mercredi 31 juillet 2024

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES AUTOMOBILES DELAHAYE ...LE LUXE A LA FRANÇAISE !!

Delahaye était un constructeur français d'automobiles de luxe, de poids lourds et de véhicules d'incendie, pionnier de l'automobile depuis 1895. La firme reprit Delage en 1935 puis disparut en 1954 rachetée par Hotchkiss. Son modèle le plus célèbre est le type 135 brillant dans les concours d'élégance et remportant aussi bien le rallye de Monte-Carlo que les 24 Heures du Mans durant les années 1930. 
À partir d'une firme française fondée à Tours en 1845 spécialisée dans la construction de machines pour la production de briques, Émile Delahaye fit démarrer la fabrication de moteurs qui lui permit, dès 1895, de produire le type 1, première voiture à recevoir l'allumage électrique. En 1898, Paul Desmarais et Georges Morane (10 août 1874 - octobre 1938, président du conseil d'administration, chevalier de la Légion d'honneur, et trésorier de la Chambre syndicale des Constructeurs d'Automobiles) portent sur les fonds baptismaux la société des automobiles Delahaye, rue du Banquier. La marque construisit aussi des camions en s'inspirant du modèle de Daimler, avec un moteur à 2 cylindres monté à l'arrière et une transmission à courroies et engrenages. 
 Delahaye participa à des courses automobiles dès la fin du xixe siècle, notamment avec Ernest Archdeacon (1896, course Paris-Marseille). Cette activité sera suspendue deux ans avant la mort du fondateur en 1905. Cette année-là, la transmission à cardan apparaît au Salon de Paris sur les voitures de série. Très vite, les modèles se succédèrent et s'élevèrent en luxe et en puissance et furent aussi exportées en Allemagne et aux États-Unis. Dès 1906, la marque produisit une pompe à incendie montée sur un camion qui pouvait transporter quinze pompiers vers les lieux d'interventions. En 1909, Delahaye introduisit le type 36, un camion de 3,5 tonnes de charge utile avec un moteur de 24 CV. 
En 1913, la marque aligne les types 59, 60, 62 et 63, avec des charges utiles comprises entre 2,5 et 3 tonnes. La Première Guerre mondiale et l'immédiat après-guerre orienteront la production vers les véhicules lourds et les machines agricoles. Le type 59 est le camion qui s'illustrera en 1916 en ravitaillant Verdun. La paix revenue, au côté d'une 15 CV et d'une 18 CV, la marque vend à une clientèle aisée la 10 CV type 87 remplacée début 1927 par le type 107 à soupapes en tête. 
En 1926, une nouvelle pompe d'incendie, d'une capacité de 1 800 litres par minute, avec enrouleurs de tuyaux amovibles est montée à l'arrière des camions. Pour résister à la concurrence française (Citroën et Renault) et à la surproduction générale, une entente est constituée de 1927 à 1931 avec Chenard et Walcker. 
Ainsi, chaque partenaire va fabriquer des modèles communs vendus par les deux firmes. Au Salon de Paris 1931, la marque se relance grâce à un robuste et performant moteur 6 cylindres type 103. Il existe une version pour les camions pour lesquels il est aussi prévu un premier moteur diesel de 10 litres à injection directe construit sous licence Fiat. Photo de Delahaye 135 M Delahaye coach type 135 M par Guilloré, 1939. En juillet 1935, Delage est repris par Delahaye. 
À l'automne, la marque lance son modèle le plus célèbre, le type 135 alliant le luxe et les performances, version surbaissée et améliorée de la Super-Luxe type 138 à roues avant indépendantes du Salon 1933. Son moteur 6 cylindres est ensuite dégonflé à 105 chevaux pour le type 148, version "tourisme" du type 135. À partir du printemps 1937, les sapeurs-pompiers utiliseront le camion type 119 équipé d'une grande échelle Magirus pendant plusieurs décennies. 
 Fin août, Delahaye s'adjuge le record de vitesse à 146,5 km/h sur 200 km avec le type 145 à moteur V12. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Comité d'organisation de l'auto (C.O.A.) obligea les constructeurs Bernard, Delahaye, Laffly, Simca et Unic à se regrouper au sein de la GFA Générale Française Automobile en avril 1941.
« Concentration d'entreprise, réduction de la variété, choix de la grande série, il est clair qu'en 1942, les Vichystes imaginent de moderniser l'industrie automobile française pour la rendre plus compétitive, et ainsi mieux l'intégrer dans une plus vaste entité largement dominée par l'Allemagne »3. Début 1946, un camion de 5 tonnes de charge utile à cabine avancée est lancé. Le type 163 existera avec un moteur diesel Panhard et ne sera pas remplacé après 1954. Côté voitures, la production des types 134, 135 et 148 reprend et Delahaye s'allie pour créer Delsey, fabricant de bagages. 
 Mais la période n'est pas favorable à la ventes des voitures de luxe, de plus, pour Delahaye le lourd châssis est dépassé et la 175 impossible à mettre au point est un échec ruineux. Toutefois, un coach type 175 S remportera le rallye de Monte-Carlo en 1951. Début 1950, un pick-up colonial est lancé équipé du moteur 6 cylindres type 103 de 80 ch SAE. Le type 171 existera en pick-up étroit puis en pick-up large (Salon 1950), plateau, fourgon, break, ambulance et châssis-cabine jusqu'en 1954. À partir de 1951, le 4x4 VLR (Véhicule léger de reconnaissance) à la technique sophistiquée (moteur en alliage léger et quatre roues indépendantes) sera livré à l'armée française. 
Celle-ci préféra finalement la Jeep américaine plus simple et assemblée sous licence par Hotchkiss. Au Salon apparaît le type 235 basé sur le châssis du type 135 modernisé. Il sera produit à 84 exemplaires, dont beaucoup carrossés par Henri Chapron. Delahaye disparaît quand la marque est absorbée par Hotchkiss le 29 juillet 1954.
Source : Corey J

