vendredi 10 novembre 2023

CLUB5A - SORTIE MOTOS AUTOMNALE DIRECTION LESPINASSIERE ...C'ETAIT LE 5 NOVEMBRE 2023..

 

Comme chaque année au début du mois de novembre au moment où nos roues de nos vieilles « bécanes » explosent les bogues des châtaignes sur les routes de cette magnifique région de la « Montagne noire » où les feuilles mortes remplissent les fossés. Néanmoins, en cette saison, les motos du club 5A aiment se diriger vers LESPINASSIERE. 
Revenons donc au commencement de cette matinée, comme nous en avons l'habitude, cela débute au café du Dôme, où, fidèle au poste, Alain et Bernard accueillaient les participants et prenaient les engagements….20€ par personne.(Régis Périch étant absent …) 
 A 9 heures, le départ était donné pour les 18 motos « inscrites ». Notre Bernard national, investi comme à son habitude dans sa mission ouvrait la route ! Après avoir parcouru les boulevards de CARCASSONNE, les motos se sont engagées sur la route en direction de LESPINASSIERE. 
 Soulignons que l'équipe d'assistance était assurée par Didier DORSSE merci à lui ! C'est sous un soleil d’automne mais très agréable au demeurant accompagné d’une température d’un beau mois de novembre, que chacun a pu profiter d'un très bel itinéraire (70 kilomètres). La route était très agréable avec des paysages variés, de belles couleurs d'automne. 
 C'est ainsi qu'ont été traversés les villages de CONQUES S/ ORBIELS, PRADELLES, CASTAN avant d'atteindre LESPINASSIERE. 
Vers midi, toute la troupe arrivait au restaurant et se réunissait autour des grandes tablées... enfin, le moment tant attendu de savourer le délicieux repas était arrivé. Les propriétaires du restaurant de LESPINASSIERE, qui se trouvent dans l'ancienne école, nous ont accueillis chaleureusement en nous offrant les tripes traditionnelles. (Car l’objectif de la journée était bien là !)
 Ces plats savoureux et réconfortants, parfaitement adaptés à la fraîcheur de l'automne, ont été accompagnés de fromage et d'un dessert... Après le café, c'était déjà l'heure de repartir vers CARCASSONNE. Trajet retour suivant l’itinéraire fixé où libre…. Pour les motards qui voulaient faire étape chez Lorette et Bernard à CONQUES S/ ORBIEL où était organisé, pour ceux qui le souhaitaient une halte « fraicheur » ceux-ci étaient les bienvenus … 
Merci aux organisateurs du club pour cette belle journée ! 


C'était, comme d’habitude, une sortie motos très réussie dans un cadre champêtre et dans une belle ambiance. Aucune panne n’était à déplorer au cours de cette journée. Mention spéciale à Alain Milian pour avoir effectué ce parcours avec une moto d’avant guerre. 
Rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle balade en direction de LESPINASSIERE !
Texte : Bernard Ricard -  Photos : Lorette Ricard 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR IMAGE SUR LA SORTIE MOTOS "LESPINASSIERE" DU 5 NOVEMBRE 2023....

 

Source : l'indépendant - Jean Guy - Merci David SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND BERNARD ARRIVE ...JEAN-PIERRE ENLEVE LE PANNEAU !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - L'IMPORTANT C'EST QU'ELLE EN JETTE ....

 


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - SI PETIT ET DEJA PILOTE DE SIDE-CAR !!


 

jeudi 9 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - SEANCE MECANIQUE IMPROVISEE POUR NOS SPECIALISTES DE VOITURES D'UNE AUTRE EPOQUE ...


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - NON CE N'EST PAS LE RALLYE DU "DAKAR" ...MAIS SIMPLEMENT LA SORTIE 5A DES CAISSES CARREES...


 

CLUB5A - Technique et restauration - Rénovation d'une 2 CV Charleston...


Rénovation d'une 2cv Charleston Année 1983

La 2CV Charleston Présentée en octobre 1980 au salon de l’automobile la 2CV 6 Charleston sort d’abord en série limitée.
En effet, prévue pour être fabriquée à 8000 exemplaires, la Charleston obligea Citroën à prolonger de 4 ans la carrière de la 2CV. Au vu de l’enthousiasme du public et des ventes, la direction de Citroën décide donc de l’intégrer au catalogue de 1982. Citroën touche une nouvelle clientèle “jeune” qui ne se serait jamais dirigée vers la marque au double chevrons sans la sortie de la Charleston. La base de ce nouveau modèle est évidemment celle de la 2 CV 6 : bicylindres 602cc, soupapes en V, arbre à cames central, bloc/culasse en alliage léger, chemises sèches amovibles… Pour 29ch à 5750 tr/mn, la consommation usine est annoncée pour 5,4L à 90 km/h et 6,8L en cycle urbain.
Source : eremy Defreyne J/2cv-legende.com

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - POSSEDER UNE MOTO N'EMPECHE PAS D'AVOIR UNE FAMILLE NOMBREUSE !!


