mercredi 17 mai 2023
mardi 16 mai 2023
CLUB5A - SORTIE MOTOS - RANDONNEE DU PAYS DE SAULT....C'ETAIT LE 14 MAI 2023 !
Pour ce 14 mai, les motards du Club des 5A ont pris la direction du pays de Sault pour une nouvelle édition. Début de la matinée au café du Dôme où, fidèles au poste, Alain, Régis et Bernard accueillaient les participants et prenaient les engagements. A 9 heures, le départ était donné aux 25 motards inscrits, et c'est Bernard qui ouvrait la route Christophe fermait la « marche » avec la voiture balaie…
C'est sous un ciel gris et un temps particulièrement frais pour la saison que les motos se sont élancées, traversant notamment Corneze, Pomas, Limoux et avant d'arriver à Bouriège pour une pause petit-déjeuner.
Les petits gâteaux et le café ont réchauffé les pilotes frigorifiés. Après cette halte, les motocyclistes ont repris la route, passant par PUIVERT avant de rejoindre le Col de Festes par une très belle route.
Arrivé à PUIVERT vers 11h le temps s'est dégagé pour faire apparaitre un soleil timide….
Enfin c’était l’arrivée à ROQUEFEUIL à l’auberge de LA SCIERIE.
Toute la troupe prenait alors place pour déguster un très bon repas qui a permis de réchauffer les corps plus que les esprits…
Ce menu (25€) roboratif était parfaitement adapté à la météo. Après le café, c'était déjà l'heure de repartir vers CARCASSONNE.
Itinéraire de retour par les localités de Esperaza, Roquetaillade, Limoux , St Hilaire, Leuc pour poursuivre la route en direction de CARCASSONNE sous un orage qui a poursuivi la « meute » de motards jusqu’à la Barbacane…
En bref une sortie bien organisée, qui s'est déroulée dans une bonne ambiance et qui, malgré un temps « moyen » a connu une belle affluence….
Merci aux 7 motards du "Roussillon" et "Toulousains" de nous avoir rejoints à l’Auberge de la Scierie à Roquefeuil ainsi qu’à Christophe ROBERT pour avoir effectué la « voiture balaie ».
A bientôt pour de nouvelles aventures…à motos….
Texte : Bernard RICARD -Photos : Bruno BEGHIN / Gérard RAYNAUD
*************************************
« A tous les motards qui ont bravé les conditions climatiques annoncées….
Vous espère bien rentrés.. les catalans, toulousains, habitants du minervois… et carcassonnais…
Merci encore de votre participation »…
belle journée..
Per molts anys…i Que vagi be per vosaltres…
(traduction littérale : pour de nombreuses années …et que ça aille bien pour vous tous…)
Amitiés
Régis Alain Bernard
lundi 15 mai 2023
dimanche 14 mai 2023
samedi 13 mai 2023
vendredi 12 mai 2023
jeudi 11 mai 2023
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - «Les amateurs de voitures de collection achètent une histoire»......
L’engouement pour les voitures anciennes ne connaît pas la crise, selon le directeur du département Motorcars, qui fête ses dix ans.
Matthieu Lamoure, le directeur du département Motorcars, dénote dans l’univers empesé des maisons d’enchères. Pendant que le monde était confiné, tous les jours de la semaine, blouson de cuir, jeans et baskets, sous le titre espiègle «Quand on a que Lamoure», il a animé un Facebook live autour de la passion de la voiture ancienne. «Cela m’a demandé un sacré travail de préparation», assure ce fin connaisseur des codes de la communication et du marketing. Mais le succès est à ce prix.
«La visibilité est l’une des clés de la réussite. La communication est un prérequis, mais cela ne suffit pas: «Il faut des résultats.»
Face aux mastodontes que sont les maisons anglo-saxonnes Motorcars n’a pas à rougir. En à peine dix ans, depuis que le commissaire-priseur Hervé Poulain leur a confié les clés du département, Matthieu Lamoure, accompagné de Pierre Novikoff, a vendu 4 200 véhicules de collection pour un montant total de 460 millions d’euros.
L’enchère la plus élevée revient à la Ferrari 335 S, une barquette de course de 1957: 32,1 millions avec les frais. Certes, la nouvelle équipe développée autour d’une entité rebaptisée «Motorcars» a profité de la succession de nombre de collections de premier plan et de la décision de certains collectionneurs de la première heure de mettre en ordre leur patrimoine, mais le binôme de choc veut y voir la reconnaissance de leurs particularités.
L’enchère la plus élevée revient à la Ferrari 335 S, une barquette de course de 1957: 32,1 millions avec les frais. Certes, la nouvelle équipe développée autour d’une entité rebaptisée «Motorcars» a profité de la succession de nombre de collections de premier plan et de la décision de certains collectionneurs de la première heure de mettre en ordre leur patrimoine, mais le binôme de choc veut y voir la reconnaissance de leurs particularités.
«Nous sommes reconnus pour véhiculer une ambiance familiale et festive et pour sortir des voitures d’origine oubliées et souvent de première main», explique-t-il.
Ces qualités atteignent leur paroxysme avec la vente Baillon organisée à Rétromobile.
«Cette vente a eu un retentissement planétaire. Elle a alimenté tous les fantasmes, offrant un nouveau regard sur la voiture de collection», assure Matthieu.
Ce jour-là, Me Poulain avait enfilé les gants blancs, synonyme de grand chelem, et une nouvelle génération de collectionneurs avait éclos. Des amateurs toujours mieux informés et attentifs à ce qu’ils achètent. Des passionnés qui veulent se faire plaisir. Ce qui fait dire à Matthieu Lamoure que «le marché n’a pas baissé. Il est très logique. On est toujours prêt à payer le prix pour une très belle voiture et pour une histoire limpide.» Un regret toutefois: «On n’arrive pas à retenir les très grosses pièces chez nous.»
Source : lefigaro.fr-Alain Boisvert
Source : lefigaro.fr-Alain Boisvert
Alain Boisvert
mercredi 10 mai 2023
mardi 9 mai 2023
lundi 8 mai 2023
CLUB5A - LE DESSIN DU JOUR - LE PROTOTYPE "F"...C'ETAIT AU DEBUT DES ANNEES 60...
De Bertoni à Opron.
Ce prototype « F » est l’embryon de la voiture de moyenne gamme selon Citroën étudié des le début des années 60. Bien entendu le bureau d’étude avait de grandes ambitions pour ce modèle, trop sans doute. Moteur à plat et moteur rotatif, suspension hydraulique, hayon, nouvelle technique d’emboutissage et enfin style original. Le projet « F » fut le dernier prototype sur lequel travailla Flaminio Bertoni. La face avant étaient très réussi selon Robert Opron lui même.
Finalement le projet fut abandonné début 1967 pour lancer en hâte le projet « G » qui deviendra notre GS.
En attendant la concurrence avait bien avancé dans cette catégorie, Peugeot avec sa 204 en 1965 puis Simca avec la 1100 en 1967. L’abandon de la « F » coûtera très cher à Citroën.
Malgré tout la GS sera un succès, et restera le milieu de gamme français le plus abouti de la décennie 70 en terme de tenue de route et de confort.
Sources : » les secrets du bureau d’étude Citroën I&II », Brioult, « 60 ans de style » Guyot & Bonnaud)-François Roussel
Inscription à :
Articles (Atom)