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mardi 28 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Automobile: la nostalgie des années 1980-1990

 

 Relégués hier au rang de voitures d’occasion, les modèles de la fin du siècle dernier suscitent désormais la convoitise d’une nouvelle génération de collectionneurs. Une page est en train de se tourner. Comme leurs grandes sœurs d’avant-guerre avant elles, les voitures de collection des années 1950-1960 n’ont plus la cote. «Ces modèles alimentent désormais un marché de vendeurs. La demande s’est réduite comme peau de chagrin», note Quentin Leblond, le fondateur de Mecanicus, un négoce de voitures anciennes. Principaux acteurs de ce marché, les boomeurs ont déserté. 
L’illustration d’un phénomène générationnel. Une tendance que confirme Pierre Collin, l’un des pionniers de la vente, sous l’enseigne Cecil Cars, de ces engins qui ont enchanté les Trente Glorieuses. La désaffection prend une telle tournure que son fils Charles, qui a rejoint l’affaire familiale, envisage sérieusement d’équiper les voitures notamment de la condamnation centralisée des portes, de vitres électriques et d’une caméra de recul, pour séduire les acheteurs. 
Ces raffinements que l’on a pris l’habitude d’abriter sous le terme «restromod» seront-ils de nature à faire revenir la clientèle?…
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mardi 21 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Un air de nostalgie pour les prochaines Renault électriques...

 

ACTUALITÉ - La citadine à moins de 20 000 euros du constructeur au Losange se veut une interprétation moderne de la Twingo 1. Les Renault boys l’appellent «la surprise du chef». À part les hommes du design qui en ont tracé les contours, peu de personnes en interne étaient dans la confidence. Mobilisés dans les environs du circuit de Morefontaine avec une partie des jurés de la Voiture de l’Année pour le premier essai du Scenic électrique, les communicants du constructeur français en charge du produit découvrent avec stupéfaction le retour d’une Twingo au catalogue. 
Devant la presse économique et financière mais également les investisseurs réunis autour de la première présentation de la stratégie de la nouvelle entreprise Ampère dédiée à la mobilité électrique, Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, a fait sensation en dévoilant sur la scène un prototype qui renvoie à la Twingo 1 qui a marqué les années 1990 et qui doit donner naissance à un modèle de série. Après la R5 et la 4L, Renaultpoursuit dans la voie du néorétro. Certains y verront un manque d’inspiration et de créativité. 
D’autres seront séduits par la renaissance de ces icônes qui fleurent bon la nostalgie. Luca de Meo a réussi son coup: les projecteurs sont braqués sur le Losange qui fait preuve d’un dynamisme incroyable. Si la physionomie de la prochaine Twingo renvoie clairement au modèle présenté au salon de Paris de 1992, la silhouette est celle d’un modèle 5 portes. Quant aux flancs et au traitement de la poupe, ils évoquent plutôt la Twingo 2. Une nouvelle Twingo électrique à moins de 20 000 euros.
  Pas commercialisée avant la fin de l’année 2025 ou le début de l’année 2026, la nouvelle Twingo sera animée par un moteur électrique. Elle permettra à Renault de relever le challenge d’une voiture zéro émission à moins de 20 000 euros. Ce véhicule pourrait être produit dans l’usine de Novo Mesto, en Slovénie, en charge de la production de la Twingo depuis la deuxième génération. 
Pour tenir le pari d’une voiture électrique accessible, Renault devra recourir à des technologies éprouvées et déjà rentabilisées sur la Zoé par exemple. S’il est encore trop tôt pour en connaître tous les détails, en 2026, la nouvelle Twingo côtoiera au catalogue de la gamme Ampère la R5 commercialisée l’an prochain, la 4L lancée en 2025, la Mégane E-Tech Electric et le Scenic E-Tech Electric. Ce dernier sera lancé au printemps prochain à un tarif ultra-compétitif.
 Courant 2028, la Mégane et le Scenic seront renouvelés. La prochaine génération de ces modèles inaugurera le moteur électrique E7A à rotor bobiné issu d’un codéveloppement avec Valeo. L’équipementier apporte son expertise sur le stator. Ce futur moteur, dont le rotor se dispensera de recourir à des terres rares, sera 30 % plus compact que les moteurs actuels. De troisième génération, ce bloc fonctionnera en 800V. Il est prévu pour afficher jusqu’à 200 kW (272 ch) de puissance. 
Source : lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 17 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GTO 4 litres: 51,7 millions de dollars aux enchères...

