samedi 13 avril 2024
vendredi 12 avril 2024
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - HISTOIRE DE MOTO-GUZZI !!!
L'histoire de la marque italienne Moto Guzzi commence lorsque trois jeunes gens d'origines fort diverses, Giorgio Parodi, Giovanni Ravelli et Carlo Guzzi se retrouvèrent enrôlés, au cours de la Première Guerre mondiale, dans la même escadrille. C'est là qu'ils projetèrent en commun de se lancer dans la fabrication de motos une fois les hostilités terminées.
Mais le destin ne voulut pas qu'il en soit ainsi : quelques jours avant la fin de la guerre, l'avion de Ravelli fut abattu.
En souvenir, Guzzi et Parodi adoptèrent l'aigle, symbole de leur escadrille, en guise d'emblème de la marque qui porta le nom de Guzzi. Parodi apporta essentiellement le financement nécessaire au démarrage de l'affaire.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
En souvenir, Guzzi et Parodi adoptèrent l'aigle, symbole de leur escadrille, en guise d'emblème de la marque qui porta le nom de Guzzi. Parodi apporta essentiellement le financement nécessaire au démarrage de l'affaire.
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - BUGATTI LES VOITURES LES PLUS RAPIDES ET LES PLUS EXCLUSIVES AU MONDE ...
Bugatti, le génie et la recherche de l’excellence en signature...Quelle que soit l’époque, Bugatti a toujours été reconnu comme le constructeur d’automobile produisant les véhicules les plus rapides et les plus exclusifs du monde. A l’occasion des 110 ans de Bugatti, les festivités battent leur plein avec de nombreuses expositions aux quatre coins de la France. 110 ans, un chiffre qui laisse autant rêveur que les modèles construits par son fondateur, Ettore Bugatti ! Ettore Bugatti, un passionné de mécanique...
Ettore Bugatti (1881-1947), fils de l’ébéniste italien Carlo Bugatti et de Thérèsa Lorioli, est issu d’une famille d’artistes et de créateurs. Son frère cade est le célèbre sculpteur animalier Rembrandt Bugatti (1884-1916). Il était également le neveu du peintre Giovanni Segantini et son grand père paternel Giovanni Luigi Bugatti était un sculpteur et architecte renommé en Italie. Il était tout naturel qu’Ettore Bugatti fréquenta l’Académie des Beaux-Arts Brera de Milan où il étudia la sculpture avec son frère.
A 14 ans, Ettore Bugatti se découvrit une passion pour la mécanique, en modifiant un tricycle motorisé. A 17 ans, il entra en apprentissage dans la fabrique de bicyclette milanaise Prinetti & Stucchi pour qui il conçut un tricycle à 2 moteurs pour la compétition. Il participa en tant que pilote à de nombreuses courses. La société ne désirant pas s’engager dans la fabrication des automobiles, Ettore Bugatti devint indépendant et, entre 1900 et 1901, avec l’appui financier des frères Gulinelli, il conçut et fabriqua sa première automobile.
Cette voiture, la Bugatti Type 2, était équipée d’un 4 cyl. de 3054cm³ (90 x 120) développant 12ch, atteignant 60km/h ! Elle est munie d’une transmission par chaîne, d’une boîte à vitesses 4 rapports, d’un châssis d’un empattement de 1,8m. Elle fut si remarquable qu’elle lui valut un prix et une médaille lors d’une exposition de renom à Milan se faisant ainsi remarquer par l’industriel alsacien, le Baron Eugène-Dominique de Dietrich (1844-1918) qui l’embaucha en 1902.
De Dietrich ou les premières armes d’Ettore Bugatti
Deux usines De Dietrich, implantées à Niederbronn-les-Bains et Lunéville, construisaient des automobiles depuis 1897 sous licence « Amédée Bollée Fils« , « Vivinius« , puis « Turcat-Mery« . Néanmoins, la première arrêta la fabrication des voitures en 1905, la seconde devint Loraine-Dietrich en 1906, la famille de Dietrich se désengageant de ce site industriel. Pour De Dietrich, Ettore Bugatti conçut 3 automobiles....
