vendredi 26 juillet 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ferdinand Porsche : le papa de la Coccinelle avait conclu un pacte avec le diable...

 

Son nom résonne aujourd’hui comme un synonyme de voitures de sport et de performance. Rarement dans l’histoire de l'automobile, un ingénieur marquera autant l’industrie. Véritable pionnier dans ce domaine et celui de l’aéronautique, il est le concepteur de nombreuses voitures restées dans les mémoires. De Daimler-Mercedes-Benz à Auto Union, des mythiques Volkswagen Coccinelle aux premières Porsche, Ferdinand Porsche affiche un palmarès de créations inégalé. Mais il entrera dans l’Histoire pour d’autres raisons, beaucoup plus sombres. 
Né le 3 septembre 1875 en royaume de Bohême à Maffersdorf, Ferdinand Porsche est un ingénieur, motoriste et designer autrichien, naturalisé allemand. Surdoué, il se passionne très tôt pour les inventions qui réinventent la société de la fin du 19e siècle. Les premiers prototypes d’avions ou d’automobiles, en pleine révolution industrielle, côtoient alors la généralisation de l’électricité. Alors que son père, Anton Porsche le voyait déjà reprendre son petit atelier de plomberie, il le laisse partir à Vienne tenter sa chance, certain du génie de son fils. Inventeur de la première voiture électrique. 
À 18 ans, il débute sa carrière dans une compagnie d’électricité autrichienne comme chef mécanicien. C’est ici qu’il développe son concept de moteur-roue électrique. Le moteur est alors intégré directement dans le moyeu. Sa soif d’apprendre le pousse à suivre des cours clandestinement à l’Université de Vienne, n’ayant pas les moyens de payer l’inscription. En 1898, son premier prototype de voiture électrique est prêt. La Egger-Lohner C2 Phaeton P1 développe 3 ch pour 35 km/h. En 1900, sa voiture devient une des stars de l’Exposition universelle de Paris où on la présente comme la rivale de la “Jamais contente”, alors voiture la plus rapide du monde. 
 L’année suivante, c’est la première voiture hybride essence électrique qui sort de son cerveau. De Daimler-Mercedes-Benz à Porsche C’est après avoir succédé à Paul Daimler au poste de PDG de Daimler à Stuttgart en 1923 qu’il fonde l’entreprise Daimler-Mercedes-Benz qu’on connaît encore aujourd’hui. Mais en 1929, il quitte l’entreprise suite à un désaccord avec le conseil d’administration et prend une décision. Fini de travailler pour les autres, il crée son propre bureau d’études Porsche à Stuttgart avec son fils. Les clients sont nombreux, d’Auto Union, qui deviendra Audi à Mercedes-Benz en passant par des créations plus personnelles. Mais c’est un autre client, tristement célèbre, qui va l’amener à concevoir une des voitures les plus vendues de l’Histoire. 
 Volkswagen, la voiture nazie En 1933, Ferdinand Porsche répond aux premiers appels d'offres du chancelier du Reich, Adolf Hitler. Les deux se connaissent bien et ont pour objectif commun de démocratiser l'automobile en Allemagne. Grand amateur de l'homme d'affaires, Hitler lui de concevoir une voiture du peuple ("Volkswagen" en allemand) capable de transporter quatre personnes, de consommer moins de 8 litres au cent, de rouler à 100 km/h, tout en coûtant moins de 1 000 Reichsmark. La mission est claire : faire de cette voiture accessible à tous les allemands, un outil de propagande du régime nazi. 
La "KdF"-Wagen, pour "Kraft durch freude" (la "force par la joie"), est présentée par Porsche à Hitler en 1938, année où on construit l’usine Volkswagen de Wolfsburg. Il participe activement à la machine de guerre nazie. En 1937, Ferdinand Porsche, comme beaucoup d’industriels allemands, intègre le parti nazi, et bénéficie de nombreux marchés d’État. L’Allemagne prépare la guerre, Porsche sera au plus près du pouvoir en étant nommé coordinateur de l’effort de guerre industriel par Adolf Hitler. Moteurs d’avions, munitions, armes, véhicules militaires sont sous son contrôle. Une fois la France envahie, il est chargé de contrôler la collaboration industrielle de l’usine Peugeot de Sochaux. 
Il fera déporter des ouvriers ainsi que huit directeurs, dénonçant à Hitler en personne, "leur mauvaise volonté et leurs actes de résistance et de sabotage". La chute À la fin de la guerre, le membre du NSDAP, gradé de la SS, est dans le viseur de la France pour avoir, entre autres, utilisé des déportés de camps de concentration comme main d'œuvre. Le 15 décembre 1945, le piège est tendu. Les autorités françaises invitent Ferdinand Porsche et son fils Ferdinand Anton Ernst Porsche, à visiter les usines françaises Renault, pour avoir leur avis sur les prototypes de la Renault 4CV. 
Il est arrêté sur place, et emprisonné pendant vingt mois. Libéré en 1947, il sombre dans la dépression. Quatre ans plus tard, découvrant une voiture à son nom conçue par son fils, il est terrassé par l’émotion et meurt d’une crise cardiaque. Ferdinand Porsche n'assistera pas à l’incroyable succès de sa marque. 
Source : Nicolas LAPERRUQUE-leprogres.fr-Passion Autos

