dimanche 20 mai 2018

CLUB5A - HUMOUR - Plaque d'immatriculation ANTI RADAR...

La plaque d'immatriculation spécial retraité !!

CLUB5A - TÉMOIGNAGE RESTAURATION TECHNIQUE AUTOS - LA 404 PEUGEOT DE GERD GRETEN ...QUE DU BONHEUR !!

La 404 est une voiture , qui est très connue en Allemagne ... 
Souvenez les films “ sword of Gideon “ , Esta es mi Argentina , Tendre Dracula , une femme douce….. Moi , aussi je suis le fier propriétaire d´une 404 camionnette . 

 C´était le cadeau d´un vigneron , qui avait “ oublié” cette voiture dans les vignes pendant presque dix ans ! 

Je l´ ai réparé et elle roule très bien depuis 8 ans !
 A vrai dire c´est la meilleure voiture, il faut oublier les jaguars et les autres automobiles anglaises…
 Et mes petits enfants aiment la 404 !! 
Le nom de celle-ci est “ Hugo “ . 
 Avec mes salutations amicales Gerd Greten
Source vidéo : Chaîne de 404domi

samedi 19 mai 2018

CLUB5A- DIVERTISSEMENT - MÉCANIQUE !!

Brève et excellente !!
Une fille va voir son père :
Papa, je n'ai pas compris..... Mon copain m'a dit que j'avais un joli châssis, deux beaux amortisseurs et un magnifique pare-chocs. Qu'est-ce que ça veut dire ?
Tu diras à ton copain que s'il ouvre le moteur et qu'il y met de l'huile, je lui éclate son pot d'échappement !

vendredi 18 mai 2018

CLUB5A - DIVERTISSEMENT AUTOS - LA 2 CV VEDETTE DU GENDARME DE ST TROPEZ...

Le gendarme de St Tropez .....Le film (1964). Avec: L De Funès (Cruchot), M Galabru (Gerber), C Marin (Merlot), J Lefèvre (Fougasse), G Grad (Nicole), Grosso et Modo (Tricard et Berlicot), C Piéplu (Boisselier)...
 Film culte visionné chaque été par plusieurs générations.... 6 films tous plus étonnants les uns que les autres.

SOURCE / denballe0

CLUB5A - DIVERTISSEMENT AUTO - LES TÈTES A CLAQUES ET LE GPS ...


Monique et Lucien sont perdus à bord de leur voiture malgré le tout nouveau GPS de Lucien. Monique remet en question la pertinence de l'appareil... 
Source : salamboproductions

mercredi 16 mai 2018

CLUB5A - DIVERTISSEMENT AUTO - Claude FRANÇOIS - Ma nouvelle voiture - 1963...

Ça marche bien Ça marche mieux Ça marche plus ... Eh Elle est si bien bien bien tellement bien Ma nouvelle voiture Elle marche bien bien bien tellement Bien, ma nouvelle voiture Je l'ai reçu ce matin Je vais la roder de mon mieux, mieux, pour qu'elle marche encore mieux Elle marchera mieux mieux mieux, encore mieux ma nouvelle voiture Elle roulera mieux mieux mieux encore mieux ma nouvelle voiture Je nettoirai les bougies Je visserai de trois boulons, rond rond pour que l'moteur tourne rond Elle marchera mieux, elle marchera mieux, oh oui, mieux Elle marchera mieux, elle marchera mieux, elle roulera mieux 

Elle roulera mieux, elle roulera mieux oh tellement mieux Elle marchera mieux, elle marchera !ieux, elle marchera mieux Elle marcherait mieux, mieux, mieux, tellement mieux, ma nouvelle voiture Elle roulerait mieux, mieux, meiux, tellment mieux, ma nouvelle voiture Si j'savais revisser les pièces Oui mais voilà je ne sais plus, plus plus et maint'nant elle marche plus Elle marche plus, plus, plus tellement plus, ma nouvelle voiture Elle roule plus, plus, plus vraiment plus, ma nouvelle voiture Je me demande ce qu'elle a Et puis, à, la fin, j'en ai marre, marre, marre Mais qu'est-ce qu'elle a Et puis à la fin, j'en ai marre marre marre Mais qu'est-ce qu'elle a elle démarre Elle marche toute seule, oh oui toute seule x4 Ma nouvelle voiture
Source vidéo : 

SuperANAUEL

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - 4ème SEA –S'LEX & SUN 10 JUIN 2012...

