samedi 6 janvier 2024
vendredi 5 janvier 2024
jeudi 4 janvier 2024
CLUB5A - REPORTAGE - ARTICLE DESTINE AUX NOUVEAUX ADHERENTS - L’HISTOIRE DU CLUB 5.A PAR ROGER DEBIEN.....
L’HISTOIRE DES 5A PAR ROGER DEBIEN.....
Je suis sorti de la dernière AG des 5A très impressionné, tellement tout fonctionne bien dans ce club, comme une mécanique bien huilée de Rolls ou d’Alfa Romeo. Le président très présent est remarquable, tout comme ses collègues de bureau, et l’ensemble des adhérents qui applaudissent chaleureusement à chaque exposé des organisateurs de manifestation. En somme c’est merveilleux……Mais en a-t-il toujours été ainsi ?
A Carcassonne pour la voiture ancienne tout a commencé en 1969. Un groupe de passionnés de courses et de rallyes, qui gravitait autour de l’écurie de la cité (club de courses automobiles) a eu la bonne idée de créer une association afin de sauvegarder de la destruction des voitures déjà anciennes et obsolètes.
C’est ainsi que le premier club audois est né. Les statuts du Tacot Club de l’Aude furent déposés à la préfecture le 8 juillet 1969. L’adresse du siège social était : Café Français, Place Davilla, 11 Carcassonne.
Les status ont été rédigés par les membres fondateurs : Messieurs Soucaret, Raynaud, Cazalis, Lacuve, Clément, Mibelli, Hurcet, Mougeot, Vergé. André Soucaret fut élu président. Très volontaire et actif, il se rapprocha du Tacot Club Gascon à Auch, puis de la FFVE (le club y fut enregistré au n° 32).
La première grande organisation fût le 1er Tour de l’Aude, en juillet 1971 (autour du 14 juillet, pour que les participants puissent profiter de l’embrasement de la cité). Le succès fût au rendez-vous.
Mais au sein du bureau, des tensions et des incompréhensions se sont développées. Au fil des réunions au Café Français, l’ambiance se dégradait, jusqu’au jour où la scission n’a pu être évitée.
Le 20 décembre 1972, une partie des membres a quitté le Tacot Club pour fonder une autre association (qualifiée à l’époque par la FFVE de dissidente). Le Cercle Audois des Véhicules Anciens (CAVA) était né. Francis Vergé fut le premier président. Pendant 16 ans, il y eut 2 clans d’amateurs de voitures anciennes dans l’Aude, qui s’ignoraient et même parfois se détestaient.
Pourtant dans les deux clubs, des membres se fréquentaient et déploraient cette situation. Chacun des deux club vivotaient dans son coin, alors qu’un fort potentiel d’amateurs aurait permis de recréer un grand club.
Le Docteur Richard Dumont, nouvellement installé dans la ville, amateur de voitures anciennes, étonné de cette situation a pris des contacts en 1986 avec les deux parties, près des personnes favorables à un rapprochement, voire une fusion. Le 22 novembre 1986, le CAVA a mandaté Richard pour rencontrer le Tacot Club, qui le 28 mars 1987 en faisait autant, suite à une AG houleuse.
Il a fallu deux ans et cinq réunions de délégués des deux clubs pour aboutir à un accord de fusion. Les personnes qui ont participé à ces réunions sont principalement Pour le CAVA : Clément, Matutane, Pédesseau, Raynaud, Belli, Farneda Pour le Tacot Club : Jalbaud, Debien, Bessac, Foli, Ruffié, Soucaret (au début) . Il s’agissait principalement d’intégrer dans le conseil d’administration du nouveau club, des membres des deux clubs aux postes principaux, et trouver un nouveau président neutre.
Le 18 septembre 1988, les deux clubs se réunissent à la Mairie de Carcassonne. Richard Dumont présente à l’assemblée le projet de fusion, puis chaque club tient une AG extraordinaire (dans des salles différentes) pour prononcer les dissolutions du CAVA d’une part et du Tacot Club de l’autre. Les liquidateurs sont nommés, Roger Debien pour le Tacot Club et Georges Clément pour le Cava.
A 11h, Richard Dumont préside le nouveau bureau de l’assemblée générale constitutive du club des 5A. Cette matinée mémorable se termine par un repas pris en commun au foyer de Cazilhac.
La fusion est réussie, l’Association Audoise des Amateurs d’Automobiles Anciennes est née Au cours de la première assemblée générale des 5A qui eût lieu au restaurant de l’aéroport de Salvaza le 29 janvier 1989, Richard Dumont est confirmé comme Président. Petit à petit le nouveau club des 5A s’est imposé dans le monde de la voiture ancienne en France, avec de nouvelles sorties, de nouveaux membres, puis de nouveaux présidents.
