Le GMC CCKW est un véhicule militaire américain de transport à six roues motrices qui a servi durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) et durant la Guerre de Corée (1950-1953) dans l'armée américaine et dans l'armée française durant la Guerre d'Indochine (1946-1954) et la Guerre d'Algérie (1954-1962).
Il était proposé en plusieurs variantes, à cabine ouverte ou fermée, avec treuil et sans treuil, à châssis long (CCKW 353) ou court (CCKW 352) à pont SPLIT ou à pont BANJO, à caisse bois ou à caisse fer.
Ce véhicule fut construit à 562 750 exemplaires de 1941 à 19451 et a été utilisé par l'ensemble des armées alliées durant ce conflit.
L’URSS, au titre du Lend-Lease, en reçut plus de 100 000 exemplaires.
De 1946 à 1962, l'armée française l'a ensuite utilisé pendant la guerre d'Indochine puis la guerre d'Algérie et il était encore en service en France au début des années 1990 à quelques exemplaires.
Les derniers GMC CCKW en service se trouvaient notamment dans les petits centre de secours et chez certains dépanneurs civils. En 2000 les derniers CCKW quittaient l'armée française à la suite de la réforme de l'armée du président Chirac.
Son grand rayon de braquage et sa grande consommation en carburant ont entraîné sa désaffection. Dans les ventes des Domaines concernant ce matériel, il finissait par ne pas trouver d'acquéreur à 3 500 francs français.
Source vidéo:
mardi 18 juin 2024
lundi 17 juin 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Volkswagen Beetle de 1942..Le plus vieux buggy sur Terre....
Dans un coin caché d'un garage poussiéreux, niché sous une couverture de toile en lambeaux, reposait un Volkswagen Beetle de 1942 altéré, connu affectueusement sous le nom de "Ol' Buggy". " Avec sa silhouette arrondie et son charme vintage, il détenait le titre distingué du plus vieux buggy sur terre. L'histoire de Ol' Buggy a commencé pendant la tourmente de la Seconde Guerre mondiale, où elle avait servi de moyen de transport fiable. Après avoir survécu aux ravages de la guerre, il s'est retrouvé en possession d'une âme aventureuse nommée Amelia.
Avec un cœur plein d'envie de vagabonder, Amelia a décidé de donner à Ol' Buggy un deuxième bail sur la vie.
Au fil des ans, ils ont traversé divers paysages, des villes animées aux campagnes sereines, créant ainsi une tapisserie de souvenirs. Ol' Buggy est devenu le témoin d'innombrables couchers de soleil, un compagnon sous un ciel étoilé et un partenaire fiable à travers les rebondissements du voyage de la vie.
L'amour d'Amelia pour Ol' Buggy s'est étendu au-delà de ses composants mécaniques ; elle l'a vu comme une capsule temporelle, un témoignage vivant de l'histoire Le vieux scarabée, bien qu'il montre des signes d'usure, a continué à se ralentir, incarnant la résilience et l'esprit d'exploration
Alors que les nouvelles de Ol' Buggy se propagent, les passionnés et les historiens se sont émerveillés par son état bien préservé !
C'est devenu un symbole de nostalgie et une connexion à une époque révolue. Les expositions de voitures anciennes et les musées ont cherché le privilège d'afficher cette pièce intemporelle de l'histoire automobile.
Un jour, sous un ciel nuageux, Amelia et Ol' Buggy partent pour leur dernière aventure.
Ils se méandraient à travers des paysages panoramiques, revisitant des endroits chéris de leur passé. Finalement, sur une petite place de ville, entourée d'admirateurs et d'amateurs, Ol' Buggy a trouvé son lieu de repos un phare de l'histoire et un rappel que le plus vieux buggy sur terre avait roulé à travers le temps, laissant derrière lui un héritage qui perdurerait pour les générations à venir..!
Source : Vintage Life
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - PILOTE DE LÉGENDE JOHN SURTEES ...PILOTE DE F1 ..
John Norman Surtees est un ancien pilote motocycliste et automobile britannique, né le 11 février 1934 à Tatsfield (en) dans le comté de Surrey en Angleterre et mort le 10 mars 2017 à Londres à l'âge de 83 ans.
Après avoir remporté sept titres de champion du monde de vitesse moto, il passe en Formule 1 et gagne le titre mondial en 1964. John Surtees reste le seul pilote champion du monde moto et de Formule 1.