L’ensemble des participants avait rendez-vous aux Arènes de Trèbes où attendait Alain FUMANAL, notre organisateur pour cette balade en SOLEX, balade qui s’annonçait sous les meilleurs auspices. Après le recensement, l’inscription de chacun et la remise des plaques sans oublier l’itinéraire indispensable, une ou plusieurs photos de groupe avant le départ et hop … 
Top départ la horde de 49.9 cm3 étaient l’achée sur les petites routes de l’Aude, 45 SOLEX MOB et autres tous devait rejoindre suivant le tracé établi.... « CABANE DE FLEURY « …tous ces joyeux « lurons » ont tenu la distance des 75 km aller et pour la plupart la même distance pour le retour, sans oublier les dames qui en toute féminité on fait un parcours avec un courage exemplaire.
 Le soleil lui aussi était au rendez-vous, du moins le matin …Il faut dire que l’après-midi cela c’est un peu gâté mais qu’importe le restaurant le CANOTIER nous avait remplis l’estomac et pour ceux qui ont fait le retour il y avait quelques kilos en supplément sur les deux roues motorisées … Bravo à tous les participants et merci à tous pour la bonne humeur et l’ambiance de fête qui régnait lors de c’est journée… Bravo Alain pour l’organisation ainsi qu’à tous les bénévoles pour leurs disponibilités, rendez-vous au mois de septembre pour la prochaine sortie SOLEX ! 
 Photos et Texte P.L

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - 23° TOUR DE L'AUDE EN PAYS CATHARE C’ÉTAIT LE 14 JUILLET 2011 !!


8 Juillet 2011 : -« Bonsoir Régis, je ne peux venir ma FORD est en panne » -« Pas question, tu viens, on te trouveras une place ». C’est ainsi que j’ai pris le départ dans le Tourer Bentley de mes fidèles amis Calvet. Les lices sont envahies d’admirateurs ne sachant où donner de l’œil. Seul passent, indifférents, les chevaux ignorant leurs « frères vapeur ». Le Darmont de Michel Marpinard se fait remarquer par son refus de démarrer, il y arrivera mais se retrouvera à midi sur le plateau de dépannage, un piston cassé. Comme chaque année de nouveaux équipages nous rejoignent, Renault CQ 1912, Nervastella 1938, Packard 1932, Trèfle Citroën et j’en passe. Les traversées de villages enthousiastes nous réjouissent, nous remplaçons l’armée pour un défilé haut en couleur, 14 juillet !!! 

 A Cascastel, Louis Arnaud nous accueille généreusement en son chai, après quoi, nous nous retrouvons sous les platanes pour savourer le repas champêtre organisé et servi par les membres du club 5A. Nous sommes 265 convives !!!et le vent joue avec les assiettes, gobelets et autres serviettes. Bravo à nos hôtes. Notre retour à Carcassonne est « encadré par nos « anges de la route » Jean-Pierre et Thibault, toujours présents et infatigables, merci ! Jeanine et Charles Crouzet nous reçoivent dans leur parc où, surprise, un orchestre de 10 musiciens anime les souvenirs de notre jeunesse, tandis qu’un traiteur épargne la peine de nos amis bénévoles, nous servant un repas de qualité, 22h30 l’apothéose de cette journée : feu d’artifice se surpassant d’année en année. Nous avons la joie de voir la relève s’annoncer : Les fils de Patrick Chaussat, de Patrick et Corinne Cilia et de Jacques Ruffié conduisant une C4 familiale de ce dernier. D’autres suivront surement. 

 Vendredi : sous le soleil arrivée à Fontiers-Cabardès où l’accueil du Club 620 est ponctué par un buffet gargantuesque. J’embarque mon deuxième véhicule : la MGB de Dick, puissante et agile aux mains d’un expert me permet d’admirer le paysage du Sidobre. Le foie gras servi au restaurant l’impérial nous émerveille, mes voisins de table connaisseurs avertis sont unanimes. Avant les agapes, nous avions visité le très beau village moyenâgeux de Lautrec. Visite bienvenue pour certains équipages qui repartaient vers leurs lointaines contrées chargées de victuailles aussi rares que raffinées. La visite du moulin à vent fort bien commenté par maitre Cornille fut très bien appréciée. Nos palais sont comblés car nous visitons les salaisons Oberti à Lacaune. Nous avons quitté l’Aude depuis le matin et nous nous trouvons dans le Tarn. Tout est différent, nature et architecture, accent. L’accueil de l’hôtel Le Caussea à Castres nous maintient toujours sur le même registre de qualité, apéritif avec plancha non-stop, repas succulent. Nous sommes nombreux et nous nous partageons entre deux hôtels d’égale qualité.


