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vendredi 31 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Caméras embarquées dans les voitures : diffuser les images sur les réseaux sociaux peut vous coûter très cher

 

Après l’affaire du motard percuté par une voiture de police sur l’A4, filmée par une dashcam, le flou juridique entourant ces caméras embarquées refait surface. Si le RGPD et le Code pénal s’appliquent en théorie, leur mise en pratique reste complexe. Passer la publicité Depuis mi-octobre, une vidéo tournée par une dashcam, ces caméras embarquées dans les voitures, enflamme les réseaux sociaux. On y voit un motard, Hugo, 37 ans, circulant sur l’autoroute A4 à la sortie de Paris, se faire percuter par une voiture de police équipée de son gyrophare. Cet enregistrement est aujourd’hui au centre d’une enquête pour violences volontaires confiée à l’IGPN, après que le motard a porté plainte pour tentative de meurtre par une personne dépositaire de l’autorité publique. 
Au-delà de l’affaire elle-même, la question de l’utilisation des dashcams - notamment pour donner des éléments de preuve dans les litiges routiers - est propulsée sur la place publique. En France, aucun texte n’encadre explicitement ces caméras embarquées, alors même que leur popularité croit auprès des automobilistes et surtout des assureurs. Pour autant, c’est un peu technique, deux textes de lois majeurs s’appliquent : le fameux RGPD et le droit à l’image. 
La Cour de Justice de l’Union Européenne a tranché cette question dès 2014 : dès lors qu’une caméra filme, même partiellement, l’espace public, elle ne peut être considérée comme relevant d’une activité exclusivement personnelle ou domestique. 45.000 euros d’amende ? 
Autrement dit, l’utilisateur doit respecter les obligations légales liées à la collecte, la conservation et la diffusion des images : informer les personnes concernées, limiter la durée de conservation, ne pas diffuser publiquement sans anonymisation, et justifier la nécessité du traitement. L’article 226-1 du Code pénal semble également s’appliquer : diffuser l’image d’une personne sans son consentement constitue une atteinte à l’intimité de la vie privée. 
Les sanctions prévues sont lourdes : un an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. Et ces textes s’appliquent dès lors que vous publiez sur les réseaux sociaux (Facebook, YouTube, Instagram, TikTok) des vidéos montrant des personnes identifiables ou des plaques d’immatriculation non floutées. Seulement voilà, tout cela reste bien flou. Sur un post du blog «Village de la justice», l’avocate spécialisée en données personnelles Charlotte Galichet s’interroge. 
Les automobilistes équipés de dashcams doivent théoriquement informer les personnes concernées de l’existence du dispositif, de l’identité du responsable de traitement, des finalités du traitement et de la durée de conservation des données. Comment alors, communiquer une telle information aux personnes filmées sur la route ? Un macaron apposé sur la voiture suffirait-il ? Faudrait-il un QR Code ? «Toutes ces questions doivent être tranchées par le législateur», conclut-elle. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 30 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La folie des BMW sportives des années 1990 aux enchères...

 

