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lundi 16 juin 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - De sublimes voitures anciennes : C'était ce week-end, Dinard célèbrait 104 ans d'Élégance automobile...

 

Dinard perpétue la tradition centenaire du concours d'Élégance c'était ce week-end. Samedi 14 et dimanche 15 juin, le public a admirer de sublimes voitures anciennes. « À Dinard, le premier concours d’élégance automobile est né le 4 septembre 1921. Il fut l’un des tous premiers en France et surtout l’un des plus prestigieux », explique Denis Cohignac, organisateur de l’événement. 
La France, à cette époque, grâce aux constructeurs, aux carrossiers et à la couture, disposait de savoir-faire uniques, qui étaient associés lors de ces concours. 
 Entre 1921 et 1939, se sont côtoyées des personnalités du monde des arts, de l’automobile, de la mode et de l’aristocratie internationale. 
Madame Citroën, Mr D’Albert Lake, Betty Spell ou le Grand-Duc Cyrille de Russie y ont par exemple participé. Patrick Le Guen et Denis Cohignac, organisateurs de Dinard Élégance L’élégance traditionnelle à la française Dinard perpétue la tradition du concours d’Élégance, relancé en 2018 par Denis Cohignac, 104 ans après sa création. 
Grâce à la présence de grands collectionneurs, l’événement rendra hommage à cette période en faisant le lien entre histoire, patrimoine et culture. 
Source : actu.fr/bretagne- Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

lundi 9 juin 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTOS AU PAYS DE SAULT DU 16 MARS 2025....

 

Source : LVM N°1290 du 5juin 2029 - Merci BERNARD RICARD pour le suivi de l'info...

samedi 7 juin 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Les 70 ans de la DS au musée Autoworld de Bruxelles

 

Du 25 avril au 29 juin 2025, le musée Autoworld, dédie son espace éphémère aux 70 ans de la DS. Une exposition exceptionnelle qui a tout pour ravir passionnés d’anciennes, Citroënistes et néophytes. Autoworld Situé en plein cœur de Bruxelles dans le parc du Cinquantenaire (du Royaume de Belgique), Autoworld, abrite aujourd’hui le musée national de l’automobile de Belgique. Cet édifice historique et magistral a également accueilli l’Exposition Universelle de 1888 mais aussi de nombreux salons automobiles. 
 La collection permanente se compose de 300 véhicules répartis en plusieurs sections. On y trouve des ancêtres, des populaires, des sportives et modèles de compétition de toutes époques. Le musée regorge de modèles rarissimes formidablement mis en valeur sous sa grande verrière. Citroën DS, an icon turns 70 Au centre de son musée, Autoworld accueille une superbe exposition à l’occasion des 70 ans de la DS. 
Si vous aviez apprécié l’hommage du Salon Rétromobile pour la mythique Citroën (à redécouvrir dans notre article en cliquant ici), vous aurez ici l’occasion de prolonger la visite avec d’autres modèles et un public plus restreint. Le musée propose quelques unes des DS les plus spectaculaires. Toutes partagent cette évocation de la suspension hydropneumatique par la représentation de formes variée de la flottaison. 
En plus de la fameuse DS ballons recréée par les élèves du Garac, une DS fusée décolle vers les cieux tandis qu’une troisième DS s’apprête à atterrir. Cette DS volante est l’œuvre du designer industriel Philippe Swimberghe et s’inspire du modèle exposée lors de la Triennale de Milan en 1957. Seulement deux années après sa présentation au salon de Paris, la Citroën est alors déjà élevée au statut d’œuvre d’art. Redescendons sur terre. Pour les 70 ans de la DS, Autoworld ne pouvait pas faire l’impasse sur l’histoire locale. En effet, ce sont 10.352 exemplaires qui ont été assemblés dans l’usine Belge de Forest. Cette DS 19 noire au toit bleu issue de cette production a été livrée neuve en Suède en 1958. Elle compte aujourd’hui seulement 19.900 km au compteur. Derrière se trouvent deux modèles en finition Pallas, une DS 19 et une DS 23 bleu delta à injection électronique Bosch (130 ch et 190km/h !). 
A côté une autre rangée présente une ID 19 break confort de 1966. La voiture familiale par excellence avec ses huit places offertes grâce aux strapontins disposés en quinconce dans le coffre. Tout aussi pratique, la DS 23 ambulance de cette exposition est restée en service jusqu’à 2008 ! Les 70 ans de la DS se poursuivent dans chaque recoin du musée. De belles vitrines sont garnies de documents d’époque, articles et catalogues ainsi que de nombreuses miniatures originales retraçant l’histoire de la Citroën. Les modèles exposés par Autoworld sont dans un état exceptionnel et pourrait faire même douter de leur origine tant ils sont bien conservés. 
Avec cette ID 19 Grand Luxe Super Confort dans son jus, les amateurs de patine devraient être aux anges ! Mon coup de cœur de cette exposition revient à cette DS 21 de 1969. C’est un modèle raccourci de 52 cm et préparé dans le style des réalisations que pilotaient Bob Neyret. Accompagné de son navigateur Jean-Pierre Chastin, son créateur et pilote Marcel Lavalle participa à de nombreux rallyes tels que la Coupe des Alpes, le Critérium des Cévennes ou encore le Tour Auto du Portugal. Une sportive avec autant de charme que de performances car cette DS affiche une vitesse de pointe de 200 km/h ! 
Le paradis des Citroënistes 
Avec son exposition « Citroën DS, an icon turns 70 », le musée Autoworld nous a concocté une sélection de choix retraçant avec brio les évolutions de la DS. 
La disposition aérée des modèles permet de les apprécier sous toutes les coutures. 
Le plateau mérite à lui seul le déplacement, alors ne tardez pas ! 
Source : newsdanciennes.com-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

