mardi 17 décembre 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La parade des voitures de collection....pour la traditionnelle Ronde de Noël....

 

45 véhicules de collection ont fait une parade dans le centre-ville de Carcassonne.   

45 véhicules de collection ont défilé en périphérie de Carcassonne jusqu’à la place Carnot ce dimanche 15 décembre. L’occasion de découvrir ces voitures anciennes pour cette 8e édition de la Ronde de Noël organisée par les membres du club des 5A. C’est une tradition à Noël à Carcassonne et ce dimanche 15 décembre n’a pas dérogé à la règle. 45 véhicules anciens et de collection ont effectué une parade, tout d’abord en périphérie de la ville, avant que leurs conducteurs ne se retrouvent sur la place Carnot où de nombreux curieux sont venus apercevoir ces engins du siècle dernier.
Le défilé des voitures de collection sur la place Carnot. 

Il y en a encore sous le capot avec ces voitures de collection.

Une Alpine 1 600 S de 1971, une Kallisto du constructeur automobile britannique Panther Westwinds, une Renault Caravelle, une Rosengart de 1938, une MG 1 600 MK II roadster, sans oublier la Citroën 2 CV ou la Renault 4L ont émerveillé petits et grands.
Alain Fumanal de l’association 5A.


Les participants de cette ronde automobile ont profité de la magie de Noël sur la place Carnot.

Cette 8e édition de la Ronde de Noël, organisée par les membres du club des 5A, sera la dernière grande manifestation de l’année pour cette association dont l’ambition est à la fois de faire découvrir ces véhicules anciens mais aussi de militer pour la sauvegarde du patrimoine automobile et mécanique. "Chaque propriétaire peut ainsi partager sa passion et présenter au public son véhicule avec ses singularités" détaille les organisateurs de la manifestation.

Le père Noël était également de la partie lors de cette ronde automobile.

Les voitures de collection du siècle dernier étaient habillées aux couleurs de Noël.

Ces derniers avaient également un mot pour le regretté Jean-Pierre Foli, ancien président de l’association, et dont la fille a pour la toute première fois ce dimanche conduit le véhicule de son père, une Simca 5, cette automobile franco-italienne conçue par Fiat et produite de 1936 à 1948.

Source : Independant-BOYER Claude - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LA PLUS BELLE DES MOTOS LORS DE CETTE RONDE DE NOEL DECOREE AVEC PASSION...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - A CHACUN SES PETITS PLAISIRS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO- Tour Auto.... les marques italiennes disparues !!

On ne dira jamais assez que la rétrospective du Tour Auto, qui se déroulera entre Paris et Nice, n'est pas uniquement une épreuve sportive. Elle remplit une mission esthétique et culturelle. C'est ainsi que la manifestation française accomplit un devoir de mémoire et s'attache à rendre hommage à certaines marques disparues qui sont venues, au gré des époques, chercher gloire et notoriété sur les routes de France. L'an dernier, les organisateurs ont célébré les marques françaises. Cette année, c'est au tour des Italiennes de tenir le haut de l'affiche. Cette édition qui s'élance du Grand Palais accueille douze véhicules répondant aux critères de cette catégorie: Autobianchi, De Tomaso, Osca, Siata. Sans verser dans les questions de sémantique et sans chercher le courroux de l'organisateur, qu'il nous soit permis ici d'y ajouter deux autres firmes transalpines. La première n'est autre que Lancia, la seule marque à avoir inscrit son nom au palmarès du Tour avec Ferrari. Personne n'a oublié les exploits de la Stratos bleue aux couleurs de l'importateur Chardonnet et pilotée par Bernard Darniche.
Lancia, on le sait, a disparu du paysage et n'existe plus que sur son marché domestique à travers l'Ypsilon. Pour combien de temps encore? 
Tout est-il que le Tour  donnera à voir plusieurs modèles qui ont marqué de leur empreinte l'histoire de l'épreuve. À commencer par des Stratos, des Fulvia HF et des Flaminia Zagato. La seconde appartient aussi au groupe Fiat. Il s'agit d'Abarth. Or la sortie de l'oubli de ce label n'est que le produit d'une décision marketing. Si aujourd'hui la firme au scorpion se contente de produire des Fiat améliorées, du temps de sa splendeur, elle a donné naissance à de vraies Abarth de sport et de compétition.