Le 18 octobre dernier, lors de la vente RM Sotheby’s de Munich, les modèles Motorsport de la firme à l’hélice ont enregistré des résultats record. Passer la publicité Il n’y a pas que les Ferrari et les Porsche récentes, celles dont on a désormais pris l’habitude de désigner par «youngtimers», des modèles des années 1980 et 1990, qui flambent dans les ventes aux enchères publiques. Lors de la vente RM Sotheby’s de Munich, le 18 octobre dernier, les amateurs de BMW portant la signature de la division sportive Motorsport se sont disputé les meilleurs lots. Résultat : quelques véhicules de la marque bavaroise ont enregistré des scores très élevés. Il faut dire que la maison d’enchères alignait un plateau royal avec le meilleur des réalisations de BMW Motorsport. 
Dans un état proche du neuf, les véhicules pouvaient se prévaloir d’un faible kilométrage. Premier lot de la firme à l’hélice à se présenter, le coupé Z3 M de 2002 donnait la tonalité de la vente. Faisant partie d’une production de seulement 1 112 exemplaires, ce coupé d’origine française n’avait parcouru que 7 549 kilomètres. Il était adjugé 126 500 euros. Sa remplaçante, le Z4 M Coupé de 2007, qui n’a connu un grand succès durant sa carrière commerciale, atteignait 80 500 euros. Mais la salle s’était surtout déplacée pour les M3 qui ont forgé la réputation de la division M de BMW. Le catalogue accueillait quelques spécimens parmi les plus exclusifs de la lignée. Première M3 mise au marteau, la CSL de 2003 produite à seulement 1 383 unités et associant une cure d’allégement et de vitamines a atteint 178 250 euros. Les M3 Cabriolet de 1992 et de 1995 ont été vendues respectivement 143 750 euros et 161 000 euros. 
Mais l’enchère la plus élevée atteinte par une M3 revient à la version Sport Evolution de 1990. Il s’agit de la dernière évolution de la M3 E30 à moteur 4 cylindres à quatre soupapes par cylindres dont la cylindrée a été portée à 2,5 litres pour afficher une puissance de 238 ch. Servant à l’homologation des M3 de course, la Sport Evolution n’a été produite qu’à 600 exemplaires. Un amateur n’a pas hésité à débourser 325 625 euros pour acquérir ce must des M3 de la première génération. Autre M3 à avoir flambé : la berline M3 CRT (Carbon Racing Technology) de 2011 fabriquée à seulement 67 unités. Portant le numéro 37, l’exemplaire de la vente affichait seulement 168 kilomètres au compteur. Elle a changé de mains contre un chèque de 258 125 euros. En déboursant 275 000 euros, on pouvait aussi repartir au volant de la M3 GT de 1995. Cette série limitée de la famille E36 produite à seulement 356 unités et reconnaissable à sa teinte vert foncé était animée par un six cylindres en ligne 3 litres de 295 ch. Elle se signalait par des portières en aluminium et une insonorisation simplifiée. Dans la même zone de prix (269 375 euros), on pouvait aussi acquérir une M3 GTS de 2010 propulsée par le V8 4,4 litres de 450 ch. Celle de la vente n’avait parcouru que 176 kilomètres depuis sa sortie de l’usine. À noter que la 2002 Turbo de 1975 a été adjugée 126 500 euros, le roadster Z1 de 1990 80 500 euros et la M1 de 1980 567 500 euros. Le roadster Z8 revisité par la maison Alpina a été disputé jusqu’à 303 125 euros. Quant à la Porsche 911 Turbo S de 1998, elle n’a pas démérité. Appartenant à une série de 345 unités, elle a atteint 725 000 euros. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA

mardi 28 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Vente de voiture : cet oubli administratif qui peut vous coûter des milliers d’euros

 

Vendre sa voiture sans faire une simple démarche en ligne peut transformer une transaction classique en cauchemar administratif. Certains automobilistes l’ont appris à leurs dépens, redevables d’infractions qu’ils n’avaient jamais commises. On ne compte plus les histoires d’automobilistes qui ont reçu des amendes à cause de cet oubli en vendant leur véhicule. Comme celle survenue en octobre 2024 où un artisan de la commune d’Albert, dans la Somme, se voit convoqué par le tribunal de police de Péronne pour s’expliquer sur un excès de vitesse impayé. 
À la barre du tribunal, l’artisan assure aux juges qu’il n’est pas à l’origine de cette infraction. Il explique avoir vendu la voiture dont la plaque a été relevée par le radar, mais avoir oublié d’en déclarer la cession. Le véritable coupable de l’excès de vitesse serait donc l’acheteur, qui n’a jamais reçu la contravention puisque le véhicule appartenait toujours officiellement à l’artisan dans les fichiers administratifs. Et oui, vendre sa voiture à un particulier nécessite de faire une déclaration officielle de cession auprès de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés (ANTS). Remettre seulement les clés et la carte grise, au nouveau propriétaire ne suffit pas. L’article R322-4 du Code de la route est clair : tout vendeur d’un véhicule déjà immatriculé doit en déclarer la cession dans les 15 jours suivant la transaction.
 Comment déclarer la cession d’un véhicule ? 
La procédure comprend quatre étapes : se connecter au site de l’ANTS (via FranceConnect ou un compte personnel), sélectionner la démarche «Vendre ou donner votre véhicule», remplir le formulaire en ligne avec les informations du véhicule et de l’acquéreur, puis finaliser la démarche. À l’issue, le vendeur obtient un accusé d’enregistrement et un code de cession à transmettre à l’acheteur, qui en aura besoin pour immatriculer le véhicule à son nom. Ne pas effectuer cette déclaration expose d’abord à une amende forfaitaire de 135 euros. 
Mais ce n’est pas le plus grave ; sans déclaration de cession enregistrée, l’administration considère que le véhicule vous appartient toujours. Vous restez donc responsable de toutes les infractions commises avec ce véhicule : excès de vitesse, stationnements non payés, franchissements de péages, feux rouges grillés. Si avoir oublié ce fameux certificat de cession aurait pu coûter très cher à l’artisan samarien, les juges ont finalement fait preuve de clémence. Convaincus de sa bonne foi, ils avaient décidé de relaxer l’individu. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 26 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Freinage fantôme : le ministère des Transports lance un questionnaire en ligne pour répertorier les victimes

 

