mardi 13 août 2024

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES ATOMOBILES - LES AUTOMOBILES TUCKER....INNOVANTES AVANT TOUT !!

L'histoire de Tucker, c'est un peu l'histoire de David contre Goliath. Et la formidable histoire d'un homme, Preston Thomas Tucker, qui a su croire et faire croire au rêve américain. Il a en effet voulu construire une voiture comportant une somme phénoménale d'innovations. La Torpedo Tucker est une voiture très imposante et véritablement révolutionnaire. Elle a réussi à démoder la production de l'époque. 
Cela ne pouvait qu'énerver les trois géants de l'industrie de l'automobile américaine qui vont s'employer à obtenir sa perte. Sans cet acharnement contre ce visionnaire de génie, la face de l'automobile américaine aurait pu en être changée... Preston Thomas Tucker est considéré comme un doux rêveur. C'était cependant un véritable visionnaire en avance sur son temps. Après s'être marié, il part pour Détroit pour fonder une famille. Et avec un rêve en tête : concevoir et produire la meilleure automobile au monde. Il n'aura de cesse de le réaliser. Il transforme la grange familiale en bureau d'étude et en usine. Puis commence ses bricolages de génie.
En 1936, l'armée rejette l'un de ses prototypes de véhicule d'assaut. Trop rapide... En effet, le véhicule dépasse les 50 km/h imposés par le cahier des charges. La tourelle électrique de ce véhicule va en revanche être immédiatement adoptée. La tourelle Tucker sera utilisée sur les avions et les chars de l'armée américaine pendant de la seconde guerre. Après la guerre, Tucker lance son projet de nouvelle voiture. Il impose un cahier des charges très précis : ligne ponton intégrant les phares dans les ailes, moteur à l'arrière permettant de ranger des valises sous le capot avant et sécurité des passagers. Les premiers plans sont réalisés pour lancer ce qu'il pense être la voiture de demain. 
Il cherche des investisseurs. En vain. Il a alors une idée de génie : vendre sa voiture avant qu'elle n'existe ! Il fait pour cela publier un article dans la presse parlant d'une voiture révolutionnaire. Le succès est foudroyant : en moins d'une semaine, tout le monde la veut. Se pose alors la question de savoir où l'on peut se procurer cette voiture qui n'existe pour l'instant que sur plans... Fin 1946, Tucker engage Alexander Sarantos Tremulis, un ancien conseiller ayant travaillé chez Ford, Cord, Auburn, Plymouth et Duesenberg. Ce designer à la carrière très riche travaillera de 1947 à 1949 pour Tucker. Son premier travail : retoucher l'allure de la voiture en favorisant l'aérodynamisme et en modifiant le dessin des portes. Il fallait en effet que ces dernières ne touchent plus le trottoir lorsqu'elles s'ouvraient à la façon d'un buffet. 

Il reste maintenant à Preston Tucker à rechercher des capitaux et une usine afin de commencer à assembler ses futurs véhicules. Tucker essaie de vendre son projet auprès des directeurs de l'Administration des biens de la défense. Film Tucker de Coppola 1/1 Il mise tout sur la sécurité. Pour cela, il passe un diaporama montrant des personnes blessées lors d'accidents de la route. II met en avant ses phares tournants suivant la direction des roues qui éclairent mieux les bas côtés, ses vitres de sécurité, ses ceintures de sécurité ainsi que le pare-brise éjectable. Le comité sera d'autant plus sensible à cet argument que les trois grands de Détroit (General Motor, Chrysler et Ford) méprisent totalement ce point dans leur production. Le comité confie à Tucker l'énorme usine (15 000 m2) de Chicago. Elle avait servi à la fabrication des avions B29 de la guerre (Superforteresse). 
Tucker est soumis à une condition expresse : réussir à construire 50 véhicules. Il entre ainsi dans le cercle fermé des constructeurs d'automobiles. l fallait être fou pour tenir le pari... et il l'a fait. Tucker a 60 jours pour lancer le premier prototype et entrer en possession de l'usine. Rappelons que chez Ford, qui maîtrisait la production en série, il fallait neuf mois entre la conception et la sortie du modèle ! 
Toute la famille Tucker met la main à la pâte : son fils Junior abandonne les études et sa femme Vera s'occupe de la comptabilité. Pendant les 60 jours d'élaboration du prototype, de nombreuses personnes vont s'employer à faire capoter le projet. Rien n'arrêtera cependant Tucker : il va collecter des pièces à la casse (comme par exemple les transmissions prélevées sur une Cord), afin que le premier véhicule soit tout de même assemblé. 
Sources : mesminiatures.com/
King Rose Archives

