Comme convenu, par ces quelques lignes, je viens raconter pour nos amis du club des 5A mon dernier voyage moto.
LADAK (INDE) :
La Transhimalayenne. Septembre 2019.
Certains d’entre vous qui me connaissent bien savent que je voyage beaucoup en moto depuis plusieurs années .
J’ai parcouru l’Europe du Nord au Sud et le Magreb aussi, mais cette année j’ai décidé de découvrir d’autres horizons.
L’Himalaya m’attire depuis longtemps. Je vais donc réaliser ce rêve grâce à un organisme spécialisé car cette aventure ne peux s’envisager seul sans connaissance de la région.
Départ le 25 Août :
Marseille, Delhi, Dharamsala pour rejoindre le groupe de motard avec lequel je vais partager cette belle aventure :
16 jours de moto, 1830 kms, altitude moyenne 4000m, plusieurs cols à 5000m et le col routier le plus haut du monde à 6200m.
Tout ça au LADAK province la plus au nord de l’Inde au cœur de l’Himalaya entre la Chine et le Pakistan.
Voilà en résumé le programme!
Nous sommes donc 8 motards d’horizons différents qui nous retrouvons pour le premiers briefing de notre guide et faire connaissance. Romain nôtre guide Français nous détaille le programme et les consignes sécurités , en particulier face à l’altitude et au MAM ( mal altitude montagne). En plus du guide, un 4/4 nous accompagne avec un chauffeur et un mécanicien, transportant des pièces, de l’essence, de l’oxygène et nos bagages.
Le groupe sympathise très vite surtout après la prise en main de nos motos : des ROYAL ENFIELD bien sur, des 500 mono dernière génération en parfait état .
Départ pour Mc LEOD GANJ « le petit Lhassa, résidence actuelle du Daïli Lama. Journée touristique pour se mettre en jambes et progresser vers les premières pentes montagneuses.
Paysages très vert et colorés avec des routes revêtues de goudrons mais pleines de trous et surtout avec une circulation incroyable ou tout peu arriver !
Les vaches évidemment, les vélos, les chars tirés par des ânes, les piétons et surtout les camions fonçant droit devant eux Klaxons bloqués; ou votre seul salut c’est de se jeter sur le bas côté à droite ou à gauche suivant le moment car en principe la conduite se fait à gauche, en principe !
Mais on s’y fait très vite et la bas le klaxon est aussi utile que les freins.
Les choses sérieuses commencent .
Aujourd’hui les pistes sont là et l’altitude augmente, col Kadjira 2400m .
Le paysage se transforme peu à peu et devient plus aride et la circulation plus parsemée. Après le repas de midi pris dans un resto de bord de piste ( GOULA ici), nous attaquons le sommet de la journée le SACHS PASS 4700m, par une piste délicate, ou notre guide nous recommande la prudence.
En effet après une belle partie de tout terrain nous arrivons dans le brouillard au SACHS PASS. La température est descendue à 8° et le TCHAÏ servi dans le Goula du sommet est bienvenu. (TCHAÏ c’est un thé noir au lait avec beaucoup d’épices servi bouillant, c’est le breuvage national)
Descente prudente vers CHAMBA pour loger dans un petit hôtel familial accueillant et reposant suite aux efforts.
Journée de pistes variées qui à travers le versant de la première barrière himalayenne nous conduit vers KILAR.
C’est une succession de virages, de grimpettes, de surplomb au-dessus de nos têtes, de précipices, de gués et de cascades passant en fracas assourdissant au moment le plus inattendu.
Mais la magie opère et le spectacle est superbe. Au niveau conduite c’est physique et toute l’attention est retenue. Mais les nombreux arrêts photos et les pauses permettent de profiter des vues magnifiques . Quelques glissades de certains agrémentent aussi le parcours, tout cela dans de grandes rigolades qui forgent bien l’union du groupe. Et le soir à l’étape malgré la fatigue, nous rigolons encore de ces incidents sans gravités.
Malgré un kilométrage réduit la journée promet d’être rude, car nous devons atteindre un plateau à plus de 4000m et nous allons rester à cette altitude pour de nombreux jours. Les pistes sont là et le paysage devient de plus en plus minéral et la végétation de plus en plus maigre.
Ça y est nous sommes sur le plateau , l’immensité s’étend devant nous entourée de sommets enneigés à plus de 6000m.
