mardi 23 janvier 2018

CLUB5A - SORTIE MOTOS HIVERNALE DU CLUB DES 5A CARCASSONNE - C’ÉTAIT LE 21 JANVIER 2018...MOUILLES MAIS HEUREUX !!

Les motocyclistes du club des 5A ont fait leur première sortie de l'année. 
 En ce tout début de 2018, c'était la traditionnelle balade hivernale qui devait conduire les participants à FAJAC EN VAL pour savourer une spécialité qui n’est pas vraiment de l’Aude…J’ai nommé la choucroute !! 
Début de la matinée au café du Dôme où ce matin là un événement exceptionnel à eu lieu…

Les responsables de ces sorties motos (Alain Fumanal et Régis Périch soutenus par l’ensemble des participants à cette journée ont offert à la patronne du café du Dôme un magnifique bouquet afin de la remercier de sa gentillesse et du désordre occasionné pour ces départs de sortie motos !! 
Alain et Régis accueillaient les participants et prenaient les engagements et comme nous en avons l’habitude à 9 heures Jean-Pierre sifflait le départ !! 
Les concurrents pour cette balade hivernale étaient plus restreints que ce que nous pouvons connaitre habituellement, 16 personnes étaient au rendez-vous !! (Quelques ‘uns suivaient en voiture..) 

 Il faut dire que la météo était capricieuse et qu’une petite pluie fine était au programme ce matin de janvier… Fidèle au poste, Jean-Pierre ouvrait la route au guidon de sa BMW quant à notre Ise nationale elle était venue avec ce mauvais temps de Soupex (à coté de Castelnaudary) sur son vaillant coursier…j’ai nommé son 125 cbs Honda !! 


Le cortège a démarré sous la pluie, traversant les villages de notre magnifique département, nous avons effectué l’itinéraire prévu par Jean-Pierre …toujours sous la pluie et le vent avant enfin d'atteindre le Domaine de Peyremale à FAJAC EN VAL. 

 Ravis d'arriver au terme de ce bel itinéraire, les motards se mettaient enfin au sec et s'attablaient. 

Après l'apéritif, enfin était venu le moment de déguster la choucroute tant attendue. Ce plat était parfaitement adapté au froid hivernal (Je ne l’apprendrais pas aux personnes de l’Est de la France..). 
Après le café, c'était l'heure de repartir vers CARCASSONNE en roulant prudemment, encore et toujours sous la pluie. Merci aux organisateurs du club pour cette 7ème hivernale. 

Si cette sortie a exposé les participants au froid et à la pluie, elle leur a permis de partager une matinée dans une bonne ambiance !! 

Texte et photos : BERNARD RICARD

dimanche 21 janvier 2018

CLUB5A - RACONTEZ NOUS VOS MEILLEURS SOUVENIRS !! - LE MUSÉE DE REIMS PAR FRÉDÉRIC FRAISSE ...

Le musée de Reims est installée dans les anciens ateliers de la menuiserie métallique moderne. 
Le musée se caractérise par le rassemblement sur un même lieu de voitures miniatures, de plaques émaillées des différents constructeurs, de jouets (camions en bois, voitures à pédales etc), de voitures (environ 160) et de motos (environ 70). 

Il fait partie des 5 musées les plus importants de France et présente la particularité d'être géré par une association de collectionneur dont les propres véhicules sont exposés. 

Au niveau des voitures qui vont du début du XX siècles jusqu'aux années 70, outre les constructeurs traditionnels (Peugeot, Renault, Citroën, SIMCA, Panhard) on peut découvrir des constructeurs moins connus du grand public (Licorne, Chenard et Walcker, Salmson). 
Ce musée abrite un modèle unique la SCAR (la société de construction automobile de Reims) marque qui exista de 1906 à 1915. 
Au niveau des motos différentes marque sont également exposées Terrot, Monet-Goyon, BSA, Motobécane, Solex.

Merci Frédéric FRAISSE d'avoir participé à cette rubrique ...

samedi 20 janvier 2018

CLUB5A - DIVERTISSEMENT - LE CINÉMA ET LA MOTO - LE FILM MOTO BURN OUT ..

Entre superbike et go-fast à moto !!
Burn Out est un film d'action français réalisé en 2017 par Yann Gozlan. Ce long métrage s'inspire du roman "Balancé dans les cordes" écrit par Jérémie Guez, mais propose d'importants changements puisque le personnage principal, boxeur dans le livre, devient ici un pilote de superbike, offrant alors une place prépondérante à la moto. Synopsis Tête brûlée, accro aux sensations fortes, Tony ne vit que pour une seule chose : devenir pilote professionnel de moto Superbike.

