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vendredi 28 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une collection de rares 911 sportives neuves sur un camion

 

ENCHÈRES - RM Sotheby’s vend en un seul lot, entre le 28 et le 30 avril 2025, un porte-voiture et sa cargaison : six Porsche 911 parmi les plus sportives et les plus convoitées de la génération 991. L’architecte autrichien Alexander Serda est allé jusqu’au bout de ses rêves. L’homme amateur de Porsche s’est offert entre 2016 et 2019 six 911 parmi les plus sportives et les plus convoitées de la génération 991. L’histoire aurait pu s’arrêter là. Sauf que le caprice de l’Autrichien est allé jusqu’à acquérir un camion porte-voiture de type MAN TGX 18.640 pour transporter ses six sportives de Zuffenhausen. 
Le poids lourd n’a parcouru que 500 km depuis sa sortie de l’usine en 2019. Quant aux 911 qu’il transporte, elles sont pour ainsi dire neuves. La première d’entre elles, une 911 R de 2016 produite à 991 unités a effectué à peine 45 km depuis sa sortie de l’usine. Il s’agit du 698e exemplaire produit. La 911 R côtoie une 911 GT3 (991.2) de 2018 équipée de la boîte de vitesses manuelle à six rapports et ayant parcouru moins de 50 km. La collection comporte également une 911 GT3 avec le pack Touring de 2018. Elle est dotée d’un réservoir de 90 litres, du pack Sport Chrono package et d’un intérieur dans le style de la 918 Spyder. Le compteur de cette GT3 Touring indique à peine 20 km. La quatrième 911 de la collection est une GT3 RS dotée du pack Weissach. Comme toutes les voitures proposées, elle n’a quasiment jamais roulé. 
L’ordinateur de bord indique seulement 27 km. Les deux derniers exemplaires du porte-voiture sont des modèles de course qui n’ont jamais connu les affres de la compétition : une GT3 Cup et une GT3 Cup R n’ayant couvert que quelques kilomètres. Ces deux voitures ont même conservé leurs plastiques de protection. 
 Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

jeudi 27 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Deux Ferrari confisquées à des narcotrafiquants mises à prix à... 150 euros

 

Une Ferrari 512 TR et une 575M Maranello sont proposées aux enchères en Espagne, avec des prix de départ dérisoires. Les fonds récoltés financeront des programmes de lutte contre la drogue. Est-ce une occasion en or de s’acheter une Ferrari pour un montant ridiculement bas ? 
Jusqu’au 10 avril, à 12h40, deux Ferrari très prisées des collectionneurs sont mises en vente aux enchères en Espagne sur le site web Escrapalia. Le prix de départ pour chacun des deux bolides est de 150 euros. Il s’agit d’une vente organisée par la «Délégation du gouvernement pour le plan national de lutte contre les drogues». 
Autrement dit, ces Ferrari sont d’anciennes voitures de narcotrafiquants espagnols. 
 La première voiture mise en vente est une Ferrari Testarossa 512 TE, modèle de collection qui date de 1994. «C’est un modèle au caractère fort, aux performances élevées et à l’esthétique emblématique de Ferrari dans les années 90», indique l’annonce. Mais attention, ce véhicule de couleur jaune a été modifié avec des composants d’une autre voiture la F512 M, prévient le site de la vente aux enchères. Ces modifications n’ont pas été effectuées par Ferrari et affectent des composants tels que «la carrosserie, les phares, les roues et les détails intérieurs». Si vous êtes un collectionneur en herbe, il faudra donc prévoir un coût de restauration important du véhicule, entre 14.000 à 24.000 €, selon l’origine et la disponibilité des pièces. La facture peut donc vite monter, d’autant que le véhicule n’est pas de toutes jeunesses : les pneus sont en mauvais état et il y a déjà 126.794 km au compteur. L’autre Ferrari en vente est encore plus iconique : le modèle 575M Maranello. 
Lancé en 2002, ce véhicule succédait à la légendaire 550 Maranello et représentait un raffinement à tous égards : plus de puissance, une meilleure aérodynamique et une technologie avancée. Avec seulement 2056 exemplaires produits, sa rareté est incontestable, «ce qui en fait un objet convoité par les collectionneurs Ferrari», affirme le site de vente aux enchères. Attention, si elle est dotée d’un moteur V12, qui peut atteindre «325 km/h et permet d’accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 4,2 secondes», le bolide nécessitera des réparations car il ne démarre pas, précise le site d’enchères. Les pneus en mauvais état sont aussi à changer, à croire que les trafiquants de drogue ne prennent pas grand soin des roulements. 
Côté positif : cette Ferrari n’a que 18.684 km au compteur. Immanquable. Attention, si le prix de départ de 150 euros fait forte impression, les enchères peuvent vite monter, c’est le jeu. En novembre dernier, avec le même fonctionnement, une élégante Ferrari F430 rouge avait été finalement vendue à 68.000 euros. 
Il faudra ajouter les frais de commission de vente (17,3 % du prix d’achat), les frais de traitement (1845 euros) et la TVA applicable correspondante. L’acquéreur est en tout cas certain de faire aussi une bonne action en matière la lutte contre la drogue. L’argent récolté par la vente aux enchères ira à un fonds qui finance notamment des programmes de désintoxication et réinsertion sociale ou des campagnes éducatives «dans les écoles et quartiers à risque».
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 23 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des youngtimers sportifs aux enchères : les pépites d'une vente à ne pas manquer