Logements chez l’habitant ce soir. Ce qui fait un des attrait de ce voyage c’est aussi ce contact avec la population et les quelques échanges possible avec un peu d’anglais des gestes et beaucoup de rires.
Fin du 1er épisode...à suivre !!
Amicalement
Jean COUMES
samedi 14 septembre 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Plus de Cent ans de Citroën en images......
La Traction, la DS, la 2CV, la Méhari... Les plus belles réussites de la marque au double chevron.
Fondée en juin 1919, Citroën a créé les plus flamboyants et les plus originaux des modèles de l’industrie automobile française.
Championne de l’innovation avec la Traction et la DS, la marque au double chevron a également su proposer des modèles populaires comme la 2CV ou la BX voire légèrement déjantés avec la Méhari et l’Ami 6.
Constructeur populaire, la firme centenaire créée par André Citroën et longtemps installée quai de Javel, à Paris, s’est aussi essayée au haut de gamme avec la SM.
Source :lefigaro.fr- Direct Auto
Championne de l’innovation avec la Traction et la DS, la marque au double chevron a également su proposer des modèles populaires comme la 2CV ou la BX voire légèrement déjantés avec la Méhari et l’Ami 6.
Source :lefigaro.fr- Direct Auto
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - À Chantilly, plus d’un siècle d’automobiles ...
Dans un décor bucolique magnifique, le long des canaux et des bassins, il ajoute une inimitable touche d’art de vivre à la française. Outre de nombreuses animations, de 7 à 77 ans, - balade en calèche, voitures à pédales, régates d’Optimist, tirs à la corde ou à la carabine -, il est possible de pique-niquer sur les pelouses, à proximité des automobiles présentées par les clubs de marque.Mais le clou du spectacle est sans conteste la sélection de près d’une centaine de véhicules provenant des plus grandes collections de la planète et concourant pour le titre envié de Best of Show. Ces chefs-d’œuvre, parfois à exemplaire unique, se répartissent entre 15 classes, auxquelles il faut ajouter celle dédiée au moteur boxer des motos BMW.
À Chantilly, plusieurs fleurons célèbrent leur anniversaire: les 100 ans de la Bugatti 35, les 70 ans de la Mercedes 300 SL, les 50 ans du début de la production de la Lamborghini Countach. La production italienne occupe le devant de la scène entre les Maserati à carrosserie spéciale, les 40 ans de Lancia de rallye, les Ferrari de course 4 et 6 cylindres, les Ferrari de l’importateur français Charles Pozzi, et les réalisations auxquelles a contribué l’ingénieur Carlo Chiti. On n’y trouve rien de moins que la Ferrari 250 GTO mais également toutes les Alfa Romeo de course, de 1964 à 1975.
Assurant un trait d’union avec le futur de l’automobile, une place de choix est aussi accordée aux derniers concept cars des constructeurs qui défilent dans le cadre d’un concours d’élégance. Renault y présentera pour la première fois au public sa R17 Restomod. DS a aussi choisi l’événement oisien pour dévoiler sa vision de la SM de demain. À Chantilly, l’automobile se conjugue à tous les temps.
Source : lefigaro.fr - Sylvain Reisser-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LE TROPHE DE L'ILE DE MAN EN 1922..L'ILE DE MAN EN MODE COMPETITION AUTOMOBILE !!
Rares images et photographies d’époque du Trophée Touristique de l’Île de Man en 1922 remportant le "Straight Eight Sunbeam VII" !!
Sunbeam, le seul constructeur britannique engagé dans la course internationale est sorti de la Grande Guerre bien placé pour fusionner avec deux autres entreprises au pedigree de course notable. Avec Talbot et Darracq, ils ont formé le STD Combine. STD devait devenir un acteur dominant dans les records de vitesse terrestre, les courses de Grand Prix et de Voiturette en Grande-Bretagne et à l'étranger. Les voitures de course STD utilisant des châssis et des moteurs identiques devaient être désignées différemment comme Sunbeam, Talbot ou Talbot Darracq en réponse aux différents événements ou pays auxquels elles ont participé.
Les départements expérimentaux hautement évolués de Wolverhampton et de Suresnes ont coopéré au développement et à la construction méticuleux de ces belles machines entièrement fabriquées à la main. Ces voitures de course à tolérance zéro ont été usinées, pour ainsi dire, à partir de billettes solides. Le programme de course était vaste; des carrosseries légères alternatives sur mesure, des rapports de pont spécifiques et des moteurs adaptés à chaque événement ont été formés. La force motrice derrière le STD et son programme de course était le charismatique et ingénieux Breton Louis Coatalen .