Le ministère des Transports lance un questionnaire en ligne pour mesurer l’ampleur du phénomène du freinage fantôme. Une enquête technique est en cours depuis août avec les constructeurs. Des conclusions sont attendues d’ici la fin de l’année. L’affaire avait éclaté cet été avec le témoignage de Joanna, une Lyonnaise victime d’un accident spectaculaire en avril 2025. Sa Peugeot 208 avait brutalement freiné sur l’autoroute A40 dans l’Ain, passant de 120 km/h à l’arrêt complet, provoquant une collision avec le véhicule qui la suivait.
 Après avoir médiatisé son histoire, la jeune femme a reçu plus de 350 témoignages similaires concernant diverses marques (Peugeot, Volkswagen, Audi, Renault, Tesla, Skoda et Honda) poussant le ministère des Transports à ouvrir une enquête en plein milieu du mois d’août 2025. Nouveauté ce 21 octobre, selon une information de RTL confirmée au Figaro : un questionnaire en ligne va être publié dans les prochains jours sur le site du ministère pour permettre à tous les automobilistes concernés de signaler leur expérience. 
Si le ministère des Transports a reçu plusieurs dizaines de signalements depuis cet été, il estime que ce chiffre n’est pas représentatif au vu des nombreux témoignages circulant sur le web. À quoi sert ce formulaire ? Le formulaire en ligne permettra aux automobilistes de renseigner le modèle de leur véhicule, la date de l’incident et une description détaillée de ce qui s’est produit, indique le ministère des Transports. L’objectif est de faciliter le processus de signalement et son traitement, qui jusqu’à présent passait par un formulaire «moins accessible» pour saisir le service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs (SSMVM). 
 Bref, l’enquête sur les freinages fantôme se poursuit. Le ministère des Transports réalise (via un prestataire) ses propres tests sur des véhicules et auditionne les constructeurs, les fournisseurs et des experts. Ces expertises tentent de déterminer l’origine de ces dysfonctionnements. Le système de freinage d’urgence automatique (AEB), obligatoire dans toutes les nouvelles voitures depuis 2022, est fortement suspecté. Des résultats de l’enquête pour fin 2025 Ce dispositif repose sur des capteurs et des caméras censés détecter les obstacles et freiner automatiquement en cas de collision imminente. Plusieurs hypothèses sont explorées, indique RTL : des conditions météorologiques extrêmes (pluie battante) pourraient perturber les capteurs, un mauvais calibrage après un choc ou un changement de pare-brise pourrait également être en cause. 
 À l’issue de la procédure en cours, d’ici à la fin de l’année, si les investigations mettaient en évidence un défaut technique : des mesures correctives pourraient prendre la forme de rappels constructeurs ou d’interventions techniques sur les véhicules concernés. 
Comme un air d’Airbag Takata ? 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

samedi 25 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Pirelli propose des pneus pour les anciennes Porsche 911...

 

Le manufacturier italien a collaboré avec le constructeur allemand pour développer une gamme de pneumatiques adaptée aux premiers modèles de la sportive 911. Trouver des pneumatiques adaptés à sa voiture ancienne : c’est souvent un chemin de croix pour les collectionneurs. On s’aperçoit rapidement que toutes les dimensions ne sont plus disponibles ou alors uniquement auprès de manufacturiers de seconde zone. Heureusement, il y a des acteurs de premier plan comme Dunlop, Goodyear, Michelin et Pirelli qui rééditent régulièrement des pneus pour les véhicules de la collection à travers des gammes dédiées. 
Sur le sujet, le manufacturier italien Pirelli est l’un des plus en pointe. Régulièrement, ce spécialiste étend son catalogue à de nouvelles références. Il vient ainsi d’annoncer le lancement d’une nouvelle famille de pneus destinés aux anciennes Porsche 911. Pirelli a ainsi travaillé en étroite collaboration avec le constructeur de Stuttgart pour développer une gamme complète de pneumatiques pouvant couvrir les six premières générations de la 911, depuis la première 911 2 litres dévoilée au salon de Francfort de 1964 jusqu’à la génération 997 lancée en 2004 et restée en production jusqu’en 2012. 
L’histoire entre Pirelli et Porsche a commencé avant le début des années 1970 avec le Cinturato CN36, le premier pneumatique pour voitures de sport à recourir à des ceintures en acier. On se souvient que Pirelli avait aussi développé le premier pneu de la 911 Turbo 3 litres de 1975, le fameux Cinturato P7. 
Le manufacturier a aussi équipé nombre de modèles des générations suivantes avec les différentes évolutions du P Zero. Les pneumatiques de la famille Collezione, testés et approuvés par les ingénieurs et les essayeurs de chez Porsche, portent la mention «N» sur le flanc. Conçues spécifiquement pour les véhicules qu’ils équipent, ces gommes utilisent des matériaux et des technologies modernes mais préservent l’esthétique d’origine. Extérieurement, la sculpture du pneu est ainsi identique à celle de l’époque. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 24 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Pourquoi on se dirige vers la fin du permis de conduire à vie