  

Enchère record pour la berlinette vendue par RM Sotheby’s à New York lundi 13 novembre. Presque 52 millions de dollars, soit un peu plus de 48,2 millions d’euros selon le cours actuel des devises. C’est le montant déboursé par un amateur pour acquérir la berlinette Ferrari de 1962 portant le numéro de châssis 3765 LM. Ce véhicule devient la Ferrarila plus chère jamais vendue aux enchères - en 2018, RM a adjugé 48 millions de dollars la 250 GTO châssis 3413 GT - et détient désormais le titre de deuxième enchère la plus élevée pour une voiture. La première place est toujours détenue par la Mercedes 300 SLR coupé Uhlenhaut adjugée l’an dernier 135 millions d’euros.

 La somme rondelette déboursée pour acquérir la Ferrari figure en retrait par rapport à l’estimation de la maison RM Sotheby’s chargée de la vente de cette diva automobile et par rapport aux derniers changements de propriétaires de 250 GTO enregistrées dans le cadre de transactions de gré à gré. Mais la berlinette 3765 LM peut-elle être considérée comme faisant partie de la série des 250 GTO? Là se situe en effet une partie du débat qui a agité le microcosme des collectionneurs avant la vente. La berlinette 3765 LM possède bien une carrosserie de 250 GTO mais sous le capot à gros bossage se cache non pas un 12 cylindres 3 litres mais un 4 litres de 340 ch. Cela vaut parfois à cette berlinette la dénomination 330. 

 Autre sujet à controverse, qui à notre connaissance n’a toujours pas été tranchée: cette GTO spéciale qui est la seule GTO engagée par l’usine en 1962 est-elle celle qui a couru les 1 000 km du Nürburgring et permis à Willy Mairesse et Mike Parkes, deux pilotes officiels de la Scuderia, de terminer à la 2ème place au classement général sur le toboggan allemand? Par contre, cela ne prête pas le flanc à toutes les supputations, la GTO spéciale 3765 LM a bien couru les 24 Heures du Mans 1962 avec l’équipage Mike Parkes et Lorenzo Bandini. La berlinette abandonnait à la sixième heure à la suite de l’ensablage de Parkes à Mulsanne.

 On ne revit jamais la berlinette 4 litres dans une épreuve internationale. Elle fut vendue à un gentleman driver italien qui l’engagea dans des courses de côte durant la saison 1965. En 1967, 3765 LM traverse l’Atlantique comme certaines de ses sœurs. Depuis 1985, elle était la propriété de James Jaeger de Cincinnati, dans l’Ohio. Ce passionné de la marque italienne a été président du club Ferrari en Amérique du Nord. Après 38 ans de vie commune et plusieurs prix dans des concours d’élégance, le septuagénaire avait décidé de se séparer de sa berlinette. 

 Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info.../

samedi 11 novembre 2023

CLUB 5A - REVUE DE PRESSE - Salon Époqu’Auto, un plateau éclectique de grande qualité...

 

