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jeudi 21 novembre 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - LES ANNEES 60 POUR L'ENTREPRISE RENAULT .... LES ANNÉES RÉVOLUTION...

Renault acquiert la nouvelle impulsion sous la gestion direction de Pierre Dreyfus (nommé en 1955), devenant une des entreprises principales de la France. L'expansion internationale continue. Renault marche avec des partenaires locaux et prend un intérêt dans des pays émergents.
Le 4 CV fait son salut final en 1961 et elle est remplacé par la Renault légendaire 4L. Au fil des ans, un certain nombre de nouveaux modèles emblématiques arrivent sur le marché, y compris Renault 8, Renault 12, Renault 16 et A110 Alpine. 
Sous la  présidence de Pierre Dreyfus (nommé en 1955), Renault prend un nouvel l'allant pour devenir l'une des plus grandes entreprises françaises. 
L'internationalisation se poursuit : Renault s'appuie sur des partenariats locaux et s'intéresse aux pays émergents...Aujourd'hui l'aventure continue.....
 Source : Renault

jeudi 24 octobre 2024

CLUB5A- CULTURE PUB - PUBLICITÉ POUR LA PORSCHE 911 ...

La Porsche 911 est une voiture de sport et de prestige fabriquée par la firme allemande Porsche. La commercialisation de la première génération commence en 1963. 
Elle est alors la première intégralement conçue par la firme de Stuttgart. Près de cinquante ans plus tard, le modèle phare de Porsche en conserve les traits et le nom. La 911, dans la version de type 991, est toujours produite et vendue. L'architecture du moteur est restée inchangée jusqu'à aujourd'hui. Il s'agit du légendaire 6-cylindres à plat (flat-six), disposé en porte-à-faux arrière.

La Porsche 911 est reconnue comme une des plus illustres automobiles de l'histoire, et le modèle le plus célèbre de Porsche. 
Le modèle actuel n’a plus grand-chose à voir avec son aîné : il existe en effet une quinzaine de modèles différents de la Porsche 911, les anciens modèles font aujourd’hui partie des voitures de sport les plus recherchées par les collectionneurs
Pour fêter les 50 ans de la 911, Porsche a dévoilé le 4 juin 2013 une version « 50th Anniversary Edition » dont la série est limitée à 1 963 exemplaires en hommage à l'année de sa présentation.
Source :Porsche


vendredi 4 octobre 2024

CLUB5A - CULTURE PUB PEUGEOT 208 GTI ... LA LÉGENDE !!

La Légende ! 
 30 ans après la 205 GTi....Nostalgie quand tu nous tiens !
La Peugeot 205 est un modèle automobile du segment B produit par le constructeur français Peugeot. Elle est l'un des modèles phares du constructeur, qui le sauve d'une situation financière délicate après l'achat de Chrysler Europe. Elle est fabriquée de 1982 à 1998 à 5 278 300 exemplaires, ce qui fait d'elle la Peugeot la plus produite jusqu'à ce que la 206 la dépasse. Elle est la voiture la plus vendue en France en 1984 et 1985, succédant à la Renault 5, et de nouveau en 19901, disputant la première place à sa principale rivale, la Renault Supercinq. 

 Elle possède plusieurs types de carrosserie : berlines 3 et 5 portes, cabriolet et fourgonnette. Ses motorisations vont de 954 cm3 à 1 905 cm3 pour des puissances allant de 45 à 130 ch (et même 200 ch pour la 205 Turbo 16 série 200). La 205 est issue du projet M24, étudié dès 1977 par Peugeot. Le premier prototype voit le jour en 1981 et la production sera entamée fin 1982 pour une sortie le 23 février 1983. La production de la 205 a été stoppée début 1998.
 La 205 est aussi une voiture mythique de l'histoire du sport automobile grâce à sa version Turbo 16, qui, aux mains de Ari Vatanen, Timo Salonen et Juha Kankkunen, gagne les titres pilote et constructeur du Championnat du monde des rallyes en 1985 (Salonen) et 1986 (Kankkunen), puis le Paris Dakar en 1987 (Vatanen) et 1988 (Kankkunen), et le Championnat de France de rallycross en 1988 (Guy Fréquelin), 1989 (Philippe Wambergue) et 1990 (Jean-Manuel Beuzelin). 
La 205 tient une place particulière dans l'histoire de la marque. C'est elle qui a sauvé Peugeot. Elle est d'ailleurs encore présente sous forme de clin d'œil dans de nombreuses publicités contemporaines de la marque. En 1982, une longue grève mobilisa Talbot. 
C'est la 205, sortie l'année d'après, qui relança le site de Poissy en l'avenir duquel plus personne ne croyait. Entretemps, devant le succès du modèle, une production de 205 a aussi été lancée à l'usine PSA de Sochaux ainsi qu'à l'usine PSA de Madrid pour le marché espagnol, avec le « moteur Poissy ». Le potentiel de production, initialement de l'ordre de 800 véhicules/jour, se trouve finalement porté à quelque 2400 véhicules/jour.