lundi 2 juin 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - 70 ans d'Alpine le plus grand rassemblement automobile du monde de la marque dieppoise...

 

De la Berlinette à la Formule 1, mille six-cents Alpines ont afflué à Dieppe. Un hommage au créateur dieppois de la marque Jean Rédélé. Bernard Darniche, champion du monde des rallyes 1973 sur Alpine a fait le déplacement, il a toujours le feu sacré pour l'Alpine. 
Elégamment disposées sur le tapis vert des pelouses de la promenade de la plage de Dieppe, les Alpines semblent se prélasser entre amies face à la mer. Le bleu métallisé vibrant domine, mais il y a aussi des bolides rouges, noirs ou jaunes citron. Ce rassemblement de 1600 voitures est organisé ce week-end de l'Ascension pour le 70e anniversaire de la marque créee par le constructeur Jean Rédélé. 
Il est décédé en 2007. Tous pensent à cet homme qui a révolutionné la façon de faire un bolide en 1955. "Il n'y a pas une marque avec une cote d'amour aussi forte ! " Pour ce rassemblement, Bernard Darniche, pilote de rallye français mythique, a fait le déplacement. Celui qu'on surnommait "la luge" n'a pas perdu son énergie, son regard perçant et sa passion pour l'automobile. Darniche a couru plusieurs saisons en Alpine et a été sacré (avec ses coéquipiers Terrier et Nicolas) champion du monde 1973 en A110. Cette voiture de course n'était pas en tôle, mais en polyester, beaucoup plus légère avec des pièces de série. c'était totalement innovant ! C'est d'une agilité invraisemblable, on a eu des autos qui pesaient jusqu'à 550 kg à peine plus lourdes qu'une moto Bernard Darniche, ancien pilote de rallye et champion du monde 1955-2025- Le plus grand rassemblement mondial d'Alpines à Dieppe A Dieppe, le rassemblement des 70 ans d'Alpine dure jusqu'à 18 heures ce dimanche 1er juin. 
 Le Grand Prix de F1 d'Espagne y sera retransmis sur écran géant à partir de 14h30.Le pilote normand Pierre Gasly de l'écurie Alpine aura du soutien. 
 Source : france3-regions.franceinfo.fr/normandie-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 1 juin 2025

Peugeot 203, Renault 4CV : des populaires françaises aux enchères à Brive-la-Gaillarde

 