Le concepteur, ingénieur et coureur Coatalen a été inspiré par la conviction que "la course améliore la race". Tout en catapultant STD aux plus hauts échelons du sport, avec de nombreux succès encore légendaires aujourd'hui, la politique de course coûteuse a peut-être finalement conduit à la disparition de l'ancien puissant STD Combine. Sa fusion ultérieure avec le groupe Rootes était loin d'être glorieuse. À l'inverse, il se peut que la perte de direction et le retrait de STD de la course à la fin de la période Vintage aient été la véritable source de leur disparition. Coatalen a soutenu que les onces du moteur se traduisent par des livres de la voiture; ce principe de conception simple associé à un équilibrage, un refroidissement et une lubrification minutieux a produit des moteurs vraiment élégants.
Le comportement du châssis de Coatalen est presque magique et cela, associé à un support technique sophistiqué et aux plus grands talents de course, a conduit l'entreprise à un âge d'or de succès en course, dont on n'a pas vu en Grande-Bretagne pendant de nombreuses décennies .
Au cours de son apogée avant les années 1930, STD était constamment et pleinement engagé dans la course internationale au plus haut niveau et était synonyme de British Racing.
Source : wikiwand.com/-GRAND PRIX SUNBEAMS
vendredi 13 septembre 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - RESTAURATION D'UNE 125 HONDA CBS !!
Restauration125 CBS de 1972
Ce n’était pas gagné : la mécanicienne n’avait jamais mécaniqué (son amour pour les deux roues était né d’une sortie en 50cc un an auparavant, au cours de laquelle elle avait appris à démarrer, à rigoler, et à faire la course !!!)
Achat de la « bête » le 7 janvier 2016, il a fallu obtenir la carte grise… Avec un vendeur peu coopératif, elle n’est arrivée que le 23 février. Ça m’a encouragée à suivre la « formation 125 » : papier en poche le 27, des fois que j’arriverais à la faire rouler en une semaine !!!
Entre-temps j’avais listé les défauts esthétiques :
- état général : très rouillée ; moteur non bloqué ; 14000km affichés non garantis
- absence de clé de contact, cache latéral gauche, pare-chaîne inférieur, bavettes, rétroviseurs, catadioptres
- garde-boue avant recoupé
- échappement troué
- joint de bouchon d’essence en liège tout desséché
- levier de frein cassé - intérieur de réservoir tout rouillé...
Jean-Marc m’a fourni La Bible : RMT, manuel d’atelier, et parts-list. Ensuite c’est devenu un travail d’équipe : tous les membres du Forum Honda 70s
m’ont accompagnée jour après jour dans cette restauration. Ça a commencé par « comment on fait pour enlever la selle et le réservoir, et accéder dessous à ce mélange de fils et de pièces métalliques mystérieuses ? »
Et ça a fini par un dépeçage total, vis après vis, timidement, me disant chaque fois « celle-ci seulement hein, tu la sors tu l’astiques et tu la remets en place aussitôt sinon tu ne sauras plus où elle va » Je me suis mise aussi en quête de pièces sur Internet, découvrant que parfois il est préférable de modifier (réalésage, soudures) voire remplacer par du neuf (piston, pignons). J’ai appris à souder, ou plutôt braser, et ainsi réparé mon contacteur HS J’ai appris à rétamer pour redonner sa forme au garde-boue Refusé catégoriquement de démonter les rayons des roues, je ne veux pas la remettre à neuf, je veux rouleeeeeeeeeer !
Gratter, poncer, peindre c’est devenu des automatismes Pas osé m’attaquer au réservoir : décidé de conserver l’état extérieur, et fait résiner l’intérieur Demander où on rebranche les câbles dont je ne sais même pas à quoi ils servent Nettoyer les commodos et courir après les billes baladeuses !!!
Nettoyer un robinet d’essence vieux de 40 ans et découvrir des joints, tamis, mini-tuyaux de laiton bien amochés Tester l’étincelle à la bougie, démonter-remonter l’anti-parasites, nettoyer-poncer les grains du rupteur, et le 5 juin 2016 direction le garage moto de Castelnaudary pour la décorer d’une plaque d’immatriculation !!!