jeudi 25 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PETIT DEVINETTE : QUAND DEUX BMW'ISTES SE RENCONTRENT..... QU'EST-CE QU'ILS SE DISENT ?


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - EQUIPEMENT REQUIS POUR ETRE LE BOSS DU PATELIN DANS LES ANNEES 80 !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - STATION DE LAVAGE DANS LES ANNEES 20 !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Bugatti 57 SC Atalante et Alfa Romeo 8C 2900 B Spider: les stars de Gooding..

 

ENCHÈRES - Lors de sa vente phare de Pebble Beach, la maison Gooding & Company vend deux chefs-d’œuvre de la collection. Réputée pour présenter l’un des plus alléchants catalogues des ventes organisées dans le cadre du concours d’élégance de Pebble Beach, la maison Gooding & Company abat ses cartes. Si l’on n’avait pas vu autant de barquettes de course Ferrari depuis longtemps, les voitures classiques des années 1930 sont aussi nombreuses à changer de mains. 
L’une des têtes d’affiche de la vente de la maison californienne dirigée par David Gooding sera sans conteste une Alfa Romeo 8C 2900 B châssis long carrossée en spider par Touring. Portant le numéro de châssis 412027, ce spider est l’un des cinq exemplaires encore existants sur une série de huit véhicules produits. La voiture de la vente peut se prévaloir d’une histoire rocambolesque. 
Dérivant de la voiture de sport la plus rapide dans les années 1930, ce spider est estimé entre 16 et 20 millions de dollars. 
Il appartient à la série des 8C 2900 qui représentent l’aboutissement d’une décennie de développement sous la direction visionnaire de l’ingénieur en chef d’Alfa Romeo, Vittorio Jano. 
Les 8C ont remporté de nombreuses victoires en Grand Prix et aux 24 Heures du Mans, aux Mille Miglia et à la Targa Florio. Le spider de la vente a passé la première partie de sa vie en Egypte et en Suisse. Son huit cylindres en ligne de 2,9 litres, construit selon la formule bien établie d’Alfa Romeo - construction en alliage léger, double arbre à cames en tête entraîné par engrenages, chambres de combustion hémisphériques et roulements principaux placés entre chaque cylindre - délivrait entre 180 et 225 ch, selon la version. 
Documentée dans le livre définitif de Simon Moore, The Immortal 2.9, cette 8C 2900 châssis long de 1938 a passé ses premières années en Égypte où elle est prise en charge par le major Raymond Flower, propriétaire de la Cairo Motor Company. En juin 1948, l’Alfa rejoint la Suisse. 
Le pilote zurichois de Swissair, Hans Ernst, l’engage dans la course de côte «Les Rangiers» et la conserve jusqu’en 1953. Vers 1955, l’Alfa Romeo est exportée aux États-Unis, passant à quelques propriétaires américains avant d’être vendue au collectionneur de voitures Vojta Mashek, basé à Chicago. Au cours de sa propriété, M. Mashek a commandé une reconstruction complète du moteur. Avant que la restauration ne soit terminée, la 2.9 est vendue à Walter Weimer de Minneapolis. Il la garde pendant environ une décennie, sans achever les travaux. 
