mardi 17 septembre 2024
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTO - LES AUTOMOBILES PACKARD...LES AUTOMOBILES DE LUXE !!
Packard Motor Car Co. était une marque américaine d'automobiles de luxe, dont le siège était à Detroit (Michigan). Par la suite elle fusionna pour former la Studebaker-Packard Corp., dont le siège se trouvait à South Bend (Indiana). Packard a commercialisé ses automobiles de 1899 à 1958.
La société des Automobiles Packard est une marque américaine fondée par les frères James Ward Packard et William Doud Packard ainsi que George L. Weiss sous le nom de Ohio Automobile Company à Warren (Ohio) en 1899. Ce nom fut changé en Packard Motor Car Company en 1902 avant que la société ne se délocalise à Detroit en 1904 où l'architecte Albert Kahn avait construit la première fabrique en béton armé du monde pour Packard. Les frères Packard restèrent à Warren et le financier Henry Bourne Joy dirigea l'entreprise. Nommé président en 1909, il s'engagea aussi fortement pour la création du Lincoln Highway, la première route en asphalte entre New York et San Francisco. La première Packard, la modèle A, était un petit runabout (spyder) avec moteur monocylindre sous le banc du chauffeur.
Elle était de grand qualité, coûtant USD 1.250 sans option et fut construite à 5 exemplaires. La modèle A personnelle de W.D.Packard existe toujours. Les Packard conservaient un moteur monocylindre avec les modèles B, C et F. Ce fut une F qui traversa le continent pour la deuxième fois (3 semaines après le Winton du docteur Nelson).
Après 1904, le moteur fut monté à l'avant et le célèbre radiateur introduit, formé d'après le modèle phare du constructeur De Dion-Bouton. Packard proposait des modèles à deux et à quatre cylindres, avec ses types 18 et 30 (aussi: modèles N et S), et établit l'un des noms les plus prestigieux aux États-Unis dans son genre.
En 1912 Packard présenta sa première voiture à 6 cylindres. La Six (aussi: Dominant Six) était très luxueuse et faisait partie des plus chères voitures américaines de l'époque. Au début des années 1930, Packard était la marque américaine de luxe la plus connue et la plus diffusée au monde. En France, la marque était importée par Barbezat, 102 avenue des Champs-Élysées à Paris. Le 29 août 1935 à Küssnacht (Suisse), la reine Astrid de Belgique, meurt à 29 ans dans l'accident d'un cabriolet Packard One-Twenty conduit par son époux, Leopold III. Le 4 novembre1 1939 Packard Motors dévoile au public la première voiture équipée de l'air conditionné.
La marque fusionna avec Studebaker, en 1954, pour devenir la Studebaker-Packard Corporation. En 1962, les deux marques se séparèrent.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0- King Rose Archives
lundi 16 septembre 2024
CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS PLUS BELLES AVENTURES - LA TRANSHIMALAYENNE DE JEAN COUMES MOTARD DU CLUB DES 5A !! (EPISODE N°3 ET FIN DE CETTE AVENTURE)
3 Septembre : 150 Kms..
Le départ est tôt ce matin car le morceaux le plus dur nous attends, le KARDUNG LA 6200m ! Nous voila à nouveau sur les pistes roulant en file indienne avec de l’espace entre nous pour éviter de bouffer de la poussière . Les arrêts sont nombreux pour les photos , acclimater à l’altitude les plus sensibles et enrichir un peu les motos pour avancer à ces hauteurs .
Je trépigne un peu d’impatience car j’ai hâte d’atteindre ce col mythique le sommet du monde presque et celui d’une vie de motard. Mais petit à petit les 60 kms de la montée se font et enfin nous voilà au col : Le KARLUNGA !!!
Nous ne sommes pas les seul et une étrange pagaye règne que quelques militaires essayent de régler, peine perdu et chacun escalade l’escalier du petit temple qui couronne le sommet. Le manque d’oxygène se fait sentir et les pas un peu hésitant mais le plaisir d’être là compense tout. La descente se fait plus facilement et nous arrivons dans une maison typique Thybetainne tenu par des français qui nous réserve un accueil très sympathique. Le soir retour à LEH 4 Septembre : 200 Kms Nouvelle boucle pour terminer le voyage et passer encore deux jours en altitude au milieu de paysage fantastique . A nouveau nous suivons l’INDUS mais vers le sud .
Le fleuve devient beaucoup plus impétueux et large . Son franchissement sur de simple passerelle à voie unique est angoissante, mais comme le guide n’hésite pas nous suivons un par un, et ça passe facilement.
