ASSOCIATION AUDOISE DES AMATEURS D'AUTOMOBILES ANCIENNES BP 563 11009 CARCASSONNE CEDEX
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Le premier salon Auto-moto Classic de Toulouse a ouvert ses portes les 21-22-23 septembre 2018, au Parc des Expositions. Près de 150 voitures de collection y sont exposés. Ces véhicules, souvent de grande valeur, sont devenus de véritables placements.
Source : LVA : N°1841 - Merci à Régis ARNAUD pour le suivi de la presse spécialisée ...France 3 Occitanie
Entre franche rigolade et émotion, les habitués du Bar des Halles et les amis du patron, Jacques Arator, ont dignement fêté son départ en retraite, samedi, dans ce bistrot emblématique du centre-ville.
Un bar plein comme un œuf, avec presque autant de monde que sur la place Carnot en ce jour de marché, ce samedi, où tout le monde s’était donné rendez-vous pour lever son verre en l’honneur de celui qui tient le zinc depuis 1984. à l’heure de lui rendre hommage, Christian Séguy a pris la parole au nom de tous pour honorer ce « petit bar de quartier » où « palefreniers, maraîchers, notaires, pharmaciens... et même un psychiatre de rue », se retrouvaient, tout comme les treizistes, les quinzistes et les amateurs de « parties de coinche endiablées que Pagnol nous aurait enviées ».
Pour lui souhaiter bon vent, ses amis ont offert au passionné de deux roues une « bleue », Motobécane authentique de 1960. Nul doute qu’il en fera bon usage, sur les routes audoises... ou pour un tour de France... Source : l'Indépendant.fr
Robert Terki au milieu de ses joyaux motorisés des années 1950. Lundi, une centaine de voitures des années 1920 à 1945 sera exposée au bord du canal.
Passionné, Robert Terki viendra avec une vieille 203.Dans son garage qu'il rêve de transformer un jour en "musée privé", il y a à l'entrée, un side-car BMW et une Peugeot 403 de 1958. Sur les côtés, au fond, dans les moindres recoins, on trouve des solex en pagaille, une collection de casque, des vieilles TSF, un tourne-disque, des affiches, des piles de journaux jaunis, des voitures à rame, etc.
Miroitier de profession, Robert Terki est un collectionneur fou, un passionné de voitures, de deux-roues et plus largement de tous les objets qui se rapportent aux années 1950. "Si j'avais eu vingt ans dans les années 1950, j'aurais été le plus heureux. J'aime la mentalité de cette époque au cours de laquelle on faisait de beaux produits", lance-t-il devant sa Peugeot 403 sur le toit de laquelle il fixe de temps à autre un canoë avant de filer sur la côte, comme au bon vieux temps des embouteillages sur la 113. "Il y avait une mentalité plus joyeuse, de la prospérité", reprend celui qui naquit "par malheur" au début des années 1960.
En 403 cheveux au vent
A constater tous ces objets qui s'entreposent dans son garage, dont la plupart sont encore en état de fonctionnement, on comprend que dans ces années-là, on ne parlait pas encore d'obsolescence programmée. D'ailleurs, la douzaine de motos (dont une Harley Davidson) et les quatre voitures de collection que Robert Terki conserve en lieu sûr, à quelques dizaines de kilomètres de chez lui, sont la preuve ronronnante de la qualité manufacturière des années 1950.
Aujourd'hui, avec son side-car, le collectionneur part en goguette du côté de la Ganguise, en toute tranquillité. Et avec sa "403" toit ouvrant, il emprunte l'autoroute des vacances cheveux au vent, à près de "120 km/h". Mais, événement exceptionnel oblige, lundi, à l'occasion du Tour de l'Aude en Pays Cathare, Robert Terki sortira sa 203 coupé qui s'exhibera au milieu d'une centaine de vieilles voitures le long du Canal. Source : L'INDEPENDANT.FR-A.P / PHOTO/D. Rumeau
Autoworld est un lieu exceptionnel et unique tant par son architecture que par la collection qu’il abrite et les expositions qui y sont organisées.
Le musée est situé dans un prestigieux édifice du Parc du Cinquantenaire, construit en 1880 pour célébrer le 50ème anniversaire de la création du Royaume de Belgique.
Plus de 300 véhicules, carrosses et motos de différentes origines retracent l’histoire de l’automobile et illustrent le développement spectaculaire des véhicules sur plus d’un siècle.
Les voitures les plus emblématiques de chaque époque permettent également de suivre l’évolution du design automobile du début jusqu’à aujourd’hui.
Des zones à thèmes mettent en lumière des aspects spécifiques de cette histoire.
La zone « Sport & Compétition » retrace les grandes étapes de la compétition automobile (rallyes et courses) depuis 1906, et la zone « Belgium at Autoworld » rappelle que notre pays fut l’un des principaux fabricants automobiles au début du 20ème siècle.
Dans la nouvelle « Media room » des films, vidéos et documents historiques relatent eux aussi cette histoire ainsi que l’évolution automobile depuis les 30 dernières années.
Des expositions temporaires sont régulièrement organisées.
Plus d’infos et le calendrier des expositions sur : www.autoworld.be
Une halte de deux heures avant de repartir vers Perpignan.
Le repos pour une reine de la route. (Photo « La Dépêche ».)