Au menu de la 44e édition de ce salon du véhicule de collection qui se tient à Lyon du 10 au 12 novembre: l’histoire de Peugeot, les sagas Talbot et Cadillac, et tout l’univers de l’auto et de la moto ancienne. Le véhicule de collection ne connaît pas la crise. La preuve avec plusieurs centaines de manifestations organisées chaque année et des salons qui connaissent une fréquentation croissante. Quelques mois avant Rétromobile, le salon Époqu’Auto à Lyon ouvre la saison de l’hibernation des véhicules anciens. 
 Cette année encore, le salon lyonnais a vu grand: 80 000 m2 de surfaces d’exposition au parc Eurexpo, près de 850 exposants - 20 de plus que l’an dernier -, plusieurs centaines de véhicules exposés (autos, motos et camions) et des animations en pagaille, à commencer par des ventes aux enchères, le samedi pour les motos et le dimanche pour les automobiles. 
 Dans une ambiance festive et conviviale, Epoqu’Auto réunit tout l’univers des véhicules de collection: les clubs de marque, des organisateurs de manifestations, les marchands de pièces, de miniatures et de littérature. Cette année, ce salon est placé sous le signe de la compétition avec l’exposition d’une dizaine de modèles de rallyes des marques du groupe Stellantis qui ont gagné le championnat du Monde ou le championnat d’Europe des rallyes. C’est ainsi que ce plateau exposé dans le hall 3 réunit trois Citroën championnes du monde avec Sébastien Loeb (Xsara WRC, C4 WRC et DS3 WRC), deux Peugeot - 205 T16 Evo1 et 206 WRC -, la Talbot Sunbeam Lotus que Guy Fréquelin et Jean Todt ont mené à la victoire en 1981 et l’Opel Ascona 400 qui a permis à l’Allemand Walter Röhrl de remporter le championnat du monde en 1982.
 Intégré au groupe Stellantis, Lancia présentera également plusieurs machines qui se sont illustrées dans les épreuves routières. Des épreuves routières, il en est encore question avec un plateau regroupant les modèles qui ont servi d’homologation aux voitures du Groupe A. Ces véhicules ont pris la succession des Groupe B bannis par les instances sportives en raison de leurs performances jugées monstrueuses. Sont ainsi exposés la Ford Escort Cosworth, la Mitsubishi Lancer Evo 6, la Peugeot 306 S 16, la Subaru Impreza et la Toyota Celica. 
 La compétition automobile à l’honneur... Au fil des allées, les visiteurs pourront se rendre compte que la compétition constitue le fil conducteur de la 44e édition. Gérard Gamand, le régional de l’étape, présente sur le stand de son magazine Auto Diva des voitures qui se sont illustrées dans les courses de côte au cours des années 1970. L’occasion de découvrir des machines oubliées - barquettes et monoplaces - et de voir ressurgir des noms de pilotes. Sur le stand sont exposés notamment la March 742 de Jimmy Mieusset, la Martini de Guy Fréquelin, l’Abarth 3000 de Pierre Maublanc et la Cesca 740 de Michel Pignard. 
 Peugeot à l’honneur Après avoir longtemps hésité à consacrer des espaces au sport automobile, il semble que le salon Epoqu’Auto se rattrape. Après Ford l’an dernier, Peugeot est à l’honneur sous le dôme. Parmi les 31 véhicules présentés provenant du musée Peugeot de Sochaux et racontant l’histoire de la marque, les modèles de courses occupent une large place. Au cours de son existence, la firme franc-comtoise s’est illustrée dans un grand nombre de disciplines, du rallye à l’endurance en passant par Indianapolis et la Formule 1. L’exposition Peugeot braque aussi les projecteurs sur la 205 qui fête cette année ses quarante ans. Lancée début 1983, cette citadine a sauvé le Lion de la sortie de route. Ses versions GTI et CTI sont aujourd’hui particulièrement recherchées par les collectionneurs. 
Tombée dans l’escarcelle de Peugeot lors du rachat de Simca, l’aventure des automobiles Talbotfait aussi l’objet d’une exposition. Avant la guerre, cette marque de prestige a produit des châssis performants habillés par les meilleurs carrossiers français. Personne n’a oublié les berlinettes T150 CC carrossées par Figoni & Falaschi. Leur élégante ligne aérodynamique avait valu à ces chefs-d’oeuvre d’être surnommés «goutte d’eau». Après la guerre, Talbot s’est encore illusté en compétition, remportant de nombreuses courses de Grand Prix avec les monoplaces T26 et les 24 Heures du Mans en 1950. Si la 205 a 40 ans, personne n’a oublié que la Renault Twingo vient de passer le cap des 30 ans. La firme de Boulogne-Billancourt lui rend hommage à travers la présence de plusieurs exemplaires. Autre marque sous les projecteurs, Cadillac se raconte à travers la présence de près d’une trentaine de modèles exposés dans le hall 4, depuis un modèle des débuts jusqu’à 1983.
Originaire de Lyon, la marque de camions Berliet est aussi représentée à travers la présence de la Fondation Berliet. La moto n’est pas oubliée. Outre la célébration de la marque Dollar déjà vue à Rétromobile au début de l’année, Epoqu’Auto fait la part belle aux motocyclettes de 50 cm3. De nombreux visiteurs y retrouveront les machines de leur jeunesse. 
Source : lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 27 octobre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - LE BIOPIC "FERRARI" SORT POUR NOEL ... MAIS SUR PRIME VIDEO...

 

