dimanche 8 décembre 2024
CLUB5A - PILOTE AUTOMOBILE DE LÉGENDE - GERARD LAROUSSE LE PILOTE COMPLET !!
Double vainqueur des 24 heures du Mans, Gérard Larrousse a tout connu ou presque de la course automobile. Pilote complet aussi à l'aise sur la route que sur la piste, il rencontra ensuite le succès comme directeur sportif de Renault avant de fonder sa propre écurie de Formule 1.
A l'origine, rien ne prédisposait ce jeune homme sage et plutôt réservé à la course automobile. L'incursion du rallye du Var lors de vacances dans le Midi éveille une vocation encore timide. Rentré à Lyon (où il est né le 23 mai 1940), il s'amuse d'abord à enchaîner les virages sur les petites routes proches du domicile familial avant de s'engager dans son premier rallye en 1961. A la Simca Aronde succède bientôt une Dauphine 1093 avec laquelle il enlève ses premiers succès de catégorie, puis une R8 Gordini. Intégré dans l'équipe officielle NSU, il termine 2e du Championnat de France en catégorie Tourisme en 1966 et signe alors pour la saison suivante chez Alpine Renault.
Vainqueur de neuf rallyes avec la Berlinette, il s'impose comme l'un des espoirs les plus sûr de la spécialité et débute dans le même temps en circuit sur les prototypes de la marque dieppoise. Pas très heureux en 1968 en rallyes, perdant notamment le Monte Carlo sur une plaque de neige déposée par des spectateurs, il multiplie alors les sorties en circuit et enlève sa première victoire en monoplace sur une Formule France.
La piste l'attire de plus en plus, mais lucide, il sait que l'Alpine 3 litres est sans avenir et signe chez Porsche pour 1969. Débutant la saison par une 2e place au Monte Carlo derrière son équipier Vic Elford, il est assuré ensuite d'un programme en circuit.
Disputant pour la première fois les 24 heures du Mans avec de réelles chances de succès, il va vivre une expérience terrible. Hans Herrmann son équipier perd le dernier sprint face à Ickx au terme d'un final époustouflant et Gérard mettra plusieurs semaines à se remettre de cet échec. Deux belles victoires en Corse et au Tour Auto relance "la machine" en fin d'année, mais le succès lui échappe à nouveau au Monte Carlo où il signe une nouvelle 2e place en janvier suivant. Aligné désormais sous les couleurs du Martini Racing, il signe ensuite de nombreux succès en catégorie 3 litres avec sa Porsche 908-2 et termine second des 24 heures sous le déluge pour ses débuts au volant d'une 917.
Pilier de l'équipe Porsche, il forme en 1971 avec Elford, l'équipage de pointe du Team Martini et enlève son premier succès en Championnat mondial à Sebring, avant de triompher au Nürburgring. Après une saison difficile avec la Lola de l'équipe Bonnier, il rejoint les rangs de Matra en 1973. Si Beltoise-Cevert forme l'équipage le plus brillant, Pescarolo-Larrousse "plus sages" cumulent en revanche les succès.
Vainqueurs des 24 heures, ils s'imposent également dans quatre manches du Championnat et s'imposent comme les principaux artisans du titre mondial de Matra. 1974 sera tout aussi faste pour les deus hommes qui récidivent au Mans, mais Matra a décidé de renoncer à la compétition. Larrousse qui a piloté avec succès un prototype Alpine Renault dans le Championnat d'Europe 2 litres, rejoint l'équipe de ses débuts en 1975.
Après un premier succès heureux à Mugello avec l'Alpine Turbo, il ne connaît ensuite que des déboires. Il se console en monoplace signant une victoire à Hockenheim, prouvant ainsi à 35 ans qu'il reste l'un des pilotes les plus rapides du moment. Pourtant à la fin de l'année, Larrousse décide de renoncer à la compétition pour prendre la direction de Renault Sports.
Trois ans plus tard, il mènera les voitures jaunes à la victoire au Mans avant de se donner à fond dans le programme de Formule 1 de la Régie. Le titre mondial manqué de peu en 1983 déstabilisera l'équipe et à la fin de la saison suivante, Larrousse s'en ira prendre des fonctions similaires chez Ligier avant de fonder sa propre écurie de F1 en 1987. Le succès ne sera hélas pas au rendez-vous et en 1994, l'équipe française quitte la scène.