 

Le 29 mars 2025 se tiendra une vente aux enchères de youngtimers et autres véhicules de collection à Beauvais. Parmi les autos qui passeront l'épreuve du marteau figurent de nombreuses sportives. Peugeot 205 GTI, Renault Clio 16S, Volkswagen Golf GTI… C'est indéniable. L'engouement pour les youngtimers dynamise le marché de la collection. Ces autos trop récentes pour être considérées commes des voitures de collection intéressent une nouvelle génération de passionnés désireux de s'offrir les voitures qui les ont fait rêver lorsqu'ils étaient plus jeunes. De plus en plus recherchés, ces modèles de toutes les catégories s'arrachent à des prix qui ne cessent de grimper au gré de la raréfaction de l'offre et de la spéculation qui entoure désormais ce phénomène. 
Une vente aux enchères qui se déroulera le 29 mars 2025 à Beauvais (Oise) va réunir quelques-uns des youngtimers sportifs les plus emblématiques du début des années 1990. De quoi attirer les adeptes en nombre. 205 GTI, 405 MI16, 306 S16… une meute de lionnes La vente aux enchères à laquelle nous nous intéressons dans cet article présente une particularité. Celle de compter de nombreuses sportives. Et parmi elles, les autos du constructeur sochalien sont les plus représentées. Quatre 205 sportives cherchent preneur. Une GTI 1.6 de 115 ch (1988), une GTI 1.9 de 130 ch (1989), une rare version Rallye équipée du petit 1.3 rageur de 103 ch (1988), sans oublier l'une des 3 000 205 GTI Griffe produites. Cette dernière totalise un peu plus de 280 000 km. Estimée entre 19 500 et 22 000 €, ce bel exemplaire de 1991 risque d'être adjugé à prix d'or. Cette vente compte également trois Peugeot 309 GTI 8S de 130 ch, deux phase 1 millésime 1988 et une phase 2 de 1990. Très larges, les fourchettes d'estimation oscillent entre 7 000 et 13 000 € pour ces autos. Une 405 MI16 dotée du 1.9 de la 205 GTI dans une version à 16 soupapes de 160 ch se destine également à changer de main.
 Cet exemplaire Gris Magnum de 1988, en bon état général, pourrait lui aussi faire monter les enchères et dépasser son estimation fixée entre 7 000 et 9 000 €. Une 306 S16 phase 1 de 1994 équipée du moteur ACAV de 155 ch complète ce plateau de Peugeot sportives en quête de nouveaux propriétaires. Moins prisée que la phase 2 dotée du moteur XU10J4RS de 167 ch accouplé à une boîte manuelle à six rapports, sa valeur est fixée entre 3 000 et 4000 €. Des sportives badgées Renault, Citroën et Volkswagen Les enchères ne porteront pas que sur des Peugeot sportives, loin de là. Une Volkswagen Golf 2 GTI 16S de 1988 en très bonne condition sera aussi de la partie. Avec ses 139 ch issus du quatre-cylindres 1.8 de la GTI classique qui n'en n'offrait alors que 112, cette version a redonné ses lettres de noblesse au modèle alors en quête de sportivité. Une autre auto animée par au bloc multisoupapes est elle aussi représentée. 
Deux Renault Clio 16S, une phase 1 et une phase 2 (baptisée 16V), estimées entre 9 000 et 11 000 €, vont faire de l'œil aux afficionados des productions dynamiques au losange. Sans compter qu'une Clio 2 RS phase 1 de 2000 tentera de leur voler la vedette avec ses 172 ch et sa valeur plus modeste, fixée entre 5 000 et 7 000 € par la Maison d'enchères en charge de l'événement. Trois Citroën seront aussi proposées à la vente. Une petite AX GT Volcane de 1990 ayant besoin d'un vrai rafraîchissement et deux CX fortes de 168 ch : une 25 GTI Turbo de 1985 et une luxueuse version 25 Prestige Turbo 2 de 1987. Découvrez d'autres modèles dans notre diaporama. Vente Youngtimers et véhicules de collection : infos pratiques Cette vente aux enchères est organisée par la Maison Beauvais Enchères. 
Elle se tiendra à Beauvais le 29 mars 2025 à 14h30 mais il est possible de s'inscrire sur le site Interenchères pour y participer en ligne. Les véhicules seront exposés les 28 et 29 mars, jusqu'au début de la vente. Les frais s'élèvent à 18 % TTC du montant de l'adjudication finale auxquelles s'ajoutent 40 € par véhicule en cas d'enchère en ligne.