mardi 30 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - FUFU ET REGIS AUX MANETTES AVANT LE DEPART....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - TOUJOURS FAIRE CONFIANCE A SON GPS !!


 

CLUB5A - CES MODÈLES TRISTEMENT CÉLÈBRES - LA CITROËN D.S DE CHARLES DE GAULLE...



22 août 1962 à 19h30, le président Charles de Gaulle quitte l'Elysée en direction de la base aérienne de Villacoublay. 
A Bord de la Citroën DS 19, sa femme Yvonne, son gendre et un gendarme. A 20h08, un commando militaire membre de l'OAS, ouvre le feu sur la voiture présidentielle. 
Charles de Gaulle, son épouse et le reste des passagers survivront à cette tentative d'assassinat. Sur les 187 balles tirés, la Citroen DS en recevra 14. 
 Cet attentat fait suite à celui de Pont-sur-Seine en 1961, où le couple était déjà dans cette berline. On comprend mieux l'attachement du Général De Gaulle à sa Citroën DS 19. D'autres véhicules (appartenant à l'OAS) ont marqué cet attentat : une Renault Estafette, une Citroën ID 19 (version simplifiée de la DS 19) et une Peugeot 403. 
 Source : Olivier Bonnet Linternaute.com

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...LA FORD T ...UN OUTIL MULTI-FONCTION....

 

Le modèle T, vendu par la Ford Motor Company de 1908 à 1927 
Modèle T Ford -- Outil multifonction : Le modèle T était en fait abordable et il est devenu si populaire à un moment donné qu'une majorité d'Américains en possédaient un, aidant directement les Américains ruraux à se connecter avec le reste du pays et menant au système routier numéroté. 
Les besoins manufacturiers du modèle T vont de pair avec la modernisation révolutionnaire du processus de fabrication par Ford. 
Source : Car Mechanic ·

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - AUJOURD'HUI POUR LA COCCINELLE C'EST UNE JOURNEE PORTES OUVERTES !!


