Source : LA VIE DE L'AUTO du 24 AOÛT 2017
jeudi 31 août 2017
mercredi 30 août 2017
CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL Y A DES MATINS OU RIEN NE FONCTIONNE VRAIMENT ...
Le propriétaire de cette voiture devait être très heureux de trouver une voiture toute prête à rouler...le malheur des uns fait le bonheur des autres...
Source : ruben ruben
mardi 29 août 2017
CLUB5A - DVERTISSEMENT AUTOS - LES VOITURES BIZARRES ET ÉTRANGES !!
Voici des photos drôles avec des voitures bizarres....Vidéo à partager sans modération !
Source vidéo : Graham Jones
mercredi 23 août 2017
CLUB5A - HUMOUR AUTO - J'AI UN AVERTISSEUR RADAR DANS MA VOITURE.........
Un détecteur de radars cela n' existe pas, un detecteur radars c'est un transpondeur. Il ne marche que sur les avions, il faut un angle de10° minimum entre le radar et sa cible sur une route ( angle de 180° ) ca marche pas, de ce coté la les forces de l'ordre peuvent etre tranquille par contre un AVERTISSEUR DE RADARS OUI car il fonctionne sur GPS........
Source : France2
mardi 22 août 2017
CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - Hommage à Wolinski qui dessina en 1998 la Porsche Haberthur du Mans...
La mort du dessinateur Georges Wolinski, assassiné le 7 janvier à Paris, touche également le milieu du sport automobile suisse. Le célèbre dessinateur français avait en effet décoré la Porsche 911 GT2 de l’écurie vaudoise Haberthur qui avait participé aux 24 Heures du Mans de 1998 avec les pilotes français Jean-Luc Maury-Laribière, Eric Graham et Hervé Poulain. Ce dernier, commissaire-priseur renommé, avait en effet choisi Georges Wolinski afin de prolonger la liste des artistes de réputation internationale qui avait décoré les différentes «Art Cars» qu’il avait pilotées au Mans.
Du coup, l’auteur de «Gaston La Bite» et du «Roi des cons» – pour ne citer que deux de ses nombreuses œuvres les plus connues – s’est retrouvé sur une liste qui, excusez du peu, comprenait Alexander Calder, Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Arman et César, tous des grands noms de l’art contemporain. J’avais eu le privilège et le grand plaisir de rencontrer Georges Wolinski pour un article publié dans le magazine Sportwagen. La rencontre avait eu lieu dans le cadre des 24 Heures de Chamonix de 1999 où le dessinateur faisait partie du jury du Festival International de l’Automobile.
Il m’avait notamment parlé de sa collaboration avec l’écurie de Guido Haberthur, de sa Jaguar – «achetée d’occasion», m’avait-il précisé – et des publicités qu’il avait réalisées pour Renault. «En 1978, la Régie m’avait demandé de rajeunir l’image de la Renault 4 et j’avais effectué toute une série de dessins humoristiques. Afin de souligner la frugalité de la voiture, j’avais dessiné un bonhomme dans une 4L qui faisait un bras d’honneur à un pompiste. L’un d’entre eux, après avoir vu ce dessin, avait voulu me casser la figure», nous avait-il raconté en terminant sa phrase dans un grand éclat de rire.
Le 17 décembre, lors du vernissage du 9e volume de la collection «Les Suisses au Mans» au garage Speedy à Romanel-sur-Lausanne, nous avions justement évoqué notre rencontre avec Georges Wolinski avec l’artiste Filip-o. Présent afin de remettre à Alexandre Pesci, le patron de l’écurie Rebellion-Racing, un tableau représentant les deux Rebellion R-One engagées aux 24 Heures du Mans, Filip-o vendait à cette occasion plusieurs de ses œuvres. Peintre de renom, Filip-o avait en effet su parfaitement transposer le coup de crayon de Georges Wolinski sur la carrosserie de la Porsche 911 GT2 du team Haberthur, comme il l’avait d’ailleurs fait pour les autres «Art Cars» d’Hervé Poulain. Au garage Speedy, Filip-o nous avait notamment présenté ses tableaux de Jo Siffert et de la Porsche 917 devant le capot de la Porsche 911 GT2 sur lequel Georges Wolinski avait dessiné une femme nue.
Trois femmes plus ou moins dénudées figurent sur la Porsche 911 GT2 du team Haberthur dont le fabricant de modèles miniatures Vitesse a réalisé une série limitée à 2500. C’est le numéro 1377/2500 qui illustre cet article qui, à sa manière, entend rendre hommage à Georges Wolinski, un dessinateur dont l’excellent coup de crayon n’avait d’égal que son immense gentillesse et son grand humour. Dans un article publié en 2012 dans le quotidien «Libération», Georges Wolinski, alors âgé de 78 ans, avait confié au journaliste Edouard Launet ses dernières volontés.
