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mercredi 10 avril 2024

CLUB5A- REPORTAGE AUTO - LE TOUR AUTO ...UN MUSÉE ROULANT ET VROMBISSANT !!

Pour de nombreux dévots de la voiture ancienne, le Tour Auto représente leur madeleine de Proust. Née en 1992, cette rétrospective de la classique routière française attire toujours autant de collectionneurs et de passionnés. 
Si le Tour Auto mobilise toujours autant de passionnés, c'est qu'il a su créer une parfaite alchimie entre nostalgie des grandes heures de l'automobile, désir de compétition et art de vivre français. 

L'un des principaux mérites de l'épreuve est de sortir des lieux communs et de sillonner la France oubliée, celle des routes départementales et des villages. 
Au gré des 2500 kilomètres du périple passant par de nombreuses villes étapes, les équipages vont ainsi (re)découvrir quelques-uns des joyaux du patrimoine hexagonal.
 les occasions de s'ébaudir devant la variété de la campagne française ne manqueront pas. 
Voir passer dans un concert de décibels les engagés, sur fond de paysages de carte postale, réveillera à certains de nos aînés des souvenirs réjouissants. 

Qu'ils aient choisi la catégorie «régularité» ou «compétition», où la performance pure prime, les participants auront des manches sur circuit et des  épreuves spéciales sur des routes fermées pour se départager. 

Tout au long du parcours, la ferveur que provoque le passage de cette incroyable caravane est de nature à nous montrer que l'automobile n'a rien perdu de son pouvoir d'attraction et suscite toujours de grandes manifestations d'affection.                    Source : lefigaro.fr/

CLUB5A - REPORTAGE - Citroën 2CV : combien de deuche y a-t-il encore en France ?

 

Plus de 5,1 millions de 2CV produites de 1949 à 1990 123 000 exemplaires de deuche seraient encore présentes en France.
 La 2CV fait incontestablement partie du patrimoine automobile français, au même titre que la DS. 
De notre patrimoine tout court. Une auto qui fêtait ses 75 ans d’existence le mois dernier, et qui fut produite à plus de cinq millions d’exemplaires tout au long de sa carrière, de 1949 à 1990. 
Vendue à sa sortie quelques mois après sa présentation lors du Salon de l’Automobile de Paris de 1948, l’équivalent d'environ 7 500€ (une somme rapportée à sa valeur en 2023), soit la "deuche", mal accueillie par la presse au départ et affublée du surnom de "vilain petit canard", a connu, au cours de ces dernières décennies, une véritable flambée de son cours, de manière parfois totalement irrationnelle. Dans nos rues et nos mémoires.
Et pourtant, la 2CV de Citroën, voiture préférée des Français, n’est pas, et n'a même jamais été, à proprement parler une véritable rareté. A telle enseigne qu'à ce jour, ce sont un peu plus de 123 000 exemplaires de 2CV (source AAA-Data), toutes générations et versions confondues, qui seraient encore existantes dans notre pays. 
Certes, sur ce nombre, une moitié seulement peut encore revendiquer le statut de véhicule roulant (l’autre moitié étant laissée à l’abandon, en tout cas incapable en l’état de circuler) mais, il n’empêche, ce symbole "so french" n’est pas près de disparaître de nos routes. Encore moins de nos mémoires. 
Source : automobile-magazine.fr

mardi 9 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - DIT PAPA .............C'EST QUOI UN YOUNGTIMER ??