 Jusqu'au jour où il découvre que la mère de son fils est une nourrice, liée à la mafia manouche. Tout bascule quand elle se fait voler la came par son compagnon, la laissant seule avec 50.000 euros à rembourser. Seule issue pour la sortir de cet engrenage et la sauver de la prostitution, Tony met ses talents de pilote au service des truands. Magasinier dans un entrepôt le jour, s'entraînant en plus sur circuit chaque jour pour gagner son contrat de pilote pro en Championnat pour la saison suivante, il devient aussi go-faster la nuit pour ramener de la drogue des Pays-Bas. Tony plonge dans une spirale infernale qui le fait lui-même sombrer peu à peu dans la drogue et au bord de la rupture...
Le film est un vrai polar motard, sombre, qui vous emmène avec lui jusqu'au bout et pas seulement de la nuit. C'est un peu tourné comme un court-métrage mais il n'y a aucun temps mort, sans spoiler. Les motos du film Pilote en Championnat de France Superbike et go-faster à moto, Tony nous offre l'occasion de croiser un grand nombre de belles cylindrées tout au long du film, à commencer par sa Ducati 899 Panigale, voire ses Panigale

 Bien entendu, on retrouve également toutes les hypersportives modernes lors des courses de SBK, mais aussi les Yamaha FJR1300 de la police lors de courses poursuite ou encore un enduro KTM pour une virée en cité au milieu des caillasses et de la police pour ne citer que ça. Si François Civil qui joue Tony a dû passer son permis moto un mois avant le début du tournage, l'acteur a laissé sa place sur les sportives à un pilote de renom en guise de doublure : monsieur Serge Nuques. C'est bien Serges Nuques qui a pris l'autoroute à contre sens en pleine nuit, sans trucage et sans accélération de la vitesse au montage. Ce qui donne des scènes angoissantes et terriblement réelles, à juste raison.
Source : AuCiné/lerepairedesmotards.com

vendredi 19 janvier 2018

CLUB5A - L'INCONTOURNABLE BOURSE MOTOS DE BRAM - C’ÉTAIT LES 13 ET 14 JANVIER 2018....LA BOURSE OU LA VIE ??

La 17ème Bourse de Motos anciennes organisée par la section Motos Ancienne du club 5 A, celle-ci s'est déroulée le Week-end dernier à BRAM. Les exposants, fidèles de chaque année étaient au rendez-vous et les stands répartis sur 2500m2 à l’extérieur et dans la halle, nombreux étaient les visiteurs et nous remercions tous ces passionnés de la bourse motos de Bram. Ces nicheurs de pièces introuvables, ces petits morceaux de motos tellement recherchées !! 

 Il est à noter et cela est vraiment encourageant pour les organisateurs que le nombre de visiteurs du samedi matin est de plus en plus important chaque année, malgré une météo qui cette année, était froide mais sans pluie !!...Et c’est tant mieux pour les exposants qui étaient toute la journée à l’extérieur, autour de ce nouvel emplacement, la Halle Claude Nougaro où était organisée cette année cette bourse ! 
 (L’emplacement traditionnel étant en travaux)

Inutile de vous préciser que vu la température extérieure le café coulait à flots coté buvette (la bière aussi mais pour d’autres raisons..!!) 
Toujours la même équipe fidèle de bénévoles et d'amis, pour aider Gérard et Josette ALVARO à finaliser cette bourse très prisée par les fidèles et reconnut à ce jour par les restaurateurs de motos anciennes et également dans le monde la moto de notre région comme étant l’événement incontournable de début d’année …

Bavo à vous deux pour votre dévouement et grand merci aux bénévoles pour leur disponibilité !! 
Inutile de vous préciser l'imagination des exposants pour présenter aux clients les milliers de pièces collectés patiemment et tout cela classé dans des caisses afin de s’y retrouver dès que le client demande la pièce rare ou carrément introuvable….

Ce sont de vrais petits trésors que l’on peut découvrir parmi ces étalages ou le marchandage est aussi de mise de temps en temps…le commerce c’est cela aussi !! 
 Remerciement à tous les bénévoles et membres du Club qui n'ont pas ménagé leur temps et leurs efforts pour assurer la réussite de cette manifestation qui au départ avec le changement d’emplacement n’était pas gagnée d’avance….Merc et bravo les gars...et les filles  !! 

