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mardi 30 mai 2023
CLUBA5 - REVUE DE PRESSE - LE PAYS DE SAULT EN MOTOS ANCIENNES...
Source : l'indépendant-Jean Guy - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - les voitures d'interventions rapides historiques de la Gendarmerie....
S'agissant d'axes à haute vitesse, la Gendarmerie nationale dut s'équiper de véhicules assez performants pour suivre ou rattraper les contrevenants. C'est ainsi que naquit la BRI (Brigade d'Intervention Rapide) que l'on connaît aujourd'hui. Celle-ci s'est dotée de plusieurs voitures de sport remarquables en six décennies.
Ces voitures n'ont cessé de gagner en puissance au fur et à mesure du renouvellement du parc des véhicules d'intervention, leur permettant d'être toujours à un niveau correspondant à celui des usagers des autoroutes bien qu'il ne s'agisse évidemment pas de supercars.
Des Françaises, mais pas seulement La BRI commença fort, avec des sportives à moteur central-arrière ou arrière signées Matra et Alpine. Par la suite et jusqu'en 2006, la Gendarmerie s'est fournie chez différents constructeurs en restant fidèle aux marques françaises. Les autorités ont ensuite été voir ce qui se faisait ailleurs en matière de voitures de sport correspondant à leurs besoins.
Et elles ont jeté leur dévolu sur la Subaru Impreza WRX, offrant à cette légende du rallye une nouvelle livrée bleue iconique après celle de la compétition. Après un retour aux voitures françaises avec Renault, la Gendarmerie vient de se tourner de nouveau vers une firme étrangère en s'équipant de plusieurs Seat Leon Cupra.
Source : autoplus.fr-gabriel lothe
lundi 29 mai 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE TYPE H NEO-RÉTRO .....VOUS ALLEZ CRAQUER !!
LE TYPE H NÉO RÉTRO
VOUS AIMEZ CE KIT CARROSSERIE ?
Allez-vous craquer aussi ? FC Automobili est une société italienne qui commercialise ce kit de carrosserie qui s'adapte sur un Citroën Jumper et lui donne un look de Type H.
C’est l’histoire d’un van qui fleure bon l’Europe. Un van aménagé allemand produit par Pössl (le 2 Win Plus), sur porteur français conçu par Citroën (le Jumper), mais les deux se faisant ici voler la vedette par une société italienne, Caselani Automobili. Le carrossier transalpin est en effet à l’origine de ce remarquable habillage façon Type H. Du bellissimo néo rétro!
Rouler en van vintage, c’est toujours un vrai plaisir. On peut le faire à bord d’un bon vieux van des années 70, bien dans son jus, avec les sympathiques contraintes de l’époque (voir notre article), à savoir sans direction assistée, ni climatisation, un grand cerceau dans les mains en guise de volant, une bien déroutante souplesse du levier de vitesse, le ronflement caractéristique du moteur dans les oreilles… Mais on peut aussi rouler “façon” vintage, avec tout le confort d’un modèle bien actuel.
Un Jumper d’aujourd’hui
Pour ce qui est du confort de conduite, le néo-Type H de cet article est un Citroën Jumper doté du freinage ABS, du contrôle dynamique de trajectoire ESP, du double airbag, d’un régulateur de vitesse, et de la climatisation cabine. Ce même porteur aux chevrons étant aussi équipé de capteurs de pression des pneumatiques et animé par un diesel des plus musclés, 163 ch sous le capot ! Vintage tout ça ?
Pas vraiment, si ce n’est la robe du van qui l’exprime ostensiblement. Cet habillage spécifique du Jumper, on le doit à un spécialiste du genre, le carrossier italien Fabrizio Caselani et, plus précisément, à son unité de production Caselani Automobili.
Hommage au septuagénaire
En 2017 en collaboration avec le designer David Obendorfer, à qui l’on doit le joli coup de crayon du concept, la société transalpine a ainsi décidé de rendre hommage au Citroën Type H fêtant alors son 70e anniversaire. La camionnette légendaire, signée à l’origine par des parois en tôle ondulée, un haut museau plat et des chevrons hypertrophiés, a été dévoilée en 1947, produite jusqu’en 1981, et a visiblement laissé une belle source d’inspiration derrière elle.
Preuve en est cette version contemporaine, avec un kit de recarrossage 100 % italien venant faire oublier qu’en dessous, on trouve quand même un fourgon français tout ce qu’il y a de plus moderne, et un aménagement allemand tout ce qu’il y a de plus couru en Europe puisqu’il s’agit du Pössl 2 Win Plus, un des modèles phares de la marque.
