la prise de pouvoir des comptables. 
De son côté, Volkswagen avait à cœur d’être présent pour célébrer les 50 ans de la Golf avec la présence d’un modèle de chacune des huit générations mais également la saga du Combi. Autre marque du groupe VW, Skoda va raconter les 90 ans du modèle Superb et nous remémorer que la marque tchèque a produit sous licence Hispano-Suiza le modèle H6B. Le premier exemplaire, une limousine spéciale, est livré à Tomáš Garrigue Masaryk, le premier président de la République Tchécoslovaque. À peine une centaine d’unités de ce torpédo sont produites par Skoda. En restant dans les anniversaires, Rétromobile fête également les 50 ans de la Porsche 911 Turbo, les 60 ans de la Mercedes 300 SL, le centenaire de la marque MG et celui de l’autodrome de Linas-Montlhéry. Pour sa part, Renault crée la surprise en exposant avec ses véhicules de record, un avion Caudron Rafale du début des années 1930. 
Une manière de rappeler que Louis Renault avait racheté la firme d’avions Caudron. Rétromobile, c’est aussi l’un des seuls lieux où l’on peut retrouver le club de sa marque ou de son modèle préféré. C’est encore un espace de ventes de voitures à moins de 25 000 euros et de motos. Les deux-roues effectuent d’ailleurs en retour en force à la porte de Versailles. BMW, Ducati, Harley-Davidson, Indian, Triumph et Yamaha exposent dans un espace dédié certains de leurs modèles historiques. Passage obligé aussi sur l’espace réservé à la saga de la famille Monneret: trois générations qui ont écrit quelques-unes des plus belles pages de la moto en France, depuis Georges Monneret, le père. Aujourd’hui, Philippe poursuit l’héritage avec toujours le même entrain et le même succès. La moto est encore à l’honneur avec la rétrospective consacrée au rallye Dakar. 
On y trouvera notamment la Yamaha XT 500 qui a accompagné Thierry Sabine lors du rallye Abidjan-Nice de 1977 et la XT 500 au guidon laquelle Cyril Neveu a gagné le premier Dakar. Outre Stéphane Peterhansel, Jacky Ickx, Sébastien Loeb, André Dessoude et Thierry de Montcorgé sont attendus porte de Versailles pour partager leurs expériences avec les visiteurs. L’espace Dakar verra aussi la présence d’une Porsche 959 qui a participé au Dakar en 1986 mais aussi de la 4L des frères Marreau et d’un prototype Audi RS Q e-Tron. Devenu l’une des exposants phares de Rétromobile, le musée des blindés de Saumur expose un char Chaffee M24 et un char Centurion. Des démonstrations sont prévues à l’extérieur des halls. 
Un tour d’horizon du salon ne saurait être complet sans mentionner la présence le vendredi 2 février de Magnus Walker, le designer de mode d’origine anglaise passionné de Porsche 911, et le retour de la Vanlife avec les Coflocs, Laurent et Florian, ainsi que Matthias et Eva. Enfin, vendredi 2 février, Artcurial tient sa vente aux enchères à partir de 14 heures dans l’enceinte du salon. Le lendemain, la maison française organise une vente d’objets automobiles. Que ce soit pour acheter ou pour rêver, vous pourrez aussi faire un tour de la galerie des Artistes. Plus de 30 sculpteurs, dessinateurs, photographes exposent leurs œuvres. Paris Expo Porte de Versailles, Paris 15e, du 31 janvier au 4 février. Nocturnes jusqu’à 22 heures les 31 janvier et 2 février. Tarif web: 19 €, gratuit pour les moins de 12 ans; 12 € pour les moins de 16 ans. (Retromobile.fr). 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 30 janvier 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Rétromobile, un siècle de records

 

