dimanche 17 mars 2024

CLUB5A - SALON VINTAGE A CARCASSONNE LE 16 & 17 MARS 2024...LE CLUB 5A ETAIT PRESENT ET EXPOSAIT SES VOITURES !





 "Sous un soleil radieux et une chaleur printanière, le Club 5A, invité au Salon Carca Vintage qui se tenait ce week-end à Carcassonne, a exposé samedi 16 mars 2024, quatre à cinq véhicules, un triporteur et une à deux motos. 
Un public nombreux est venu admirer nos anciennes et assister à de nombreuses animations vintage qui se déroulaient à l'intérieur des Halles Prosper Montagné. Cette journée fut donc une belle réussite pour tous".
Merci Sylvie et Gérard RAYNAUD pour les photos et les texte...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE CONVERSATION CASQUEE ENTRE NICOLAS ET FRANCOIS .....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL Y A VOIE ET VOIX !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA CHAINE DE LA VIE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE DEPANNEUSE "VINTAGE" !!


 

samedi 16 mars 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - UNE VOITURE A TROIS ROUES ROULE AUSSI BIEN QU'UNE VOITURE A QUATRE ROUES ...LA PREUVE EN IMAGE !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA NAISSANCE D'UNE VOCATION !!


 

CLUB5A - PHOTOS INSOLITE - QU'IMPORTE LES HERNIES ...JE ROULE QUAND MEME !!


 

CLUB5A - SORTIE AUTOS DU 10 MARS 2024 A FANJEAUX DANS LA REGION DE LA MALEPERE ....

 

Cette journée de la Malepère s'annonçait pittoresque et intéressante, elle l'a été ! 
Comme convenu nous avions rendez-vous au local de notre association avenue des Berges de l’Aude afin de prendre le départ en direction dans un premier temps au garage 2cv Occitanie de notre ami Klaas et son équipe et dans un deuxième temps d’effectuer la visite du village de Fanjeaux. 
 Une fois que nous avons confirmé notre présence à Corinne, en compagnie de Sylvie, qui nous remettait tous les documents concernant cette sortie (la responsable de cette belle balade). 
- 9h - les 60 participants prenaient la route vers notre première destination de la matinée : direction Montréal où nous attendait toute l’équipe de ce garage spécialisé dans la restauration de voitures anciennes. 
 La route à travers la campagne de cette région de la Malepère était très sympathique et pittoresque, nous avons pu traverser et découvrir les villages de Maquens, Lavalette et Alairac.

-9h45/10h - Nous étions en place sur le parking du garage et nous avons eu un accueille chaleureux de l’ensemble de l’équipe cet établissement. Sylvie et Gérard, qui étaient parti en avance, avaient déjà dressé, comme convenu, la table du petit déjeuné et chacun des participants pouvait prendre quelques collations ce qui ressemblait à un véritable petit déjeuné. 

Quelque temps après, comme il était prévu au déroulement de cette journée, nos amis du club de l’AZA de PAMIERS faisaient leurs entré sur le parking. Dominique et Jean-Marc avaient programmé cette étape à la fois pour rejoindre les membres des 5A, organiser leurs petits déjeuné (joindre l’utile à l’agréable..) et aussi connaitre cette entreprise où l’activité principale est la restauration de véhicule d’une autre époque. Ces rencontres entre deux clubs qui partagent la même passion et le même esprit sont toujours des moments sympathiques et conviviaux.
11h/11h15 - Après la visite du « temple » de la restauration automobile, hélas il fallait reprendre la route et prendre congé de nos hôtes et de les remercier de leur accueil. Le club de l’AZA quant à lui continuait sa route en direction de Nailloux. 
Grâce à un itinéraire précis et les virages du pays de la Malepère, la route vers Fanjeaux étaient négociés sans faillir aussi bien par nos ancêtres à quatre roues, très alertes dans ces paysages vallonnés, que par les plus récentes de nos montures. 
Nous avions rendez-vous au boulodrome afin de stationner l’ensemble des véhicules et d’effectuer la visite du village. 
Notre ami Gérard, connaissant bien le village, celui-ci nous sert de guide et à l’aide du plan fourni par l’office de tourisme nos organisateurs nous conduisaient à travers les rues afin de découvrir les monuments méconnus de Fanjeaux et ses curiosités historiques sans oublier un magnifique point de vue sur les Pyrénées qui ce jour-là avaient revêtu son manteau blanc. 
12h30 - Oups c’est l’heure de l’apéritif…retour au parking où nous avions rendez-vous afin de se « ravigoter » le gosier. 
13h – C’était déjà l'heure du repas, le restaurant »LA TABLE CATHARE » nous attendait afin de nous servir un excellent repas…merci et bravo à l’ensemble du personnel pour leur accueil et la qualité du repas ! 