On peut déplorer une zone de turbulences en 2005 que le club a su rapidement dominée en restant positif. Il est sorti grandi de ces événements. La démocratie, la convivialité, et la création se sont développées, et le club n’a pas cessé de progresser.
Grace à Patrice LEEMAN le club des 5.A est entré de plein pied dans la modernité avec une communication permanente et fournie, par le Blog. De nombreux clubs nous envient. Actuellement on peut constater que notre président Régis Arnaud a pris sa fonction très au sérieux, qu’il dirige le club avec entrain, qu’il transmet sa bonne humeur communicative à tous les membres du conseil d’administration. Il a connu tous les anciens présidents, les a observés, a su faire la synthèse, et en tire le meilleur.
En plus il aime les voitures d’avant-guerre !
Vive les 5A !
Roger Debien
Je suis sorti de la dernière AG des 5A très impressionné, tellement tout fonctionne bien dans ce club, comme une mécanique bien huilée de Rolls ou d’Alfa Romeo. Le président très présent est remarquable, tout comme ses collègues de bureau, et l’ensemble des adhérents qui applaudissent chaleureusement à chaque exposé des organisateurs de manifestation. En somme c’est merveilleux……Mais en a-t-il toujours été ainsi ?
A Carcassonne pour la voiture ancienne tout a commencé en 1969. Un groupe de passionnés de courses et de rallyes, qui gravitait autour de l’écurie de la cité (club de courses automobiles) a eu la bonne idée de créer une association afin de sauvegarder de la destruction des voitures déjà anciennes et obsolètes.
C’est ainsi que le premier club audois est né. Les statuts du Tacot Club de l’Aude furent déposés à la préfecture le 8 juillet 1969. L’adresse du siège social était : Café Français, Place Davilla, 11 Carcassonne.
Les status ont été rédigés par les membres fondateurs : Messieurs Soucaret, Raynaud, Cazalis, Lacuve, Clément, Mibelli, Hurcet, Mougeot, Vergé. André Soucaret fut élu président. Très volontaire et actif, il se rapprocha du Tacot Club Gascon à Auch, puis de la FFVE (le club y fut enregistré au n° 32).
La première grande organisation fût le 1er Tour de l’Aude, en juillet 1971 (autour du 14 juillet, pour que les participants puissent profiter de l’embrasement de la cité). Le succès fût au rendez-vous.
Mais au sein du bureau, des tensions et des incompréhensions se sont développées. Au fil des réunions au Café Français, l’ambiance se dégradait, jusqu’au jour où la scission n’a pu être évitée.
Le 20 décembre 1972, une partie des membres a quitté le Tacot Club pour fonder une autre association (qualifiée à l’époque par la FFVE de dissidente). Le Cercle Audois des Véhicules Anciens (CAVA) était né. Francis Vergé fut le premier président. Pendant 16 ans, il y eut 2 clans d’amateurs de voitures anciennes dans l’Aude, qui s’ignoraient et même parfois se détestaient.
Pourtant dans les deux clubs, des membres se fréquentaient et déploraient cette situation. Chacun des deux club vivotaient dans son coin, alors qu’un fort potentiel d’amateurs aurait permis de recréer un grand club.
Le Docteur Richard Dumont, nouvellement installé dans la ville, amateur de voitures anciennes, étonné de cette situation a pris des contacts en 1986 avec les deux parties, près des personnes favorables à un rapprochement, voire une fusion. Le 22 novembre 1986, le CAVA a mandaté Richard pour rencontrer le Tacot Club, qui le 28 mars 1987 en faisait autant, suite à une AG houleuse.
Il a fallu deux ans et cinq réunions de délégués des deux clubs pour aboutir à un accord de fusion. Les personnes qui ont participé à ces réunions sont principalement Pour le CAVA : Clément, Matutane, Pédesseau, Raynaud, Belli, Farneda Pour le Tacot Club : Jalbaud, Debien, Bessac, Foli, Ruffié, Soucaret (au début) . Il s’agissait principalement d’intégrer dans le conseil d’administration du nouveau club, des membres des deux clubs aux postes principaux, et trouver un nouveau président neutre.
Le 18 septembre 1988, les deux clubs se réunissent à la Mairie de Carcassonne. Richard Dumont présente à l’assemblée le projet de fusion, puis chaque club tient une AG extraordinaire (dans des salles différentes) pour prononcer les dissolutions du CAVA d’une part et du Tacot Club de l’autre. Les liquidateurs sont nommés, Roger Debien pour le Tacot Club et Georges Clément pour le Cava.