Il lui avait dit qu’il verrait bien graver sur sa tombe le mot suivant de Cavanna: «Wolinski, on croit qu’il est con parce qu’il fait le con, mais en réalité il est vraiment con.» «De tombe, il n’y en aura cependant pas», écrivait Edouard Launet. Wolin préfère être incinéré.
Sa femme Maryse trouve l’idée idiote: «Et on les dispersera où, tes cendres ?» Réponse de Wolinski: «Tu les balanceras aux chiottes, comme ça chaque fois que tu t’assoiras sur ma tombe, je verrai ton cul.» RIP La rédaction de sport-auto.ch adresse ses plus sincères condoléances aux familles et proches des victimes de l’acte de terrorisme perpétré hier à la rédaction de Charlie Hebdo.
#jesuischarlie Crédits des photos: Laurent Missbauer / http://sport-auto.ch/ Ecrit par Laurent MissbauerDate: janvier 08, 2015
CLUB5A - SORTIE MOTOS "LACOSTE" ...C’ÉTAIT LE 20 AOÛT 2017....LA MAISON AU FOND DES BOIS !!
Sortie motos « LACOSTE » du 20 août 2017 Une ambiance d’été au zénith, un tracé préparé par notre maître des cartes (et pas que Michelin..) notre Jean-Pierre national (un régal de petites routes idéales pour des motos de collection….
Un endroit magique tant que c’est joli …une maison traditionnelle en pierres dans un théâtre de verdure…(ne cherchez pas le panneau indicateur…il n’y en a pas !!)
Cette balade organisée par le club des 5A avec aux manettes Alain Fumanal et Régis Périch (nos organisateurs habitués à ces sorties), les chefs d’orchestres de ces sorties motos !! 8H15, les premières motos arrivent, les unes après les autres, les habitués des sorties du dimanche matin sont là, fidèle au rendez-vous pour la plupart…
Un itinéraire sera remis à chacun contre une cotisation très modique..8€, on ne peut dire que le club « ruine » ses adhérents !! Après un café et quelques échanges près des motos..il y a toujours quelque chose à dire auprès de ces vénérables mécaniques…une anecdote, un commentaire et hop 9H …c’est le départ !!
Direction LACOSTE, balade à travers des petites routes boisées, sinueuses avec des traversées de villages aussi pittoresques les uns que les autres, quelques arrêts afin d’effectuer des regroupements et de nous assurer que tout le monde est bien là !! …
Jean-Pierre est très soucieux sur ce point vu et personne ne doit rester en arrière…… Sous un joli soleil d’été mais néanmoins un peu frais, nous arrivons gentiment chez Didier et Bernard où nous attendait le « légendaire casse-croute » !!
Le ventre plein, il était l’heure de redescendre sur Carcassonne selon le bon vouloir de chacun, comme dit Jean-Pierre « la route est libre…faite comme vous voulez » ……Merci à l’ensemble des organisateurs qui ont permis la réalisation de cette belle matinée, bravo Didier et Bernard, encore merci pour l’hospitalité et à l’année prochaine…. mais peut être pas dans cette charmante maison de LACOSTE car celle-ci sera peut-être vendue d’ici là…dommage pour nous nous regretterons ce cadre champêtre qui restera inoubliable !!
Merci à tous pour votre participation et votre fidélité à ces sorties motos !!!!
Texte et photos : PL
Super sortie encore une fois qui m'a procuré un grand plaisir! Fraîcheur de ce petit coin de montagne et chaleur de l'accueil, toujours....Michel TERRAST
samedi 19 août 2017
CLUB5A - SORTIE AUTOS - BALADE EN ALSACE DES 5A A LA RENCONTRE DE NOS AMIS DE EGGENFELDEN !!
Et voilà ! Nous y sommes, le grand jour est arrivé, après plusieurs mois, un an même, de préparation, Georg et Josy nous donnent le départ. Il faut dire qu'auparavant nous avions tous reçu, à domicile, s'il vous plaît, le «roadbook» complet et très détaillé du parcours qui allait nous mener à COLMAR par des routes détournées et pittoresques. Au matin du mercredi 3 août nous nous retrouvons au célèbre «Folies'resto» à TREBES, où nous pouvons saluer Patrick CILLA venu assister au démarrage de nos moteurs.