En fin de déjeuner, il était proposé par nos organisateurs d’effectuer une petite balade afin de découvrir les jolis paysages de la Malepère et les magnifiques paysages de cette région qui nous ont tous ravis.. 
Mais l'heure du retour a fini par sonner et il a bien fallu se résoudre à quitter nos amis en leur témoignant une dernière fois notre reconnaissance pour leur dévouement de cette belle journée.. 
Merci Sylvie et Gérard sans oublier Corinne pour la partie inscription et nos amis du garage 2cv Occitanie pour la qualité de leur accueil… 
 Texte : PL – Photo : Sylvie et Gérard – Patrice et Lisèle

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA ZUNDAPP 175 KS ...LA SOLIDITE DANS LE CONFORT....

 

La KS 175 est une moto Zundapp qui a été construite de 1977 à 1982 dans les versions 521-50 et 521-51..... Au début des années 1970, il y avait une nette tendance vers les motos avec des cylindrées plus importantes en Allemagne. En particulier, les machines de 250 cm³ étaient très demandées. 
En 1973, avec 11 000 nouvelles immatriculations de 250, c'est un véritable boom auquel Zündapp veut aussi participer. C'est pourquoi, en 1973, le chef d'entreprise Neumeyer a commandé le développement d'un modèle 250 cm³ et d'un modèle 350 cm³. Pour des raisons de coût, seul le plus grand modèle a été développé plus tard sous le nom de KS 350.
Parallèlement, la KS 125 existante devait être révisée pour devenir la KS 175 afin d'offrir plus de confort de conduite avec moins de nuisances sonores avec une cylindrée plus importante. A cet effet, l'alésage du moteur a été augmenté de 54 mm à 62 mm et le moteur a été équipé d'un système de refroidissement par eau à réduction de bruit, comme ceux que Zündapp avait introduits avec succès quelques années plus tôt avec le KS 50 refroidi par eau (517- 52).
La KS 175 et la KS 350 avec moteurs à deux cylindres ont été présentées à l' IFMA de Cologne en 1976. Malgré un plus grand intérêt pour la KS 350, la direction de Zündapp a décidé de ne pas autoriser la production en série de la KS 350 en raison de l'investissement élevé requis. En revanche, le KS 175 a pu être mis en production avec relativement peu d'efforts. La première version 521-50 du KS 175 est arrivée sur le marché en 1977 et n'était disponible qu'en vert métallisé. Le cadre tubulaire à double boucle a été repris du KS 125 presque inchangé.
 Le prix d'achat de ce premier modèle était de 3 880 DM, ce qui était supérieur à la moyenne de la classe. Zundapp KS 175 type 521-50 En 1979, le KS 175 a été fondamentalement révisé et a reçu la désignation de type 521-51. Extérieurement, la moto se distinguait de la version précédente par un siège de spoiler et un nouveau tableau de bord avec des phares rectangulaires ; il était désormais proposé dans les couleurs Racing Red et Strato Silver. Au lieu d'une fourche télescopique faite maison, il y avait un modèle de Marzocchi . 
Le frein avant, que Grimeca avait fourni sur le Type 521-50, provenait désormais de Brembo . Les instruments VDO ont également été modernisés. Il y avait aussi des améliorations au moteur. Le prix est passé à 4 595 DM à la fin de la production en 1982. Deux ans plus tard, Zündapp a dû déposer son bilan. Comme aucun modèle successeur n'avait été développé, la KS 175 est restée la dernière moto de série de Zündapp.
 Le KS 175 est équipé d' un moteur monocylindre à deux temps de type 288-01, qui est asservi à la boîte de vitesses. La cylindrée de 163 cm³ résulte d'une course de 54 mm à partir d'un alésage de 62 mm. Avec un taux de compression de 7,8 à 7400 tr/min, le moteur délivre 12,5 kW (modèle 521-50) ou 13 kW (modèle 521-51). Le couple maximal de 17,6 Nm est atteint à 7 000 tr/min. La lubrification mixte fonctionne avec 2% d'huile.
 Diagramme de puissance du KS 175, version 521-50 Le refroidissement est conçu comme un refroidissement par thermosiphon , il n'a donc pas besoin de pompe. Le refroidissement par eau devrait rendre le KS 175 plus silencieux que le modèle précédent KS 125. Le carburateur est un Mikuni SE VM 28-200A . L'air d'admission est nettoyé par un filtre à air en papier sous le siège. La KS 175 s'est vendue plutôt lentement en raison de son prix élevé par rapport aux autres motos de la même classe de performances. Une autre raison était qu'à l'époque, le marché de la moto tendait vers la classe 27 ch nouvellement créée. 
Par conséquent, seulement environ 1000 pièces de la première variante de modèle ont été mises sur le marché par an.
 Selon les statistiques d'immatriculation de la Federal Motor Transport Authority , 322 motos ont été immatriculées par le KS 175 en Allemagne en 2020, la plupart dans l'état de Bavière .
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-TheDAEF13

vendredi 15 mars 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - MARYLINE TOUJOURS HEUREUSE DE PARTAGER LES BONS MOMENTS LORS DES SORTIES MOTOS ...