A 11h, Richard Dumont préside le nouveau bureau de l’assemblée générale constitutive du club des 5A. Cette matinée mémorable se termine par un repas pris en commun au foyer de Cazilhac.
La fusion est réussie, l’Association Audoise des Amateurs d’Automobiles Anciennes est née Au cours de la première assemblée générale des 5A qui eût lieu au restaurant de l’aéroport de Salvaza le 29 janvier 1989, Richard Dumont est confirmé comme Président. Petit à petit le nouveau club des 5A s’est imposé dans le monde de la voiture ancienne en France, avec de nouvelles sorties, de nouveaux membres, puis de nouveaux présidents.
On peut déplorer une zone de turbulences en 2005 que le club a su rapidement dominée en restant positif. Il est sorti grandi de ces événements. La démocratie, la convivialité, et la création se sont développées, et le club n’a pas cessé de progresser.
Au fil du temps, de nouvelles manifestations sont nées, des membres ont pris des responsabilités et se sont imposés en tant qu’organisateurs.
Grace à Patrice LEEMAN le club des 5.A est entré de plein pied dans la modernité avec une communication permanente et fournie, par le Blog. De nombreux clubs nous envient. Actuellement on peut constater que notre président Régis Arnaud a pris sa fonction très au sérieux, qu’il dirige le club avec entrain, qu’il transmet sa bonne humeur communicative à tous les membres du conseil d’administration. Il a connu tous les anciens présidents, les a observés, a su faire la synthèse, et en tire le meilleur.
En plus il aime les voitures d’avant-guerre !
Vive les 5A !
Roger Debien
CLUB5A - COMMUNIQUATION - A L'OCCASION DE CETTE NOUVELLE ANNEE LE "MOT" DE NOTRE PRÉSIDENT RÉGIS ARNAUD ...
Depuis maintenant neuf ans, je ne vois toujours pas le temps passer bien au contraire, tant le travail est intense et le plaisir de travailler avec une belle équipe est toujours présent.
Je ne remercierai jamais assez toutes les personnes qui m’entourent et qui sont dévoués corps et âme à notre club. C’est un véritable plaisir de vous retrouver à chaque manifestation pour n’atteindre qu’un seul objectif, faire vivre notre passion à travers notre club et votre bonne humeur. « Tant pis pour les grincheux ».
Un grand merci à tout le conseil d’administration qui m’apporte son soutien sans failles et qui veille à la bonne tenue de l’association.
Encore une fois nos manifestations se sont très bien déroulées et ont connu un réel engouement.
De nombreux participants et toujours une ambiance amicale et conviviale. Je ne peux que féliciter et encourager les membres qui mettent tout en œuvre pour qu’elles soient réussies aussi bien voitures que motos.
L’an passé deux nouvelles sorties ont vu le jour : la chasse au trésor qui confirme son succès et qui sera donc pérennisé. La sortie interclub de la région Toulousaine a connu pour notre deuxième participation une nette baisse due à l’éloignement, au départ très matinal et à l’inscription tardive dans notre calendrier.
Cette année encore une nouvelle animation s’est inscrite à notre calendrier, la sortie d’Arfons qui a connu un vif succès.
Je souhaite que tout membre ou nouveau membre du club, quel qu’il soit, prenne du plaisir et trouve sa place au sein de notre association qui ne l’oublions pas rassemble des propriétaires de véhicules anciens de plus de 30 ans.
Je vous donne donc rendez-vous pour de nouvelles aventures tout au long de l’année 2024.
Je vous souhaite à toutes et tous ainsi qu’à vos proches une excellente année 2024.
Bonne route et longue vie au 5A.
Régis ARNAUD
mercredi 3 janvier 2024
mardi 2 janvier 2024
CLUB5A - REPORTAGE MOTO - Gilet airbag filaire......un nouvel équipement plus protecteur !!
Spécialiste du gilet airbag, la société Hit-Air lance un modèle doté de performances accrues. Les motards et scootéristes sont parmi les usagers de la route les plus vulnérables. L’an dernier, ils ont encore payé un lourd tribut à la sécurité routière. 577 motards, y compris 36 cyclomotoristes, ont perdu la vie sur les routes de France cela représente certes une diminution de 172 tués mais de nombreux usagers de deux-roues motorisés restent aussi marqués toute leur vie par de graves séquelles d’accidents. Depuis deux décennies, la société japonaise Hit-Air commercialise des gilets airbag qui permettent de renforcer la sécurité des motards.