Ettore Bugatti travailla avec Émile Ernest Charles Mathis (1880-1956), celui-ci étant chargé de la commercialisation des voitures De Dietrich. En 1904, ils furent remerciés et s’associèrent pour faire fabriquer des Hermès à Graffenstaden, dans la propre banlieue de Strasbourg, par la Société Alsacienne de Constructions Mécaniques (SACM).
Hermès : l’association d’Ettore Bugatti avec Emile Ernest Charles Mathis
Pour Hermès, Ettore Bugatti conçut deux automobiles. Néanmoins, l’aventure entre les deux hommes fut très courte, puisqu’en 1906, le « Patron », son surnom, décide de se consacrer aux voitures de sport et de prestige....
Ainsi, Ettore Bugatti rejoignit Gasmotoren-Fabrik Deutz AG (ou plus simplement Deutz), une société fondée en 1872 à Deutz (ville incorporée à Cologne en 1888) par Nikolaus August Otto (1832-1891), Gottlieb Daimler (1834-1900) et Wilhelm Maybach (1846-1929). En 1876, Deutz produisit le premier moteur à quatre temps sur le principe défini par Nikolaus August Otto, le brevet étant déposé depuis 1877.
A l’époque d’Ettore Bugatti, Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach avaient déjà quitté la société pour une nouvelle aventure industrielle, dès 1882.
De son côté, Émile Ernest Charles Mathis vendit des Hermès jusqu’en 1907, puis distribua les automobiles des autres constructeurs pendant l’édification de sa nouvelle usine de Strasbourg. Il ambitionnait de devenir un acteur majeur en termes de volume. Chose atteinte durant l’Entre-Deux-guerres où son entreprise était le quatrième constructeur français, derrière Citroën, Renault et Peugeot. Les premières Mathis apparurent en 1910 et étaient équipées de moteurs Stœwer.
L’union d’Ettore Bugatti et de Deutz : pour l’excellence
Pérenne, Deutz donna les moyens financiers à Ettore Bugatti pour concevoir des automobiles fabuleuses.
L’arbre à cames en tête fit son apparition en 1903 sur le moteur de l’automobile de l’anglais Mandslay et fut adopté en série en 1905 par Isotta-Fraschini sur le modèle D. Ettore Bugatti fit de même pour les moteurs des Deutz-Bugatti, uniques voitures construites par cette vénérable maison. Pour Deutz, Ettore Bugatti conçut deux automobiles...
Le 25 février 1907, Ettore Bugatti épousa Barbara Maria Giuseppina Mascherpa Bolzoni (1881-1944) avec laquelle il aura quatre enfants, L’Ebé (1903-1980), Lidia (1907-1972), Jean (1909-1939) et Roland (1922-1977).
Responsable de la fabrication des automobiles, Ettore Bugatti conçut, en 1908, pendant ses moments de loisirs, la Bugatti Type 10 baptisée également par ses soins « petit pur-sang », dénommée par le public la « baignoire », car elle était dépourvue de portes. Sa carrosserie était en aluminium. Les prémices de la marque Bugatti venait de naître !
Source : CARDO -absolutelycars.fr/Motor1 France
jeudi 11 avril 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO ET MOTO - Les motards bientôt connectés avec les automobilistes ?
Un nouveau système de connectivité mettant en relation les motards et les automobilistes, pourrait permettre d'éviter jusqu'à un tiers des accidents de moto. (Par Jules Humbert).
Les premiers rayons de soleil accompagnés de températures clémentes, marquent le début des grandes balades à moto. Malheureusement, lors de ces grandes excursions, on déplore encore de trop nombreux accidents. Très exposé du fait de l'absence de protection, un motard a 18 fois plus de chances de ne pas survivre à un accident comparé à un automobiliste protégé par la carrosserie de sa voiture. L'équipementier Bosch, avec le soutien de Ducati, Autotalks et de la firme canadienne Cohda wireless, a décidé de s'atteler à la réduction des collisions impliquant les deux-roues motorisés.