Le commissaire-priseur Charles Gillardeau présentera le 7 juin aux enchères plusieurs automobiles françaises typiques des années 1950, dont une Peugeot 203 découvrable et une Renault 4CV en parfait état de restauration. C’est un bel échantillon des véhicules présents sur les routes françaises au cours des années 1950 qui sera proposé aux enchères par la maison Brivenchères le 7 juin à Brive-la-Gaillarde. Figurent au catalogue quelques-uns des modèles les plus populaires de cette décennie, à commencer par une Renault 4 CV de 1958, un modèle « Sport » entièrement restauré dans un joli vert amande (4 000 – 7 000 euros). Une Peugeot 203 découvrable de 1952 dans un état remarquable L’automobile phare de la vente est cependant une Peugeot 203 dans une rare version découvrable proposée par Peugeot uniquement entre 1949 et 1954. 
Ce modèle de 1952, qui comporte encore des flèches et le Lion de bout de capot, a été entièrement restauré et se trouve dans un état proche de la perfection. Il dispose en sus de quelques accessoires dont des longues portées et une montre de volant typique de son époque (12 000 – 16 000 euros). Il est accompagné par l’une des dernières 202 berline de 1948, elle aussi intégralement restaurée ( 4 000 – 7 000 euros). Une Simca 8 de 1950 L’une des dernières Simca « italiennes » sera également proposée lors de cette vacation. Il s’agit d’une Simca 8 de 1950, un modèle étroitement dérivé de la Fiat 1100. 
Cet exemplaire a été équipé à postériori d’un moteur Flash d’Aronde, une transformation courante à l’époque (3 000 – 5 000 euros). A noter enfin la présence de plusieurs tracteurs Renault, Vendeuvre et Massey Harris, ainsi que d’une Santana Samuraï de 1989 en édition spéciale Nairobi, dont la carrosserie a miraculeusement échappé à la rouille (4 000 – 6 000 euros). 
Source : magazine.interencheres.com-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 30 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - L'ASSEMBLÉE NATIONALE VOTE LA SUPPRESSION DES ZFE !

 

Ce mardi 28 mai 2025, l’Assemblée nationale a voté la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), dans le cadre de l’examen du projet de loi de simplification. Ce vote, intervenu en fin de soirée, a été adopté par 98 voix contre 51. Un signal fort, et controversé, envoyé à la fois aux collectivités locales, aux automobilistes et aux institutions européennes. ZFE : une mesure conçue pour améliorer la qualité de l’air Les ZFE ont été introduites en France à partir de 2019 pour répondre à un impératif sanitaire : réduire l’exposition de la population urbaine aux polluants atmosphériques, en limitant la circulation des véhicules les plus anciens. 
Mises en place dans plus d’une quarantaine d’agglomérations, elles devaient encore s’étendre à d’autres zones d’ici 2025, conformément à une obligation européenne. Mais ces dispositifs ont rapidement suscité des critiques, notamment sur leur impact social. De nombreux conducteurs, en particulier issus des classes moyennes ou populaires, se retrouvaient dans l’impossibilité de remplacer leur véhicule ou d’accéder à certaines zones urbaines. La colère sociale, déjà alimentée par la hausse du prix des carburants, s’est cristallisée autour de ces restrictions perçues comme injustes. Un vote transpartisan inattendu Le vote en faveur de la suppression des ZFE a surpris par la diversité des soutiens. 
Des députés Les Républicains, Rassemblement national, La France insoumise et une poignée d’élus de la majorité présidentielle ont convergé pour faire tomber cette mesure emblématique. À l’inverse, des membres du gouvernement et des écologistes ont dénoncé une décision irresponsable en matière de santé publique et de respect des engagements climatiques. La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a défendu une position intermédiaire : maintenir les ZFE dans les grandes métropoles comme Paris et Lyon, tout en introduisant davantage de souplesse. Mais sa proposition n’a pas convaincu l’hémicycle, qui a opté pour une suppression pure et simple. La suppression des ZFE aura des conséquences juridiques et financières Au-delà du signal politique, cette décision pourrait entraîner des tensions avec Bruxelles. 
La France s’était engagée, via son Plan national de relance et de résilience, à réduire drastiquement la pollution de l’air dans ses zones urbaines. Le non-respect de ces engagements pourrait coûter jusqu’à trois milliards d’euros en pénalités, selon une note de la Direction générale du Trésor. Par ailleurs, la suppression des ZFE pourrait être attaquée devant le Conseil constitutionnel. Plusieurs juristes pointent une possible rupture d’égalité entre les citoyens, ainsi qu’une incohérence dans l’objet même du projet de loi, censé se limiter à des mesures de simplification administrative. Une mesure populaire mais à double tranchant.
 Sur le terrain, cette décision a été bien accueillie par une partie des automobilistes et élus locaux. Certains y voient une respiration bienvenue face aux contraintes réglementaires de plus en plus nombreuses. D’autres, au contraire, redoutent un retour en arrière. Les associations de défense de l’environnement, comme Respire ou France Nature Environnement, dénoncent un renoncement au détriment de la santé publique. Chaque année en France, la pollution de l’air est responsable de près de 40 000 décès prématurés. Dans les grandes villes, les pics de pollution aux particules fines ou au dioxyde d’azote sont régulièrement dépassés, avec des conséquences documentées sur les maladies respiratoires, cardiovasculaires et même neurologiques. 
Un débat qui ne fait que commencer Le texte de loi n’a pas encore été adopté définitivement. Il devra encore passer au Sénat, où la majorité de droite pourrait soutenir la suppression, mais où des amendements sont possibles. La version finale fera ensuite l’objet d’un vote de ratification à l’Assemblée nationale, probablement en juin. Derrière cette décision, se joue une ligne de fracture de plus en plus visible : entre impératifs écologiques et préoccupations sociales, entre normes européennes et réalités locales. La suppression des ZFE, loin d’être un épilogue, ouvre une nouvelle phase du débat sur la transition écologique en France. 
Source : autos-motos.fr