Cette entreprise équipe l’ensemble des brigades motorisées de la Gendarmerie nationale, des Douanes françaises et de la Police nationale. Sa gamme composée de plusieurs modèles vient de s’enrichir d’une nouvelle version plus accessible et dotée de performances renforcées. Appartenant à la catégorie des gilets gonflables filaires, le nouveau modèle est une évolution du gilet MLV-RC rétro réfléchissant. Répondant à la nouvelle réglementation européenne concernant les équipements de protection individuelle, la dernière génération de ce gilet se signale par l’adoption d’un boîtier plus performant assurant un déploiement plus rapide de l’airbag.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser
lundi 1 janvier 2024
dimanche 31 décembre 2023
samedi 30 décembre 2023
vendredi 29 décembre 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - PEKIN - PARIS 1907 -L'EPOPEE IMPROBABLE ....
LES RALLYES LES PLUS FOUS
- Véritable voyage dans l'inconnu, cette expédition de 16.000 km, qui fête ses 110 ans, n'a jamais été rééditée.
Le XXe siècle a à peine sept ans.
C'est encore le temps de la grande Russie du tsar Nicolas II. La France, sous le régime de la IIIe République, vient de voter la séparation de l'Église et de l'État.
En Asie, la Chine panse ses plaies. À peine sortis de la guerre sino-japonaise, les Chinois subissent la férule européenne. Durant cette période, l'homme commence à apprivoiser l'automobile à pétrole.
Cette invention, qui ne laisse aucun pays indifférent, va permettre de rapprocher les peuples. Dans cette course de vitesse, la France dispose d'une nette prééminence. Plus de six cents constructeurs sont répartis sur le territoire en 1900.
En ces temps héroïques, les épreuves sportives représentent un excellent moyen de promouvoir les progrès d'une industrie balbutiante, mais aussi d'afficher sa supériorité.
Inventée par Eugène Lelouvier, un aventurier Normand, et organisée par le journal français Le Matin, son départ fut donné de Pékin le 10 juin 1907.
Georges Cormier en 1904 (raid en solitaire France-Italie-Serbie-Russie, sur De Dion-Bouton ).
Il y avait quarante pré-inscriptions pour cette compétition, mais seulement cinq équipes firent livrer leur véhicules à Pékin. Devant le faible nombre de participants le Comité d'organisation de course décida d'annuler purement et simplement l'épreuve, mais les cinq "téméraires" décidèrent malgré tout de se disputer le challenge, sans règles clairement bien établies au départ, ni aucune assistance, ni carnets de route, ni même de cartes routières le plus souvent.
Le seul prix prévu à l'arrivée parisienne étant un simple magnum de champagne Mumm. Cinq concurrents prirent ainsi part aux réjouissances. Quatre arrivèrent à Paris (abandon du tricycle guidé Contal (cyclecar français) d'Auguste Pons), après avoir parcouru plus de 16 000 km, en 44 jours pour le premier:
Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - Vidéos :Nicholas
- Véritable voyage dans l'inconnu, cette expédition de 16.000 km, qui fête ses 110 ans, n'a jamais été rééditée.
Le XXe siècle a à peine sept ans.
C'est encore le temps de la grande Russie du tsar Nicolas II. La France, sous le régime de la IIIe République, vient de voter la séparation de l'Église et de l'État.
Cette invention, qui ne laisse aucun pays indifférent, va permettre de rapprocher les peuples. Dans cette course de vitesse, la France dispose d'une nette prééminence. Plus de six cents constructeurs sont répartis sur le territoire en 1900.
En ces temps héroïques, les épreuves sportives représentent un excellent moyen de promouvoir les progrès d'une industrie balbutiante, mais aussi d'afficher sa supériorité.
Inventée par Eugène Lelouvier, un aventurier Normand, et organisée par le journal français Le Matin, son départ fut donné de Pékin le 10 juin 1907.
Georges Cormier en 1904 (raid en solitaire France-Italie-Serbie-Russie, sur De Dion-Bouton ).
Il y avait quarante pré-inscriptions pour cette compétition, mais seulement cinq équipes firent livrer leur véhicules à Pékin. Devant le faible nombre de participants le Comité d'organisation de course décida d'annuler purement et simplement l'épreuve, mais les cinq "téméraires" décidèrent malgré tout de se disputer le challenge, sans règles clairement bien établies au départ, ni aucune assistance, ni carnets de route, ni même de cartes routières le plus souvent.