 Source : largus.fr - Merci David SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des italiennes uniques de l’Avvocato Gianni Agnelli à vendre...

 

ENCHÈRES - La maison RM Sotheby’s va vendre en ligne, du 20 au 24 avril, trois véhicules provenant de la collection de l’industriel italien décédé en 2003. Ce n’est pas la première fois que des véhicules ayant appartenu à l’Avvocato Gianni Agnelli, propriétaire entre autres de Fiat et de Ferrari, décédé en janvier 2003, se retrouvent sur le marché. Figure du style du XXe siècle et de l’industrie italienne, Gianni Agnelli aimait les voitures. Il les choisissait souvent sur-mesure. 
C’est ainsi que durant les premières années de Ferrari, il roule déjà dans des bolides de Maranello réalisés selon ses propres goûts. Son garage regorge aussi de Fiat, la marque créée par son grand-père et dont il a hérité après la Seconde guerre mondiale.
 Les Fiat mais plus tard également les modèles provenant de la marque Lancia qu’il finit par sauver se démarquent aussi des modèles sortant de chaîne par une finition personnalisée. La maison RM Sotheby’s offre, dans le cadre d’une vente en ligne, du 20 au 24 avril prochain, trois spécimens quasiment uniques.
 Un break estimé au moins 170 000 euros Les désirs de Gianni Agnelli sont des ordres. La première est un break sur base de la berline Fiat 130 présentée à l’occasion du salon de l’Automobile de Genève en mars 1969. Ce véhicule familial a été conçu par le centre de style de Fiat et exécuté par Officina Introzzi, un carrossier basé à proximité du lac de Côme. Trois exemplaires seulement du break 130 Familiare seront produits. Le premier est destiné l’Avvocato, le suivant pour son frère Umberto et le dernier pour un ami de la famille, Guido Nicola. 
Chaque véhicule était unique. Celui de Gianni Agnelli se reconnaissait à sa teinte gris argent, à sa garniture en faux bois sur les flancs et à sa galerie de toit dotée d’un immense panier en osier. Les trois breaks étaient animés par le V6 de 3 200 cm3 associé à une boîte de vitesses automatique à trois rapports. L’Avvocato utilisait son break uniquement durant les mois d’hiver à son domicile de Saint-Moritz. Le panier en osier servait à transporter les skis pour rejoindre les pistes. Il va conserver ce véhicule jusqu’en 1985. Il est aujourd’hui estimé entre 170 000 et 300 000 euros. La deuxième voiture de la vente RM Sotheby’s est une autre curiosité : l’un des deux breaks Lancia Thema réalisés par le carrossier Zagato. On se souvient que la berline avait été dessinée par Giugiaro tandis que Pininfarina avait finalement remporté la compétition l’opposant à Zagato pour la production du break. Sortant des ateliers Zagato, celui d’Agnelli peut donc être considéré comme un prototype. 
Il conservera deux ans cette Lancia équipée d’un V6 2,8 litres atmosphérique et estimée entre 80 000 et 160 000 euros. Enfin, le troisième véhicule mis aux enchères est moins statutaire. Il s’agit d’une Fiat Panda 4 x 4 de 1986. C’est à Saint-Moritz qu’il utilisera principalement sa citadine où il pouvait mettre en avant ses capacités de franchissement à l’arrivée des premiers flocons de neige. Il s’en séparera en 2001. Entièrement restaurée, la Panda est estimée entre 20 000 et 40 000 euros.
Source : lefigaro.fr-Merci David SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 20 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Panther que Sylvie Vartan a offerte à Johnny Hallyday est à vendre...

 