1905 : « La Dépêche du Midi » créait l'événement en organisant la première coupe des Pyrénées. Un cocktail touristique aux balbutiements de l'ère de la reine automobile. Quatre vingt-trois ans après, elles n'ont pas changé.
Pas une ride ne vient ternir leurs robes magnifiques. Pas un bruit parasite ne vient troubler le doux ronronnement des moteur, seuls les pilotes sont différent, fils spirituels des premiers propriétaires.
Les paysages eux aussi sont restés intacts. Le temps n’a pas de prise ; c’est vrai, les routes sont devenues pour ces reines que l’on vénère un peu plus confortables. Ces reines aux noms évocateurs, ainsi que leurs dignes serviteurs qui leur ont souvent redonné vie, étaient accueillis, hier, à Carcassonne, première ville étape de cette nouvelle édition de la coupe des Pyrénées. L'ensemble des soixante-dix voitures, accompagnées par une assistance de trois dépanneuses, les reines ont parfois des humeurs, roulent à une vitesse moyenne de 40 km/h. Progression paisible dans la campagne minervoise, avec points de passage obligatoires pour le classe ment final... Elles sont arrivées, hier, un peu avant midi, au pied- de la Cité. Un hommage de l'Histoire à l'Histoire ! Accompagnées par le soleil, elles venaient ensuite se laisser admirer sur le parking du Dôme. Bien sagement garées, les fleurons de l'histoire automobile vous contemplent. Nées entre les années 1905 et 1930, on n'ose pas employer le mot « construction » tant la comparaison avec l'idée de chaînes de montage serait insultante, ces reines : Bugatti, Hotchkiss, Delage ou Renault, enfantés par des esprits géniaux, étaient assemblées minutieusement. Une approche rare de la perfection. Bijoux d'un temps aujourd'hui révolu, elles sillonnent les routes de la région, animées par la passion (et le sacrifice au niveau des finances) de leurs heureux possesseurs, chevaliers servants entièrement dévoués à la cause... Les reines d'une époque révolue Cause noble, royale. Le moteur démarre et le ballet des cylindres nous entraîne dans un plongeon merveilleux. Un retour aux sources. Et certains n'ont pas hésité à venir de loin pour communier ensemble. Les énormes phares se transforment en miroir aux travers desquels ont lit toute une époque. Des moments faits de grandes et de petites histoires. On soulève le capot qui s'enlève d'un seul bloc, dernières vérifications avant le départ pour l'étape suivante qui les menait à Perpignan. Soulagement des concurrents: une des Bugatti participant à ce grand rendez-vous s’était arrêtée peu après le départ de Toulouse pour ennuis mécanique. A midi elle rejoignait l’étape Carcassonnaise. Soulagement ! et les regards s’éclairent lorsqu’il la voient arriver. La fête continue. Source : Le journal de l’Aude - Sébastien DUBOS
Comme tous les ans au début du mois de novembre au moment où nos roues de nos vieilles « bécanes » explosent les bogues des châtaignes sur les routes de cette magnifique région de la « Montagne noire », les motos du Club des 5A aiment prendre la direction de LESPINASSIERE.
Mais revenons au tout début de cette matinée, comme nous en avons l’habitude cela commence au café du Dôme, où, fidèle au poste, Alain et Régis accueillaient les participants et prenaient les engagements.(20€ par personne).
A 9 heures, le départ était donné aux 34 motards inscrits.
Notre Bernard national, investi comme à son habitude dans sa mission ouvrait la route !!
Après avoir parcouru les boulevards de CARCASSONNE, les motos se sont engagées sur la route en direction de Lespinassiere.
Soulignons que l'équipe d'assistance était assurée par Olivier fidèle au poste !!
C'est sous un beau soleil, mais avec une température d’un beau mois de novembre, que chacun a pu profiter d'un très bel itinéraire (70 kilomètres).
La route était très agréable avec des paysages variés, de belles couleurs d'automne, et beaucoup de châtaignes tombées sur la chaussée. C'est ainsi qu'ont été traversés les villages de VILLARZEL-CABARDES, LAURE-MINERVOIS, PEYRIAC-MINERVOIS, TRAUSSE, FELINES-MINERVOIS (Casse-croute : Café, petits gâteaux et jus de fruits..) et FERRALS-LES-MONTAGNES avant d'atteindre LESPINASSIERE.
A 12h arrivée au restaurant, toute la troupe prenait place autour des grandes tablées….enfin était venu le moment de déguster le savoureux repas tant attendu.
Les propriétaires du restaurant de LESPINASSIERE, situés dans l'ancienne école, nous ont réservé les meilleurs accueils en proposant, au choix de chacun, soit des tripes soit du Fréginat accompagné de pommes de terre.
Ces plats savoureux et roboratifs, parfaitement adaptés à la fraicheur automnale, ont été suivis du fromage et du dessert…...
Après le café, c'était déjà l'heure de repartir vers CARCASSONNE.
Trajet retour suivant l’itinéraire fixé : CITOU, CAUNES-MINERVOIS, VILLENEUVE-MINERVOIS, SALLELE-CABARDES et CONQUES S/ ORBIEL où était organisé, pour ceux qui le souhaitaient une halte « fraicheur » chez Bernard !!
Merci aux organisateurs du club pour cette belle journée !!
C'était, comme d’habitude, une sortie motos très réussie dans un cadre champêtre et une ambiance « motarde à l’ancienne »(Rien à voir avec celle de Dijon…. )