 

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS PIERCE...UN 4 CYLINDRES OU RIEN !!

La Pierce Four est la première moto à quatre cylindres produite aux États-Unis. Le modèle est inclus dans les motos classiques du Panthéon de la moto AMA  et dans le musée Barber Vintage Motorsports . Son moteur est un quatre cylindres en ligne "sans vibration", Pierce a vendu ce modele de moto au prix de 325 $ , qui passera à 400 $ en 1913, ce qui coûtait cher à l'époque, ce qui la rend populaire auprès des "sportifs plus prospères". 
George N. Pierce, propriétaire de la GN Pierce Company, construisit des réfrigérateurs et des cages à oiseaux dans les années 1890, puis se développa pour fabriquer des bicyclettes dès 1892, avec le célèbre marque «arrow». Beaucoup de leurs motos utilisaient un arbre de transmission pour la roue arrière. Trois membres du conseil d’administration de GN Pierce se sont rendus en Europe en 1900 pour acquérir une nouvelle technologie et ont acheté un moteur DeDion pour propulser une nouvelle voiture. 

 Le fils de Pierce, Percy, était un pilote de compétition des automobiles Pierce . En 1907, il est nommé à la tête de la nouvelle société Pierce Cycle, dans le but de produire des motos. 
Suivant la tradition de l’usine, il s’est rendu en Europe pour y trouver une inspiration technique et a acquis un FN Four belge en 1908, qui a été renvoyé à l’usine de Pierce pour y être étudié. 
 En tant que première motocyclette à quatre cylindres de série au monde, le FN était le point culminant de la technologie actuelle. Les ingénieurs de Pierce ont utilisé le FN comme référence pour leur propre motocyclette à quatre cylindres lancée en 1909: le Pierce Four.
 La nouvelle Pierce était novateur, avec un moteur de membre souligné et entraînement arbre, et un cadre de tubes de très grand diamètre, que les deux sont cachés les câbles de commande et maintenu en interne l' huile et à l' essence. 
On dit que les tubes de grand diamètre ont augmenté la résistance du cadre et réduit le nombre de pièces nécessaires, rendant la fabrication moins coûteuse.
 Contrairement au moteur de FN, le Pierce était équipé d’un moteur à soupape latérale à tête en T et de soupapes d’admission à cames, plutôt que des soupapes d’admission «automatiques» (ouvertes par la pression atmosphérique) du FN. La Pierce constituait donc un progrès considérable par rapport à la FN et était la première moto à quatre cylindres fabriquée aux États-Unis. 


Les premiers modèles n'avaient ni embrayage ni engrenage fixe, à l'instar du FN Four, mais le modèle 1910 a été considérablement amélioré, avec un embrayage et une transmission à deux vitesses La moto aurait coûté plus cher à la construction que son prix de vente et, finalement, Pierce Motorcycle Company a fait faillite après la construction de moins de 500 véhicules. 
La Pierce Four a été exposé à l'exposition The Art of the Motorcycle du Guggenheim Museum à Las Vegas. Des exemples sont conservés dans les collections permanentes de plusieurs musées, notamment le National Motorcycle Museum dans l'Iowa, le Musée du Temple de la renommée de la moto dans l'Ohio, le Barber Vintage Motorsports Museum en Alabama, Sammy Miller Motorcycle Museum en Angleterre et le Dreamcycle Motorcycle Museum à Sorrento, en Colombie-Britannique.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Jurijs Skorobogatovs

lundi 29 juillet 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - CE JOUR-LA ...POUR CETTE SORTIE MOTOS..LA PLUIE ETAIT AU RENDEZ-VOUS !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE TWINGO BIEN ECLAIREE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - HISTOIRE DE L'AUTOMOBILE AMÉRICAINE ...