La semaine prochaine, le 48e salon parisien dédié à la voiture de collection fera l’éloge de la course aux performances sur les circuits, à deux ou quatre roues, et dans les airs.Se surpasser est la grande affaire de l’humanité. Cette année, le salon Rétromobile braque, entre autres, les projecteurs sur ces défis en nous entraînant sur les traces des records automobiles, à moto et aériens, qui ont alimenté le XXe siècle. À l’honneur, l’autodrome de Linas-Montlhéry célèbre son centenaire. Ce circuit fut longtemps le théâtre de nombreux records de vitesse et de distance. En 1925, Renault s’adjuge une série d’exploits avec une 40 CV de 9 litres de cylindrée, parcourant le tour de l’anneau à 178,475 km/h et tournant pendant 24 heures à la vitesse moyenne de 141,031 km/h. 
La décennie suivante, la Panhard 8 cylindres bat le record du monde de l’heure à 214,064 km/h et la Citroën Rosalie tourne pendant 3 000 km à 160 km/h. Rétromobile nous rappelle aussi que le circuit francilien fut l’un des hauts lieux des exploits de la famille Monneret. En 1951, au guidon d’une Puch 125 TS, Georges boucle avec son fils Pierre un tour du monde de 40 000 km à Montlhéry en 24 jours, 21 heures et 43 minutes. Vingt ans plus tard, Georges remet le couvert avec son dernier fils. Pour ses 12 ans, Philippe tourne pendant 24 heures avec son père sur une mobylette Peugeot 104 (2). 
Jusqu’au-boutiste, Georges aura passé sa vie à aller là où personne n’ose s’aventurer. Son obsession des records l’amène à rallier Paris à l’Alpe-d’Huez en Vespa, puis avec le même engin à traverser le Sahara, et enfin à effectuer un Paris-Londres en à peine 5 h 30 en traversant la Manche sur son scooter italien transformé en pédalo-catamaran. 
Chez Renault, un avion Rafale C460. Autre centenaire également célébré, celui de la marque MG, qui possède une riche histoire sur les pistes de records. Dès les années 1930, elle signe des performances internationales. Sa course aux exploits change de terrain après la guerre. En octobre 1946, sur l’autoroute belge de Jabbeke, le pilote Goldie Gardner pulvérise le record à 256,13 km/h. Des records sur le lac salé de l’Utah Dix ans après, c’est au tour de l’Étoile filante de Renault, un prototype animé par un moteur à turbine, de signer une performance inégalée à 308,85 km/h sur le lac salé de Bonneville, dans l’Utah. Toujours chez Renault est exposé un avion Rafale C460, un monoplan monoplace conçu par l’aérodynamicien Marcel Riffard et qui fut le premier à dépasser les 500 km/h. 
L’occasion de se souvenir que Louis Renault avait acquis la marque Caudron au début des années 1930. L’édition 2024 à peine terminée, le rallye Dakar installe son bivouac à Rétromobile pour une passionnante rétrospective. Une quinzaine de véhicules, dont cinq motos, racontent l’aventure de cette compétition qui a changé à jamais le visage du sport automobile. À l’initiative de Thierry Sabine, le premier Dakar s’élance de Paris le 26 décembre 1978, entraînant 200 concurrents, essentiellement des motards, à travers l’Afrique. Le classement couplé auto-moto récompense Cyril Neveu, au guidon d’une Yamaha XT 500.
 L’aventure est en marche. Ce rallye-raid va nourrir quelques-unes des plus belles pages des défis humains et sportifs. Jacky Ickx mais aussi Cyril Neveu, Stéphane Peterhansel, André Dessoude et Thierry de Montcorgé seront présents au salon pour partager leurs histoires avec le public . Paris Expo Porte de Versailles, Paris 15e, du 31 janvier au 4 février. Nocturnes jusqu’à 22 heures les 31 janvier et 2 février. Tarif web: 19 €, gratuit pour les moins de 12 ans (Retromobile.fr).
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr -Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 26 janvier 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des belles de Peter Mullin sur le marché...