L'objectif est de supprimer un tiers des accidents impliquant un deux-roues motorisé. Ces acteurs sont en train de développer un système qui fournirait des informations aux motards et aux automobilistes circulant à proximité, dans un rayon de 700 mètres. Les renseignements diffusés concerneraient le type de véhicule, sa vitesse, sa position et la direction qu'il prend. Ces détails utiles seront renouvelés dix fois par seconde grâce à cette nouvelle technologie qui prévoit de connecter les véhicules entre eux, pour éviter au maximum d'être surpris par un usager distrait. Ce dispositif préviendra chaque conducteur (motard ou automobiliste) par une alarme sonore ou un voyant lumineux sur le tableau de bord, si une situation potentiellement dangereuse est détectée.
Les voitures garées émettent aussi un signal pour prévenir les autres de leur présence, et toutes les données seront affichées sur une carte en 3D qui fonctionne de pair avec le système. Bien que cette nouveauté représente un atout supplémentaire pour la sécurité des motards, certains points sont encore sujets à interrogation.
Le conducteur devra à présent se concentrer sur sa conduite et la route qui défile devant lui, mais aussi suivre en permanence la carte du système!
Cela ne risque-t-il pas de compliquer la conduite et d'engendrer des fautes d'inattention?
À trop vouloir sécuriser les usagers de la route, le système ne risque-t-il pas de créer plus de troubles qu'il n'est censé en résoudre?
D'autant plus que si aucun danger n'est signalé, les automobilistes vont probablement relâcher leur attention, alors que les véhicules anciens qui ne possèdent pas de tels dispositifs ne seront pas signalés sur la carte.
Est-ce l'aube de la création d'un danger supplémentaire pour les propriétaires d'anciennes motos?
Enfin, cette technologie restera sans effet sur les usagers au comportement incivique, comme les automobilistes qui estiment être toujours prioritaires sur les motards simplement parce qu'ils sont moins exposés au danger. Pour corriger ces défauts, la prévention et la sensibilisation seront certainement nécessaires.
Source : lefigaro.fr
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA CITROEN DS 21 MAJESTY CARROSSEE PAR CHAPRON ...LE GRAND LUX !!
1969 Citroën DS 21 'Majesty' Saloon est une berline incroyablement rare et incroyablement luxueuse...
La Citroën DS , l'une des plus belles voitures jamais fabriquées, est un classique assez désirable sous sa forme standard, sans parler des rares spéciales carrossées de Chapron. Un bon exemple est la berline Citroën DS 21 "Majesty" qui est mise aux enchères par Bonhams comme l'une des 27 unités jamais fabriquées dans ce style de carrosserie.
Le "Majesty" a été construit par Henri Chapron , qui était également responsable de la garniture phare DS Prestige. Elle a fait ses débuts en 1964 et est restée en production jusqu'en 1969 en tant que variante la plus luxueuse et la plus exclusive de la berline française. Ce modèle particulier a été construit en 1969, ce qui en fait l'un des trois modèles basés sur la DS rénovée avec de beaux phares directionnels - les 24 autres unités avaient des phares ronds.
La caractéristique remarquable de la "Majesty" est la partie arrière redessinée, avec une ligne de toit angulaire résultant en une forme à trois caissons plus traditionnelle et une hauteur libre accrue pour les passagers arrière.
Outre la conception différente de la queue avec le pare-brise arrière plus grand et les ailettes sur les ailes arrière, le modèle présente des garnitures extérieures spéciales. On retrouve beaucoup de chrome sur la partie inférieure de la carrosserie, un élégant bandeau chromé sur le profil mettant en valeur les badges « Majesty », et des enjoliveurs en aluminium poli, contrastant avec la teinte Midnight Blue.
L'équipement comprend la climatisation avec bouches d'aération avant et arrière, des cendriers pour tous les passagers, une radio, une horloge montée sur le tableau de bord et une sellerie personnalisée.
Les sièges et les panneaux de porte sont recouverts de cuir beige havane, associé au faux bois de loupe peint à la main sur le tableau de bord et au tapis de laine marron. La DS spéciale a été restaurée en 2009 mais nécessite maintenant quelques travaux pour revenir en état Concours après avoir été entreposée pendant tant d'années.