Samedi : Je change de monture pour tenir compagnie à Gilles Guilhaumon. Le moteur de son Torpédo Unic 1927 refait à neuf tourne remarquablement bien et nous amène à Albi. L’énorme cathédrale toute de brique bâtie ne peut laisser indifférent. Notre regretté Guy Roques m’avait raconté que les briques cuites sur le lieu d’extraction de l’argile, éraient acheminées par une chaine humaine !!  Sa compagne Claudie nous a fait l’amitié de venir partager notre somptueux repas. Guy, l’air un peu bourru mais au cœur d’or, sur de ce qu’il disait, expert et collectionneur averti, devenait très vite votre ami. Je retrouve le Tourer Bentley pour arriver à Cordes sur Ciel où Jean-Claude Busine fait grimper sa Bugatti jusqu’au sommet du village !!! Il redescendra debout sur la pédale de frein !!!
Et c’est l’arrivée au moulin du haut. 

Dans un parc magnifique, de charmante hôtesses nous servent un apéritif accompagné de bonnes choses. Repas toujours dans  le même excellent registre. Dominique Spinoso, après avoir inquiété hier les équipages en annonçant les infractions au code de la route, rassure tout le monde le poisson d’avril existe tous les jours dans son pays ! Il réussi à me faire pousser la chansonnette « sans habits », l’indulgente assemblée veut bien m’applaudir ! Retour nocturne à nos hôtels.
Dimanche : le ciel gris à ouvert ses vannes  et c’est avec grand peine que l’Unic nous ramène au départ. J’abandonne Gilles auquel je ne peu apporter aucune aide et suis recueilli par Emilio dans son cabriolet Delage  D6  Labourdette. Il se rit trombes et nous ramène à Revel ou son ami Dominique Fontes à ouvert les portes de sa briqueterie (réfractaire). Le buffet ne sert pas des briques et il est l’instar de ses prédécesseurs. Nous repartons sous une pluie qui finit par s’arrêter. Nous approchons de Carcassonne, où le Tour de France cycliste nous a donné rendez-vous, ceci complique notre trajet, à la dernière minute nous avons obtenu l’autorisation d’emprunter une voie interdite. Pour arriver à l’incontournable Cavanac. Après le repas distribution des prix et aux revoirs, Marlène Foli qui à la gentillesse de me reconduire en Peugeot CC à l’hôtel des Oliviers.
Conclusion le Rallye quitte ses habits de province pour ceux de cours internationales, il l’est de longue date, mais la qualité des prestations offertes pour un budget très raisonnable, le hisse au niveau supérieur. Bravo à toutes celles et ceux qui ont mis l’intelligence, patience, temps et cœur dans cette réalisation que l’on ne peut oublier. Une mention particulière pour le Road-Book qui est digne de votre bibliothèque. Quelles surprises, le 24° nous réserve t’il ? Vous le saurez en vous inscrivant dès maintenant.
Texte : Jean Frédéric / Photos : Alain Patrice et votre serviteur qui administre ce Blog.

mardi 15 mai 2018

CLUB5A - VIVIFIANT VIVANT!! PORTRAIT DE JACQUES VIVANT...

Photo : DRDepuis près de quarante ans les dessins de Jacques Vivant illustrent la presse moto. Impertinent, corrosif, l’artiste repeint l’actualité à sa manière, drôle et percutante...
Photo : DRD

 Sous les pavés, la page... 
Il voulait être architecte, ou sculpteur, se passionne pour Rodin et Daumier, peint, décore, écrit et surtout dessine... Principalement des motos, régulièrement à Moto Revue depuis 1978, après quelques étapes dans Motorama, Motocyclisme, La Moto, La Revues des Motards, Moto Journal... 

 Jacques Vivant : Mes premiers dessins ont été publiés en 1968, une période où l’on sentait la société changer, la moto renaissait et son côté anticonformiste me séduisait, c’est la raison pour laquelle j’ai frappé aux portes des rédactions spécialisées alors en place...

Starter 
En fait, Jacques situe la naissance de sa passion pour les deux-roues autour de 1963... 
 Je n’habitais pas très loin de la place d’Alésia à Paris, lieu de rencontre des motards tous les vendredis soirs à l’époque. J’avais une douzaine d’années, mais n’hésitais pas à traîner autour d’eux. J’étais fasciné par les BMW, Norton, BSA et Triumph, les Japonaises n’existaient pas encore et j’enviais ces motards, ils me semblaient libres, en marge d’une société imposée et étouffante...

