vendredi 14 juin 2024

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA MORGAN V6 TOURER....LA SEULE FAMILIALE DE LA GAMME MORGAN !!



Basée sur la Plus 4 avec son moteur 2.0 litres, ou sur la Roadster avec son 3.7 litres, la 4 places appelée "Tourer" est la seule "familiale" de la gamme Morgan.

Son design astucieux permet un accès très facile aux places arrières. Chaque siège arrière se rabat séparément et laisse un espace pour les bagages. 
Chaque siège est équipée de ceintures montées au centre.
La Plus 4 Tourer ou Roadster Tourer est une 4 places qui vous permettra de transmettre votre passion de l'automobile classique à vos enfants et amis.
Une Morgan classique, quelle que soit sa motorisation, vous apportera le plaisir de conduite d'une automobile de collection, la tranquillité d'une mécanique moderne, le luxe d'un intérieur sur-mesure, le charme et l'élégance d'un vrai roadster anglais.
Source : sport-prestige

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La plus petite voiture de série de l’histoire la Peel P50....

 

La plus petite voiture de série de l’histoire, la Peel P50, a été produite au début des années 1960. Sa longueur était de 137 centimètres, sa largeur de 104 cm et il ne pesait que 59 kilogrammes. Fabricant –..Société d’ingénierie Peel 
Source : Anna Karmann

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE ENSEIGNE TRES EXPRESSIVE !!

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Au volant des Aston Martin de James Bond..

L’Aston Martin DB5 Stunt dans le dernier opus de 007, «No Time to Die», semblable à la DB5 de «Goldfinger» (1964), a été rééditée dans une version allégée équipée d’une boîte six vitesses Chez Aston Martin, le sujet n’a pas fait débat: «Il était impensable que nos voitures ne soient pas dans le prochain film, insiste David King, vice-président d’Aston Martin, en charge des opérations spéciales, nous avons tout mis en œuvre pour y figurer.» Opération réussie. No Time to Die, le prochain James Bond, en salle le 20 avril prochain, sera le douzième long-métrage dans lequel l’agent 007 conduit un véhicule de la marque anglaise. 
Mais cela n’a rien d’une routine. Quand l’équipe d’Aston Martin découvre le scénario du long-métrage, sur lequel elle n’a aucune prise, elle y retrouve entre autres l’emblématique DB5 Superleggera de 1963. Problème: les cascades prévues ne sont pas envisageables par le véhicule couleur «bouleau argenté» qui fit sa première apparition dans Goldfinger (1964) piloté par Sean Connery. La voiture dans sa version d’origine est un brin inadaptée à l’esprit Fast and Furious du script. «Nous n’avons pas eu le choix. En six mois, nous avons conçu et produit huit DB5 Stunt pour les besoins du tournage», reprend David King. Nous découvrons ce modèle rare en Grande-Bretagne, sur le circuit de Silverstone. 

