ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
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LA MODE DU TUNING En France, il est vrai que le tuning commence un peu à être passé de mode, cela vient principalement du fait que le gens trouve cela ridicule (et ils n'ont pas vraiment tort) surtout quand il s'agit de transformer des voitures de "collection" ce qui à la sortie n'a plus rien à voir avec la version originale...Mais pour les fanas du tuning c'est bien cela le but !
Toutefois, dans les pays étranger, le nombre de voiture tuning que l'on peut croiser et plus qu'impressionnant et lorsqu'on en louperait une, et bien, les conducteurs te font claquer le rupteur ! Ca en devient fatiguant mais ils en sont vraiment fana ! ...Toute les modes passent....celle-ci n'y échappera pas !!
Une patrouille de gendarmes du peloton motorisé de Tarbes circule sur l'autoroute A64, dans le sens Toulouse-Bayonne. À hauteur de Tournay (65), les gendarmes motocyclistes constatent qu'un véhicule de collection, une Citroën DS, circule à faible allure (environ 40 km/h) en direction de Tarbes.
Ce véhicule de la fin des années 60 circule en fait à moitié sur la voie lente et à moitié sur la bande d'arrêt d'urgence, ce qui n'est pas sans intriguer les gendarmes. Et pour cause, après contrôle le véhicule s'avère dépourvu de roue arrière droite et poursuit sa route tranquillement sur trois roues.
Selon les éléments obtenus lors du contrôle, il circulait dans cet état depuis plusieurs kilomètres après la sortie Capvern (65) et ne souhaitait pas appeler de dépanneur... le véhicule étant manifestement en mesure de rouler...
Le véhicule a été immobilisé et son conducteur verbalisé pour circulation d'un véhicule sans pneumatique.
Le conducteur: "Rien ne l'interdit"
Le conducteur de la voiture a tenu à préciser certains points: "Je n’aurais pas roulé sur trois roues si la roue de secours était en état de rouler.
En effet, je suis rentré de Toulouse avec le véhicule, et j’ai crevé une première fois au niveau de l’aire du Comminges (31), puis une deuxième fois dans la descente de la rampe de Capvern.
Je réside à Tournay donc en effet je ne comptais pas appeler une dépanneuse pour moins de 10km alors que la voiture en est capable et qu’absolument rien ne l’interdit.
- Il y a quelques années, Héctor Argiró a quitté Ushuaia avec le rêve d'atteindre l'Alaska dans sa voiture. Il est passé par Neuquén, Zapala, Las Lajas et a continué son chemin vers le Chili dans son coupé Torino blanc, modèle 1969, et a finalement atteint sa destination.
De Toronto, au Canada, l'homme a donné des détails sur la façon dont le voyage s'est déroulé, rempli de lieux, d'anecdotes et de rêves.
Alors qu'il n'était qu'un enfant à Tucumán, son grand-père a accéléré un Torino qui l'a amené à faire ce voyage de près de 80 mille kilomètres à travers 20 pays. Il y a d'abord eu plusieurs années de restauration et de mise au point du véhicule, puis le voyage et la recherche à chaque endroit de personnes qui l'ont soutenu pour continuer.
Hector ne peut ignorer l'émotion de cette voiture fabriquée en Argentine et qui éveille de multiples souvenirs. El Torino est votre mobil-home: vous voyagez, mangez, dormez et transportez également des marchandises à vendre dans tous les endroits que vous visitez et ainsi pouvoir financer la traversée.
"Les habitants de l'Alaska sont très similaires à ceux de la Patagonie", a-t-il commenté en particulier "parce qu'il y a beaucoup d'habitants venus d'autres endroits et en raison de la solidarité qu'ils expriment sur la route et dans les endroits où je me trouvais", a-t-il déclaré à AM 550.
La Primera.
Argiró est un cartographe Tucuman de 43 ans, qui a déclaré: "Je veux que la voiture revienne en Argentine, à un moment donné, mais pour l'instant l'idée est de voir si je continue de relever le défi de faire le tour du monde."
A travers "El mundo en Torino", le nom qui convoque sur tous les réseaux sociaux, a publié des photos et des vidéos pour connaître les détails du voyage. Source : Sergio Sarachu - elfueguino.com.ar/
Pour célébrer les 120 ans du Mondial de l'Auto, 200 véhicules anciens ont défilé dans Paris. Citroën Torpedo C4 de 1919, Ford Mustang, Renault Dauphine, DS coupé cabriolet... toutes étaient rassemblées place de la Concorde avant le départ.