mercredi 18 septembre 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - PUBLICITÉ POUR HARLEY-DAVIDSON ...LE MYTHE EST TOUJOURS PRÉSENT !!

De Bardot aux films de Brando jusqu’aux bikers d’Easy Rider, le mythe de la Harley a toujours subsisté dans les consciences collectives. ...PUB..

En 1960, Harley-Davidson rachète l'usine italienne Aermacchi et produit des motos de petites cylindrée sous le nom Aermacchi Harley-Davidson. Ford F150 Série spéciale H-D Au début des années 1970, Harley-Davidson évolue peu et se cantonne à ses modèles, sans changer de conception durant de nombreuses années. 
Le coût et le prix deviennent élevés pour des performances qui étaient très inférieures à celles des nouveaux concurrents japonais comme Honda. Néanmoins, en 1977, Harley-Davidson surprend tout le monde en présentant la 1000 XLCR Cafe Racer. Mais elle n'aura pas le succès attendu. Quelques années plus tard, la firme récidivera avec le modèle XR 1000, directement dérivé de la compétition, et là encore, ce sera l'échec commercial, notamment en raison d'un prix de vente prohibitif pour l'époque, plus de 6 000 dollars. 
 Au milieu des années 1970, AMF (American Machine and Foundry) achète la société et augmente la production, mais cette stratégie entraîne une baisse de qualité. Les ventes déclinent et l'entreprise est sur le point de faire faillite. Le nom lui-même devient l'objet de moqueries comme « à peine capable » et le titre « goret » (hog) devient autant affectueux que péjoratif. AMF vend l'entreprise à un petit groupe d'investisseurs qui ralentit la production, introduisit des techniques de productions innovantes et améliorent la qualité. Plutôt que de se battre contre les Japonais sur leur terrain, cette nouvelle direction accentue le côté rétro et lifestyle mais apporte une excellente réputation à la firme.  
AMF Harley-Davidson continue de produire ses petites cylindrées dans l'usine Aermacchi. Les locaux et l'outillage sont revendus en octobre 1978 à Claudio Castiglioni, posant la première pierre de ce que deviendra Cagiva. Une Harley-Davidson devient alors objet de collection qui garde sa valeur si elle est bien entretenue, surtout pour un gros modèle. La vente d'objets portant le logo et des accords de licence avec des entreprises fabriquant des camions légers à plateau (série F) comme Ford assurent une publicité forte et des revenus intéressants. 
 En 2018, face à la guerre commerciale que se livrent l'Union européenne et les États-Unis, Harley-Davidson prend la décision de délocaliser une partie de sa production hors des États-Unis, évaluant la perte causée par les nouvelles taxes européennes à cent millions de dollars par an. Selon la société, accroître la production à l'étranger pourrait prendre entre neuf et dix-huit mois, via les trois unités d'assemblage au Brésil, en Inde et en Thaïlande...
Source : CalibreEntertainment

lundi 9 septembre 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - RENAULT PUBLICITE POUR LA "DOMAINE" LA VOITURE PAPA...

Publicité sur la voiture "La Domaine" de Renault, année 1955...
Domaine est le nom donné à la version break de la Frégate. Elle est très souvent appelée "Frégate Domaine". 
Elle vient remplacer en 1956 la Renault Colorale/Prairie qui faisait office de break campagnard. Cependant sa conception plus élaborée et donc son prix moins abordable l'ont éloigné de la clientèle de la Colorale. Elle souffre également du même manque de succès que la berline.

Elle bénéficie du moteur de la Frégate dans sa version Etendart de 77 chevaux. En 1958, la clientèle peut opter pour la boite de la Frégate Transfluide. La voiture s'appelle alors "Manoir".
Malgré ses qualités de routières, la Domaine ne rencontra jamais son public.