Vu de l’extérieur, rien n’a changé. «Contrairement au modèle d’origine, cette auto est équipée d’un moteur de trois litres qui développe 300 chevaux. Et surtout, elle a été très allégée et ne pèse plus qu’une tonne, contre 1465 kg pour l’original. Cela fait la différence», explique Mark Higgins, le pilote cascadeur de ce film et des trois précédents. C’est bien lui qui fait chauffer la gomme des pneus de la superbe auto dans la bande-annonce du film, en ligne depuis quelques semaines. Puisque nous sommes ici pour prendre le volant, les gentlemen d’Aston Martin nous laissent les clés de tous leurs bolides, honneur à cette nouvelle venue, savant mélange des plus belles lignes et d’une surnervosité grisante. Il faut se glisser à l’intérieur de la DB5 Stunt en enjambant les tubes de protection latérale. 
On se cale dans un siège baquet en carbone et on boucle le harnais de sécurité 5 points. Moteur. Il n’y a plus qu’à se lancer, se laisser porter par le ronflement aigu du 6-cylindres ; piler encore plus fort avant de (tenter de) négocier virages et chicanes. Ne pas accélérer comme une brute au sortir des courbes, car l’arrière de la voiture semble avoir gagné son indépendance, au point de faire la toupie avec une facilité déconcertante, surtout sur une piste détrempée comme ce matin de février. Comme on déguste les vins d’un même château en commençant par le plus âgé ou le plus jeune pour remonter le fil du temps - ce que les œnologues appellent une verticale -, il est tentant de conduire successivement les différents véhicules du nouvel opus, qui représentent presque soixante ans d’histoire de la mécanique britannique. «Vivante, totalement sexy» La Valhalla, le prochain supercar présenté ce jour au garage, n’est pas disponible à l’essai. 
Nous ne testerons pas sa vitesse annoncée: 354 km/h. James Bond non plus puisqu’elle apparaît de façon statique dans le film. «Nous devons avoir un nouveau modèle dans chaque film», justifie David King. L’Aston Martin V8 Vantage, star mécanique de «Tuer n’est pas jouer», en 1987, avec Timothy Dalton dans le rôle de James Bond. Aston Martin Après le café chaud - il fait un froid de gueux sur le circuit venté et humide de Silverstone - nous embarquons à bord de la DBS Superleggera, un modèle sorti l’an passé. 
Tellement confortable qu’on s’y endormirait, bercé par les effluves de cuir, enveloppé dans des sièges qui semblent avoir été conçus juste pour nous, le pied caressant à peine la pédale d’accélérateur, l’aiguille du compteur digital calée à 250 km/h, la vitesse de croisière de cette ogive routière. On passe les rapports en effleurant les palettes situées de chaque côté du volant. Trop dur encore? Alors il suffit d’appuyer sur le bouton D et l’auto passe en mode automatique. La DBS, c’est la sportivité en version superluxe et l’impression que le véhicule pourrait s’incliner à 90 degrés pour aller draguer les nuages. Réveillons-nous et abandonnons le confort douillet contemporain pour nous installer à bord de la superbe Aston Martin V8 Vantage, déjà conduite par Timothy Dalton dans Tuer n’est pas jouer (1987). 
Oublié le digital et place au cuir noir et à la ronce de noyer à profusion. C’était donc cela les années 1980… Ce V8 porte en lui l’esprit de son époque. Mais la retenue des designers anglais a permis d’éviter les excès. Il en reste une sublime auto, imposante mais racée, un peu lourde à manier mais néanmoins sportive dont la couleur, un marron glacé unique qui flirte avec le mauvais goût, finit par séduire. Calé au volant du sublime engin au capot sans fin, on se laisse porter par la surpuissance du moteur. À l’intérieur de la DB5 Stunt, le conducteur se cale dans un siège baquet en carbone. Max Earey Plus de vingt ans séparent le modèle V8 Vantage de la bonne vieille DB5. Osons ce dernier bond dans le passé. 
Verdict dès le premier tour de circuit: Pas si facile de piloter une GT du début des années 1960. «C’est une voiture vivante, totalement sexy», s’amuse Mark Higgins. Chaque pièce semble avoir sa propre vie, vibrant avec bruit et entrain, indépendamment des autres, à l’image des clés de contact qui cliquettent bruyamment sur le tableau de bord. Et puis, si le moteur tourne comme une horloge et vous emmène où vous voulez aller - un peu plus vite que prévu -, la manœuvre qui consiste à tourner le fin volant demande un sérieux effort - il faut des bras - et une pression considérable sur le frein - il faut aussi des jambes. Autant de gestes et d’efforts complètement oubliés par l’automobiliste contemporain. Malgré cela et les effluves d’essence qui parfument l’habitacle, la DB5 originale se montre confortable. 
On envisage la route entre les deux rétroviseurs posés sur les ailes et le monde peut bien arrêter de tourner. En version originale ou Stunt, la DB5 est un bolide au charme fou. À chaque passage devant les stands, on se dit qu’on a déjà beaucoup roulé. Mais la tentation de repartir pour un dernier tour est trop forte. La dépendance à ce type de machine est ultrarapide. Entre Aston Martin et l’agent 007, l’histoire d’amour dure, doublée d’un bel échange commercial. Jamais la firme ne lésine sur les moyens pour montrer le meilleur d’elle-même sur grand écran. Sur le dernier tournage, quatre ingénieurs et douze techniciens furent mobilisés pendant plusieurs mois. Ces opérations très spéciales semblent satisfaire la famille Broccoli, qui produit la série, comme les constructeurs: «Nous avons noté des hausses des ventes de DBS (deuxième génération, NDLR) après la sortie de Casino Royal et Quantum of Solace. En règle générale, la valeur de ces opérations est incroyable d’un point de vue marketing.» James Bond est aussi un excellent vendeur.
Source : lefigaro.fr - James Bond 007


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mercredi 12 juin 2024

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CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - DAVID PRET A PARTIR POUR LA BALADE AVEC LA SECTION MOTO ...


