dimanche 12 janvier 2025

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CHARGEMENT DE NOS ANCIENNES PAR LE NEZ !!


 

CLUB5A - REGLEMENTATION - Les motards pourront circuler en interfiles partout en France...

 

Cette pratique est généralisée à tout le territoire français dès ce samedi. Mais elle est encadrée par diverses mesures qui, en cas de non-respect, donneront lieu à verbalisation. Les motards le voulaient, la sécurité routière l’a fait. Après deux campagnes d’expérimentation, la circulation en interfiles (CIF) des motos à 2 et 3 roues est enfin généralisée. 
Une annonce tombée vendredi 10 janvier qui réjouit leurs usagers. «C’est une mesure de bon sens, car cela fait des années que l’on pratique l’interfile. 
Cela fait au moins 70 ans, depuis qu’il y a des bouchons sur les routes!», indique Jean-Marc Belotti, coordinateur de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC) de Paris et sa petite couronne. 
 Cette mesure qui entre en vigueur dès samedi a reçu le feu vert du gouvernement après neuf années d’expérimentation démarrée en 2016 et au cours desquelles il s’agissait de s’assurer que cette pratique n’entraînait pas plus d’accidents. 
En charge de cette évaluation, le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) a donc rendu son verdict. 
Chiffres à l’appui, cet établissement public qui relève du ministère de la Transition écologique a donc constaté qu’avec l’interfile l’accidentalité restait stable. 
À condition toutefois de respecter certaines règles. Des amendes prévues en cas de non-respect des règles Tout d’abord, l’interfile pourra, selon les nouveaux textes, être pratiquée «sur les autoroutes et les routes à deux chaussées séparées par un terre-plein central et dotées d’au moins deux voies chacune, et sur lesquelles la vitesse maximale autorisée se situe entre 70 km/h et 130 km/h». 
Le même texte précise que l’interfile est autorisée sur les voies où la vitesse a été abaissée localement par décision de l’autorité de police locale de circulation comme c’est le cas sur le périphérique parisien où la vitesse est désormais de 50km/h. Également, il est précisé que la circulation en interfile se pratique à une vitesse de 50 km/h au maximum. 
Mais si l’une des files est à l’arrêt, cette limite est abaissée à 30 km/h maximum. 
Par ailleurs, «lorsque le trafic se fluidifie et que les véhicules circulent à plus de 50 km/h sur au moins une des deux files, les deux ou trois-roues motorisés doivent reprendre leur place dans les voies», précise-t-on à la sécurité routière. 
 Le non-respect d’au moins une des conditions est puni d’une contravention de 4e classe ( 135 euros pouvant être minorée ou majorée) et du retrait de 3 points du permis de conduire. Cette infraction pourra être constatée par vidéoverbalisation. 
Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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samedi 11 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UN DEPART DU TOUR DE L'AUDE EN MILCAR N'EST JAMAIS UN MOMENT MELANCOLIQUE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - MALHEUREUSEMENT ENCORE UNE COCCINELLE QUI VA MAL FINIR !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GRAINE DE PILOTE ?


 

CLUB5A - REPORTAGE ET REVUE DE PRESSE - PORTRAITS DE COLLECTIONNEURS - LES AVERTISSEURS !!

6 - Les « Tut-Tut ! Greu-Greu ! 
» Commençons par un petit rappel historique : les avertisseurs sont nés avec l’automobile à la fin du XIXe siècle pour prévenir une population qui n’avait jamais vu ça de leur arrivée impromptue et éviter les accidents. Par la suite, les conducteurs ont pris l’habitude de « corner » partout : en arrivant aux carrefours, dans les virages, pour prévenir qu’on doublait, là où il y avait du monde, etc. 
Plus besoin de ralentir, un coup de klaxon et hop, on passait ! Bref, c’est vite devenu infernal au point que les villes ont pris des arrêtés pour interdire l’usage intempestif des avertisseurs et que le code de la route en a restreint l’utilisation aux seuls cas de danger immédiat. 
Le calme est revenu. C’était sans compter sur nos amis collectionneurs qui découvraient avec les vieilles automobile toute une gamme de possibilités insoupçonnées : depuis l’antique « Coin-coin » en cuivre avec sa poire en caoutchouc jusqu’aux mythiques « Cucaracha » des dragueurs italiens, en passant par le « Tidibidibidibidibi » des 404 du Tour de France, il allait vite trouver de quoi équiper son engin, quelque soit d’ailleurs son âge : Qu’importe la voiture, pourvu qu’elle fasse du bruit ! 