 

ENCHÈRES - Dans le cadre de la succession de Peter Mullin décédé en septembre 2023, la maison Gooding & Company va disperser quelques pièces de sa fameuse collection de voitures françaises. Ce n’est qu’un hors-d’œuvre. Dans le cadre de sa vente d’Amelia Island des 29 février et 1er mars prochain, la maison Gooding & Company va disperser quelques pièces de la collection de Peter Mullin. Mais, le commissaire-priseur David Gooding donne déjà rendez-vous pour une deuxième vente organisée au mois d’avril au sein du Mullin Automotive Museum, à Oxnard, une petite bourgade située entre Santa Barbara et Malibu. 
Décédé le 18 septembre dernier à l’âge de 82 ans, cet Américain était à la tête de l’une des plus importantes collections de chefs-d’œuvre de l’âge d’or de la carrosserie française de l’entre-deux-guerres. Amateur de la période Art déco avec sa femme Merle, Peter Mullin avait constitué un musée à la gloire de cette période à Oxsnard, au nord de Los Angeles. Les lieux vont fermer leurs portes le 10 février prochain. Ainsi en ont décidé les héritiers de Peter Mullin. Par un communiqué de presse, la maison Gooding & Company a informé qu’elle avait été mandatée par la famille du collectionneur californien pour disperser des voitures aux enchères. La liste des pièces vendues lors de la vente du mois d’avril n’a pas encore été révélée mais l’étude américaine a déjà fait savoir qu’un assortiment de la vénérable collection serait proposé. À l’occasion de la vente d’Amelia Island, la famille Mullin a confié à Gooding & Co la vente d’une Bugatti 35C Grand Prix de 1925. 
Initialement spécifié comme un Type A, cet exemplaire est le tout premier du genre à avoir été importé en Angleterre. Elle est estimée entre 600 000 et 800 000 dollars. Une seconde voiture provenant de la firme de Molsheim est proposée: un Type 49 de 1931 à carrosserie quatre portes Gangloff. Dans la catégorie des voitures de compétition, la famille Mullin se sépare de l’une des cinq Delage D6 Grand Prix de 1946, châssis 880004. La biplace de Sport est estimée entre 300 000 et 500 000 dollars. Une autre pièce importante de l’histoire du sport automobile français figure dans le catalogue: la Delahaye 175 GP de 1948. Autres pièces maîtresses de la collection à être présentées: une Voisin C28 Clairière Berline de 1936 et une Voisin Type C30 S Coupé de 1938. La première a été estimée entre 350 000 et 450 000 dollars par la maison de vente. 
Parmi les dix-neuf véhicules de la collection Mullin, on trouve aussi une Hispano-Suiza 15T Alfonso XIII de 1911 qui ravira les passionnés d’ancêtres. La sélection de véhicules proposés à Amelia Island nous rappelle que Peter Mullin s’était passionné également pour la marque Citroën. À la vente, il sera possible d’acquérir une Traction Avant 11B Coupé de 1938 et quatre DS à carrosserie spéciale Chapron: une DS19 Concorde et une DS 19 Dandy de 1963; une DS19 Majesty de 1965 commandée à l’époque par Louis Dreyfus; une DS21 Le Leman de 1965. Toutes les voitures de la collection Mullin sont vendues sans prix de réserve. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr

samedi 20 janvier 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Près de 400 voitures de collection à vendre à Paris...

 

