lundi 3 juillet 2023

CLUB5A - SPORT AUTO - LES PILOTES DE LÉGENDE - Michael Schumacher - Le Baron Rouge !!

Michael Schumacher (prononcé en allemand [ˈmɪçaʔeːl ˈʃuːmaxɐ] Écouter), né le 3 janvier 1969 à Hürth-Hermülheim, près de Cologne en Allemagne, est un pilote automobile allemand, surnommé « Schumi » par ses fans ou parfois par les journalistes. Avec sept titres de champion du monde de Formule 1, 91 victoires en Grand Prix de Formule 1 et 68 pole positions, il possède le plus beau palmarès de ce sport. 
À ce jour, Michael Schumacher détient la plupart des records de la Formule 1 à l'exception des records de précocité. Après un apprentissage en karting, dans des formules monoplaces, ainsi que dans le championnat du monde des voitures de sport, Michael Schumacher commence sa carrière en Formule 1 lors de l'année 1991, en tant que remplaçant au pied levé de Bertrand Gachot, dans la jeune écurie Jordan, peu avant le Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps. 

Dès le Grand Prix suivant, il est recruté par l'écurie Benetton Formula, avec laquelle il conquiert ses deux premiers titres de champion du monde en 1994 et 1995. En 1996, il rejoint la Scuderia Ferrari qu'il contribue à relancer après une longue période d'insuccès, signant au volant des F1 de Maranello 72 de ses 91 victoires, lui apportant cinq titres mondiaux des pilotes consécutifs (de 2000 à 2004) et contribuant directement à l'obtention de six titres constructeurs ; il gagne ainsi le surnom de Baron rouge. 