 La voiture est arrêtée en 1960, alors qu'à la Régie on pense déjà à la suite, pourtant lointaine étant donné que la renault 16 ne sortira qu'en 1965. Quant au break populaire, il faudra attendre la Renault 12  en octobre 1970 !
 Source texte : zorqblogauto.analblog.com-youri GAGARINE

samedi 24 août 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - MICHELIN - LE CIRQUE AVEC BIBENDUM...C’ÉTAIT EN 1958 !!

 Evolution du système de production et ses conséquences sociales.. Bibendum est l'image de marque de la manufacture française des pneumatiques Michelin. 
Au Canada comme en France, on l'appelle aussi le « Bonhomme Michelin ». Le slogan de la manufacture est : « Le pneu Michelin boit l’obstacle ! ».
Bibendum, aussi appelé Bonhomme Michelin, est la mascotte de Michelin, la manufacture française des pneumatiques. Créé en 1898, il est devenu emblématique de la marque. En 1894, le stand Michelin est installé à l'Exposition universelle, internationale et coloniale de Lyon. Une pile de pneumatiques en signale l’entrée. À sa vue, Édouard Michelin dit à son frère André : « Regarde, avec des bras, cela ferait un bonhomme ! ».
 Quelque temps après, le dessinateur O’Galop vient montrer à André Michelin ses projets d’affiches publicitaires. C’est une image refusée par une brasserie qui retient l’attention de l’industriel. On y voit un homme d’un bel embonpoint, supposé être Gambrinus, qui brandit une chope de bière en s’exclamant, d'après une expression du poète antique Horace « Nunc est bibendum ! » (« C’est maintenant qu’il faut boire ! »).
 Ce buveur lui rappelle l'observation faite par son frère Édouard. Une esquisse voit le jour en avril 1898 : le gros personnage est constitué de pneus, la chope est remplacée par une coupe remplie de débris de verre et de clous, la phrase latine a été conservée, on voit les autres convives qui se « dégonflent », et le slogan maison est repris : « Le pneu Michelin boit l'obstacle ». En juin de la même année, un imposant « bonhomme Michelin » fait des débuts remarqués au Salon de l'automobile de Paris. 
En juillet, lors de la course Paris-Amsterdam-Paris, un jeune mécanicien de 18 ans bientôt coureur illustre — Léon Théry — voit s’approcher André Michelin et il s’écrie aussitôt : « voilà Bibendum, vive Bibendum ». L’interpellation est peut-être désinvolte, mais l’industriel sait qu’il tient là le nom de son personnage. C’est le début d’une longue et fructueuse collaboration avec le dessinateur O’Galop. Une première publicité est publiée dans la presse en 1899. 

Soutenu par une série d’affiches de 1901 à 1913, Bibendum ne tarde pas à devenir populaire et à être adopté comme emblème publicitaire des pneumatiques de la marque. Représenté en pied, avec lorgnons et cigare à la bouche, il est décliné sous d’innombrables représentations. Au départ, armé d'un couteau, il apparaît sur les affiches terrassant ses concurrents ensanglantés ; mais cette approche est rapidement oubliée afin de se diriger vers une publicité davantage paisible. 
Même la caricature politicienne s’en empare vers 1906. Juché sur des véhicules publicitaires, il est présent sur les circuits automobiles et cyclistes (Tour de France) et parade au défilé du carnaval de Nice et de celui de Paris. Dès la fin des années 1900, des mannequins à son effigie défilent lors 
d’événements sportifs. En 1908, un bureau du tourisme est créé et Bibendum devient omniprésent dans la presse et les divers ouvrages édités par la maison clermontoise (Guides, cartes routières, itinéraires, prospectus, cartes postales…). Sa notoriété ne tarde pas à franchir les frontières. À partir de 1927, son effigie est partout : chez les garagistes, dans les voitures, dans les maisons et sous forme de chocolat pour les enfants. 
En 1930, l’entreprise met un frein à cette prolifération de l’image qui la dépasse. Elle ne garde que les cartes routières et les guides de voyages. Pendant les années 1960, Bibendum arrête de fumer son cigare et perd du poids. Passant d’un dessinateur à l’autre, son apparence évoluera considérablement au cours du temps et des modes graphiques. Il investira la planète et sera l’objet de multiples métamorphoses. À partir de 1963 et tout au long des années 1970, des caravanes Michelin visitent un grand nombre de stations balnéaires de France et d’Europe pour organiser des jeux de plages avec des animateurs costumés en Bibendum. 