La construction automobile aux États-Unis, traditionnellement dominée par les Big Three (General Motors (GM), Ford et Chrysler), était en 2009 au bord de la faillite. Ce secteur a été qualifié de « colonne vertébrale de l'industrie américaine » par Barack Obama. Le rôle important de l'automobile dans la culture américaine s'explique, entre autres, par la disposition urbaine du pays, qui tend à favoriser les banlieues résidentielles au détriment du centre-ville, reliées par différentes routes aux centres commerciaux. 
Les autres formes de transport de passagers (train, autobus, etc.) ne sont, en comparaison avec l'automobile, que marginales. Ainsi, en 1960, on recensait sur les routes 74 431 800 véhicules dont 61 671 390 voitures particulières et 272 129 autobus, et, en 2008, 255 917 664 véhicules dont 137 079 843 voitures particulières et 843 308 autobus2.
Documentaire sur Henry Ford, pionnier de l'industrie automobile américaine, ... scènes de reconstitution et extraits de films muets...
Source Eric Lambert

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT LAVER LES GAMINS EN MEME TEMPS QUE SA VOITURE ??


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Vector, une comète dans le ciel des supercars...

 

ENCHÈRES - La marque américaine de supercars revient sur le devant la scène à l’occasion de la vente de plusieurs modèles à Pebble Beach. Après la morosité des années 1970 marquées par deux chocs pétroliers et des crises économiques à répétition, la société reprend son souffle dans les années 1980. Dans l’automobile, l’horizon se dégage, le ciel redevient bleu. Place à la décennie de tous les possibles. La société fait l’apologie de la vitesse et du plaisir. Le marché voit éclore la génération des GTI, des berlines compactes vitaminées, et des GT d’exception produites en série limitée. Porsche et Ferrari montrent la voie avec respectivement la 959 et la 288 GTO. Jaguar, Bugatti, Cizeta et bien d’autres vont suivre. Les Américains veulent aussi leur supercar. 
À part Chrysler qui donne naissance à la Viper, un autre américain s’est mis en tête de produire sa propre voiture. Gerald Alden Wiegert, souvent prénommé Jerry, a conservé de son passage comme consultant chez les Big Three une attirance pour les voitures de sport. Quatre de ses réalisations sont proposées à la vente par la maison RM Sotheby’s, en marge du concours d’élégance de Pebble Beach en août prochain. Pour Wiegert, l’aventure commence dès le milieu des années 1970. Dans un entrepôt du quartier de Venice à Los Angeles, il donne naissance sous la marque Vector à son premier modèle baptisé W2. Propulsée par un V8 biturbo provenant de la banque d’organes de General Motors et associée à une boîte automatique à 3 rapports, la W2 est présentée au salon de l’auto de Los Angeles en 1976. Il s’écoule trois ans avant que le prototype devienne roulant. L’engouement pour les supersportives à la fin des années 1980 relance Vector. 
Jerry Wiegert annonce la W8, la version modernisée de la W2. Les lignes spectaculaires ne sont pas d’une grande élégance et pourraient sortir des ateliers Sbarro. Par contre, la technologie se veut avant-gardiste. La W8 fait appel à des matériaux de pointe. La carrosserie est réalisée en fibre de carbone et kevlar. La berlinette présente quelques originalités: toit ouvrant amovible, ambiance d’inspiration aéronautique à bord. Wiegert ne cache pas avoir voulu concevoir un «avion de chasse sur quatre roues». 
L’intérieur ressemble à un cockpit d’avion avec sa planche de bord accueillant un écran d’ordinateur, une boussole Airpath et un compteur Hobbs. À la différence de Ferrari qui joue à fond la carte sportive avec des habitacles dépouillés, Vector a fait le choix du raffinement. À bord de la W8, on trouve des sièges Recaro en cuir, une climatisation et, nec plus ultra à cette époque, une chaîne hi-fi Sony à lecteur cassettes et CD de 10 disques. 
Dix-sept W8 sont produites. Encouragé par le succès de la W8, Vector développe un nouveau modèle. Le prototype Avtech WX-3 est dévoilé au salon de Genève de 1992. 
Le côté Batmobile est encore accentué. Cette berlinette se dote d’un imposant aileron arrière et d’un kit aérodynamique qui ceinture la caisse. Comme sur la W8, le pare-brise très incliné est dans le prolongement du capot avant. Le moteur, un V8 biturbo 7 litres d’origine General Motors peut produire jusqu’à 1 000 chevaux. L’année suivante, Vector revient sur les rives du lac Léman. 
À côté de la berlinette présentée dans sa version définitive, Vector présente sa variante roadster. Le prix affiché est de 765 000 dollars. Aucun des deux modèles n’enthousiasme les clients fortunés. Pour Vector, c’est le début de la fin. En coulisses, Wiegert doit affronter la prise de contrôle hostile de la société Megatech, soutenue par le gouvernement indonésien. 
La nouvelle entreprise conçoit une dernière voiture en 1996, la M12, basée sur la Lamborghini Diablo. De cette aventure avortée, il reste aujourd’hui ces machines dispersées aux enchères. Les estimations varient de 400 000 dollars pour la M12 jusqu’à 1,5 million de dollars (estimation haute) pour les deux WX-3. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info....