Le biopic Ferrari tourné par Michael Mann sera disponible en France pour Noel. Le film ne balaye pas toute la carrière du Commendatore mais fait un focus sur l’année 1957, qui est un tournant dans l’histoire de la saga Ferrari. Michael Mann, c’est avant tout un réalisateur de cinéma d’action spectaculaire (Miami Vice, Heat, Public ennemies, Ali … ) et l’automobile y tient souvent un rôle majeur. Et ce n’est sans doute pas un hasard si on le retrouve à la production exécutive de « Le Mans 66 » avec Matt Damon et Christian Bale. Le fil du biopic Ferrari « Ferrari » nous épargne le parcours in-extenso d’Enzo mais raconte une année clé dans le parcours du constructeur italien : 1957, un an après la disparition de son jeune fils Dino atteint d’une maladie génétique dégénrative, alors que son entreprise est au bord de la faillite, malmené sur les circuits par Jaguar et Maserati. Il doit à tout prix faire gagner à ses voitures les Mille Miglia. 
Les Mille Miglia c’est une course insensée à travers toute l’Italie et qui menace à chaque instant de se transformer en hécatombe. 1957 c’est également l’année où sa femme va découvrir qu’il lui cache l’existence d’un autre fils, qu’il a eu dix ans auparavant avec sa maîtresse. Les voitures grondent en fil conducteur, et plusieurs séquences de courses sont vraiment extraordinaires, mais le réalisateur tient à dévoiler aussi la sphère intime du clan Ferrari Le film La bande-annonce du film dévoile un synopsis un peu simpliste. En 1957, la société Ferrari ne produit des voitures que depuis 10 ans et le constructeur automobile est au bord de la faillite parce qu’il dépense plus qu’il ne gagne. Quelqu’un explique à Enzo qu’il doit gagner la Mille Miglia pour montrer que ses voitures sont meilleures que les autres. 
Et c’est parti …. La bande-annonce dévoile de nombreux moments de courses, notamment des duels roue contre roue avec les Maserati. Il y a également plusieurs accidents complètement traumatisants. Gros plans sur les pédales d’accélérateur et les boîtes de vitesse, métal fonçant sur l’asphalte… c’est du Michael Mann pur-jus. La Mille Miglia de 1957 apportera à la fois succès et tragédie à Ferrari. Un accident mortel survenu pendant la course poussera le gouvernement italien à interdire les courses automobiles sur les routes ouvertes à la circulation. Le casting Pour le biopic Ferrari, le rôle du « Commendatore » est tenu par Adam Driver (Kylo Ren, dans Star Wars, House of Gucci …) vieilli d’une vingtaine d’années alors que c’était initialement Christian Bale (Batman, LeMans 66) qui était prévu au casting … mais la transformation physique imposée par le rôle lui a posé des problèmes de santé. 
Adam Driver est impressionnant, peut-être un peu trop dandy … le choix d’un acteur non-italien pour camper Enzo Ferrari fait grogner en Italie. Mais il fait le job, et plutôt bien … Penélope Cruz incarne Laura Ferrari tandis que Shaileene Woodley a été choisie pour camper Lina Lardi, les deux femmes de la vie d’Enzo Ferrari. Le talent de Penelope Cruz crève l’écran, notamment dans la courte scène sans texte qui arrive à faire passer toute la douleur d’une mère qui a perdu un enfant… Patrick Dempsey, pilote confirmé ayant plusieurs fois participé aux 24h du Mans incarne le pilote Piero Taruffi. Jack O’Connell joue quant à lui le rôle de Peter Collins. L’emblématique Fon de Portago est interprété par Gabriel Leone. 
 Les voitures Peut de chose à en dire, hormis que des répliques de Maserati, Jaguar et bien entendu Ferrari d’époque furent construites pour l’occasion. Le tournage des scènes de courses furent réalisées pour l’essentiel sur une piste désaffectée du coté de Modène. Adam Driver a qualifié ces voitures de “terrifiantes” expliquant à quel point les voitures de course des années 50 étaient dangereuses : “Ca vous téléporte dans le passé et vous vous rendez compte que si vous tournez du mauvais côté, vous êtes mort.
Vous pouvez vraiment sentir à quel point elles sont dangereuses comparées à une Ferrari contemporaine. L’objectif était d’être éjecté de la voiture plutôt que d’être traîné par elle.” A Noel … sur Prime Video Le film sortira dans le monde aux alentours de Noel. Mais en France, le film sera une exclusivité Prime Vidéo. Si c’est un beau succès pour la plateforme qui muscle ainsi son catalogue exclusif côté cinéma international, qui jusqu’ici n’était pas le plus attractif, c’est tout de même regrettable parce que la dimension et l’émotion d’un tel film méritent sans doute l’ambiance, l’écran géant et l’audio d’une « vraie » salle de cinéma plutôt que le cadre d’un salon domestique.  
Restons vigilants, il se dit que quelques cinémas proposeront toutefois des projections exceptionnelles pour les fêtes… 
Source : autocollec.com/

mercredi 25 octobre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE ET REGLEMENTATION - Le contrôle technique des deux-roues sera progressivement mis en œuvre à partir d'avril 2024...