La rare Citroën est offerte sans réserve et on estime qu'elle coûte entre 50 000 et 100 000 francs suisses, soit environ 51 000 à 102 000 dollars.
Outre le prix, le nouveau propriétaire devra payer des frais de douane suisses et des taxes supplémentaires afin de retirer le véhicule proposé avec une immatriculation belge.
Préférez-vous la carrosserie "Majesty" à la DS d'origine mais toujours ravissante, au cabriolet deux portes Décapotable ou à la Wagon plus pratique ?
Source : THANOS PAPPAS-carscoops.com/john blp
mercredi 10 avril 2024
CLUB5A - SORTIE AUTO RANDO-POP DU 7 AVRIL 2024 - LE CLUB 5A CARCASSONNE EN CROISIERE SUR LE CANAL DU MIDI..EMBARQUEMENT IMMEDIAT !
Il était 8h quand une trentaine de voitures ainsi que 65 participants se retrouvaient sur le parking de la maison des associations à Carcassonne en ce dimanche matin du 7 avril 2024…. Peugeot, Renault, Mercedes, Wv, Alfa-Roméo, Ford etc….enfin vous l’aviez compris …que des voitures aussi magnifiques les unes que les autres !
Après avoir validé l’inscription et écouter le programme de la journée de cette sortie lors d’un rapide briefe de Sylvie et Régis, road book en main, nous nous mettons en route sans perdre de temps car le « timing » de la journée était organisée au « millimètre » près.
Un ciel bas et gris avec un petit vent chargé d’humidité était au rendez-vous ce matin-là avec une température de saison qui venait « agrémenter » cette journée.
Celle-ci s’annonçait prometteuse et sous les meilleurs auspices car nous étions certains que le déroulement de cette sortie Rando-pop édition 2024 nous mènerait par un itinéraire que nous avaient concocté Corinne et Sylvie lors de la reconnaissance la veille, le programme prévu allait tenir ses promesses…et ce fut le cas.
Comme à l’accoutumée, nous traversons tous ces petits villages de Trèbes-Rustiques-Badens -Marseillette-Puichéric-La Redorte et Marseillette et arrivons gentiment sur le Port de HOMPS, où sur l’emplacement d’un grand parking était prévu un rassemblement afin de se regrouper avant l’embarquement.
Le timing était respecté car nous étions un peu en avance sur l’horaire (10h).
10h20 – Après avoir garé les voitures, sans perdre de temps et comme convenu avec le responsable de la péniche-promenade, s’organisait l’embarquement pour l’ensemble du groupe.(65 personnes).
Et nous voici tous embarqués sur la péniche pour une jolie promenade de 2h sur le canal du midi où nous pouvions admirer des magnifiques paysages au fil de l’eau accompagnés des commentaires de notre guide navigateur.
Nous sommes agréablement surpris de la richesse et l’histoire de ce canal et ceux-ci viennent en complémentarité de nos connaissances sur cet ouvrage de plusieurs siècles.
12h30-L’expérience a été unique car après ce surprenant voyage sur les flots, il fallait débarquer pour nous rendre au restaurant « Café du commerce » (chez Ahmed) à Rieux Minervois afin de partager un repas convivial et très copieux.
Tout le personnel de ce restaurant nous attendait pour nous servir un excellent repas…bravo et merci à toute l’équipe jeune et dynamique pour cette excellente prestation et j’en profite pour conseiller cet
Établissement à tous les responsables de clubs automobiles ou autres associations pour faire une étape où se conjugue la qualité et un accueil sans comparaison.
Tous nos remerciements à ceux qui ont œuvré pour cette belle journée.
Merci à Sylvie Corinne Gérard, merci aussi à la croisière du Midi pour son accueil…..Merci à vous tous pour votre participation!
Texte : PL Photos : Famille Raynaud-PL-Bernard Jelade...
CLUB5A- REPORTAGE AUTO - LE TOUR AUTO ...UN MUSÉE ROULANT ET VROMBISSANT !!