Seul champion du monde moto et F1
Avant d'arriver en F1, John Surtees avait été sacré champion du monde de vitesse moto à sept reprises. Il reste d'ailleurs le seul pilote à la fois champion du monde moto et Formule 1. Surtees a également participé à quatre reprises aux 24 Heures du Mans avec Ferrari et Lola, signant pour meilleur résultat une troisième place la même année que son titre mondial en F1.
C'est en 1951 que John Surtees fait ses débuts à moto. Il commence par courir sur Norton et marque son premier point, celui de la sixième place en 1952 en 500 cm3 au Grand Prix d'Ulster. Après une saison terne en 1953 où il ne marque aucun point en 350 cm3 comme en 500 cm3, il aborde la saison 1955. Cette année-là, il signe ses premiers podiums sur une Norton en 350 cm3 en Allemagne et à Ulster dont il remporte également la manche en 250 cm3 tout en signant le meilleur tour en course pour sa seule apparition au guidon d'une NSU. En 1956, à seulement 22 ans, il quitte Norton pour MV Agusta ; en 350 cm3 il termine second du Grand Prix des Pays-Bas et remporte le Grand Prix de Belgique terminant l'année avec 14 points et quatrième du championnat.
Mieux en 500 cm3, en trois apparitions, il signe trois victoires au Tourist Trophy 1956, au Grand Prix des Pays-Bas et au Grand Prix de Belgique tout en signant le meilleur tour en course lors de ces deux premières épreuves. Il remporte ainsi son premier titre mondial dans la catégorie 500 cm3 au guidon d'une MV Agusta. En 1957 il ne parvient pas à concrétiser. Il termine au pied du podium au Tourist Trophy de l'Île de Man en 350 cm3, mais, se classe second de cette même course en 500 cm3 avant de s'imposer aux Pays-Bas en 500 cm3. Surtees termine tout de même troisième du championnat en 500 cm3 avec 17 points. De 1958 à 1960, sa domination est totale.
Il ne quitte la première place du podium qu'à trois reprises : au Grand Prix de France 1960 en 350 cm3 où il termine troisième, au Tourist Trophy de l'Île de Man 1960 où il termine second en 350 cm3 et au Grand Prix d'Ulster 1960 en 500 cm3 où il termine second. Au cours de ses 35 participations entre 1958 et 1960, Surtees s'adjuge 32 victoires, 35 podiums (soit 100 % de réussite) et 32 meilleurs tours en course. Il remporte donc six autres titres de champion du monde, en 350 cm3 et en 500 cm3. N'ayant plus rien à prouver sur deux roues, John Surtees se laisse tenter par le sport automobile.
En 1960, parallèlement à sa dernière saison en MotoGP et après un très bref apprentissage en Formule 2, il fait ainsi ses débuts en Formule 1, en tant que pilote officiel Lotus. Dès sa deuxième course, sur Lotus 18 au Grand Prix de Grande-Bretagne, il décroche la seconde place derrière Jack Brabham. Puis Surtees ne passe pas loin de l'exploit lors de son troisième Grand Prix, au Portugal, puisqu'il décroche la pole position et domine la course avant de partir à la faute. Même si sa prestation au Portugal fait de lui l'un des pilotes les plus prometteurs de sa génération, Surtees préfère néanmoins disputer la saison suivante à l'abri de toute pression au volant d'une Cooper T53 de l'écurie privée Yeoman Credit Racing Team.
Il se classe à deux reprises cinquième en Championnat du monde (Belgique et Allemagne) mais remporte sa première victoire (hors-championnat) lors du Glover Trophy. Puis, en 1962, toujours avec Yeoman Credit, il se lance dans le nouveau et ambitieux projet Lola-Climax qui engage la nouvelle Mk4. Si la nouvelle écurie implose au bout d'une seule saison, Surtees a su se mettre en évidence à plus d'une reprise (en décrochant notamment la pole position aux Pays-Bas lors de la première course de la monoplace puis en terminant cinq fois consécutivement dans les points, dont deux fois sur le podium), ce qui lui ouvre les portes de la Scuderia Ferrari pour la saison 1963. En 1963, chez Ferrari, au volant de la 156, Surtees ne peut dans un premier temps rien faire pour contrer l'invincible Lotus 25 de Jim Clark.