Et principalement grand coup de chapeau à Josette et Gérard sans qui cette bourse ne pourrait avoir lieu tous les ans dans ces conditions. Merci à vous deux !! Merci également à la municipalité de Bram, sans oublier les riverains et bien sur aux commerçants qui nous reçoivent chaque année dans la bonne humeur. 
Merci à tous et à l’année prochaine !! 
PL

jeudi 18 janvier 2018

CLUB5A - CINÉMA - LE FILM : MAMMUTH - AVEC GERARD DEPARDIEU...

Film français de Benoît Delépine et Gustave Kervern. Avec Gérard Depardieu, Yolande Moreau. 
 Serge Pilardosse vient d'avoir 60 ans. 
Il travaille depuis l'âge de 16 ans, jamais au chômage, jamais malade. 
Mais l'heure de la retraite a sonné, et c'est la désillusion : il lui manque des points, certains employeurs ayant oublié de le déclarer ! 

Poussé par Catherine, sa femme, il enfourche sa vieille moto des années 70, une " Mammuth " qui lui vaut son surnom, et part à la recherche de ses bulletins de salaires. 
Durant son périple, il retrouve son passé et sa quête de documents..

mercredi 17 janvier 2018

CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS MEILLEURS SOUVENIRS - LE RASSEMBLEMENT AUTOS DE CONTREXEVILLE EDITION 2017 ...

Le rassemblement de Contrexéville
Il s'agit d'un petit rassemblement qui a eu lieu sur une demi journée un samedi en juillet 2017, (Contrexéville connait un rassemblement de plus grande ampleur début juillet organisé par le club rétrovosges) 

Organisé par le club local parmi la trentaine de véhicules exposés, il y avait une Alpine, une Renault 5 GT turbo, une Peugeot 404 coupé, des tractions avant.
Merci Frédéric FRAISSE d'avoir participé à cette rubrique...

samedi 13 janvier 2018

CLUB5A - DANS LE RÉTROVISEUR - LE BEST OF DES SORTIES AUTO-MOTO DE L'ANNÉE 2012..C’ÉTAIT HIER !!



Comme disait mon papa, pour savoir dans quelle direction on doit aller, il faut savoir d'où nous venons..Retour sur image des meilleurs moments de l'année 2012 !!

CLUB5A - RÉGLEMENTATION - RÉDUCTION DE LA VITESSE A 80 KM/H EN JUILLET 2018 !!


vendredi 12 janvier 2018

CLUB5A - RACONTEZ-NOUS VOS SOUVENIRS OU MEILLEURS MOMENTS AUTOS ET MOTOS - RETOUR SUR IMAGE - CIRCUIT DES REMPARTS ANGOULÊME - PATRICK CHAUSSAT DU CLUB DES 5A A L'ASSAUT DES REMPARTS D’ANGOULÊME...C'ETAIT EN 2014 !!

Patrick CHAUSSAT à l'assaut des remparts d'Angoulême le 21 septembre 2014....

Circuit des Remparts 2014

Ce weekend du 21 septembre 2014, la météo a été particulièrement clémente sur la Charente pour les participants et les organisateurs du Circuit des Remparts d’Angoulême. Dès le vendredi soir pour trouver la direction de la capitale de la Charente il suffit de suivre le flux de voitures anciennes, généralement anglaises. Les parkings de tous les hôtels de l’agglomération regorgent également de voitures de collection et Boumbo passera la nuit entourée de MG B, Jaguar Type E, Austin Healey 3000 et autres Bentley.

Le samedi matin départ à l’aube pour rejoindre le départ du rallye au Chai Magelis. Une fois la plaque de rallye récupérée, nous alignons notre Mini en épi prête à prendre le départ. 
Le soleil du matin réchauffe les participants mais aussi les nombreux spectateurs qui se sont levés tôt le samedi pour assister au départ du Rallye International de Charente. Le parcours est assez roulant et permet de découvrir les différents paysages de la région. Tout au long du tracé les spectateurs sont nombreux, ils prennent possession des terre pleins centraux, des places en centre ville pour saluer les participants, une vraie ambiance de Tour de France.
Le déjeuner du midi se fait au cloitre du château de Chalais ou les belles pierres donnent la réplique aux belles carrosseries. Le parcours de l’après midi sera moins intéressant car le nombre de participants au rallye entrainera de nombreux ralentissements et bouchons. Ceux-ci font chauffer les vieilles mécaniques et nombreuses sont les autos à devoir s’arrêter pour une pause refroidissement sur le bord de la route. Nous rentrons sur Angoulême en fin d’après midi sans aucune erreur de road book grâce à une copilote particulièrement appliquée.