Il fait encore frais et 6 voitures du groupe s'élancent, 6 seulement car deux autres se joindront à nous à OLONZAC. Nous traverserons donc les zones montagneuses des départements de l'Hérault, d'une partie du Tarn, de l'Aveyron sous uns chaleur qui s'accentue au fil des heures. La traversée des agglomérations en devient parfois pénible, à cause de la densité de la circulation et de cette chaleur qui éprouve mécaniques et organismes, le summum étant atteint lorsque l'on se retrouve, à vitesse réduite, derrière un poids-lourd dans une longue montée !
Nous retrouvons Roger et Christiane à SAINTE AFFRIQUE. Nous traversons des panoramas toujours grandioses et nous nous arrêtons pour la halte pique-nique, tout cela nous fait vite oublier ces petits désagréments en nous permettant de partager les petites préparations élaborées par nos talentueuses cuisinières ! Les moteurs pourront également refroidir, un peu, car le soleil cogne de toutes ses forces!
Le reste du voyage jusqu'au PUY EN VELAY se déroule sans encombre, l'arrivée à l'hôtel nous permettra de nous requinquer avant d'aller dîner en ville et d'admirer, en soirée des animations par projections murales sur certains édifices de la ville, dignes de la fête des Lumières à LYON. Le lendemain, peu après le départ du PUY, le groupe s'arrête à la suite d'un « caprice » sur la Fiat qui empêche le moteur de tourner normalement : un simple fil mal isolé sur le dispositif d'allumage va demander environ une heure mais les choses rentreront dans l'ordre grâce aux compétences du propriétaire qui connaît « sa bête »ainsi que grâce une efficace assistance téléphonique de Jean-Pierre, Roger...
Cette pause nous aura permis de discuter avec la propriétaire d'une maison riveraine, collectionneuse avec son mari qui était justement parti chercher une voiture ancienne; elle nous montrera sa 403 garée à l'abri et nous pourrons échanger un petit moment sur notre passion. Mais la Fiat arrive et tout le monde repart. La montée vers BESANҪON se fera toujours «au chaud», la recherche d'ombre pour la pause de midi marquera encore cette journée. Le contournement des grandes villes se fera sans encombre grâce à l'itinéraire minutieusement concocté par nos amis. Un arrêt sur un site historique nous permettra de contempler les beaux monuments des «Salines Royales» près d'ARC ET SENANS mais compte-tenu de l'heure, la visite ne sera pas possible. Le repas du soir sera pris sur place, à l'hôtel Ibis de BESANҪON et nous dégusterons ensuite une petite goutte, près du Doubs, goutte trébéenne qui avait déjà fait le voyage à EGGENFELDEN, en 2014.
Le troisième jour (déjà) doit nous conduire à notre destination, à savoir COLMAR. La sortie de BESANҪON est un cauchemar !
La partie de ville où nous devons évoluer pour en sortir est un chantier total, apparemment à cause de la construction du tramway. Mais finalement tout le monde réussit à s'extirper du labyrinthe et retrouve la sérénité des petites routes campagnardes.
Un arrêt à RONCHAMP pour une visite sur le site d'un ensemble religieux construit par Le Corbusier et qui se distingue par son dépouillement architectural, il abrite une confrérie de sœurs de l'ordre des Clarisses.
Avant l'arrivée à COLMAR, nous escaladerons plusieurs cols de la chaîne des ballons d'Alsace : col des Feignes- col de la Schlucht- col du Calvaire (+ de 1100m d'altitude), sur un itinéraire qui, après ce dernier col, descend sur notre destination du jour où nous rejoignons sans encombre notre hôtel, près de la statue de la Liberté !
Non, nous ne sommes pas à NEW-YORK mais dans la patrie de Bartoldi, le créateur de la célèbre sculpture. Cette dernière portion nous aura permis d'admirer l'environnement montagneux -la chaîne des Ballons- de cette partie de l'Alsace puis le fameux vignoble producteur de vins réputés, sous une température plus clémente que celle qui nous a accablés lors du départ.
Le repas du vendredi soir sera pris dans le vieux COLMAR, nous donnant ainsi l'occasion de découvrir la ville «by night». La mécanique qui depuis deux jours était tranquille nous rappelle à la réalité avec les problèmes de freinage de la petite Spitfire. Il faut de toute urgence trouver des plaquettes de freins avant sinon....elle risque de ne pas pouvoir repartir !
Après quelques coups de téléphones judicieux (merci les réseaux issus des clubs) les précieuses garnitures seront finalement trouvées le lendemain samedi et montées dans la foulée, permettant ainsi à la Triumph de repartir et aussi de s'arrêter !
