jeudi 7 décembre 2023
mercredi 6 décembre 2023
CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RÉNOVATION D'UNE 2CV CITROËN......
La 2cv 6 Spécial va subir quelques évolutions notables. Citons le pare brise feuilleté en 1983, l'option "hayon" en 1984 et l'adoption de ceintures de sécurité à brin semi-rigides à l'avant en 1983 ainsi qu'un pare brise feuilleté la même année. Côté teintes intérieures et extérieures, si le début de la décennie 1980 est marqué par une palette haute en couleur, au fil des années cette dernière va devenir de plus en terne, à mesure que les ventes chutent...
Rénovation d'une 2 CV-6
Année 1984 par Charly...Bravo joli travail...
Au fil des années justement, on observe que malgré la multiplication des séries spéciales et/ou limitées (jusqu'à une par an...) les ventes de la 2cv chutent inexorablement.
Il faut dire que la vieille dame de Javel accuse bientôt 40 ans de production. Sa ligne, rétro à souhait, se montre à la peine. Toutefois, elle séduit encore.
Le principal problème réside dans ces 2 points : la sécurité et la pollution (eh oui, déjà à cette époque...). Côté sécurité, elle n'est ni plus ni moins que celle d'une voiture dans la conception remonte à la fin des années 1930 : désastreuse. La 2cv a toujours eu la réputation de transformer les mannequins des crash test en petit bois !
Côté pollution, le bicylindre nécessite une profonde refonte pour passer les nouvelles normes anti-pollution car le passage du carburateur à l'injection ainsi que la catalysation des moteurs vont bientôt devenir obligatoires... Le choix se pose à Citroën : une profonde refonte ou l'arrêt de la fabrication.
Du côté de la concurrence ça n'est guère mieux. Dès les années 1980, des alternatives moins chères et plus modernes que la 2cv apparaissent sur le marché français, notamment la petite Fiat Panda, la nouvelle Seat Ibiza et la Lada Samara.
L'arrivée de ces voitures va causer une désaffection certaine pour la bonne vieille Deuche qui, bien que choyée, voit ses volumes de production dégringoler. Le problème est d'ailleurs le même pour sa rivale de chez Renault, la R4. Un autre constat sans appel se dévoile : produite en très grande partie à la main, la 2cv coûte de plus en plus cher. A la fin des années 1980, le modèle Charleston coûte plus cher qu'une Renault Supercinq Five nettement plus moderne... A la chute des ventes s'ajoute l'arrêt de distribution des 2cv neuves sur plusieurs marchés étrangers, faute de mise aux normes.
L'investissement demandé étant trop élevé par rapport aux retombés possibles, Citroën prend la décision de cesser de produire la 2cv.
Dépassée techniquement et rendue quasiment obsolète par la concurrence, la vieille star de chez Citroën n'a plus qu'à disparaître, dans la plus grande émotion...
Source : Charles Costa / deudeuchmania.over-blog.com/
mardi 5 décembre 2023
lundi 4 décembre 2023
dimanche 3 décembre 2023
CLUB5A - REGLEMENTATION - Permis de conduire : un nouveau site pour connaître son solde de points
DROIT DE L’USAGER - Un nouveau téléservice permet aux usagers de la route la consultation des informations relatives au solde de leurs points et la validité de leur permis de conduire. Un nouveau site remplace le téléservice «Télépoints» supprimé depuis mi-novembre. Pour tout comprendre, il suffit de suivre le lien suivant: https://mespoints.permisdeconduire.gouv.fr/
La consultation de ce nouveau site est désormais accessible:
- Via votre identité numérique à l’aide de FranceConnect
- Via votre numéro de dossier du permis de conduire (ou NEPH).
Il permet de consulter son solde de points mais aussi son relevé d’information restreint (RIR).
Ce RIR atteste de la validité et de l’étendue des droits de conduire et précise les catégories de véhicule que vous pouvez conduire.
Comme le reconnaît l’administration, le service n’est pas nécessairement à jour. Il y a un décalage entre le temps où l’infraction au code de la route est commise et son enregistrement sur le site.
De même, il existe un décalage entre le temps où les points sont réattribués et le moment où le site «Mes points permis» enregistre l’ajout des points.
On regrettera le temps d’actualisation des informations du site mais aussi l’impossibilité d’avoir accès à son relevé d’information intégral (RII) permettant de lister l’ensemble des points perdus et réattribués dans le temps.
Source : Rémy Josseaume-lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
samedi 2 décembre 2023
CLUB5A - REVUE DE PRESSE ET REPORTAGE - RM Sotheby’s à Munich, un résultat solide....