Depuis Gérard Larrousse s'est pris de passion pour les épreuves historiques où il montre chaque fois qu'il n'a rien perdu de son talent.
Source : Circuit Paul Ricard - caradisiac
A l'origine, rien ne prédisposait ce jeune homme sage et plutôt réservé à la course automobile. L'incursion du rallye du Var lors de vacances dans le Midi éveille une vocation encore timide. Rentré à Lyon (où il est né le 23 mai 1940), il s'amuse d'abord à enchaîner les virages sur les petites routes proches du domicile familial avant de s'engager dans son premier rallye en 1961. A la Simca Aronde succède bientôt une Dauphine 1093 avec laquelle il enlève ses premiers succès de catégorie, puis une R8 Gordini. Intégré dans l'équipe officielle NSU, il termine 2e du Championnat de France en catégorie Tourisme en 1966 et signe alors pour la saison suivante chez Alpine Renault.
Vainqueur de neuf rallyes avec la Berlinette, il s'impose comme l'un des espoirs les plus sûr de la spécialité et débute dans le même temps en circuit sur les prototypes de la marque dieppoise. Pas très heureux en 1968 en rallyes, perdant notamment le Monte Carlo sur une plaque de neige déposée par des spectateurs, il multiplie alors les sorties en circuit et enlève sa première victoire en monoplace sur une Formule France.
La piste l'attire de plus en plus, mais lucide, il sait que l'Alpine 3 litres est sans avenir et signe chez Porsche pour 1969. Débutant la saison par une 2e place au Monte Carlo derrière son équipier Vic Elford, il est assuré ensuite d'un programme en circuit.
Disputant pour la première fois les 24 heures du Mans avec de réelles chances de succès, il va vivre une expérience terrible. Hans Herrmann son équipier perd le dernier sprint face à Ickx au terme d'un final époustouflant et Gérard mettra plusieurs semaines à se remettre de cet échec. Deux belles victoires en Corse et au Tour Auto relance "la machine" en fin d'année, mais le succès lui échappe à nouveau au Monte Carlo où il signe une nouvelle 2e place en janvier suivant. Aligné désormais sous les couleurs du Martini Racing, il signe ensuite de nombreux succès en catégorie 3 litres avec sa Porsche 908-2 et termine second des 24 heures sous le déluge pour ses débuts au volant d'une 917.
Pilier de l'équipe Porsche, il forme en 1971 avec Elford, l'équipage de pointe du Team Martini et enlève son premier succès en Championnat mondial à Sebring, avant de triompher au Nürburgring. Après une saison difficile avec la Lola de l'équipe Bonnier, il rejoint les rangs de Matra en 1973. Si Beltoise-Cevert forme l'équipage le plus brillant, Pescarolo-Larrousse "plus sages" cumulent en revanche les succès.
Après un premier succès heureux à Mugello avec l'Alpine Turbo, il ne connaît ensuite que des déboires. Il se console en monoplace signant une victoire à Hockenheim, prouvant ainsi à 35 ans qu'il reste l'un des pilotes les plus rapides du moment. Pourtant à la fin de l'année, Larrousse décide de renoncer à la compétition pour prendre la direction de Renault Sports.
Trois ans plus tard, il mènera les voitures jaunes à la victoire au Mans avant de se donner à fond dans le programme de Formule 1 de la Régie. Le titre mondial manqué de peu en 1983 déstabilisera l'équipe et à la fin de la saison suivante, Larrousse s'en ira prendre des fonctions similaires chez Ligier avant de fonder sa propre écurie de F1 en 1987. Le succès ne sera hélas pas au rendez-vous et en 1994, l'équipe française quitte la scène.
Depuis Gérard Larrousse s'est pris de passion pour les épreuves historiques où il montre chaque fois qu'il n'a rien perdu de son talent.
Source : Circuit Paul Ricard - caradisiac
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...Herman Görings possédait une Mercedes 540K...