Le dimanche est consacré au course et cette année nous y jouons uniquement le rôle de spectateur. Est-ce le fait d’être de l’autre coté du grillage ? 
Ou la hausse du thermomètre ? mais les pilotes du Circuit des Remparts nous ont semblés particulièrement énervés cette année. Outre le grave accident de l’Alpine A110 le matin, de nombreuses autos sortiront avec des stigmates plus ou moins importants des batailles dans les rues d’Angoulême. L’alternance entre plateaux d’avant guerre et de GT Tourisme permet de voir des autos très différentes mais toutes particulièrement spectaculaires. Mention spéciale à Patrick Chaussat, assureur de la manifestation mais également de Morrissette. 
Celui-ci a vécu son rêve d’enfant en participant à son rythme au Circuit des Remparts au volant de sa petite Austin Seven s’attirant ainsi la sympathie des speakers et des spectateurs.
Témoignage de Morrissette Racing / 

Source : facebook / morrissetteracing.wordpress.com/

lundi 8 janvier 2018

CLUB5A - HUMOUR AUTOS - IL EST IMPORTANT DE CONDUIRE BIEN ASSIS...


"J'essaye de noyer mon chagrin dans l’alcool mais depuis le temps... il appris à nager, mon chagrin" 
"Un homme intelligent est parfois forcé de boire pour pouvoir passer du temps parmi les imbéciles." 
" S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose." 
"Tout le monde doit croire en quelque chose. Moi je crois que je vais me prendre une autre bière" 
"Boire ou conduire il faut choisir, mais on ne va tout de même pas rentrer à pied" 
"Tout n'est pas cirrhose dans la vie "

dimanche 7 janvier 2018

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Vincennes en Anciennes, un hommage à nos chères disparues

ÉVÉNEMENT - La 18è Traversée de Paris organisée par l'association se déroulera dimanche prochain 7 janvier. 
En lumière lors de cette édition, les modèles des marques disparues. La question revient déjà sur toutes les lèvres: quel temps fera-t-il dimanche prochain pour la célèbre Traversée de Paris en véhicules d'époque. Nous avons consulté les prévisions météorologiques les plus fines. Et la réponse est: couvert, mais sans pluie, à partir du début de la matinée. Cette météo hivernale peut donc être considérée comme satisfaisante pour participer ou assister à la manifestation. 

Cette année, Vincennes en Anciennes a choisi de mettre à l'honneur les marques françaises ou étrangères de voitures et de motos disparues. Des noms qui sonnent comme des repères dans l'histoire de la locomotion et qui, aujourd'hui, sont empreints de nostalgie, tels AJS, Alvis, American LaFrance, Amilcar, De Dion Bouton, Delage, Delahaye, Dollar, Facel Vega, Gnome et Rhone, Motobécane, Pontiac, Rosengart, Simca, Studebaker, Terrot, Turcat-Mery, Le Zèbre, Zundapp. Certains de ces labels ont incarné l'élégance et le luxe, d'autres le progrès technique ou encore la démocratisation de l'automobile. 

Quel que soit leur pays d'origine ou les époques, les raisons pour lesquelles ces marques n'ont pas survécu sont multiples: rupture entre les fondateurs, conflits mondiaux, crise économique, faillite de l'entreprise, absence d'acier suite aux guerres, véhicule inadapté au monde qui l'entoure, choc pétrolier, remaniement au sein des constructeurs, ou tout simplement échec commercial. Certains modèles ont traversé le temps, bichonnés par leurs propriétaires, ultime témoignage d'une époque révolue. 

D'autres sont réapparues au XXIe siècle: Alpine et Bugatti en sont de beaux exemples. Parmi tous les véhicules présents à la Traversée de Paris, on pourra notamment admirer dimanche quelques Panhard, Facel Vega, Hotchkiss, Jeep Willy. Pour les passionnés de la «Petite Reine», les vélos Verdin, Vaury, Fongers, Dobro, Clediabert, et Simoun seront également présents, représentant des marques de petits constructeurs régionaux ou d'artisans. 
On pourra aussi admirer un rare vélo Onésime Boucheron, du patronyme d'un champion sur piste de la fin des années 1920, qui, probablement, vendait des bicyclettes à son nom avant d'arrêter la compétition en 1936. Coup de chapeau à l'Art Déco Le parcours sera dévoilé sur place au moment où les participants recevront leur livre de route.

