mercredi 14 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PETITE DEVINETTE : SON NOM ET SON PRENOM COMMENCE PAR UN M..IL HABITE LA HAUTE-GARONNE ET IL POSSEDE UNE AMILCAR ....QUI EST-CE ?


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - COMMODO DE CLIGNOTANT TRES PEU SERVI !!


 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA AWO SIMSON 425....


 
 Brève histoire de la Marque: AWO "SIMSON SUHL" 

 Suhl est situé dans la partie sud de l'ex-Allemagne de l'Est, au début des années 20 la société SIMSON fabriquait aussi de grandes voitures de luxe, des motos et des armes. 
 Après la deuxième guerre mondiale, les Russes ont repris l'entreprise (en raison de la fabrication d'armes) et ils ont fondé la "Awto Welo" mieux connu pour AWO (signifie constructeur automobile et du cycle).
 Motos célèbres depuis 1952 jusqu'en 1962, ont été les modèles AWO 425 T un seul cylindre 250 cc, 12 ch, quatre temps, le lecteur modèle de tourisme.
 Plus tard, les AWO 425 S (ou aussi appelé SIMSON 425 Sport) a été construite, aussi en mono cylindre 250 cc, 15,5 ch, quatre temps, avce vilebrequin mais avec plus de confort dans la circonscription. 
 Le AWO 425 T est très similaire à la BMW R 26 (après modèle de guerre). La production de ces modèles aimés a été arrêté vers 1963 en faveur de deux temps MZ-modèles. SIMSON Suhl a également été très connu pour ses 50 cc. 
Source vidéo :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 SiwekMotocykle 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE EQUIPE PERFORMANTE !!


 

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA RENE GILLET 750cc - LA MOTO DESTINEE A L'ARMEE ET POLICE FRANCAISE !!

 

René Gillet 750 est une moto destinée à la police avec un système de suspension arrière unique. 
Les motos lourdes René Gillet avec un moteur supérieur à 750 cm - sont apparues pour la première fois en 1928 et sont rapidement devenues un véhicule préféré de l'armée et de la police françaises. 
La suspension arrière d'origine, qui promettait un confort de conduite hors pair, était une caractéristique clé des motos René Gillet. 
Les modèles avec suspension arrière souple ont été principalement achetés par des touristes, mais les versions armée et policière, le René Gillet Type G, ont laissé la roue arrière imprudente. 
En 1934, comme on dirait aujourd'hui, le modèle a été refait. Le but principal était de changer la géométrie du bras oscillant arrière, comme dans d'autres modèles de l'entreprise.
 La nouvelle version de la moto a reçu un index "K1". La moto est équipée d'un moteur de 750 cc jumelé en V avec une sortie de 14 cv à 4000 tr/min. 
La boîte de vitesses dans les premiers modèles était à 3 vitesses, mais plus tard, en 1939, est passée à 4 vitesses. La roue motrice arrière est à chaîne. 
 Les établissements René Gillet ont leur siège à Paris, puis Montrouge, à l'époque dans le département de la Seine (1898-1957). René Gillet naît en 1877 dans une famille modeste de Troyes (Aube). Après des études à Chartres, il entre à 14 ans comme apprenti chez un serrurier. 
En 1891, il rejoint sa famille à Malakoff dans la banlieue de Paris. Il y construit sa première motocyclette, avec un moteur placé sur la roue avant, aidé par le contremaître de l'usine dans laquelle il travaille. 
En 1895, il loue un atelier Villa Collet dans le 14e arrondissement de Paris et commence la construction en série. Il crée une marque en 1898 et dépose un premier brevet en 1904. En 1903, René Gillet créé un moteur à 2 cylindres en V qui sera amélioré sans cesse jusqu'en 1953. 
Sa grande chance se produit au début des années 1920, lorsqu'il soumissionne pour les marchés de l’État. Sa moto de 750 cm3 est adoptée par l'armée, la police et les grandes administrations. Ces marchés, renouvelés d'année en année, assurent à René Gillet un fond de clientèle très important. 
Il déménage son entreprise vers des locaux plus vastes à Montrouge. Les particuliers, voyant que l’État fait confiance à ces motos, adopteront ces machines, faisant de René Gillet une grande marque française, en plus du doyen des constructeurs français1. Réputées pour leur robustesse et leur fiabilité, les motos René Gillet sont particulièrement appréciées par l'armée et la police. 
Le side-car constitue un moyen de transport idéal pour les familles. Les 1 000 et 750 cm3 sont la spécialité de la marque, mais également les 500 et 350 cm3. Engagées dans de nombreuses courses d'endurance (le Bol d'or est gagné à plusieurs reprises), ces motos font la joie des connaisseurs. Devant le succès, René Gillet décide d'agrandir son usine en 1938. Après son décès le 31 décembre 1944, sa société ferme en 1957.