 C'est le cas de l'Abarth Simca 2000 GT de 1963 dont on salue la présence d'un exemplaire cette année sur les routes de France. Une idée de Carlo, la berlinette «2 Mila» animée par un 2 litres Simca pouvant afficher plus de 200 chevaux était la bête noire de la Porsche 904 GTS en compétition. 
Autre marque disparue bien représentée cette semaine avec trois modèles, Osca (Officine Specializzate Costruzione Automobili) a été fondée par les frères Maserati - Bindo, Ernesto et Ettore - en 1947 après avoir cédé leur firme à la famille Orsi. 
Pendant près d'une quinzaine d'années, Osca se distingue avec une production confidentielle de voitures de sport et de compétition de petite cylindrée. Certaines ont été habillées par le carrossier milanais Zagato. C'est le cas du splendide coupé 1600 GT que l'on pourra admirer tout au long du parcours passant par les villes étapes de Besançon, Megève, Avignon, Aix-en-Provence et Nice.
L'existence de Siata fut plus longue mais encore plus confidentielle qu'Osca. Fondée en 1926 par Giorgio Ambrosini, la «Societa Italiana Auto Transformazione Accessori» est surtout réputée pour la 208 S de 1953. Sorte d'AC Cobra avant l'heure, ce spider était propulsé par un V8 Fiat en aluminium propulsant aussi la Fiat 8V. La majorité des spiders prirent le chemin des États-Unis. Inconnue des plus jeunes d'entre nous, la marque De Tomaso est aussi au départ avec plusieurs exemplaires de Pantera. Cette berlinette dotée d'un Ford V8 installé en position centrale arrière a participé au Tour au début des années 1970. À la même époque, Autobianchi animait, de son côté, le peloton des petites avec ses A112 Abarth dont deux exemplaires prennent le départ. Mais les italiennes risquent d'être éclipsées par le retour, sur les routes du Tour, d'une Matra MS650. Si la fiabilité est au rendez-vous, entendre rugir le V12 de ce prototype justifie à lui seul le déplacement sur le parcours.
Source : lefigaro.fr /  Jean Yves Gautron

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...La première moto Triumph utilisait un moteur belge Minerva...

 

1920 Triumph avec Sidecar Modèle H 550cc
 La première moto Triumph de 1902 utilisait un moteur belge Minerva, mais en quelques années, la firme de Coventry - à l’origine un fabricant de bicyclettes fondé par les immigrés allemands Siegfried Bettman et Maurice Schulte - construisait ses propres groupes motopropulseurs. 
La société s’est rapidement impliquée dans les courses et la publicité générée par le succès de la compétition.


- Jack Marshall a remporté la classe mono-cylindre de 1908 sur l’île de Man pour Triumph, ayant terminé deuxième l’année précédente - a grandement stimulé les ventes. 
Au début de la Grande Guerre, la réputation de la marque pour sa qualité et sa fiabilité était bien établie, ce qui a conduit à des commandes importantes de 'Trusty Triumphs' pour un usage militaire. 
Le modèle  est apparu pour la première fois en 1907. 
À l’origine de 453cc, son moteur à soupape latérale a été agrandi à 476cc en 1908 et finalement à 499cc en 1910 avant d’être remplacé par le modèle 550cc en 1914. 
Equipée d’une boîte de vitesses Sturmey-Archer à trois vitesses, c’est cette version révisée de 4 CV - le modèle H - qui a fait un tel service dans la Première Guerre mondiale, environ 30000 'Trusty Triumphs' ayant vu des actions avec les forces britanniques et alliées. 
Mis à jour avec la transmission finale de chaîne pour 1920, il est devenu connu comme le 'SD' (Spring Drive) en raison de son amortisseur à ressort hélicoïdal monté sur l’embrayage et a formé la base du modèle Ricardo à quatre soupapes. 
Source : Easton Drake

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DIS PAPA C'EST QUOI UNE HERNIE !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES MARMON .....AMÉRICAINES JUSQU'AU BOUT DU PAR-CHOC !!!!