 Et là, c’est important de marquer son territoire. Globalement, plus la voiture est petite, plus elle est équipée. C’est pas un concours de bites (je n’oserais pas parler de compensation), mais ça y ressemble fortement. Dans tous les défilés, dans tous les regroupements, il y a invariablement les mêmes abrutis qui ne peuvent s’empêcher de faire beugler leurs autos, à coup de « Old Timer Horn » nous sortant un « Greuuuu-greuuu » chevrotant dont même une Ford T ne voudrait pas, « le Pont de la Rivière Kwaï » version courte, l’arrivée de l’autorail version longue, la sirène du France, les cloches de Notre-Dame, Big Ben, ou même « Rencontre du 3e type » version remix ! 
 Une sale musique qui n’adoucit pas les mœurs et surtout pas ceux des riverains : imaginez la cacophonie ambiante, surtout quand ils sont plusieurs ! Vous avez beau leur expliquer que c’est infernal, ils n’entendent pas, et pour cause ! 

Le salut vient généralement de l’installation électrique qui ne supporte pas longtemps l’effort, grillant les vieux comodos, faisant fondre les fils ou carrément l’avertisseur qui termine généralement son agonie dans un triste et long meuglement porcin… Pour le bien de tous. 
Source : Thierry DUBOIS-PHOTOS / DR

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mardi 7 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - C'EST LE MOMENT DE BOIRE UN BON CAFE AVANT LE DEPART DU TOUR DE L'AUDE..


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE TRYBIKE-COCCINELLE ...


 

CLUB5A - RESTAURATION ET TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UNE ROSENGART SUPERTRACTION LR-539 !!

Lucien Rosengart avait négocié avec André Citroën la fourniture du moteur de la traction pour équiper sa LR539. C'est ainsi que ce véhicule bénéficiera du moteur, de la boite, du tableau de bord, enfin de beaucoup d'éléments de la Traction 11 Citroën. 
Par contre, il conserve les éléments Adler pour le train arrière. La version précédente n'avait pas beaucoup de personalité, c'est pourquoi Lucien Rosengart décide de revoir complètement sa copie, et la nouvelle version est présentée le 16 mars 1939 au pavillon d'Amenonville. 
Sa ligne séduit et elle est considérée comme l'une des plus belles voitures françaises de l'année. 
Malheureusement la guerre arrêtera sa production, et les usines Rosengart ne s'en remettront jamais. 
Source : justasmile67 / retraumobileclub74.org

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Citroën marque préférée des présidents français !!

La marque aux chevrons a une longue histoire avec les chefs d’Etat de l’Hexagone. Et compte bien la poursuivre. Question grandes limousines d’apparat, les constructeurs français n’égalent pas ceux d’Allemagne, du Royaume-Uni, voire d’Italie. Mais le prestige d’être sélectionné pour transporter le monarque républicain lors de ses sorties officielles n’en est pas moindre et il représente un enjeu réel. Chez nous, l’histoire des voitures présidentielles désigne une marque favorite – Citroën – pour services rendus. La Traction fut pratiquement élevée au rang de compagnon de la Résistance et la DS à suspension hydropneumatique fut le dernier rempart du général de Gaulle lors de l’attentat du Petit-Clamart, en 1962. 
 L’attentat contre le général de Gaulle, le 22 août 1962 à Clamart. Carrossée par Chapron, la SM rallongée et découvrable (1972) de l’ère Pompidou reste à ce jour le plus glamour des carrosses de la Ve République. Cette aura n’a pas toujours suffi. Après un double septennat du très peu citroënophile François Mitterrand, le chiraquisme doit rétablir Citroën dans ses droits. En 1995, le soir de son élection à la présidence de la République, Jacques Chirac traverse Paris avec sa CX Prestige personnelle. Et, le 14 juillet 2005, la toute nouvelle C6 est dévoilée lors des cérémonies officielles, précédée par un peloton de motards formant un double chevron. Pour Sarkozy, la valse des constructeurs.