 

mercredi 8 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - D'UNE MANIERE TRES HONNETE MICHEL EMPRUNTE LE CHEMIN DES VOLEURS...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUAND VOUS SUIVREZ CETTE DEUDEUCHE SOYEZ INDULGENT !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS AERMACCHI...DE L'HYDRAVION A LA MOTO !!

 

Aeronautica Macchi est un constructeur aéronautique italien fondé en 1913. Depuis 1961 cette entreprise est implantée à Varese et connue sous le nom d'Aermacchi. 
Elle est fusionne en 2012 avec Finmeccanica qui devient en 2017 Leonardo. La Società Anonima Nieuport-Macchi a été fondée à Varese en 1913 par Giulio Macchi pour construire sous licence le chasseur Nieuport 11 Bébé. Au début des années 1920 les commandes militaires se raréfièrent et l’entreprise, devenue Aeronautica Macchi, se spécialisa dans la construction d’hydravions. La firme verra son nom associé à la Coupe Schneider et aux records du monde de vitesse absolue durant les années 1930. 
Durant la Seconde Guerre mondiale Macchi a produit trois chasseurs très réussis qui constituèrent l’ossature de l’aviation de combat italienne, M.C.200 Saetta, M.C.202 Folgore et M.C.205 Veltro. Sa filiale Aeronautica Umbra SA produira aussi en grande série les trimoteurs Savoia-Marchetti SM.79, SM.81 et Savoia-Marchetti SM.84. En 1961 l’entreprise fut rebaptisée Aermacchi et connut un succès mondial avec le biplace d’entraînement militaire à réaction Aermacchi MB-326.
 Cet appareil connaît encore en 2008 des prolongements avec le MB-339. Aermacchi a également participé avec Aeritalia et le constructeur brésilien Embraer au programme AMX International. 
En collaboration avec le consortium russe Yakovlev a été lancé le programme MB-346. Après une restructuration complète en 1981 avec la création de la holding Aermacchi SpA, la firme de Varese a absorbé en 1997 SIAI Marchetti, ajoutant à son catalogue le monomoteur d’entraînement SF.260. 
Avec cette fusion, le groupe Finmeccanica, auquel est rattaché Aermacchi, a constitué un pôle italien spécialisé dans l’aviation légère et d’entraînement. Dans un souci de diversification l’usine de Varese travaille aussi comme sous-traitant pour d’autres industriels européens, réalisant en particulier les nacelles-moteur du Dornier 328.
 Des années 1950 aux années 1970 l'entreprise s'est également intéressée à la construction de motos et de motocyclettes. Passé sous contrôle de Harley-Davidson en avril 1960, le site est déplacé de quelques kilomètres et se retrouve à Schiranna, dans la banlieue de Varese. 
 Les motocyclettes sortant de l'usine après cette période portent d'abord la marque Aermacchi Harley-Davidson, puis AMF Harley-Davidson. Les restes de l'usine de motos sont vendus en juillet 1978 aux frères Castiglioni qui s'en servent comme base pour créer leur propre marque : Cagiva.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Duncancycle
Duncancycle

lundi 6 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PAS TOUJOURS FACILE DE SORTIR D'UNE BUGATTI ...N'EST-CE PAS DOMINIQUE ?


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS GILLET HERSTAL ...LES MOTOS DU TOUR DU MONDE !!

La dénomination sociale était la SA des Atéliers Gillet, Herstal . Les motos ont été produites de 1919 à 1958 . Gillet était une marque de moto belge qui fabriquait initialement des moteurs 350cc et 500cc avec son propre moteur et des moteurs MAG de 750cc et 1000cc . 
Le fondateur, Leon Gillet, était comptable et planifiait la production de motos avant la Première Guerre mondiale . Les premiers blocs Gillet ont été conçus par Fernand Laguesse à deux temps avec une cylindrée de 300 cm3. En 1920 a suivi un modèle 750cc, équipé d'un jumeau MAG- V . 

