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jeudi 9 octobre 2025

CLUB5A - CULTURE PUB AUTO - LA RENAULT - MA 4 CV....LA MOTTE DE BEURRE !



Pub en noir et blanc comme je les aime...
La Renault 4CV, du constructeur français Renault, est une voiture conçue par Fernand Picard et Edmond Serre, deux ingénieurs de Renault, qui est présentée en octobre 1946, suite au développement de trois prototypes. C'est une petite voiture, mais elle est particulièrement spacieuse pour son époque et ses dimensions extérieures. La Renault 4CV – surnommée la « 4 pattes » mais aussi « la motte de beurre » (à cause de sa couleur) 
– symbolise le retour de la paix et de la prospérité car elle est la première voiture française accessible au plus grand nombre comme l'indique le slogan publicitaire diffusé à l'époque : « 4 chevaux, 4 portes, 444 000 francs ! ». La 4CV est la voiture la plus vendue en France jusqu'en 1955. C'est la première française à atteindre une production d'un million d'exemplaires. 
La production débute et sera essentiellement réalisée à Billancourt, mais une partie sera également assemblée à l'usine de Flins (Seine et Oise). Elle s'étend de 1947 à1961, année de sortie du 1 105 547e et dernier exemplaire : outre la Dauphine, la 4CV sera, pendant près de 15 ans, le principal modèle commercialisé par Renault.
Source : MrDreamlandboy-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

jeudi 25 septembre 2025

CLUB5A - CUTURE PUB AUTO - Réclame de la SIMCA ARONDE 1955/1956

La Simca Aronde est une berline familiale fabriquée de 1951 à 1963 par le constructeur automobile français Simca, fondé fin 1934 par Fiat comme filiale française, pour échapper aux exorbitants droits de douane de l'époque, en vigueur avant l'instauration du Marché commun de 1957. Le mot « Aronde » signifie en ancien français « hirondelle », qui était le symbole de la marque Simca. 
 En 1956, l'Aronde est la voiture la plus vendue en France. Trois générations d'Aronde se sont succédé : la 9, la 1300 ou 90A et la P60. La 9 Aronde fut présentée le 31 mai 1951, c'est la première Simca à carrosserie monocoque. 
Contrairement aux Simca précédentes sous licence Fiat, elle n'est pas identique (homothétique) à un modèle Fiat existant. Cependant, la Fiat 1400 sortie un an plus tôt possède une structure identique. En fait, la Simca Aronde et la Fiat 1400 ont été élaborées conjointement chez le grand emboutisseur américain Budd, spécialiste des carrosseries monocoques (sans châssis) tout acier. 
On peut dire que les deux voitures sont demi-sœurs. Bien entendu, Simca occulta complètement cette filiation et de nombreux journalistes se laissèrent abuser en écrivant - sans aucune preuve - que "l'Aronde était la première vraie Simca et non plus une Simca-Fiat". La Simca paraît résolument moderne face à la Citroën Traction Avant ou à la Peugeot 203 de l'époque. 
La carrosserie est due au crayon de Mario Revelli di Beaumont finalisée par René Dumas. Son style se ressent de la forte influence américaine de l'immédiat après-guerre, avec une ligne du style ponton, avec des ailes intégrées au reste de la carrosserie, dont elle fut une des premières représentantes parmi les voitures françaises. Pour son époque, elle disposait d'une grande surface vitrée. Malgré sa modernité apparente, la 9 Aronde est techniquement très classique, restant fidèle à la propulsion. 
Elle est mue par un moteur Fiat de 1 221 cm3, identique à celui qui équipait les Simca 8 1200 qu'elle remplace, mais disposant de 45 ch SAE1. Ses qualités étaient sa direction précise et légère, sa nervosité et un bon freinage par rapport à ses rivales. On pouvait lui reprocher un essieu arrière sautillant et inconfortable, une commande de boîte de vitesses très imprécise et une première non synchronisée. L'intérieur des Simca Aronde modèles 1951 est tapissé d'un tissu rayé vite surnommé « drap de déporté » car la guerre était encore dans tous les esprits. 
Ces premières versions ont leur batterie de 12 V sous la banquette avant. La 9 Aronde 1951 se reconnaît par le monogramme de calandre à fond noir et le pare-chocs arrière en une seule pièce, contre trois à partir de 1952
Source : Jnoajanio

lundi 8 septembre 2025

CLUB5A - CULTURE PUB - LA MINI EST MUSICIENNE...MAIS PAS QUE !