 

Les députés européens viennent de voter une série de nouvelles mesures qui va restreindre les conditions d’obtention et de renouvellement du papier rose. Bruxelles entend régenter tous les pans de la vie en société. Elle vient ainsi de prendre des mesures pour lutter contre le défaut de permis de conduire mais aussi en vue d’améliorer la sécurité routière. 
- Un permis de conduire valable 15 ans 
- Une période probatoire d’au moins deux ans pour les jeunes conducteurs 
 - Un nouveau permis numérique pourrait remplacer l’exemplaire physique 
 - Impossibilité de se soustraire à un retrait de permis à l’étranger 
 Les permis de conduire seront valables 15 ans pour les motos et les voitures et 5 ans pour les camions et les autobus. 
Les pays de l’Union européenne peuvent réduire la durée de validité du permis de conduire pour les conducteurs âgés de 65 ans ou plus afin de soumettre plus fréquemment leurs titulaires à des visites médicales ou à des cours de remise à niveau. 
Cette mesure est laissée à la discrétion de chaque État membre. Avant d’obtenir son premier permis ou lors d’une demande de renouvellement, le conducteur devra se soumettre à une visite médicale (notamment des examens ophtalmologiques et cardiovasculaires). 
Il n’y a pas de visite médicale obligatoire puisque les pays de l’UE peuvent choisir de remplacer la visite médicale pour les conducteurs de voitures ou de motos par des formulaires d’autoévaluation ou d’autres systèmes d’évaluation conçus au niveau national. 
 Autre mesure importante, les décisions de retrait, de suspension ou de restriction d’un permis de conduire seront transmises au pays de l’Union européenne qui a délivré le document, afin de garantir l’exécution transfrontière des sanctions. 
 Les autorités devront s’informer mutuellement des décisions de déchéance du droit de conduire liées aux infractions routières les plus graves. 
 En d’autres termes, une suspension du permis de conduire dans un État membre sera applicable dans l’ensemble du territoire européen. 
Les pays de l’Union européenne disposeront de trois ans pour transposer ces nouvelles dispositions dans le droit national et d’une année supplémentaire pour préparer leur application. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

mercredi 22 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Les 70 ans de la DS au Parc André Citroën...

 

Plus de 200 exemplaires de la légendaire berline née en 1955 sont réunis ce week-end sur le lieu même de sa naissance, dans le 15e arrondissement de Paris. Passer la publicité Tout au long de l’année, les festivités se sont multipliées pour célébrer le jubilé de platine de la fameuse DS. Ce week-end, c’est l’une des dernières occasions de souffler une nouvelle fois les 70 bougies de ce modèle que beaucoup considèrent comme la voiture du XXe siècle. Les samedi 18 et dimanche 19 octobre, plus de 200 exemplaires de cette voiture, qui a bouleversé l’histoire de l’automobile, sont attendus au sein du parc André Citroën, situé sur l’emplacement même de l’usine du quai de Javel où 1 330 755 unités quittèrent les chaînes d’assemblage, de 1955 au 24 avril 1975. Au total, les ID et DS furent produites à 1 456 115 exemplaires. 
Organisé par le Club ParIDS avec le soutien de DS Automobiles et de L’Aventure DS, le jubilé de platine de la DS met donc en scène plus de 200 versions du véhicule venues par la route de l’Europe entière mais également une sélection de modèles rares, sous les grandes serres du parc André Citroën. C’est ainsi que le public pourra librement admirer la DS «ELV 31», un modèle de présérie considéré comme la plus ancienne DS connue dans le monde. L’exposition présente aussi la DS 19 Ballons construite par le Garac (l’École Nationale des Professions de l’Automobile et de la Mobilité) et exposée au dernier salon Rétromobile, une ID 19 conduite à droite de 1961 et une DS 21 Pallas de 1968 reconnaissable à nouvelle face avant avec quatre phares carénés.
 Le programme du jubilé de platine comprend un concours d’élégance le samedi après-midi autour d’un jury présidé par Henri-Jacques Citroën, petit-fils du fondateur de la marque éponyme, et présenté par Olivier de Serres, historien de la DS et auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le sujet. Une nouvelle édition de son grand livre sur la DS (450 pages) vient ainsi de sortir. Dimanche matin, les 200 DS inscrites effectuent une parade dans les rues de la capitale. Le départ sera donné en haut de l’Avenue Foch, et l’itinéraire les conduira vers le Parc André Citroën, après un passage devant les principaux monuments historiques de la capitale. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 21 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RM Sotheby’s : 75 millions d’euros pour une collection de supercars Ferrari...