lundi 12 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LE CLAN DES ANCIENS DU CLUB...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - VOUS AVEZ CASSE VOTRE LEVIER DE VITESSE ? ...NOUS AVONS DES SOLUTIONS !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO ...Le concept car Peugeot E-Legend !!

Le concept car Peugeot E-Legend est directement inspiré de la 504 coupé de 1969. Les points communs entre ce concept et la voiture dont il s'inspire se limitent au design, puisque le V6 laisse sa place à un moteur électrique, et que la conduite peut être autonome si on le souhaite. Peugeot.....
presque 50 ans après ses débuts, la Peugeot 504 Coupé aura droit à un bel hommage lors du Mondial de l’Auto sous la forme du concept e-Legend. Et comme pour le 308 RCZ, l’accueil du public se montre déjà extrêmement chaleureux. Il faut dire que son look délicieusement néo-rétro a de quoi séduire un large public. 
Les fans de la première heure et les amateurs de voitures de collection sont en effet loin d’être les seuls à apprécier la lionne des années 70 : la Peugeot 504 Coupé est également un objet très ancré dans la pop culture chère aux jeunes générations. Mais bien entendu, le coup de crayon déjà plébiscité de l’e-Legend ne suffirait pas à en faire un succès commercial…
Un concept réaliste À l'époque, il s'appelait P18 et n'était encore qu'une maquette pleine, loin d'être finalisée. Mais il dégageait déjà une belle prestance, au milieu de la terrasse d'exposition de Peugeot, à l'ADN de Vélizy. Toutefois, quelque chose ne cadrait pas... Malgré la désignation "concept", P18 semblait avoir déjà dépassé ce stade pour devenir un showcar annonçant un véhicule de série. 
Le traitement très réaliste y était certainement pour beaucoup dans cette impression. Le meilleur est sans conteste le vitrage. Contrairement à la plupart des concept cars présentés chaque année qui reçoivent du polycarbonate, le dernier-né de Peugeot dispose de véritables vitres en verre. "Ce matériau est plus qualitatif et moins sujet aux rayures, et, surtout, il offre un rendu beaucoup plus réaliste que le polycarbonate", avoue Matthias Hossan, responsable des concept cars chez Peugeot. 
Malheureusement, le verre est également bien plus complexe à travailler. Pour offrir le meilleur traitement, et malgré tout son savoir-faire, D3, l'un des spécialistes français de la production de concept cars à qui Peugeot a confié la réalisation de P18, a fait appel à un sous-traitant spécialisé dans la fabrication de vitrage. Et si le velours revenait... 
Autre exemple démontrant la volonté de coller au plus près de la réalité : la sellerie. Elle a nécessité entre six et huit mois de conception, en interne, et de nombreux dépôts de brevets. Si le velours affiche une belle tendance dans la mode, son retour dans les habitacles de nos voitures ne semblait pas à l'ordre du jour, tant ce matériau s'avère fragile, à la longue, pour un tel usage. 
Qu'importe, les selliers de Peugeot n'ont pas hésité à rouler avec durant près de 4 000 km pour tester et trouver la texture idéale pour P18. Toutes les difficultés rencontrées sur la réalisation d'un concept car servent, dans une certaine mesure, pour les véhicules de série. Les fauteuils de ce concept ne sont pas juste là pour la décoration, ils offrent également un excellent maintien. 
À croire que Peugeot entend vraiment remettre prochainement le velours à son catalogue. Un futur Coupé 508 ? Pour Nicolas Brissonneau, designer extérieur du concept, "l'objectif n'était pas de faire du néo-rétro, mais d'offrir une ligne élégante rappelant de façon presque subliminale le coupé 504." Il a donc travaillé en lien étroit avec les équipes de D3 pour alléger les lignes sans jamais copier le style de cette aïeule devenue une légende. Le résultat est sans appel : P18 est devenu e-Legend. Mais une fois quittés les locaux de D3, il reste une certaine persistance rétinienne, rappelant subtilement le coupé 504. 
Et l'imaginaire fait le reste...
Source : lefigaro.fr - automotomagazine-news.autojournal.fr/


CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA DERNIERE FORD T QUITTE LA CHAINE DE MONTAGE LE 3 JUILLET 1927....

 

La toute dernière Ford modèle T (moteur numéro 14 987 899, quitte la chaîne d'assemblage à l'usine Ford sur Southwestern Parkway, Louisville, Kentucky, le 3 juillet 1927. 
Source : Grey the brand

CLUB5A - PHOTO INSOLITE -Des véhicules récréatifs en 1927....

 

Explorer les grands espaces avec style : une perspective de 1927 sur les véhicules récréatifs. 
 Comme les temps ont changé ! 
Source : Olden Is Golden

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CONDUITE A L'ARRIERE POUR LE CONDUCTEUR !!


 

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - SUR LA ROUTE DES VACANCES !

Partir en vacances… un phénomène assez récent. Juin 1936, les congés payés deviennent un droit. Même s’ils profitent de leurs vacances pour se détendre, les ouvriers partent peu. La culture du voyage touche essentiellement la bourgeoisie urbaine et l’aristocratie. Les bords de mer sont réservés aux classes aisées et de nombreux estivants modestes se contentent de simples escapades et de camping à la campagne. 

En 1930, si on excepte les plus fortunés, les catégories sociales qui investissent dans une automobile le font avant tout pour des raisons professionnelles : artisans, médecins, représentants de commerce etc. Les ouvriers n’ont pas d’automobile, les employés et fonctionnaires sont 26% à en posséder une, les cadres et professions libérales 31%. (Moins de 2 millions de véhicules en France à la fin des années 30).   
Notons également qu’à cette époque, malgré les progrès techniques réalisés, conduire sur les longs trajets est encore une « aventure » parfois émaillée de petits déboires mécaniques. En feuilletant la presse spécialisée, on remarque de nombreuses publicités apportant des remèdes à ces désagréments (carburation, pneus qui s’échauffent et qui éclatent, problèmes de lubrification du moteur etc.) Après les années sombres de la guerre, les français rêvent d’évasion mais le pays se relève péniblement et le parc automobile est dévasté. 

 Les constructeurs proposent des petites voitures populaires telles que la fameuse Renault 4 CV ou encore la Panhard Dyna et la 2 CV. La reprise économique se profile : les modèles « modernes » et « sport » voient le jour afin de séduire la nouvelle classe moyenne émergente. Dès lors, 57% des départs en vacances s’effectuent en voiture. la croissance et la hausse du pouvoir d’achat permettent un accroissement spectaculaire des automobiles : les français peuvent voyager plus loin et la plage devient accessible au plus grand nombre. La distance ne fait plus peur : les voitures sont plus performantes, les pannes et crevaisons deviennent rares. Malheureusement, la modernisation du réseau et la construction d’autoroutes ne suivent pas : d’inextricables bouchons se forment sur les routes étroites qui n’évitent aucun village et pendant les jours de grands départs, de longues processions s’étirent sur la nationale 7. 
Dans ce contexte, le vacancier prépare soigneusement son itinéraire, la moyenne kilométrique horaire devient une obsession et on enrage derrière le camion ou la caravane impossibles à doubler. Le long des nationales les plus fréquentées, un grand nombre de platanes sont coupés pour élargir et aménager des tronçons de chaussées à trois voies. Ces améliorations auront des résultats sur la vitesse et la fluidité du trafic mais vont surtout accroître les risques de dépassements dangereux. 