ENCHÈRES - Trois grandes maisons de ventes lancent la saison européenne durant la semaine de Rétromobile. Comme chaque année, la semaine de Rétromobile (30 janvier - 4 février) marque le lancement des ventes européennes d’automobiles de collection avec trois vacations organisées par Artcurial Motorcars, Bonhams et RM Sotheby’s. 
La consultation des catalogues montre que les tendances de 2023 se confirment. L’année dernière a été marquée par l’émergence d’une nouvelle génération de collectionneurs attirée par des voitures plus récentes, principalement des voitures de sport et de prestige des années 1980 et 1990 et des supercars produits en série limitée. Principales conséquences: le marché des avant-guerres s’est réduit comme peau de chagrin, devenant hyperspécialisé tandis que le marché des voitures des années 1950 et 1960 commence à chuter. 
Dans ce contexte, les équipes des maisons d’enchères ont entièrement revu leurs catalogues pour s’adapter à ces nouvelles évolutions. Au regard du positionnement du salon Rétromobile - il attire les plus grands collectionneurs du monde entier -, les maisons de ventes se font fort de proposer un catalogue intégrant un savant dosage de véhicules de différentes époques. Une pincée de légendes d’avant-guerre, quelques classiques des années 1950 et 1960 et une large sélection de youngtimers et de supercars récents. La maison RM Sotheby’s ouvre les hostilités le 31 janvier au Carrousel du Louvre avec près de 80 lots. La vedette de la vente est la Ferrari 250 GT Passo Corto Competizione châssis 1773 GT. Ce n’est pas la première fois que cette berlinette jaune passe en vente aux enchères. 
Huitième 250 GT produite en 1960, cette GT a débuté sa carrière sportive aux 12 Heures de Sebring avec la paire George Arents - Bill Kimberly. Elle est estimée entre 9 et 11 millions d’euros. Le catalogue RM comporte également quelques curiosités comme une Rolls Royce Camargue de 1981 ou l’une des deux Fiat 500 que Gianni Agnelli, le patron du constructeur italien, avait fait exécuter en cabriolet de plage par le carrossier Mario Boano en 1958. Alors que l’un des deux exemplaires avait été offerte à Aristote Onassis, le second avait été délivré à Agnelli le 25 juin 1958 dans sa villa Leopolda de Villefranche-sur-Mer. Dotée de sièges recouverts d’osier à l’avant et d’une banquette arrière drapée de velours, la voiture d’Agnelli avait été donnée à Bernadino Aiassa, le chauffeur d’Agnelli, en 1973. Cette voiture de plage est estimée entre 270 000 et 290 000 euros. 
 Les amateurs d’anciennes auront juste le temps de reprendre leur souffle pour la vente Bonhams organisée le 1er février au Grand Palais sous le thème des «Grandes marques du monde à Paris». Le titre n’est pas usurpée puisque les équipes de Philip Kantor ont rassemblé une belle sélection de GT des années 1960 à aujourd’hui. Le catalogue comprend trois Lamborghini de premier choix: une LP 400 Miura et un 4 x 4 LM002 livrés neufs en France, la Countach LP 400 S Série II du salon de Genève 1981. La maison anglo-saxonne vend également l’Aston Martin V8 Vantage de 1989 ayant appartenu à Victor Gauntlett, l’ex-président de la marque de Newport Pagnell, et une rare Porsche 930 Turbo Targa de 1988 vendue neuve en France. À noter aussi la présence d’une Ferrari 412i affichant seulement 28 000 km, de deux déclinaisons découvrables des berlinettes Ferrari du milieu des années 2000: 550 Barchetta et 575 Superamerica. 
Le lendemain, dans l’enceinte de Rétromobile, la maison Artcurial Motorcars clôturera une semaine de vente par une vente de 131 voitures. Comme chez ses concurrents, Ferrari reste la marque la plus représentée. L’équipe de Matthieu Lamoure et Pierre Novikoff propose une rare 250 GT Spyder California châssis long. 
Portant le numéro de châssis 1011 GT, ce spyder provient d’une collection suisse. Elle est estimée entre 8,5 et 11,5 millions d’euros. Autre tête d’affiche de cette vente: une Ferrari275 GTB de 1965 (#0779) vendue neuve en France. Avec son premier propriétaire, un certain M. Belon, la berlinette a participé au rallye du Var en 1966. La vente Artcurial comporte également quelques pépites de la catégorie des supercars. En provenance d’Allemagne, la maison des Champs-Elysées disperse une collection de cinq supercars. 
On trouve un exemplaire de l’inédite berlinette Sián produite à seulement 63 unités, en référence à l’année de création de la marque italienne. Présenté au salon de Francfort de 2019, ce modèle hors-série est propulsé par un V12 hybride délivrant 819 chevaux. Autre machine à l’effigie du taureau, une Aventador LP 780-4 Ultimae, c’est-à-dire l’édition finale de cette GT à moteur 12 cylindres. Amateur de GT modernes d’exception, le collectionneur allemand vend également une Ford GT dans sa variante Heritage Edition lancée en 2020. La décoration de la supercar américaine rend hommage à la victoire de la Ford MkII aux 24 Heures de Daytona 1966 avec Ken Miles et Llyod Ruby. Cette collection mérite de convoquer tous les superlatifs avec la présence des deux McLaren les plus exclusives: la Speedtail et la Senna. 
La première n’a été produite qu’à 106 unités en 2019, autant que la McLaren F1 des années 1990 dont elle se présente comme l’héritière. Comme son inspiratrice, la Speedtail accueille trois places frontales et la conduite centrale. 
Soignant l’aérodynamique avec son arrière allongé, cette berlinette revendique une puissance impressionnante de 1 050 chevaux et une vitesse de pointe de 403 km/h. Quant à la Senna dévoilée en 2017, elle vise les records du tour sur les circuits. Autour d’une cellule monocoque et d’une carrosserie en fibres de carbone ne dépassant pas 1 198 kg et d’un V8 biturbo 4 litres de 800 ch, la GT anglaise établit un incroyable rapport poids-puissance de 1,5. Homologuée pour la route, la voiture hommage au triple champion du monde brésilien de Formule 1 a été produite à 500 unités. 
Au fil des pages du catalogue, on découvre d’autres machines d’exception: deux BMW M1 dont une exclusive version Procar, la première DS3 WRC produite, l’Alfa Romeo 33 TT12 n°011 qui a permis à la marque italienne de remporter le championnat du monde d’endurance 1975, une Porsche Singer immatriculée en France, ce qui est exceptionnel, et la toute dernière Lancia Flaminia Super Sport Zagato 2.8 3C produite. Les amateurs de bombinettes salueront la présence d’une Peugeot 205 GTI 1,6 litre de 1984 totalisant seulement 33 400 km. Ce modèle qui n’a connu que deux propriétaires est estimé entre 25 000 et 45 000 euros. 
 Source : Sylvain Reisser- lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 19 janvier 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des chefs-d’œuvre de la carrosserie française sous le marteau...