Source : FN motorcycles-Motorworld by V. Sheyanov / Мотомир Вячеслава Шеянова

mardi 13 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UNE BONNE POIGNEE DE MAIN VAUT SIGNATURE !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-CAMION - LE PREMIER QUI ARRIVE AURA DROIT AU PEAGE GRATUIT !


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UNE CITROËN B12...

Un vrai travail de pro....Bravo !!
La Citröen B12 est une automobile fabriquée par Citroën d'octobre 1925 à janvier 1927. La B12 concurrence la Peugeot 177 et la Renault KZ. 
La B12 remplace la Citroën B2, dont un des principaux défauts était l'absence de freins avant. Deux motorisations de 1,5 litre existaient avec des puissances de 20 ch à 22 ch. La B12 a été produite en 38 381 exemplaires. Plusieurs types de carrosseries étaient disponibles : torpédo, conduite intérieure (la plus courante), cabriolet, torpédo commercial et Normande, 
Boulangère. 
  Source : sical3

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES MARCHANDS AMBULANTS DE NOTRE ENFANCE .....TOUTE UNE EPOQUE !!


 

lundi 12 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LE CLAN DES ANCIENS DU CLUB...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - VOUS AVEZ CASSE VOTRE LEVIER DE VITESSE ? ...NOUS AVONS DES SOLUTIONS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO ...Le concept car Peugeot E-Legend !!

Le concept car Peugeot E-Legend est directement inspiré de la 504 coupé de 1969. Les points communs entre ce concept et la voiture dont il s'inspire se limitent au design, puisque le V6 laisse sa place à un moteur électrique, et que la conduite peut être autonome si on le souhaite. Peugeot.....
presque 50 ans après ses débuts, la Peugeot 504 Coupé aura droit à un bel hommage lors du Mondial de l’Auto sous la forme du concept e-Legend. Et comme pour le 308 RCZ, l’accueil du public se montre déjà extrêmement chaleureux. Il faut dire que son look délicieusement néo-rétro a de quoi séduire un large public. 
Les fans de la première heure et les amateurs de voitures de collection sont en effet loin d’être les seuls à apprécier la lionne des années 70 : la Peugeot 504 Coupé est également un objet très ancré dans la pop culture chère aux jeunes générations. Mais bien entendu, le coup de crayon déjà plébiscité de l’e-Legend ne suffirait pas à en faire un succès commercial…
Un concept réaliste À l'époque, il s'appelait P18 et n'était encore qu'une maquette pleine, loin d'être finalisée. Mais il dégageait déjà une belle prestance, au milieu de la terrasse d'exposition de Peugeot, à l'ADN de Vélizy. Toutefois, quelque chose ne cadrait pas... Malgré la désignation "concept", P18 semblait avoir déjà dépassé ce stade pour devenir un showcar annonçant un véhicule de série. 
Le traitement très réaliste y était certainement pour beaucoup dans cette impression. Le meilleur est sans conteste le vitrage. Contrairement à la plupart des concept cars présentés chaque année qui reçoivent du polycarbonate, le dernier-né de Peugeot dispose de véritables vitres en verre. "Ce matériau est plus qualitatif et moins sujet aux rayures, et, surtout, il offre un rendu beaucoup plus réaliste que le polycarbonate", avoue Matthias Hossan, responsable des concept cars chez Peugeot. 
Malheureusement, le verre est également bien plus complexe à travailler. Pour offrir le meilleur traitement, et malgré tout son savoir-faire, D3, l'un des spécialistes français de la production de concept cars à qui Peugeot a confié la réalisation de P18, a fait appel à un sous-traitant spécialisé dans la fabrication de vitrage. Et si le velours revenait... 
Autre exemple démontrant la volonté de coller au plus près de la réalité : la sellerie. Elle a nécessité entre six et huit mois de conception, en interne, et de nombreux dépôts de brevets. Si le velours affiche une belle tendance dans la mode, son retour dans les habitacles de nos voitures ne semblait pas à l'ordre du jour, tant ce matériau s'avère fragile, à la longue, pour un tel usage. 
Qu'importe, les selliers de Peugeot n'ont pas hésité à rouler avec durant près de 4 000 km pour tester et trouver la texture idéale pour P18. Toutes les difficultés rencontrées sur la réalisation d'un concept car servent, dans une certaine mesure, pour les véhicules de série. Les fauteuils de ce concept ne sont pas juste là pour la décoration, ils offrent également un excellent maintien. 
À croire que Peugeot entend vraiment remettre prochainement le velours à son catalogue. Un futur Coupé 508 ? Pour Nicolas Brissonneau, designer extérieur du concept, "l'objectif n'était pas de faire du néo-rétro, mais d'offrir une ligne élégante rappelant de façon presque subliminale le coupé 504." Il a donc travaillé en lien étroit avec les équipes de D3 pour alléger les lignes sans jamais copier le style de cette aïeule devenue une légende. Le résultat est sans appel : P18 est devenu e-Legend. Mais une fois quittés les locaux de D3, il reste une certaine persistance rétinienne, rappelant subtilement le coupé 504. 
Et l'imaginaire fait le reste...
Source : lefigaro.fr - automotomagazine-news.autojournal.fr/