Il est l’ambassadeur idéal pour faire connaître dans le monde entier les pneus, cartes routières, guides hôteliers et guides touristiques de la firme de Clermont-Ferrand. Logo de Michelin de 1997 à 2017 Pour fêter le centenaire de leur illustre mascotte, un nouveau logotype a fait son apparition en 1997 sous l'impulsion d'Édouard Michelin, après une relative absence. Le bonhomme a perdu un peu de ses rondeurs. 
Sa silhouette est maintenant plus élancée. 
En 2000, Bibendum est élu meilleur logo du siècle par un jury international. Le centenaire de 1998 voit aussi la création d'un Challenge Bibendum Michelin, organisé chaque année depuis (sauf 1999). À partir de 2009, des spots télévisés animés mettant le Bibendum en scène sont mis au point. En référence à sa genèse, il extrait notamment de son ventre des pneus pour venir en aide à des automobilistes....
Source : macchinine

mercredi 7 août 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - QUAND HARLEY-DAVIDSON FAIT SA PUB !!

C’est bien connu, les bikers sont souvent de véritables fanatiques de leurs bécanes, ils vivent pour parcourir des kilomètres avec elle, comme le dit le célèbre adage « Live To Ride, Ride To Live«. 
C’est bien connu aussi, la marque américaine de grosses cylindrées a une véritable base de fans à travers le monde, qui ne changerait de type de moto pour rien au monde.
Source : world TV Spot

dimanche 28 juillet 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - L'IMAGE DE LA FEMME DANS LA PUBLICITÉ AUTOMOBILE...

L'image de la femme, provenant de son émancipation, et la publicité automobile L’image de la femme est omniprésente dans la publicité automobile, mais en quoi la publicité automobile reflète-t-elle les valeurs de la société en intégrant la femme dans le support ?Dans un permier temps, la femme n’est qu’un motif décoratif, un faire valoir, dans la publicité.
Au début du 20ème siècle, le choix de la femme n’a pas tant d’importance, notamment dans un domaine qui est à l’époque masculin. La femme est considérée comme inférieure à l’homme, elle n’est pas une consommatrice à part entière, ce qui se reflète à travers la publicité automobile. Inactive dans la consommation, elle l’est de la même manière que sur cette affiche : elle décore. Elle a sans doute comme fonction d’attirer la vraie cible, l’homme, mais pas de façon très important comme nous le verrons plus tard, car la parité est quasiment inexistante sur le marché automobile à ce moment là. Dans les années 30, les femmes sont toujours présentes, quand d'autre les utiilise toujours pour illustrer leur produits, certaines publicités les intègrent derrière le volant.