Elle posait toujours quelques problèmes : remplacement du joint spi de sortie de boîte qui fuyait, rectification du conduit de boisseau du carburateur : déformé il coinçait le boisseau en position accélération et je freinais des pieds !!! Remplacement du flotteur percé, qui coulait rempli de carburant (après moult tentatives de brasure…)
Pendant l’été j’ai « trouvé » la clé pour les bouchons des culbuteurs, et atténué le claquement des soupapes. Restait le bruit de la chaîne de distribution : j’avais décidé d’ouvrir le moteur pendant l’hiver…
En septembre le ressort de kick s’est cassé, m’obligeant à précipiter mon programme !
Depuis septembre l’an dernier j’ai donc pénétré dans le Saint des Saints : l’intérieur d’un moteur ! Quel bonheur ! J’étais aux commandes ! C’est moi qui ai tout démonté et remonté… Remplacement de la chaîne de distribution et ses deux pignons, du piston après réalésage de la chemise ; rectification des queues des deux soupapes ; remontage de la boîte de vitesses en plusieurs fois avant de ne plus oublier de rondelle et de mettre tous les pignons dans le bon sens ; réglages de l’avance à l’allumage, de l’avance centrifuge, du jeu aux soupapes et aux grains du rupteur…
Le lève-soupapes, la pince à circlips et la clé dynamométrique déposés au pied du sapin par le Père Noël ont été appréciés comme les plus beaux jouets de la création !!! Le ressort en se cassant avait cassé les nervures du carter : rendez-vous chez le spécialiste des soudures moto Toulousaing : Momo Une fois remonté le moteur en juillet je me suis crue au bout de mes peines mais non : impossible de la démarrer toute seule… Révision du circuit électrique de façon à ce qu’elle ne cale plus lorsque je mets les phares, remplacement de l’anti-parasites, de la bobine d’allumage…
Première sortie sur Ma Belle avec le Club des 5A en octobre : elle roule bien !!! Le problème subsiste : difficulté au démarrage, à froid… Et aussi j’entends un grésillement ou plutôt un claquement régulier en 3ème vitesse quand j'arrive à 40km/h, ça recommence en 4ème à 50km/h, et encore en 5ème à 60km/h... A peaufiner donc, car l’objectif est qu’elle m’amène aux 1000vaches 2017 à Meymac le WE du 10 décembre, retrouver une belle brochette de motards de mon forum !!! Pour répondre à quelques membres du Club des 5A, OUI c’est possible de ressusciter une moto…
Même pour un débutant, même pour une fille, même dépourvue de patience !!! Pour certains en solitaire à l’aide de lectures comme la RMT, pour d’autres en communiquant sur un forum avec des passionnés (professionnels pour certains)…
Merci ISE de nous avoir relaté tes aventures sur la restauration de ta 125 HONDA CBS et chapeau bas pour le travail accompli !!!!
Vous aussi membres des 5.A vous avez surement une restauration ou une histoire à nous raconter...alors n'hésitez pas !!!
Ce n’était pas gagné : la mécanicienne n’avait jamais mécaniqué (son amour pour les deux roues était né d’une sortie en 50cc un an auparavant, au cours de laquelle elle avait appris à démarrer, à rigoler, et à faire la course !!!)
Entre-temps j’avais listé les défauts esthétiques :
- état général : très rouillée ; moteur non bloqué ; 14000km affichés non garantis
- absence de clé de contact, cache latéral gauche, pare-chaîne inférieur, bavettes, rétroviseurs, catadioptres
- garde-boue avant recoupé
- échappement troué
- joint de bouchon d’essence en liège tout desséché
- levier de frein cassé - intérieur de réservoir tout rouillé...
Jean-Marc m’a fourni La Bible : RMT, manuel d’atelier, et parts-list. Ensuite c’est devenu un travail d’équipe : tous les membres du Forum Honda 70s
m’ont accompagnée jour après jour dans cette restauration. Ça a commencé par « comment on fait pour enlever la selle et le réservoir, et accéder dessous à ce mélange de fils et de pièces métalliques mystérieuses ? »
Et ça a fini par un dépeçage total, vis après vis, timidement, me disant chaque fois « celle-ci seulement hein, tu la sors tu l’astiques et tu la remets en place aussitôt sinon tu ne sauras plus où elle va » Je me suis mise aussi en quête de pièces sur Internet, découvrant que parfois il est préférable de modifier (réalésage, soudures) voire remplacer par du neuf (piston, pignons). J’ai appris à souder, ou plutôt braser, et ainsi réparé mon contacteur HS J’ai appris à rétamer pour redonner sa forme au garde-boue Refusé catégoriquement de démonter les rayons des roues, je ne veux pas la remettre à neuf, je veux rouleeeeeeeeeer !