 

TON AUTO EST TROP BASSE ET TU NE PEUX GLISSER TON CRIC DESSOUS...NOUS AVONS LA SOLUTION !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - DOCUMENT RETRO ...CIRCUIT DU MANS DE 1950 A 1996 !

Cette vidéo est consacrée à la course automobile des 24 heures du Mans de 1950 a 1996, et relate l'explosion de la Mercedes de Pierre Levegh provoqua 80 morts et plus de 140 blessés.
Pourquoi tant de victimes? 
Pourquoi les organisateurs n'ont-ils pas arrêté la course ?
 A la façon d'une enquête, les commentaires en voix off décryptent avec précision les images d'archives tournées par les cameramans de télévision et un cinéaste amateur, dévoilant des éléments et des anecdotes significatifs. 

Source : British Pathé
British Pathé

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES PREMIERES AUTO-ECOLES !!

SOUVENIR d'une AUTO ECOLE en 1927.
C'est la première leçon et madame est un peu perdue! 
C'est normal on est tous passé par là ! 
Ah la voiture AUTO ECOLE avec la roue de secours sur la portière et la trompette pour faire POUET POUET ! 
Le premier permis de conduire date de 1922 et la vitesse n'est pas limitée chacun doit l'adapter a sa convenance !
Source : Voyage au cœur du temps, plus de cent ans de souvenirs

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - POURQUOI UNE YOUNGTIMER COMME PREMIERE VOITURE ??

 

Une Youngtimer comme première voiture.... Acheter une Youngtimer comme première voiture, c’est le choix de Dylan, 22 ans, passionné d’automobile. Il est l’heureux propriétaire d’une Peugeot 106 XSi de 1992, avec 162 000 km au compteur. Bonjour Dylan. Explique-nous ce choix : pourquoi une Youngtimer comme première voiture ? J'étais à la recherche d'une voiture ancienne et fiable. Je voulais aussi me faire la main en mécanique. J’avais donc besoin d’une voiture avec une mécanique simple, sans trop d’électronique. Les Youngtimers sont parfaites pour ça. 
Je recherchais également une expérience de conduite. Pas forcément sportive mais fun. Une voiture sans direction assistée, ni ABS ou ESP (antipatinage), ni toutes ces petites choses qui rendent les voitures actuelles peut-être moins attractives. Pourquoi une Peugeot 106 XSi et pas une autre ? Je voulais une voiture des années 80 ou 90. A la base, je cherchais une Peugeot 205 Gti. Trop cher pour une première voiture. Les tickets d’entrée se trouvaient aux alentours de 10 000 €. Je suis alors tombé sur une 106 XSi. La petite sœur de la 205 Gti. 860 kg, 1.4 L, essence, 100 chevaux non catalysés, pas d’aide au pilotage, une gueule sportive et des prix qui oscillent entre 2000 et 5000 €. Le coup de cœur ! Qu’aimes-tu dans cette voiture ? J'aime son petit gabarit et ses performances diaboliques. 
Peugeot avait vraiment un temps d'avance sur les châssis à l’époque. La voiture est légère et elle a seulement ce qu'il faut en puissance pour s'amuser raisonnablement. Les sensations sont vraiment présentes. Le modèle est encore jeune, il n’a que 30 ans, les gens n’ont pas encore remarqué son potentiel. On en voit peu sur les routes. Tu la possèdes depuis maintenant trois mois. Tu as eu le temps d’y faire des modifications ?
 La voiture était totalement d'origine lorsque je l’ai achetée. L’ancien propriétaire avait seulement fait la révision, changer la distribution et les pneus, et refais la peinture avant de me la vendre. J'ai ensuite changé la ligne d'échappement. Elle souffrait de la rouille. Elle gloussait comme une Muscle Car des années 70. C'était assez fun mais pas raisonnable. Je l’ai donc remplacé par une ligne d’échappement en Inox Gr. N. Est-ce plus raisonnable ? Je ne pense pas.
 J'ai également changé le filtre à air, les bougies, les vérins, une durite de chauffage, les haut-parleurs, les phares avant, ainsi que les bras et balais d'essuies glaces. Esthétiquement, j'ai installé des liserés de pare-chocs en rouge et j’ai modifié les plaques d'immatriculation. Ce sont maintenant des plaques collection noires. De nouvelles modifications sont à prévoir ? Le plus gros reste à venir. Je vais sortir le moteur pour changer la totalité des durites. Le temps ne l’a pas épargnée. Je profiterai alors de cette opération pour repeindre la baie du moteur et refaire les joints moteur, culbuteur et culasse principalement. Quelle opération t’a semblée la plus difficile ? La pose des liserés rouges m'a pris trois jours.
 Il fallait être minutieux pour ne pas les casser (j’en ai cassé un d’ailleurs). J’ai dû bâcher la totalité de la voiture. C’était assez drôle car on ne pouvait voir que quatre pauvres longs lisérés. Je trouve que ça donne un côté sportif à la voiture, surtout avec le rouge Vallelunga de la peinture. Raconte-nous ta relation avec le monde de l’automobile. Mon grand-père était mécanicien, tandis que mon père entretenait ses voitures lui-même (une Renault 8 Gordini ou encore une Renault 25). 
C’est eux qui m’ont transmis cette passion. Je me suis d’abord intéressé à l’automobile en général, puis très rapidement, je me suis dirigé vers le monde de la mécanique. C’est fou de se dire qu’il y a plus de cent ans d’innovation derrière le moteur d’une voiture tel qu’on le connait aujourd’hui ! Au début vous essayez de changer une petite pièce, puis vous changez de plus en plus de choses sur votre voiture et vous trouvez ça gratifiant. A partir de ce moment-là, c’est trop tard, vous êtes piqués par la passion ! 
Source : Nicolas Leca-oscaronews.com/Direct Auto
Direct Auto