De père en fils 
Avant de se procurer sa première moto en 1969 (une 250 Jawa rouge carmin !), Jacques poursuit ses études, décroche un bac philo, puis entre aux Beaux Arts, se destine à devenir architecte, puis se passionne pour la presse, encouragé par sa mère, elle-même ancienne journaliste à Franc-Tireur... L’environnement familial a probablement été déterminant pour mon choix de profession. Les journaux et les dessins, mon grand-père crayonnait, mon père était dessinateur de bijoux, mon frère Jef s’y est mis également… En remontant l’arbre généalogique, on retrouve Dominique Vivant Denon, dessinateur pour les rois Louis XV et XVI, qui ensuite a rejoint Bonaparte en Egypte ! Si c’est confirmé, je pourrais affirmer que l’atavisme est le principal responsable de mon métier !


Recordman

Jacques estime avoir réalisé plus de 15.000 dessins pour

 Moto-Revue. Sa patte croque l’essentiel de l’actualité 

avec humour et clairvoyance. La moto en support, mais 

les messages s’élargissent jusqu’au quotidien de la 

société...
Concernant la moto, je ne risque pas de manquer d’inspiration ! Je la fréquente depuis quarante ans et il ne se passe pas une semaine sans qu’une nouvelle loi ou directive ne se mette sur sa route. De mes débuts, où elle représentait la liberté absolue, à aujourd’hui, que de bâtons dans les roues ! C’est motivant de combattre ses ennemis à grands coups de crayon !

Le chèche ? Chiche ! Portrait : Vivant, Vivifiant Vivant !Sur tous les fronts, Jacques Vivant a aussi traversé l’aventure du rallye des Pharaons, en tant que dessinateur pour les communiqués de presse et illustrateur du road-book, puis comme Directeur Artistique. En 1994, Fenouil, l’organisateur, doit s’occuper du Paris/Dakar. Un logo doit être trouvé pour identifier la célèbre course. Jacques est mis en concurrence avec l’élite des designers, c’est pourtant son dessin qui sera retenu. Une légitime grande fierté... 

 Le rallye avait ses détracteurs, je cherchais donc un symbole réconciliateur, en empathie avec le continent africain. L’idée d’un chèche touareg s’est imposée d’elle-même. Depuis sa création, ce logo est toujours utilisé, il est à présent connu dans le monde entier... 
Artiste 
Dès qu’il pose son crayon, Jacques saisit un pinceau, auteur de nombreuses toiles, ses œuvres sont souvent exposées… 
 J’ai peint beaucoup de nus, mais j’aime aussi sculpter, modeler la terre, réaliser des bronzes... Créer permet de s’évader, comme la moto, un objet merveilleux procurant la liberté d’aller voir ailleurs en s’échappant du quotidien... 

Motard un jour... 
Des projets plein la tête, Jacques Vivant n’entend pas abdiquer prochainement !... 
 J’aimerais bien monter une expo de quarante années de dessins de motos. Actuellement, je termine une Bande Dessinée intitulée « Manuel d’utilisation à l’usage des motards malchanceux », qui je l’espère paraîtra en fin d’année. Par ailleurs, je voudrais dénicher une 350 BSA B31. J’en ai eu une autrefois et conserve de tels souvenirs à son guidon que je remettrais volontiers le couvert ! 
 On retrouve Jacques Vivant tous les quinze jours au fil des pages de Moto Revue. Derniers ouvrages parus : "Des Bâtons dans les roues" (éditions Larivière), "Une saison de Rugby chez les Dingues" et "Dans la peau d’un rugbyman" (Hugo & Cie éditions).

Source : lerepairedesmotards.com/portraits/jacques-vivant.php/ Michel BIDAULT / Youngtimers Moto, le Repaire des Motards, Editions Vent d'Ouest

CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - LE CIRCUIT DES REMPARTS ANGOULÊME EDITION 1987...J'Y ÉTAIS !!



Née en 1939, cette épreuve fut baptisée à l'époque "Grand Circuit de Vitesse Automobile des Remparts". Un circuit inchangé depuis sa création, long de 1.279 mètres et dont le tracé sillonne la ville. La ligne de départ est placée à la hauteur de la cathédrale.
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Les voitures s'élancent alors sur la ligne droite baptisée Rempart Desaix avant de négocier le virage Carnot. Elles suivent ensuite l'avenue des Maréchaux, prennent le virage du théâtre. Après une courte descente de la rue Carnot, les pilotes découvrent une longue section rapide après le virage Desbrandes. Puis, 500 mètres plus loin, c'est le virage "sous Carnot", que les pilotes prennent à fond, et la longue ligne droite de la rue Waldeck-Rousseau, l'endroit ou les vitesses les plus folles sont enregistrées. Cette folle accélération se terminent soudainement par l'épingle du Marronnier. Suit alors une remontée vers la cathédrale, en passant par la rue du colonel Driant, le virage Fangio, l'avenue de Verdun et le virage de la Cathédrale, un tracé qui est sûrement le passage le moins rapide du circuit. Les pilotes retrouvent ensuite la voie des remparts pour regagner la ligne de départ.