Le sinistre Reichsmarschal Herman Görings possédait une Mercedes 540K entièrement équipé d’une carrosserie blindée et des verres pare-balles .
Elle a été retrouvé à dans la résidence du "nid d'aigles" d'Hitlers dans les alpes allemande (Bavière) : au Berchtesgaden.
Source : Military Girl
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Nouvelle papamobile : le pape François va rouler à l’électrique...
À l’occasion de l’ouverture du Jubilé 2025 le 24 décembre prochain, le souverain pontife étrennera une nouvelle Mercedes Classe G animée par un moteur à batterie. Le Vatican n’a pas attendu la bascule complète de l’Europe vers le véhicule électrique, à compter du 1er janvier 2035.
Fournisseur de voitures au Vatican depuis 94 ans, Mercedes vient de concevoir un modèle issu de la Classe G 580 électrique. Le nouveau véhicule vient d’être livré à Rome par Ola Källenius, le président de la marque, Britta Seeger, la directrice des ventes et du marketing, et Marc Langenbrinck, président de Mercedes Italie. Sa première apparition publique est prévue le 24 décembre.
Le pape François va inaugurer le Jubilé 2025, un moment de grande importance spirituelle, ecclésiale et sociale, favorisant «la recomposition d’un climat d’espérance et de confiance», après les années de pandémie.
Le Classe G n’est pas un inconnu au Vatican. Depuis 45 ans, ce tout-terrain issu d’un véhicule militaire accompagne la plupart des apparitions publiques du souverain pontife. Ce dernier est sans aucun doute le plus original de la lignée puisque sa propulsion électrique lui permettra de se déplacer sans bruit et sans émettre de polluants.
Un an de travail
Comme pour tous les véhicules réalisés pour le pape, ce nouveau Classe G a été développé en étroite collaboration avec les équipes du Vatican.
Ces dernières ne manquent pas de souligner que cette papamobile contribue à la réalisation de l’encyclique «Laudato Si» où le pape y décrit la nécessité d’un développement durable.
Le Saint-Père sera ainsi le premier pape à voyager dans une Mercedes électrique lors de ses apparitions publiques.
La conception de la nouvelle papamobile a demandé un an de travail. À partir d’un Mercedes G580, les équipes de Mercedes et de Graz où est située l’usine de production ont réalisé un grand nombre de modifications pour répondre au cahier des charges fixé par les responsables de la flotte de voitures du Vatican. Le toit a été supprimé au niveau du montant B.
Ce dernier a été harmonieusement intégré dans la paroi latérale pour créer un profil latéral unique.
En cas de pluie ou de mauvaises conditions météorologiques, le pape pourra compter sur un toit rigide séparé. La porte arrière gauche a été retirée et reconstruite d’une seule pièce et soudée sans couture de carrosserie.
Quant au côté droit, les charnières de la porte arrière ont été déplacées du côté opposé.
À l’arrière, la banquette a été remplacée par un siège individuel positionné au centre et réglable en hauteur. Ce siège pivote de manière à s’adresser à la foule des fidèles sans avoir à tourner la tête. Derrière, le siège du pape, deux sièges individuels ont été intégrés à gauche et à droite pour le personnel de sécurité.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA MATHIS VL333 : Signifie Voiture Économique Légère - 3 Roues, 3 Places et 3 Litres par 100 km.
Le seul prototype survivant en 1942 de la Mathis VL333 1940 - Paris est sous occupation. Dans l’usine de l'entreprise Mathis - située en banlieue parisienne à Gennevilliers - sous un grand secret se déroule le travail sur une voiture pour l’après-guerre. Le nom de code est VEL 333, qui signifie Voiture Économique Légère - 3 roues, 3 places et 3 litres par 100 km.
C’est l’ingénieur aérodynamique Jean Andreau qui lui a donné sa ligne futuriste. Cette voiture révolutionnaire - dont la carrosserie était en aluminium et pesait plus de 380 kg - était propulsée par un moteur plat deux cylindres de 707cm3 refroidi par l’eau. La Mathis 333 fait ses débuts au Salon de l’Automobile de Paris en 1946.
Selon la plaque devant la voiture, il est écrit : Le VL333 est construit à partir de tôle d’aluminium de calibre 20.