 

Une clientèle de passionnés est prête à dépenser une fortune pour acquérir des modèles hors-série de la firme de Maranello. On n’avait jamais vu ça ! La vente de la collection de Deborah Meyer, la fondatrice de l’écurie de course Iron Dames, a enregistré un chiffre d’affaires de 70 millions de francs suisses, soit 75 millions d’euros selon le cours du change en vigueur. C’est la preuve que les voitures de sport modernes produites en série limitée, particulièrement les Ferrari, ont le vent en poupe. Selon certains experts, il est difficile de trouver meilleur placement. Il faut dire aussi que les modèles de cette collection suisse ornés du Cavallino Rampante étaient dans un état exceptionnel, proche du neuf, et qu’ils possédaient tous une personnalisation poussée portant la signature des ateliers Tailor Made du constructeur italien. C’est ainsi que par exemple, le dernier modèle de la série «Icona» de Ferrari, la Daytona SP3 produite à seulement 599 exemplaires à partir de fin 2022, a atteint l’enchère de 5 348 750 CHF (5,745 millions d’euros) alors qu’elle avait été commercialisée à un peu plus de 2 millions d’euros.
Dans la même fourchette de prix, on trouvait une Ferrari LaFerrari Aperta (5 292 500 CHF) de 2017 produite à seulement 210 unités. Le prototype 333 SP châssis 023 de 1998 auréolé du titre de Sports Racing World Cup en 1999 avec Emmanuel Collard et Vincenzo Sospiri s’est envolé à 5 208 125 CHF. Autres records : la Ferrari 812 Competizione Aperta (spider) de 2024 s’est appréciée à 1 861 250 CHF. Dans une configuration très élégante, bleu nuit et intérieur rouge foncé, cette GT n’a effectué que 106 km depuis sa livraison. Il fallait aussi débourser 1 748 750 CHF pour acquérir la Ferrari SA Aperta de 2012. Produite à seulement 80 unités pour célébrer les 80 ans du carrossier Pininfarina, cette GT est une déclinaison de la 599 GTO. 
Un exemplaire de cette dernière faisait également partie de la collection. Il est parti à 950 000 CHF. Avis aux amateurs : les séries limitées font vendre. La Ferrari GT4 Lusso produite pour les 70 ans de Ferrari a été vendue 353 750 CHF. Sa finition s’inspirait de la 375 MM Pinin Farina Spider numéro de châssis 0370 AM. Les autres marques présentes au catalogue de la vente ont également enregistré de jolis scores. La Bugatti Chiron Super Sport de 2023 a atteint l’enchère de 4 055 000 CHF. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

lundi 20 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Rétrospectives thématiques, miniatures et jouets... À quoi ressemblera le futur musée Renault à Flins ?

 

Le bâtiment amené à recevoir la collection sera construit devant l’entrée de l’usine. La zone d’exposition s’étendra sur une surface de près de 3000 m2. L’histoire fait sourire aujourd’hui. Elle paraît simple comme un coup de fil. 
Peu de temps après son arrivée à la direction de Renault, Luca de Meo reçoit un appel de Jean-Dominique Sénard. « Tu dois absolument visiter la collection Renault hébergée à Flins », enjoint le président du groupe à son nouveau directeur général. Passionné de voitures depuis sa jeunesse, l’Italien s’empresse de prendre rendez-vous. 
Branle-bas de combat chez Renault. Le jour J, les équipes en charge de la collection sont sur le circuit du Mornay, en Creuse, pour faire rouler des voitures. 
Il faut rentrer dare-dare. Ils n’auront pas à le regretter. À l’issue de sa visite, Luca de Meo s’empresse de dire qu’il est temps de sortir la collection de l’ombre et de la présenter au public. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

dimanche 19 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari : héritage de «l’époque où tout était fait pour aller vite», la Formule 1 de Jean Alesi mise en vente

 