Toute la journée nous descendrons et monterons sans arrêt. Ces motos sont incroyables, elles passent partout, encaissent trous et bosses sans soucis. Sur tout le périple nous avons cassé un repose pied et perdu un feu arrière. Et en seconde elles reprennent à 500 tours et montent partout : cailloux, sable, épingles tout! Le soir nous arrivons travers des landes immenses sans pistes , a l’envie de chacun, au lac TSO MORIRI.
4700m . Encore plus grand que le dernier vu. 160 kms de long sur 40 kms de large. D’une beauté étourdissante au soleil couchant avec cette ceinture de sommets enneigés. Le bivouac est encore mieux situé que les autres. La soirée a durée plus que d’habitude car la fin approche et nous parlons beaucoup de toutes les aventures que nous avons vécu. La nuit a été agitée, car des chiens sauvages ont hurlés prés des tentes et il a fallu se lever pour les chasser. En Inde c’est souvent un problème ces chiens. 5. Septembre : 250 Kms
C’est le dernier jour en altitude, nous redescendons à LEH. Nous reprenons une partie de la autre vallée. Nous visitons une école pour les petits LADAKI , enfants de nomades et qui 5 mois de l’année reste à l’école pour avoir une base d’éducation. Après ils repartent avec leur parent vivre dans les montagnes, et très peu changent de vie.
Plus loin nous découvrons un lac salé blanc immaculé, mais impossible de rouler dessus, la croute ne peux supporter nos motos. Dans l’après midi nous arrivons à LEH. La soirée prévue par le guide nous permet de gouter à un repas de fête traditionnel. Genre de fondue dans du bouillon avec beaucoup de légumes et de beignets que nous apprécions tous. Retour au point de départ par la route. Nous retrouvons la circulation infernale du premier jour, et l’attention est soutenue. Le paysage est encore très beau.
Quelques temples émaillent les arrêts. Et nous voilà à la fin de l’aventure. Pour moi ce fut une vrai aventure, riche en sensations, émotions, émerveillements! Je vais garder un souvenir impérissable de ces moments. J’ai de nouveaux amis. Et j’ai qu’une envie recommencer!
Je vous conseille vivement de tenter cette aventure
7 Septembre. : DELHI
Journée de transition dans la capitale Indienne.
Impossible cette ville. 18 millions d’habitants.
Pollution , bruit, circulation, misère, tout est inimaginable ; Je n’avais qu’une envie partir !
8 Septembre. : Retour Delhi, Munich, Marseille
6 Septembre. : 250 kms
Amicalement..JEAN COUMES
Fin de cette fabuleuse aventure que nous a écrit JEAN COUMES que nous remercions vivement !!
Le départ est tôt ce matin car le morceaux le plus dur nous attends, le KARDUNG LA 6200m ! Nous voila à nouveau sur les pistes roulant en file indienne avec de l’espace entre nous pour éviter de bouffer de la poussière . Les arrêts sont nombreux pour les photos , acclimater à l’altitude les plus sensibles et enrichir un peu les motos pour avancer à ces hauteurs .
Je trépigne un peu d’impatience car j’ai hâte d’atteindre ce col mythique le sommet du monde presque et celui d’une vie de motard. Mais petit à petit les 60 kms de la montée se font et enfin nous voilà au col : Le KARLUNGA !!!
Nous ne sommes pas les seul et une étrange pagaye règne que quelques militaires essayent de régler, peine perdu et chacun escalade l’escalier du petit temple qui couronne le sommet. Le manque d’oxygène se fait sentir et les pas un peu hésitant mais le plaisir d’être là compense tout. La descente se fait plus facilement et nous arrivons dans une maison typique Thybetainne tenu par des français qui nous réserve un accueil très sympathique. Le soir retour à LEH 4 Septembre : 200 Kms Nouvelle boucle pour terminer le voyage et passer encore deux jours en altitude au milieu de paysage fantastique . A nouveau nous suivons l’INDUS mais vers le sud .
Le fleuve devient beaucoup plus impétueux et large . Son franchissement sur de simple passerelle à voie unique est angoissante, mais comme le guide n’hésite pas nous suivons un par un, et ça passe facilement.
Toute la journée nous descendrons et monterons sans arrêt. Ces motos sont incroyables, elles passent partout, encaissent trous et bosses sans soucis. Sur tout le périple nous avons cassé un repose pied et perdu un feu arrière. Et en seconde elles reprennent à 500 tours et montent partout : cailloux, sable, épingles tout! Le soir nous arrivons travers des landes immenses sans pistes , a l’envie de chacun, au lac TSO MORIRI.