Mais, en 2007, l’élection de Nicolas Sarkozy rebat les cartes. Le nouvel élu veut prendre ses distances avec les symboles de la chiraquie. Le 16 mai, sa remontée des Champs-Elysées s’effectue à bord d’une voiture découverte assez improbable : du musée Peugeot de Sochaux (Doubs), les collaborateurs du nouvel élu ont fait exhumer le concept-car 607 Paladine, présenté sept ans auparavant au salon de Genève, dont le toit rigide peut découvrir la seule partie arrière à la manière d’un landaulet d’antan. Une fois son périple Elysée-Arc de Triomphe accompli, la Paladine retrouvera définitivement le musée. 
 Lire aussi : La limousine de Nicolas Sarkozy Pour le reste de son quinquennat, Nicolas Sarkozy – guère intéressé par la chose automobile – se partagera entre Renault Vel Satis, Peugeot 607 et Citroën C6. En 1974, Valéry Giscard d’Estaing avait, lui aussi, rompu avec la citroënomania gaullienne en choisissant comme véhicule officiel une Peugeot 604 marron et en prenant un malin plaisir à se faire photographier au volant de modèles de la marque au lion. A l’approche de la présidentielle de 2012, Citroën décide de préparer sa revanche. A la direction du garage de l’Elysée, la marque au double chevron propose un modèle spécialement conçu pour la cérémonie d’investiture. La concurrence est au creux de la vague. 
La Peugeot 508 est sortie en 2011 mais elle est destinée davantage aux préfets qu’aux hautes personnalités. Renault, en pleine refonte de son haut de gamme, ne peut proposer qu’un modèle fabriqué… en Corée par sa filiale Samsung. Citroën propose de rompre avec la tradition de la limousine trois volumes : la DS5 s’avère un curieux mélange entre une berline et un break, doté, en supplément d’âme, d’une motorisation hybride (diesel et électrique). Pour Hollande, se faire prêter plutôt qu’acheter « L’idée a vite germé de proposer quelque chose de nouveau : une voiture présidentielle hybride. C’était une façon de mettre en valeur l’industrie automobile française », estime Olivier Desserprit, qui assure depuis 2010 le suivi des relations entre la marque et la présidence. 
Pas vraiment altière mais supposée environnementalement correcte (aujourd’hui, la présence d’un moteur diesel serait rédhibitoire), la DS5 Hybrid4 est adoubée par le Château. C’est une jolie vitrine qui se profile, mais à une condition : que Nicolas Sarkozy ne soit pas réélu car la tradition veut que le président reconduit dans ses fonctions se passe de cérémonie d’investiture. Pour ce qui le concerne, François Hollande, en tout cas, n’a rien contre la DS5. Bien au contraire ? En septembre 2011, visitant l’usine PSA de Sochaux dans le cadre de la campagne pour la primaire socialiste, il en avait fait l’apologie. « C’est le véhicule des présidents de la République, celui du général de Gaulle (…).
 Je suis en route pour le plus loin possible, j’espère qu’ils ont fait le plein », avait-il lancé. Le mercredi suivant la victoire de François Hollande, une DS5 est confiée à une entreprise extérieure – dont le nom doit rester confidentiel – pour être transformée en voiture d’apparat. En trois jours, le toit est découpé puis équipé d’une capote électrique, une barre de maintien gainée de cuir installée pour que le passager puisse se tenir debout et des protections spéciales – mais pas un blindage complet – intégrées. 
Le président nouvellement élu découvre ce modèle et donne le feu vert. Le jour venu, sur les Champs-Elysées une pluie battante gâche la fête mais François Hollande reste stoïque, debout dans sa découvrable dont on retrouvera le cuir pleine fleur de la banquette noyé sous deux centimètres d’eau. Le nouveau président, François Hollande, aux Champs-Elysées… sous la pluie. Exposée le soir même au C42, le drugstore Citroën des Champs-Elysées, la DS5 séchera ses sièges sous la chaleur des projecteurs. Le lendemain, rien n’y paraissait, assurent les techniciens de la marque. Depuis lors, la DS5 amphibie de François Hollande a rejoint le Conservatoire Citroën, le musée semi-public que la marque a constitué à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) mais le président de la République utilise régulièrement deux DS5 Hybrid4 dûment blindées pour ses déplacements. 
 Ces deux modèles – qui, nouveauté du quinquennat Hollande, sont prêtés et non plus vendus par le constructeur – portent désormais les seules couleurs de DS, devenu une entité indépendante de Citroën depuis 2014. Pour 2017, la marque compte bien soumettre aux responsables du parc automobile de l’Elysée une nouvelle proposition de voiture d’apparat. Et peut-être profiter de l’occasion pour dévoiler la future grande berline que prépare DS.
Source : Direct Auto-lemonde.fr