Mais il met à profit la première défaillance du futur champion du monde pour s'imposer avec classe lors du Grand Prix d'Allemagne disputé sur le très sélectif tracé du Nürburgring. Surtees manque à deux reprises de récidiver (lors des Grand Prix d'Italie et des États-Unis) mais son moteur rend l'âme alors qu'il est en tête. En 1964, avec une Ferrari 158 enfin à la hauteur des Lotus et BRM, John Surtees décroche deux pole positions, deux victoires et six podiums et remporte le championnat du monde. Il devient ainsi le premier pilote, et le seul à ce jour, champion du monde à la fois sur deux et quatre roues (Joe Leonard s'étant de son côté imposé dans des championnats américains d'importance moto et auto).
L'année suivante, au volant de la Ferrari 158 puis de la 1512, Surtees est impuissant pour contrer la nouvelle domination de Clark et Lotus. Il termine à quatre reprises seulement dans les points malgré de très belles qualifications car sa Ferrari était très peu fiable. En 1966, le changement de réglementation fait à nouveau de lui le favori pour le titre mondial. Loin d'être l'année d'un deuxième sacre, 1966 sera au contraire celle de la rupture entre Surtees et Ferrari. Exaspéré par les pratiques d'Eugenio Dragoni (directeur sportif de la Scuderia) qui ne cache pas sa préférence pour son coéquipier italien Lorenzo Bandini et par les manœuvres dans l'ombre de Mike Parkes qui souhaitait une place de titulaire chez Ferrari, Surtees claque la porte de la Scuderia en pleine saison, malgré la pole position et la victoire en Belgique sur la 312.
Il termine l'année chez Cooper où il décroche deux podiums avant de remporter sa deuxième course de la saison lors du Grand Prix du Mexique sur la T81-Maserati. Surtees termine vice-champion du monde derrière l'impressionnant Brabham qui a remporté quatre courses consécutivement. En 1966, Surtees fonde son écurie, la Surtees Racing Organisation.
Source : ledauphine.com
dimanche 16 juin 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Ferdinand Porsche dans une Lohner-Porsche de 1903....
La Lohner-Porsche utilisait des moteurs électriques en hub/roue (oui, il y a bien plus de 100 ans) avec un moteur à essence faisant office de générateur.
Avec d'autres versions purement électriques, et une autre qui pouvait fonctionner sur l'une ou l'autre, ou d'après ce que je peux voir, les deux alimentations électriques, Porsche était un leader de la technologie des voitures électriques dans tous les
Porsche a eu l'idée presque purement tout seul à l'âge de 18 ans (ou probablement avant ((mise à jour : on dirait qu'il a fallu jusqu'à l'âge de 24 ans avant que les premiers ne soient construits, purement électriques, puis ajoutés des moteurs à essence comme générateurs/moteurs d'entraînement)) et était au bon endroit et le bon moment pour avoir des fonds et pouvoir le construire avec lui.
Porsche était en 1906 employée par Daimler-Benz, elle-même une entreprise relativement nouvelle en tant que chef designer.
Jacob Löhner disait à l'époque : « Il est très jeune, mais il a une grande carrière devant lui. Vous entendrez parler de lui à nouveau. Et nous l'avons fait.
Regardez juste l'histoire.. Même le moon lander d'origine a utilisé beaucoup de la technologie et du design de ce système.
Source : Denis Cain
CLUB5A - VOITURES DE LÉGENDE - LES TRACTIONS AVANT CITROËN ...
La Citroën Traction Avant est une automobile produite par le constructeur français Citroën de 1934 à 1957. Son histoire est liée dans la mémoire collective à l'Occupation, tour à tour voiture de la Gestapo et icône de la Résistance. Elle est également le véhicule préféré des gangsters, le fruit de qualités routières exceptionnelles pour son époque.
Cette automobile dispose alors d'une particularité rare sur les automobiles de sa catégorie : les roues motrices sont celles du train avant. La traction est l'innovation première de cette voiture. Cette technique est rapidement associée en France à la Citroën, ce qui lui vaut son surnom, « Traction », et plus tard le pléonasme « Traction avant ».
La vraie nouveauté est d'associer sur un même véhicule les solutions les plus modernes de l'époque : en plus du mode de transmission, une structure monocoque, des freins hydrauliques et une suspension à roues indépendantes sur les 4 roues. La Traction Avant bénéficie quoi qu'il en soit d'une meilleure tenue de route que la plupart de ses contemporaines, ce qui attise l'imagination des publicitaires : « La Traction Avant dompte la force centrifuge ». Sans cesse améliorée par André Lefèbvre, cette Citroën a ouvert la voie à la production en grande série de véhicules équipés de cette technique, ses qualités lui valant une longue carrière et une production de 760 000 exemplaires.