À partir de 1997, il a comme adversaire en piste son frère Ralf, de six ans son cadet. Les deux frères n'ont jamais couru au sein de la même écurie. Ils constituent l'unique cas en Formule 1 de deux frères ayant gagné des Grands Prix. Il prend une première fois sa retraite à l'issue de la saison 2006. Son dernier Grand Prix, au Brésil le 22 octobre 2006, malgré une défaite au championnat du monde face à Fernando Alonso, est marqué par une spectaculaire remontée de la dernière à la quatrième place, ponctuée par une douzaine de dépassements, démontrant qu'il quitte la compétition en pleine possession de ses moyens. De 2007 à 2009, il officie toujours à la Scuderia comme consultant et il reprend parfois le volant dans le cadre d'essais privés. 
Après un retour avorté en août 2009 à la suite d'un accident de moto et des douleurs au cou, Schumacher est de retour en Formule 1 en 2010 chez Mercedes. Il y effectue trois saisons sans obtenir de nouvelle victoire. Le 4 octobre 2012, il annonce officiellement la fin de sa carrière en Formule 1 à l'âge de 43 ans. Le 29 décembre 2013, Michael Schumacher est victime d'un grave accident de ski à Méribel, en Savoie. Il souffre d'un traumatisme crânien avec coma qui nécessite une intervention neurochirurgicale immédiate ; son pronostic vital est engagé. Il sort du coma le 16 juin 2014 et quitte l'hôpital de Grenoble pour poursuivre une phase de réadaptation au Centre hospitalier universitaire vaudois de Lausanne jusqu'au 9 septembre où il est pris en charge à son domicile. 
On apprend en septembre 2016 qu'il ne peut pas marcher ni se tenir debout. 
Michael Schumacher est né le 3 janvier 1969 à Hürth-Hermülheim en Allemagne dans une famille modeste. Son père, Rolf Schumacher, est maçon. Alors que Michael a quatre ans, il adapte un petit moteur de moto à son kart à pédales. Michael passe son temps à rouler devant chez lui jusqu'au jour où il heurte un lampadaire. Rolf décide alors d'amener régulièrement son fils rouler sur la piste proche de Kerpen. Michael deviendra le plus jeune membre du club de karting de Kerpen-Horrem1. Rolf Schumacher construira le premier « vrai » kart de Michael à l'aide de pièces d'occasion et celui-ci gagne son premier championnat du club à l'âge de six ans. Pour permettre à son fils de courir, Rolf prend un deuxième emploi sur la piste, assurant la location et l'entretien des karts, son épouse Elisabeth travaille à la cafétéria du circuit. 
Michael, aidé financièrement par des sponsors locaux (deux amis de la famille, un marchand de moquettes et un fabricant de machines à sous), passe son temps sur le circuit avec son frère Ralf2. En 1983, il obtient sa licence de karting allemande (l'âge minimum requis étant 14 ans à l'époque) et remporte le championnat d'Allemagne junior en 1984 et 1985. En 1986, il finit troisième du championnat d'Europe de karting et en 1987 il remporte à la fois le championnat d'Allemagne et le championnat d'Europe. En 1988, il fait ses débuts en monoplace grâce au soutien financier d'un ami de la famille, Jurgen Dilk, et court en Formule Ford 1600 au sein de l'écurie Eufra. Seulement sixième du championnat d'Allemagne, il termine deuxième du championnat d'Europe derrière le Finlandais Mika Salo. 
Parallèlement, il participe au championnat d'Allemagne de Formule König qu'il remporte avec neuf victoires en dix courses. Repéré par l'ancien pilote Willi Weber, Schumacher obtient en fin d'année un test au volant d'une Formule 3 de l'écurie WTS (pour Weber Trella Stuttgart) et se montre immédiatement plus rapide que le titulaire Joachim Winkelhock. Séduit, Weber l'engage sans lui demander le moindre apport budgétaire. Avec trois victoires, il termine deuxième du championnat d'Allemagne de Formule 3 en 1989 (à égalité de points avec son compatriote Heinz-Harald Frentzen, mais derrière l'Autrichien Karl Wendlinger) et remporte le titre en 1990 avec cinq succès. 
Il s'impose également en fin de saison de manière controversée dans le prestigieux Grand Prix de Macao F3, son duel avec Mika Häkkinen s'étant soldé par un accrochage en fin de course dans lequel le Finlandais est éliminé. En parallèle de la Formule 3, Michael Schumacher est recruté en 1990 par l'écurie Sauber-Mercedes qui dispute le championnat du monde des voitures de sport. Aux côtés de stars établies de la discipline tels que Jean-Louis Schlesser, Jochen Mass et Mauro Baldi, Mercedes a en effet décidé de créer un « Junior Team » destiné à former de jeunes pilotes. Outre Michael Schumacher, Mercedes a recruté Heinz-Harald Frentzen et Karl Wendlinger. Les membres du Junior Team se relayent sur un prototype qu'ils partagent avec Jochen Mass. 
Schumacher dispute quatre courses où il finit deuxième à Dijon et au Nürburgring et remporte en fin d'année la manche de Mexico (le Trofeo Hermanos Rodriguez sur 480 kilomètres) grâce à la disqualification de la voiture sœur de Schlesser-Baldi. En 1991, Schumacher, qui a renoncé à tenter sa chance dans le championnat international de Formule 3000, pilote à temps plein pour Mercedes en championnat du monde des voitures de sport. Cette fois, il dispose d'un programme pour la saison complète au volant d'une voiture qu'il partage avec Karl Wendlinger. 
En raison de multiples casses mécaniques sur leur Sauber Mercedes C291, la saison des deux hommes s'avère décevante, une deuxième place à Silverstone constituant le meilleur résultat de l'équipage. Renforcés par Fritz Kreutzpointer, Wendlinger et Schumacher disputent également les 24 Heures du Mans sur la C11 à moteur turbo. Schumacher y brille en réalisant le meilleur tour en course mais à la suite d'une touchette de Wendlinger en début de course puis à des ennuis de boîte de vitesses (Schumacher admettra plus tard que son rythme en course ne correspondait pas à ce que doit être une épreuve d'endurance) l'équipage doit se contenter de la cinquième place finale. Bien que recruté en F1, Schumacher termine son programme de sports-prototypes et conclut même la présence de Mercedes en endurance par une victoire sur le circuit japonais d'Autopolis.
Source : Ma ChaîNe DocuMenTaires

vendredi 30 juin 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - DANS UNE "AMILCAR" QUAND ON EST HEUREUX UN JOUR ON EST HEUREUX POUR TOUJOURS...C'ETAIT LE CAS CE JOUR-LA POUR JEANINE ET MICHEL !!