Chaque année, les pilotes reviennent pour le plus grand plaisir des 10.000 spectateurs fidèles au Circuit. Différentes manifestations sont organisées chaque année. Les motos reviennent sur le devant de la scène, tout autant appréciées que les voitures anciennes. Le grand Prix des Remparts est de nouveau le rendez-vous des plus grands pilotes, en activité ou non, l'occasion de revoir, comme en 1987, Fangio et Trintigant. 

Le public aura l'occasion de voir des BRM se confronter à des Ferrari dans le Grand Prix des Remparts, des voitures au passé flamboyant, comme les BRM 126 et 133 de 1968 et la 153 de 1970, toutes ayant été conduites par Pedro Rodriguez et pour l'occasion entre les mains d'amateurs. Elles accompagnent les Ferrari 312 B3 (Lauda 1973), T3 ( Villeneuve 1978) et T5 (lauda 1976). Un Challenge Ferrari est organisé, avec des voitures d'exception encore une fois. On pourra admirer alors une 166 MM de 1949, une Monza 750 de 1955, une 500TR de 1957, une 250 GTO de 1963 etc.
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D'autres plateaux, aussi variés et prestigieux seront présentés au cours de ces différentes éditions. On s'émerveillera devant le Trophée Bugatti, le Plateau Jaguar, le trophée Lotus Super Seven ou le trophée Grand Prix de France, avec de magnifiques voitures dans leur livrée d'origine. On pourra aussi entrevoir des Tricyclecars, des Cyclecars, Sport Proto etc.... Bref, des menus à dévorer sans retenues.

En 1989, la nouvelle municipalité d'Angoulême, dirigée par Georges Chavanne, hérite d'une situation municipale désastreuse. La gestion de Jean-Michel Boucheron est remise en cause et la situation des finances de la ville est catastrophique.
la première action de la nouvelle municipalité va être de contrôler les dépenses de la ville et seules celles indispensables à la survie de la ville seront tolérées. Autant dire que les crédits alloués pour le Circuit des Remparts sont tout bonnement supprimés. Les angoumoisins n'auront donc pas de grande manifestation cette année-là.

Source texte : mini.43.free.fr / Vidéo et photos : PL

lundi 14 mai 2018

CLUB.5A - DIVERTISSEMENT MOTO - Film moto : Bolidi sull'asfalto a tutta birra Giacomo Agostini à l'affiche .......


 

Film moto : Bolidi sull'asfalto a tutta birra Giacomo Agostini à l'affiche 

Le triomphe d'Ago sur la toile et sur la piste Film moto : Bolidi sull'asfalto a tutta birraBolidi sull'asfalto a tutta birra, titre italien que l'on pourrait traduire par Bolide lancé à pleine vitesse sur l'asphalte, est un long-métrage de fiction tourné en 1970 par Bruno Corbucci. 

 Synopsis Mino Ambrosini est un jeune mécanicien moto secrètement passionné par l'univers de la compétition. Pourtant, les moyens lui manquent pour se lancer dans une carrière de pilote. Son ami Paolo lui vient en aide en lui prêtant quelques motos de cours sur lesquelles il commence à participer à quelques courses de petite envergure. 
Une jeune motocycliste du nom de Gio lui apporte également son soutien et bientôt, ses talents de pilotage attire l'oeil médusé des techniciens de l'écurie MV Agusta. 

 Une fois intégré au team italien, Mino va subir la trahison de Gio et délaisser tout espoir de remporter un jour un titre. Cependant, Paolo croit encore dur comme fer aux performances de son ami et parvient à la convaincre de reprendre le guidon pour participer à la première épreuve du championnat du monde à Nürburgring. 

 Fiche technique et casting Réalisateur : Bruno Corbucci Giacomo Agostini : Mino Ambrosini Paolo : Sergio Leonardi Gio : Daniela Giordano 
Durée : 99min 
Date de sortie : 1970 
Les motos du film Agostini et sa MV Agusta tiennent le premier rôleL'Italie, mère partie de la passion motocycliste a vu naître en son sein quelques unes des plus grandes marques de motos mais aussi des pilotes légendaires. 
Parmi eux, on ne pourra faire l'impasse sur le plus grand de tous ; Giacomo Agostini. 
Pilote le plus titré de tous les temps, celui qu'on surnomme affectueusement Ago fit aussi une courte mais brillante carrière d'acteur. 