4700m . Encore plus grand que le dernier vu. 160 kms de long sur 40 kms de large. D’une beauté étourdissante au soleil couchant avec cette ceinture de sommets enneigés. Le bivouac est encore mieux situé que les autres. La soirée a durée plus que d’habitude car la fin approche et nous parlons beaucoup de toutes les aventures que nous avons vécu. La nuit a été agitée, car des chiens sauvages ont hurlés prés des tentes et il a fallu se lever pour les chasser. En Inde c’est souvent un problème ces chiens. 5. Septembre : 250 Kms
C’est le dernier jour en altitude, nous redescendons à LEH. Nous reprenons une partie de la autre vallée. Nous visitons une école pour les petits LADAKI , enfants de nomades et qui 5 mois de l’année reste à l’école pour avoir une base d’éducation. Après ils repartent avec leur parent vivre dans les montagnes, et très peu changent de vie.
Plus loin nous découvrons un lac salé blanc immaculé, mais impossible de rouler dessus, la croute ne peux supporter nos motos. Dans l’après midi nous arrivons à LEH. La soirée prévue par le guide nous permet de gouter à un repas de fête traditionnel. Genre de fondue dans du bouillon avec beaucoup de légumes et de beignets que nous apprécions tous. Retour au point de départ par la route. Nous retrouvons la circulation infernale du premier jour, et l’attention est soutenue. Le paysage est encore très beau.
Quelques temples émaillent les arrêts. Et nous voilà à la fin de l’aventure. Pour moi ce fut une vrai aventure, riche en sensations, émotions, émerveillements! Je vais garder un souvenir impérissable de ces moments. J’ai de nouveaux amis. Et j’ai qu’une envie recommencer!
Je vous conseille vivement de tenter cette aventure
7 Septembre. : DELHI
Journée de transition dans la capitale Indienne.
Impossible cette ville. 18 millions d’habitants.
Pollution , bruit, circulation, misère, tout est inimaginable ; Je n’avais qu’une envie partir !
8 Septembre. : Retour Delhi, Munich, Marseille
6 Septembre. : 250 kms
Amicalement..JEAN COUMES
Fin de cette fabuleuse aventure que nous a écrit JEAN COUMES que nous remercions vivement !!
CLUB5A - HUMOUR AUTO - MA FEMME A DISPARU .....
C'est un gars qui va au poste de police rapporter que sa femme a disparu :
Le gars : Ma femme est partie faire les boutiques et elle n'est pas revenue depuis deux jours.
Policier : Combien mesure-t-elle ?
Le gars : Je ne lui ai jamais demandé.
Policier : Maigre ou grosse ?
Le gars : Pas maigre ; elle est peut-être grosse.
Policier : Couleur des yeux ?
Le gars : Je ne saurais pas dire.
Policier : Couleur des cheveux ?
Le gars : Je ne sais plus, elle change chaque mois.
Policier : Qu'est-ce qu'elle portait ?
Le gars : Une robe ou un pantalon - me rappelle plus exactement.
Policier : Était-elle en voiture ?
Le gars : Oui
Policier : Description de la voiture, s'il vous plaît.
Le gars : Une Audi gris anthracite V6 super turbo 3.0 litre avec une transmission tiptronic semi-automatique à 6 rapports, phares LED à diodes, GPS intégré, sièges en cuir couleur chamois, attache-remorque, et une légère égratignure sur la porte du conducteur.
Et là, le gars se met à pleurer....
Policier : On se calme, on va la retrouver, votre voiture ?
Le gars : Ma femme est partie faire les boutiques et elle n'est pas revenue depuis deux jours.
Policier : Combien mesure-t-elle ?
Le gars : Je ne lui ai jamais demandé.
Policier : Maigre ou grosse ?
Le gars : Pas maigre ; elle est peut-être grosse.
Policier : Couleur des yeux ?
Le gars : Je ne saurais pas dire.
Policier : Couleur des cheveux ?
Le gars : Je ne sais plus, elle change chaque mois.
Policier : Qu'est-ce qu'elle portait ?
Le gars : Une robe ou un pantalon - me rappelle plus exactement.
Policier : Était-elle en voiture ?
Le gars : Oui
Policier : Description de la voiture, s'il vous plaît.