CLUB5A - PHOTO INSOLITE -Des véhicules récréatifs en 1927....

 

Explorer les grands espaces avec style : une perspective de 1927 sur les véhicules récréatifs. 
 Comme les temps ont changé ! 
Source : Olden Is Golden

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CONDUITE A L'ARRIERE POUR LE CONDUCTEUR !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - SUR LA ROUTE DES VACANCES !

Partir en vacances… un phénomène assez récent. Juin 1936, les congés payés deviennent un droit. Même s’ils profitent de leurs vacances pour se détendre, les ouvriers partent peu. La culture du voyage touche essentiellement la bourgeoisie urbaine et l’aristocratie. Les bords de mer sont réservés aux classes aisées et de nombreux estivants modestes se contentent de simples escapades et de camping à la campagne. 

En 1930, si on excepte les plus fortunés, les catégories sociales qui investissent dans une automobile le font avant tout pour des raisons professionnelles : artisans, médecins, représentants de commerce etc. Les ouvriers n’ont pas d’automobile, les employés et fonctionnaires sont 26% à en posséder une, les cadres et professions libérales 31%. (Moins de 2 millions de véhicules en France à la fin des années 30).   
Notons également qu’à cette époque, malgré les progrès techniques réalisés, conduire sur les longs trajets est encore une « aventure » parfois émaillée de petits déboires mécaniques. En feuilletant la presse spécialisée, on remarque de nombreuses publicités apportant des remèdes à ces désagréments (carburation, pneus qui s’échauffent et qui éclatent, problèmes de lubrification du moteur etc.) Après les années sombres de la guerre, les français rêvent d’évasion mais le pays se relève péniblement et le parc automobile est dévasté. 

 Les constructeurs proposent des petites voitures populaires telles que la fameuse Renault 4 CV ou encore la Panhard Dyna et la 2 CV. La reprise économique se profile : les modèles « modernes » et « sport » voient le jour afin de séduire la nouvelle classe moyenne émergente. Dès lors, 57% des départs en vacances s’effectuent en voiture. la croissance et la hausse du pouvoir d’achat permettent un accroissement spectaculaire des automobiles : les français peuvent voyager plus loin et la plage devient accessible au plus grand nombre. La distance ne fait plus peur : les voitures sont plus performantes, les pannes et crevaisons deviennent rares. Malheureusement, la modernisation du réseau et la construction d’autoroutes ne suivent pas : d’inextricables bouchons se forment sur les routes étroites qui n’évitent aucun village et pendant les jours de grands départs, de longues processions s’étirent sur la nationale 7. 
Dans ce contexte, le vacancier prépare soigneusement son itinéraire, la moyenne kilométrique horaire devient une obsession et on enrage derrière le camion ou la caravane impossibles à doubler. Le long des nationales les plus fréquentées, un grand nombre de platanes sont coupés pour élargir et aménager des tronçons de chaussées à trois voies. Ces améliorations auront des résultats sur la vitesse et la fluidité du trafic mais vont surtout accroître les risques de dépassements dangereux. 

Rappelons qu’à l’époque, la vitesse n’est pas limitée, les voitures construites sans sécurité passive, et surtout sans ceintures de sécurité. Le bilan des accidents est énorme : en 1966, 14 180 personnes perdent la vie sur les routes de France (3 250 en 2013). Symbole de liberté et d’une croissance qu’on croyait sans fin, l’automobile est plombée dès 1973 par la soudaine flambée des prix du carburant. 
La faible consommation devient un argument de vente, les grandes berlines et les modèles « sport » s’effacent devant les monospaces pratiques et symptomatiques d’une conduite familiale paisible. Avec l’accélération des programmes de construction d’autoroutes par le biais des sociétés privées, la France est désormais pourvue d’un réseau moderne. Actuellement, les grands départs estivaux ont toujours un arrière-goût de bouchon, mais il faut dire que le nombre de voitures en France est passé de 6 240 000 (janvier 1960) à 38 138 000 (janvier 2013) !
Source : 01calvi / Texte : fondationberliet.org