« La carrosserie est soudée avec près de 6 000 points de soudure. Il n’y a pas de châssis, c’est une bulle. Le moteur est un 700cc plat-jumeau, et la voiture est à traction avant avec une suspension entièrement indépendante. Seuls 9 prototypes ont été fabriqués pendant la guerre de 1940 à 1945 ; ils étaient cachés aux Allemands, car tout travail sur des automobiles pour le secteur civil était interdit. Cette voiture est la seule survivante. »
Source : Antique, Vintage, Classic, Rare & Other Vehicles
CLUB5A - LA SAVIEZ-VOUS ? ...EN 1941 HENRY FORD A CONSTRUIT UNE VOITURE EN PLASTIQUE DE CHANVRE...
Henry Ford a construit une voiture en plastique de chanvre qui fonctionnait au carburant de chanvre il y a presque un siècle. Le modèle bioplastique T de Ford de 1941 était fait de chanvre, de lin, de blé et de pulpe d'épinette, ce qui rendait la voiture plus légère que la fibre de verre et dix fois plus dure que l'acier, a écrit le New York Times le 2 février 1941. La voiture fonctionnait à l'éthanol fait à partir de chanvre ou d'autres déchets agricoles.
Dimitry Samuel Pomié
CLUB5A - SPORT AUTO - LA RENAULT DAUPHINE FRUA SPORT ...C'ETAIT EN 1956 !!
Renault Dauphine Sport – Frua (1956)... La Dauphine de Renault est proposée à la commercialisation en 1956, petite berline populaire qui vient épauler la 4CV, son succès est immédiat. Par son prix bon marché et les possibilités de développement de son moteur, la voiture intéresse de nombreux artisans-constructeurs, stylistes et mécaniciens amateurs qui vont la modifier et (tenter) de proposer des variantes au grand public. Au milieu des années 1950, la production automobile a complètement fini sa reconstruction suite à la guerre et nombre de constructeurs ont des usines à la pointe. Renault par exemple est un expert en matière de production de masse pour sortir les populaires 4CV et la nouvelle venue, la Dauphine, dans une toute nouvelle usine située à Flins.
Si la production française est alors hétéroclite (et va de la petite Rovin à la somptueuse Facel Vega Excellence), un créneau semble oublié, celui des voitures de loisirs alors occupé par les coupés et cabriolets. Certes, quelques constructeurs ont investi le segment comme Simca avec la Simca Sport ou les coupés sur base d’Aronde, Panhard avec la Junior et les cabriolets Dyna, Peugeot avec la 403 Cabriolet… Mais l’offre reste maigre par rapports à nos pays voisins.
Quand la Renault Dauphine apparaît en 1956, plusieurs carrossiers flairent le bon filon et lancent des études pour réaliser un coupé, tout en reprenant le moteur et les autres éléments mécaniques. L’objectif était de proposer une voiture de loisirs bon marché et d’investir ce segment délaissé. D’autres carrossiers réalisent des créations sur la base de la Dauphine dans l’espoir peut être de se faire remarquer par la Régie et peut-être obtenir une commercialisation du modèle.
Est-ce cette motivation qui a poussé Pietro Frua à réaliser un coupé sur base de Dauphine en 1956 ? En réalité, l’histoire est plus complexe. Avant même la présentation de la Dauphine, Renault a demandé à plusieurs carrossiers des propositions de carrosserie coupé en reprenant la base de la Dauphine. Ghia aurait été missionné par Renault et donne la mission à Pietro Frua en raison d’une exclusivité qu’avait Ghia envers Volkswagen du fait de la création du Karmann Ghia. C’est ainsi que serait apparue cette voiture, présentée lors du salon de Milan 1966 sous le nom de « Dauphine Sport ».
Les lignes de ce coupé se remarquent , relativement fluides et dynamiques, elles ont le charme des créations italiennes des années 1950.
Rétrospectivement, on peut trouver un air de famille avec la Renault Floride, surtout au niveau du pavillon. La Floride arrive quelques années plus tard avec un prototype réalisé par ce même Petro Frua. La voiture reste toutefois surchargée sur ses faces avant et arrière avec une abondance de chromes et de lignes un peu trop travaillées.