Qu'est-ce qu'un youngtimer ? 
Les youngtimers (jeunes-anciennes) sont pour ainsi dire les nouvelles voitures de collection. 
Il s'agit de véhicules datant des années 1980 environ, qui sont devenus ou deviendront très prochainement des collectors, dans la mesure où ils ont cessé d'être produits depuis longtemps. Pour être un youngtimer, une voiture doit être une voiture ayant été particulièrement populaire ou emblématique dans les années 1980 ou 1990, à l'image des voitures GT telles que la 205 GTI, par exemple. 
 Les youngtimers sont donc des véhicules qui ont aujourd'hui entre 20 et 40 ans, mais surtout qui sont devenus rares, ce qui fait d'office des voitures sportives de l'époque des youngtimers. Par ailleurs, les vrais youngtimers sont des véhicules qui conservent encore leurs pièces d'origine, ce qui en fait de véritables pièces de collection. En dernier lieu, les youngtimers doivent pouvoir être faciles à restaurer et à entretenir (bon marché) et, dans l'idéal, agréables à conduire. 
 Les youngtimers parmi les plus prisées Parmi les youngtimers les plus prisées, on trouvera des voitures telles que la Citroën AX Sport de 1987 ou la BX GTI 16 soupapes, qui fut produite jusqu'en 1993. En effet, les amateurs de youngtimers français apprécient tout particulièrement les modèles des années 1980 proposés par la marque aux chevrons.
Chez les Allemandes, ce sont les vieilles BMW qui retiennent l'attention des youngtimers, notamment les séries M, telles que la BMW M E30 qui a vu le jour en 1986. De même, les cabriolets Mercedes sont très prisés, avec les Porsche 911 et 924 (1975) Les Jaguar également font le bonheur de ces nouveaux collectionneurs avec des voitures comme la fameuse XJS de 1975, ou les rarissimes Talbot, telles que la Sunbeam Lotus de 1979 ou la Samba Rallye de 1983, par exemple.
Vidéo : Petites Observations Automobiles / linternaute.com

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE CHAT DE L’ÉQUIPEMENTIER MARCHAL !!