 

La date est désormais connue. Ce mardi, un arrêté paru au journal officiel (JO) est venu préciser à partir de quand les propriétaires de véhicules à deux ou trois roues devront se soumettre au contrôle technique. Une précision très attendue par les conducteurs de ces engins, dont les représentants restent opposés à cette mesure. Concrètement, la date du contrôle des véhicules de catégorie L - ceux à deux ou trois roues et les quadricycles - dépendra de l’âge du véhicule. 
Les premiers à devoir le réaliser sont ceux immatriculés avant 2017 : ils doivent alors le réaliser en 2024. 
«Pour les véhicules mis en circulation avant le 1er janvier 2017 et dont la date anniversaire de première mise en circulation est antérieure au 15 avril, ce contrôle est à réaliser, au plus tard, dans un délai de quatre mois à compter du 15 avril 2024», ajoute l’arrêté. 
Ensuite, les véhicules immatriculés entre 2017 et fin 2019, devront le réaliser en 2025, et ceux immatriculés entre 2020 et fin 2021, devront le faire en 2026. Pour ceux immatriculés ensuite, entre 2022 et l’entrée en vigueur de ces dispositions, le 15 avril 2024, le contrôle technique doit être réalisé «dans les six mois précédant l'expiration d'un délai de quatre ans à compter de la date de leur première mise en circulation», comme le prévoit le Code de la route. 
En juin dernier, le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, avait annoncé une date légèrement plus proche pour cette obligation, citant la période «entre le 15 janvier et le 15 mars» 2024. Le contrôle devrait par ailleurs coûter «aux alentours de 50 euros», prévoyait alors le membre du gouvernement, qui ajoutait que «l'entrée en vigueur de cette mesure sera échelonnée jusqu'au 1er janvier 2027 pour éviter un goulet d'étranglement dans les centres techniques». La France aura ainsi mis près d’une décennie pour se conformer avec une directive européenne de 2014. 
Les gouvernements successifs avaient reculé à plusieurs reprises sur ce dossier explosif, qui suscitait l’opposition vigoureuse de nombreuses organisations d’usagers. «C'est une mesure inapplicable, inutile, dont l'objectif est de nous piquer du blé», dénonçait ainsi le patron de la Fédération des bikers de France, Christophe Bériol, dans nos colonnes, en juin. 
 Source : Wladimir Garcin-Berson-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

mercredi 11 octobre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Les voitures cultes des films de Louis de Funès enfin exposées...

 

«Ah ben, elle va marcher beaucoup moins bien, forcément»: les voitures cultes des films de Louis de Funès enfin exposées... 
À l’occasion des 40 ans de la disparition de l’acteur, le musée de Mulhouse expose les principaux véhicules présents dans ses films. Une immersion dans un univers qui n’a pas pris une ride. Avec la filmographie de l’acteur préféré des Français, on entre de plain-pied dans les Trente Glorieuses. 
Une période où tout était encore possible et permis. Une époque où l’automobile, érigée en symbole de liberté et de prospérité, fait rêver. La bagnole s’impose à tous. Elle est omniprésente. Au cinéma, elle fait partie intégrante du scénario, au point parfois de tenir le premier rôle aux côtés des acteurs. L’exposition «En vadrouille avec Louis de Funès», organisée en étroite coopération avec le Musée Louis de Funès de Saint-Raphaël, braque ainsi les projecteurs sur les véhicules - dix-huit au total - présents dans les films de l’acteur comique, décédé le 27 janvier 1983. 
Sa filmographie défile comme on tourne les pages du livre de l’histoire de l’automobile, entre véhicules populaires et de prestige. À l’entrée de l’exposition, une Renault 6 accueille les visiteurs. Cette banale berline n’apparaît pourtant dans aucun film de l’acteur. Erreur de casting? 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 6 octobre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Permis de conduire : la France «pas favorable» à l’idée d’un examen médical pour les conducteurs âgé...

 

Une «discussion» autour du permis a été lancée par la Commission européenne, et celle-ci «pourrait créer ce type d'obligations». 
Mais Paris s'élèvera contre cette idée, a prévenu Clément Beaune, jeudi. «Je veux couper court à des rumeurs ou à des fausses nouvelles», a expliqué le membre du gouvernement. Une «discussion» a bien été lancée par la Commission européenne, et celle-ci «pourrait créer ce type d’obligations». Mais Paris s’élèvera contre cette idée : «Quand on est une personne âgée, notamment dans les territoires ruraux, on a besoin de la voiture». 
L’exécutif ne veut donc pas un «permis lié à l’âge», qui imposerait aux plus âgés de passer un examen médical, sous peine de perdre le droit de conduire leur véhicule. «On n’est pas en train de changer cette règle-là.
 La France ne demande pas et ne soutient pas l’idée qu’on impose une forme de contrainte ou de mur, de date de péremption, avec un âge pour le permis de conduire», a-t-il martelé. Si Paris s’oppose à ce projet, l’Union européenne est bien en train de réfléchir à une évolution des règles encadrant le permis de conduire. Cette discussion vise à limiter les risques, afin de remplir les objectifs du plan «Vision zéro» : «Atteindre pratiquement zéro décès et zéro blessé grave sur les routes de l'UE d'ici à 2050». 
Dans ce cadre, le texte de la commission, rappelé dans un rapport récent de l’eurodéputée Karima Delli, propose que «les États membres réduisent à cinq ans ou moins les durées de validité administrative pour les titulaires de permis de conduire résidant sur leur territoire ayant atteint l'âge de 70 ans, afin d'appliquer une fréquence accrue de contrôles médicaux ou d'autres mesures spécifiques, y compris des cours de remise à niveau». Des pistes rejetées par le gouvernement français, donc. Source : lindependant.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