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ?? ............ Quels automobilistes roulent le plus ?

En France, les automobilistes qui roulent le plus sont ceux de Poitou-Charentes (9 815km en moyenne) et ceux d’Ile-de-France roulent le moins (6 250km). 
Peut-être en kilomètres parcourus, mais en temps passé sur la route c’est autre chose… 
Quels sont les meilleurs conducteurs en Europe (et les pires) ? 
Ce n'est pas un sondage; ni une étude établie sur des données chiffrées. Mais le ressenti des automobilistes européens : ils se jugent eux-mêmes, et s'évaluent mutuellement, lorsqu'ils roulent en Europe. 
Ce sont des avis récoltés par le site "zoover", qui recueille des opinions de voyageurs. Les Italiens mal jugés par leurs voisins européens Les Européens qui remportent – et de loin – la palme des plus mauvais conducteurs sont les Italiens : presque 25% d'opinions défavorables, selon les internautes. Italiens suivis, mais d'assez loin, par les Grecs ; puis par les Polonais ; puis par les Allemands. Et par les Français : en 5ème position. Les Français qui, donc, dans le ressenti des automobilistes, conduiraient mieux que les Allemands ! 
Avec moins de 8% d'appréciations négatives. Les Finlandais sont jugés excellents ! Les automobilistes finlandais récoltent 1,5% d'opinions négatives – seulement – pour leur conduite. Ils sont suivis par les Autrichiens, puis par les Norvégiens, par les Suisses, les Danois, les Suédois. En somme : tous les pays scandinaves, et les Suisses remportent la palme des meilleurs conducteurs !

 C'est le ressenti des automobilistes de passage dans les pays. Ce qui donne beaucoup plus un jugement sur les incivilités – ou sur la manière de se comporter, au volant – qu'un état précis des lieux, concernant la sécurité routière. Quand vous examinez les vrais chiffres de la sécurité routière, vous vous rendez compte que, effectivement, dans les pays du nord, les accidents sont beaucoup plus rares. 
Preuve que les conducteurs conduisent mieux ! Alors que le Portugal, et la Pologne et, surtout, la Grèce sont les plus mal placés. Et d'après les vrais chiffres, les Italiens ne sont pas du tout de "mauvais conducteurs" : ils sont au contraire un peu mieux que la moyenne, juste derrière les Français. Tandis que, globalement tous les pays d'Europe de l'Est ont une forte insécurité routière: la Pologne, mais aussi la Slovénie, la République Tchèque, la Hongrie, et la Slovaquie. C'est là que les routes sont les moins bonnes. Et les voitures aussi !  
Source : kleen-now.com - francetvinfo.fr

dimanche 28 juillet 2024

CLUB5A - SORTIE MOTO INTERCLUBS DU 28 JUILLET 2024 - RENDEZ-VOUS AU LAC DE BOUISSE !