mercredi 28 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le jury du célèbre concours d’élégance italien a attribué le premier prix à une Alfa Romeo P3, l’un des monstres sacrés des grands prix des années 1930.

 

Si pour la seconde année consécutive, le Best of Show du concours d’élégance de la Villa d’Este a été attribué à une Alfa Romeo, les belles d’Arese ont souvent eu les honneurs de l’événement qui se tient sur les rives du lac de Côme. On peut même penser qu’en ce lieu si romanesque, es années 1930 ont définitivement les faveurs du jury du concours d’élégance. Cette année encore, le Best of Show a été attribué à un véhicule de la période de l’entre-deux-guerres. Après la Bugatti 57 S cabriolet Vanvooren en 2022, la Duesenberg SJ en 2023 puis, l’an dernier, l’Alfa Romeo 8C 2900 B carrossée par Touring et maintenue dans son état d’origine, c’est au tour d’une Alfa Romeo P3 Tipo B de remporter la consécration suprême. Cette monoplace de course n’est pas une voiture comme les autres. Conçue par le brillant ingénieur Vittorio Jano, la Tipo B a marqué son époque. Introduite en 1932, la Tipo B impose d’emblée sa loi aux mains de Tazio Nuvolari et de Rudolf Caracciola, face aux Bugatti vieillissantes et aux machines allemandes encore débutantes.
 Entièrement tournée vers la performance, la ligne reste un chef-d’œuvre de classicisme. Alors que le poids ne dépasse pas 700 kg, le 8 cylindres en ligne de 2,6 litres délivre 215 ch grâce à l’adjonction de 2 compresseurs Roots. Pour résister à la concurrence, la cylindrée sera successivement portée à 2,9 litres (255 ch) puis 3,1 litres (265 ch) en 1935. L’euphorie aura été de courte durée. En 1933, Alfa Romeo se retire officiellement de la compétition et confie l’exploitation des P3 à un certain Enzo Ferrari qui, après avoir couru sur les machines rouges au début des années 20, et prit la distribution de la marque à Modène, a créé la Scuderia Ferrari en 1929, en charge de l’engagement des voitures de course pour le compte de riches gentlemen-drivers. Grâce au concours de Pirelli, c’est ainsi que débute la deuxième vie des P3, parées du cheval cabré noir sur fond jaune, insigne qui réplique celui de l’aviateur Francesco Baracca, l’as de la Grande Guerre. Malgré tous les efforts, les Latins ne peuvent résister à la suprématie germanique et, en mars 1937, Ugo Gobbato, le nouveau patron d’Alfa, rachète la Scuderia Ferrari et le département compétition réintègre l’usine du Portello à Milan. Par ailleurs, le trophée Coppo d’Oro résultant du vote du public a été attribué à une BMW 507 roadster de 1957. 
Source lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 25 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Mercedes Pagode, Porsche 911 et Austin Healey : les grandes classiques de la collection aux enchères au Touquet

 