Le gars : Une Audi gris anthracite V6 super turbo 3.0 litre avec une transmission tiptronic semi-automatique à 6 rapports, phares LED à diodes, GPS intégré, sièges en cuir couleur chamois, attache-remorque, et une légère égratignure sur la porte du conducteur.
Et là, le gars se met à pleurer....
Policier : On se calme, on va la retrouver, votre voiture ?
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA 403 PEUGEOT ...LA PREMIÈRE MILLIONNAIRE DU LION !!
Peugeot 403, la discrète première millionnaire du lion..
Classique, discrète, un peu bourgeoise, la Peugeot 403 est encore très courante dans les rassemblements d’anciennes. C’est en parti dû à sa robustesse qui lui a permis de traverser les ans. Mais également au fait que, sans faire trop de bruit, elle a été la toute première lionne à dépasser le million d’exemplaires produits !
La genèse de la Peugeot 403 : évolution plus que révolution Après avoir relancé sa production après-guerre avec la 202, Peugeot a lancé la 203 sur le marché en 1948. C’est une voiture de 7cv fiscaux. Une auto du segment “moyen-haut” qui est relativement bien placée puisque aucun concurrent français n’est présent à ce moment là.
Aller plus loin : La Peugeot 203, la première lionne du renouveau.. La genèse de la Peugeot 403 : évolution plus que révolution Après avoir relancé sa production après-guerre avec la 202, Peugeot a lancé la 203 sur le marché en 1948. C’est une voiture de 7cv fiscaux. Une auto du segment “moyen-haut” qui est relativement bien placée puisque aucun concurrent français n’est présent à ce moment là.
Et même si la 203 possède une gamme complète, berline, coupé, cabriolet, fourgonnette, c’est tout de même le seul modèle automobile proposé par le lion. On s’affaire alors à préparer une auto qui devra en partie la seconder et en partie la remplacer !
Côté technique on ne va pas trop changer la recette gagnante de la 203 : structure monocoque, 4 cylindres en ligne à l’avant et propulsion.
Le moteur ne sera pas totalement identique. En faisant passer l’alésage de 75 à 80 mm on augmente la cylindrée qui atteint 1468 cm³ au lieu de 1290 cm³. La culasse en Alpax à chambres hémisphériques est aussi spécifique. La puissance passe alors à 58 ch DIN.
Les trains roulants seront eux aussi dans le même esprit que ceux de la 203 : roues indépendantes à l’avant et essieu rigide à l’arrière. C’est côté style qu’on va plutôt se démarquer. Quand la 203 possède une philosophie très américaine, en vogue au moment de son lancement, elle reste une auto à deux volumes. Sa remplaçante sera une auto à la ligne plus classique et surtout un tri-corps qui permettra d’avoir beaucoup plus de place dans le coffre.
Et pour la dessiner, Peugeot va aller chercher une des références de l’époque : la Peugeot 403 sera en effet la première collaboration entre le lion et Pinin Farina. Néanmoins l’italien n’a pas les coudées franches pour une auto qui doit rester très classique.
Source : newsdanciennes.com/-VAB - Magazine
La genèse de la Peugeot 403 : évolution plus que révolution Après avoir relancé sa production après-guerre avec la 202, Peugeot a lancé la 203 sur le marché en 1948. C’est une voiture de 7cv fiscaux. Une auto du segment “moyen-haut” qui est relativement bien placée puisque aucun concurrent français n’est présent à ce moment là.
Aller plus loin : La Peugeot 203, la première lionne du renouveau.. La genèse de la Peugeot 403 : évolution plus que révolution Après avoir relancé sa production après-guerre avec la 202, Peugeot a lancé la 203 sur le marché en 1948. C’est une voiture de 7cv fiscaux. Une auto du segment “moyen-haut” qui est relativement bien placée puisque aucun concurrent français n’est présent à ce moment là.
Et même si la 203 possède une gamme complète, berline, coupé, cabriolet, fourgonnette, c’est tout de même le seul modèle automobile proposé par le lion. On s’affaire alors à préparer une auto qui devra en partie la seconder et en partie la remplacer !
Côté technique on ne va pas trop changer la recette gagnante de la 203 : structure monocoque, 4 cylindres en ligne à l’avant et propulsion.
Les trains roulants seront eux aussi dans le même esprit que ceux de la 203 : roues indépendantes à l’avant et essieu rigide à l’arrière. C’est côté style qu’on va plutôt se démarquer. Quand la 203 possède une philosophie très américaine, en vogue au moment de son lancement, elle reste une auto à deux volumes. Sa remplaçante sera une auto à la ligne plus classique et surtout un tri-corps qui permettra d’avoir beaucoup plus de place dans le coffre.