Marchal est une entreprise française spécialisée dans les équipements de l'industrie automobile, rattachée au groupe Valeo depuis 1980. En 1923, avec un petit groupe d’amis, Pierre Marchal fonde « La Société pour la Fabrication de Projecteurs et Lanternes Électriques » dont l’usine s’installe rue Méhul à Pantin. Rentrant un soir dans son garage, il aperçoit dans le faisceau de ses phares les yeux de son chat noir luisant dans l’ombre. C'est ainsi que lui vient l'idée de s'inspirer de cette vision pour créer son logo ainsi que son slogan : le célèbre masque de chat au regard phosphorescent avec pour slogan : « Je ne prête mes yeux qu’à Marchal ».
 En 1926, la marque connait ses premiers succès en tant que sponsor de courses automobiles : Rallye de Monaco, Paris-Nice, Coupe Rudge-Whitworth, victoire du Mans. Ces courses permettent de démontrer la résistance et l'efficacité des produits de la marque : des projecteurs, des dynamos, des démarreurs, etc. 
Les produits Marchal sont distribués à tous les grands fabricants automobiles français et mondiaux de l'époque. En 1927, Marchal débute la production de bougies. Première au rallye de Monte-Carlo.
 Renault Dauphine Gordini équipée de projecteurs Marchal. En 1929, le feu « code » devient obligatoire. Marchal fait construire une chambre noire dans son nouveau siège de Neuilly pour procéder aux réglages. En 1935, les premiers avertisseurs à électro-compresseur « Fulgor » sont présentés. 
La police, la gendarmerie, la marine, les pompiers demandent des avertisseurs spéciaux pour assurer leur service. En 1936, Marchal lance son projecteur antibrouillard 630 à double parabole décalée. Ce projecteur sera monté sur des véhicules de luxe tels que Delage, Delahaye et Hotchkiss. En 1954, les succès en compétition s’enchaînent avec une double victoire aux 24 Heures du Mans. Les projecteurs et bougies Marchal équipent la Ferrari victorieuse à la distance et la D.B. Panhard qui remporte l’indice de performance. 
Le système « détrompeur » est créé la même année, permettant d’adapter l’éclairage de croisement asymétrique aussi bien pour la circulation à droite qu’à gauche. En 1960, Marchal conçoit pour la dernière marque française de luxe Facel Vega le projecteur Megalux, qui comporte deux réflecteurs séparés code et route derrière une seule glace. Le 5 000 000e antibrouillard fabriqué par Marchal place en 1961 ce fabricant à la tête de la production mondiale. En 1962, les projecteurs à iode Marchal permettent à la Ferrari 330 d'Olivier Gendebien et Phil Hill de rouler aussi vite de nuit que de jour et de remporter les 24 Heures du Mans. 
C’est la première victoire au monde avec des projecteurs à iode. En 1963, pour compléter la gamme de leurs équipements et faire face à la concurrence européenne consécutive à la création du marché commun européen, Marchal et S.E.V. (Société d’Équipements pour Véhicules automobiles) décident de s’unir. S.E.V. fabriquait des dynamos, démarreurs, allumeurs, pompes à essence ainsi que des essuie-glaces électriques. L’union de Marchal et de S.E.V., concrétisée par une diffusion commerciale sous la marque S.E.V. Marchal, permet au groupe d’accéder à l’une des toutes premières places de l’équipement automobile européen.
 La nouvelle société (dont 40 % sont détenus par la Secam) dispose ainsi des usines d’Issy-les-Moulineaux (S.E.V), Argenteuil et Pantin (Marchal). En 1968, SEV Marchal entreprend la fabrication des lave-glaces. En 1970, la S.A.F. (Société Anonyme Française du Ferodo) prend le contrôle du groupe S.E.V. Marchal en rachetant à Marchal sa participation dans le capital de la Secam. En 1972, Marchal est l’inventeur du balai à agrafage rapide. Alors que chaque type de véhicule possédait des balais d’essuie-glaces spécifiques, Marchal, grâce à cette innovation, parvient à réduire considérablement sa gamme en créant des balais multi-affectations.  
En 1973, S.E.V-Marchal crée la Société Aveyronnaise de Métallurgie (fonderie sous pression d’alliages légers) à Viviez qui devient le principal fournisseur de S.E.V, puis, plus tard, de Paris-Rhône en pièces de fonderie d’aluminium. En 1975, S.E.V. Marchal construit une nouvelle usine à Châtellerault et commercialise toutes ses productions sous la marque S.E.V. Marchal. En 1977, les sociétés S.E.V-Marchal et Paris-Rhône-Cibié se rapprochent. Le nouvel ensemble, que contrôle la S.A.F.F. par l’intermédiaire de la F.E.A., prend le nom de S.V. et est coté au comptant à la Bourse de Paris. L’année suivante, des modifications de structure juridique entraînent la création de E.A. Marchal par apport des activités industrielles et commerciales de l’ex-S.E.V Marchal. 
La nouvelle S.E.V n’est plus qu’une société holding regroupant les filiales E.A. Marchal, Paris-Rhône et Cibié. L’année suivante, création de S.E.V-SERVICE, société de distribution des produits du groupe S.E.V, avec le magasin de Beauchamp. En 1979, Jean-Pierre Marchal et son frère Claude Marchal vendent la société à Ferodo, poussés par la crise de l'automobile. En 1980, Ferodo devient Valeo. Marchal devient alors une marque du groupe Valeo. Son statut momentané de seconde marque explique l’abandon total de publicité à cette période, mais des symboles subsistent : le masque du chat est conservé. 
 En 1985, la marque Marchal devient la marque dédiée à la grande distribution et trouve ainsi un second souffle[réf. nécessaire]. Cette année-là, le lancement s’amorce avec la création de Valeo Distribution, branche destinée à la distribution des pièces détachées automobiles sur le marché de la rechange, pour devenir effectif en 1988. L’année 1985 est ensuite marquée par le lancement des balais d’essuie-glace Série « U ». Détenteur du brevet, Marchal est autorisé à utiliser le nom de « Série U », correspondant à « Universel » pour qualifier l'adaptabilité des balais d’essuie-glaces. En 1988, Marchal abandonne l’éclairage pour se concentrer sur les bougies d’allumage, puis les balais d’essuie-glace et les plaquettes de frein.

lundi 8 avril 2024

CLUB5A- REPORTAGE AUTO - Sortez vos anciennes du garage !