vendredi 29 septembre 2023

CLUB5A - revue de presse - Salon automobile de Lyon... toutes les marques présentes...

 

Toutes les grandes nouveautés de l’année sont dévoilées du 28 septembre au 2 octobre au parc Euroexpo de Lyon. Un salon automobile accueillant quasiment toutes les marques, à l’exception de quelques labels prestigieux: ce scénario aurait été qualifié de hautement improbable voici encore quelques mois. Depuis le Covid, qui a joué le rôle d’accélérateur, ces grandes messes automobiles ont du plomb dans l’aile quand elles ne sont pas menacées d’extinction en Europe. Francfort a disparu et Munich n’a pour l’instant pas réussi à renouer avec le lustre de son prédécesseur. Celui de Genève n’a pas eu lieu depuis 2019 mais on annonce son retour l’an prochain pour l’édition du centenaire. 
Quant à celui de Paris, il n’est plus que l’ombre de lui-même après avoir occupé pendant plus de vingt ans la place de numéro un. Et voici qu’au milieu de ces bouleversements émerge le salon de Lyon. Il faut croire que le salon dirigé par Anne-Marie Baezner coche toutes les cases. Idéalement situé au centre de la France, à mi-chemin entre Paris et le Sud de la France, à quelques encablures de l’Italie et de la Suisse, le salon de Lyon peut également se prévaloir d’être un salon de ventes et de nécessiter un investissement limité. C’est ainsi que toutes les grandes marques ont répondu à l’appel, y compris des marques chinoises récentes - Aiways, BYD, Leapmotor, MG, - mais aussi l’américain Tesla qui ne participe quasiment jamais à ce genre de manifestations. 
Ce salon sera l’occasion de découvrir en avant-première les dernières nouveautés de chaque constructeur. Pêle-mêle seront présentés au public la Fiat 600 E, la Renault Scenic E-Tech Electric, la TeslaModel 3, la Subaru Solterra, la Kia EV9, la Peugeot E-208, la Toyota C-HR, les Honda e:NY1 et CR-V, la Hyundai i20, la Lotus Eletre. Le rêve et les concepts cars ne sont pas oubliés avec la présence de l’Alpine A290, de la Citroën Oli, de l’Aston Martin DB12 et de la gamme McLaren, de la Mercedes Vision AMG ou de la DS E-Tense Performance. Par ailleurs, le salon de Lyon offre une place de choix aux véhicules d’occasion, au sport automobile et à la présentation des mobilités urbaines et multimodales. 
Une exposition de véhicules de collection mais également des centres d’essais complètent les animations. Informations pratiques: Jeudi de 10h00 à 22h00 - Vendredi, samedi et dimanche de 10h00 à 20h00 - Lundi, de 10h00 à 18h00 Billetterie: E-Billet: 7 €; sur place: 8 €. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info....

mercredi 27 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Bonhams, festival de pépites au Zoute...

 