Pour de nombreux dévots de la voiture ancienne, le Tour Auto représente leur madeleine de Proust. Née en 1992, cette rétrospective de la classique routière française attire toujours autant de collectionneurs et de passionnés.
Si le Tour Auto mobilise toujours autant de passionnés, c'est qu'il a su créer une parfaite alchimie entre nostalgie des grandes heures de l'automobile, désir de compétition et art de vivre français.
L'un des principaux mérites de l'épreuve est de sortir des lieux communs et de sillonner la France oubliée, celle des routes départementales et des villages.
Au gré des 2500 kilomètres du périple passant par de nombreuses villes étapes, les équipages vont ainsi (re)découvrir quelques-uns des joyaux du patrimoine hexagonal.
les occasions de s'ébaudir devant la variété de la campagne française ne manqueront pas.
Voir passer dans un concert de décibels les engagés, sur fond de paysages de carte postale, réveillera à certains de nos aînés des souvenirs réjouissants.
Qu'ils aient choisi la catégorie «régularité» ou «compétition», où la performance pure prime, les participants auront des manches sur circuit et des épreuves spéciales sur des routes fermées pour se départager.
Tout au long du parcours, la ferveur que provoque le passage de cette incroyable caravane est de nature à nous montrer que l'automobile n'a rien perdu de son pouvoir d'attraction et suscite toujours de grandes manifestations d'affection. Source : lefigaro.fr/
L'un des principaux mérites de l'épreuve est de sortir des lieux communs et de sillonner la France oubliée, celle des routes départementales et des villages.
Au gré des 2500 kilomètres du périple passant par de nombreuses villes étapes, les équipages vont ainsi (re)découvrir quelques-uns des joyaux du patrimoine hexagonal.
les occasions de s'ébaudir devant la variété de la campagne française ne manqueront pas.
Voir passer dans un concert de décibels les engagés, sur fond de paysages de carte postale, réveillera à certains de nos aînés des souvenirs réjouissants.
Qu'ils aient choisi la catégorie «régularité» ou «compétition», où la performance pure prime, les participants auront des manches sur circuit et des épreuves spéciales sur des routes fermées pour se départager.
Tout au long du parcours, la ferveur que provoque le passage de cette incroyable caravane est de nature à nous montrer que l'automobile n'a rien perdu de son pouvoir d'attraction et suscite toujours de grandes manifestations d'affection. Source : lefigaro.fr/
CLUB5A - REPORTAGE - Citroën 2CV : combien de deuche y a-t-il encore en France ?
Plus de 5,1 millions de 2CV produites de 1949 à 1990 123 000 exemplaires de deuche seraient encore présentes en France.
La 2CV fait incontestablement partie du patrimoine automobile français, au même titre que la DS.
De notre patrimoine tout court. Une auto qui fêtait ses 75 ans d’existence le mois dernier, et qui fut produite à plus de cinq millions d’exemplaires tout au long de sa carrière, de 1949 à 1990.
Vendue à sa sortie quelques mois après sa présentation lors du Salon de l’Automobile de Paris de 1948, l’équivalent d'environ 7 500€ (une somme rapportée à sa valeur en 2023), soit la "deuche", mal accueillie par la presse au départ et affublée du surnom de "vilain petit canard", a connu, au cours de ces dernières décennies, une véritable flambée de son cours, de manière parfois totalement irrationnelle.
Dans nos rues et nos mémoires.
Et pourtant, la 2CV de Citroën, voiture préférée des Français, n’est pas, et n'a même jamais été, à proprement parler une véritable rareté. A telle enseigne qu'à ce jour, ce sont un peu plus de 123 000 exemplaires de 2CV (source AAA-Data), toutes générations et versions confondues, qui seraient encore existantes dans notre pays.
Certes, sur ce nombre, une moitié seulement peut encore revendiquer le statut de véhicule roulant (l’autre moitié étant laissée à l’abandon, en tout cas incapable en l’état de circuler) mais, il n’empêche, ce symbole "so french" n’est pas près de disparaître de nos routes. Encore moins de nos mémoires.
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