Marmon automobile co1, était un constructeur automobile américain fondé en 1902 par Howard C. Marmon et appartenant à Nordyke Marmon & Company de Indianapolis, Indiana, aux États-Unis. Il a été fusionné et renommé en 1933. Ils ont produit des voitures sous la marque Marmon. Il fut remplacé par Marmon-Herrington et plus tard la Marmon Motor Company de Denton (Texas). 
Le nom survit actuellement grâce au groupe Marmon de Chicago (Illinois). La société mère de Marmon a été fondée en 1851 et était une fabrique de matériel pour le meulage de farine. Elle a commencé de produire d'autres machines vers la fin du xixe siècle. 
Une petite production limitée d'automobiles expérimentales commença en 1902, avec un moteur bicylindre en V refroidi à l'air. Un V-4 refroidi à l'air était sorti l'année suivante. La Marmon a rapidement acquis la bonne réputation d'une voiture haut de gamme fiable et rapide. La Marmon Modèle 32, datant de 1909, engendrait la Wasp (guêpe) qui était en 1911 le vainqueur de la première course automobile Indianapolis 500. 
C'était la première automobile du monde à avoir un rétroviseur. La Marmon Modèle 48, sorti en 1913, était une voiture de tourisme avec volant à gauche avec une carrosserie en aluminium et des phares électriques, ainsi que des veilleuses électriques pour le tableau de bord et les portes. Marmon était le premier constructeur à utiliser de l'aluminium dans la production de voitures. 
La Marmon Modèle 34 de 1916 était construit avec de l'aluminium pour la carrosserie et le châssis afin de réduire le poids à environ 1 500 kg. Comme un coup de pub, un modèle 34 a roulé de côte à côte, battant le record de Erwin « Cannonball » Baker en grande pompe. La Marmon V163. Howard Marmon avait commencé à travailler sur le premier moteur du type V-16 en 1927, mais ne pouvait terminer la production qu'en 1931, après l'introduction d'une V-16 par Cadillac, dessiné par Owen Nacker, un ancien employé de Marmon.
 En 1939 Marmon produit également plusieurs sortes de véhicules militaires : tanks , véhicules de transport de troupes et plusieurs engins tout terrain.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

lundi 16 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LES MERES ET PERES NOEL TRES MOTIVES POUR CETTE RONDE NOEL 2016...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AU VOLANT RESTONS ZEN !!


 

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ?? …….Jeunes motards : le parcours du combattant ?

Si obtenir son permis moto n’est pas chose aisée, le jeune conducteur devra passer d’autres obstacles pour pouvoir rouler sereinement au volant de sa moto. Le saviez-vous ? Depuis l'application du décret n° 2016-723 du 31 mai 2016, toute personne qui passe son permis moto, quel que soit son âge, doit d’abord passer un permis A2, l’obligeant à conduire une moto dont la puissance n’excède pas 35 kW (47,5 ch). 

Ce n'est qu'au terme des deux ans de permis A2 que le motard récupère son permis A et peut conduire le véhicule de son choix, sans limitation de puissance. Important à savoir : en cas de retrait définitif de permis A, pour un excès de vitesse par exemple, le motard se voit dans l’obligation de repasser le permis A2 et donc à une moto bridée pendant deux ans. Autre difficulté pour un permis moto A2 : trouver un assureur qui accepte son dossier, à un coût abordable. 
Les conducteurs sans ancienneté de permis sont en effet considérés comme profils à risque de par leur manque d’expérience sur la route : les statistiques prouvent d’ailleurs qu’ils sont davantage susceptibles de provoquer ou d’être impliqués dans un accident. Les assureurs impactent donc les tarifs afin de pouvoir être en capacité financière de prendre en charge cette forte sinistralité. Dans le pire des cas, les assureurs peuvent également refuser la souscription d’un profil considéré comment trop dangereux. C’est le cas notamment des jeunes pilotes au volant de roadsters sportifs ou sportives. 
QUELLE ASSURANCE POUR LES PERMIS A2 ? 
 Pour rappel, l’assurance au tiers est le minimum obligatoire. Pour être davantage couvert tout en évitant une surprime trop importante, il est conseillé au motard en permis A2 d’éviter les offres standards proposées par les compagnies d’assurance classiques. 
Choisir une assurance moto spécifique, conçue pour les jeunes conducteurs, peut leur permettre de bénéficier d’une cotisation mieux ajustée à leur profil et conduite. De la même façon, certaines assurances moto peuvent prendre en charge les frais pour récupérer ses points ou pour repasser son permis.
Source : mehdiator

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....EN 1920 LE PILOTE HERBERT Mc BRIDE A BATTU LE RECORD DE VITESSE (168km/h)...