 

Pour cette sortie moto du 28 juillet 2024 en direction des Corbières et plus précisément au lac de Bouisse, le départ s’est effectué comme d’habitude, c'est-à-dire à partir du Dôme à 9h. Régis et Alain aux manettes afin de valider les inscriptions et une petite participation financière de chacun…
Pour cette sortie motos, encore une fois, il n’y aura pas de restaurant, car comme l’avait indiqué Régis Périch : profitons de ce havre de fraîcheur et partons au bord du lac de Bouisse avec un déjeuner tiré du sac, le rendez-vous était pris avec les motards des Motos Anciennes du Roussillon aux alentours de 13h. 
La section moto avec au départ 43 motos se dirigeait en direction de Bouisse qui est une commune située dans le Centre du département de l’Aude. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lauquet , le ruisseau de Saint-Pancrasse et par divers autres petits cours d'eau. 
La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « hautes Corbières » et la « vallée de l'Orbieu ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Bouisse est une commune rurale qui compte 101 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 764 habitants en 1836. 
 Ses habitants sont les Bouissois ou Bouissoises. Il n'y a pas si longtemps encore ils étaient connus sous le nom occitan de Boissencs. 
Après avoir une collation à Labastide en Val,  la colonne a franchi le massif des Corbières dans la fraîcheur matinale pour remonter au lac pour l’apéro et le pique nique dans une belle ambiance de complicité et de camaraderie. L’ensemble du groupe (60 personnes en totalité pour les deux clubs) a été accueilli par notre ami André et son frère et Mr le maire de la municipalité et, grâce à leurs aides et leurs autorisations, nous avons eu la possibilité de faire une grillade. (Saucisses et Ventrèches en mode grillade). 
Celui-ci c’est déroulé d’une manière très conviviale en méthode «PLEIN-AIR» idéal pour des motards en recherche d’authenticité. La température était digne d’un vrai mois de juillet, c'est-à-dire : chaude accompagnée d’un ciel ensoleillé. Coté panne c’est la BMWR50 de Fufu qui lui a fait des misères avec un carburateur récalcitrant. En punition elle a finie sur la remorque pour le trajet du retour… 
Très belle journée sans incident notable, nous pouvons constater une nouvelle fois que la formule piquenique estivale demeure vraiment de bons moments de partages conviviaux dans la simplicité qui convient à tous les motards et quelle joie de se retrouver entre motards d’horizons différents, ce sont toujours des moments que l’ensemble des participants apprécie.. 

Merci à tous pour votre participation et bonne rentrée pour ceux qui vont reprendre le chemin du travail… 
Journée très réussie avec une organisation sans failles, merci encore à nos organisateurs dévoués, sans oublier la voiture balaie…. 
Photos Vidéos : Régis Périch-Olivier Bonnafous- Fufu – Famille Serna….

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PRENONS LA BONNE DIRECTION....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL N'Y AUCUNE COMPASSION POUR L'AUTRE AU VOLANT DE CETTE VOITURE !


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - L'HISTOIRE DU SALON DE L'AUTOMOBILE ....