 

CLUB5A- REVUE DE PRESSE - Artcurial disperse une collection d’Alfa Romeo au Mans Classic...

 

En marge de la rétrospective du Mans, vendredi 30 juin, la maison du Rond-Point des Champs-Elysées vend parmi sa sélection de GT une grande collection de la marque milanaise. Trois semaines après l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans qui a vu l’organisation, sous l’égide de la maison RM Sotheby’s, d’une vente aux enchères de voitures de course ayant participé à l’épreuve, c’est au tour de la maison française Artcurial de tenir le marteau dans le cadre du Mans Classic. Le catalogue est une nouvelle fois de qualité avec une sélection de GT des années cinquante, soixante et modernes ainsi que quelques voitures de course éligibles dans la rétrospective du Mans. 
C’est le cas de l’Aston Martin Ulster de 1934 (estimation de 1,1 à 1,3 million d’euros), de la Singer N1 ½ Litre qui a terminé à la 7e place des 24 Heures du Mans 1934 sous les couleurs de l’écurie Fox & Nicholl (estimation de 200 à 300 000 euros) ou de la Lotus Elite qui a couru l’édition 1961 des deux tours d’horloge sarthois sous la bannière de l’écurie Los Amigos (estimation 160 à 180 000 euros). La petite anglaise fut peu après modifiée par l’aérodynamicien Franck Costin. Comme toujours, le catalogue propose un bel échantillon de GT de Maranello mais c’est une autre marque italienne, Alfa Romeo en l’occurrence, qui retient l’attention. 
Artcurial disperse la collection d’un amateur dijonnais comprenant pas moins de 21 modèles représentant la crème de la production d’après-guerre. Commencée alors qu’il était étudiant, la collection de cet amateur éclairé des modèles sportifs de la firme d’Arèse compte quelques raretés comme une Berline 2000 de 1961, sa descendante de 1976 mais également une berline Alfetta 2 litres de 1979, une berline Alfa 6 Quadrifolio Oro de 1984. 
Les coupés sont particulièrement bien représentés avec une Giulia Sprint GT 1600 de 1966, des GTV des années 1980, une GTV de 1995 développée pour le marché italien avec son V6 2litres, une Montréal. Les fleurons de cette collection sont un coupé SZ conçu par Zagato au début des années 1990, une berlinette 4C de 2015, l’une des rares 8C Competizione de 2008 livrée en France - elle compte à peine 6 000 km - et la dernière série limitée de la marque, une berline GTAM (estimation 220 à 260 000 euros). Ce collector affiche seulement 76 km au compteur. Tous les lots de la collection Alfa Romeo sont dans un état irréprochable. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COCCINELLE ET HEINEKEN SONT COMPLEMENTAIRES !!


 

mercredi 28 juin 2023

CLUB5A - SORTIE MOTOS DU 25 JUIN 2023 ....DIRECTION LA CAPITALE DE LA BLANQUETTE : LIMOUX !