En 1922, un modèle 1000cc a été mis sur le marché. Dans l’intervalle, Laguesse a continué d’améliorer les moteurs à deux temps. Il est venu en 1922 avec un modèle 350cc à prise de force rotative . Après une tournée mondiale de Robert Sexé et Henry Andrieu en 1926 ce modèle s'appelait "Tour du Monde". 
Les deux motos étaient encore utilisés après ce tour de 25 000 km jusqu’à atteindre une position de km. 130 000 et 150 000 avaient atteint. Même pour les motos modernes à quatre temps , la durée de vie est considérable. Pourtant, Gillet avait apparemment davantage de confiance dans les moteurs à quatre temps : en 1926 , Armand Laguesse , frère de Fernand, fut employé à développer des moteurs à quatre temps. Il est immédiatement arrivé avec un très beau bloc de 500 cm3: le Gillet Super Sport. 
Fernand Laguesse a été licencié en 1927 pour avoir investi trop d'argent dans le développement d'un nouveau moteur à deux temps (voir: moteurs de course ). Il a créé sa propre marque ( Lamoco ). En 1927, Gillet Herstal racheta également la société française Ets. Gérkinet & Co à Jeumont , donc en France sous le nom de Géco-Herstalmotos et contourner les droits d'importation. Le Super Sport était disponible en tant que vélo de course et dans les années suivantes, une série de succès sportifs ont suivi, notamment divers records du monde et des victoires au Bol d'Or . 
 En 1928 , Marcel van Oirsbeek du FN est venu à Gillet. En 1929, il développa un magnifique moteur à quatre temps de 500 cm3 avec essieu central , basé sur le bras à quatre temps d'Armand Laguesse. Pourtant, des moteurs latéraux ont été produits dans les années suivantes , en particulier pour une utilisation latérale . En raison de grands succès sportifs, la demande de motos Gillet - jusqu'à la grande dépression - a énormément augmenté. 
Des batailles lumineuses sur Twitter ont à nouveau été organisées pendant les années de crise. Pendant la Seconde Guerre mondiale , Gillet a continué à produire des motos (contrairement au FN , par exemple ), mais à petite échelle. Après cela, les modèles d'avant-guerre sont revenus sur le marché. Après 1945 , une victoire parallèle à deux temps et à 720 cm3 a été construite . En 1951, Gillet avait encore une gamme de 18 (!) Modèles. Peut-être trop, car tous ces différents modèles (deux temps de 100, 125, 150 et 250 cm3, quatre temps de 250, 300, 350, 400 et 500 cm3, souvent dans les versions tête et côté ) étaient coûteux à développer et à produire. . Jusqu'en 1955, la ligne de modélisation a même été étendue. 
À partir de 1955 , toutefois, il s’est rapidement détérioré. En 1958 , la production de motos est terminée. À Saroléa , des motos Gillet ont été construites à partir du stock restant jusqu'en 1960 . À partir de 1955, l’industrie automobile belge s’est effondrée. Gillet a échangé des modèles avec FN et Saroléa . Il y avait aussi le français Bernardet - scooters , qui Gillet a été initialement seul concessionnaire, une amélioration en interne. Comme chez FN, les hybrides Gillet Royal Nord ont également été produits et arborent leur propre logo de réservoir. La propre ligne de modèle a été considérablement réduite. À propos, en 1931, Gillet avait déjà appliqué une forme inversée d’ingénierie des badges à Royal Nord . Les premiers motos de cette marque étaient des modèles Gillet portant un logo de réservoir différent. 
En 1921 , Jean Kicken remporte le Grand Prix de Belgique avec une machine à deux temps Gillet mise en scène. Fernand Laguesse a mis au point un moteur spécial de course à deux temps, le 2PO (2 Pistons Opposés). Il possédait un moteur à double piston fonctionnant selon le principe Junkers , avec deux pistons situés en vis -à- vis , mais un vilebrequin à trois vilebrequins: le troisième piston servait de compresseur (comparable aux coureurs beaucoup plus récents de DKW ). La machine était certes rapide, mais aussi extrêmement peu fiable. Pour Leon Gillet, ce projet coûteux fut la raison pour laquelle Laguesse fut renvoyé en 1927 ... 

De plus, il laissa la machine de René Milhoux.(pas le moindre dans l’histoire des moteurs belges). Marcel van Oirsbeek a développé en 1929 , basé sur le Super Sport d'Armand Laguesse, son king bass 500cc , à la fois rapide et fiable. Dès 1935, Gillet commença par développer une moto militaire. De ce lourd deux temps, l'armée belge a pris un certain nombre de machines en 1937 . À l'origine, la cylindrée était de 600 cm3, mais elle a été augmentée à 720 cm3 à la demande de l'armée. Ils étaient destinés à une utilisation en side-car, mais présentaient trop de maladies infantiles , en particulier de surchauffe. Les side-cars ont été construits selon les spécifications de l'armée. 
L' armée française a également commandé un certain nombre de ces machines, qui n'étaient pas prêtes à temps et sont donc tombées aux mains des Allemands ... En 1936, il y avait aussi une machine de l'armée dotée d'un moteur à soupapes en tête de 600 cm3développé. Celui-ci pourrait être équipé d'un side - car belge , ce qui permettait une traction intégrale commutable du side-car. L'inconvénient de la stabilité était le manque de plomb dans cette combinaison. En 1938 , la menace de guerre était suffisamment grande pour la production de l'AB 38 ( moteur latéral de 350 cm3 ) et de l'AB 38 (moteur latéral de 600 cm3). En 1951 , l'armée belge s'empare à nouveau d'un certain nombre de Gillets: les Estafettes, livrées en version à portes latérales de 500 cm3 et à volet avant de 400 cm3.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Saro lea