La monoplace que le pilote avignonnais a pilotée durant la saison 1992 sera la star de la première vente de la maison Artcurial au Peninsula Paris, le 27 janvier 2026. Le pilote avignonnais Jean Alesi, aujourd’hui président du circuit Paul-Ricard, au Castellet, a décidé de se séparer de sa Ferrari de Formule 1 que Luca di Montezemolo, le président de la firme de Maranello, lui a offerte à la fin de la saison 1992. La vente va être assurée par la maison Artcurial, le 27 janvier prochain, durant la semaine du Salon Rétromobile. L’équipe Motorcars, dirigée par Matthieu Lamoure, a quitté l’enceinte du Salon où elle organisait sa vacation depuis de nombreuses années pour s’installer à l’hôtel Peninsula, avenue Kléber, à deux pas de la place de l’Étoile. 
La maison française a, d’ores et déjà, annoncé un catalogue d’une soixantaine de véhicules. La principale star de cette vente sera assurément cette monoplace Ferrari F92A numéro de châssis 136 que Jean Alesi a pilotée en Grand Prix. Elle appartient à la dernière génération des F1 Ferrari propulsées par un V12. Tout un symbole. Développé par le Français Jean-Claude Migeot, ce chef-d’œuvre mécanique de 3,5 litres délivre une puissance de près de 750 ch à 14 800 tr/min. Les performances de la F92A ne sont pas franchement à la mesure du talent du jeune pilote français. Répondant à un nouveau concept, la monoplace de la saison 1992 ne permet pas aux pilotes de la Scuderia de viser la victoire. Jean Alesi se distingue toutefois avec deux troisièmes places. Il devra attendre 1995 et le Grand Prix du Canada pour goûter au graal. En 1992, Ferrari traverse une énième période de transition. Rien ne va plus tant côté production où la gamme vieillissante n’est pas réputée pour sa fiabilité et ses qualités dynamiques que côte compétition où la Scuderia peine à ramener les titres à Maranello. Depuis qu’Alain Prost a manqué le titre de peu en 1990, la Scuderia est en crise. 
Piero Fusaro, le président de la firme de Maranello avait été débarqué. Luca di Montezemolo a été appelé au chevet du malade au début de l’année 1991 mais il lui faudra un peu de temps avant d’établir un diagnostic et de décider d’un remède. On connaît la suite. Jean Todt sera nommé à la tête de la Scuderia à l’été 1993. Après une révision complète et deux tours de piste du pilote à Fiorano, la F92A rejoint la salle de sport de sa maison provençale d’où elle ne sortira jamais. C’est non seulement un témoignage de l’histoire Ferrari mais également une pièce essentielle de la carrière d’Alesi en rouge. Le prochain propriétaire est le bienvenu pour rouler au Paul-Ricard. «Cette Ferrari F92A représente un morceau de ma vie, un symbole de ma passion pour Ferrari et de l’époque où tout était fait pour aller vite. J’espère qu’entre les mains d’un vrai passionné, elle retrouvera la piste. Elle sera quoi qu’il en soit toujours la bienvenue au Circuit Paul Ricard – ce qui me permettra de la revoir, cette fois en pleine action ! », a dit le pilote Avignonnais. La monoplace rouge est estimée entre 3 et 4 millions d’euros. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

samedi 18 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Certaines plaques d’immatriculation vont devenir roses dans quelques mois, voici pourquoi...

 

Une fois les procédures réglementaires terminées, les plaques d’immatriculation provisoire WW en France deviendront roses, avec une date d’expiration inscrite dessus. Ce n’est ni un poisson d’avril, ni une fake news générée par IA. Pourtant en voyant l’information, nous avons d’abord eu du mal à y croire. D’ici l’année prochaine, les plaques d’immatriculations provisoires délivrée par le ministère de l’Intérieur devraient devenir roses. Cela émanera d’un arrêté, qui a été notifié en août dernier par le gouvernement à la commission européenne. 
Bref, les voitures concernées sont les modèles neufs ou d’occasion achetés à l’étranger dont le dossier d’immatriculation est incomplet ou en cours de vérification - ainsi que des véhicules destinés à l’exportation. Ces certificats provisoires, dit WW, sont délivrés pour deux mois, renouvelables une fois. Les professionnels de l’automobile utilisant des plaques provisoires, dites W, pourraient également être concernés par le changement de couleur. 400.000 voitures concernées Pour se faire une idée, en 2024, la France a délivré 337.656 immatriculations provisoires WW et 64.096 immatriculations W garage, soit un total d’environ 400.000 plaques. Cela représente approximativement 1% du parc automobile français, estimé à 39,3 millions de véhicules. Il faudra être chanceux pour observer ces rares plaques roses ! 
 La révolution de la plaque rose est justifiée un objectif de lutte contre la fraude. Jusqu’à présent, les plaques provisoires - dites WW - étaient visuellement identiques aux plaques définitives, rendant leur statut difficile à repérer. Les forces de l’ordre devaient systématiquement interroger les fichiers pour vérifier la validité du certificat provisoire. Éviter les usurpations Or, ces plaques provisoires faisaient parfois l’objet d’abus : certaines étaient conservées après expiration ou revendues, permettant à d’autres conducteurs de circuler illégalement. Dans certains cas, la personne à qui une plaque venait d’être officiellement réattribuée recevait même des amendes liées à des infractions commises par un précédent utilisateur. 
 Autre évolution majeure : la date d’expiration du certificat provisoire figurera désormais directement sur la plaque, permettant aux forces de l’ordre de repérer immédiatement les véhicules circulant après la fin de validité, sans avoir à consulter les bases de données. Derrière ce futur arrêté, on trouve le lobbying de l’association 40 millions d’Automobilistes, et de SPM Groupe, principal fabricant français de plaques d’immatriculation. Lobbying que relativise grandement la direction de la Sécurité routière, qui dit ne pas avoir eu contact avec ces acteurs. Dans les faits, la mesure est le fruit d’un groupe de travail dans le cadre d’un futur plan ministériel de lutte contre la fraude aux plaques d’immatriculation. Sa date ? Dans les prochains mois, mais au vu du contexte politique : ce ne peut être qu’incertain. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 15 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - «Une hausse de 40 à 50 centimes d’euros par litre» : pourquoi le budget 2026 pourrait provoquer l’envolée des prix des biocarburants E85 et B100