Gratter, poncer, peindre c’est devenu des automatismes Pas osé m’attaquer au réservoir : décidé de conserver l’état extérieur, et fait résiner l’intérieur Demander où on rebranche les câbles dont je ne sais même pas à quoi ils servent Nettoyer les commodos et courir après les billes baladeuses !!!
Nettoyer un robinet d’essence vieux de 40 ans et découvrir des joints, tamis, mini-tuyaux de laiton bien amochés Tester l’étincelle à la bougie, démonter-remonter l’anti-parasites, nettoyer-poncer les grains du rupteur, et le 5 juin 2016 direction le garage moto de Castelnaudary pour la décorer d’une plaque d’immatriculation !!!
Elle posait toujours quelques problèmes : remplacement du joint spi de sortie de boîte qui fuyait, rectification du conduit de boisseau du carburateur : déformé il coinçait le boisseau en position accélération et je freinais des pieds !!! Remplacement du flotteur percé, qui coulait rempli de carburant (après moult tentatives de brasure…)
Pendant l’été j’ai « trouvé » la clé pour les bouchons des culbuteurs, et atténué le claquement des soupapes. Restait le bruit de la chaîne de distribution : j’avais décidé d’ouvrir le moteur pendant l’hiver…
En septembre le ressort de kick s’est cassé, m’obligeant à précipiter mon programme !
Depuis septembre l’an dernier j’ai donc pénétré dans le Saint des Saints : l’intérieur d’un moteur ! Quel bonheur ! J’étais aux commandes ! C’est moi qui ai tout démonté et remonté… Remplacement de la chaîne de distribution et ses deux pignons, du piston après réalésage de la chemise ; rectification des queues des deux soupapes ; remontage de la boîte de vitesses en plusieurs fois avant de ne plus oublier de rondelle et de mettre tous les pignons dans le bon sens ; réglages de l’avance à l’allumage, de l’avance centrifuge, du jeu aux soupapes et aux grains du rupteur…
Le lève-soupapes, la pince à circlips et la clé dynamométrique déposés au pied du sapin par le Père Noël ont été appréciés comme les plus beaux jouets de la création !!! Le ressort en se cassant avait cassé les nervures du carter : rendez-vous chez le spécialiste des soudures moto Toulousaing : Momo Une fois remonté le moteur en juillet je me suis crue au bout de mes peines mais non : impossible de la démarrer toute seule… Révision du circuit électrique de façon à ce qu’elle ne cale plus lorsque je mets les phares, remplacement de l’anti-parasites, de la bobine d’allumage…
Première sortie sur Ma Belle avec le Club des 5A en octobre : elle roule bien !!! Le problème subsiste : difficulté au démarrage, à froid… Et aussi j’entends un grésillement ou plutôt un claquement régulier en 3ème vitesse quand j'arrive à 40km/h, ça recommence en 4ème à 50km/h, et encore en 5ème à 60km/h... A peaufiner donc, car l’objectif est qu’elle m’amène aux 1000vaches 2017 à Meymac le WE du 10 décembre, retrouver une belle brochette de motards de mon forum !!! Pour répondre à quelques membres du Club des 5A, OUI c’est possible de ressusciter une moto…
Même pour un débutant, même pour une fille, même dépourvue de patience !!! Pour certains en solitaire à l’aide de lectures comme la RMT, pour d’autres en communiquant sur un forum avec des passionnés (professionnels pour certains)…
Merci ISE de nous avoir relaté tes aventures sur la restauration de ta 125 HONDA CBS et chapeau bas pour le travail accompli !!!!
Vous aussi membres des 5.A vous avez surement une restauration ou une histoire à nous raconter...alors n'hésitez pas !!!
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Renault fait revivre son coupé 17...