Mini, histoire d’une incroyable renaissance ! 
Véhicule mythique et symbole à lui tout seul du Royaume-Uni, la Mini originale ne pouvait être éternelle. Lorsque BMW se retrouve propriétaire de Rover en 1994, le constructeur allemand hérite de ce modèle dans la corbeille de la mariée. Mais comment continuer à faire vivre ce mythe vieux de trois décennies ? 
Voici l’histoire de la Mini du 21ème siècle. BMW hisse le pavillon allemand sur Mini !! u milieu des années 90, l’industrie automobile anglaise achève sa lente agonie. Pendant que Volkswagen s’offre le joyaux Bentley et se dispute le rachat de Rolls-Royce avec BMW, un autre mythe est sur le point de tomber dans l’escarcelle des allemands, Mini ! En se portant acquéreur de Rover, la toute petite voiture si mignonne se retrouve sous pavillon germanique. Le rachat de Rover se passera mal, mais chez BMW si on est décidé à laisser mourir le constructeur au Drakkar, on est certain de tenir une pépite sous exploitée avec Mini. Que faire de Mini ? 

Commence alors une longue réflexion au sein de l’état major du constructeur de Munich. On continue dans un premier temps à commercialiser, avec une confortable marge le modèle original, sorti en 1969. Mais cette Mini, aussi importante fut elle pour l’histoire de l’automobile et de l’Angleterre ne correspond plus à aucun standard de sécurité ou de performance. 
BMW transforme le modèle en marque et met les ingénieurs au défi de concevoir une nouvelle génération de Mini. Les concepts car qui ont présidé à la naissance de la nouvelle Mini L’Anniversary Concept Vehicle est la première vision de ce que pourrait être une Mini des années 2000. L’Anniversary Concept Vehicle est la première vision de ce que pourrait être une Mini des années 2000.
Conserver l’esprit ? En 1997, soit trois ans après le rachat par BMW, un premier concept car est présenté lors du Rallye Monte Carlo. Le concept ACV30 vient célébrer dignement les 30 ans de la première victoire d'une Mini Cooper sur le rallye. L’Anniversary Concept Vehicle est la première vision de ce que pourrait être une Mini des années 2000. C’est un petit coupé rouge au toit blanc, les couleurs des versions Cooper qui s’illustraient en rallyes. Avec ses projecteurs additionnels et ses ailes proéminentes elle remet le style de la marque au goût du jour. Mais il ne s’agit que d’un concept, imaginé à la hâte sur un châssis de MG. Tout changer ? 
 L’autre piste envisagée consiste à reprendre l’idée d’un véhicule minimaliste et le plus petit possible, adapté aux exigences modernes mais dépourvu de toute filiation esthétique avec la première Mini. Finalement la première Mini avait surpris le monde entier, pourquoi ne pas tout changer de nouveau? En mars 1997, à une époque où on annulait pas encore les Salon de Genève, sont dévoilés les concepts Spiritual et Spiritual Two. Leur style mono-volume inédit tient dans les dimensions de la première Mini. 
 On change tout mais on garde ce qui a fait le concept Mini, la taille et le poids réduits. 15 maquettes seront en concurrence avant que BMW ne choisisse la version "vintage" 15 maquettes seront en concurrence avant que BMW ne choisisse la version "vintage" Choix cornélien Entre ces deux visions, une néo-rétro au style classique et une autre en rupture totale avec le style anglais, difficile de choisir. Ce sont 15 maquettes grandeur nature qui seront mises en concurrence. Quatre maquettes proviennent des équipes de Rover, cinq du centre de design BMW californien, cinq autres de BMW Allemagne et une dernière d’un bureau de design en Italie. 