“Capturer l’âme”, plutôt que copier
Sur son site web, le designer David Obendorfer, explique sa démarche: “Nous n’avions pas l’intention de copier les formes du modèle original, mais de capturer l’âme du véhicule emblématique, en le réinterprétant à travers un “costume“ nostalgique en fibre de verre, profondément enraciné dans le style contemporain.”
Et d’ajouter que cette version Type H 70e anniversaire “est une fusion de références directes au prédécesseur avec des solutions modernes, combinées à la fiabilité et au contenu technologique de la série actuelle du Citroën Jumper.”
Versions minibus et food-truck
Il faut être passionné pour concevoir un tel “revival”, et tout autant accro pour s’engager sur sa commercialisation, car, oui, la belle bête est à vendre. Caselani Automobili assure qu’il ne produira pas plus de 70 exemplaires de chaque version possible: il y a ce van aménagé camping-car dit “Wildcamp”, mais aussi le food-truck, le minibus à 9 places, ou encore le fourgon de livraison ou d’artisan.
Un kit en 70 éléments
Le kit de carrosserie façon Type H des années 40 et 50 se compose en gros de 70 pièces venant soit en remplacement de celles d’origine, à l’instar de toute la partie avant (capot, calandre, feux), soit en recouvrement de la caisse de base (flancs, portes, toit). L’ajustement est parfait.
Au roulage, aucun bruit parasite, aucune lourdeur ressentie. À l’usage, aucune contrainte particulière pour l’ouverture et la fermeture des ouvrants par exemple. On croirait ce Jumper Type H sorti directement de l’usine Citroën. Et si vous en voulez un…
Il vous plaît comme à nous?
N’imaginez pas le trouver partout. Nous l’avons déniché chez Arc en Ciel Camping-Car, à Guidel dans le Morbihan. Et l’on peut d’ailleurs vous dire que lors de nos principales prises de vues réalisées face à l’Atlantique, nous avons pu constater qu’il plaît à beaucoup de monde, ou a minima, interpelle par son look et les souvenirs qu’il évoque. “C’est le nouveau Citroën?“, “Oh, la, la, qu’est-ce que c’est joli“, “Moi qui suis fan de vieilles voitures“, ou encore, “C’est pour un tournage?“, attendez 2 minutes qu’on finisse les images d’ouverture, on va vous expliquer…
Ce “braquage à l’italienne” est donc d’autant plus réussi que les automobilistes qui nous ont demandé de nous arrêter sur la route pour nous poser des questions (si, si), et autres promeneurs qui ont stoppé leur marche devant ce chic Type, ont bien eu du mal à imaginer qu’il y a un Citroën Jumper actuel sous la carrosserie, ou encore un aménagement complet à bord. À défaut de pouvoir retirer le kit d’habillage pour démontrer la première affirmation, nous n’avons évidemment pas manqué d’ouvrir la porte latérale pour prouver la seconde. Capital sympathie au maxi, le vintage ça dépasse les modes.
Source : David Obendorfer-vanlifemag.fr/
dimanche 28 mai 2023
samedi 27 mai 2023
vendredi 26 mai 2023
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Chez Maï... un lieu convivial qui fait vivre Serviès-en-Val....
Gérante du lieu depuis 16 mois, elle y promène sa bonne humeur et son inlassable énergie. En cuisine, Maï est speed, mais c’est sa façon de vivre. Autrefois, Michel Delpech chantait Chez Laurette, aujourd’hui c’est chez Maï que l’on se retrouve pour y passer du bon temps.
Tout le monde vient s’y attabler pour se raconter et écouter des histoires des autres. On y trouve les pince-sans-rire, les ronchons, les garçons, les filles du territoire forcément. Les sourires épanouis en disent long sur l’ambiance qui y règne. À côté des motards qui s’accordaient une pause méritée, on trouve les habitués du lieu qui viennent boire le café, une bière, lire le journal, manger.
Si l’on prête l’oreille, on entend parler anglais, flamand, français, portugais et allez savoir tout le monde se comprend dans la bonne humeur.
Chez Maï, comme l’appellent gentiment les consommateurs, on se sent comme à la maison. C’est aussi le rendez-vous de celles et ceux qui y apprécient une cuisine généreuse et familiale. Voilà donc un lieu qui prédispose les uns et les autres de retrouver les bonheurs simples et précieux qui font vivre le village.
Source : lindependant.fr/
CLUB5A - REPORTAGE AUTO- Une Ferrari sortie de grange en vente.......
Une Ferrari 330 GT remisée dans la grange d’un village du Sud-Ouest depuis 40 ans.
C’est le Graal de tous les collectionneurs: dénicher une voiture oubliée que l’on surnomme affectueusement «sortie de grange». La vente Baillon a montré que des amateurs étaient prêts à payer une surprime pour ces voitures souvent enveloppées de mystère. Un collectionneur grec n’avait pas hésité à débourser 16,3 millions d’euros avec les frais pour la Ferrari 250 GT Spyder California ayant appartenu à Alain Delon. L’enthousiasme autour de ces belles endormies s’accompagne à chaque fois de récits dignes d’un roman.