Renault fait revivre son coupé 17 Résultat d'une coopération entre ses stylistes et le designer Ora Ïto, la firme au losange réinterprète son coupé de grand tourisme du début des années 1970. Dimanche 15 septembre, le public du concours d'élégance de Chantilly aura la primeur de cette œuvre unique. Remettre au goût du jour une Renault 17 ? Ce qui n'était à l'arrivée d'Arnaud Belloni à la direction du marketing de la firme au losange qu'une aspiration sinon un défi lancé lors d'une discussion de fin de soirée s'est finalement concrétisé. À partir d'un coupé R17 appartenant à son musée, Renault s'est donc associé au designer Ora Ïto, qui n'est autre que le fils du joaillier Pascal Morabito, pour donner naissance à un restomod. Cet anglicisme cache une voiture du passé modernisée et équipée des technologies modernes.
Renault est devenu un adepte de ce genre d'exercice. En 2022, le concept R5 Turbo 3E avait ravivé la flamme de la fameuse R5 Turbo qui avait marqué les années 1980. Comme elle, la R17 Ora Ïto fera ses débuts publics lors du concours d'élégance de Chantilly, dimanche 15 septembre, avant de devenir l'une des attractions du Mondial de l'Automobile, organisé du 14 au 20 octobre à Paris. Cinquante-trois ans plus tôt, Renault était déjà l'attraction du salon de Paris avec son nouveau coupé de grande série. À l’époque, l'entreprise s'inscrivait dans une volonté de véhiculer une image plus dynamique. En face, Peugeot pouvait compter sur ses coupés et cabriolets 304 et 504.
C'est ainsi que sur la base de la berline R12, Renault avait développé les coupés R15 et R17. La gamme se composait de trois carrosseries - un coach avec des vitres de custode à l'arrière, un coupé et un coupé à toit ouvrant en vinyle - et de trois motorisations, les 4-cylindres 1,2 litre 60 ch de la R12, 1,5 litre 90 ch de la R16 et le 1,5 litre 108 ch à injection de la R12 Gordini. Produits jusqu'en 1979 à un peu plus de 300 000 unités dont près de 95 000 R17, ces coupés furent remplacés par la Fuego. Ils font aujourd'hui les beaux jours des amateurs de youngtimers lorsque l'on arrive à dénicher un exemplaire en bon état, tant il est vrai que les R15 et R17 ont disparu de la circulation.
Lancée au début de l'année 2024, la collaboration entre Ora Ïto et l'équipe du design du Technocentre Renault a ainsi accouché d'une super R17.
Les formes évoquent quelque chose de connu mais les galbes et les volumes attestent que l'on évolue dans une autre dimension.
À partir du châssis monocoque de la R12, les designers ont conservé les portières, le vitrage et la cellule centrale mais la carrosserie élargie de 17 centimètres semble gonflée aux amphétamines. À ses côtés, l'originale avec sa longueur de 4,25 m et sa largeur de 1,63 m, paraît presque un jouet. Ailes gonflées, grosses jantes pleines, bas de caisse et projecteurs rectangulaires à la place des feux ronds, bandeau lumineux à l'arrière, peinture brun Galactique : la R17 du XXIe siècle semble sortir d'un film de science-fiction. Selon le designer quadra qui s'est fait connaître en revisitant le style d'objets de design ou de maroquinerie, le travail mené avec Gilles Vidal, le directeur du design Renault, et Sandeep Bhambra, le responsable du design des concepts Renault, avait «pour mission le thème rétrofuturiste, presque cinématographique.
J'ai voulu draper la Renault 17 d'une seconde peau pour la magnifier et la ramener dans notre époque avec ma propre grammaire : de la fluidité, du dynamisme, de la rationalité et ma signature : la simplexité. J'ai voulu simplifier des éléments complexes.»
À l’intérieur, place aussi au modernisme. Certes, Ora Ïto s'est tout de même appliqué à conserver l'esprit originel. À la place d'une instrumentation reposant sur quatre compteurs ronds individuels logés sous une casquette, on trouve quatre blocs rectangulaires à affichage numérique sur fond rouge. Le volant à une branche horizontale rappelle aussi celui de la R17 de 1971. La modernité transpire aussi dans le traitement de la sellerie.
Reflet de notre époque, les sièges en skaï cèdent leur place à un revêtement inspiré du monde de l'ameublement : laine Mérinos très fine en satin chiné pour la partie marron et un bouclé de laine léger pour le tissu beige.
Sous sa peau en carbone permettant de maîtriser la masse à moins de 1,5 tonne, la motorisation à essence est remplacée par une chaîne de traction électrique. Placée à l'arrière, la batterie de 50 kWh alimente une machine électrique de 270 chevaux entraînant les roues arrière. Chez Renault, on a tenu à préciser que ce concept ne préfigurait pas un véhicule de série. Mais, les idées qu'il véhicule nourriront l'inspiration des designers de la marque au losange.