Le projet de loi de finances 2026 déposé ce mardi prévoit la révision de certaines mesures fiscales, dont la réduction des avantages fiscaux jusqu’alors accordés à l’E85. Le tarif de ce dernier pourrait exploser d’ici trois ans.Le projet de budget pour 2026 présenté mardi par le gouvernement Lecornu a fait quelques satisfaits, dont l’alliance syndicale FNSEA-JA, qui réclamait plusieurs mesures fiscales pour les agriculteurs et qui a obtenu gain de cause. En revanche, la suppression d’avantages fiscaux pour les agrocarburants présentée par le nouveau gouvernement a fait grincer les dents chez les automobilistes. Le gros point irritant du projet de budget réside dans «la suppression du tarif particulier pour le carburant B100» (biogazole à base de colza), surtout utilisé par les transporteurs, et «la réduction progressive de l’avantage fiscal pour le carburant E85» (éthanol), produit notamment à partir de betteraves en France. 
Ces agrocarburants peuvent constituer une source de revenus importante pour les agriculteurs, qui redoutent une concurrence accrue pour l’éthanol si l’accord entre l’UE et des pays du Mercosur entrait en vigueur. La FNSEA a déjà prévu d’œuvrer pour promouvoir des amendements sur ce point. «Double peine» La défiscalisation de ces deux biocarburants, commercialisés à des tarifs inférieurs à d’autres carburants largement répandus comme le diesel ou l’essence sans plomb (SP98), a provoqué l’ire de l’association 40 millions d’automobilistes. «En pleine période de crise économique et de flambée des prix de l’énergie, une telle décision serait à la fois injuste, contre-productive et inacceptable pour ceux qui cherchent à préserver leur mobilité et à adopter une consommation plus vertueuse», s’insurge l’association dans un communiqué, à propos de l’E85. 
 40 millions d’automobilistes a sorti les calculettes, et estime, au terme de la réduction progressive sur trois ans de l’avantage fiscal conférant au biocarburant son prix actuel attractif (0,71 €/L en moyenne), que la hausse finale pourrait être comprise entre «40 à 50 centimes d’euros par litre». Une «double peine» pour les consommateurs : «Non seulement le carburant devient plus cher, mais l’incitation à adopter une alternative plus écologique est affaiblie», pointe l’association. «Une telle mesure pèserait injustement sur les ménages qui ont fait le choix, souvent contraints, de rouler au bioéthanol dans l’espoir de faire des économies. 
De plus, la hausse du prix de l’E85 risquerait de détourner les automobilistes vers des carburants plus polluants», alerte Pierre Chasseray délégué général de 40 millions d’automobilistes. «Préserver le pouvoir d’achat des automobilistes» Deux fois moins cher que l’essence à la pompe, mais occasionnant une consommation supérieure, l’E85 a séduit de plus en plus de Français face à la flambée du prix des carburants ces dernières années. Alors que l’Europe se convertit à l’électrique et l’hybride, les promoteurs de l’E85, soit des agriculteurs, pétroliers et constructeurs, le présentent comme un «moyen d’accompagner les Français dans la transition» et un levier d’«indépendance énergétique» pour l’Hexagone. Philippe Nozière, président de 40 millions d’automobilistes, soutient que l’E85 «permet des gains environnementaux tout en préservant le pouvoir d’achat des automobilistes», alors que plus d’un million de Français l’utilisent déjà pour leur véhicule. 
 Ces motorisations, qui rejettent entre 30 à 50% de gaz à effet de serre en moins qu’en roulant à l’essence, permettent aux particuliers d’éviter le malus écologique, et les professionnels profitent aussi d’un abattement sur leurs taxes. Produit à partir de betterave, de blé, de maïs, et de résidus sucriers et amidonniers, surtout dans l’est et le nord de la France, le bioéthanol occupe 0,6% de la surface agricole utile en France, selon le syndicat national des producteurs d’alcool agricole. Mais son bilan environnemental reste contesté. 
La production de bioéthanol renforce les effets néfastes de l’agriculture industrielle sur les sols, l’eau et l’air (engrais chimiques, pesticides de synthèse comme les néonicotinoïdes), prévient par exemple l’association Inspire dans son «éco-guide de l’automobile». La France est par ailleurs le seul pays européen, avec la Suède, à défendre l’éthanol, et «l’échafaudage fiscal» qui le rend attractif pourrait s’écrouler, selon Sylvain Angerand, de l’association écologiste Canopée, qui a publié un rapport fin 2021 sur la question. 
Source : lefigaro.fr

vendredi 10 octobre 2025

CLUB5A - REPORTAGE MOTO - Dans le Var, il circulait avec une fausse moto de police pour « se faire respecter » sur la route...