Mais la boucle de 28 km partira de l'esplanade du château de Vincennes dès 8h00 pour y revenir vers midi. Une partie des voitures y restera exposée jusque vers 16h00 (en fonction de la météo). Des bus anciens seront mis à la disposition du public au départ de l'esplanade (réservation obligatoire via le site de l'association, car le nombre de places limitées. Tarif: 10 €). La Traversée de Paris sera aussi l'occasion de donner un coup de chapeau aux beautés architecturales de la capitale. Les organisateurs ont, semble-t-il, concocté un parcours qui s'intéressera plus particulièrement à l'architecture Art Déco (Années 1920-1930). On pourra ainsi admirer les lignes épurées du Grand Rex, des Palais de Tokyo et de Chaillot. À signaler: Vincennes en Anciennes éditera pour cette journée une plaque de rallye «Traversée de Paris en anciennes». 

PRATIQUE 
 • Dimanche 7 janvier 2018 
 • Départ des voitures entre 8h00 et 8h45 de l'esplanade du château de Vincennes. 
 • Arrivée vers 11h30/12h00 à la même esplanade du château de Vincennes, après une boucle de 28 km, où une partie des voitures sera exposée jusqu'à 16h00. 
 • Renseignements pratiques et inscription sur le site de l'association: http://www.vincennesenanciennes.com 

 Source : Philippe Doucet / lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info../
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CLUB5A - RACONTEZ NOUS VOS SOUVENIRS ET MEILLEURS MOMENTS - DEUXIÈME RASSEMBLEMENT A NEUFCHATEAU LES 22 ET 23 JUILLET 2017 ..

Deuxième rassemblement de Neufchateau organisé par l'association "les Z'amis des tacots" qui s'est déroulé du 22 au 23 juillet 2017 sur l'esplanade des marronniers à Neufchâteau sous-préfecture des Vosges. 
Cette rencontre était ouverte aux voitures et motos de collections et de prestiges. 

Outre la traditionnelle bourse, un concours d'élégance a eu lieu le dimanche, le premier prix a été remporté par une peugoet 201. Au cours de ce week-end, différents véhicules et différentes marques étaient exposées, des populaires Renault 4cv et Citroën 2cv en passant par les Panhard PL17 et autres Peugeot 203, aux véhicules prestigieux Porsche 911, Bentley et Aston Martin sans oublier une Panther ayant appartenu à un certain Jean-Philippe SMET. 

Au niveau des deux roues il y avait une série de solex, Peugeot bb, et Motobécane. Un modèle exceptionnel était présent il s'agit d'une mathis modèle unique fabriqué à la demande de M.Mathis lui-même pour son épouse. 
Ce modèle a été restauré dans les règles de l'art par un jeune restaurateur passionné M.Sébastien DUPONT dont l'entreprise est installé à Liffol-le-Grand dans les Vosges, commune connue pour être la capitale du siège et qui a depuis peu l'IGP pour cette spécialité. 
La troisième édition est prévue les 21 et 22 juillet 2018.
Merci MR FRAISSE d'avoir participé à cette rubrique...

mercredi 3 janvier 2018

CLUB5A - DIVERTISSEMENT AUTO - NOSTALGIE...LES VÉHICULES D'ÉPOQUE !!

C’est dans les deux dernières décennies du XIXe siècle que débuta l’essor de l’automobile. Rendus audacieux par les prodigieux progrès de la science et de la technique, des inventeurs rivalisèrent d’ingéniosité, les uns croyant à la vapeur, les autres au moteur à explosion. En février 1884, Édouard Delamare-Deboutteville (1856-1901) construisait en effet le premier moteur à explosion. 
Quelques années auparavant, les recherches sur la traction à vapeur – menées par Amédée Bollée (1844-1917), Léon Serpollet (1858-1917) et la Société de constructions mécaniques de Dion-Bouton et Trépardoux – avaient connu de nombreuses applications : le monde industrialisé était mûr pour l’automobile. Des bricoleurs de génie – comme le marquis Albert de Dion (1856-1946), Émile Levassor (1844-1897) ou Serpollet – aux industriels comme André Citroën (1878-1935) ou Louis Renault (1877-1944), des trompe-la-mort qui, dès 1899, dépassaient les 100 kilomètres/heure aux artistes comme Ettore Bugatti (1881-1947), installé en Alsace, les débuts de l’aventure automobile écrivent une saga bien française…
Cependant, ces nouveaux engins faisaient encore peur ; de fortes résistances psychologiques les discréditaient. Ils suscitaient l’incrédulité quant à leur viabilité et à leur endurance. 