L’Alfa Romeo entre ensuite dans la collection du neurochirurgien Dr Fred Simeone. Finalement, il revend le spider au collectionneur et marchand Lukas Hüni de Zurich qui commande une restauration complète à Tony Merrick, en Angleterre. La qualité de la restauration était récompensée par le Best of Show à la Villa d’Este en 1996. Deux ans plus tard, 412027 retraverse l’Atlantique pour rejoindre la collection d’Oscar Davis, dans le New Jersey. Après le décès de ce collectionneur, la succession la vend à un collectionneur de Floride. 
En juillet 2022, la 2.9 Spider est volé dans un camion sur le parking d’un hôtel de Caroline du Sud lors de son transport vers un centre de restauration dans le Maine. En décembre 2023, après plusieurs mois d’enquêtes, l’Alfa Romeo est localisée et retrouvée par le FBI. Devenue propriétaire de ce joyau, la compagnie d’assurances l’a confiée à vendre à Gooding. Si la Bugatti 57 SC Atalante a connu une vie plus sage que le spider Alfa Romeo de la vente, elle n’en reste pas moins l’un des joyaux de la carrosserie des années 1930. 
La berlinette alsacienne représente même le symbole de l’élégance française et du génie de Ettore Bugatti et de son fils Jean. Entre l’automne 1936 et 1938, Bugatti n’a construit que 42 exemplaires de la Type 57S. Les exemplaires les plus célèbres sont ceux équipés de carrosseries conçues par Jean, dont les fameuses Atalante et Atlantic. Au total, seuls 17 châssis de Type 57S ont été complétés par une carrosserie Atalante, dont cette voiture, le châssis 57573 - parmi les derniers exemplaires construits. Achevée en septembre 1937, cette Type 57S était à l’origine finie en bleu sur du cuir Havane et équipée de roues à rayons chromées. 
La 57573 a fait ses débuts sur le stand Bugatti au Salon de l’Automobile de Paris 1937 au majestueux Grand Palais, puis a été transportée à Londres, où elle a été présentée au Salon de l’automobile d’Earls Court en octobre. Immédiatement après le spectacle, l’Atalante est vendue à C. Ian Craig, un amateur de la marque alsacienne et héritier d’une riche famille irlandaise. L’Atalante est immatriculée «GBP 2», apparemment pour «Grand Prix Bugatti 2», et les plaques sont toujours sur l’Atalante à ce jour. Après avoir engagé la 57573 dans les Lewes Speed Trials en 1939, Craig cède la voiture à l’Anglais David L. Griffith-Hughes. 
Lors de l’acquisition de la voiture, M. Griffith-Hughes a mis à niveau le moteur pour le mettre aux spécifications SC, en installant le compresseur qui avait été installé à l’origine dans l’Atlantic de Lord Rothschild, châssis 57374. À la fin des années 1950, on retrouve 57573 chez Charles Globe, à Chicago. Après restauration complète à Molsheim, elle rejoint le garage de Vojta Mashek. En 1965, le Dr Peter Williamson, alors président de l’American Bugatti Club, a acheté l’Atalante pour sa collection. En 2006, la voiture est passée du Dr Williamson à William Ainscough, un collectionneur britannique respecté. Depuis 2013, l’Atalante réside aux États-Unis, où elle a fait l’objet d’une restauration exceptionnelle. Lors du concours d’élégance de Pebble Beach 2023, elle a reçu le prix First in Class.
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID ARDA pour le suivi de l'info...

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mercredi 24 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - ALAIN FUMANAL PRESENT ET FIDELE AU POSTE LORS DE L'A-G 2016 ....


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LES VOITURES ALLEMANDES...UNE QUALITÉ LÉGENDAIRE !