 

ENCHÈRES - Samedi 3 février, la maison Osenat disperse à Paris une collection de neuf voitures de l’âge d’or de la carrosserie française. Pour certains, ce ne sont rien d’autre que des automobiles. Pour d’autres, les neuf véhicules, que Me Jean-Pierre Osenat disperse dans le cadre d’une vente publique à Paris le samedi 3 février, sont bien plus que cela. Ce sont des témoins de l’âge d’or de la carrosserie française. Cette collection couvre la période de l’entre-deux-guerres à l’immédiat après-guerre. Elle se compose de cinq Delahaye, de trois Talbot Lago et d’une Delage D8-120. Carrossée en cabriolet Grand Luxe par Chapron en 1937, cette dernière a survécu miraculeusement à la destruction, comme de nombreux modèles de cette époque. 
En 1969, son propriétaire, tombé en panne du côté de Dijon, l’abandonne à son triste sort. Le cabrioletDelage reste pendant 40 ans dehors, sous un auvent. Après une longue restauration qui lui a permis de retrouver son lustre d’antan, la belle française a remporté le Best of Show à la Baule en 2012. Elle est estimée entre 400 000 et 500 000 euros. Autre miracle: la Delahaye 135 M exécutée en cabriolet par Chapron en 1948 aurait dû être vendue au prix du métal. Le casseur qui la récupère en 1966 ne peut se résoudre à découper la Delahaye et la vend pour la modique somme de 150 nouveaux francs. Le catalogue rappelle qu’à cette période, le salaire moyen d’un ouvrier atteignait 10 000 nouveaux francs! Des histoires exceptionnelles à plus d’un titre, les véhicules proposés à la vente Osenat en regorgent. La Talbot Lago T150 C Roadster de 1937 numéro de série 90010 serait la voiture du salon de Paris 1937. Quant au coach Delahaye 135 MS, il porte la signature du fameux carrossier Figoni & Falaschi réputé pour ses magnifiques carrosseries. Modèle unique, ce véhicule est ni plus ni moins que la dernière 135 signée du carrossier de Boulogne. 
Elle serait le prototype de l’Elfe qui allait donner naissance à la 235. L’étude l’a estimée entre 180 000 et 220 000 euros. L’automobile la plus chère de la vacation est la Delahaye 135 MS cabriolet Vedette signée Chapron en 1947. Le carrossier levalloisien en aurait produit seulement cinq exemplaires. La voiture de la vente est la seule avec des poignées encastrées. Actuellement en fin de restauration chez Auto Classique Touraine, la Delahaye n’avait connu qu’un seul propriétaire entre 1962 et 2018. Exposé au salon de Paris 1947, ce cabriolet est estimé entre 800 000 et 1 million d’euros. 
 Source : Sylvain Reisser- lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 2 janvier 2024

CLUB5A - REPORTAGE MOTO - Gilet airbag filaire......un nouvel équipement plus protecteur !!