À l’époque, l’automobile est surtout un sport, non un moyen de locomotion, et la compétition devient l’un de ses modes naturels d’expression, synonyme de modernité. Constructeurs désireux de prouver la qualité de leurs modèles et de mettre à l’épreuve leurs innovations techniques, sportsmen adorant relever des challenges, tous participèrent avec enthousiasme à ces courses qui n’étaient pas dénuées de danger puisqu’il y eut des victimes, tant parmi les concurrents que dans les rangs des spectateurs. Néanmoins, elles préfiguraient les grands rallyes automobiles du siècle suivant.
Source : histoire-image.org

mardi 2 janvier 2018

CLUB5A - DIVERTISSEMENT AUTO - C'EST TA VOITURE ??

Deux amis discutent : 
- C'est ta voiture ?
- Oui et non.
- Comment ça ?
- Pour les courses, c’est celle de ma femme, pour aller en boite, celle de ma fille et, pour le football, c’est celle de mon fils. 
Pour le plein d’essence, c’est la mienne !...

lundi 1 janvier 2018

CLUB5A- - RACONTEZ VOS PLUS BELLES AVENTURES - LES MILLE VACHES DE ISEISAISETTE DE SOUPEX EN 125 CG HONDA - DÉCEMBRE 2017...QUE DU BONHEUR MAIS FROID DEVANT !!

Voici des mois que je ne pensais qu’à ça : 
Les 1000 vaches 2017 ! 
 J’y suis allée, je vous raconte ? 
 En résumé : ça s'est très bien passé, même si pas du tout comme j’imaginais… Montée au plateau des 1000 vaches 2017 
Mercredi 6 décembre, retour du travail, youpi c’est les vacances ! 
On va au garage préparer la bestiole (pression des pneus, niveau d’huile, plein d’essence, tension de la chaîne, positionner le porte-bagages et charger… Tout est prêt, 22h ! Par acquit de conscience on tente un petit démarrage et … 

RIEN : ma jolie 125 CBS n’a pas supporté le test « route de nuit » du WE précédent : mes phares ont vidé la batterie, et quelque chose a dû cramer… Bref pas même un petit prout et voyant de point mort bien mort. 
Mon œil se pose sur ma sage 125 CG à côté, le coup de kick s’avérant positif je la prépare avec amour, je charge, et dodo minuit au lieu de 22h, pas grave, on le savait que le WE serait fatigant ! Jeudi 7 décembre, première partie du trajet toute seule, jusque Bouloc au nord-est de Toulouse. C’est beau. Mais punaise qu’il fait froid… 

Bon timing j’arrive au RV à 9h59, et je dois attendre ces messieurs mes compagnons de route, à savoir François, son frère jumeau Michel, et son ami d’enfance Jean. On apprécie les chocolats chauds, et on démarre tous les 4. Trajet agréable jusque Brive, mis à part plusieurs pauses-mécanique pour Jean et sa Kawa100 (j’aime quand ce sont les autres qui ralentissent le troupeau !) 
 Vendredi 8 décembre après une nuit confortable et au chaud, plein d’essence avec sur le parking du supermarché une pause-café organisée par le club Meymacois, on entre dans l’ambiance ! Pique-nique après Tulle et deux arrêts-mécanique (… !), et à 14h arrêt définitif de la petite Kawasaki à Egletons : elle ne redémarrera pas du WE. 

Au bout d’une heure et demie on la laisse chez un couple très gentil, on charge les 3 bestioles de reste, et je propose ma CG à Jean, étant moins volumineuse pour monter sur la moto de Michel. Il est tout content, ça lui remonte le moral. On arrive enfin à Meymac où on retrouve Stéphane. On prend les badges et on rejoint Jérémie et Laurent qui nous attendent pour pénétrer ensemble sur le domaine de la concentr’ , il est 16 ou 17h Séjour sur le plateau des 1000 vaches 2017 
 Nous nous installons côté soleil levant, la vue est superbe, et seul notre feu nous dérangera par sa fumée. Il faut monter les tentes avant de faire la fête, ranger les bestioles, planter le drapeau, faire le feu et stocker du bois pour la nuit. Les jumeaux se montrent super sociables comme toujours, et nous ramènent Virginie et Jérôme les voisins sympa. Eh oui, de l’autre côté il y a les « pas sympa », qui ont déroulé une bande rouge et blanche entre eux et nous (caché des bombes dessous, installé un mirador, son guetteur, sa mitraillette) avant de chanter toutes les chansons de Johnny sur fond de baffles diffusant plein pot. 