ENCHÈRES - Me Osenat vend lundi 24 mars à Fontainebleau le coupé anglais que le rocker avait perdu lors d’une partie de poker. C’est une déclaration d’amour de Sylvie Vartan à son mari Johnny Hallyday. La chanteuse le sait, son rocker est dingue de voitures de sport. Il a l’ivresse de la vitesse. En 1975, selon l’étude Osenat, Sylvie Vartan offre à l’idole des jeunes une Panther Deville, un coupé anglais qui se veut une réplique de la Bugatti Type 41 Royale mais en petit format. 
Ce n’est pas le premier bolide à rejoindre le garage de Jean-Philippe Smet. Durant les années 1960, il a déjà possédé tout ce que le marché compte de machines de rêve : Triumph TR3, Ferrari 250 GT California, Jaguar Type E Aston Martin DB6, Bizzarrini 5300 GT pour n’en citer que quelques-unes. Produite par la société britannique Panther Westwinds, la Deville connaîtra son heure de gloire au milieu des années 1970. Si les collectionneurs regardent cette réplique avec condescendance, quelques amateurs adhèrent à cette formule mariant une ligne néorétro à une technologie moderne. En effet, la Panther Deville est animée par le V12 Jaguar 5,3 litres qui équipe la Type E V12 mais également la XJ12 et la XJS. À l’époque, Johnny ne s’est pas contenté d’une Panther standard et a demandé une personnalisation. 
Les initiales du chanteur apparaissent ainsi sur les jantes, à plusieurs endroits de la voiture et sur l’enceinte centrale. De même, les célèbres époux avaient demandé que les sièges soient recouverts de vison. Au clin d’œil à la carrière du rocker, un disque d’or orne le bouchon de réservoir d’eau. Johnny devait se séparer de sa Panther dans des circonstances rocambolesques. Il aurait perdu son anglaise lors d’une partie de poker endiablée. La Panther la plus célèbre, avec celles qu’Elton John et Oliver Reed ont possédées, sera donc l’une des pièces maîtresses de la vente organisée à Fontainebleau lundi 24 mars par l’étude de Me Osenat. L’anglaise est estimée entre 55.000 et 65.000 euros. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 11 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une Porsche de collection vendue 730.000 euros : enquête pour escroquerie à Arcachon

 

Un concessionnaire du Bassin d’Arcachon est accusé par un collectionneur luxembourgeois d’avoir dissimulé l’état réel de sa Porsche Carrera 911 2.7 RS Touring de 1973. 
Une partie de la somme a été payée en espèces, ce qui alimente les soupçons d’escroquerie. 
Une Porsche de collection qui vaudrait «seulement» 100.000 euros a-t-elle été vendue à 730.000 euros ? 
Tel est le soupçon qui pèse sur un concessionnaire du Bassin d'Arcachon, accusé par un collectionneur luxembourgeois de «tromperie» et ciblé par une enquête pour escroquerie. En 2015, cet homme d'affaires ayant fait fortune dans la promotion immobilière s'était offert une Porsche Carrera 911 2.7 RS Touring datant de 1973, célèbre modèle de la marque allemande doté d'un aileron arrière en «queue de canard». Le bolide vendu est présenté comme étant d'origine et doté d'un même numéro de série sur les principales pièces de la voiture («matching numbers»). D'après le plaignant, le prix de 730.000 euros est versé pour partie en espèces, à hauteur de 260.000 euros. Mais ce collectionneur, pris d'un doute, fait inspecter en 2018 le véhicule par le cabinet d'expertise allemand TÜV. 
Selon celui-ci, la voiture est une «réplique» qui ne présente pas des numéros de série identiques - ce qui suppose une moindre rareté, donc une moindre valeur. Il demande alors des comptes au concessionnaire, avant d'engager une procédure civile contre lui et de déposer une plainte pénale auprès du parquet de Bordeaux en 2019. «Vous avez acheté une Mercedes, on vous vend une 2CV !», s'indigne l'avocat du plaignant, Me Renaud Semerdjian, du cabinet Stas et associés. Paiement de grosses sommes en espèces «interdit» 
Le collectionneur affirme également avoir été informé tardivement du fait que le véhicule avait été «gravement accidenté par le passé». «Accidenté, ce n'est pas établi», répond Me Étienne Riondet, avocat du concessionnaire en pointant un argument «d'une banalité affligeante», surtout pour «une voiture qui a 50 ou 60 ans». «On dit : “La voiture a 60 ans mais il y a un truc de travers, etc.” Ben oui, il y a des trucs de travers. On a changé des pièces parce qu'effectivement, c'est très, très vieux !», souligne-t-il. Selon un prérapport d'expertise rédigé dans le cadre de la procédure civile, le prix d'un modèle non «matching numbers» serait d'environ 100.000 euros, soit sept fois moins que le montant déboursé par le plaignant. 
Ce dernier réclame donc 93.000 euros d'indemnisation sans compter le remboursement de son achat. «Expliquez-moi ce que veut dire “matching numbers”, déjà», réplique Me Riondet en assurant que le Code civil ne prévoit pas un tel concept. Le collectionneur «dit qu'il a payé des sommes importantes en espèces, ce qui est purement faux», déclarent à l'AFP les avocats du concessionnaire, qui assurent que leur client n'a «jamais accepté» de liquide en dénonçant une «méthode scandaleuse» de la partie adverse, destinée à «nuire». «Depuis 30 ans, notre client a vendu 3000 véhicules avec la plus grande intégrité», insistent-ils. 
Ils relèvent en outre que le paiement de grosses sommes en espèces est «interdit» par la législation française. Me Renaud Semerdjian, conseil du plaignant, fait valoir de son côté que «les règlements en espèces étaient licites au Luxembourg à cette date». Enquête pénale est «toujours en cours» Lors d’une audience technique tenue le 18 février, une juge du tribunal judiciaire de Bordeaux a ordonné la rédaction du rapport final de l’expert, écartant ainsi l’attente des assignations sollicitées par les avocats du concessionnaire à l’encontre de deux tiers : un musée privé autrichien, d’où provenait le véhicule, et un réparateur italien qui en aurait assuré la restauration. 
En parallèle, après la plainte déposée en 2019, une information judiciaire a été ouverte pour «escroquerie». Cette enquête pénale est «toujours en cours», a précisé mercredi à l'AFP le parquet de Bordeaux, sans mise en examen à ce stade. La société du concessionnaire, installée dans une ville huppée du Bassin d’Arcachon, avait pour actionnaire jusqu’en 2010 une entreprise luxembourgeoise, aujourd’hui liquidée. 
Cette société avait été fondée en 2006 par des entreprises enregistrées aux Seychelles, d’après des documents consultés par l’AFP. Le concessionnaire a été plusieurs fois condamné par le passé, notamment pour «dol», une pratique consistant à tromper un acheteur par des mensonges ou des omissions, comme lorsqu’il a dissimulé à un concessionnaire finlandais que le véhicule vendu n’était pas un modèle d’origine, selon un arrêt rendu en 2022 par la cour d’appel de Bordeaux. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 2 mars 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Enchères records pour des joyaux de l’histoire de l’automobile