L’industrie automobile allemande possède une réputation internationale. Les marques allemandes telles que Audi, BMW, Opel, Mercedes, Porsche ... ont envahi le monde entier. Les voitures allemandes arborent un design qui ne laisse personne insensible et la grande qualité de ces voitures de luxe est la fiabilité, la qualité et le confort offerts aux conducteurs de ces véhicules haut de gamme.

L’Allemagne est reconnue pour la fiabilité de ses véhicules. La preuve avec le nom de ses marques : les BMW et Audi sont synonyme de grandeur et d’avancées technologiques. Tous les utilisateurs de voitures allemandes le reconnaissent, il n’y a pas mieux. C’est un sentiment de sûreté que les conducteurs ressentent quand ils sont au volant de l’une de ces magnifiques voitures.
Les marques allemandes savent allier puissance et sécurité. 
BMW, AUDI, PORSCHE, MERCEDES : ces marques de prestige se renouvellent sans cesse et les voitures allemandes marquent un point fort avec leurs moteurs toujours plus performants et leurs équipements haut de gamme. Les marques de luxe allemandes ont également su répondre présentes là où certains ne les attendaient pas : sur le marché de l’écologie.
Les véhicules de marque allemande sont reconnues comme des voitures puissantes, sûres, de grande qualité tout en étant écologiques. Le design des BMW, Audi, Porsche, Mercedes ... sait allier à merveille un côté chic qui charme les femmes avec un côté sportif irrésistible pour les hommes.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, REVUE DE PRESSE - Les voitures allemandes .... une qualité légendaire !!



Source : christel sala vuamba/texte : alizeautomobiles.com

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA FUSEE HEWSON DE 1946 ...POUR LES STARS DE CINEMA...

 

Fusée Hewson de 1946 Au début de 1940, Rudy Stoessel, Paul Erdos et Burt Chalmers ouvrent un petit atelier de carrosserie à Hollywood, en Californie appelé Coachcraft, Ltd. et commencèrent à construire des corps personnalisés pour les stars de cinéma et les riches habitants. En 1945, William Hewson a levé des capitaux pour former la Hewson Pacific Corporation et a prévu de produire la « Hewson Rocket » et de le vendre pour 1000 $. 
Stoessel a fabriqué la forme du corps et Erdos a soudé les panneaux d'aluminium ensemble. L'idée de Hewson était de donner à la forme du corps une forme très aérodynamique sans projections nulle part - phares couverts de verre, lentilles arrière chassant et pas de poignées de porte extérieures. Puisque le capital de Hewson a été épuisé au moment où la carrosserie de la voiture a été terminée, Coachcraft a gardé la voiture dans leur salle d'exposition avant jusqu'à ce qu'elle soit vendue aux enchères en 1959 à un concessionnaire de voitures d'occasion à Min L'entraîneur a survécu jusqu'en 1966. 
Caractéristiques 
• Fabricant : Coachcraft, Ltd. 
• Pays d'origine : États-Unis • Moteur : Ford flathead V-8, 85 ch • Vitesse maximale : 90 miles à l'heure 
• Années de production : 1946 
Source : World Cars from the 1930s to 1980s

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CHANGEMENT DE MOTEUR NON-STANDART POUR CETTE HONDA !!




 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DEJEUNER SUR LE POUCE SUR UNE F1 !!


 

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La Toyota Prius.... première de cordée écologique !!