Source :lefigaro.fr - Sylvain Reisser-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - LA NATIONALE 7 ...LA ROUTE MYTHIQUE DES VACANCES ...
En route pour les années 1960
Chantée par Charles Trenet, la Nationale 7 n'a jamais eu autant de succès qu'aujourd'hui. un musée, des livres, entièrement consacrés à la route des vacances, nous entraînent sur la "7". caravane, plaques émaillées et bornes kilométriques, des passionnés perpétuent la mémoire de leur village à travers la plus célèbre route de France.
Nostalgie.
Si vous avez aimé cette vidéo, Abonner vous a la chaine et n'hésitez pas à laisser un petit "j'aime" ou un "pouce bleu" Merci à vous... et Bon visionnage.
La route nationale 7, ou RN 7, ou encore N 7, parfois également appelée la « route Bleue » ou encore la « route des vacances » (bien que le trajet diffère entre Roanne et Valence), était la plus longue des routes nationales de France avec 996 km. Avant son déclassement partiel, elle reliait Paris à Menton via l'ouest de la Bourgogne, le nord de l'Auvergne, la vallée du Rhône, le massif de l'Esterel et la Côte d'Azur.
Source : JACK Anzalone
jeudi 12 septembre 2024
CLUB5A - Le Salon Auto-Moto Classic au MEETT de Toulouse un rendez-vous incontournable pour les passionnés de véhicules anciens...
Le Salon Auto-Moto Classic au MEETT de Toulouse : un rendez-vous incontournable pour les passionnés de véhicules anciens Du 6 au 8 septembre 2024, le Parc des Expositions de Toulouse à accueillit la 7ème édition du Salon Auto-Moto Classic, le plus grand événement du genre dans le Grand Sud.
Un programme riche et varié :
• Exposition exceptionnelle sur les liens entre l’automobile et l’aéronautique : à la découverte des avions vintage et des photos retraçant l’histoire commune de ces deux industries.
•
American Day : une ambiance festive avec 700 véhicules américains, show danse, DJ, groupes rockabilly, food trucks et la présence de Gerry Blyenberg et Aurélien Letheux de l’émission Wheeler Dealers France.
• Anniversaires de prestige : le public a pu admirer des plateaux exceptionnels célébrant les 100 ans de MG, les 90 ans de la Traction Avant, les 70 ans de Facel Vega, les 60 ans de Mustang et les 50 ans de la Citroën CX.
• Hommage à Panhard & Levassor : 20 véhicules d’exception de la « doyenne des marques » ont été exposés, dont le plus ancien bateau à moteur de 1904.
• Vente de véhicules d’avant 1994 entre particuliers : c’était une occasion unique de trouver la perle rare.
• Plateaux motos : les belles Italiennes ont été à l’honneur avec Maserati et Ducati.
• Traversée historique de Toulouse : près de 200 voitures et motos d’exception ont défilé dans la ville le dimanche 8 septembre.
• Nombreuses animations : simulateur de conduite, circuit radiocommandé, visite d’un camp militaire, grande roue et grand jeu gratuit avec de nombreux lots à gagner étaient à la disposition des visiteurs…
C’était un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les amoureux de belles mécaniques !
Merci à Jean Guilhaumon pour les photos...
CLUB5A - Salon des Associations du 7 septembre 2024 à Carcassonne....Le club 5A faisait salon !
Ce samedi matin, quelques membres des 5A se sont retrouvés au square André Chénier à Carcassonne pour installer un stand afin de participer au Forum des associations.
Pendant ce temps, notre Président et quelques amis étaient à Toulouse pour un salon régional.
Les familles Raynaud, Serra, Corinne et moi-même avons accueilli toute la journée les visiteurs intéressés par les activités de notre club.
Marlène Foli nous a rejoints dans l'après-midi et tous ont été heureux de la voir de retour…
Jean-Pierre Limousis et Jean-Luc Arpin sont venus gentiment avec une moto et un Solex compléter la petite exposition de voitures représentatives de la vie du club.
Le temps était incertain et venteux, mais heureusement, jusqu’au bout, pas de pluie et nous a permis de remplir la mission agréablement.
Beaucoup de visiteurs se sont arrêtés au stand des 5 A pour avoir des renseignements.