L'année 1934 est une année charnière, aussi bien pour la marque Citroën que pour son fondateur, André Citroën. Les finances de l'entreprise sont au plus bas. Aussi, Citroën se doit d'innover pour augmenter la production qui baisse dangereusement et assainir les finances de sa société. La Rosalie se vend bien, mais pas assez pour assurer la pérennité de la société. Le modèle qui doit permettre à Citroën de remonter la pente est présenté place de l’Europe le 18 avril 1934. Officiellement, il se nomme 7 en raison de la puissance fiscale française de 7 CV, mais l’histoire le rebaptisera « Traction Avant ».
La nouvelle Citroën, qui marque une réelle rupture avec la Rosalie, se singularise esthétiquement par sa ligne entièrement aérodynamique, résultat de la mode du Streamline Moderne.
Très différent de ses contemporaines, le style de la carrosserie permet à la voiture de se singulariser aux yeux du public, interdisant toute confusion avec un modèle à transmission conventionnelle. Dans un premier temps uniquement disponible en berline, la voiture offre une ligne moderne, œuvre du designer Flaminio Bertoni à qui l'on doit aussi la 2 CV, l'Ami 6 et la DS. Le coupé et le cabriolet sont mis en forme par Jean Daninos. Les premières Traction Avant se reconnaissent à leur toit en moleskine et non entièrement tôle comme ce sera le cas plus tard, ainsi que par l'absence d'une malle ouvrante de l'extérieur. La conception très rapide, en dix-huit mois, n’a pas permis de tester suffisamment la voiture.
Les premiers clients feront les frais de cette absence de fiabilité. Les cardans cèdent rapidement, entraînant la perte des roues avant, la « caisse monocoque » n'est pas assez résistante et plie, sans parler des problèmes de moteur et de boîte de vitesses. En effet, la Traction ne reprend pas les organes mécaniques de la Rosalie : sa conception est entièrement nouvelle et le réseau du service après vente Citroën, pas assez formé, a du mal à prendre en charge et à réparer les automobiles qui reviennent sous garantie. Cependant, les ingénieurs de l'entreprise travaillent et n'auront de cesse d'améliorer et de fiabiliser le modèle, tout en étendant la gamme vers le haut avec des mécaniques plus puissantes à 4 cylindres (7B et 7C de 9 chevaux fiscaux, puis 7S et 11AL/11A de 11 chevaux fiscaux) et plus grosses à 6 cylindres en ligne (15-Six) ou à 8 cylindres en V de 22 chevaux.
Cette dernière motorisation restera à l'état de prototype et ne sera jamais produite en série. De l'avis général, la Traction est réellement devenue fiable et mature à partir des modèles 1936. Mais les déboires des débuts auront raison de l'ancienne société Citroën qui déposera le bilan et sera reprise par la famille Michelin avec le succès que l'on connaît.
Source : PSA - DAM - Documentaires Auto / Moto
Très différent de ses contemporaines, le style de la carrosserie permet à la voiture de se singulariser aux yeux du public, interdisant toute confusion avec un modèle à transmission conventionnelle. Dans un premier temps uniquement disponible en berline, la voiture offre une ligne moderne, œuvre du designer Flaminio Bertoni à qui l'on doit aussi la 2 CV, l'Ami 6 et la DS. Le coupé et le cabriolet sont mis en forme par Jean Daninos. Les premières Traction Avant se reconnaissent à leur toit en moleskine et non entièrement tôle comme ce sera le cas plus tard, ainsi que par l'absence d'une malle ouvrante de l'extérieur. La conception très rapide, en dix-huit mois, n’a pas permis de tester suffisamment la voiture.
Les premiers clients feront les frais de cette absence de fiabilité. Les cardans cèdent rapidement, entraînant la perte des roues avant, la « caisse monocoque » n'est pas assez résistante et plie, sans parler des problèmes de moteur et de boîte de vitesses. En effet, la Traction ne reprend pas les organes mécaniques de la Rosalie : sa conception est entièrement nouvelle et le réseau du service après vente Citroën, pas assez formé, a du mal à prendre en charge et à réparer les automobiles qui reviennent sous garantie. Cependant, les ingénieurs de l'entreprise travaillent et n'auront de cesse d'améliorer et de fiabiliser le modèle, tout en étendant la gamme vers le haut avec des mécaniques plus puissantes à 4 cylindres (7B et 7C de 9 chevaux fiscaux, puis 7S et 11AL/11A de 11 chevaux fiscaux) et plus grosses à 6 cylindres en ligne (15-Six) ou à 8 cylindres en V de 22 chevaux.