 

En avril 1920, Herbert McBride a battu le record du monde de moto pour les amateurs avec une vitesse de 168 KM/H (104,4 miles par heure). McBride, avec son coéquipier, le pilote professionnel Eugene Walker, a battu deux douzaines de records de vitesse en l’espace de plusieurs jours sur les plages d’Ormond Beach, en Floride... 
Source : Nostalgia Narrative

CLUB5A – PHOTO INSOLITE - Seules les images ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire ….Il fait froid..En moto sortons couvert !


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES AMILCAR LA VOITURE FRANÇAISE PAR EXCELLENCE !!

Amilcar C GS 3 de 1924 , fabriqué à seulement 724 exemplaires.7Cv et 4 Cylindres.
Fondée en 1921, Amilcar était une des nombreuses sociétés créées avant la Première Guerre mondiale dédiée aux voitures de sport légères appelés voiturettes.Ce 1924 CGS-3 modèle avait un moteur à quatre cylindres de 1,1 litre. 
Voitures oubliées pendant les temps difficiles des années 30. 
La firme française a fermé ses portes pour de bon en 1939.  
Amilcar est un ancien constructeur automobile français établi à Saint-Denis. La société, célèbre pour ses voitures sportives légères dans la catégorie des cyclecars, a produit des véhicules de 1921 à 1939. Le nom « Amilcar » vient d'un anagramme imparfait des noms des deux fondateurs : Joseph Lamy et Émile Akar. La première réalisation de la marque présentée au Salon de Paris en 1921 est le type CC qui rappelle l'automobile Le Zèbre d'avant-guerre car son concepteur Edmond Moyet était auparavant employé de la marque.
Il s'agit d'un véhicule à deux places entraîné par un moteur quatre cylindres de 903 cm3 à soupapes latérales avec une boîte de vitesses à trois rapports. Sa vitesse maximale est de 75 km/h. L'année suivante, deux nouveaux dérivés sont lancés : le type CS, version sport à châssis court et le type C4, voiturette familiale à châssis long avec quatre places, toutes deux entraînées par un moteur de 1 004 cm3. L'Amilcar la plus célèbre demeure la CGS (pour « Châssis Grand Sport ») du Salon 1923 qui possède un moteur porté à 1 074 cm3 et un freinage sur les quatre roues (brevet Amilcar), mais il n'y a pas de différentiel. Trois ans plus tard, le modèle donne naissance à la plus sportive des Amilcar, la CGSS (pour « Châssis Grand Sport Surbaissé »). 
Lorsqu'elles sont construites sous licence, ces voiturettes s'appellent « Pluto » en Allemagne, « Grofri » en Autriche et « Amilcar-Italiana (en) » en Italie. Dès les débuts, la marque est présente en compétition. En 1922, elle remporte le Bol d'or automobile (2e en 1925). En 1925, pour contrer Salmson, la voiture de course CO est équipée d'un moteur six-cylindres à double arbre à cames en tête avec vilebrequin sur sept paliers à rouleaux de 1 100 cm3 à compresseur.
 Elle bat le record du mille lancé, à 197,42 km/h de moyenne. La version client, la voiture de sport C6 lancée en 1927, possèdera aussi un moteur à double arbre à cames en tête. La même année André Lefebvre-Despaux remporte le rallye Monte-Carlo, sur 1 100 cm3. En 1928, Ernst von Halle termine troisième de l'Eifelrennen sur le Nürburgring (et Vernon Balls cinquième des 6 Heures de Brooklands). en 1939, l'entreprise participe aux 500 miles d'Indianapolis avec Jules Moriceau. En 1930, Charles Bénitah gagne le Grand Prix Automobile du Maroc en catégorie Tourisme à Anfa. 
 En 1933, l'entreprise s'impose pour la deuxième fois au Bol d'or, après avoir été quatrième en 1931. Elle sera encore en 1933 et 1934 cinquième de l'épreuve, puis deuxième des 8 Heures du Bol d'or en 1935, servant alors de course de pré-qualifications. En 1936, Georges Grignard finit troisième pour un dernier podium au Bol, puis en septembre de la même année Fernande Roux est aussi à une troisième place, cette fois du Grand Prix du M.C.F.. 
En 1938, René Biolay est encore deuxième des Coupes de Paris à l'autodrome de Linas-Montlhéry, puis quatrième du Grand Prix des Frontières. Après le conflit mondial, les résultats ne seront plus à la hauteur des attentes, même lors du Bol d'or (André Le Jamtel 4e en 1948). À partir de 1925, une petite voiture de tourisme est fabriquée, le type G suivie par les modèles L, M, M2, M3 et M4. L'année 1929 voit la fabrication d'une 13 CV de luxe, la CS8, avec un bloc moteur à huit cylindres en ligne de 2,3 litres à un arbre à cames en tête. 
Ayant une bonne tenue de route et une vitesse de pointe de 120 km/h, la CS8 disparaît rapidement à cause d'une fiabilité médiocre. En août 1934, à cause de ventes insuffisantes, l'usine de Saint-Denis ferme définitivement. À l'automne, Amilcar présente le modèle Pégase (en) produit avec des moyens réduits à Boulogne-Billancourt. Il possède un moteur quatre cylindres Delahaye et des roues avant indépendantes. En septembre 1937, la société, qui est rachetée et qui fusionne avec Hotchkiss, présente l'Amilcar Compound très avancée dans sa conception due à Jean Albert Grégoire. La production des voitures Amilcar ne survit pas à la Seconde Guerre mondiale.
Source : voituresapedales--alaud56