ENCHÈRES - En marge du concours d’élégance belge Zoute Grand Prix, la maison anglo-saxonne disperse un bel échantillon de GT le 8 octobre prochain. C’est désormais une tradition bien établie. Plus aucun concours d’élégance d’envergure internationale ne se déroule sans une vente aux enchères. Celui du Zoute Grand Prix qui se tient à Knokke-le-Zoute le premier week-end d’octobre, accueille ainsi la maison Bonhams. Sous la direction de Philip Kantor, la maison anglo-saxonne propose un catalogue de premier choix. Parmi les 147 lots présentés, on note la dispersion d’une collection de huit Aston Martin récentes. Leur originalité: les huit modèles partagent la même teinte orange et une sellerie en cuir orange. Cette collection unique en son genre répond aux spécifications suisses. 
Tous les véhicules se présentent dans un état proche du neuf. Son propriétaire n’a pour ainsi dire quasiment jamais roulé avec ses Aston. La V8 Vantage Roadster de 2020, le modèle le plus kilométré, avoue seulement 379 km. Quant à la DB9 Volante, elle n’a roulé que 113 km depuis sa sortie de l’usine en 2011. La crème des GT Ferrari. La tête d’affiche de cette vente est une Ferrari 250 GT Tour de France châssis long de 1959 portant le numéro de châssis #1401 GT. 
La berlinette a été pendant depuis 37 ans la propriété du Suisse Plinio Haas décédé en 2013. Son premier propriétaire, l’Italien Luigi Taramazzo, ne la conserve que quelques mois. Le temps de participer au Gran Premio de la Loterie à Monza. Avant la fin de l’année 1959, la berlinette tombe entre les mains de Gérard Spinedi. À son volant, il écume les épreuves sportives: Coupe des Alpes, 6 Heures d’Auvergne, Tour de France. En août 1961, Spinedi vend la Ferrarià Edgar Berney, une autre figure du monde de la course. 
En 1976, Plinio Haas en fait l’acquisition. Depuis son entrée dans une collection belge en 2014, la berlinette a été entièrement restaurée, sa carrosserie recevant un original beige. L’autre pièce maîtresse de la vente est la Ferrari 365 GTB/4 Daytona ayant appartenu au chanteur Christophe dont on connaissait sa passion pour les GT italiennes. L’interprète d’Aline avait acheté la berlinette de la vente en 1983. Il la conservera dix ans. Au fil des pages, on découvre que le catalogue comprend également une rare BMW3.0 CSL Batmobile de 1973. Il s’agit de la première série produite à 110 unités et l’une des 33 produites en blanc Chamonix. 
Citons également une Citroën DS21 IE Décapotable parmi les dernières produites en 1972, une Ferrari 250 GTE vendue neuve en 1961 par le Garage Francorchamps à Bruxelles, une BMW M3 E30 n’ayant parcouru que 41 000 km depuis sa livraison à son premier propriétaire en 1987, l’une des 1 000 premiers coupés Audi Quattro de 1981 et la Bentley S Type Continental Sports Saloon de 1956 ayant appartenu à Helmut Newton dans la deuxième partie des années 1960. La voiture avait été achetée neuve par un membre de la famille Peugeot pour sa femme. 
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

jeudi 21 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des anciennes au château de Neuville...

 

À l’occasion des Journées du Patrimoine le week-end du 16-17 septembre, le parc du château de Neuville, à Gambais dans les Yvelines, s'est transformé en musée automobile à ciel ouvert. Pour la quatrième année consécutive, l’événement «Art & Automobile» créé par Jean-Marc Thévenet, célèbre l’histoire de l’automobile et plus particulièrement celle des Yvelines, dans le cadre du château de Neuville, à Gambais, près de Versailles. Cette manifestation s’était inscrit dans le cadre des Journées européennes du patrimoine, le week-end des 16 et 17 septembre. Durant ces deux jours, près de deux cents véhicules de collection sont attendus sur les pelouses du domaine. Certains brillaient par leur rareté. C’est le cas de l’Auto Union Type A de 1934 exposée. Rien que ce fleuron du sport automobile de l’entre-deux-guerres, symbole des désirs de domination de l’industrie allemande en ces années de montée des périls, mérite le déplacement. 
L’an dernier, une superbe sélection de modèles racontant la saga des automobiles Gabriel Voisin occupait l’espace devant le château. Certaines de ces pièces de l’ingénieur visionnaire étaient de nouveau présentes. La manifestation «Art & Automobile» permet de se souvenir que le département des Yvelines a toujours été une terre d’accueil pour l’automobile. 
On y trouve deux usines automobiles de première importance: Poissy et Flins. La première a commencé à produire des Ford en 1946. Devenue le fief de Simca, Poissy est désormais un site industriel du groupe Stellantis. Pour sa part, Flins est en train de devenir un site dédié aux projets d’économie circulaire de Renaut. 
Les Yvelines, c’est aussi la terre de Pierre Benoist, premier champion du monde automobile en 1927 sur Delage. Héros de la Résistance, ce natif d’Auffargis est déporté à Buchenwald où il décède en septembre 1944. Au château de Neuville, l’Art n'était pas très loin. L’artiste Sonia Delaunay résidait à Gambais. Elle est l’initiatrice des Art Cars, reproduisant dès 1925 des motifs de son œuvre sur une Citroën B12. 
On se souvient aussi que la Bugatti 35 de Marc Nicolosi, le fondateur du salon Rétromobile, avait revêtu les couleurs de l’artiste locale. 
Cette année encore, la manifestation de Gambais a témoigné du génie et de l’imagination d’un secteur automobile sans cesse en mouvement. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'infos...

lundi 18 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le Roi Charles III arrive en France… en Bentley un peu spéciale !