 

Une ambiance d’été au zénith, un tracé préparé par nos organisateurs et un régal de petites routes idéales pour des motos de collection…. 
Fidèle à sa réputation, Alain FUMANAL attendait cette bande de fanatiques de vieux deux roues ce dimanche 25 juin 2023 et c'est 28 participants qui ont répondu à l'appel..
-8H15, les premières motos arrivent, les unes après les autres, les habitués des sorties du dimanche matin sont là, fidèle au rendez-vous pour la plupart…
Belle affluence et jolie participation pour cette occasion. Un itinéraire sera remis à chacun contre une cotisation pour la participation du repas qui a été prévu au Restaurant « Les Platane »s à Carcassonne.
-Après un café pris au café du Dôme et quelques échanges près des motos..il y a toujours quelque chose à dire auprès de ces vénérables mécaniques…une anecdote, un conseil, une astuce liée à la mécanique, un commentaire, une blague et hop 9H …c’est le départ tout le monde en selle ! 
-Entrée en matière à travers des petites routes boisées, sinueuses avec des traversées de villages aussi pittoresques les uns que les autres,(Lavalette-Caillau-Limoux pour une petite pause café au camping rendez des mobs..) quelques arrêts afin d’effectuer des regroupements et de nous assurer que tout le monde est bien là ! Nos organisateurs sont très soucieux sur ce point et personne ne doit rester en arrière…… (Et comme s’exclame Bernard : le premier freine est un lâche !!...
Mais il ne tient que ces propos que quand nous sommes légèrement en retard sur le timing)… Pour terminer la boucle la »horde » à repris la direction de Carcassonne en passant par les localités de Polycarpe - Greifeuil - Floure -Leuc avec une arrivée en douceur au restaurant LES PLATANES à CARCASSONNE. Au risque de vous décevoir, rien à signaler concernant les motos et leurs pilotes…pas de pannes ni de chutes : R.A.S 
- Le ventre plein, il était temps en début d’après-midi de clôturer cette journée …
Merci à l’ensemble des organisateurs qui ont permis la réalisation de cette belle matinée.. 
Merci à tous pour votre participation et votre fidélité à ces sorties motos !!!! 
Texte :Bernard RICARD-Photos : Bruno BEGHIN

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - FOURGON HONNETE ET SOLIDE EPOUSERAIT POTEAU FIDELE SERIEUX AVEC UNE BONNE SITUATION !!


 

jeudi 22 juin 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - POUR QUE JEAN-PIERRE N'ENLEVE PAS LA CAPOTTE DE SA CARAVELLE C'EST QU'IL DEVAIT PLEUVOIR...


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GTE, la quatre places du Mans

 

La maison RM Sotheby’s vend le 9 juin au Mans la plus illustre des 250 GTE: la voiture de sécurité de l’édition 1963 des 24 Heures du Mans. Partenaire officiel de l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans, la maison RM Sotheby’s va disperser la veille du départ, le 9 juin, dans l’enceinte du circuit, une sélection de 21 véhicules qui se sont illustrés dans la Sarthe. La plus originale n’y a pas couru mais elle a occupé une place importante, sinon essentielle, dans l’histoire de l’épreuve sarthoise. Il s’agit du véhicule qui officiait comme voiture de sécurité lors de l’édition 1963 des 24 Heures du Mans remportée par une Ferrari 250 P. RM Sotheby’svend ainsi la Ferrari250 GTE que la Franco Britannic, l’importateur français de la marque italienne basé à Levallois-Perret, a fournie à l’Automobile Club de l’Ouest. La berlinette 2 + 2 avait été commandée à ce titre. 
Sortie de l’usine le 30 janvier 1963 dans un élégant bleu marine coordonné à un intérieur en cuir gris clair, la 250 GTE #4155 appartenant à la Série III avait été livrée à la Franco Britannic dans le courant du mois de février. Elle prend ensuite le chemin des ateliers Chapron pour y recevoir les modifications en vue du Mans, à savoir l’installation des porte-fanions, écussons, ceintures de sécurité et feu additionnel au centre de la calandre.
 À maintes reprises pendant les 24 Heures du Mans 1963, la 250 GTE allait prendre la piste. Notamment lors de l’accident de la René Bonnet de Roger Masson ou de celui qui coûte la vie à Christian «Bino» Heinz (Alpine M63). Elle était pilotée par Donald Sleator, l’un des patrons de la Franco-Britannic. Après son rôle au Mans, la berlinette 2 + 2 apparaît dans le film Pouic-Pouic avec Louis de Funès. Revenue du tournage, elle est ensuite remise en état et vendue à Guy Verrechia.
 Il la conserve que quelques mois avant de s’en séparer au profit de Charles Pozzi à cette époque concessionnaire Ferrari officiel. En mai 1965, la 250 GTE change encore de mains au profit d’un certain Pierre Foujean. En 1970, elle devient la propriété de Christian Fifis. À la suite de son décès au début des années 2010, la voiture est vendue. Depuis sa sortie de l’usine de Maranello en janvier 1963, la berlinette bleu marine n’a parcouru que 63 129 km comme attestent les documents et factures accompagnant le dossier de la vente. La vente du Mans est sans doute une occasion unique d’acquérir la plus célèbre des 250 GTE. Vendue sans prix de réserve, elle est estimée entre 550 000 et 650 000 euros. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - HUMOUR MOTO - TOUJOURS UTILISER LES VERITABLES COMPETENCES AFIN DE NETTOYER SA MOTO....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - IL ME SEMBLE QUE LE CHIEN EST LE MEILLEUR AMI DU MOTARD !!