dimanche 15 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LORS DE LA RONDE DE NOEL DE 2016... LE PERE NOEL A ECHANGE SON TRAINEAU CONTRE UNE JOLIE BMW SERIE 2....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE LIVRAISON CONFORME A LA COMMANDE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Citroën 2 CV de 1949.... une vente record à plus de 75 000 euros !!

Dernièrement , une collection de 2 CV a enflammé une vente de Me Osenat. Un modèle de 1949 a été adjugé 75 600 euros. Un nouveau record ! Depuis quelques jours, la nouvelle se répand sur les réseaux sociaux et sur Internet. Elle anime les conversations de comptoirs. On ne sait pas encore si elle a atteint les endroits les plus isolés de l'Hexagone mais elle n'a pas fini de faire parler d'elle. Maître Jean-Pierre Osenat a battu un record du monde lors de la vente d'une cinquantaine d'automobiles qu'il organisait en son site de Fontainebleau. 
Contre toute attente, l'effervescence n'est pas venue de certaines pièces de la collection Terzulli abritée depuis plusieurs décennies dans le parking souterrain d'une résidence de la région parisienne. Ce sont des Citroën 2 CV provenant d'un amateur et conservées à l'abri des regards qui ont enflammé la salle des ventes et plus particulièrement l'une d'entre elles. Parmi les quatre exemplaires de 2 CV proposés, le catalogue comportait un rare modèle Type A de 1949, la première année de commercialisation. Présentée en grande pompe au salon de Paris de 1948, la 2 CV fut commercialisée au début de l'année 1949. 
Cette année-là, l'usine du quai de Javel ne produisit que 876 exemplaires, tous identiques. Portant le numéro 0458, le modèle de la vente arbore donc la teinte gris mat et comporte un tachymètre et un ampèremètre en guise d'instruments de bord. Présentant un bon état général, cette 2 CV Type A complète est à remettre en route. Visiblement, cela n'a pas effrayé les amateurs. 
Et il a fallu que deux personnes se disputent cette voiture populaire pour que les enchères flambent à 75.600 euros, avec les frais. Un nouveau record pour une 2 CV standard. La 2 CV la plus chère au monde quitte notre territoire pour la Hollande. Le record, tous modèles confondus, reste toutefois à l'actif de la 2 CV Sahara de la collection d'André Trigano. A Rétromobile, la maison Articurial avait adjugé ce véhicule 172.840 €.
Source : lefigaro.fr - Griffin

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...En 1963 le scooter Lambretta symbolisait la reprise économique...