 

 Spécialiste du gilet airbag, la société Hit-Air lance un modèle doté de performances accrues. Les motards et scootéristes sont parmi les usagers de la route les plus vulnérables. L’an dernier, ils ont encore payé un lourd tribut à la sécurité routière. 577 motards, y compris 36 cyclomotoristes, ont perdu la vie sur les routes de France cela représente certes une diminution de 172 tués mais de nombreux usagers de deux-roues motorisés restent aussi marqués toute leur vie par de graves séquelles d’accidents. Depuis deux décennies, la société japonaise Hit-Air commercialise des gilets airbag qui permettent de renforcer la sécurité des motards. 
Cette entreprise équipe l’ensemble des brigades motorisées de la Gendarmerie nationale, des Douanes françaises et de la Police nationale. Sa gamme composée de plusieurs modèles vient de s’enrichir d’une nouvelle version plus accessible et dotée de performances renforcées. Appartenant à la catégorie des gilets gonflables filaires, le nouveau modèle est une évolution du gilet MLV-RC rétro réfléchissant. Répondant à la nouvelle réglementation européenne concernant les équipements de protection individuelle, la dernière génération de ce gilet se signale par l’adoption d’un boîtier plus performant assurant un déploiement plus rapide de l’airbag. 
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser 

samedi 2 décembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE ET REPORTAGE - RM Sotheby’s à Munich, un résultat solide....

 

ENCHÈRES - Comprenant en majorité des GT récentes, la vente munichoise de la maison anglo-saxonne a vu certains prix s’envoler. En matière de voitures de collection, rien ne sert de tirer des plans sur la comète. Le marché, qui à la vue des résultats d’ensemble de l’année écoulée semblait marquer une pause, évolue finalement en dents de scie. Il est capable de s’enflammer sans que l’on sache très bien en discerner les raisons. Certains experts le compareront à la roulette russe. On ne sait jamais vraiment comment la vente va tourner même si chacun a sa petite idée. À Munich, les équipes de la maison RM Sotheby’s avaient de bonnes raisons de s’estimer satisfait. La vente organisée le 25 novembre dernier a rencontré un beau succès. 
L’enchère la plus élevée est revenue à l’une des 121 Ferrari 365 GTS/4 Daytona Spider. Un amateur a déboursé 3 098 750 euros pour acquérir un rare exemplaire bronze métallisé intérieur beige. A plus d’un million d’euros, on trouvait une Mercedes 300 SL Roadster «Outlaw» de 1957. Adjugé 1 096 250 euros, le roadster à l’étoile pouvait se flatter d’une facture récente de restauration de 400 000 euros mais aussi d’un certain nombre d’améliorations techniques. 
Autre modèle à franchir la barre du million d’euros: la BMW 3.0 CSL de 2023. Produit à seulement 50 unités en 2022 en hommage au cinquantenaire de la division sportive BMWMotorsport, ce coupé développé sur la base de la M4 CSL était facturé 750 000 euros lors de sa commercialisation l’an dernier. Pour faire partie du cercle des 50, un passionné n’a pas hésité à débourser 1 017 500 euros. Autre enchère élevée, celle de la Nissan GT-R50 de 2021. Revue et corrigée par le carrossier italien Ital Design, la GT japonaise a approché le million d’euros, à 975 000 euros. Autre japonaise d’exception, la Lexus LFA, une supercar produite en série limitée à cinq cents exemplaires au début de la décennie 2010 autour d’un V10 4,8 litres a changé de mains contre un chèque de 657 500 euros. 
Troisième exemplaire conduite à gauche produit et première voiture livrée en Europe continentale, l’Aston Martin DB5 Vantage de 1965 a franchi la barre des 700 000 euros, à 780 000 euros. Très attendue, la DS3 WRC au volant de laquelle Sébastien Loeb a remporté son dernier titre de champion du monde des rallyes en 2013 s’est approchée de l’estimation haute, à 713 750 euros. Enfin, la curiosité de la vente, l’unique Mercedes B 300 «Gullwing» carrossée par l’artisan allemand Hartmut Boschert a atteint l’enchère de 455 000 euros. Présentée au salon de Francfort de 1989, cette réalisation avait fait sensation. 
À partir d’un coupé 300 CE, l’artisan avait découpé les ouvrants pour installer des portes papillon, dans l’esprit de la 300 SL de 1954. L’avant avait été modifié pour intégrer le capot et la calandre de la 500 SL W129. L’intérieur reprenait également la sellerie du roadster SL. 
Quant au moteur, il s’agit du six cylindres en ligne 3 litres gonflé à 283 chevaux par l’ajout d’une suralimentation à deux turbocompresseurs. Dans la catégorie des youngtimers, la BMW M3 Sport Evolution de 1992 a été vendue 143 750 euros et la Lancia Delta Integrale Evo 2 de 1994 à peine moins chère, 135 700 euros. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 28 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Automobile: la nostalgie des années 1980-1990