 Le succès du revival de Coccinelle sous la forme de la New Beetle a peut-être inspiré BMW, qui choisit la proposition du studio Californien de la marque. La nouvelle Mini sera immédiatement identifiable comme une Mini grâce à son style néo-rétro et peu importe si la Mini est beaucoup plus grosse que l’originale. En ce sens, elle ne fait que suivre l’inflation en poids et en taille prise par ses concurrentes depuis 1969. Les versions se multiplient Les versions se multiplient Une marque à part entière en route vers le succès. La nouvelle Mini est commercialisée en juillet 2001 et séduit instantanément le public. Les versions se multiplient et BMW vend plus de 300 000 Mini par an. Entre la 3 portes, le cabriolet, le break Clubman, la Countryman 4X4, le Coupé, le roadster, les versions Cooper c’est une véritable gamme qui couvre un maximum de besoins.
 La petite Mini avait révolutionné la voiture de ville en 1969, BMW la transforme en une vraie marque, à l’image... toujours aussi british. Fiche technique Mini One 2001 Moteur : 4 cylindres en ligne Distribution : Double arbre à cames en tête Cylindrée : 1598 cc Puissance : 90 chevaux à 5500 tr/min Couple : 14.3 mkg à 3000 tr/min Boite de vitesse : 5 rapports Puissance fiscale : 6 chevaux Type : Traction Freins avant : Disques ventilés Longueur : 363 cm Largeur : 169 cm Hauteur : 142 cm Poids 1040 kg Vitesse max 184 km/h 0 à 100 km/h 11.2 sec Côte 2020 : Une Mini Cooper, version sportive de 2001 à 2006 se négociera autour de 5500 € (Côte officielle Youngtimer 2020) 
Conserver l’esprit ? En 1997, soit trois ans après le rachat par BMW, un premier concept car est présenté lors du Rallye Monte Carlo. Le concept ACV30 vient célébrer dignement les 30 ans de la première victoire d'une Mini Cooper sur le rallye. L’Anniversary Concept Vehicle est la première vision de ce que pourrait être une Mini des années 2000. C’est un petit coupé rouge au toit blanc, les couleurs des versions Cooper qui s’illustraient en rallyes. Avec ses projecteurs additionnels et ses ailes proéminentes elle remet le style de la marque au goût du jour. Mais il ne s’agit que d’un concept, imaginé à la hâte sur un châssis de MG. out changer ?
 L’autre piste envisagée consiste à reprendre l’idée d’un véhicule minimaliste et le plus petit possible, adapté aux exigences modernes mais dépourvu de toute filiation esthétique avec la première Mini. Finalement la première Mini avait surpris le monde entier, pourquoi ne pas tout changer de nouveau? En mars 1997, à une époque où on annulait pas encore les Salon de Genève, sont dévoilés les concepts Spiritual et Spiritual Two. Leur style mono-volume inédit tient dans les dimensions de la première Mini. On change tout mais on garde ce qui a fait le concept Mini, la taille et le poids réduits. 
Choix cornélien Entre ces deux visions, une néo-rétro au style classique et une autre en rupture totale avec le style anglais, difficile de choisir. Ce sont 15 maquettes grandeur nature qui seront mises en concurrence. Quatre maquettes proviennent des équipes de Rover, cinq du centre de design BMW californien, cinq autres de BMW Allemagne et une dernière d’un bureau de design en Italie. Le succès du revival de Coccinelle sous la forme de la New Beetle a peut-être inspiré BMW, qui choisit la proposition du studio Californien de la marque. La nouvelle Mini sera immédiatement identifiable comme une Mini grâce à son style néo-rétro et peu importe si la Mini est beaucoup plus grosse que l’originale. 
 En ce sens, elle ne fait que suivre l’inflation en poids et en taille prise par ses concurrentes depuis 1969. Une marque à part entière en route vers le succès. La nouvelle Mini est commercialisée en juillet 2001 et séduit instantanément le public. Les versions se multiplient et BMW vend plus de 300 000 Mini par an. Entre la 3 portes, le cabriolet, le break Clubman, la Countryman 4X4, le Coupé, le roadster, les versions Cooper c’est une véritable gamme qui couvre un maximum de besoins. La petite Mini avait révolutionné la voiture de ville en 1969, BMW la transforme en une vraie marque, à l’image... toujours aussi british.