Cette dernière motorisation restera à l'état de prototype et ne sera jamais produite en série. De l'avis général, la Traction est réellement devenue fiable et mature à partir des modèles 1936. Mais les déboires des débuts auront raison de l'ancienne société Citroën qui déposera le bilan et sera reprise par la famille Michelin avec le succès que l'on connaît.
Source : PSA - DAM - Documentaires Auto / Moto
DAM - Documentaires Auto / Moto
samedi 15 juin 2024
CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UN SOLEX AVANT ET APRES !!
Solex est l'entreprise de mécanique créée vers 1905 par Maurice Goudard (1881-1948) et Marcel Mennesson (1884-1976) , tous les deux centraliens et connue pour ses carburateurs et son cyclomoteur, le Vélosolex.
En 1905, création de la société Solex qui fabrique des radiateurs centrifuge, puis des carburateurs. En 1906, premiers grands succès pour Solex, qui gagne l'appel d'offre lancé par la Compagnie générale des omnibus, ce qui représente quatre cents autobus à équiper de carburateurs centrifuges et donnera la notoriété nécessaire au groupe. Solex, Vélosolex et Solexine (carburant développé par BP à la demande de la société Solex) sont des marques commerciales déposées, propriété groupe Cible, qui en a acquis l'exclusivité.
À ce titre, ces termes doivent s'écrire avec une majuscule et, en vertu des dispositions de l'article 714-6 du code de la propriété intellectuelle, le propriétaire s'oppose formellement à leur usage générique. D'origine obscure, les deux syllabes « Solex » ont un indéniable pouvoir de séduction. Trois ans après Solex naissaient en Suisse les montres Rolex ; dans les années 1930, apparaissent les caméras Bolex, également suisses, et aux États-Unis : les plastiques Molex.
Source vidéo : Achillannedany
En 1905, création de la société Solex qui fabrique des radiateurs centrifuge, puis des carburateurs. En 1906, premiers grands succès pour Solex, qui gagne l'appel d'offre lancé par la Compagnie générale des omnibus, ce qui représente quatre cents autobus à équiper de carburateurs centrifuges et donnera la notoriété nécessaire au groupe. Solex, Vélosolex et Solexine (carburant développé par BP à la demande de la société Solex) sont des marques commerciales déposées, propriété groupe Cible, qui en a acquis l'exclusivité.
À ce titre, ces termes doivent s'écrire avec une majuscule et, en vertu des dispositions de l'article 714-6 du code de la propriété intellectuelle, le propriétaire s'oppose formellement à leur usage générique. D'origine obscure, les deux syllabes « Solex » ont un indéniable pouvoir de séduction. Trois ans après Solex naissaient en Suisse les montres Rolex ; dans les années 1930, apparaissent les caméras Bolex, également suisses, et aux États-Unis : les plastiques Molex.
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE MARCHE DES ANCIENNES POURSUIT SON LENT REPLI...
Après une embellie le marché des anciennes et des voitures de collection poursuit son lent repli. Comment analyser le phénomène ?
Quelles en sont les causes ? On essaye d’y voir un peu plus clair.
LES OBSERVATIONS
De nombreuses voitures de collection s’éternisent des semaines, voire des mois en annonces, sans trouver acquéreur. L’adage « une voiture proposée au juste prix se vend rapidement » prend toute sa valeur.
La baisse continue du marché s’observe également dans les résultats des enchères mesurés par rapport aux estimations. Lors des ventes du premier trimestre, 68 % des lots ont été adjugés en dessous de leurs estimations basses, alors que l’on était à 60% sur la même période. C’est vraiment significatif, à fortiori dans un contexte d’inflation générale.
Comme pour l’immobilier, le fossé se creuse entre les exigences des vendeurs et ce que souhaitent (ou peuvent) mettre les acheteurs.
On arrive donc à un marché qui ralentit et des volumes de transactions qui se réduisent.
Avant de repartir ? Pas certain … car il y a d’autres phénomènes, plus structurels, qui peuvent expliquer ce repli du marché des anciennes constaté sur tous les continents.
EVOLUTION DÉMOGRAPHIQUE
Le vieillissement de la population
… qui influe sur le marché des voitures anciennes..