Source : LA PARISIEN - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
Après nos trois jours en mai 2024 en Camargue.. Régis, cette année, nous avait concocté une sortie dans une des plus belles régions de France, j’ai nommé le Quercy et le Périgord.
Mais pas n’importe comment, car pour organiser une sortie de trois jours, cela demande une certaine préparation et pas mal d’expérience….et là, ces trois critères ont été à la hauteur de nos espérances.
Comme les autres années, c’est notre président qui s’y est collé avec le soutien actif de sa compagne Véronique ! (Merci à tous les deux..)
56 participants et 30 véhicules, le road book en main (Bravo pour la rédaction du road book)
Samedi 18 Mai à 8h
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Dès le samedi matin sous une pluie battante (il fallait bien arroser l’évènement..), Régis et Véronique étaient aux validations des inscriptions.
Dès l’arrivée de l’intégralité de nos participants, nous voilà partis en direction de Lavaur pour la pause déjeuner chez un ami collectionneur Mr Bernard Pujol (et quelle collection avec des machines superbes et surprenantes) avec, par la suite, un passage sur la localité de Montmirail et une étape dans le joli village de Puycelsi...
Le déjeuner pris en commun à « La ferme des Chênes » au cœur de la forêt de la Grézigne, le repas fut très sympathique et excellent avec une cuisine « maison » et à la clé une explication de la « patronne » à chaque plat..
Suite à cette pause, il fallait reprendre la route sans plus attendre en direction du château de Bruniquel, St Antonin de Noble Vals, Caylus (visite étape), Cajarc (sans passer par le camping cher à notre regretté Coluche) pour terminer en fin d’après-midi au Brit Hôtel de Figeac (3 étoiles) où nous allions établir notre camp de base !.
Le séjour dans cet hôtel fut très agréable avec un service de restauration efficace et excellent durant tout le séjour et une literie superbement confortable.
- Dimanche 19 Mai
Départ de l'hôtel 8h00 – Après un passage par le village de Cardaillac (classé parmi les plus beaux villages de France, dans une région naturelle et verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.) Nous arrivions au gouffre de Padirac afin d’effectuer la visite du site.( Ce site est situé dans le nord du département du Lot, en région Occitanie.
Il est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.)
Après une descente dans les entrailles de terre, la matinée se poursuivait par la découverte de Rocamadour avec une visite en petit train. (Rocamadour est un petit village en bord de falaise, au sud du centre de la France). Il est connu pour son complexe d'édifices religieux accessible par le grand escalier.
Parmi ces bâtiments se trouvent la chapelle Notre-Dame, avec sa statue de la Vierge Noire, et la basilique Saint-Sauveur, d'architecture romane-gothique.)
13h-13h30- Le repas pour l’ensemble du groupe était prévu au « Paddock 135 » à Vezac dans un cadre géré par des passionnés de véhicules anciens et de bonne cuisine régionale !
L'après midi était organisé un passage par le château des Milandes (Château du XVe siècle, jadis demeure de Joséphine Baker, avec des expositions retraçant sa vie) et la visite du musée de "La Rue du temps qui passe"(Dans ce musée, nous pouvions remonter dans le passé, le temps d’une promenade dans des rues commerçantes du début du siècle dernier.
Le temps où l’électricité et l’eau courante ne faisaient pas partie du quotidien avec, pour agrémenté cette visite quelques énigmes afin d’affut er nos sens de l’observation et qui donnait droit au diplôme du certificat d’étude..).
Nous poursuivons notre itinéraire avec une traversée de Beynac et Cazenac, pour terminer notre programme de la journée à la biscuiterie « Lou Cocal » à Sarlat pour une visite très intéressante et gourmande de produit artisanal pour terminer la journée sur un retour à Figeac.
- Lundi 20 Mai
Départ de l'hôtel 8h30 sous un déluge de pluie, avec en point de mire la visite de l'Abbaye de Beaulieu,( L'abbaye Notre-Dame de Beaulieu-en-Rouergue est une ancienne abbaye cistercienne fondée en 1144 et qui est aujourd'hui un centre d'art contemporain. Elle est située dans la commune de Ginals dans le nord-est du département de Tarn-et-Garonne à la limite des départements du Tarn et de l'Aveyron.)