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES VENDANGES EN RENAULT PRAIRIE EN 1954 ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - AU NOM DE LA LOI MAIS AUSSI AU NOM DE LA MECANIQUE !!


 

mercredi 1 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND JEAN-PAUL ORGANISE UNE PARTIE BARBECUE .....


 

CLUB5A - CIRCUIT DE LEGENDE - LE CIRCUIT DE CHARADE A PLUS DE 60 ANS !!

Le circuit de Charade (initialement Circuit automobile de montagne d'Auvergne) est un circuit de sports mécaniques situé à Saint-Genès-Champanelle dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes (France). Ce circuit a autrefois accueilli des courses internationales telles que le Trophée d'Auvergne des voitures de sport puis le Grand Prix automobile de France sur son tracé sinueux et montagneux de 8 km. Aujourd'hui, il a été raccourci et n'accueille plus que quelques compétitions nationales. 
En 1953, l'Association Sportive de l'Automobile club d'Auvergne présidée par Jean Auchatraire envisage de créer un circuit automobile à Clermont-Ferrand pour fêter le cinquantenaire de la venue de la Coupe automobile Gordon Bennett en 1955. 
Comme de très nombreux circuits français encore à cette époque, il s'agit de trouver un ensemble de routes publiques aménageables pour créer une piste fermée lors des compétitions. Des travaux sont lancés dans le quartier d'Herbet mais, un mois avant la date de la première course prévue, la catastrophe du Mans aboutit à l'interdiction de créer des circuits en ville. 
La commission des circuits refuse le tracé clermontois. Encouragés par les instances sportives nationales, les organisateurs se mettent alors à la recherche d'un tracé alternatif et se tournent vers la création d'un circuit de montagne. Le pilote Louis Rosier trouve un potentiel tracé au sud-ouest de Clermont-Ferrand autour de deux volcans et délimité par les actuelles D767, D5F, D5. En visite sur le site, le directeur du circuit de Reims-Gueux, Raymond Roche n'est pas pleinement convaincu par ce tracé.
 En particulier, il apparaît difficile d'installer stands et paddocks sur des pentes relativement abruptes. Jean Auchataire propose alors d'étendre le tracé en passant par les villages de Thèdes et Manson mais, depuis la catastrophe des 24 heures du Mans 1955, un décret interdit la création d'un nouveau circuit en zone urbaine. L'attention soudain attirée par la qualité du tracé remontant du carrefour de Champeaux jusqu'à Thèdes, Raymond Roche trouve comme solution de construire une route spécifique reliant le tertre de Thèdes au hameau de Charade « et là, vous avez un circuit formidable. »
Les travaux débutent en mai 1957. 
Les routes existantes sont élargies et resurfacées, un talus de terre borde la piste le long des ravins. Des stands et une tour de contrôles provisoires sont édifiés, les bâtiments définitifs étannt installés en 1959. Les pentes des deux volcans servent de tribunes naturelles tout autour de la piste. Seule face aux stands est édifiée une tribune accueillant le public et la presse. Le circuit est inauguré le 27 juillet 1958 par le préfet du Puy de Dôme. Son tracé montagneux, très apprécié des pilotes, est composé à l'origine de cinquante-deux virages. Le départ « type Le Mans » de la première épreuve, les Trois Heures d'Auvergne pour voitures de sport, est donné sous les ordres de Raymond Roche. L'écossais Innes Ireland, au volant de sa légère Lotus MK XI 1958, s'impose après avoir parcouru 328,86 kilomètres. Les Trophées d'Auvergne vont alors accueillir annuellement et concomitamment des épreuves de SportsCars et de Formule 2.
 En 1958, Maurice Trintignant est le premier vainqueur en Formule 2 sur Cooper T43 - -Climax FPF du Rob Walker Racing Team. En 1959 toujours en Formule 2, Stirling Moss déclare « Charade est le plus beau circuit du monde ».
Source : France 3 Auvergne-Rhône-Alpes