 

CLUB5A - UNE BONNE PHILOSOPHIE DE LA VIE....NE JAMAIS GRANDIR !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO - PARTICIPATION DE BEDELIA DANS LA COMPETITION DE GAILLON ...

 

Bèdèlia à Gaillon en 1911, Tout le monde connaît la marque Bédélia qui est une société d'automobiles française, créée par Robert Bourbeau et Henri Devaux, ayant essentiellement produit des cyclecars (1908-1925). Robert Bourbeau et Henri Devaux sont étudiants de l'école d'ingénieurs Violet à Paris. En 1907, alors qu'ils ont 18 ans et à la suite d'un accident avec leur moto qu'ils n'ont pas les moyens de réparer, ils décident de construire leur propre véhicule avec les moyens du bord. 
Le résultat est un incroyable bricolage, un croisement entre une motocyclette et un avion sans ailes, équipé du moteur deux cylindres en V de leur motocyclette accidentée, et muni de deux sièges en tandem1. Le véhicule attire l'attention par sa simplicité et devient vite populaire. En 1908, le père d'Henri Devaux décide de financer leur projet, Robert Bourbeau et Henri Devaux se lancent alors dans la construction en série de leur « cyclecar » baptisé Bédélia BD2MG, commercialisée à partir de 1910. Ils deviennent les pionniers de ce type de véhicule très léger et populaire pour l'époque.
 Après la guerre, Robert Bourbeau quitte l'entreprise pour fonder sa propre marque de cyclecar. En 1920, Henri Devaux revend les droits de Bédélia à monsieur Binet, un concessionnaire, qui va les faire fabriquer par l'entreprise Mahieux & Cie,située Levallois-Perret jusqu'en 1925. A Gaillon : En 1911 elle était représentée par Mr Devaux qui a couru en 2 catégories cyclecar ; d’abord en voiture 2° catégorie à la vitesse moyenne de 33km/h ,puis dans la catégorie formule libre à la vitesse moyenne de 51,3km/h, En 1912 c’est le tour de Mr Bonville qui court en catégorie voiture à pétrole ,voiture de vitesse ,6° bis catégorie ,et monte a la vitesse moyenne de 84,2 km/h,avec un bicylindre de 2L . 
Son compère Mr Bourbeau en catégorie cyclecar, motocycles 3° catégorie,monte à la vitesse moyenne de 44,4 km/h avec un moteur de 1100 cm³. En 1913 de nouveau Mr Devaux en catégorie Auto a pétrole,voiture de course 5°catégorie , monte à la vitesse moyenne de 77,2 km/h. Source : Commémoration historique de la Course de Côte de Gaillon

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TU EN VEUX DU MOTEUR EN V...ET BIEN EN VOILA !

CLUB5A - CULTURE PUB - La Renault 6 c'était en 1968....

Des acteurs qui font de la pub..le phénomène ne date pas d'aujourd'hui. Daniel Prévost se prête à cette publicité pour la Renault 6 !!
La Renault 6 est une automobile fabriquée par Renault dans l'Île Seguin à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) et présentée au Salon de l'automobile de Paris en septembre 1968. La Renault 6 fut désignée ainsi parce qu'elle était équipée d'un moteur de 6 chevaux fiscaux. Cette petite berline à roues avant motrices offre une carrosserie assez spacieuse animée par un petit moteur. 

Elle possède un hayon, une banquette arrière repliable et démontable facilement et un levier de vitesses au tableau de bord. Elle reprend tous les éléments mécaniques de la Renault 4 (suspension par barres de torsion et boîte de vitesses devant le moteur) et ajoute des raffinements comme le pare-brise plus large, mais ne conserve pas les évents qui permettaient sur la R4 d'obtenir une aération du véhicule par dépression. 