Nous avons découvert la destinée particulière de cette abbaye cistercienne, nichée au fond d'une petite vallée, et qui est devenue l’écrin d’une collection d’art !
A la suite de cette visite, nous nous sommes dirigés en direction du restaurant « L'impérial » pour le repas du midi et de clôture.
L’itinéraire du retour nous faisait prendre la direction de Lautrec, Arfons et arrivée à Carcassonne ainsi que dans nos localités respectives….
Cet itinéraire en direction du Quercy et Périgord fut très agréable et instructif (malgré une météo humide..Mais on ne peut pas tout maitriser..)
En règle générale, les routes du sud-ouest de la France sont plaisantes et roulantes avec des paysages magnifiques et une cuisine excellente, enfin, cet avis n’engage que moi…mais je crois que beaucoup le partageront…
Il fallait se quitter et chacun reprendre la route de son choix pour le retour, bien sûr en fonction de son domicile, et ce fut chose faite en nous promettant de recommencer dès l’année prochaine pour un grand weekend..(Nous ne connaissons pas encore la destination pour 2025…)
D’un avis général de nos participants, il est incontestable que nous avons passé un EXCELLENT weekend avec une organisation quasi parfaite !
Merci à toutes et à tous pour votre bonne humeur, la convivialité de l’ensemble et la solidarité du groupe, bravo à Régis et Véronique, nos maitres d’œuvre pour ce weekend organisé à la perfection, merci aussi à Patrick Cilia pour l’assistance mécanique qui nous a été très précieuse.
(Quelques problèmes électriques sur deux voitures et une boite de vitesse H.S sur une 2CV sur le retour dans la localité de Gaillac)
A l'année prochaine pour de nouvelles aventures de trois jours !
Texte : PL-Photos : Famille Raynaud –PL-Camille-Jeanine-Régis P.- Klaas et son épouse…..
Avec une enchère de 3,74 millions de dollars, le modèle que l’acteur Américain conduit dans Bullit devient la Mustang la plus chère du monde. C’est un scénario auquel personne ne s’attendait. Toutes les Ford Mustang ne se valent pas. Lors de la vente aux enchères que la maison américaine Mecum vient d’organiser à Kissimmee en Floride, un modèle fast-back 390 CI de 1968 s’est vendu plus de cinquante-trois fois sa cote! Si ce coupé américain a enflammé les enchères, c’est parce qu’il s’agit de l’un des deux véhicules que Steve McQueen fait rugir dans les rues de San Francisco pour le film Bullitt.
La preuve de l’aura du «King of Cool», Mecum a adjugé le coupé vert (Highland green) la coquette somme de $3.740.000 avec les frais. Ce n’est pas la première fois que McQueen fait tourner les têtes. Il y a quelques années, la Porsche 911 qu’il conduisait dans le film Le Mans avait explosé les compteurs en étant adjugé 1,25 millions de dollars dans une vente aux enchères de Pebble Beach. Avec la Mustang, l’histoire se reproduit.
Il faut dire que le coupé de la vente était le plus illustre de ceux utilisés par la société de production Warner Bros. Il s’agit de la voiture que Steve McQueen a conduit le plus souvent lors du tournage de la scène de course-poursuite avec la Dodge Charger qui dure 10 minutes.
Cette scène restée dans toutes les mémoires a influencé l’univers du cinéma.
Le précédent record de 2,2 millions de dollars réalisé par Mecum l’an dernier pour une Ford Mustang Shelby GT500 de 1967 est donc pulvérisé.
Reste que débourser plus de 3,7 millions de dollars pour ce coupé arborant la patine du temps n’a pas fini d’alimenter les conversations. Après le tournage de Bullitt, le coupé vert avait été cédé à Robert Ross, un salarié de la Warner Bros. En 1970, la voiture passait entre les mains du détective Frank Marranca.eur américain conduit dans Bullitt devient la Mustang la plus chère au monde.
Dans le numéro d’octobre 1974 de Road & Track, ce dernier publiait une annonce en vue de sa vente. Elle était rédigée très simplement: «1968, Mustang «Bullitt» conduite par McQueen dans le film.