Et pour la dessiner, Peugeot va aller chercher une des références de l’époque : la Peugeot 403 sera en effet la première collaboration entre le lion et Pinin Farina. Néanmoins l’italien n’a pas les coudées franches pour une auto qui doit rester très classique.
Source : newsdanciennes.com/-VAB - Magazine
dimanche 15 septembre 2024
CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS PLUS BELLES AVENTURES - LA TRANSHIMALAYENNE DE JEAN COUMES MOTARD DU CLUB DES 5A !! (EPISODE N°2)
Une belle journée nous attends, avec à plus de 5000m. La piste est à flanc de montagne creusée dans la paroi, interdit de tomber, la rivière coule 300m plus bas!
En douceur nous progressons au milieu de cette gorge impressionnante pendant plus de 40 kms. A midi repas dans un goula de bords de piste : A 11 personnes le repas complet et copieux, boissons comprises revient à 10e . Une famille Ladaki vit avec 5e par jour pour les plus aisée. Une bière vaut 10cts d’euros, la tournée pour les copains ne revient pas cher!
Reprise de la piste pour attaquer le col, mais l’imprévu nous attend , au détour d’un virage plus de piste un gigantesque éboulement nous barre le passage! Stop, que faire?
Après discussion avec des locaux , il faut se rendre à l’évidence. Nous sommes bloqués dans un trou paumé sans téléphone, sans couchage et avec peu de vivres. Nous laissons les motos et 4/4 à la garde des chauffeurs et partons à pied pour rejoindre un hameau 6kms plus bas. Et là, magie de ce pays et de ces habitants nous sommes accueillis comme des rois. Ils dégagent le premier étage d’une masure en construction, installent des nattes, des couvertures, des plaids et voilà un dortoir très acceptable pour tous. Un tuyau servira de douche froide et un repas nous attends !!!!
Que demander de mieux, moi qui voulait vivre une aventure je suis servi! Et le groupe se soude encore mieux ! A 3800m nous avons dormi comme des loirs même pas froid pourtant ils a eu zéro cette nuit .
31 Août : transition. 200kms en 4x4
Après concertation de l’ensemble du groupe et du guide, nous décidons de trouver une solution à notre problème par nous même puisque nous sommes isolés. Le guide emprunte une moto à un local et part chercher de quoi nous rapatrier vers LEH (capitale du LADAK) ou se trouve le centre technique de l’agence qui nous pilote. Repartir en arrière compromettrai le reste du voyage et le jour de repos prévu au milieu du séjour va servir à rattraper le temps perdu ce jour. Le repos ce sera à la maison, nous voulons rouler avant tout. Deux heures plus tard le guide est de retour avec 2 4/4 pour nous prendre en charge. Nous récupérons nos bagages, le mécanicien, laissons le chauffeur avec la garde des motos et de son 4/4, et nous voilà parti pour 8 heures d’essoreuse entassé dans les engins qui roulent « plein pots » pour nous emmener à LEH à la tombée de la nuit.
Entre temps le guide a pu réorganiser notre aventure et nous promet un périple plus beau que celui prévu. Malgré la fatigue nous sommes content et les lits de l’hôtel sont les bienvenus . Nous avons de nouvelles motos, toujours des ROYAL ENFIELD 500, un 4/4 avec notre mécano et un chauffeur et tout ce qu’il faut pour continuer l’aventure ! Départ à 7h »à , direction la vallée de l’Indus. Plus nous nous enfonçons au coeur de la haute vallée de l’Indus plus le paysage ressemble à un désert ponctué d’oasis au bord du fleuve. De 3500m à LEH nous grimpons petit à petit .
En début d’après-midi midi nous atteignons notre premier col à plus 5000M : le CHANGLA à 5200m . Une vue à couper le souffle, d’ailleurs certains ont vraiment le souffle court et souffrent de gêne. Le guide les incitent redescendre vite pour retrouver un mieux être. Pour moi pas de problème mais le manque d’oxygène se ressent quand même.Nous croisons les premiers YAKS dans la descente! En fin d’après midi nous arrivons au bord du lac PANGONG TSO 4300m ou nous allons bivouaquer . Cette étendue d’eau de 50 kms de long à cette altitude entourée de sommets à plus 6500m est magnifique et le soleil couchant le teintant de rouge flamboyant donne une atmosphère féerique.