lundi 11 août 2025

CLUB5A - CULTURE PUB - L’histoire de la formule secrète du lubrifiant WD-40...

Si aujourd’hui l’utilisation du WD-40 peut sembler banale, son histoire est plus singulière que vous ne le pensez. Pour bien comprendre, il faut repartir 70 ans en arrière aux Etats-Unis, avec la création d’une formule secrète, comme pour le Coca-Cola. Destiné aux fusées en pleine guerre froide. Derrière le produit multifonction que même les moins bricoleurs d’entre nous ont utilisé au moins une fois dans leur vie, se cache une société américaine, la Rocket Chemical Company. Un nom qui ne vous dit certainement rien, et pour cause. Son utilisation n’a rien à voir avec l’utilisation moderne du WD-40. 
L’entreprise californienne fondée en 1953 par Norman Larsen était spécialisée dans la fabrication de produits chimiques pour fusées. Plus spécifiquement, ils produisaient un élément chimique pour les lanceurs Atlas. Même si pour beaucoup ces fusées sont connues pour avoir envoyé certains des premiers astronautes dans l'espace, les lanceurs Atlas sont à l’origine des missiles. Leurs réservoirs en acier inoxydable étaient si fins et si fragiles que lorsqu’ils étaient vides, ils devaient être maintenus en pression avec de l’azote pour les empêcher de se briser. 
En pleine Guerre Froide, il fallait maintenir l'armement opérationnel à tout moment. Il fallait donc trouver un moyen d'inhiber la corrosion pour protéger la paroi extérieure des réservoirs du missile. Et c’est ce que proposait la Rocket Chemical Company. D’où vient le nom ? Le WD-40 tire son nom de “Water Displacement” (déplacement de l’eau) et “40 th formula”, car il aura fallu attendre la 40ème formule pour que le produit réponde au cahier des charges. Rapidement, la Rocket Chemical Company s’est rendue compte que ses employés emportaient du WD-40 chez eux pour leur usage personnel. 
Si la version officielle raconte que les salariés de la société rentraient chez eux avec le produit pour régler les problèmes d’humidité de leur voiture, il existe une légende tenace qui est tout autre. Il se dit qu’ils l’employaient pour lubrifier des préservatifs, même si cela n’a jamais été prouvé. Le débat fait rage au sein de la rédaction de Road-Story entre défenseurs acharnés de cette technique et moues sceptiques. Changement de nom.
   Toujours est-il que le succès du produit ne se fait pas attendre. Dès 1958, la société commence à la commercialiser sous forme d’aérosol. Sur les premiers sprays, une silhouette de fusée apparaît dans le logo, laissant supposer l'utilisation originelle du produit. Par la suite, ce dessin a peu à peu disparu pour ne plus être représenté du tout aujourd’hui. En 1969, la Rocket Chemical Company change de nom pour se rebaptiser WD-40, du nom du seul produit commercialisé par la marque.
Comme un ouragan En 1960, la société s'agrandit et recrute. Ce sont désormais 7 représentants de commerce qui sillonnent les Etats-Unis au volant de leur voiture pour vendre le WD-40, avec un carton de sprays dans le coffre. Mais c'est une catastrophe naturelle qui marquera un tournant dans l’histoire du WD40 en le faisant connaître à travers tous les USA. 
En 1961, entre le 3 et le 17 septembre, se forme un des plus gros ouragans que le pays ait connu avec des pointes de vent à 230 km/h. Le bilan est colossal avec 43 morts et 326 millions de $ de dégâts. Tous les employés de l’entreprise sont mobilisés pour fournir le produit multifonction aux habitants de la Floride. Le produit est utilisé pour chasser l’eau des véhicules endommagés, des machines industrielles, ou encore du matériel agricole, abîmés pendant l’ouragan. 