La guerre est terminée, la femme a pris conscience qu’elle peut remplacer l’homme, comme elle l’a fait pendant la guerre en se chargeant de la plupart des postes de travail, en prenant ses responsabilités, en s’occupant du ménage seule. La femme a volonté de s’émanciper, de remplacer l’homme comme la publicité le reflète en mettant celle-ci au volant cette fois, à travers l’habit de pilote, soit en habit de consommatrice. 
L’image de la femme dans la publicité automobile après les années 20 témoigne d’un bouleversement des mentalités, de la société qu’à provoquer son émancipation à l'époque de jours en jour toujours plus grande. Elle est lieu d’identification de la nouvelle condition féminine.A partir des années 50, la femme est de plus en plus souvent au volant, mais c’est aussi l’arrivée des pin-up, des séductrices.La femme est de plus en plus considérée comme une consommatrice. Le fait de s’émanciper à fait progresser le secteur automobile en lui laissant une place toujours plus grande dans sur le marché. Cette progression va apporter une féminisation, qui va lentement amener à une homogénéisation du secteur.
En associant une femme à un produit, on cherche à attirer le regard, surtout si celle-ci répond aux standards de beauté, s’approche de l’idéal corporel de la séduction. Le premier objectif est de ciblée la sexualité masculine. A travers cette image suggestive, l’homme cherche ce qui lui manque dans la vie réelle, et la publicité est là lui offrant presque innocemment la solution de ce « nouveau » besoin : le produit.Ici c'est plus une idée de prestige qui est mise en avant, notamment avec les poses, les gants des femmes, qui sont au nombre de deux. Celles-ci sont associés au produit.
Le nouvel ordre social que met en place la société de consommation à partir des années cinquante renforcent l'impératif du besoin du regard d'autrui pour se constituer. Les femmes sont continûment orientées dans leur pratique par l'appréciation que leur apparence corporelle, leur manière de tenir leur corps et de le présenter. L'image de la femme est lieu d'identification de la nouvelle condition féminine, encore dans les années 50, mais se transforme tout de même doucement en lieu d'identification esthétique afin de s'approcher de la norme.La place de la femme évolue, tout comme son image qui s'émancipe, en refletant l'évolution de la représentation de la condition, de la sexualité féminine.
 Les années 60 : La glamour ne se fait plus prier, et est devenu rélle, dans le sens que le dessin se fait de plus en plus rare. Ce type de représentation de la femme, tend à la rendre inaccessible ; la publicité en l'intégrant propose un moyen de la rendre accessible, en l'associant à l'automobile, signe de prestige.Les années 70 : La femme est définitivement consommatrice à part entière ; on remarque aussi que l'image a très fortement évolué en parallèle aux moeurs : la perception et la tolérance ont changé.Malgré une volonté de la femme à tendre de plus ne plus vers une égalité entre les sexes, à travers son image, on observe que la norme ésthétique est omniprésente. 
 Le secteur automobile à travers la publicité se féminise, soit on assiste à une homogénéisation. On a atteint le summun de cette volonté d’homogénéiser le secteur avec cette publicité qui nous est contemporaine, juste incroyable et peut-être trop ridicule : "Kim Derderian, chef de publicité chez Peugeot, a su saisir ce ressort pour extraire une petite voiture de sa condition de "sous-voiture" et la propulser au centre des convoitises masculines." Slogan :"C'est la première fois que les hommes sont fous de la voiture de leur femme". 
Source : http://tpe-auto-pub.over-blog.com-INA Officiel

vendredi 21 juin 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - ÉTERNELLE FIAT 500 !!

La Fiat Nuova 500 ("nuova" pour la distinguer de la Fiat 500, lancée en 1936, rebaptisée plus familièrement : "Topolino") voit le jour dans une période trouble de l'histoire italienne : c'est à dire dans une phase de transition partant de la reconstruction après-guerre jusqu'au boom économique des années 60. 

 Dans l'Italie des années 50, dominée par une économie essentiellement agricole et encore loin du bien-être abondant, nombreuses étaient les tentatives d'un changement radical tant économique que social qui auraient impliqué le pays. Avec le passage progressif à l'industrialisation et avec les premiers pas vers la consommation, une des principales demandes pas encore satisfaite par le marché, concernait la mobilité de chacun. 
Dans l'immédiat après-guerre, nait le phénomène typiquement italien du scooter (Vespa e Lambretta), pourtant demeurait toujours l'idée d'une motorisation de masse. 
 La vieille 500 C "Topolino" (la plus petite voiture du monde !) reste en production jusque 1955 puis est remplacée par la bien plus moderne Fiat 600. 
Une place sur le marché de "la petite motorisation" restait encore à prendre. A la différence de pays comme l'Allemagne, où des motos carrossées à deux temps et à trois ou quatre portes connurent un beau succés, en Italie, de telles expériences échouèrent l'une après l'autre. Souvenons-nous de l'Iso "Isetta" (1953/1956), géniale création qui trouvera son juste succés seulement en Allemagne.
Elle sera construite sous la marque BMW jusque la fin des années 60. Pour le marché italien, il parait donc indispensable de penser à une minuscule mais véritable automobile, qui renoncerait le plus possible à tout compromis avec l'automobile. Depuis 1952 circulait l'idée que Fiat pensait réaliser une petite voiture économique. Quand, en 1955, fut présentée la 600, il apparut que le projet d'une telle voiture était atteint. 
Pourtant, l'année suivante, reprirent les bruits d'une petite voiture chez Fiat jusqu'à ce que commencèrent à circuler des photos et des articles sur des prototypes circulant qui confirmaient ainsi l'inévitable mise sur le marché de la minuscule voiture. Les nouvelles données allaient révolutionner les habitudes productives de Fiat. 
Les principales innovations techniques concernaient la mécanique, qui se détachait manifestement de l'orthodoxie constructive de Fiat : moteur bicylindre refroidi à air, filtre à huile centrifuge et boîte de vitesse non synchronisée inspirée des motocyclettes. D'autres solutions testées sur la 600 furent adoptées : surtout la lame de suspension avant qui outre le fait de jouer un rôle élastique, joue un rôle amortisseur. Pour conclure le cadre du projet, on note l'ingénieux système élastique par lequel le moteur est attaché à la coque, système qui absorbe les nombreuses vibrations du moteur.