 

Après les ventes spectacle de la F1 Mercedes de Fangio et de la Ferrari 250 LM, la maison RM Sotheby’s a vendu quelques perles jeudi 27 février à Miami. 
On croyait que cela n’arriverait jamais. Le musée du Speedway d’Indianapolis a vendu aux enchères une partie de ses bijoux de famille. Officiellement pour financer des travaux de restauration et d’embellissement. Confiée à la maison RM Sotheby’s, cette vente en trois temps comportait des joyaux de l’histoire de l’automobile et de la compétition. 
Et pas des moindres : la Mercedes W196 au volant de laquelle Juan Manuel Fangio a remporté le grand prix d’Argentine début 1955 et la Ferrari 250 LM de l’écurie NART qui a permis à Masten Gregory et Jochen Rindt de remporter l’édition 1965 des 24 Heures du Mans. 
La première a changé de mains contre la somme rondelette de 51,155 millions d’euros. De son côté, la berlinette Ferrari a été adjugée près de 35 millions d’euros, devenant ainsi la LM la plus chère du monde. 
Cela n’était que les premiers actes de la dispersion de quelques chefs-d’œuvre du musée américain. Le troisième rendez-vous s’est tenu jeudi 27 février, à Miami. Là encore, la salle a retenu son souffle. 
Les enchères se sont envolées. 
Il faut dire que la vente offrirait une occasion unique d’acquérir certaines automobiles. C’était le cas notamment de la fameuse Corvette SS Project XP-64 qui avait été fabriquée en vue de participer aux 24 Heures du Mans de 1957. Elle a dépassé l’estimation, atteignant les 7,7 millions de dollars. La Mercedes 17.3 litres de 150 ch type Brookland de course était également unique. Datant de 1908, elle occupe une place de choix dans la nomenclature des Mercedes de compétition d’avant 1914. Engagée dans plusieurs courses de côte avec le pilote Otto Salzer, cette voiture d’usine a permis à Camille Jenatzy de terminer 3e en octobre 1909 de l’épreuve Champion du monde organisée à Tervuren près de Bruxelles. Symbole des premiers pas de la marque à l’étoile en compétition, le torpédo 17.3 litres s’est vendu 8,255 millions de dollars. Il était entré dans la collection du musée d’Indianapolis en 1964. 
 L’enchère la plus élevée est revenue à l’une des huit Ford GT40 MkII de 1966. Portant le numéro de châssis P/1032, la berlnette américaine a fait partie de la série de voitures préparée par Holman-Moody réputé à l’époque pour posséder un palmarès à rallonge dans le championnat NASCAR. Livrée inachevée à Shelby American, en charge du programme Ford en endurance, la GT40 MkII P/1032 court les 12 Heures de Sebring 1966 dans une robe blanche avec nez noir. À son volant, Walt Hansgen et Mark Donohue montent sur la deuxième marche du podium final. 
La voiture participe ensuite à la campagne de tests sur le circuit Kingman de Ford et à Riverside destinée à préparer les 24 Heures du Mans, la course de l’année que Ford veut absolument gagner. 
Dans la Sarthe, la voiture se présente dans une robe bronze avec un parement vert sur le capot avant et les entourages de prises d’air latérales. Engagée sous le numéro de course 4, la GT40 pilotée par Mark Donohue et Paul Hawkins connaît une succession d’ennuis. Elle abandonne Peu après avoir perdu son capot près de Mulsanne, elle abandonne sur un problème de différentiel. 
On ne la revoit pas en compétition. 
En 1966 et 1967, elle fait la tournée des salons européens. C’est en mars 1968 qu’elle fait son entrée au sein du musée d’Indianapolis. Un amateur éclairé n’a pas hésité à débourser plus de 13 millions de dollars pour en faire l’acquisition. La palme du sensationnel revenait à la voiture de record Spirit of America Sonic 1 de 1965. Sorte de fusée posée sur roues ou d’avion sans ailes, ce vaisseau est le témoignage de la quête de surpassement. 
À son bord, Craig Breedlove a établi un record de vitesse sur le lac salé de Bonneville, dans l’Utah. Le 15 novembre 1965, Breedlove a roulé à 600.601 miles, soit 966.574 km/h. Il faudra attendre 1970 pour que ce record soit battu. On ne sait pas si cet engin exceptionnel va être exposé dans un salon ou s’il va rejoindre un musée mais il a été adjugé 1,325 million de dollars. Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 25 février 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Retour sur le bilan des ventes aux enchères en 2024...