Mercedes Pagode, Porsche 911, Austin Healey, Citroën 2CV, MGB : les automobiles parmi les plus collectionnées seront représentées lors de la vente de véhicules orchestrée par Denis Herbette le 18 mai au Touquet. Roadsters anglais, sportives italiennes, populaires françaises… tous les genres de la collection seront réunis lors de la vente de 51 automobiles et motos organisée par Denis Herbette le 18 mai au Touquet. Les roadsters seront représentés par une Austin Healey 3000 de 1961 aux mains du même propriétaire depuis 2008 qui lui a offert en 2015 une restauration de carrosserie très soignée dans une agréable configuration de teintes noire et rouge (45 000 – 50 000 euros). Autre archétype britannique, une Triumph TR3, bien entendu rouge. 
Elle a fait l’objet de nombreux travaux touchant le refroidissement et l’allumage du moteur, dont les excellentes compressions témoignant de sa bonne santé (17 000 – 21 000 euros). Deux MGB complètent cette sélection de roadsters, l’une à pare-chocs et calandre chromée de 1972 en parfait état de fonctionnement et de présentation (15 000 – 18 000 euros) et l’autre à pare-chocs caoutchouc et conduite à droite de 1973, dont l’estimation apparaît très attractive (5 000 – 6 000 euros). Mercedes Pagode, Porsche 911 et Citroën 2CV Les standards d’Outre-Manche ne seront pas les seuls à être célébrés lors de la vente normande. Au catalogue s’invite en effet l’un des roadsters allemands les plus purs, la Mercedes Pagode, dans une version proche du lancement puisqu’il s’agit de la 245e 230 SL produite en 1963. Elle a fait l’objet de très nombreux travaux totalisant près de 40 000 euros de dépenses documentées durant les dix dernières années, alors que l’auto appartient à la même famille depuis 1988 (65 000 – 75 000 euros). Plusieurs générations de Porsche 911 complètent cette sélection allemande, dont une 964 cabriolet deux roues motrices de 1991 dans une intéressante combinaison de couleur blanche intérieur bleu (50 000 – 60 000 euros). L’une de ses descendantes directes, une 993 Coupé, propose une configuration intéressante par ses nombreuses options et son historique d’entretien documenté, notamment par son carnet de service d’origine tamponné (60 000 – 80 000 euros). On remarque enfin un Land Rover 109 Série III (35 000 – 45 000 euros), une Alpine A110 V85 de 1976 (70 000 – 90 000 euros) et trois Citroën 2CV, dont une AZ de 1959 (10 000 – 12 000 euros). Source : magazine.interencheres.com/ Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 23 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Ferrari de Schumacher victorieuse à Monaco en 2001 est à vendre...

 

La maison RM Sotheby’s vend le 24 mai l’une des monoplaces parmi les plus emblématiques de la suprématie du champion allemand au début des années 2000. Passer la publicité Le châssis 211 de la F2001 que RM Sotheby’s vend aux enchères le 24 mai prochain à Monaco, la veille du grand prix, est un modèle à part dans la généalogie des monoplaces de Maranello. Au volant de cette voiture, le déjà triple champion du monde allemand Michael Schumacher remporte en 2001 le grand prix de Monaco en mai mais également le grand prix de Hongrie, ce qui lui permet d’être titré dès la fin du mois d’août, pour la quatrième fois. Avec sa victoire en Hongrie, le pilote allemand égale le record de victoires détenu jusque-là par Alain Prost. Cette année-là, Schumacher remporte neuf grands prix - Australie, Malaisie, Espagne, Monaco, Europe, France, Hongrie, Belgique et Japon.
 En 2001, c’est la seconde fois de sa carrière que le champion allemand remporte le grand prix de Monaco sur une Ferrari. Premier à s’élancer dès l’extinction des feux, Schumacher ne s’est pas contenté de contrôler la course. Sans doute pour chasser l’ennui, le pilote Ferrari a multiplié les records du tour, s’offrant même le luxe de prendre un tour à David Coulthard. Décidément, ce jour-là, Schumacher était en état de grâce. Ross Brawn, le directeur technique, se permit même un rappel à l’ordre, lui enjoignant de rester concentré. À l’approche de la fin de la course, il devait ralentir le rythme, permettant ainsi à son équipier Rubens Barrichello de revenir à près de 3 secondes avant d’entamer le dernier secteur, sur le port. Il franchissait finalement la ligne d’arrivée avec 0,431 seconde d’avance sur le Brésilien. Une arrivée groupée qui renforçait encore plus la suprématie de Ferrari et qui ravissait les photographes. Aucune estimation de cette illustre monoplace Ferrari n’a été divulguée mais il paraît probable que la F2001 châssis 211 victorieuse à Monaco et en Hongrie dépasse les 2 millions d’euros. En 2014, une Ferrari ex-Schumacher de 2000 avait été adjugée 1,8 million de dollars. Animée par le V10 Ferrari, la monoplace mise en vente à Monaco représente le nec plus ultra des années de domination du couple Schumacher-Ferrari en F1. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 22 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Insolite. Aux Pays-Bas, une concession dédiée aux Renault de collection et aux youngtimers..