Documents disponibles. Faire offre.» Robert Kiernan de Madison dans le New Jersey s’en portait acquéreur contre la somme de $3.400 selon les dires de son fils. Tombé amoureux de sa Mustang, Robert Kiernan refuse toutes les offres, même celle de Steve McQueen qui veut racheter sa voiture.
La Mustang devient la voiture de la famille Kiernan et la femme de Robert l’utilise quotidiennement pour aller travailler. Alors qu’elle a peine 65 000 miles au compteur, la Ford aurait été remisée en 1980 après la rupture de l’embrayage.
Après plusieurs déménagements, les Kiernan s’installent dans une ferme à Nashville. La Mustang «Bullitt» rejoint l’une des granges. En 2001, avec le concours de son fils Sean, Robert décide d’entamer sa restauration mais les médecins décèlent qu’il est atteint de la maladie de Parkinson. Après son décès en 2014, Sean s’attelle à finaliser la remise en route du bolide mais ne touche pas à la carrosserie. L‘histoire de la plus emblématique des Mustang est désormais prête à s’écrire chez un nouvel amateur. Source : lefigaro.fr - .Movieclips
Tour de France 1971. Sur la route de Superbagnères le 13 juillet, avec Jacques Laviron, caméra Sony, à l'épaule . Plan de la R16, publié par un de nos amis sur la R16 spécialement équipé pour le Paris-Nice de la même année.
Volkswagen a imaginé un concept de station mobile pour faciliter la recharge des batteries dans les parkings souterrains. C’est l’un des freins au développement des véhicules électriques: recharger la batterie dans un parking souterrain. Au sein d’une copropriété, le coût d’installation d’une borne individuelle est parfois si élevé qu’il dissuade de rouler en électrique. Le droit à la prise n’est pas non plus toujours respecté. Et dans les parkings publics, les véhicules électriques accaparent les places dédiées à la recharge plus que ce qu’ils devraient.
Pour pallier ces désagréments, Volkswagen a imaginé un concept ingénieux où le système de recharge se déplacerait jusqu’à la voiture et non l’inverse. Les conducteurs pourraient ainsi se garer dans n’importe quel emplacement disponible, sans se préoccuper de savoir si une station de recharge est libre ou non. C’est un changement d’approche qui pourrait résoudre une bonne partie des obstacles à l’essor de la voiture à batterie. Le principe sur lequel travaille le constructeur allemand est d’installer dans les parkings des bornes mobiles pouvant stocker jusqu’à 25 kWh d’énergie.
Dénommées boîtes-wagons, ces bornes seraient remorquées jusqu’à la voiture automatiquement via un robot autonome.
Ce dernier pourrait déplacer plusieurs wagons en même temps. L’ouverture du volet de la prise et le branchement s’effectuent sans aucune intervention humaine. On imagine toutefois que l’utilisateur du véhicule pourra vérifier sur une application que le branchement a réussi et que le processus de recharge de la batterie est engagé. Durant la période de charge, le robot repart s’occuper d’autres véhicules. Il revient chercher la station mobile lorsque l’opération est terminée puis la ramène à sa station d’accueil pour qu’elle se recharge à son tour. Volkswagen compte beaucoup sur ce système pour développer le véhicule à batterie.
«Avec ce système, il sera possible d’électrifier pratiquement tous les parkings sans utiliser d’infrastructures complexes», assure Mark Moller, directeur du développement chez VW Group Components.
Et de poursuivre: «cette approche offre un potentiel économique énorme. L’utilisation des robots permet de réduire considérablement les travaux de construction et les coûts d’assemblage de l’infrastructure de charge.» Ce système est en cours de mise au point avec des prototypes de développement. Il pourrait offrir une charge rapide en courant continu allant jusqu’à 50 kW.
SOURCE : lefigaro.fr -
Sous la présidence de Pierre Dreyfus (nommé en 1955), Renault prend un nouvel élan pour devenir l'une des plus grandes entreprises françaises. L'internationalisation se poursuit : Renault s'appuie sur des partenariats locaux et s'intéresse aux pays émergents.
La 4 CV tire sa révérence en 1961. La relève est assurée par la célèbre Renault 4. Au fil des années, de nouveaux modèles emblématiques voient le jour : Renault 8, Renault 12, Renault 16, Alpine A110...