Rappelons qu’à l’époque, la vitesse n’est pas limitée, les voitures construites sans sécurité passive, et surtout sans ceintures de sécurité. Le bilan des accidents est énorme : en 1966, 14 180 personnes perdent la vie sur les routes de France (3 250 en 2013). Symbole de liberté et d’une croissance qu’on croyait sans fin, l’automobile est plombée dès 1973 par la soudaine flambée des prix du carburant. 
La faible consommation devient un argument de vente, les grandes berlines et les modèles « sport » s’effacent devant les monospaces pratiques et symptomatiques d’une conduite familiale paisible. Avec l’accélération des programmes de construction d’autoroutes par le biais des sociétés privées, la France est désormais pourvue d’un réseau moderne. Actuellement, les grands départs estivaux ont toujours un arrière-goût de bouchon, mais il faut dire que le nombre de voitures en France est passé de 6 240 000 (janvier 1960) à 38 138 000 (janvier 2013) !
Source : 01calvi / Texte : fondationberliet.org

dimanche 11 août 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - “Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts.”


 

IL N'EST PAS TOUJOURS FACILE DE TROUVER LES PIECES DETACHEES CHEZ LES CONSTRUCTEURS AUTOMOBILES !!


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA 4L A PLUS DE 50 ANS !!

Durant sa longue carrière, la R4 ne change pas fondamentalement, cependant, plusieurs améliorations sont apportées au fil des ans. En septembre 196313 (modèles 1964), les pare-chocs à lames sont généralisés, remplaçant avantageusement le fragile modèle tubulaire et l'aération des passagers arrière est revue grâce à des vitres coulissantes sur les portes arrière entraînant en contrepartie la suppression du pivotement des glaces de custode. 
 Les modèles 1967 reçoivent une nouvelle planche de bord avec un vide-poches intégré côté passager ainsi qu'une boîte de vitesses à quatre rapports. Pour 1968 (1969 pour la fourgonnette), une nouvelle calandre chromée élargie permet à la R4 d'aborder les années 1970 avec une nouvelle physionomie. En septembre 1974 (année-modèle 1975), une calandre en plastique noir remplace la calandre en aluminium montée jusqu'alors. Pour l'année-modèle 1977, la Renault 4 perd également ses petits clignotants ronds à l'avant, ainsi que les feux de position placés sur les ailes avant, au profit de clignotants rectangulaires intégrant les feux de position et adopte une grille d'aération en plastique noir sous le pare-brise.
 La voiture n'entre dans les années 1980 qu'à partir du millésime 1983 quand la nouvelle planche de bord accueille un combiné plus grand bien plus lisible (issu de la Renault 5). À l'extérieur, la calandre en plastique gris est généralisée à toute la gamme (auparavant, elle était réservée au seul modèle GTL apparu en 1978). À cette occasion, la R4 perd également son plancher totalement plat.
Une vidéo commémorative pour les 50 ans de la célèbre Renault 4L.
Au cours de la carrière de la R4, Renault propose différents modèles à diffusion limitée, afin de relancer les ventes, ou encore rajeunir l'image de la voiture. 
Plusieurs séries spéciales sont ainsi créées : la « Safari » (1976), la « Jogging » (1981), la « Sixties » (1985) avec sa sellerie flashy et ses deux toits ouvrants, la « Carte Jeune » (1991), etc. Durant les années 1960, d'autres modèles spéciaux nettement plus rares ont été produits, tels que la décapotable « Plein Air » modifiée par Sinpar , la « Parisienne » ou encore des adaptations 4×4 également équipées par Sinpar.
Source : renault-tv

CLUB5A - SPORT AUTO - LA SATECMO EOLIA DE 1954 EQUIPEE D'UN MOTEUR DE DAUPHINE GORDINI...

 


SATECMO EOLIA de 1954 avec moteur de Dauphine Gordini, fabriquée par André Georges Claude, ingénieur et coureur automobile. La carrosserie de style Berlinetta a été conçue par Eiffel et a été fabriquée en magnésium soudé à l’argon. 
Source : Les Belles Mécaniques D'Hier et D'Aujourd'Hui

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE DEBUT D'UNE GRANDE PASSION !!