 

Aux Pays-Bas, la concession Heurkens Classics est spécialisée dans les Renault et Alpine de collection. 4CV, R25, Espace 2, Clio V6, A610… que vous soyez plutôt sportif, classique ou youngtimer, il y en a pour tous les goûts à des prix globalement raisonnables, à quelques exceptions près. 
Fondé il y a 42 ans, le groupe de distribution automobile néerlandais Heurkens est aujourd’hui associé au groupe Renault. En plus de quatre décennies, il a donc vu défiler nombre de modèles de la marque au losange aujourd’hui considérés comme des classiques… et y est resté attaché. 
Sa concession d’Echt dispose d’un département Classics qui ne propose à la vente que des Renault et Alpine de collection, anciennes comme youngtimers. Les années 1980 et 1990 en force Entrer dans le hall d’exposition de Heurkens Classics doit donner l’impression de revenir quelques décennies en arrière, tant les voitures proposées sont dans un bel état cosmétique. 
Certaines sont peu communes et peu kilométrées. Actuellement, on y trouve par exemple une Renault 25 V6 de 1988 avec moins de 75 000 km au compteur affichée 15 945 €, et sa variante limousine signée Heuliez au même prix avec à peine plus de 130 000 km à son actif. Plus spacieux encore, un Renault Espace 2 diesel de 1995, affichant à peine 16 040 km, est à vendre pour 16 945 €. 
Ceux qui préfèrent les modèles plus compacts pourront se tourner vers une Twingo de 1995 avec 136 000 km au tableau de bord proposée pour 5 945 €, ou vers une Mégane Cabriolet de 1997 de moins de 100 000 km à vendre au même prix. La R5 GTL de 1982 affichée 8 945 € avec plus de 190 000 km indiqués, en revanche, risque d’avoir plus de mal à trouver preneur bien qu’il s’agisse d’une première main. 
D’Alpine à Renault Sport Côté sportif aussi, le catalogue a de quoi séduire les amateurs. La perle du moment est une Clio V6 phase 1 de 2003 (l’une des dernières) ayant parcouru moins de 118 000 km, affichée 58 945 €. 
Trop cher ? Sa « petite soeur » Clio 2 RS phase 2 de 2001 (l’une des premières) est disponible pour 9 945 € avec moins de 120 000 km derrière elle. Entre les deux, une Supercinq GT Turbo de 1989 avec 80 373 km demande la coquette somme de 32 945 €. Les « 5 » ont décidément la cote. Deux Alpine sont également au catalogue actuellement : une A610 Turbo de 1994 avec 86 037 km au prix de 58 945 €, et une A310 V6 de 1979 avec 71 498 km au prix de 32 945 €. 
Les trente glorieuses du losange Heurkens Classics n’oublie pas les collectionneurs d’anciennes. La liste de ses annonces du moment comprend une 4CV de 1961, une R16 de 1966, une R4 de 1969 ainsi qu’une R8 de la même année toutes proposées entre 10 000 et 15 000 € pièce. 
Une bonne adresse pour les fans de la marque au losange donc, à condition qu’ils soient prêts à faire de la route et s’engager dans des démarches d’import (heureusement intra-européennes) s’ils y trouvent la voiture de leurs rêves. En France, Renault met en place un réseau de garages spécialisés dans les véhicules historiques pour soutenir cette clientèle. 
 Source : Media Image - largus.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 20 mai 2025

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Léon XIV va-t-il abandonner les papamobiles blanches ?

 