Néanmoins, la voiture se retrouve quelques mois plus tard à Paris où elle aurait été immatriculée pour la première fois. On sait que cette voiture a été achetée par Jean Rédélé sur ordre des dirigeants de Renault. En effet, Jean Rédélé faisait parti des études sur le coupé Renault qui deviendra la Floride, et l’un des prototypes recalés par la Régie et réalisé par Michelloti intéresse fortement Rédélé pour concevoir un cabriolet Alpine.
Cependant, ce prototype avait été financé par Renault, les dirigeants de la Régie voyaient d’un mauvais œil apparaître une concurrente à la future Floride. Et quand Rédélé critique ouvertement ce prototype de Frua, les dirigeants de Renault ordonnent à Jean Rédélé de prendre à ses frais la possession du prototype Frua présenté 1956 et de garder cette étude sous le coude. Mais quand Renault accélère le programme Floride avec un second prototype, Rédélé peut désormais faire ce qu’il souhaite de ce prototype, qui aurait été envoyé en Cote d’Ivoire après avoir été conservé quelques années…
Source : lautomobileancienne.com/passion auto sport du var
passion auto sport du var
samedi 7 décembre 2024
CLUB5A - CITROËN AUTOCHENILLE - FILM ORIGINAL DE 1934 AU MONT ST MICHEL...
Citroën : l'Autochenille, vedette des années 30 - Voyage dans le temps à bord d'un véhicule mythique.
Comme la plupart des véhicules des convois conçus spécialement pour les expédition celui-ci sort de l’usine Citroën Kegresse de Courbevoie. La carrosserie, en duralumin, comprend deux parties.
D’abord la cabine avant, sans portes ni casquette, offre au moins deux places assises. Ensuite, le plateau arrière, en dessus des chenilles, est équipé de ridelles. Le tout est monté sur châssis AC4F.
Un moteur quatre cylindres assure la propulsion (1628 cm3, 30 CV, 3000 t/mn, « carburateur Solex modifié pour le réglage montagne, embrayage monodisque à sec »). À l’avant est fixé « un gros rouleau fou servant de point d’appui pour franchir les terrains accidentés ». Les vitesses se situent dans la fourchette de 8 à 45 km/h selon les terrains et la charge, la consommation variant énormément en fonction de l’effort demandé.
Source : CITROEN HISTORY - Photos and Films
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...1967 UNE ALPINE A110 POUR LA GENDARMERIE....
L'Alpine A110 est une voiture iconique qui a été affectée aux Brigades Rapides d'Intervention (BRI) de la Gendarmerie nationale entre les années 1967 et 1971.
Source : Annika Arnold
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...UNE ROLLS 4X4 PARTICIPAIT AU RALLYE PARIS-DAKAR EN 1981...
Le prototype 4 4 de la Rolls-Royce « Jules » Cette Rolls-Royce 4 4, nommée « Jules », est une voiture de course sur mesure, librement inspirée d’une Rolls-Royce Corniche. Elle a participé au rallye Paris-Dakar 1981 et possède une carrosserie en fibre de verre, un châssis Toyota Land Cruiser et un moteur Corvette V8 de 5,7 litres.
Sponsorisé par Christian Dior pour promouvoir son parfum « Jules », le véhicule a été largement marqué. Malgré l’opposition initiale de Rolls-Royce, l’implication de Dior a permis la poursuite du projet.
« Jules » a fait un excellent travail au rallye, atteignant la 13e place avant d’être disqualifié par un système de direction endommagé. Néanmoins, il a terminé la course, attirant l’attention des médias et consolidant son statut de légendaire concurrent du Rallye Paris-Dakar.
Source : Rolls-Royce & Bentley Classics
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - 5 conseils pour garder les freins de votre voiture en bon état.....
Rétrograder avant de freiner, vérifier régulièrement le liquide de frein ou prêter attention aux bruits et vibrations de votre voiture peuvent être des gestes clés pour éviter une détérioration prématurée de vos freins. Voici quelques conseils pour prendre soin de votre voiture. Saviez-vous que 13,5 % des défauts graves détectés lors du contrôle technique sont dus au système de freinage ?