Le bivouac est très confortable avec de grande tente garnie de vrai lit couvert de grosse couette, salle de bain mini mais je peux me doucher. A table de bon heure, et au lit les kms de pistes et l’altitude se fait sentir. 2 Septembre : 190Kms Le lever du soleil réchauffe doucement le paysage. Cette nuit il a fait -2°, mais je n’ai rien senti. Les motos nous attendent ronronnant doucement car notre mécano les bichonnent tous les jours. Le soir à l’arrivée il vient voir chacun pour savoir si un problème se pose après nettoyage, plein d’essence, graissage et le matin il les met en route et les chauffe. Le luxe quoi !! Direction HUNDAR dans la vallée du SHYOK .
Tout est minéral et désertique, la montagne dans toute sa splendeur avec des glaciers et des pics à 7000m autour de nous . La piste serpente le long de la rivière NUBRA et nous emmène au temple de DISKIT . Temple bouddhiste autrefois étape importante sur la route de la soie.
D’ailleurs des troupeaux de chameaux sauvages errent dans cette contrée, reste des caravanes, abandonnées et redevenus sauvages. Nous en croiserons peu à prés. Nouveau bivouac ce soir, même principe toujours aussi sympa, la douche sera un seau d’eau chaude ce soir.....A suivre !!!!
Amicalement
Jean COUMES
En douceur nous progressons au milieu de cette gorge impressionnante pendant plus de 40 kms. A midi repas dans un goula de bords de piste : A 11 personnes le repas complet et copieux, boissons comprises revient à 10e . Une famille Ladaki vit avec 5e par jour pour les plus aisée. Une bière vaut 10cts d’euros, la tournée pour les copains ne revient pas cher!
Reprise de la piste pour attaquer le col, mais l’imprévu nous attend , au détour d’un virage plus de piste un gigantesque éboulement nous barre le passage! Stop, que faire?
Après discussion avec des locaux , il faut se rendre à l’évidence. Nous sommes bloqués dans un trou paumé sans téléphone, sans couchage et avec peu de vivres. Nous laissons les motos et 4/4 à la garde des chauffeurs et partons à pied pour rejoindre un hameau 6kms plus bas. Et là, magie de ce pays et de ces habitants nous sommes accueillis comme des rois. Ils dégagent le premier étage d’une masure en construction, installent des nattes, des couvertures, des plaids et voilà un dortoir très acceptable pour tous. Un tuyau servira de douche froide et un repas nous attends !!!!
Que demander de mieux, moi qui voulait vivre une aventure je suis servi! Et le groupe se soude encore mieux ! A 3800m nous avons dormi comme des loirs même pas froid pourtant ils a eu zéro cette nuit .
31 Août : transition. 200kms en 4x4
Après concertation de l’ensemble du groupe et du guide, nous décidons de trouver une solution à notre problème par nous même puisque nous sommes isolés. Le guide emprunte une moto à un local et part chercher de quoi nous rapatrier vers LEH (capitale du LADAK) ou se trouve le centre technique de l’agence qui nous pilote. Repartir en arrière compromettrai le reste du voyage et le jour de repos prévu au milieu du séjour va servir à rattraper le temps perdu ce jour. Le repos ce sera à la maison, nous voulons rouler avant tout. Deux heures plus tard le guide est de retour avec 2 4/4 pour nous prendre en charge. Nous récupérons nos bagages, le mécanicien, laissons le chauffeur avec la garde des motos et de son 4/4, et nous voilà parti pour 8 heures d’essoreuse entassé dans les engins qui roulent « plein pots » pour nous emmener à LEH à la tombée de la nuit.
Entre temps le guide a pu réorganiser notre aventure et nous promet un périple plus beau que celui prévu. Malgré la fatigue nous sommes content et les lits de l’hôtel sont les bienvenus . Nous avons de nouvelles motos, toujours des ROYAL ENFIELD 500, un 4/4 avec notre mécano et un chauffeur et tout ce qu’il faut pour continuer l’aventure ! Départ à 7h »à , direction la vallée de l’Indus. Plus nous nous enfonçons au coeur de la haute vallée de l’Indus plus le paysage ressemble à un désert ponctué d’oasis au bord du fleuve. De 3500m à LEH nous grimpons petit à petit .
En début d’après-midi midi nous atteignons notre premier col à plus 5000M : le CHANGLA à 5200m . Une vue à couper le souffle, d’ailleurs certains ont vraiment le souffle court et souffrent de gêne. Le guide les incitent redescendre vite pour retrouver un mieux être. Pour moi pas de problème mais le manque d’oxygène se ressent quand même.Nous croisons les premiers YAKS dans la descente! En fin d’après midi nous arrivons au bord du lac PANGONG TSO 4300m ou nous allons bivouaquer . Cette étendue d’eau de 50 kms de long à cette altitude entourée de sommets à plus 6500m est magnifique et le soleil couchant le teintant de rouge flamboyant donne une atmosphère féerique.