 

 Relégués hier au rang de voitures d’occasion, les modèles de la fin du siècle dernier suscitent désormais la convoitise d’une nouvelle génération de collectionneurs. Une page est en train de se tourner. Comme leurs grandes sœurs d’avant-guerre avant elles, les voitures de collection des années 1950-1960 n’ont plus la cote. «Ces modèles alimentent désormais un marché de vendeurs. La demande s’est réduite comme peau de chagrin», note Quentin Leblond, le fondateur de Mecanicus, un négoce de voitures anciennes. Principaux acteurs de ce marché, les boomeurs ont déserté. 
L’illustration d’un phénomène générationnel. Une tendance que confirme Pierre Collin, l’un des pionniers de la vente, sous l’enseigne Cecil Cars, de ces engins qui ont enchanté les Trente Glorieuses. La désaffection prend une telle tournure que son fils Charles, qui a rejoint l’affaire familiale, envisage sérieusement d’équiper les voitures notamment de la condamnation centralisée des portes, de vitres électriques et d’une caméra de recul, pour séduire les acheteurs. 
Ces raffinements que l’on a pris l’habitude d’abriter sous le terme «restromod» seront-ils de nature à faire revenir la clientèle?…
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 21 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Un air de nostalgie pour les prochaines Renault électriques...

 

ACTUALITÉ - La citadine à moins de 20 000 euros du constructeur au Losange se veut une interprétation moderne de la Twingo 1. Les Renault boys l’appellent «la surprise du chef». À part les hommes du design qui en ont tracé les contours, peu de personnes en interne étaient dans la confidence. Mobilisés dans les environs du circuit de Morefontaine avec une partie des jurés de la Voiture de l’Année pour le premier essai du Scenic électrique, les communicants du constructeur français en charge du produit découvrent avec stupéfaction le retour d’une Twingo au catalogue. 
Devant la presse économique et financière mais également les investisseurs réunis autour de la première présentation de la stratégie de la nouvelle entreprise Ampère dédiée à la mobilité électrique, Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, a fait sensation en dévoilant sur la scène un prototype qui renvoie à la Twingo 1 qui a marqué les années 1990 et qui doit donner naissance à un modèle de série. Après la R5 et la 4L, Renaultpoursuit dans la voie du néorétro. Certains y verront un manque d’inspiration et de créativité. 
D’autres seront séduits par la renaissance de ces icônes qui fleurent bon la nostalgie. Luca de Meo a réussi son coup: les projecteurs sont braqués sur le Losange qui fait preuve d’un dynamisme incroyable. Si la physionomie de la prochaine Twingo renvoie clairement au modèle présenté au salon de Paris de 1992, la silhouette est celle d’un modèle 5 portes. Quant aux flancs et au traitement de la poupe, ils évoquent plutôt la Twingo 2. Une nouvelle Twingo électrique à moins de 20 000 euros.
  Pas commercialisée avant la fin de l’année 2025 ou le début de l’année 2026, la nouvelle Twingo sera animée par un moteur électrique. Elle permettra à Renault de relever le challenge d’une voiture zéro émission à moins de 20 000 euros. Ce véhicule pourrait être produit dans l’usine de Novo Mesto, en Slovénie, en charge de la production de la Twingo depuis la deuxième génération. 
Pour tenir le pari d’une voiture électrique accessible, Renault devra recourir à des technologies éprouvées et déjà rentabilisées sur la Zoé par exemple. S’il est encore trop tôt pour en connaître tous les détails, en 2026, la nouvelle Twingo côtoiera au catalogue de la gamme Ampère la R5 commercialisée l’an prochain, la 4L lancée en 2025, la Mégane E-Tech Electric et le Scenic E-Tech Electric. Ce dernier sera lancé au printemps prochain à un tarif ultra-compétitif.
 Courant 2028, la Mégane et le Scenic seront renouvelés. La prochaine génération de ces modèles inaugurera le moteur électrique E7A à rotor bobiné issu d’un codéveloppement avec Valeo. L’équipementier apporte son expertise sur le stator. Ce futur moteur, dont le rotor se dispensera de recourir à des terres rares, sera 30 % plus compact que les moteurs actuels. De troisième génération, ce bloc fonctionnera en 800V. Il est prévu pour afficher jusqu’à 200 kW (272 ch) de puissance. 
Source : lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 17 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GTO 4 litres: 51,7 millions de dollars aux enchères...