 Pour Renault, elle était prévue pour être une petite Renault 16, d'où sa ligne similaire à l'exception des bordures latérales du toit. Toutefois, sur le plan mécanique, la R6 est beaucoup plus proche de la R4 que de la R16. La R6 est une évolution de la R4 dont elle reprend l'essentiel en s'en distinguant par l'esthétique et l'habitabilité. Dans ce sens, la R6 est à la R4 ce que la Dyane est à la Citroën 2 CV, ou ce que la R10 est à la R8. 

 À partir d'octobre 1970 (modèle 1971), la version originelle est supplantée par la nouvelle R6 TL. Grâce à son moteur 6 CV, l'auto est plus à l'aise sur la route avec une vitesse maximale qui passe de 120 km/h à 135 km/h. En Espagne, la Fasa-Renault 6 possède dès le début un « moteur Cléon-Fonte » de 956 cm3. Le sens de rotation du « moteur Billancourt » est anti-horaire (côté distribution), tandis que le « moteur Cléon-Fonte » tourne dans le sens horaire, pour obtenir le même sens de rotation aux roues, le différentiel de la boîte de vitesses est retourné sur les versions avec le « moteur Cléon-Fonte ». 

 La mécanique de la R6 est relativement fiable et économique. Son problème de conservation est lié à la corrosion qui compromet l'intégrité des différentes parties de la carrosserie : pointe des ailes avant, tour du pare-brise, passages de roues arrière... La R6 a plus séduit la clientèle par son côté pratique que par son esthétique, elle n'a jamais suscité l'admiration ni la convoitise et commence à peine à se faire une place sur le marché des voitures de collection.
Source : philippe baron

mardi 11 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - PHOTO DE GROUPE POUR IMMORTALISER LA SORTIE HIVERNALE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - DOUBLE FOYER OU DOUBLE SORTIE ??


 

CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA MASERATI QUATTROPORTE...

La Maserati Quattroporte
Roues concaves profondes...La Maserati Quattroporte est une berline haut de gamme qui se définit de la concurrence par la capture d'un niveau inégalé du sport italien et un rugissement d'un V-8 qui rend les personnes fébriles au niveau des genoux. Degré recherché de l'athlétisme et de luxe fait la Quattroporte un choix superbe pour les amateurs de l'automobile et les acheteurs haut de gamme. 
Les mêmes traits qui font de la Quattroporte de se démarquer peuvent également être trouvés dans la vaste gamme de roues offertes par Vossen Wheels.

Source Vidéo : VossenWheels

CLUB5A - SPORT AUTO - UNE BUGATTI POUR LA PREMIERE PLACE POUR LE CHAMPIONNAT POLONAIS DE 1929..

 

Juin 1929. L'équipage de l'ingénieur Bogutskyi de Lviv sur sa Bugatti type 40, qui a pris la première place dans la course qualificative pour le championnat polonais de sport automobile dans la catégorie des voitures de sport. 
Source : BUGATTI MEMORY

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE SIDE-CAR-COMBI-VW


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - IL VAUT MIEUX EN RIRE....


 

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CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA RENAULT R8 GORDINI ET LA R10 LES DEUX SŒURS DE LA FAMILLE RENAULT ....

Lancée en juin 1962, la Renault 8 est dessinée par Gaston Juchet et Philippe Charbonneaux. C'est l'une des premières voitures françaises avec quatre freins à disques.
 Le « moteur Sierra » (connu également sous le nom de « moteur Cléon-Fonte ») à cinq paliers est nouveau. 

Ce moteur élaboré par l'ingénieur René Vuaillat connaîtra une longue carrière puisqu'il sera encore utilisé sur les Twingo, Express, Clio et Super 5 dans les années 1990. Pour les modèles 1964, la planche de bord avec une boîte à gants est nouvelle et il existe une version mieux finie à moteur 1 108 cm³ provenant de la Caravelle 1100 et à boîte de vitesses à quatre rapports dénommée R8 Major. Pendant le courant de l'été 1965, elle est remplacée par la Renault 10 Major. 