 En effet, le champion italien tient la tête d'affiche du film Bolidi sull'Asfalto a tuitta birra dans lequel il prend les traits du personnage de Mino Ambrosini. 
Une sorte d'alter ego cinématographique qui va servir de prétexte pour mettre en image le triomphe du grand Ago sur le championnat du monde de l'époque au guidon des fameuses MV Agusta. Sorti en 1970, le film prend place alors qu'Agostini dispose déjà de six sacres mondiaux. 
Au cours de cette saison 1970, il en ajoutera deux supplémentaires à son palmarès.

Poussant le vice jusqu'à l'ultime hommage, le film de Bruno Corbucci met en scène le premier triomphe d'Ambrosini sur le circuit de Nürburgring où le véritable Agostini avait remporté son tout premier Grand Prix.

Source : lerepairedesmotards.com

CLUB5A -DIVERTISSEMENT MOTO - LE CODE DES MOTARDS...MODE D'EMPLOIS...

Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, DIVERTISSEMENT MOTO - LE CODE DES MOTARDS...MODE D'EMPLOIS...
1) Le moyen le plus facile de dire "Salut", quand on croise un autre motard, est de relever la main gauche (jamais la main droite, pour d'obscures raisons...). Certains motards font un signe avec 2 doigts en "V", pas pour des raisons aérodynamiques mais tout simplement pour imiter Barry Sheene qui faisait ce signe aux photographes quand il gagnait une course. Depuis lors, dans les années 70, ce signe a pris place dans le langage motocycliste
2) Le salut avec le pied, n'est pas utilisé au Portugal mais est courant entre les "Speeders" des autres pays comme en France, à cause de la difficulté (et le risque qui va avec), d'enlever une main du guidon quand on roule "un peu" plus vite que la limite imposée par la loi.
3) Si le principal objectif est de ne pas quitter des mains le guidon, il n'y a pas d'autre signe que les deux doigts levés (qui n'est pas très visible) ou faire un signe de la tête. Le dernier signe, est le très courtois signe que les Anglais font.
4) Les appels de phares sont utilisés par les conducteurs de voitures pour prévenir de dangers au bord de la route (comme les radars de la gendarmerie). Il est préférable de ne pas utiliser ce signe comme salut, car il peut être confondu avec un avertissement. Pour informer qu'il vaut mieux ralentir, il vaut mieux faire un signe de la main, paume vers le bas, après avoir fait un appel de phare.
5) Si par malchance au cours d'un long trajet, vous devez vous arréter pour refaire le plein. Pour signaler aux autres, qu'il faut s'arréter, il suffit de pointer le pouce vers le bouchon du réservoir (Vous risquer de subir quelques moqueries, les autres, dans le même cas, referont alors le plein "au cas où..." sans avouer qu'ils sont à sec )
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6) Si la route devient glissante, sable, gravier, huile ou autre, le motard de tête prévient les suivants en ramenant sa botte vers le sol. (... parce qu'il n'a pas été suffisament prévenu, l'auteur, ne c'est pas encore remis de cette situation, qui lui a value de bousiller le beau carrénage, trouvé chez un importateur)

7) Quand le motard de tête évite un obstacle, il doit prévenir les suivants en le montrant du doigt (Sinon il pourrait y avoir de la casse, surtout si l'obstacle est une voiture...)
8) Une des façons de signaler "la prochaine sortie", est d'allumer son clignotant droit et de pointer du doigt le panneau qui indique pourquoi on veut s'arréter. (station service, restaurants, etc.)
9) Pour prévenir un motard que ses feux sont éteinds, il faut lui faire un signe de la main, en ouvrant et fermant les doigts de la main plusieurs fois . (Ce signe peut être fait par les pétions pour nous informer qu'on roule avec les feux en plein jour)
10) Parfois, il arrive qu'on soit pris par l'ivresse de la conduite, le nez colé sur les compteurs, les yeux fixés sur la route, et soudain ... la réserve, nous ramène d'un coup, à la réalité, il faut alors indiquer aux autres de calmer le jeu car il ne reste plus qu'une vingtaine de kilomètres avant la panne seiche.