 

En 1963 le Lambretta, marque de scooter populaire en Italie d'après-guerre, symbolisait à la fois la reprise économique et le sentiment naissant de liberté et de modernité de l'époque. 
Le scooter, souvent associé à la culture vibrante de l'Italie et au boom économique des années 1950 et 1960, aurait été un choix pratique et élégant pour le transport familial. Le design de Lambretta, avec ses lignes épurées et ses fonctionnalités innovantes, reflète l'embrassement de l'époque des nouvelles technologies et de l'esthétique. Les familles qui utilisent des scooters pour naviguer dans les milieux urbains et ruraux étaient communes.
Il souligne l'évolution des transports personnels, reflétant les tendances plus larges de la société italienne au début des années 1960. 
Source : Amy Couch

CLUB5A - 15/12 - PHOTO INSOLITE - NOUS VOUS SOUHAITONS UN NOEL RENVERSANT !




 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - IL SUFFIT D'UN PEU D'IMAGINATION POUR POUVOIR ROULER !!


 

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - La Chang-Jiang 750 Black Star...La BMW Chinoise !!

 

Chang-Jiang 750 Black Star: la moto de collection neuve.... 
Ce n'est ni la plus belle, ni la plus grosse, encore moins la plus puissante.. Mais je la classe quand même dans la catégorie des motos d'exception. Car, mettre en vente en 1990 une moto dont la conception remonte à 1938, ce n'est vraiment pas courant. Cette moto venait de Chine où elle y était construite depuis 1957, date à laquelle les droits de fabrication avaient été rachetés à BMW.
 En détaillant les caractéristiques techniques, il semblait évident que la moto avait subi peu d'évolutions depuis cette date puisque le moteur à soupapes latérales développait 22 chevaux au régime faramineux de 4900 tours/minute! Avec ses deux selles suspendues séparées par une large poignée de maintien, son frein à tambour décentré, sa suspension coulissante, elle ressemblait trait pour trait à la vieille BMW d'avant guerre. Chang-Jiang est une marque de motos chinoise est le nom retranscris de l'ancienne China Nanchang Aircraft Manufacturing Company. Cette marque tire son nom du fleuve Chang Jiang, également connue sous le nom de Yangtsé ou, en anglais, the Long River. En 1957, l'Union soviétique modernise ses Oural en utilisant un moteur culbuté, à la place de l'ancien à soupapes latérales. 
Elle décide alors de revendre à la République Populaire de Chine l'outillage et les méthodes de fabrication de l'usine de Gorki. La première moto chinoise sort des chaînes en 1961. Elle s'appelle la Chang-Jiang, du nom du fleuve le plus long du pays (traduit par Yangzi Jiang en français). Elle équipe immédiatement les administrations et l'armée. Chaque unité de production disséminée dans tout le pays semble avoir son propre bureau d'étude. On ne peut donc pas connaitre avec certitude le nombre de modèles différents issus de la firme. La CJ750 est basée sur l'IMZ MZ-195 d'origine soviétique (Irbitski Mototsikletniy Zavod) de 1956, elle-même dérivée de la BMW R 71 allemande datant de 1938. Presque toutes sont des side-cars. On désigne souvent à tort les CJ750 comme étant des «répliques» de BMW, alors qu’elles sont en fait des dérivés de l’IMZ M-72. La production chinoise a commencé à la fin des années 1950 début des années 1960, certaines sources citant différentes dates. 
Elles furent produites à l'origine pour l'armée chinoise et sont propulsées par un moteur bicylindre à plat quatre temps refroidi par air de 746 cm³. La roue arrière du side-car est entraînée par un arbre reliée à la roue arrière de la moto jumelée. Les modèles les plus courants sont : La M1 : moteur à soupapes latérale, système électrique 6V. Ce modèle est un clone de l'IMZ M-72 et ressemble beaucoup à la BMW R 71 de 1938. Le M1M : moteur à soupapes latérale, système électrique 12V et équipé d’une marche arrière. Il a également un démarreur électrique quand la M1 ne dispose que d'un kick. Ces améliorations ont été conçues avec l’aide d’ingénieurs allemands. Le M1S (ou "Super") : moteur à soupapes en tête, système électrique 12 V, démarreur électrique et marche arrière. Le système OHV est fondamentalement de conception allemande BMW. 