Le bivouac est très confortable avec de grande tente garnie de vrai lit couvert de grosse couette, salle de bain mini mais je peux me doucher. A table de bon heure, et au lit les kms de pistes et l’altitude se fait sentir. 2 Septembre : 190Kms Le lever du soleil réchauffe doucement le paysage. Cette nuit il a fait -2°, mais je n’ai rien senti. Les motos nous attendent ronronnant doucement car notre mécano les bichonnent tous les jours. Le soir à l’arrivée il vient voir chacun pour savoir si un problème se pose après nettoyage, plein d’essence, graissage et le matin il les met en route et les chauffe. Le luxe quoi !! Direction HUNDAR dans la vallée du SHYOK .
Tout est minéral et désertique, la montagne dans toute sa splendeur avec des glaciers et des pics à 7000m autour de nous . La piste serpente le long de la rivière NUBRA et nous emmène au temple de DISKIT . Temple bouddhiste autrefois étape importante sur la route de la soie.
D’ailleurs des troupeaux de chameaux sauvages errent dans cette contrée, reste des caravanes, abandonnées et redevenus sauvages. Nous en croiserons peu à prés. Nouveau bivouac ce soir, même principe toujours aussi sympa, la douche sera un seau d’eau chaude ce soir.....A suivre !!!!
Amicalement
Jean COUMES
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - RETOUR SUR IMAGE : LE MONDIAL DE L'AUTO A FETE SES 120 ANS !
Le Mondial de l'Auto a fêté ses 120 ans avec une parade de voitures de collection dans Paris.
Le Mondial de l'Auto a lieu ! C'est le 120e salon réalisé à Paris autour de la voiture et autres appareils motorisés. Pour fêter cet anniversaire, des modèles de plusieurs générations ont paradé place de la Concorde. Retour en image. Le Mondial de l’Automobile a 120 ans et fête cela en faisant circuler des voitures de collection dans Paris.
La première année, l'Exposition internationale d’automobiles est créée par l’Automobile Club de France, sur la terrasse du Jardin des Tuileries. Au fur et à mesure, le salon grandit et s’installe au Grand Palais jusque dans les années 30 pendant lesquelles "le nombre d’exposants baisse et la pression des constructeurs étrangers se fait plus forte". Il est suspendu entre 1939 et 1945. L’année suivante, Paris est la première ville d’Europe à organiser un salon automobile après la Guerre.
Dans les années 50, les cycles et motos sont exposés Porte de Versailles et les premiers véhicules de loisir comme des caravanes sont exposés. En 1951, l’événement est appelé Salon de l’Automobile, du cycle et du motocycle. Il attire alors 810 000 personnes. Il franchit le cap du million de visiteurs en 1954. A partir des années 70, le salon est trop important. Il est totalement délocalisé Porte de Versailles et devient biennal.
Le salon est aujourd’hui le premier événement automobile par sa fréquentation : plus d’un million de visiteurs ont franchi les portes. Une parade haute en couleurs Pour célébrer les 120 ans, le Salon a organisé une parade dans Paris dimanche 30 septembre. Quelques 230 véhicules historiques circulaient dans la ville au départ de la place de la Concorde.
Source : usinenouvelle.com - Le Parisien
La première année, l'Exposition internationale d’automobiles est créée par l’Automobile Club de France, sur la terrasse du Jardin des Tuileries. Au fur et à mesure, le salon grandit et s’installe au Grand Palais jusque dans les années 30 pendant lesquelles "le nombre d’exposants baisse et la pression des constructeurs étrangers se fait plus forte". Il est suspendu entre 1939 et 1945. L’année suivante, Paris est la première ville d’Europe à organiser un salon automobile après la Guerre.
Dans les années 50, les cycles et motos sont exposés Porte de Versailles et les premiers véhicules de loisir comme des caravanes sont exposés. En 1951, l’événement est appelé Salon de l’Automobile, du cycle et du motocycle. Il attire alors 810 000 personnes. Il franchit le cap du million de visiteurs en 1954. A partir des années 70, le salon est trop important. Il est totalement délocalisé Porte de Versailles et devient biennal.