L’histoire de l’automobile s’est écrite avec celle des crises des XXe et XXIe siècles. En 1997, alors que la conférence de Kyoto pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre s’achève, Toyota lance son modèle hybride autoproclamé « voiture de série la plus propre du monde ». Si la Prius est saluée au Japon et aux Etats-Unis, son démarrage est plus laborieux en Europe. Présentation à la presse de la Toyota Prius première génération, en octobre 1997 Il n’y a pas eu de grand soir de la voiture écologique mais une date qui restera comme un repère. Le 10 décembre 1997 s’achève la Conférence de Kyoto sur le réchauffement climatique. 
Cet événement qui marque le début d’une prise de conscience environnementale est l’occasion que saisit Toyota, avec un indéniable sens de l’opportunisme, pour dévoiler la Prius. « La voiture de série la plus propre du monde »,certifie la firme nipponne. La Prius (du latin « précéder ») est ce que l’on appelle un hybride. Elle est dotée d’un quatre-cylindres à essence qui fonctionne le plus clair du temps à un régime stable de 4 000 tours-minute. Un autre moteur, électrique celui-là, vient l’épauler lors des accélérations et se recharge lors des décélérations. 
Le fonctionnement de l’ensemble est géré par une centrale électronique qui dose l’apport de chaque source d’énergie. Cette technologie est bien connue. Elle a déjà été testée par la plupart des constructeurs mais sans les convaincre d’envisager une application commerciale. Toyota, qui a accumulé d’énormes réserves financières, a décidé que l’écologie serait son cheval de bataille, convaincu que cet enjeu va devenir essentiel. 
En outre, si la marque jouit d’une réputation de fiabilité, il lui faut un discours qui permette de construire une image de marque forte. Dans cette perspective, l’hybride apparaît comme la technologie idéale pour réaliser le chaînon manquant entre moteur à explosion et moteur électrique. Lancée au Japon et aux Etats-Unis (essentiellement en Californie), la Prius consomme nettement moins qu’un véhicule de puissance comparable. 
Elle flatte les amateurs de technologie et les consommateurs écolos de la première heure. Son prix de vente de 15 000 dollars est largement inférieur à son prix de revient – pendant des années Toyota va perdre des sommes considérables sans jamais le reconnaître –, mais elle devient vite tendance. Des figures d’Hollywood, comme Leonardo DiCaprio ou Cameron Diaz, s’affichent à son volant. Voiture de l’année 2005 Saluée au Japon et aux Etats-Unis où ses ventes progressent régulièrement, la Prius connaît un démarrage plus que laborieux en Europe, où les constructeurs ne jurent que par le diesel. Dans les années 2000, on considère qu’il s’agit du carburant le plus économique mais aussi le plus favorable à l’environnement puisqu’il émet moins de CO2. Or, l’hybride, efficace en circulation urbaine ou dense, l’est beaucoup moins sur les longs parcours et s’accommode plus difficilement de la façon dont conduisent les Européens. 
Introduite en France en 2000, la Prius convainc à peine plus de soixante-dix acheteurs en un an. Sa technologie coûte cher (2 000 euros de plus qu’un modèle comparable) et la clientèle ne semble guère avoir la fibre écologique. La deuxième génération née en 2003 va faire sauter les verrous. La Prius est élue voiture de l’année 2005, son style est moins ingrat, ses performances revues à la hausse, son fonctionnement plus pointu et, surtout, le contexte a changé. 
Le dérèglement climatique n’est plus un thème abstrait mais une menace considérée comme tangible. Nissan et Ford achètent la technologie de Toyota qui élargit sa gamme de modèles hybrides et y convertit Lexus, sa marque premium. Honda s’y met aussi de même que Volkswagen et même Peugeot, qui opte pour un hybride diesel qui sera un échec. Aujourd’hui, après avoir vendu près de 15 millions d’hybrides, Toyota peut estimer avoir eu raison contre tout le monde. Une satisfaction légitime mais qui lui a joué des tours. 
Le constructeur a pris des risques en snobant la technologie de l’hybride rechargeable et, persuadé que le passage à l’électrique s’effectuerait plus tard, avec des piles à combustible alimentées à l’hydrogène, il a dû lancer en catastrophe une gamme de véhicules tout-électriques à batterie. 
 Source : Jean-Michel Normand-lemonde.fr -Caradisiac

mardi 23 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - IL EXISTE DES SORTIES NEIGE...SANS NEIGE ...MAIS IL Y A DES SORTIES DE PRINTEMPS AVEC BEAUCOUP DE NEIGE !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AVANT DE LOUER OU D'ACHETER UN GARAGE MESUREZ VOTRE VOITURE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Le légendaire combi des hippies renaît enfin en version électrique !!