À première vue, cela ne semble pas être un pourcentage élevé, mais si vous tenez compte du fait que les freins sont un élément fondamental de la sécurité de votre voiture et que leur bon fonctionnement est essentiel à la conduite, ce pourcentage devient encore plus important.
1. Adoptez une conduite efficace
En gardant un rythme régulier, sans accélération ni freinage brusques, vous réduirez non seulement votre consommation de carburant, mais vous éviterez également l'usure du système de friction. Des détails tels que la rétrogradation avant un freinage brusque afin de ne pas solliciter le système empêcheront également vos freins de s'user prématurément.
2. Remplacer périodiquement les plaquettes de frein
Bien que la règle générale soit de remplacer les plaquettes de frein tous les 25 000 km, si vous vivez dans des régions montagneuses ou vallonnées ou si vous utilisez simplement votre véhicule quotidiennement, il est fortement recommandé de garder un œil sur vos plaquettes de frein pour s'assurer qu'elles n'ont pas moins de 2 millimètres d'épaisseur. Si vous devez changer les plaquettes de frein, n'oubliez pas que les disques doivent également être remplacés tous les 4 changements de plaquettes.
3. Vérifiez le liquide de frein
Dans ce cas, la quantité et la qualité du liquide sont aussi importantes l'une que l'autre. D'une part, il est essentiel de s'assurer que le niveau du liquide est correct, mais il est également important de vérifier l'état du liquide, car s'il est sale, il aura un effet négatif sur le freinage du véhicule. N'oubliez pas non plus de suivre les recommandations de le changer tous les deux ans ou tous les 50 000 km.
4. Utilisez des pièces de rechange agréées
Lorsque vous effectuez des modifications, n'oubliez jamais qu'elles doivent garantir notre sécurité. Dans le cas des plaquettes de frein, vous devez vérifier qu'elles portent le code ECE R-90, qui garantit qu'elles répondent aux exigences de qualité.
5. Soyez attentif aux signaux acoustiques et vibratoires
Un grincement constant ou des bruits gênants lorsque vous appuyez sur la pédale de frein sont des symptômes qui peuvent indiquer que les plaquettes de frein doivent être contrôlées et éventuellement remplacées. En revanche, si vous remarquez que la pédale ou le volant vibrent, cela peut être le signe que le système de freinage doit être remplacé au plus vite.
Source : Nicolas Leca-oscaronews.com-Build All
vendredi 6 décembre 2024
CLUB5A - RETOUR SUR IMAGE - REPORTAGE MOTO - RASSEMBLEMENT HARLEY-DAVIDSON EN SUISSE-COMMENT TOUT A COMMENCÉ ??....
L'HISTOIRE DES SWISS HARLEY
DAYS - COMMENT TOUT A COMMENCE ..
Il ya quelques années, Harley-Davidson Europe a ouvert une filiale en Suisse – la Harley-Davidson Switzerland S.à.r.l.. DAYS - COMMENT TOUT A COMMENCE ..
Dès le premier Swiss National H.O.G. Rally à Mogelsberg , les fans de Harley-Davidson suisses ont mis le paquet.
Depuis lors, cet événement est planifié, organisé, réalisé et développé toutes les années par Harley-Davidson Switzerland en collaboration avec des partenaires nouveaux mais aussi de longue date.
Grâce à l’aide de nombreux bénévoles provenant de l’ensemble des Chapters suisses du H.O.G. cette manifestation devient chaque année LE lieu de rencontre du savoir-vivre et du plaisir de tous les enthousiastes de Harley-Davidson.
Les nombreuses offres de restauration, concerts live, stands des concessionnaires Harley-Davidson ainsi que des exposants de toute l’Europe, diverses attractions motos mais aussi la plus grande parade dans le monde de la moto suisse font de cette manifestation un événement incroyable qui fait battre tous les cœurs un peu plus fort.
Source : Official H-D event video
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....En 1948, des téléviseurs équipaient les taxis de Chicago....
Chicago, 1948. Un technicien règle l'antenne d'un des premiers téléviseurs installés dans un taxi.
Source : Anna Karmann
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