Le salon est aujourd’hui le premier événement automobile par sa fréquentation : plus d’un million de visiteurs ont franchi les portes. Une parade haute en couleurs Pour célébrer les 120 ans, le Salon a organisé une parade dans Paris dimanche 30 septembre. Quelques 230 véhicules historiques circulaient dans la ville au départ de la place de la Concorde.
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - 2CV (dont une Glaçauto) et protos Citroën bientôt aux enchères...
On vous l’a dit, les ventes aux enchères classiques repartent. Cette fois c’est l’Hôtel des Ventes de la Haute-Marne qui se fait remarquer avec une prochaine vente 100% voitures anciennes avec des deuches et un prototype Citroën au programme ! La vente en bref C’est le 14 Septembre, à Chaumont, qu’aura lieu la vente. C’est un petit catalogue qui sera proposé avec (pour l’instant) moins de dix voitures inscrites. Toutes sont des Citroën et seront visibles dans les jours précédant la vente vers Troyes pour les 2CV et du côté de Vichy pour les deux autos plus originales.
Toutes les infos seront sur Interenchères (où vous pourrez également enchérir en ligne), c’est par ici. Notez que la catalogue n’est pas encore complètement mis en ligne et que cette vente se fera avec des frais réduits à 12% (acheteur et vendeur).
La collection de Citroën 2CV
Ce sont bien les deuches qui seront à l’honneur de la vente. Ces autos font partie d’une collection familiale et illustrent bien qu’on retrouvait de ces voitures partout en France. Ainsi, la plupart des voitures de la collection viennent de l’Aube et n’ont donc jamais quitté le département.
Deux de ces 2CV montrent des équipements originaux.
On commence avec la Glaçauto. C’est une transformation proposée par la société du même nom qui transformait une camionnette en break. On ajoutait des vitres à l’arrière et une banquette et le tour était joué. L’AZU qui sert de base est de 1963, l’auto roule régulièrement après une grosse restauration et elle est estimée entre 10 et 15.000€.
La seconde est une ENAC. Là, c’est un peu une transformation inverse puisqu’on partait d’une 2CV Berline pour en faire un possible utilitaire. La banquette était modifiée pour se plier et se rabattre tandis que la malle s’ouvrait avec la lunette arrière. Un vrai hayon ! La base de cette auto est une AZA de 1963 qui roule régulièrement et qui est estimée entre 6500 et 8000€.
On note une autre 2CV remarquable dans ce catalogue : une A de 1953.
Entrée dans la collection en 1997, elle a été entièrement restaurée, petit à petit et elle est bien entretenue. Elle est estimée entre 10 et 14.000€.
Les trois 2CV suivantes de la vente sont finalement plus classiques. On commence avec la AZLP de 1963 bien entretenue et estimée entre 5000 et 7000€.
On poursuit avec la belle AZAM de 1966. Entrée dans la collection en 1997, restaurée, elle aussi, en plusieurs fois, elle est estimée entre 8000 et 12.000€.
La dernière des deuches est une fourgonnette classique, une AZUA de 1969 et qui fut achetée en 1994 par le fils du propriétaire actuel. Dans son jus, avec un moteur AYA, traitée contre la corrosion et roulant régulièrement, elle est estimée entre 6000 et 9000€.
Deux Citroën plus originales
Il n’y aura pas que des deuches au programme ! On retrouvera également une Citroën XM de 1991 (est. 1500-2500€) mais aussi deux autos bien plus originales, c’est elles qui seront à voir près de Vichy.
La première de ces autos est une maquette du proto Eco 2000 de Citroën. En fait, 4 Eco 2000 ont été présentées entre 1982 et 1984. Cette série d’études avait pour but de présenter les recherches sur le plan aérodynamique de Citroën et aucune de ces autos n’ira jusqu’à la série. Ici c’est une maquette qui est proposée, particulièrement utile pour montrer le Cx de 0,321. Elle est estimée entre 2000 et 3000€.
La seconde auto est une Citroën Xantia Break de 1995. Transformée pour un véhicule de démonstration, elle était exposée à la Cité des Sciences et de l’Industrie. Des boutons permettait d’allumer des spots ssur la voiture et d’autres de la faire parler. Elle donnait surtout des infos sur la recyclabilité des voitures en fin de vie.
Si elle n’a pas de moteur et n’est plus fonctionnelle, elle pourrait le redevenir facilement. Elle est estimée entre 1500 et 2500€.
On surveillera de près cette vente qui devrait attirer les fans des chevrons !
Source : newsdanciennes.com-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
samedi 14 septembre 2024
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