Depuis son élection, le pape Léon XIV n’a encore jamais été aperçu dans une papamobile, ni même dans la fameuse Fiat 500 blanche de son prédécesseur. Pour ses déplacements, il a jusqu’à présent utilisé un van Volkswagen qui compte parmi les 900 voitures immatriculées au Vatican.
 Pour sa première sortie hors de Rome, le 10 mai dernier, le pape Léon XIV s'est rendu à Genazzano afin de visiter le sanctuaire de Notre-Dame du Bon Conseil. Un trajet d’une trentaine de kilomètres effectué à bord d'un Volkswagen Multivan de couleur foncée. Un détail qui a surpris le monde entier tant il est habitué à voir les papes se déplacer par les airs ou à bord d’une simple Fiat 500 blanche, comme le faisait François. Le lendemain, c’est un Volkswagen Tiguan qu’il utilise. 
Et rebelote, le 13 mai. Léon XIV est aperçu cette fois sur le siège arrière d'un SUV Volkswagen noir, immatriculé au Vatican, pour rejoindre les bâtiments de l'Institut patristique Augustinianum, à une centaine de mètres du Vatican. Léon XIV aurait-il renoncé aux papamobiles qui se caractérisent généralement par leur livrée blanche et une immatriculation vaticane ? Comme tout État souverain, le Vatican dispose de ses propres plaques d’immatriculation pour identifier les véhicules terrestres de son ressort. Actuellement, quelque 900 véhicules arborent la rare inscription "SCV" ou "CV" et peuvent entrer sans autorisation sur le petit territoire de 0,44 km2. 
La plaque d’immatriculation du Pape, "SCV1" écrite en lettres rouges sur fond blanc, est bien connue. On la trouve sur tous les véhicules du pontife, comme les fameuses papamobiles blanches décapotables sillonnant les foules, ou encore la sobre Fiat 500 qu’empruntait François durant ses voyages à l’étranger ou ses déplacements à Rome. Le permis de conduire au Vatican Le site du gouvernorat explique que le Registre des véhicules du Vatican – équivalent du Système d’Immatriculation des Véhicules français – est quasiment centenaire. Il a été institué en 1930, soit un an après la création de l’État de la Cité du Vatican. Outre l’enregistrement du parc automobile étatique, ce département délivre des permis de conduire aux citoyens du Vatican. Particularité : au Vatican, les permis du monde entier sont convertissables sans restriction. 
En vertu des accords avec l’Italie, il est même possible de passer une partie du permis de conduire – l’examen théorique – entre les Murs léonins. L’examen pratique en revanche se fait dans la Péninsule. Le permis du petit État, orné du blason aux clefs et à la tiare, est valide en Italie et à l'étranger à condition d’être accompagné du permis de conduire international. Il existe deux sortes de plaques au Vatican : les SCV et les CV. Les "SCV" (sigle de Stato della Città del Vaticano) appartiennent à l’État et sont réservées à un usage institutionnel pour le gouvernorat et les organes du Saint-Siège. Elles s’appliquent notamment aux véhicules du "garage pontifical", c’est-à-dire la suite du pape. À titre privé, les responsables des dicastères de la Curie romaine et du gouvernorat et plus généralement tout citoyen du Vatican peuvent obtenir la plaque "CV" pour leur voiture. Quelque 600 plaques d’immatriculation de "SCV" et 300 "CV" sont actuellement en circulation au sein du plus petit État du monde.
 Les voitures portant des plaques d’immatriculation des autres pays nécessitent une autorisation préalable pour y accéder. Leur conducteur la présente aux gardes suisses ou aux gendarmes aux portes du Vatican. Les quatre-roues du Vatican deviennent par ailleurs de plus en plus "verts". Depuis 2023, le petit État a entrepris le remplacement progressif des véhicules qui lui appartiennent par des véhicules électriques, afin de rendre son parc automobile neutre en carbone d’ici 2030. Le pape François avait quant à lui reçu en décembre dernier les clefs d’une nouvelle papamobile à zéro émission de la marque allemande Mercedes-Benz. 
Source : https://fr.aleteia.org/ Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info....

dimanche 18 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Fin d’activité pour Joop Stolze Classic Cars...

 

Fin d’une époque : l’important négociant néerlandais Stolze Classic Cars arrête la vente de voitures classiques après près de 50 ans d’activité. 
Joop Stolze, 80 ans, liquide donc son stock restant par le biais d’une vente aux enchères en ligne qui a débuté le 24 avril pour se terminer cette semaine, vendredi 16 mai. Joop Stolze, fondateur de la concession néerlandaise Stolze Classic Cars (peut-être la plus grande d’Europe, avec 17.000 voitures vendues depuis 1976), a décidé de passer la main.
 Il a vendu son stock résiduel lors d’une vente aux enchères en ligne qui a débuté le 24 avril 2025. Nous étions nombreux à avoir exploré son imposant espace de stockage partagé entre hangars traditionnels et anciennes serres qui ont accueilli parfois plus de 500 voitures ! 
 Il a déjà réduit de moitié le nombre de voitures de son stock pour se consacrer à un « nouveau hobby » : construire des appartements de retraite abordables où les seniors peuvent vivre en société. C’est la la société néerlandaise Classic Car Auctions qui est en charge de la vente de près de 240 voitures constituant le stock de la société. Stolze a vendu environ 17 000 voitures depuis qu’il a importé sa première TR3 du Royaume-Uni en 1976, une grande partie de son stock provenant des États-Unis. « Je possède toujours cette TR3 », dit-il. « Je fais du rallye depuis 47 ans et, en tant que concessionnaire, j’ai eu trop de voitures pour savoir lesquelles me plaisent, mais j’aime toujours autant ma Cisitalia, une Fiat à carrosserie Boano et des Maserati, que je préfère aux Ferrari. J’aime aussi beaucoup les Alfa Romeo, surtout celles à carrosserie Zagato. Ça va me manquer » 
Source : autocollec.com/

lundi 12 mai 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Prestige Auto Beaune : vitrine des supercars d’exception...