11) Quand l'estomac crie famine, on doit prévenir les autres motards ... "si on s'arrétait pour manger un morceau?". Il suffit de ramener une main vers la bouche ou simplement pointer le pouce pour indiquer qu'on a faim ou soif.
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12) Dormir est une autre nécessité pour un motard, il vaut mieux s'arréter et faire une petire sieste, car il n'existe pas encore de pilote automatique pour moto...

13) Quand un motard oublie d'éteindre son clignotant (ca m'arrive souvent, c'est pour cela que je vous le signale), alors les autres pour lui signaler peuvent soit l'avertir en altenant leurs clignotants soit en l'avertissant de la main par un geste baptisé "ouin-ouin" effectue en ouvrant et fermant la main avec le bout des doigts (style la danse des canards).
Source : pololand.com


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dimanche 13 mai 2018

CLUB5A - RÉGLEMENTATION - VOLKSWAGEN ...LES YEUX SUR LA ROUTE !!

SMS - texto et téléphone....caméra cachée en Belgique dans une auto-école conduite..
 Comment convaincre les jeunes conducteurs à ne pas envoyer de SMS au volant ?
 Les responsables Young Drivers, en partenariat avec l'auto-école Bara, ont demandé à des jeunes d'envoyer des SMS pendant leur cours d'auto-école. 
Découvrez leurs réactions et les résultats des tests !
Source vidéo : MadOverAds / Volkswagen / Responsible Young Drivers - RYD.BE / roulons-autrement.com


samedi 12 mai 2018

CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS MEILLEURS SOUVENIRS ....LES AVENTURES DE ISEISAISETTE EN AUVERGNE !!

800 km à dos de 125 !!
 Une idée comme ça, sur le départ des 1000 vaches : et si on faisait pareil mais qu’il fasse moins froid ?!!! 
Jérémie a fini d’acquérir sa petite maison en Auvergne, et lance une invitation sur le forum Honda 70 (www.cb500four.com/), dont les membres m’ont parfaitement conseillée pour la remise en route d’Isetta ma Honda 125 CBS de 1972. 

J’irai, avec mon Isetta, qui rencontrera ainsi tous ses parrains ! Départ vendredi 4 mai, lever 7h, arrivée de Jean à 8h30, départ 8h45. 
Comme je connais la route je passe devant. 
A fond les manettes nous passons Revel, Castres, et nous arrêtons à Albi (quart du trajet) boire un café et nous réchauffer un peu. 
On repart et en arrivant sur Rodez (presque la moitié du trajet) ma petite bête cale à plusieurs reprises : il est temps de lui donner à boire ! 

Nous en profitons pour pique-niquer. Seconde partie du trajet Jean passe devant avec sa Triumph, et roule en moyenne à 70-80km/h. Ca me fait tout bizarre de ralentir ainsi, moi qui essayais de rester à 90… 

Mais comme c’est plutôt reposant, et ça permet de profiter du paysage, et que j’ai programmé 8 heures de route si on met une heure de plus mais une heure agréable c’est plutôt pas mal Aucune panne à signaler, mais Jean avait froid donc on s’est arrêté souvent, et puis les 100 derniers kilomètres (de St Flour à Viverols) on ne pouvait pas rouler plus vite « à cause » des virages ». 
Arrivée à 20 h, soit 11 heures de route Samedi au programme grillade le midi, puis balade digestive pour aller découvrir un volcan. 
Dimanche visite du Musée Baster à Riom et retour par le chemin des écoliers. Un grand moment pour la « jeune » motarde que je suis, car j’ai été la passagère de Noris sur sa CBX pendant les 200km. 
Passagère c’est nouveau pour moi. Premier essai sur la Triumph de Jean, berk. 

L’impression que je vais être projetée de la selle à chaque accélération… Mais derrière Noris ce n’est plus un problème : les accélérations se font sans à-coup. 
Plus embêtant, les amortisseurs. 
Probablement morts, c’est comme s’il n’y avait rien. Je prends du coccyx à la nuque chaque dénivelé, alors je ne quitte pas la route des yeux, de façon à être en position jockey si nécessaire. Après le Musée et le repas à Riom, retour sur Viverols suivant un circuit concocté par Jérémie. 

Le début était infernal : traversée de villages sur des bitumes en réfection ou ayant un sérieux besoin de l’être, donc remise en jambe obligée, moi qui pensais pouvoir faire la sieste ! 
Comme Noris a trouvé que je m’étais bien comportée le matin, que je lui ai confirmé me sentir bien sur sa moto, il m’a montré une vraie accélération. Pas longue hein, on est monté « seulement » à 160km/h. C’est bien quand ça s’arrête !!! 