ENCHÈRES - Comprenant en majorité des GT récentes, la vente munichoise de la maison anglo-saxonne a vu certains prix s’envoler. En matière de voitures de collection, rien ne sert de tirer des plans sur la comète. Le marché, qui à la vue des résultats d’ensemble de l’année écoulée semblait marquer une pause, évolue finalement en dents de scie. Il est capable de s’enflammer sans que l’on sache très bien en discerner les raisons. Certains experts le compareront à la roulette russe. On ne sait jamais vraiment comment la vente va tourner même si chacun a sa petite idée. À Munich, les équipes de la maison RM Sotheby’s avaient de bonnes raisons de s’estimer satisfait. La vente organisée le 25 novembre dernier a rencontré un beau succès.
L’enchère la plus élevée est revenue à l’une des 121 Ferrari 365 GTS/4 Daytona Spider. Un amateur a déboursé 3 098 750 euros pour acquérir un rare exemplaire bronze métallisé intérieur beige. A plus d’un million d’euros, on trouvait une Mercedes 300 SL Roadster «Outlaw» de 1957. Adjugé 1 096 250 euros, le roadster à l’étoile pouvait se flatter d’une facture récente de restauration de 400 000 euros mais aussi d’un certain nombre d’améliorations techniques.
Autre modèle à franchir la barre du million d’euros: la BMW 3.0 CSL de 2023. Produit à seulement 50 unités en 2022 en hommage au cinquantenaire de la division sportive BMWMotorsport, ce coupé développé sur la base de la M4 CSL était facturé 750 000 euros lors de sa commercialisation l’an dernier. Pour faire partie du cercle des 50, un passionné n’a pas hésité à débourser 1 017 500 euros.
Autre enchère élevée, celle de la Nissan GT-R50 de 2021. Revue et corrigée par le carrossier italien Ital Design, la GT japonaise a approché le million d’euros, à 975 000 euros. Autre japonaise d’exception, la Lexus LFA, une supercar produite en série limitée à cinq cents exemplaires au début de la décennie 2010 autour d’un V10 4,8 litres a changé de mains contre un chèque de 657 500 euros.
Troisième exemplaire conduite à gauche produit et première voiture livrée en Europe continentale, l’Aston Martin DB5 Vantage de 1965 a franchi la barre des 700 000 euros, à 780 000 euros. Très attendue, la DS3 WRC au volant de laquelle Sébastien Loeb a remporté son dernier titre de champion du monde des rallyes en 2013 s’est approchée de l’estimation haute, à 713 750 euros.
Enfin, la curiosité de la vente, l’unique Mercedes B 300 «Gullwing» carrossée par l’artisan allemand Hartmut Boschert a atteint l’enchère de 455 000 euros. Présentée au salon de Francfort de 1989, cette réalisation avait fait sensation.
À partir d’un coupé 300 CE, l’artisan avait découpé les ouvrants pour installer des portes papillon, dans l’esprit de la 300 SL de 1954. L’avant avait été modifié pour intégrer le capot et la calandre de la 500 SL W129. L’intérieur reprenait également la sellerie du roadster SL.
Quant au moteur, il s’agit du six cylindres en ligne 3 litres gonflé à 283 chevaux par l’ajout d’une suralimentation à deux turbocompresseurs. Dans la catégorie des youngtimers, la BMW M3 Sport Evolution de 1992 a été vendue 143 750 euros et la Lancia Delta Integrale Evo 2 de 1994 à peine moins chère, 135 700 euros.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
vendredi 1 décembre 2023
jeudi 30 novembre 2023
mercredi 29 novembre 2023
mardi 28 novembre 2023
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Automobile: la nostalgie des années 1980-1990
Relégués hier au rang de voitures d’occasion, les modèles de la fin du siècle dernier suscitent désormais la convoitise d’une nouvelle génération de collectionneurs. Une page est en train de se tourner. Comme leurs grandes sœurs d’avant-guerre avant elles, les voitures de collection des années 1950-1960 n’ont plus la cote. «Ces modèles alimentent désormais un marché de vendeurs. La demande s’est réduite comme peau de chagrin», note Quentin Leblond, le fondateur de Mecanicus, un négoce de voitures anciennes. Principaux acteurs de ce marché, les boomeurs ont déserté.
L’illustration d’un phénomène générationnel. Une tendance que confirme Pierre Collin, l’un des pionniers de la vente, sous l’enseigne Cecil Cars, de ces engins qui ont enchanté les Trente Glorieuses. La désaffection prend une telle tournure que son fils Charles, qui a rejoint l’affaire familiale, envisage sérieusement d’équiper les voitures notamment de la condamnation centralisée des portes, de vitres électriques et d’une caméra de recul, pour séduire les acheteurs.
Ces raffinements que l’on a pris l’habitude d’abriter sous le terme «restromod» seront-ils de nature à faire revenir la clientèle?…
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
lundi 27 novembre 2023
dimanche 26 novembre 2023
samedi 25 novembre 2023
vendredi 24 novembre 2023
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