 

Le souverain britannique effectue sa première visite officielle en France du 20 au 22 septembre 2023. Pour l’occasion, sa Bentley Royal State Limousine va traverser la Manche. Construite sur une base de Bentley Arnage à deux exemplaires seulement, cette royale limousine répond à un cahier des charges très strict. Le véhicule doit en effet assurer la sécurité du roi d’Angleterre, comme il le fit avec la reine Elisabeth II, et cela dans un confort absolu. Confort et sécurité Un habitacle confortable et adapté aux précieuses toilettes est une priorité. Pour cela la Bentley repose sur un châssis rallongé qui porte sa longueur à 6m22 tandis que le ciel de toit a été largement rehaussé pour accueillir les royales coiffes. Le cuir Connolly gris est légion du sol au plafond de même que les essences de bois précieux. 
La surface vitrée est immense pour permettre de voir et être vu lors des parades officielles. La Bentley d’Elisabeth II Il faut rappeler que la Reine d’Angleterre était une grande amatrice de belles automobiles qu’elle ne manquait pas de conduire. Jaguar, MG, Bentley, Rolls Royce et bien entendu ses si précieux Range Rover. Pour l’anecdote, Elisabeth II ne disposait pas de permis de conduire ! Lors de la mise en place du permis pour tous, elle était déjà reine d’Angleterre et à ce titre seule personne du Royaume-Uni habilitée à attribuer le précieux sésame. Comme toutes les limousines commandées par sa gracieuse majesté, la Bentley dispose d’une teinte bicolore bordeaux et noire. Les 2 exemplaires ont été fabriqués par Mulliner Coachworks, carrossier attitré de la marque et de la couronne. Enfin, sous ses airs de veille aristocrate la voiture est intégralement blindée et équipée contre toute sorte de menace. Elle résiste aux balles, aux missiles sol/sol mais également aux attaques chimiques ou bactériologiques. 
Source / mobiwisy.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

dimanche 10 septembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Jaguar Type E la plus chère du monde...

 

ENCHÈRES - La maison Gooding & Company a adjugé plus d’un million d’euros un cabriolet de la fameuse sportive de la firme de Coventry, dans une vente à Londres. Tous les exemplaires d’un même modèle ne se valent pas. On en veut pour preuve l’enchère atteinte par le lot 22 de la vente publique que la maison Gooding & Company organisait à Londres, le vendredi 1 septembre dernier. Ce lot était celui d’une Jaguar Type E Cabriolet 3,8 litres de 1961, c’est-à-dire qu’il appartient à la première série de la sportive que le constructeur de Coventry a dévoilée à l’occasion du salon de Genève de 1961. 
Moteur six-cylindres en ligne 3,8 litres XK, boîte de vitesses Moss à première non synchronisée et plancher plat: la Série 1 est certainement aujourd’hui la plus recherchée de toutes les versions de Type E. Si cet exemplaire bleu nuit, intérieur rouge rutilant a établi un nouveau record, franchissant la barre du million d’euros (1 067 590 euros, soit 911 250 livres sterling), ce n’est pas en raison de son état de restauration proche du neuf mais à cause de son pedigree. Certes, les Type E de compétition appartenant à la lignée des Lightweight avoisinent les 10 millions d’euros mais, c’est la première fois qu’une Type E de série dépasse le million d’euros. 
Jusqu’ici, des modèles de Série 1 dans un état irréprochable n’ont jamais franchi la barre des 400 000 dollars dans une vente américaine. Ce cabriolet immatriculé «1600 RW» pouvait se prévaloir d’une sacrée filiation. Portant le numéro de châssis 850004, le cabriolet de la vente n’est pas seulement le quatrième véhicule conduite à droite produit début 1961 par l’usine. 
C’est l’une des Type E parmi les plus importantes selon les historiens. Dévolu aux premiers essais presse, le cabriolet bleu nuit devait devenir par la suite le véhicule personnel de Franck «Lofty» England, le responsable du programme compétition et de l’engagement de Jaguar au Mans. À la suite du départ de Sir William Lyons en 1967, Lofty England devait devenir directeur général de Jaguar puis président à partir de 1972. Pour acquérir cette Type E au parcours «royal», un amateur n’a donc pas hésité à débourser une surprime. 
 Source : Sylvain Reisser-le figaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...