VÉHICULES D'ÉPOQUE 
Dans toute la France, à une date bien précise, en principe fin avril on se prépare à accueillir les véhicules d'hier et de collection dans le cadre de la Journée Nationale des Véhicules d'Époque.  «Sortez un maximum de véhicules des garages!». 
Tel le cri de guerre que lance la Fédération Française des Véhicules d'Époque (FFVE) 
L'objectif est de faire sortir un maximum d'ancêtres de leurs garages ou de leurs remises. Environ 800 000 véhicules de collection existeraient en France, ce qui représenterait un total de près de 250 000 collectionneurs et de 1 200 clubs de passionnés. Pour la FFVE, la finalité est de «montrer à tous, et particulièrement aux élus locaux, le formidable attrait que représentent nos véhicules anciens auprès du public, de faire respecter notre droit de rouler avec des véhicules d'hier sur les routes de demain, selon la devise de la Fédération Internationale des Véhicules Anciens (Fiva), et enfin de faire partager et transmettre notre passion.» 
Cette journée sera l'objet de manifestations spontanées ou organisées par des clubs, des musées, ou des professionnels.
 Elle prendra différentes formes telles que traversées de villes, sortie de pique-nique, bourse d'échanges, concours d'élégance ou concours d'état, visite de musées automobiles, exposition devant sa maison d'une voiture en cours de restauration, ou encore présentation des techniques de restauration de véhicules anciens par des spécialistes*. 
Les villes  se distinguent tout spécialement dans le cadre de cette journée en créant les «Bouchons». , renouant ainsi avec la légende des bouchons des années 1950 à 1970 qui ralentissaient la traversée des grandes villes, sur la route des vacances. 
La France n'est pas la première nation en matière de conservation et de promotion des véhicules de collection. Par comparaison, le Royaume-Uni compte approximativement 350 clubs pour 280 000 collectionneurs, avec une moyenne d'environ 800 membres par club contre 130 pour la France. Ainsi, outre-Manche, le Jensen Owners Club, qui représente une marque à la production modeste (moins de 10.000 véhicules), rassemble plus de 1 000 collectionneurs. * Un logo est téléchargeable sur le site de la FFVE et de même que des fiches techniques à la rubrique «manifestations». 
 Source : lefigaro.fr- Vidéo : club des 5A

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Les cinq Porsche les plus bruyantes de l'histoire !

Voici les cinq modèles de compétition du constructeur de Stuttgart qui battent des records de décibels. Avis aux amateurs de mécaniques endiablées. 5/ Porsche 911 SC Safari: 122,9 décibels La 911 SC Safari est une voiture de rallye qui a vu le jour en 1978. Assez proche d'une 911 de série, elle embarque le fameux flat six de Porsche, d'une cylindrée de 3 litres. Un organe qui s'exprime haut et fort par le biais d'un échappement peu obstrué.
Dérivée de la radicale version GT3 de la Porsche 911 type 996, cette machine de course a notamment participé aux 24 Heures du Mans. Ses vocalises sont également produites par un six cylindres à plat, d'une cylindrée de 3,6 litres cette fois-ci. 3/ Porsche 928 «Trigema»: 126,4 décibels La 928 Trigema. Cet engin de compétition, dérivé d'une Porsche 928 S, s'est aligné au départ de nombreuses courses d'endurance dont les 24 Heures de Daytona en 1984. Préparez-vous à un changement de registre musical, puisque cette voiture fait confiance à un V8 de 4,7 litres de cylindrée.
 Porsche 804: 137,8 décibels Cette monoplace de 1962 est l'une des rares Formule 1 badgées Porsche. Elle permit à la marque de remporter sa seule victoire en F1 en tant que constructeur avec le pilote américain Dan Gurney. C'était le 8 juillet 1962 sur le circuit de Rouen Les Essarts. Elle était équipée d'un moteur huit cylindres à plat. Pour se conformer à la réglementation en vigueur à l'époque dans la formule reine du sport automobile, la cylindrée du moteur de la 804 ne dépassait pas 1,5 litre.