À tour de rôle, Dominique Garcia, Corinne CILIA et les familles SERNA et RAYNAUD les renseigneraient.
Une journée conviviale pour tous les bénévoles du club des 5A.
Maintenant, nous nous préparons à retrouver nos adhérents pour finir cette année avec encore une multitude de sorties.
Pensez à vous inscrire le plus tôt possible pour faciliter l'organisation.
Texte et photos : Dominique Garcia et Sylvie Raynaud
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Circuit des Remparts d’Angoulême: demandez le programme....
La 52e édition de cet événement majeur du calendrier des passionnés de voitures de collection prend ses quartiers le week-end prochain, du 13 au 15 septembre.
Ni tout à fait la même, ni tout à fait différente, la manifestation d’Angoulême conserve cette année encore son esprit et son caractère inimitables: ambiance conviviale et champêtre, cadre historique et savoureux cocktail de mécaniques de toutes les époques. Avec Monaco et Pau, la cité charentaise reste l’une des dernières à accueillir des voitures de course dans le centre-ville. Entendre les moteurs vrombissants résonner dans les ruelles suffit à lui seul au spectacle.
Les animations sont aussi dans la ville avec la présence de nombreuses personnalités de l’automobile et du sport automobile.
La 52e édition va enchanter les amateurs de belles carrosseries. Les raisons d’y faire un tour sont multiples. Le plateau Bugatti portant le nom de Marc Nicolosi, le fondateur du salon Rétromobile à l’origine du renouveau de l’épreuve des Remparts en 1978, prend une signification particulière cette année avec les 100 ans du fameux Type 35, la biplace de grand prix auréolée de plus de 2 000 victoires.
Angoulême cette année, c’est aussi un plateau dédié aux Renault 4CV et à ses dérivés. L’aventure du Paris-Dakar sera également à l’honneur avec la présence de nombreux pilotes qui se sont illustrés en Afrique et de véhicules dont les Renault 20 des frères Marreau, le Toyota BJ numéro 200 du Dakar 1979, qui n’était autre que le véhicule organisation de Thierry Sabine, le Mitsubishi PX33 exemplaire unique du Dakar 1989 piloté entre autres par Jean Pierre Jaussaud, la Citroën ZX Rallye Raid Usine 1991 ex-Timo Salonen ou encore le Buggy Schlesser vainqueur du Dakar 2000.
Autre raison de se rendre à Angoulême, le circuit des Remparts célèbre les 40 ans de la marque Venturi.
C’est en effet lors de l’édition 1984 du salon de l’Automobile de Paris, que Claude Poiraud et le styliste Gérard Godfroy présentaient un prototype de berlinette de sport baptisée Ventury. Basée près de Bressuire, dans les Deux-Sèvres, l’entreprise dénommée MVS pour Manufacture de Voitures de Sport allait se mettre en évidence en portant l’ambition de renouer avec la voiture de sport tricolore. L’aventure durera quelques années.
Angoulême permet aussi de nombreuses rencontres. Cette année, plusieurs pilotes ayant brillé aux 24 Heures du Mans seront présents: Jürgen Barth, Romain Dumas et Nicolas Prost notamment.
L’édition 2024 est marquée par quelques nouveautés. Le concours d’État inclut pour la première fois une catégorie moto.
Enfin, les philatélistes n’ont pas été oubliés. Le Circuit des Remparts d’Angoulême a renouvelé son partenariat avec La Poste pour proposer un nouveau carnet inédit de huit timbres de collection. Baptisé «A la Découverte du Circuit des Remparts», ce collector inédit met à l’honneur le Circuit depuis sa création en 1939. Composé de huit timbres autocollants à validité permanente, ce carnet est en vente dans les bureaux d’Angoulême et alentours depuis le 26 août.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suici de l'info...
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Les plus belles voitures du monde : Ferrari....Lamborghini...
La plus belle voiture du monde, qui roule, qu'on peut voir et toucher...
Les marques de luxe ont l’habitude de créer des bolides incroyables avec un prix qui ne l’est pas moins. Tous ces constructeurs ont au moins une représentante dans notre cette catégorie. En proposant de tels modèles, ils exposent tout leur savoir-faire avec des voitures toutes plus folles les unes que les autres.
Source vidéo : SAMDEMARSEILLE
Les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas. Mais certaines voitures sont tellement réussies que personne n’oserait dire le contraire.
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