 

Le Magazine des Enchères a ausculté les résultats de deux importantes plates-formes d’enchères françaises (Interenchères et Auction.fr) pour décrypter les orientations du marché de la voiture de collection dans l’hexagone. Un recul du volume de l’offre Selon l’étude, le marché des véhicules de collection a été fragilisé par le contexte économique et géopolitique incertain où l’absence de visibilité sur la politique économique et fiscale a conduit nombre de vendeurs à reporter leurs projets de cession conduisant à un recul de 12% des véhicules proposés en enchères. Ce n’est pas un effondrement, mais un recul net. Mais à l’inverse, la contraction de l’offre a aiguisé l’appétit des acheteurs puisque le taux d’invendus s’établit à 21% en 2024 contre 28% en 2023. 
 Principales victimes de cette situation, les véhicules « millionnaires » (dépassant le million d’euros). Ils ont été deux fois moins à s’offrir en enchères en 2024 qu’en 2023, confirmant une orientation à la baisse pour les divas des années 1950 et 1960, qui restent toujours les voitures de collection les plus chères, mais dont la cote emprunte une phase descendante, peinant à atteindre leur estimation. 
Le marché se déplace Si les stars des fifties et sixties sont en recul dans les ventes aux enchères, les sportives les plus récentes continuent à susciter un fort intérêt, une tendance déjà perceptible les années précédentes. 
Elles ont été très nombreuses à dépasser leurs estimations en 2024. 
 La vogue qui profite aux années 1990 se vérifie également pour les modèles plus récents. Les années 2000 apparaissent pour nombre d’amateurs comme un âge d’or, avec des sportives déjà confortables et sécurisantes qui offrent encore de véritables sensations sans être trop aseptisées par l’électronique et les boites séquentielles. 

Super stars de cette catégorie, les Ferrari qui trouvent preneur à des prix allant jusqu’à 3 fois leur prix de vente neuve. 
La demande pour les Porsche contemporaines reste soutenue. Ainsi, contrairement à sa devancière 996, la Porsche 997 n’aura jamais connu de période difficile, même si les prix sont bridés par une production supérieure à 200 000 exemplaires et une offre pléthorique. 
 Cette tendance, déjà observée les années passées, témoigne d’un glissement générationnel qui offre des perspectives encourageantes pour le marché des années à venir. C’est les Youngtimers qui tirent le marché Après des années d’augmentation continue, le marché des « Youngtimers » des années 1980 et 1990 s’impose à un niveau élevé. Il n’y a pas eu de record d’enchère, mais les modèles emblématiques atteignent toujours des prix conformes à leur estimation et les exemplaires très peu kilométrés génèrent des montants élevés.
A titre d’exemples, une Peugeot 205 Cabriolet Roland Garros de 1993 affichant 15.000 km qui a trouvé preneur à 31.460 euros ou une Renault 5 GT Turbo de 1989 phase 2 de 42.500 km en état parfait adjugée 39.200 euros. 
 Les enchères en ligne s’imposent 
La proportion de véhicules de collection vendus en ligne devient majoritaire en 2024. En effet, c’est 52% des véhicules de collection qui ont trouvé preneur en Live sur Interencheres en 2024, contre 48% en moyenne en 2023 et 2022. 
 Les ventes de véhicules de collection n’échappent donc pas à la digitalisation de la société. 
Les commissaires-priseurs proposent des descriptifs complets, assortis de photographies de détails et parfois de vidéos, qui permettent aux enchérisseurs d’appréhender au mieux les véhicules, sans nécessairement se déplacer. 
En conclusion Le principal enseignement de cette étude confirme les tendances que nous avions déjà affichées. 
Un recul de l’attrait pour les véhicules de 50’s et 60’s au bénéfice de voitures plus récentes. 
Les bonnes affaires coté « boomers » sont peut-être à venir alors que celles sur les youngtimers sont probablement déjà passées ! Source : autocollec.com

mardi 18 février 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Rétromobile décerne ses trophées de la Préservation à Citroën et à Toyota...