Nous avons surenchéri : ils ont entendu Petit Poney à tue-tête quand leurs baffles ont rendu l’âme... 
- Arrivée des petits derniers Baptiste et Laurent2 vers 21h il fait nuit depuis longtemps. La garbure de Madame Michel a été raclée jusqu’au collé au fond de la cocotte ; les saucisson, saucisse sèche, pâtés, cacahuètes ont accompagné la bière et le vin, puis ont succédé les magrets l’entrecôte… 
Je ne sais pas pourquoi ni comment, certains ont réussi à tomber de leur trépied !!! 
On a quand même eu soif de boire un verre sous le barnum. Et là j’ai bien rigolé : un, puis deux messieurs viennent me poser des questions super indiscrètes genre "ça finit à quelle heure dimanche ?", ou encore "c’est où qu’on achète les vaches ? " Je réalise que mon super blouson fluo est pris pour une tenue d’organisatrice. 
Je comprends mieux les détours respectueux opérés par des avinés croisés lors de ma balade pré-apéritive !!!‬ Après avoir bavardé tout notre saoul au vin chaud, retour aux tentes au compte-gouttes, pour se coucher ou bavarder encore près du feu... Mais tout à une fin, hop au lit. C’est là que j’ai commencé à mourir… ‬ 


 Tu entres dans la tente, dans le duvet, tu enlèves tes habits, tu attends que « ça chauffe » mais rien ; tu attrapes les chaufferettes, tu lis la notice en claquant des dents, tu en mets une à tes pieds une dans ta main et tu attends de t’endormir, ça ne vient pas. (Les chaufferettes je n’aime pas. Il faut qu’elles soient à proximité de ce qu’elles doivent chauffer, mais pas en contact. En gros tu la poses près de ta main et vu le -7 ou -8° annoncé, tu ne sens absolument rien… Si par hasard tu y arrives enfin, tu sens la chaleur, et du coup tout le reste de ton corps te semble gelé.) 
Je m’endormais un peu puis me réveillais en sursaut. Je ne voyais aucune solution à mon problème. J’ai commencé à paniquer : « si je ne dors pas je ne vais pas pouvoir rentrer à moto, trop fatiguée, et en plus je ne vais pas pouvoir profiter du WE entre amis tellement je vais être infernale…‬ » Alors je me suis levée : je préférais marcher toute la nuit et avoir chaud, à tenter de m’endormir frigorifiée.‬ Enfiler ses habits tant bien que mal, et commencer par la petite commission... 

On a le choix entre :‬ 
- à gauche, 500m, et au bout, 20 cabines sales et puantes ‬ - à droite, au bout des tentes, le champ désert...‬ Droite ! Oui mais c’est loin, on tente une incursion entre deux tentes dont les proprios sont certainement au barnum, mais un gros ronpchittt me fait prendre mes jambes à mon cou. Au bout du champ la neige, froide et mouillée, je vais à un endroit sans neige (Quand il fera jour j’y reviendrai pour découvrir que c’est un tas de bouses de vaches ! 
Congelées hein, mais ça prouve que la bouse est plus chaude que la terre !), puis direction le barnum… Là j’ai bu un chocolat et mangé un croissant, et demandé à la dame : 
- il est quelle heure ? 
- 7h30 ‬- HEIN ??? Alors j’ai dormi ?!!!‬ 
 On est donc samedi 9 décembre. Je reste dans le barnum, à l’abri du vent, debout, et je sens le froid s’immiscer à nouveau car mon pantalon en plastique me colle aux mollets. Pour ne pas penser à ma situation je regarde autour de moi. C’est très drôle : des gens viennent déjeuner, et me saluent passant près de moi. L’organisatrice je vous dis !!! Moi je réponds gentiment et pense « vous avez une mourante devant vous ». ‬ Une fille vient bavarder avec moi, elle me raconte toute sa vie, puis me présente les autres de son club. Ca finit par « et vous » ? "Moi ? Je suis en train de mourir de froid". Ça ne les a pas fait rire ! Deux se sont mis à 4 pattes pour tirer sur les jambes de mon legging et les faire rentrer dans mes chaussettes, la mort s’est éloignée. 