Il s'agit d'une version allongée de la Renault 8, avec un coffre avant et un compartiment moteur plus grands, mais la cellule centrale, et donc l'habitabilité, reste identique mais traité plus luxueusement. Pour les modèles 1965, Renault commercialise la version sportive Gordini du nom du célèbre préparateur de moteurs. Elle est considérée comme la première "GTi". C'est effectivement la première compacte ayant des performances sportives pour un tarif de voiture de série. Pour les modèles 1968, le moteur de la Renault 8 passe de 956 cm³ à 1 108 cm³ tandis que l'appellation Major réapparaît. Le tableau de bord comporte des cadrans ronds. Sur la Renault 10, les originaux feux avant débordants les ailes sont supprimés et les projecteurs deviennent rectangulaires (empruntés à la Renault 16) ; elle remporte la toute première édition du Rallye du Liban, avec Jean Bassili et Antoine Slim.
À partir d'août 1968, la Renault 8 S, qui est une version sportive moins chère que la Renault 8 Gordini, possède le moteur de 60 ch à carburateur double corps de la Caravelle 1100 S. La Renault 8 S s'équipe d'un compte-tours, de quatre phares et de jantes larges. 
La Renault 8 S est supprimée en 1971 à Flins, elle sera définitivement arrêtée en 1976. 
Elle a été fabriquée de 1968 à 1971 à Flins et de 1968 à 1976 par la filiale espagnole Fasa-Renault. Elle est sortie en jaune, blanc et rouge. Pour les modèles 1970, la Renault 10 Major adopte le moteur 1 289 cm³ et devient Renault 10 « 1300 ». Celle-ci est supprimée en 1971. Courant 1973, la Renault 8 n'est plus disponible en France. Pendant la dernière année, les Renault 8, qui possèdent désormais des freins arrière à tambours, sont fabriquées par Fasa-Renault laquelle continue la fabrication jusqu'en 1977. 
En mai 1973, les Renault 8 et 8 TS espagnoles sont modernisées : les feux avant passent sous le pare-chocs rehaussé, les quatre projecteurs sont en série et les feux arrière s'agrandissent. 

 Source : vidéo 200016GSi

lundi 10 juin 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND DOMINIQUE ET JEANNOT ETAIENT AUX MANETTES LORS DES REUNIONS....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - FAIRE CORPS AVEC SA MOTO !


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - RESTAURATION D'UN TUBE CITROËN ....


Superbe restauration de ce tube Citroën ....Bravo, magnifique travail de nos amis BELGES.....
Chez Citroën, on parlait déjà avant la guerre d'un nouveau véhicule utilitaire qui remplacerait le TUB. 
On pouvait gagner du poids et puis le TUB avait un défaut : s'il n'était pas chargé à l'arrière, il penchait vers l'avant. Il avait vieilli et il était plus facile de créer un tout nouveau modèle, plus moderne. 
 Le cahier des charges voulu par Pierre Boulanger (à l'époque directeur de Citroën) était le suivant : un véhicule monocoque à traction avant qui reprendrait des éléments de la Traction Avant à quatre cylindres avec une bonne suspension arrière et surtout en utilisant un maximum de pièces existantes sur d'autres modèles de la marque. Construit en tôle ondulée plus rigide comme le célèbre avion Junkers Ju 52, le Type H est très cubique. Avec un volume utile de 7,32 m3, il peut charger 1 2002 kg de marchandises avec un seuil de chargement bas et une hauteur intérieure permettant de se tenir debout. 
D'innombrables adaptations ont été proposées par des carrossiers indépendants. Certains ont même adapté la suspension hydropneumatique à l'arrière. 
 Ce véhicule pratique, robuste, rustique et bénéficiant d'une bonne tenue de route, a connu un long succès malgré la consommation élevée de son moteur à essence et sa vitesse modeste. 
Il est resté célèbre en France comme le véhicule des commerçants ambulants et de la police, ce dernier connu sous le surnom de « panier à salade ». On l'appelle souvent à tort "Citroën Tube", par homophonie avec son prédécesseur TUB.
 Source : HYVanRestoration