 - Porsche 911 Carrera RSR Turbo 2.1: 138,1 décibels La Porsche la plus bruyante est, contre toute attente, un modèle turbocompressé. 

Véritable prototype déguisé, cette 911 Turbo de course a terminé à la seconde place des 24 Heures du Mans 1974. Sa cylindrée est réduite à 2,1 litres, mais la barre des 500 chevaux est atteinte. Une puissance largement suffisante quand on sait que la machine ne pèse que 750 kilos!

Porsche 911 Carrera RSR Turbo 2.1: 138,1 décibels La Porsche la plus bruyante est, contre toute attente, un modèle turbocompressé. Véritable prototype déguisé, cette 911 Turbo de course a terminé à la seconde place des 24 Heures du Mans 1974. Sa cylindrée est réduite à 2,1 litres, mais la barre des 500 chevaux est atteinte. Une puissance largement suffisante quand on sait que la machine ne pèse que 750 kilos!
Source : lefigaro.fr 

dimanche 7 avril 2024

CLUB5A-REPORTAGE AUTO -Mini David Brown..........l'icône remise au goût du jour !!


Le petit constructeur britannique spécialiste des répliques a lancé il y a quelques temps  une version modernisée de la célèbre Mini créée par Sir Alec Issigonis et présentée en 1959. Nostalgie, quand tu nous tiens! Après avoir dévoilé au dernier Salon de Genève une Speedback GT réplique de l'Aston Martin DB 5 (sur une base de Jaguar XK), le petit constructeur britannique David Brown (aucun lien de famille avec le célèbre patron d'Aston Martin) réinterprète à sa manière l'icônique Mini créée par Alec Issigonis voici près de soixante ans. Cette Mini «remastérisée» («remastered») possède exactement la même allure que sa célébrissime aïeule.
 Bref, sa découverte nous fait effectuer un bond en arrière de quelques décennies. Et c'est bien l'effet recherché. Un coffre vaste comme la boîte à gant d'un SUV Outre les similitudes esthétiques, on remarquera que le moteur de cette néo-Mini possède la même cylindrée que celle des dernières Cooper S. Il développe 78 ch à 5 700 tr/m et devrait propulser cette Mini à 145 km/h. De quoi lui faire également atteindre les 100 km/h en 11, 5 s. 
Côté carrosserie, les proportions sont respectées puisque l'engin mesure 3, 05 m de long pour 1, 47 m de large et une hauteur de 1, 33 m. Son empattement est de 2, 03 m. Avec un volume de 17,2 litres, son coffre à bagage la contenance d'une boîte à gant de SUV. De quoi emporter un imperméable et un parapluie, mais guère plus.
Mais cette nouvelle-ancienne Mini n'affiche que 740 kilos sur la balance et embarque tout de même 34 litres de carburant: elle devrait pouvoir parcourir environ 500 km sans ravitailler (la consommation annoncée est de 6, 6 l aux 100 km). Vastes possibilités de personnalisation David Brown a toujours clamé son amour pour les anciennes, mais avec tout le confort. C'est-à-dire, en l'espèce, la climatisation, le GPS, un écran tactile de 7 pouces, une connectivité étendue (Apple CarPlay et Androïd Auto) ainsi que quelques autres babioles d'aujourd'hui.
Si on en croit les photos publiées par l'entreprise de Coventry, le luxe et la finition de cette puce made in England promettent d'être somptueux: cuir (présent jusque dans le coffre), bois, matériaux précieux, comodos en aluminium guilloché. Comme toute voiture construite artisanalement, les possibilités de personnalisations sont très vastes. Cette petite merveille devrait être disponible fin 2017. À quel Prix? On parle de 60 000 €. Que penserait Sir Alec de ce remake? Et qu'en dit BMW, le propriétaire de la marque Mini? Deux séries spéciales de cette Mini sont déjà annoncées, nommées «Café Racer» et «Monte Carlo». Roule britannia!
  Source : lefigaro.fr-automotomagazine

samedi 6 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - L'EMBOUTEILLAGE DE LAPALISSE !!...HOMMAGE A LA MYTHIQUE NATIONALE 7 !!