La Ferrari 330 GT de 1966 n’y échappe pas. Cette berlinette 2 + 2 somnolait depuis 40 ans dans la grange d’un village de la région de Montpellier. Le septuagénaire veut se séparer de sa Ferrari bleue. Portant le numéro de châssis 8535, la 330 GT a été mise en circulation le 27 octobre 1966 par la Franco-Britannic, l’importateur exclusif du constructeur italien en France à cette époque.
Son premier propriétaire ne la conserve qu’un an. En juillet 1967, elle entre dans la seule famille qu’elle connaîtra jusqu’à aujourd’hui. Son nouveau propriétaire est un esthète. Marchand aux puces de Saint-Ouen, il utilise la Ferrari pour son usage quotidien mais aussi pour les vacances en famille, notamment aux sports d’hiver.
Les conséquences de la crise pétrolière vont cependant amener son propriétaire à renoncer à sa Ferrari. Excédé d’avoir été piégé par les radars qui fleurissent au bord des routes avec les premières limitations de vitesse, l’homme remise la 330 GT dans sa propriété du sud-ouest de la France.
Quelques années plus tard, lorsqu’il émet le souhait de se séparer de la Ferrari, ses enfants l’en dissuadent, estimant que la voiture fait partie de l’histoire familiale. Il a alors l’idée de la céder à l’un de ses deux enfants à l’issue d’un tirage à la courte paille. Le garçon, qui en hérite au détriment de sa sœur, ne s’en servira jamais.
Et c’est ainsi que la berlinette bleue poursuivit son sommeil jusqu’à aujourd’hui. Complète, la Ferrari a parcouru moins de 40 000 km depuis sa sortie d’usine. Son V12 4 litres Colombo n’est pas bloqué. Portant la patine des voitures remisées dans une grange depuis quatre décennies, la Ferrari méritera une sérieuse remise en état.
Source : Eric Plante
jeudi 25 mai 2023
mercredi 24 mai 2023
mardi 23 mai 2023
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA SKODA RAPID ...LA POPULAIRE !!
Il y avait un modèle sœur à six cylindres, la Škoda Rapid Six (Type 910), avec un moteur de 1 961 cm3, qui a été lancé en 1935.
En 1984, Škoda a relancé le nom "Rapid" pour la version Rapide de la Škoda 130 . 
Depuis 2010, la société a utilisé le nom sur une succession de modèles construits dans son usine de Pune en Inde.
Dans les années 1930, Škoda a présenté une nouvelle gamme de voitures avec un châssis central et une suspension indépendante polyvalente . La conception de la colonne vertébrale visait à résoudre le manque de rigidité en torsion dans le cadre en échelle des modèles précédents. Le châssis a été développé sous la direction de l'ingénieur en chef Vladimír Matouš et dérivé de celui conçu par Hans Ledwinka pour Tatra .Les premiers modèles de la nouvelle gamme furent la voiture compacte Popular en 1934, suivie de la voiture pleine grandeur Superb . Le Rapid de milieu de gamme a été ajouté en 1935. Il a été suivi par le Favorit en 1936.
Le Rapid Type 901 (plus tard Type 914) avait un moteur à soupapes latérales à quatre cylindres de 1 386 cm3, 31 chevaux (23 kW) et des freins ATE- Lockheed .
Il avait une vitesse de pointe de 100 km/h (62 mph) et sa consommation de carburant se situait entre neuf et 10 litres aux 100 km. Le choix de carrosseries proposé comprenait une berline deux portes, une berline quatre portes et un cabriolet deux portes quatre places. Il y avait aussi une version fourgon commerciale
Škoda a révisé le moteur et en 1938 a lancé le Type 922, qu'il a commercialisé sous le nom de Rapid OHV. Il avait agrandi le moteur à 1 558 cm3 et lui avait donné des soupapes en tête, ce qui augmentait la puissance à 42 chevaux (31 kW) et la vitesse de pointe à 100 km/h (62 mph). La consommation de carburant du nouveau modèle était de 10 litres aux 100 km. Le choix des carrosseries comprenait des berlines à deux et quatre portes.
1940 Rapid OHV berline deux portes avec carrosserie aérodynamique
En 1938, Škoda a lancé une version simplifiée de la Rapid OHV de 1 558 cm3 avec une nouvelle carrosserie aérodynamique de berline à deux portes. Il ressemble fortement à la carrosserie profilée à quatre portes que Škoda a construite pour ses prototypes Type 935 en 1935–38-
Source : MrSuperCar-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
MrSuperCar
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