Du coup j’ai repris du poil de la bête et ai rejoint les autres au campement, où le feu servait de radiateur, de cuisinière, de fumigène anti-moustiques ! Après un bon repas il est décidé que Jean et moi redescendons à Brive tous les deux sur ma Japanise, laissant aux autres notre barda. 3heures de route à 60km/h grand max. 
On a des crampes, on fait des pauses on sautille on rigole et quand Jean me parle de faire le plein d’essence c’est NOOOOOOOOOON......... Il ne comprend pas, je lui dis hôtel, douche, chaud, galère stop, froid terminus !!! 
Ça le tente aussi, il ne parle plus d’essence !!! 

Et voilà, soirée de ressuscités, 1h sous la douche, repas chaud au chaud, puis gros dodo Retour du plateau des 1000 vaches 2017 Dimanche 10 décembre. Nous pensions démarrer tôt sur ma petite 125 pour gagner du temps, et que François et Michel nous rattraperaient. En fait ils arrivent tôt, chassés par la pluie… Je reprends donc les rennes de ma 125, avec mes petits bagages. François me suit un peu, mais voyant que je me débrouille, que lui s’endort, il me quitte 40 km avant Cahors et rejoint les autres par l’autoroute. Je finis donc mon périple en solitaire. Il faut savoir qu’il pleut à verse depuis le départ, et qu’il y a beaucoup de vent, donc j’atteins rarement les 80km/h. Mes bottes de moto sont le contraire d’étanches, ce serait plutôt des aspirateurs d’eau ! 

L’eau me glisse dans le dos depuis le casque. 
Mais le moral est bon, et surtout je m’estime chanceuse : il pleut d’accord, mais il ne fait pas froid ! J’envisage d’abord un retour d’une seule traite, puis sentant la fatigue arriver, avec une pause à Montauban. Puis la fatigue étant vraiment là, un repas à Cahors ! Aparté sur le restaurant « Le Poivron Rouge » à Cahors sud : je monte les marches, la porte coulisse, et ô magie de Noël, un charmant serveur m’accueille, me précède jusque derrière l’accueil où il m’autorise à poser casque, gants et blouson fluo (de gros poussin comme dit François). Puis on se met en 4 pour que je trouve une table, et je mange un fish and chips sans appétit, pour reprendre des forces. C’est quand je suis repartie que j’ai réalisé : je dégoulinais de partout, j’étais la plaie, la cliente pourrie du dimanche midi qui salit tout et qui pue la fumée de feu de camp !!! 

Eh bien ils ont été absolument parfaits, d’une correction d’une amabilité et d’une discrétion exemplaires. Je repars, on dirait que le vent et la pluie sont moins forts, mais toujours présents, et il me reste 150km… Montauban, Fronton, Bouloc « Coucou le bar aux chocolats », et là je m’engage sur les petites routes qui vont me ramener à la maison, d’ici 1h30… 
J’ai un défaut, enfin un de plus que tous ceux que vous connaissez déjà : je mets un point d’honneur à ne jamais regarder une carte une fois partie. J’ai tout dans la tête, et comme la tête est petite j’ai peu : quelques villes-repères, et entre, je brode. Je me perds une première fois, et reviens sur la bonne route. 

Un peu plus loin encore perdue… Au début je connais les noms des villages, puis pas du tout, mais je sais qu’il me faut piquer vers le sud. Un petit panneau avec un mot que je qualifie de patoisesque et que je traduis par « le raccourci » me fait emprunter un chemin qui aboutit dans une ferme… Elle repart… Elle sent une petite larme couler de chaque œil. Elle se dit « Y a d’la joie ! Je suis juste dépitée à l’idée de bientôt devoir appeler Mr Ise à l’aide ». Dieu m’entend, un panneau, un vrai, d’une ville que je connais, Caraman, finie la galère !!! Oui mais non, car le froid tombe d’un coup, et je suis trempée… Encore 1 heure… Courage on y est presque ! Pour finir un brouillard à couper au couteau me tombe dessus les 10 derniers km… 

Rentrée à 17h pile, décharger en tremblant, quitter les vêtements en claquant des dents, et enfin la douche méritée ! Bien-sûr elle est tombée malade, et n’a pas pu participer à la Ronde de Noël, alors qu’elle s’en faisait une joie… Voilà ce que c’est que de débuter la moto âgée !!! On a envie comme à 20 ans, sauf qu’on n’est pas aussi costaud… Vivement que je sois calmée, et très vite je pourrai dire « stop, pas envie de me geler tout un WE, je préfère lire les récits des courageux » 
En attendant je recherche déjà un duvet chaud et des protège-bottes ! 
Merci Iseisaisette pour ce superbe récit qui nous rappel des souvenirs de concentres/hivernale mémorables...bravo !!