Après la conversion de sa Coccinelle, c’est le cultissime mini-van Volkswagen de la génération Woodstock qui s’arrête de fumer. Au niveau du pot d’échappement du moins... Le saviez-vous ? 
Le fourgon le plus connu du monde devait s’appeler le « Bulli ». Finalement, il s’appellera Transport T1, un nom ringard ce qui n’empêchera pas d’en vendre des millions d’exemplaires. Avec ses formes rondes remplies de lumière par toutes ces vitres et son immanquable pare-brise séparé au milieu et son toit ouvrable au-dessus, il respirait une vie plus fraîche. Paradoxalement, il a permis à toute une génération qui avait la bougeotte d’aller s’enfumer plus loin. 

Mais c’est vrai qu’à l’époque on fumait aussi dedans, alors… Soixante-dix ans plus tard, le constructeur allemand a décidé de rétablir l’ordre des choses en rendant ce symbole de l’histoire de l’automobile électrique. Ils sont allés trouver les spécialistes du « rétrofit » d’eClassics et lui ont confié un T1 de 1966 à moderniser. Sorti du garage, on découvre l’e-Bully, le premier combi VW zéro émission de CO2. 
eClassics a remplacé le bloc moteur à l’arrière par un groupe 61 kW capable de sortir 212 Nm de couple. L’e-Bulli peut donc atteindre les 130 km/h quand son ancêtre ramait dès 100 km/h sur des faux-plats. Côté batterie, un pack de 45 kWh au total assure une autonomie de 200 à 220 km. On est d’accord, cela ne vous suffira pas à rejoindre Katmandou, alors les mécaniciens ont ajouté un système de recharge rapide à 50 kW DC : comptez 40 minutes pour retrouver 80% de son autonomie. 
Fier de ce tour de force, le constructeur comptait bien présenter l’e-Bulli au salon d’Essen Techno Classica fin mars. Le confinement aura eu raison de l’événement, nous devrons attendre pour voir rouler ce revenant. Toutefois, eClassics propose des kits de pièces pour convertir votre vieux Combi en e-Bulli. Quand vous les appellerez, profitez-en pour leur demander comment on dit “here comes the sun” en allemand… 
Source : detours.canal.fr/-ZelectricBug

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? RENCONTRE DE CARROLL SHELBY ET STEVE McQUEEN DEUX PASSIONNES DU SPORT AUTOMOBILE...

 

Carroll Shelby et Steve McQueen au siège social de la compagnie Cobra de Shelby à Los Angeles, Californie, juin 1963. 
 En juin 1963, Carroll Shelby et Steve McQueen se rencontrent au siège social de la société Cobra de Shelby à Los Angeles, marquant un moment important dans l'histoire de l'automobile. Carroll Shelby, un designer automobile légendaire et pilote de course, avait fondé Shelby American en 1962, se faisant rapidement un nom avec le Shelby Cobra. 
Cette voiture de sport haute performance, connue pour son puissant moteur V8 et son design léger, est devenue une icône de la culture de course des années 1960. 
Les innovations et les contributions de Shelby au sport automobile étaient déjà bien considérées, ses voitures rivalisant farouchement dans des événements comme les 24 Heures du Mans. 
Steve McQueen, un acteur hollywoodien célèbre pour ses rôles dans des films comme "The Great Escape" (1963) et plus tard "Bullitt" (1968), était également passionné par la course. 
Connu sous le nom de « King of Cool », McQueen était un passionné de voitures et de motos, participant souvent aux courses lui-même. 
Leur rencontre en 1963 a symbolisé la convergence de l'excellence en génie automobile et l'étreinte glamour d'Hollywood de vitesse et de style. À l'époque, McQueen n'était pas seulement un acteur, mais aussi un pilote de course en herbe, et sa présence au siège de Shelby a souligné son véritable enthousiasme pour le sport automobile. 
Cette époque a été une époque d'innovation rapide et de changements culturels, avec des personnalités comme Shelby et McQueen en tête. Leur collaboration et leur admiration mutuelle ont mis en évidence la fascination culturelle plus large pour les voitures et les courses, un thème qui continuera de croître tout au long de la décennie. 
Cette rencontre a non seulement souligné le respect mutuel entre deux légendes, mais a également représenté une intersection pivot de l'histoire automobile et culturelle américaine. 

Source : Old Cars World-Photo de Dick Stroebel.

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CARAVANE ? CAMPING-CAR OU MINIBUS ??


 

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