Un motard du Var a été interpellé au guidon d’un engin équipé comme un deux-roues de la police, gyrophare et sirène compris. Son objectif : impressionner les automobilistes dans les ronds-points. Passer la publicité Les gendarmes varois ont eu la surprise de leur carrière en contrôlant un motard dont l’engin ressemblait à s’y méprendre à une moto de police. Gyrophare, avertisseurs sonores et lumineux, bandes réfléchissantes : rien ne manquait à l’équipement de ce deux-roues qui aurait pu tromper n’importe quel usager de la route. Placé en garde à vue, le conducteur a rapidement reconnu les faits. Sa motivation ? Se faire respecter davantage par les automobilistes,
 particulièrement dans les ronds-points où, selon lui, les conducteurs ne lui accordaient pas la priorité. L’homme va être présenté à la Justice Une logique pour le moins discutable qui pourrait lui coûter cher devant la justice. Car l’homme devra s’expliquer devant le tribunal le 4 décembre 2025. En attendant, sa moto a été saisie par les forces de l’ordre en vue d’une confiscation définitive éventuelle. Les gendarmes profitent de cette affaire insolite pour rappeler une règle fondamentale : l’utilisation de véhicules ou d’équipements pouvant être confondus avec ceux des forces de l’ordre constitue une infraction pénale. Ces faits peuvent entraîner de lourdes sanctions, incluant des amendes importantes et des peines d’emprisonnement. Au-delà de l’aspect légal, ce type de comportement présente un danger réel pour la sécurité routière. En se faisant passer pour un représentant de l’ordre, le conducteur risquait de créer la confusion chez les autres usagers et de compromettre la crédibilité des véritables interventions policières. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 8 octobre 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Pare-chocs défoncés, radiateurs percés, pots arrachés... La colère des automobilistes contre les bornes qui se relèvent trop vite

 

À Montpellier, les bornes escamotables du centre-ville sont au cœur d’une polémique. Les automobilistes dénoncent des équipements défaillants. Passer la publicité Jean, montpelliérain depuis plus de 20 ans, a été victime en août dernier boulevard Ledru-Rollin, de bornes escamotables (poteaux métalliques sortant du sol pour bloquer l’accès à une zone) qui se sont relevées trop brutalement. «Comme d’habitude, je me suis avancé, j’ai juste à ralentir, je n’ai pas besoin de baisser ma fenêtre. 
Cette fois-ci, la borne s’est baissée, ça a clignoté et j’ai avancé. Tout d’un coup, j’ai entendu un grand bruit», relate-t-il dans Midi Libre. Résultat : 3500 euros de réparation, avec la crainte d’un malus si sa responsabilité est avérée. «Ça arrive tous les jours», témoigne dans le quotidien régional le serveur d’un bar de la place Chabaneau à Montpellier. Chez Mickael Maolet, patron de la carrosserie Choc, l’été a été éprouvant. «J’ai dû faire au moins six devis durant l’été», lâche-t-il toujours dans Midi Libre. Le diagnostic est le même : pare-chocs avant défoncé, radiateur percé, parfois même le pot d’échappement arraché. La facture ? Jamais moins de 2000 euros. Et pour les modèles haut de gamme, elle peut s’envoler jusqu’à 18.000 euros... 
 Que faire en cas d’accident ? Comment de tels incidents peuvent-ils se répéter ? 
Ces bornes développées à Montpellier par l’entreprise Citinnov fonctionnent avec un moteur électrique et trois systèmes de levage possibles : sangle, chaîne ou vérin. 
Les temps de levage sont de cinq secondes, l’abaissement demande deux à trois secondes. En principe, des capteurs de sécurité doivent empêcher la remontée lors du passage d’un véhicule. Pour autant la plupart des accidents se produisent dès lors qu’un automobiliste force le passage ou essaye de passer alors que le feu du système est rouge. Dans ce cas, difficile de se retourner contre l’entreprise ou la mairie. Mais en cas de dysfonctionnement avéré de la borne : vous pouvez prendre des photos sur place, recueillir des témoignages de passants ou commerçants, faire expertiser le véhicule avant réparation, pour enfin demander à la commune une indemnisation par lettre recommandée. En attendant, vous ne pourrez pas oublier une belle frayeur. 
Source : lefigaro.fr - Merci Davide SARDA pour le suivi de l'info...