Le seul prix prévu à l'arrivée parisienne étant un simple magnum de champagne Mumm. Cinq concurrents prirent ainsi part aux réjouissances. Quatre arrivèrent à Paris (abandon du tricycle guidé Contal (cyclecar français) d'Auguste Pons), après avoir parcouru plus de 16 000 km, en 44 jours pour le premier:
Source : Sylvain Reisser - le figaro.fr - Vidéos :Nicholas
jeudi 28 décembre 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Automobile: le choc frontal, ce tueur-né !!
Malgré les progrès accomplis par les constructeurs ces dernières décennies, 47 % des tués en voitures particulières le sont lors de ce type d’accident.
Exactement 47 % des tués en voitures particulières le sont lors de chocs frontaux. La collision se déroule en 100 millisecondes: un battement de cils. «Le choc frontal reste le plus courant. Notre objectif est de réduire les conséquences des accidents en connaissant les mécanismes des lésions», dit Maxime Labrousse, accidentologue au LAB. «Pendant l’accident, vous ne pouvez rien faire: c’est la voiture qui doit vous sauver.
Dans les années 1980, les véhicules étaient relativement “mous”, ce qui occasionnait de nombreuses intrusions et lésions», précise ce spécialiste. Lors d’un choc frontal à 65 km/h, le conducteur d’une 206, en 1998, subissait une fracture de six côtes, une fracture ouverte du fémur gauche, une de l’avant-bras droit et une du bras gauche. Pendant le même choc, le conducteur d’une 207, en 2005, s’en tirait avec une fracture du sternum et de deux vertèbres. Sur une 208, en 2012, plus de fractures, mais une «simple» abrasion de l’épaule gauche, et quelques contusions abdominales et au genou droit. Coque plus rigide, nouveaux systèmes de protection (aux places arrière, notamment), la mortalité a été divisée par trois sur les véhicules récents.
Cela montre que les constructeurs sont les principaux artisans des progrès accomplis ces dernières décennies. Des moyens d’évaluation perfectionnés Les moyens d’évaluation se sont aussi énormément perfectionnés. Lors des tests d’impact, aux rustiques mannequins d’hier ont succédé des modèles bourrés de capteurs numériques, capables de délivrer plus de 200 mesures. En parallèle, l’augmentation considérable de la puissance des ordinateurs a permis d’affiner énormément les modèles numériques de l’être humain. Les scientifiques arrivent même aujourd’hui à les personnaliser en fonction du sexe et de la morphologie. Les aides récentes à la conduite constituent un autre progrès.
Présentes même sur nombre de petites voitures, elles permettent d’éviter le choc frontal en maintenant le véhicule dans la voie, tout spécialement si le conducteur s’assoupit ou s’il regarde ou tape un message sur son smartphone. Ce qui est hélas de plus en plus fréquent. Dans ce dernier cas, le risque d’accident est vingt-trois fois plus élevé.
Source : lefigaro.fr
Dans les années 1980, les véhicules étaient relativement “mous”, ce qui occasionnait de nombreuses intrusions et lésions», précise ce spécialiste. Lors d’un choc frontal à 65 km/h, le conducteur d’une 206, en 1998, subissait une fracture de six côtes, une fracture ouverte du fémur gauche, une de l’avant-bras droit et une du bras gauche. Pendant le même choc, le conducteur d’une 207, en 2005, s’en tirait avec une fracture du sternum et de deux vertèbres. Sur une 208, en 2012, plus de fractures, mais une «simple» abrasion de l’épaule gauche, et quelques contusions abdominales et au genou droit. Coque plus rigide, nouveaux systèmes de protection (aux places arrière, notamment), la mortalité a été divisée par trois sur les véhicules récents.
Cela montre que les constructeurs sont les principaux artisans des progrès accomplis ces dernières décennies. Des moyens d’évaluation perfectionnés Les moyens d’évaluation se sont aussi énormément perfectionnés. Lors des tests d’impact, aux rustiques mannequins d’hier ont succédé des modèles bourrés de capteurs numériques, capables de délivrer plus de 200 mesures. En parallèle, l’augmentation considérable de la puissance des ordinateurs a permis d’affiner énormément les modèles numériques de l’être humain. Les scientifiques arrivent même aujourd’hui à les personnaliser en fonction du sexe et de la morphologie. Les aides récentes à la conduite constituent un autre progrès.
Présentes même sur nombre de petites voitures, elles permettent d’éviter le choc frontal en maintenant le véhicule dans la voie, tout spécialement si le conducteur s’assoupit ou s’il regarde ou tape un message sur son smartphone. Ce qui est hélas de plus en plus fréquent. Dans ce dernier cas, le risque d’accident est vingt-trois fois plus élevé.
Source : lefigaro.fr
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