Une fois les villages passés, des paysages magnifiques et presque plus d’habitations, et surtout des routes en bon état… 
Là j’ai découvert les fameux « virolos » dont vous parlez tous, vous les motards depuis toujours... 
Je les connaissais à vitesse humaine. Là c’était un peu très différent. J’ai mieux compris des termes souvent entendus : la prise d’angle. Pour moi c’était en 2D donc lié à l’angle de la route ou du guidon. 
Maintenant j’ai compris … Leçon de prise d’angle de Noris, dans un virage, pour doubler deux motos d’affilée (dont celle conduite par Jean-Mi, il paraît qu’il a commencé à essorer la poignée mais est rentré dans le rang quand Marceline lui a rappelé qu’elle était derrière). Aaaaaaah oui c’est bien vrai que plus tu penches, plus tu vas vite ! 

Et aussi la corde : ma conception qui consistait à éviter une bande d’au moins 20 cm en limite de bitume (après un accident lié à un dérapage en voiture il y a 20 ans avec mes deux petits choux derrière moi) a volé en éclats, puisqu’on a même le droit de mordre la pelouse… 
Tout cela m’aurait pétrifiée de peur, et je ne serais jamais remontée sur une moto, si Noris n’avait été mon pilote. J’avais pleinement confiance, ou alors quand elle vacillait je me disais eh oh tu es avec un ancien coureur des célèbres coupes Kawa, donc aucun danger ! 
 Arrêt rafraîchissements à Ambert, très agréable. Jérémie me demande pourquoi la main qui tient le verre tremble autant ; sans doute le muscle qui s’accrochait au blouson qui demande si c’est fini ! 

 Retour chez Jérémie pour le repas et la soirée devant le grand poêle à bois.
 Lundi matin j’ouvre les yeux, quelle heure est-il ? 
6h, parfait, on aura de l’avance. Jean m’entend descendre mes sacs et en fait autant ; sans faire de bruit nous déjeunons et chargeons les bestioles, les poussons dans la rue pour ne réveiller personne et là, horreur : la clé n’est pas sur le contact mirdmirdmirdmirdmird. 
On défait tout, rien nothing nada. 
Un vague souvenir : Stéphane « tiens, ta clé, c’est petit tu sais, tu devrais faire un double, oui oui j’y penserai » et aussi une image de la petite clé sur un rebord de fenêtre dans la chambre… où dort Jérémie qu’on voulait laisser faire la grasse matinée… 

Toc toc Jérémie je peux entrer ? Je crois que j’ai oublié un truc, ouiiiiiiiiii la voilà !!! 
La Bise à Bidouille c’est un premier signe. Deuxième signe un lièvre traverse la route au nez de Jean. Troisième signe une montgolfière est posée dans le ciel. Et en effet, à moins de 10km de Viverols je me suis ennuyée. J’ai « sucé » le pneu de Jean, pour moi ça voulait dire allez pousse un peu, rien à faire il plafonnait à 80. OK Doc, je double avec un grondement de colère à 100km/h sur 1 ou 2km avant de revenir sagement mais sportivement à 90. 
Je suis restée devant jusque Espalion, 200km, pile à mi-chemin, où nous sommes arrivés à 13h. Une supérette ouverte : deux salades auvergnates et deux yaourts de brebis, café. Je fais le bilan : on est à mi-route (200km) et on l’a fait en 4 heures. Ça correspond au timing que j’avais calculé avant le W-E. 
On est sacrément plus dans les temps qu’à l’aller. 
Avec de la chance on arrivera même avant la nuit !!! 
Et là, Jean me dit qu’en fait j’ai été super rapide dans les virages des 100 premiers km, que c’était un grand plaisir que de me suivre, le jour et la nuit qu’il a dit !!! 
Nous avons conclu que la balade sur la CBX avait servi de super leçon en accéléré, ou alors que j’avais appris à faire les virages pendant la nuit comme dans Matrix ! ....C’est reparti, Jean devant, jusqu’à Albi où nous nous séparons à 16h pour la dernière ligne droite. 

Il a pris l’autoroute, est arrivé à 17h15 au sud de Toulouse. 
Moi arrivée à 17h31 après avoir été bloquée pendant plus de 10km par un limaçon entre 20 et 80km/h… A peine rentrée, je me suis inscrite pour la sortie du Pays de Sault (j’attendais de vérifier mon état de fatigue, car après les 1000 vaches il m’avait fallu 10 jours pour récupérer), et depuis je continue de planer dans les virages Auvergnats…
Texte et photos :iseisaisette