Cette fois c’est gagné, le produit “miracle” devient le meilleur ami de l’américain moyen. L'ami des maris infidèles? WD40 peut alors partir à la conquête du monde. Ce sera chose faite à partir de 1973 quand la société est introduite au NASDAQ, puis en 1987 avec la création de la filiale anglaise, chargée de la distribution dans le reste du monde. 
Dès l'année suivante, 21% du chiffre d'affaires de la société se fait hors USA. C'est à cette époque que les chimistes de la société ajoutent une légère odeur au produit. La même odeur qu'on aime ou qu'on déteste aujourd'hui. Quelques années plus tard, lors d'un jugement de divorce, un Texan avouera utiliser le WD-40 pour masquer le parfum de sa maîtresse en rentrant chez lui. Une formule secrète Un des mythes persistant concernant ce produit tient dans sa formule. Ce n’est pas une légende! 
A l’instar de Coca-Cola, la formule du Produit Multifonction WD-40 était, est et restera secrète ! C’est ce qui rend ce produit assez unique sur le marché. La formule n’a pas changé depuis 67 ans, le jour où cette fameuse “40th formula”a été mise au point dans les locaux Californiens de la marque. Dès le départ, les patrons de l’entreprise refusent en effet de déposer le brevet de leur invention, pour ne pas avoir à la rendre publique. Cette formule magique est désormais bien gardée dans le coffre-fort d’une banque située à San Diego, sur un simple bout de papier. 
Aujourd’hui encore, le nombre de personnes connaissant la formule se compte sur les doigts d’une main. Légendes urbaines Ce culte du secret véhiculera tout un tas de rumeurs à propos du WD-40. La plus folle ? Il utiliserait comme ingrédient majeur de l’huile de poisson, voire même…du sperme de loutre! D’après le service communication de l’entreprise, cette rumeur viendrait du fait que les pêcheurs de WD-40 qui l’utilisaient pour protéger leurs hameçons, capturaient les plus gros poissons qu’ils n’avaient jamais vus ! Un nom devenu générique Soit.
 En quelques années le produit s'est tellement répandu qu'une étude de 1993 a révélé que quatre habitations américaines sur cinq disposaient d'un spray de WD-40. Aujourd’hui, le WD-40 est devenu un terme générique pour désigner un produit dégrippant. Pas mal pour un produit spécifique qui n’avait pas pour vocation de se retrouver dans autant de foyers (vous devez vous douter que la probabilité de posséder une fusée chez soi reste somme toute assez faible). Le WD-40 protège le métal de la rouille et de la corrosion, repousse l'humidité, supprime les grincements et lubrifie quasiment tout. 
Des gammes moto et vélo ont également été créés pour accompagner les mécaniciens et les passionnés dans l'entretien de leurs machines. La marque se vante de pouvoir proposer plus de 2 000 utilisations pour la maison avec ses produits, "sans compter toutes celles encore découvertes chaque jour". Un des deux meilleurs outils du monde Durant sa longue histoire le WD-40 sera associé à de nombreux produits mais la palme du meilleur co-branding revient à l'association du WD-40 avec la non moins célèbre marque de scotch gris Duct Tape ! Comme le WD-40, ce fameux scotch se retrouve dans tous les foyers.
 Il existe un vieux diction aux Etats-Unis qui dit "Tu n'as besoin que de deux outils dans ta vie, Duct Tape et WD-40. Si ça bouge alors que ça ne devrait pas, utilise Duct Tape. Si c’est bloqué et que ça ne devrait pas l’être, utilise WD-40 !
Source : histo-auto.com/