Les baby-boomers (1943-1963) retraités en sont pour beaucoup à leurs dernières voitures. Tous les nostalgiques des « 30 glorieuses », tous ces passionnés revivant leurs belles années avec les voitures de l’époque , avec l’âge qui avance, ne sont plus aussi actifs sur le marché qu’il y a une dizaine d’années.
La génération Y (1979-1994) s’intéressé aux Youngtimers et a très peu d’affinités pour les voitures datant d’avant 1980. Quant à la génération Z (1995 et + …), les voitures ne les intéressent tout simplement pas du tout …
L’essentiel du marché des anciennes repose donc sur la génération X (1964-1978) qui pour l’essentiel est encore dans la vie active, et qui accèdera plus tardivement à la retraite que les Boomers. Leurs préoccupations quotidiennes repoussent aussi parfois au second plan l’acquisition et/ou l’entretien/restauration d’une ancienne.
CONTEXTE ÉCONOMIQUE
L’inflation qui a frappé toute l’Europe depuis 2 ans a conduit de nombreuses familles à ré-arbitrer leurs dépenses et renoncer à investir dans des biens non-essentiels. De plus, avec l’inflation, les coûts d’entretien / restauration des voitures anciennes ont également augmenté et contribuent à rendre l’investissement moins attractif.
Au final, la progression de valeur annuelle (autour de 5%) que l’on observait sur la plupart des anciennes a été rabotée par cette augmentation des coûts d’entretien.
En parallèle, les rendements des livrets d’épargne populaires (Livrets A ou LDD) est passé de 0,5% (insignifiant) en 2021 à 3% en 2023 (significatif), limitant d’autant l’attrait pour le marché des anciennes de ceux qui y voyaient aussi un moyen de placer intelligemment leur argent.
ACCESSIBILITÉ FINANCIÈRE
Le « ticket d’entrée » pour accéder aux modèles « populaires » faciles d’accès (2CV Citroen, VW Coccinelle, Austin Mini …) dépasse désormais les 10.000 euros pour un modèle en état correct, ce qui les rend inaccessibles pour de nombreux acheteurs potentiels, en particulier les plus jeunes générations.
Les bulles spéculatives qui ont frappé de nombreux modèles les rendent également difficilement accessibles aux petits et moyens budgets, même si ça a permis de restaurer la majorité du parc.
Même si il reste quelques opportunités et voitures de valeur méconnues, globalement le gisement de voitures accessibles aux petits budget a tendance à se réduire comme peau de chagrin.
RÉGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE
Les normes environnementales de plus en plus strictes peuvent rendre les voitures anciennes moins attrayantes, même si pour la plupart n’est pas concernées par les zones d’exclusion. Mais dans l’inconscient collectif, la question « est-ce que je vais pouvoir continuer à rouler avec une Ancienne ? Est-ce qu’elle ne sera pas invendable dans quelques années ? » reste prégnante. Même chose avec les jeunes générations nourries à force de slogans écologistes « l’essence c’est mal« .
Dans un monde où l’inquiétude a succédé à l’insouciance, où les modes de transports sont remis en cause, le marché des anciennes a probablement passé son âge d’or. La bonne nouvelle c’est que ce reflux n’est pas violent et ne va donc pas générer de réactions irrationnelles.
Source : autocollec.com/Direct Auto
Direct Auto
CLUB5A - CULTURE PUB - PUBLICITÉ POUR LA Z1 DE KAWASAKI ...
Kawa revient à la charge avec, cette fois, un mini site internet lancé à la gloire de s es Z qui, d'après les Nippons, "devrait ravir tous les amoureux de quelques-uns des modèles les plus emblématiques du grand constructeur japonais".
La saga Kawa de Z à Z La liste démarre naturellement par la 900 Z1, premier modèle du nom, dévoilée en 1972 au Salon de Cologne. En parcourant le court descriptif - "en langue anglaise ou... japonaise", précisent non sans malice les responsables français - les visiteurs peuvent par exemple (re)découvrir l'origine de son nom.
La saga Kawa de Z à Z La liste démarre naturellement par la 900 Z1, premier modèle du nom, dévoilée en 1972 au Salon de Cologne. En parcourant le court descriptif - "en langue anglaise ou... japonaise", précisent non sans malice les responsables français - les visiteurs peuvent par exemple (re)découvrir l'origine de son nom.
Source : moto-net.com / Digest of "Z1 The Movie" DVD / Yasushi Ojiro
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