  

Enchère record pour la berlinette vendue par RM Sotheby’s à New York lundi 13 novembre. Presque 52 millions de dollars, soit un peu plus de 48,2 millions d’euros selon le cours actuel des devises. C’est le montant déboursé par un amateur pour acquérir la berlinette Ferrari de 1962 portant le numéro de châssis 3765 LM. Ce véhicule devient la Ferrarila plus chère jamais vendue aux enchères - en 2018, RM a adjugé 48 millions de dollars la 250 GTO châssis 3413 GT - et détient désormais le titre de deuxième enchère la plus élevée pour une voiture. La première place est toujours détenue par la Mercedes 300 SLR coupé Uhlenhaut adjugée l’an dernier 135 millions d’euros.

 La somme rondelette déboursée pour acquérir la Ferrari figure en retrait par rapport à l’estimation de la maison RM Sotheby’s chargée de la vente de cette diva automobile et par rapport aux derniers changements de propriétaires de 250 GTO enregistrées dans le cadre de transactions de gré à gré. Mais la berlinette 3765 LM peut-elle être considérée comme faisant partie de la série des 250 GTO? Là se situe en effet une partie du débat qui a agité le microcosme des collectionneurs avant la vente. La berlinette 3765 LM possède bien une carrosserie de 250 GTO mais sous le capot à gros bossage se cache non pas un 12 cylindres 3 litres mais un 4 litres de 340 ch. Cela vaut parfois à cette berlinette la dénomination 330. 

 Autre sujet à controverse, qui à notre connaissance n’a toujours pas été tranchée: cette GTO spéciale qui est la seule GTO engagée par l’usine en 1962 est-elle celle qui a couru les 1 000 km du Nürburgring et permis à Willy Mairesse et Mike Parkes, deux pilotes officiels de la Scuderia, de terminer à la 2ème place au classement général sur le toboggan allemand? Par contre, cela ne prête pas le flanc à toutes les supputations, la GTO spéciale 3765 LM a bien couru les 24 Heures du Mans 1962 avec l’équipage Mike Parkes et Lorenzo Bandini. La berlinette abandonnait à la sixième heure à la suite de l’ensablage de Parkes à Mulsanne.

 On ne revit jamais la berlinette 4 litres dans une épreuve internationale. Elle fut vendue à un gentleman driver italien qui l’engagea dans des courses de côte durant la saison 1965. En 1967, 3765 LM traverse l’Atlantique comme certaines de ses sœurs. Depuis 1985, elle était la propriété de James Jaeger de Cincinnati, dans l’Ohio. Ce passionné de la marque italienne a été président du club Ferrari en Amérique du Nord. Après 38 ans de vie commune et plusieurs prix dans des concours d’élégance, le septuagénaire avait décidé de se séparer de sa berlinette. 

 Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info.../