SOURCE / gerysmoke / PORTA PORTA / SOURCE TEXTE / nuova500.free.fr/

samedi 15 juin 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - PUBLICITÉ POUR LA Z1 DE KAWASAKI ...

Kawa revient à la charge avec, cette fois, un mini site internet lancé à la gloire de s es Z qui, d'après les Nippons, "devrait ravir tous les amoureux de quelques-uns des modèles les plus emblématiques du grand constructeur japonais".
 La saga Kawa de Z à Z La liste démarre naturellement par la 900 Z1, premier modèle du nom, dévoilée en 1972 au Salon de Cologne. En parcourant le court descriptif - "en langue anglaise ou... japonaise", précisent non sans malice les responsables français - les visiteurs peuvent par exemple (re)découvrir l'origine de son nom.
"La lettre Z avait été choisie car en tant que dernière lettre de l'alphabet, elle représentait l'extrême", décrivent les Japonais, tandis que "le 1 signifiait numéro un au monde". Plus obscur, le nom de code de développement de la légendaire Z était "New York Steak"... Doit-on voir ici la volonté farouche de Kawasaki de produire, à destination essentiellement des marchés américain et européen, une moto qui "enverrait du steak" ? 
 Source : moto-net.com / Digest of "Z1 The Movie" DVD / Yasushi Ojiro

mercredi 12 juin 2024

CLUB5A - CULTURE PUB - La Renault 6 c'était en 1968....

Des acteurs qui font de la pub..le phénomène ne date pas d'aujourd'hui. Daniel Prévost se prête à cette publicité pour la Renault 6 !!
La Renault 6 est une automobile fabriquée par Renault dans l'Île Seguin à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) et présentée au Salon de l'automobile de Paris en septembre 1968. La Renault 6 fut désignée ainsi parce qu'elle était équipée d'un moteur de 6 chevaux fiscaux. Cette petite berline à roues avant motrices offre une carrosserie assez spacieuse animée par un petit moteur. 

Elle possède un hayon, une banquette arrière repliable et démontable facilement et un levier de vitesses au tableau de bord. Elle reprend tous les éléments mécaniques de la Renault 4 (suspension par barres de torsion et boîte de vitesses devant le moteur) et ajoute des raffinements comme le pare-brise plus large, mais ne conserve pas les évents qui permettaient sur la R4 d'obtenir une aération du véhicule par dépression. 

 Pour Renault, elle était prévue pour être une petite Renault 16, d'où sa ligne similaire à l'exception des bordures latérales du toit. Toutefois, sur le plan mécanique, la R6 est beaucoup plus proche de la R4 que de la R16. La R6 est une évolution de la R4 dont elle reprend l'essentiel en s'en distinguant par l'esthétique et l'habitabilité. Dans ce sens, la R6 est à la R4 ce que la Dyane est à la Citroën 2 CV, ou ce que la R10 est à la R8. 

 À partir d'octobre 1970 (modèle 1971), la version originelle est supplantée par la nouvelle R6 TL. Grâce à son moteur 6 CV, l'auto est plus à l'aise sur la route avec une vitesse maximale qui passe de 120 km/h à 135 km/h. En Espagne, la Fasa-Renault 6 possède dès le début un « moteur Cléon-Fonte » de 956 cm3. Le sens de rotation du « moteur Billancourt » est anti-horaire (côté distribution), tandis que le « moteur Cléon-Fonte » tourne dans le sens horaire, pour obtenir le même sens de rotation aux roues, le différentiel de la boîte de vitesses est retourné sur les versions avec le « moteur Cléon-Fonte ». 

 La mécanique de la R6 est relativement fiable et économique. Son problème de conservation est lié à la corrosion qui compromet l'intégrité des différentes parties de la carrosserie : pointe des ailes avant, tour du pare-brise, passages de roues arrière... La R6 a plus séduit la clientèle par son côté pratique que par son esthétique, elle n'a jamais suscité l'admiration ni la convoitise et commence à peine à se faire une place sur le marché des voitures de collection.
Source : philippe baron