 

Les lauriers du premier salon au monde de la voiture de collection sont allés à de véritables curiosités automobiles jamais restaurées. Romain Grabowski est-il visionnaire ? 
À contre-courant des pratiques des concours d’élégance qui décernent leurs prix à des voitures surrestaurées et plus neuves qu’au premier jour, le directeur du salon Rétromobile a pris l’initiative de créer l’an dernier le Trophée de la Préservation. 
Ce prix récompense une voiture qui n’a jamais été restaurée ou seulement à la marge pour continuer à rouler et éviter les outrages du temps. L’an dernier, le jury composé de François Melcion, cofondateur de Rétromobile, Chip Connor, un grand collectionneur américain, Laurent Hériou, vice-président de la FIVA en charge de la commission technique, Mathias Doutreleau, organisateur du Concours d’élégance Suisse, et votre serviteur, avaient voté pour la Mercedes Simplex HP 60 de 1903 présentée par la maison Gooding & Company depuis 121 ans dans la même famille. 
Il faut croire que ce prix était prémonitoire puisque six mois plus tard, à Pebble Beach, dans le cadre du concours le plus prestigieux de l’année, le Best of Show allait à la Bugatti 59 «Roi des Belges» littéralement dans son jus. Cette année, Rétromobile conservait le même jury mais décidait de créer deux catégories : Avant-Guerre et Après-Guerre. Dans la première, un consensus se formait assez naturellement autour de l’une des Citroën K1 Kégresse présentée au sein de l’exposition consacrée à Adolphe Kégresse, l’inventeur des Autochenilles. 
Le véhicule récompensé faisait partie des cinq véhicules ayant participé à la Traversée du Sahara en 1922. Plus connu sous le surnom de «Croissant d’Argent», ce véhicule était conduit par Louis Audouin-Dubreuil, le second de la mission. Son surnom est un hommage au croissant qui rappelle le drapeau tunisien et qui symbolise l’unité de tous les musulmans. 
Devenu propriétaire de la Kégresse en 1935, Louis Audouin-Dubreuil l’avait donné treize ans plus tard au musée des Cordeliers, à Saint-Jean d’Angely. Inscrit au patrimoine, le «Croissant d’Argent» a toujours conservé son état d’origine et n’avait jamais quitté son repaire. 
À l’occasion de Rétromobile, elle retrouvait l’un de ses compagnons d’aventure, le «Scarabée d’Or». Dans la catégorie Après-Guerre, le trophée de la Préservation a été attribué à la Toyota Sports 800 de 1965, version de série du concept Publica dévoilé au salon de Tokyo de 1962. 
Cette minisportive de 3,58 m à toit targa était une réponse à la Honda S800. Dessiné par Shozo Sato, ce coupé 2 places animé à l’origine par un bicylindre à plat essence refroidi par air de 790 cm3 développe une puissance modeste de 45 ch. Mais son poids plume de 580 kg atteint sous la supervision de l’ingénieur Tatsuo Hasegawa lui autorisait d’étonnantes performances (vitesse de pointe : 155 km/h). 
C’est ainsi qu’elle termina 3e aux 24 Heures de Fuji en 1967, derrière deux Toyota 2000 GT. La Toyota Sports 800 a été produite à 3 131 exemplaires, tous vendus sur le marché japonais, où elle est connue sous le surnom affectueux de Yota-Hachi (abréviation de Toyota 8). Parmi eux, seuls 300 exemplaires ont été produits avec le volant à gauche. La rumeur voudrait que ça soit à l’attention de soldats américains basés sur l’île d’Okinawa. 
Ce véhicule a servi de base au développement des technologies d’électrification. Au salon de Tokyo de 1977, une version évoluée était équipée d’une turbine à gaz alimentée par un moteur électrique. Dans son état d’origine, la Sports 800 exposée à Rétromobile sur le stand Toyota fait partie de la collection du musée Louwman, en Hollande. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 16 février 2025

CLUB5A - Rétromobile 2025 - Les Citroën DS, les Kégresse et les Ferrari chez Richard Mille...