lundi 6 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - SEQUENCE REMERCIEMENTS POUR CETTE RANDO-POP DE CETTE ANNEE LA !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - SUR LA ROUTE CERTAINS CONDUCTEURS FONT VRAIMENT N'IMPORTE QUOI !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN PILOTE QUI FAIT DES ETINCELLES N'EST PAS FORCEMENT UN PILOTE QUI BRILLE PAR SON TALENT !


 

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - OLIVIER COSTA UN STYLO POUR DESSINER DE BELLES ANCIENNES.....

 

Il y a quelques semaines un superbe dessin a attiré notre attention. Sur la page facebook de Mecanicus on retrouvait une belle Jaguar XJC dessinée devant un château. Une oeuvre signée Olivier Costa, réalisée à partir d’une des photos utilisée dans notre essai de la belle anglaise (à retrouver ici). 
Forcément, ça nous a donné envie d’en savoir plus Olivier Costa n’est pourtant pas du tout un artiste qu’on retrouve dans les espaces dédiés des grands salons. Passionné par l’automobile et autodidacte il a commencé le dessin… pour tuer le temps pendant d’interminables réunions. 
Mais quand ce politologue spécialiste de l’Union Européenne, des parlements et de la vie politique française, à l’université de Bordeaux a commencé à utiliser plus régulièrement un ordinateur, le dessin est passé au second plan. 
 Ce n’est qu’en 2018 qu’il se remet au dessin. Les autos ne sont pas à l’ordre du jour puisque ses réalisations servent à illustrer un livre de chroniques de voyage. Et puis arrive la mi-mars 2020 et le confinement. C’est alors qu’il reprend le stylo pour dessiner des automobiles, anciennes la plupart du temps. Et c’est à ce moment là qu’un de ses amis a partagé ses créations avec Mecanicus. Olivier Costa a commencé par dessiner sa voiture, puis d’autres.
 Il utilise uniquement un stylo bille, très précis, et permettant de créer de nombreuses nuances lorsqu’on sait le manier. Il s’inspire à chaque fois d’une photo. Les autos des années 40 aux années 80 sont croquées de façon très fidèles, en respectant les proportions. Comme pour la XJC, il travaille toujours à partir d’une photo. 
Néanmoins, sans couleur, Olivier Costa doit réfléchir à ses réalisations pour faire apparaître des reflets qu’on ne retrouve pas forcément sur les autos et donner du réalisme à ses créations. Quelques fois il prend quelques libertés par rapport au modèle de base, soit pour ajouter des détails plus à son goût, soit parce qu’il s’est trompé ! 
 En tout cas son travail est remarquable et on retrouve de nombreuses autos, sportives ou populaires sur sa page facebook. Après une trentaine de dessins réalisés pendant le confinement, il en réalise forcément moins… mais toujours une par semaine ! Source : newsdanciennes.com/