jeudi 14 mars 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - ROLAND ET FUFU AVANT DE PARTIR DU CAFE DU DOME ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PAYER UNE AMENDE A CONTRE-COEUR !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - MEME EN COMPETITION POUR SA SECURITE IL FAUT AVOIR UNE BONNE VISIBILTE !!



CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA SCHLORWAGEN L'AUTOMOBILE LA PLUS AERODYNAMIQUE DE TOUS LES TEMPS !!

 

Il y a 90 ans, naissait la Schlörwagen, la voiture la plus aérodynamique de tous les temps Cet œuf sur roues était si profilé qu'il était dangereux à conduire. Et c’est pour ça que ce véhicule a disparu. Dans le vent. Pour optimiser la consommation d’une voiture – aussi bien thermique qu’électrique – l’aérodynamisme est une donnée cruciale. Pour dire les choses simplement, plus un véhicule est aérodynamique, moins l’air exerce de résistance et moins le véhicule a besoin de carburant pour avancer. 
Et si tous les constructeurs travaillent sur l’aérodynamisme de leurs produits, certains y accordent plus d’importance que d’autres. C’est ainsi qu’il y a deux ans, la startup néerlandaise Lightyear, une outsider qui compte bien faire parler d’elle, vantait l’aérodynamisme de sa Lightyear One, un prototype dont le coefficient de traînée (l’unité de mesure) tombe à 0,20. Ce qui en ferait « la voiture la plus aérodynamique au monde » une fois sur le marché. C’est vrai, mais elle ne sera jamais aussi aérodynamique que la Schlörwagen, un incroyable prototype des années 30. Schlör massif. 
Développée par l’ingénieur allemand Karl Schlör dans les années 1930, la Schlörwagen incarnait à l’époque l’apogée de l’innovation automobile. Avec sa forme hyper allongée en goutte d’eau, et sa vision radicale de l’automobile, la voiture fit en son temps sensation – notamment au salon de l’automobile de Berlin de 1939. Pour le design, Karl Schlör s’inspira de la forme des ailes d’avion – on peut même dire que l’engin était une paire d’ailes sur roues – et optimisa ce véhicule long de 4,30 mètres pour une circulation de l’air sans égal. Résultat ? Un coefficient de trainée à faire pâlir la concurrence : 0,186 (dans les années 1970, de nouvelles mesures effectuées par des techniciens de Volkswagen ont même mesuré 0,15). 
Sans compter que côté performances, l’engin n’était pas ridicule avec sa vitesse de pointe de 135 km/h et ses 8 litres au 100 – particulièrement efficace à l’époque. Capitaine abandonné. Vu ses atouts, pourquoi la Schlörwagen n’a-t-elle pas fait date ? Après avoir été équipée d’un moteur d’avion russe puis avoir effectué quelques essais en 1942, la Schlörwagen est finalement mise de côté et ne sera jamais produite en série. La faute à son centre de gravité très reculé – du fait de son moteur arrière – qui la rendait très vulnérable aux vents de travers. Qui plus est, la Seconde guerre mondiale sonna la fin de la récréation pour la voiture profilée, renvoyant ainsi le concept aux oubliettes. Et c’est ainsi que la Schlörwagen disparut aussi vite qu’elle roulait.
Source : detours.canal.fr-DLR