Depuis l’ouverture de la déviation de Lapalisse qui mît fin au passage quotidien de 3 000 poids lourds, la ville a choisi de rendre hommage à la mythique nationale 7 en reproduisant, tous les deux ans, les encombrements des années 50-60 au moment des grands départs en vacances pour la Côte d’Azur. Cette idée née d’une rencontre entre l’historien, dessinateur et passionné des routes de France Thierry Dubois et la Communauté de Communes du Pays de Lapalisse fit de Lapalisse un précurseur des fêtes. 
 Malgré les nuisances qu’elle a occasionnées par le passé par son fort trafic de poids lourds, la N7 est un véritable élément du patrimoine de Lapalisse puisqu’elle a joué un rôle incontestable dans l'évolution de sa trame urbaine, la création de son activité commerciale et économique, la renommée de Lapalisse.
 Des centaines de véhicules anciens (voitures, caravanes, autocars, vélos...) viennent tous les deux ans des 4 coins de la France, avec tenues et accessoires d'époque, pour traverser la ville comme dans les années 50-60, simulant un important départ en vacances. 
Des scènes d'époque sont rejouées avec des gendarmes, des bonnes sœurs, des mécaniciens et des pompistes... un franc succès puisqu’elle a rassemblé plus de 1 000 véhicules anciens et environ 3 000 participants !

Source : allier-auvergne-tourisme.com - Agence Web à Vichy

jeudi 4 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE MONDIAL DE L'AUTO A FETE SES 120 ANS !!

Le Mondial de l'Auto a fêté ses 120 ans avec une parade de voitures de collection dans Paris. Le Mondial de l'Auto a lieu !! C'est le 120e salon réalisé à Paris autour de la voiture et autres appareils motorisés. Pour fêter cet anniversaire, des modèles de plusieurs générations ont paradé place de la Concorde. Retour en image. Le Mondial de l’Automobile a 120 ans et fête cela en faisant circuler des voitures de collection dans Paris. 
La première année, l'Exposition internationale d’automobiles est créée par l’Automobile Club de France, sur la terrasse du Jardin des Tuileries. Au fur et à mesure, le salon grandit et s’installe au Grand Palais jusque dans les années 30 pendant lesquelles "le nombre d’exposants baisse et la pression des constructeurs étrangers se fait plus forte". Il est suspendu entre 1939 et 1945. L’année suivante, Paris est la première ville d’Europe à organiser un salon automobile après la Guerre. 

 Dans les années 50, les cycles et motos sont exposés Porte de Versailles et les premiers véhicules de loisir comme des caravanes sont exposés. En 1951, l’événement est appelé Salon de l’Automobile, du cycle et du motocycle. Il attire alors 810 000 personnes. Il franchit le cap du million de visiteurs en 1954. A partir des années 70, le salon est trop important. Il est totalement délocalisé Porte de Versailles et devient biennal. 
Le salon est aujourd’hui le premier événement automobile par sa fréquentation : plus d’un million de visiteurs ont franchi les portes. Une parade haute en couleurs Pour célébrer les 120 ans, le Salon a organisé une parade dans Paris dimanche 30 septembre. Quelques 230 véhicules historiques circulaient dans la ville au départ de la place de la Concorde. 

Source : usinenouvelle.com - Le Parisien

mercredi 3 avril 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - CITROËN ET RENAULT DANS LES ANNÉES 1970 !!