Les trois modèles utilisent le même cadre et la même carrosserie. Les modèles M1 et M1M d'apparences presque identiques peuvent être différenciés en observant certains détails. Sur ces motorisations, se greffent différentes carrosseries propres à chaque unité de production. En 1950, l'Armée de libération du peuple de Beijing n ° 6, Automotive Works, développa une moto militaire en procédant à de la rétro ingénierie à partir d'une moto allemande Zundapp KS500. Cette moto entra en production en 1951. 4 248 exemplaires furent construits avant le transfert de la production de motos militaires aux usines de machines de Hongdu et de Xingjiang. Les deux usines restent à ce jour des filiales de l'industrie aéronautique gérées par l'État Chinois. Au milieu des années 1950, les Soviétiques considéraient que le M72 était obsolète et la Chine allant bientôt acquérir tous les outils pour produire ses propres M72, la machine basée sur la Zundapp KS500 fut abandonnée. 
 La M72 chinoise portait le nom de Chang Jiang 750. Selon certaines sources, elle serait entrée en production en novembre 1957 à l’usine de machines de Ganjiang, propriété de l’État. La production initiale utilisait des pièces russes M72. Les premiers CJ étaient presque identiques aux M72. La transmission Chang Jiang a été révisée plusieurs fois depuis le début de sa production. De 1957 à 1966, les CJ ont été équipés de moteurs et de transmissions de type I. Cette transmission était presque identique à celles des BMW R71 et Oural M72. En septembre 1966, la production du moteur et de la boîte de vitesses de type II débuta. Ce n'est qu'en 1972 que le moteur de type II remplaça le type I généralement utilisé. L'utilisation du moteur de type I en 1966-1972 résultait d'un excédent de composants du type I, avec un nombre important de moteurs de type I en service, les pièces restèrent en production jusqu'au début des années soixante-dix. 
Les motos de type I entretenus par l’armée remplaçaient leurs moteurs et/ou les boîtes de vitesses par des composants de type II. Cela permettait de faciliter la maintenance, selon la disponibilité des pièces et améliorer les caractéristiques du moteur. Les motos de type I avaient souvent leurs boîtes de vitesses d'origine remplacées par des Type II. Les moteurs fabriqués avec un numéro de série à partir de 661802 et au-delà sont du type II. Dans les années 1960, l’usine a été renommée Usine de machines de Changjiang, toujours propriété de l’État. En 1969, la CJ750 a subi quelques modifications de conception mineures, principalement liées aux cadres de side-car et aux commutateurs montés sur les phares. 
Des réservoirs d'essence avec des boîtes à outils intégrées sont apparus à cette époque. À la fin des années 1970, l’usine a été fusionnée avec le constructeur aéronautique Guo Ying Hongdu Ji Xie Chang. A cette époque, un moteur 6V OHV de 30 chevaux était en cours de développement. On ne trouve aujourd'hui que quelques-uns de ces moteurs qui furentrapidement remplacés par une version 12V de 32 chevaux. En décembre 1980, un petit nombre de moteurs OHV de 900 cm3 ont été produits à la suite de l’acquisition de motos BMW par la police militaire chinoise. Seule une poignée de ces machines ont été construites, probablement moins d'une dizaine. La marque Chang Jiang produit principalement des side-cars à trois ou quatre places (deux places dans le panier, non autorisé en France). 
Le modèle solo est aussi produit. À la différence des motos russes Dniepr et Ural (Oural) aucun modèle Chang Jiang ne dispose de deux roues motrices. L’histoire technologique de Chang Jiang comprend des motos de course, des moteurs expérimentaux et de vaines tentatives de modernisation en apparence de machines obsolètes. 
À partir du milieu des années 1980, plus de dix ans après la normalisation des relations entre la Chine et les États-Unis, la Chine a ouvert ses marchés aux fabricants de motos étrangers, accélérant ainsi la fin de la production en série de la CJ750. Aujourd'hui, la marque continue d'exister grâce à l'intérêt d'amateurs étrangers. 
Source :Chang Jiang Demo-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0