 

Unique en son genre, le salon bourguignon, réunit du 16 au 18 mai tous les acteurs de la voiture de sport et les grands noms de la carrosserie italienne. Inutile de chercher : Prestige Auto Beaune est aujourd’hui le seul salon en Europe à regrouper les principaux constructeurs et artisans de voitures de sport et d’hypercars. Cette année, à l’occasion de sa quatrième édition, l’événement bourguignon monte encore en gamme. Outre la présence de la berlinette Ferrari à moteur 12 cylindres, la Dodici Cilindri, et des derniers modèles portant les labels Aston Martin, Bentley, BMW et Porsche, le salon fait la part belle à l’industrie italienne et à ses artisans carrossiers. Bertone est représenté à travers sa GB110 (1) qui porte les initiales du fondateur - Giovanni Bertone - et qui célèbre le 110e anniversaire de l’entreprise. Ce supercar, dont les lignes revendiquent leur filiation avec le concept Lancia Stratos Zero de 1970, est propulsé par un V10 5,2 litres d’origine Lamborghini. 
Avec le renfort de deux turbos, il affiche une puissance de 1 124 ch. Le bureau de style Italdesign présente, pour la première fois en France, le concept Quintessenza (2) dévoilé l’an dernier au concours d’élégance de Pebble Beach. Son principal atout : une carrosserie modulable permettant de passer d’une voiture de sport surélevée à un pick-up. Italdesign a aussi participé au convaincant concept Rapida réalisé par des étudiants de l’école IED de Turin. Si elle se contente d’un V10 atmosphérique de 720 ch, la GT italienne Pambuffetti PJ01 affiche des performances incroyables. Dans ce domaine, la palme revient à l’Aspark Owl SP600. 
Conçue en Italie par la Manifattura Automobili Torino avec des capitaux japonais, cette hypercar électrique est entrée dans le Guinness des records, accrochant le 31 octobre dernier la vitesse de pointe de 438,7 km/h. Beaune est aussi l’opportunité de retrouver la Maserati MCXtrema (3), une MC20 développée pour rouler sur circuit. Produite à seulement 62 exemplaires, cette véritable voiture de course est propulsée par une version vitaminée du V6 3 litres biturbo Nettuno. Sa puissance a ainsi été portée à 730 ch alors que le poids a été ramené à 1 300 kg. 
 70 ans d’alpine La France n’a pas été oubliée avec un espace dédié aux 70 ans d’Alpine et à la Quarkus Hypernova, fruit de la détermination de Damien Alfano, ingénieur et physicien de formation. Sa GT remet au goût du jour la légèreté. L’exclusivité est également la marque de fabrique de la marque française de motos Brough Superior, qui partage ses dernières réalisations. Enfin, on profitera de Prestige Auto Beaune pour rencontrer les personnalités du monde de la course : David Hallyday, pilote de GT, et le champion du monde des rallyes Ari Vatanen. Bugatti sort son bolide S’il a, pour le moment, renoncé à s’aligner en compétition, le constructeur alsacien a fini par céder aux pressions de ses clients les plus sportifs qui réclamaient un modèle tourné vers un usage piste. 
Baptisé Bolide et produit en série limitée à seulement 40 unités, ce véhicule porte bien son nom. Le supercar français sera l’une des attractions du salon. Dénuée de toutes contingences, cette hypercar est le modèle le plus extrême jamais produit par le constructeur de Molsheim depuis qu’il est entré dans le giron du groupe Volkswagen, à la fin des années 1990. Autour du W16 à quatre turbos de 1 600 ch, d’un poids de 1 450 kg et d’une aérodynamique sophistiquée, les ingénieurs ont livré leur vision d’une Bugatti de course. Salon Prestige Auto Beaune : Palais des congrès de Beaune, de 10 h à 19 h. Tarifs : 20 €, 14 € (étudiants), gratuit pour les moins de 12 ans. Parking : 3 €, gratuit à la sortie d’autoroute 24.1 Beaune Sud, navettes gratuites ou 15 minutes à pied. 
Source : lefigaro.fr