Renault et Citroën. 
Deux marques mondialement connues. A l’image de la tour Eiffel, ces fleurons de l’industrie automobile appartiennent désormais au patrimoine français. 
Et pourtant, qui connaît Louis Renault et André Citroën, les fondateurs de ces marques ? 
Que reste-t-il dans nos mémoires de l’histoire des deux plus grands industriels que la France ait jamais connus ?
Si Renault et Citroën, fleurons de l'industrie automobile, appartiennent au patrimoine français, leurs fondateurs restent méconnus. Les deux frères ennemis ont d'abord partagé les bancs du lycée Condorcet, à Paris. Géniaux artisans, ils vont ensuite révolutionner l'industrie française en s'inspirant des méthodes développées par Henry Ford et Frederick Taylor aux Etats Unis : rationalisation, travail à la chaîne, organisation scientifique du travail. En même temps qu'ils transformaient les modes de production en France, Louis Renault et André Citroën ont marqué l'histoire des relations sociales et du mouvement ouvrier. 
André Citroën fut ainsi le premier grand patron à accorder le congé de fin de semaine à ses salariés. La cantine futuriste de la grande usine du quai de Grenelle fut aussi une première. De son coté, l'usine Renault de Boulogne-Billancourt, nationalisée après la guerre, deviendra une "forteresse ouvrière". "Quand Billancourt tousse, la France s'enrhume" dira-t-on par la suite ... Mais pas de happy end dans la bataille opposant le "novateur de Javel" au "seigneur de Billancourt". Malgré leur incroyable réussite, ces deux génies de l'automobile connaissent un destin tragique. Tandis que la crise économique de 1930 a raison des audaces d'André Citroën, qui meurt ruiné en juillet 1935, Louis Renault est, quant à lui, accusé de collaboration avec l'ennemi en 1944.
Source : ART VISION-anact.fr

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - UNE FORD FIESTA AMPHIBIE ...CA FLOTTE ...MAIS PAS VITE !

 

Cette Ford Fiesta est amphibie... Sous cette carrosserie orange et blanche un tantinet particulière se cache bien une Ford Fiesta de précédente génération. 
Mais il n’en reste plus grand-chose … On reconnaît par exemple son tableau de bord et ses phares, mais son moteur est passé à l’arrière ! Les véhicules amphibies ne courent pas les rues. Et pour cause, ils n’excellent généralement dans aucun des deux domaines. Conduite compromise sur la route et navigation difficile sur l’eau. Plutôt que d’essayer de rentrer dans l’eau avec leur voiture, certains préfèrent s’offrir un bateau qui y ressemble. Mais d’autres sont obstinés à vouloir faire rentrer leur véhicule à 4 roues dans l’eau. Les créateurs de cette Fiesta amphibie font visiblement partie de cette dernière catégorie. Presque méconnaissable ! 
Il ne reste pas grand-chose de la citadine américaine. À l’extérieur, on peut reconnaître les optiques de la Fiesta de précédente génération. Les jantes nous donnent également un indice sur la provenance du véhicule. Mais c’est à peu près tout. La carrosserie orange et blanche est réalisée sur mesure en fibre de verre et le moteur a carrément été déplacé à l’arrière ! Même l’empattement a été allongé et le toit découpé. Bref, la parenté ne saute pas aux yeux. Ça flotte, mais pas vite … 
Une fois à l’intérieur en revanche, la ressemblance est plus frappante puisque tout le tableau de bord est d’origine, ou presque. Des boutons nécessaires à la navigation sont apparus devant le passager. 
Quant aux performances de l’engin, disons que ça n’est pas son principal atout. Sur la route, la conduite semble acceptable. Une fois sur l’eau en revanche, l’engin ne peut atteindre que 7 nœuds soit environ 13 km/h. Autant dire que ce n’est pas une fusée. Au moins, il a le mérite de flotter… 
Sourc : autoplus.fr-AdamC3046
AdamC3046