Le Mondial de l'automobile de Paris est le premier salon automobile mondial. Il se déroule tous les deux ans (les années paires), en octobre, à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles, en alternance avec le Salon de Francfort. À l’origine, le Mondial était connu sous le nom de « Salon International de l'automobile et du cycle » et ce n’est qu’en 1988 qu’il a pris la dénomination actuelle. En 2014, le mondial de l'automobile accueille 1 253 513 visiteurs, ce qui en fait le salon de l'auto le plus visité au monde devant Tokyo et Francfort. En 1898, le Jardin des Tuileries reçoit à l'initiative de l'Automobile Club de France la première exposition d'automobiles à portée internationale jamais réalisée dans le monde. Pour pouvoir être exposées au salon, les automobiles doivent au préalable parcourir la distance Paris-Versailles-Paris (une quarantaine de kilomètres), de manière à prouver leur capacité à se mouvoir de façon autonome. 
Les grandes marques automobile de l’époque telles que Peugeot, Panhard & Levassor, Benz ou Daimler participent au salon3. L'opération remporte un vif succès puisque 140 000 visiteurs viennent découvrir les 232 modèles exposés. Une seconde exposition est montée aux Tuileries en juin 1899. En 1901, l'organisation prend toute son importance en s'installant au Grand Palais. Des vélos, des bateaux et des aérostats sont également exposés. En raison de la Première Guerre mondiale, le salon demeure fermé de 1914 à 1918. L’année 1919 signe sa réouverture, avec l’Hispano-Suiza H6 comme automobile phare. L’automobile est un objet de luxe que l’on expose et qui fait rêver, si bien que le salon attire de plus en plus de visiteurs chaque année. 
À nouveau, les organisateurs doivent trouver un autre lieu devant l'engouement des visiteurs et le nombre toujours croissant de modèles présentés. Depuis 1962 le salon se tient au Parc des expositions de la porte de Versailles, et depuis 1976, il a lieu seulement tous les deux ans, les années paires. En 1988, le « Salon de l'automobile » a changé de nom pour devenir le « Mondial de l'Automobile ». Le Mondial se tient dans huit halls et regroupe des marques automobiles du monde entier, certaines peu connues et d'autres très célèbres ; en 2002 par exemple, 559 marques étaient présentes. Le salon ne cesse de battre des records ; l'édition 2004 (25 septembre au 10 octobre) a connu un record de fréquentation avec 1,461 million de visiteurs, ce qui, selon ses organisateurs, en fait le premier salon du monde dans cette catégorie devant les salons de Tokyo, Francfort, Detroit, Genève, Shanghai et Pékin. 
L’édition 2008 égalise presque ce record (avec moins d'heures d'ouverture) avec 1,433 million de visiteurs, faisant du salon de Paris « le plus important du monde en termes de fréquentation »5. Malgré cela, certains constructeurs automobiles boudent le salon. L'édition 2016 regrettera la présence de nombreux acteurs parmi les plus prestigieux: Aston Martin, Bentley, Bugatti, Cadillac, Chevrolet, Ford Lamborghini, McLaren, Rolls Royce, lesquels exposaient lors de précédentes exhibitions. L'édition de 2010 a vu apparaître de nombreuses voitures électriques de plus en plus écologiques comme la Renault Zoé.
SOURCE INA.FR

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - - CITROËN ET RENAULT AU SALON DE L'AUTO ....C’ÉTAIT EN 1970

Produite à plus de deux millions d’exemplaires, la GS arrive sur un créneau délaissé par Citroën depuis le milieu des années 1950. Ce nouveau modèle, qui doit permettre au troisième constructeur français de remonter la pente, doit contrer la concurrence, en balançant cartes sur table avec son moteur à plat et sa version Birotor. 

La récompense ne se fera pas attendre puisqu’elle sera élue voiture de l’année 1971. Depuis le milieu des années 1950, il reste une place vacante entre la petite 2 CV et la luxueuse DS. Pour réduire ce manque, Citroën conçoit l’Ami 6. Mais le principal soucis du constructeur à l’époque est de pallier aux problèmes de jeunesse de la DS qui débute sa carrière.
Source : ART VISION

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DEUX CAPOTS MOTEUR...C'EST MIEUX QU'UN !!


 

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...