 

mercredi 21 juin 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - SALUT LES FILLES !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des Ferrari suédoises au marteau...

 

Le 20 mai prochain, en marge du concours d’élégance de la Villa d’Este, RM Sotheby’s disperse une collection de douze Ferrari de premier plan. La roue tourne. Sous le sobriquet «Aurora Collection», la maison d’enchères RM Sotheby’s disperse le 20 mai, dans le cadre du concours d’élégance de la Villa d’Este, une collection de Ferrari provenant d’un collectionneur suédois. Homme de goût, cet amateur des machines de Maranello avait rassemblé douze modèles essentiellement de route. Le seul modèle de course est une barquette 500 TR de 1956, la 3e des 17 produites et répertoriée sous le numéro de châssis #0610 MDTR. Elle est estimée entre 4 et 4,5 millions d’euros. 
Son premier propriétaire est le prince italien Gaetano Starrabba di Giardinelli. Passionné de courses automobiles, ce gentleman driver prend part à moins de dix courses au volant de sa barquette rouge, terminant 3e en deux occasions. En 1957, la 500 TR prend le chemin de la Suède. Au début des années 1970, on la retrouve en France chez Marc Nicolosi, le fondateur du salon Rétromobile. Une autre Ferrari de la collection Aurora a séjourné en France. Il s’agit de la plus importante pièce de l’ensemble vendu par RM Sotheby’s: une 250 GT Passo Corto caisse acier. La berlinette est réputée pour être l’un des chefs-d’œuvre de la carrosserie italienne.
Dans un état remarquable, l’exemplaire de la vente est la 62e berlinette sur les 165 produites. Portant le numéro de châssis 2347 GT, cette 250 GT Passo Corto a été pendant une vingtaine d’années la propriété du Marseillais Jean-Claude Tripier. Entrée dans la collection suédoise en 2011, la berlinette sortie de l’usine en février 1961 est estimée entre 7,5 et 8,5 millions d’euros. Visiblement, ce collectionneur suédois a un faible pour la conduite cheveux au vent puisque sur les onze modèles de route, sept sont des décapotables. La collection comporte une rare 365 GTS/4 Daytona de 1973, la 113e des 122 fabriquées mais aussi une 275 GTS de 1965, une 250 GT Cabriolet Série II de 1961 et une 550 Barchetta de 2001. Le modèle le plus récent de cette collection est la barquettte Monza SP1 de 2019 appartenant à la nouvelle famille des modèles hors-série apparue en 2018. Le propriétaire actuel l’a acheté en septembre 2022. Le compteur n’indique que 26 kilomètres. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMBI VW A DEBROUSSAILLER ET A RESTAURER...AVIS AUX AMATEURS !!