 

On vous a déjà montré les expositions des ventes aux enchères qui entourent Rétromobile 2025 et on a fait un tour à l’espace moto (tous les articles sont visibles en cliquant sur la bannière). On passe maintenant aux expositions thématiques du salon. On commence avec beaucoup de chevrons. Les 70 ans de la Citroën DS C’est l’expo phare de ce Rétromobile 2025. 
La Citroën DS fête son anniversaire et le salon parisien a mis les petits plats dans les grands pour célébrer le modèle. Rien à voir avec l’exposition MG de l’an dernier. 
Celle-ci était ouverte et on retrouvait profusion de modèles. L’exposition de Citroën DS prend autant de place. Mais elle est entourée de cloisons et on a soigné la présentation et l’esthétisme, du coup on retrouve beaucoup moins de voitures. On débute évidemment avec la fameuse DS ballon. Coup de pub de l’année 1959, la voiture reposait sur des (faux) ballons pour illustrer son confort. Malheureusement l’auto de base fut certainement recyclée en DS classique. 
L’organisation de Rétromobile 2025 a donc confié un sacré défi au GARAC : reconstruire cette auto. Mission accomplie avec brio. La voiture marque les esprits, c’est certain. Comme toutes les autos, elle est « coiffée » par un magnifique lustre. L’exposition retrace les grandes étapes de la DS. Ne manque qu’un break pour être complet. On commence donc avec une DS de 1956, la première, toute simple, avant de passer sur deux modèles plus prestigieux. 
D’abord avec le « top du top », une DS 23ie Pallas. La plus puissante et presque la plus luxueuse. Parce qu’on trouve aussi une auto plus luxueuse avec la Prestige, cette DS issue de commandes spéciales qui proposait un bel équipement dont une séparation chauffeur. 
On se retrouve en 1967. 
Si les phares sont encore ronds, cette 21 Pallas marque un changement avec l’apparition du LHM et un vrai gain en fiabilité. On poursuit avec un cabriolet. Ici les ailes cendrier sont en place et on montre donc un des premiers cabriolets de la gamme DS. Derrière… ce n’est pas une DS. 
On n’a pas oublié la petite soeur et c’est ici une ID confort qui est exposée. Autour, on retrouve quelques pièces d’automobilia. Ainsi une maquette de la DS Totem permet de vraiment voir l’avant. Un dessin de Flaminio Bertoni renvoie aux origines stylistiques de la DS tandis que l’étude suivante et la maquette en bois évoquent, eux, le restylage de la DS. 
 On termine avec deux autres pièces bien spéciales de cette exposition DS à Rétromobile 2025. Deux pièces de salon, comme la DS Ballon. 
On débute avec le Totem, cette DS verticale dont le nez est pointé vers le haut… et pourtant c’est bien ce nez qui était important et présentait en 1962 une légère refonte de l’avant du modèle phare. A l’inverse, la DS débarrassée de ses portes montrait, elle, le confort de l’intérieur de la reine de la route. 
Une retrouvaille puisqu’on avait vu cette voiture lors de l’exposition du Centenaire il y a 6 ans. erminé ? 
Pas tout à fait. Derrière les cloisons on retrouve une DS 21 traitée façon bicolore. Elle fait directement référence à la DS8 moderne qui lui fait face. Cette fois, on a fait le tour. 
Les Citroën Kégresse 
C’est l’exposition de la passerelle. L’an dernier, c’est l’exposition Dakar qui nous envoyait en Afrique. Cette fois on part aussi en Asie. 
Les Kégresse sont en place et on découvre finalement une belle diversité de modèles. On débute ainsi, côté Hall 1, avec une des premières. 
C’est la Kégresse K1 de 1923. 
Cette auto possède des chenilles à bandage souple et a notamment été utilisée pour tracter des avions à Villacoublay. On évolue ensuite au gré des différentes années et évolutions de ces Citroën passe (vraiment) partout. La P7 Bis de 1925 possédait une poulie tractrice et ses chenilles étaient démontables. La P20 de 1930 est un étonnant break de chasse. Vraiment de chasse puisque les fusils sont en place à l’arrière et ce véhicule servit pour des expéditions de chasse au gros gibier… en Sologne.
 On a vu plus exotique ! 
La P19 de 1931 était passée au 6 cylindres de 50ch pour offrir de meilleures performances. Retour en 1922 avec la K1 « Croissant d’Argent » qui participa à une expédition qui traversa, sur 3200km, le Sahara. On retrouve aussi le célèbre Scarabé d’Or qu’on ne présente plus. 
On retrouve ensuite une Kégresse P4 T de 1924. Une voiture équipée d’un 4 cylindres de 22ch et qui participa à la Croisière Noire. On repasse sur une P19, la Voiture Scientifique de la fameuse Croisière Jaune qui relia Beyrouth à Pékin. Autre voiture de la croisière jaune, la P19 « Cinéma Lourd » présente pour immortaliser l’expédition. En bref, une exposition très étonnante, sur laquelle il faut passer du temps. 
Non, toutes les autos ne sont pas les mêmes et chacune est particulière. 
Prenez le temps de venir l’admirer.
Source : newsdanciennes.com - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...