 

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samedi 10 août 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - CORINNE ET PATRICK ET LA B2 CITROEN A L'HONNEUR...


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - QUATRE JOURS DANS L'AUDE AVEC LE 35° RALLYE "TOUR DE L'AUDE EN PAYS CATHARE"...


CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CONFERENCE DE PRESSE DE LA PREMIERE RONDE DE NOEL ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL FAUT TOUJOURS PAYER SES DETTES !


 

CLUB5A - LE DESSIN DU MOIS - HISTOIRE DE LA DS ...LA NOSTALGIE SANS AUCUN DOUTE !!

Histoire de DS. 
 Lorsque je roulais en DS, c'est à dire à la fin des années 80 début des années 90, une époque ou la sphère LHM n'était pas exagérément surcotée, je me faisais systématiquement contrôler par la douane. Comme je faisais très souvent le trajet Rouen le Havre par la « 15 » , j'avais systématiquement droit au comité d'accueil posté régulièrement au grand carrefour d'Alliquerville. 
Ça en devenait comique. Un jour, j'eus l’impardonnable impertinence de demander poliment pourquoi j'avais le droit à un tel traitement de faveur. Bien entendu, l'uniformé de service me répondit d'un très élégant et péremptoire « … si ça te plaît pas on peut te le dépouiller entièrement ton tas de ferraille... » Bref, passons... 
 Bien entendu j'avais entendu parler ça et la de trafic en tout genre, et notamment de calva systématiquement transporté en break Citroën dont le volume de charge important et surtout la hauteur constante de caisse était un atout non négligeable pour le zélé convoyeur. Le Break CX semblait avoir alors la cote, et pas seulement dans les compagnies d'ambulance. 
 Mais tout cela me semblait tenir plus du folklore de comptoir, et d'un temps révolu. Je ne connaissais pas l'histoire de … « La Citroën DS très spéciale du James Bond Normand » Attention pas Dspécial comme celle que je possédait alors... non non une vraie DS, truffé de gadget pour déjouer la maréchaussée. Celle de Pierre Dubourg, Aaaah.... 
 Je sais pas pour vous, mais moi je trouve ça quand même plus pittoresque ces courses poursuites dans le bocage, à base d'Estafette et de DS et sur fond de Trust, qu'un Gofast sur autoroute à base de lourd SUV allemand et sur fond de Booba ! La nostalgie sans aucun doute. 
Source : Francois ROUSSEL

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - BMW R90 S..LE BOXER !!


La R90 est un modèle de motocyclette du constructeur bavarois BMW. La série des R90 est bâtie sur un moteur bicylindre à plat BOXER, quatre temps de 898 cm³.
La série débute en 1973, avec la R90/6.
Elle se poursuit avec la R90S.
Par rapport à la R90/6, la puissance est portée à 67 chevaux à 7 000 tr/min, pour un couple de 7,7 mkg à 5 500 tr/min. Les carburateurs Bing de la R90/6 sont remplacés par des Dell'Orto de 38 mm de diamètre. 
Le poids à sec augmente de 5 kg et elle est annoncée pour 200 km/h. La hauteur de selle passe à 820 mm.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, MOTO DE LÉGENDE - BMW R90 S..
Elle fut construite à 17 455 exemplaires entre 1973 et 1976, vendue contre 4 668 €. Elle était disponible en deux dégradés, soit orange Daytona, soit gris Silver-Smoke.
Source : Brightside Media - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - REPORTAGE AUTO (En Bref) - La Duesenberg Modèle J (103) Berline décapotable par LeBaron de 1929...

 

 Automobile Duesenberg Modèle J (103) décapotable Berline, conçue par LeBaron en 1929. 
La caris est un chef-d'œuvre de l'histoire automobile, avec une carrosserie épurée aux détails chromés complexes et un schéma de couleurs beige et noir. 
L'intérieur est luxueux, avec une cabine spacieuse et un sellerie en cuir fin. 
Source : BorisDeviz

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE NORTON AU DEPART ....ALLEZ VAS-Y POUSSE !!


 

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