Le samedi matin sera d'ailleurs mis à profit pour rafraîchir les voitures légèrement éprouvées par le voyage. L'après-midi, ce sera destination MULHOUSE pour d'abord retrouver nos amis d'EGGENFELDEN et visiter ensuite avec eux le somptueux musée de l'Automobile sous la conduite du talentueux conservateur qui nous livrera l'histoire et mille anecdotes qui entourent ce monument.
Chacun en prend plein les yeux, on ne sait plus où regarder tellement les trésors sont nombreux. La marque Bugatti occupe une place de choix et c'est vraiment une opportunité unique qui est offerte de parfaire sa connaissance de cette marque exceptionnelle.
Le clou de la visite sera l'accès à l'atelier et aux réserves du musée où des dizaines d'autres voitures attendent leur tour pour reprendre vie. Ce privilège aura été possible grâce à François BREBANT qui nous a permis cette découverte dans des conditions vraiment remarquables.
Nous lui en sommes reconnaissants. Le soir, nous retrouvons au restaurant de l'hôtel les amis d'EGGENFELDEN avec lesquels nous partagerons un rare moment de convivialité, tous se retrouvant avec plaisir, notamment Alain CAMUS qui, avec Georg et Josy, sert de pivot en facilitant les conversations entre nous tous.
Des cadeaux sont échangés, en particulier des plaques de rallye commémoratives qui permettront d'immortaliser le moment ; les membres des « 5A » se verront également remettre des écussons à l'effigie du « Rottaler Veteranen Freunde ». Mais l'heure tourne et tout ce petit monde se sépare, sur le parking de l'hôtel nous assistons au départ de nos amis dans leurs superbes voitures. Le lendemain sera une journée libre qu'une majorité d'entre nous consacrera à la visite des villages typiques des environs : KAYSERSBERG - classé village préféré des français 2017 - RIQUEWIHR RIBEAUVILLE.
Des villages aux maisons à colombages et façades aux couleurs vives, des géraniums aux fenêtres, des cigognes sur les toits, de la choucroute et de la bière, du Riesling, Gewurztraminer et Pinot noir aux cartes des restaurants: nous sommes bien en Alsace...et la fréquentation de ces villages est bien celle d'un mois d'Août. Pour certains de nos amis, la soirée s'achèvera dans le vieux COLMAR après la découverte de la petite Venise. C'était déjà le clap de fin pour ce séjour et il est l'heure de refaire les valises pour penser au retour. Le lundi matin, après une photo de groupe, tout le monde dit au revoir à COLMAR. Nous nous dirigeons vers le sud, à travers le Jura. Un parcours de montagne sans difficultés particulières, sauf un peu de «jardinage» de ma part au contournement de PONTARLIER pour recoller au groupe que nous retrouverons sous le château de JOUX pour un petit pique-nique.
La traversée de SAINT-CLAUDE demeure fidèle à elle-même, aussi compliquée qu'il y a 3 ans mais grâce aux dons de navigation des copilotes, on sort de la ville sans encombre.
Nous choisirons de rejoindre notre hôtel par la route de MIJOUX qui nous offrira une belle descente sur BELLEGARDE SUR VALSERINE.
L'avant-dernière partie du retour, en direction d'ISSOIRE, démarre sous la pluie d'abord régulière puis qui va se renforcer au fur et à mesure que nous nous dirigeons vers l'Ouest, sous forme d'importantes averses orageuses. Déjà, le matin, les voitures les moins étanches avaient pris l'eau à cause des pluies nocturnes, au point qu'il a fallu écoper dans un spider «Duetto», ce qui n'a pas empêché Roger d'avoir les pieds humides !
Heureusement en fin de matinée la pluie cessait peu à peu et le retour du soleil allait faire oublier ces désagréments. C'est le jour choisi par la Caravelle pour se faire entendre, dans le vrai sens du terme, à coups de pétarades et d'explosions plus fréquentes que les jours précédents, qui obligent son conducteur à s'arrêter pour remettre en place le joint du couvre-culbuteur qui se «fait la malle» selon la mauvaise humeur de l'allumage !
Pas très rassurés, nous espérons tous que Jean-Pierre et Marlène pourront rentrer sans encombre mais la demoiselle fait un gros caprice dans la montée des routes auvergnates; cette fois-ci, Jean-Pierre décide d'enlever un élément électronique de l'allumage, censé améliorer le fonctionnement mais qui en réalité le perturbe plutôt !
Et tout le monde de dire que rien ne vaut le maintien de l'origine ! Le moteur accepte de redémarrer et de tourner plus «rond» sans inquiéter davantage son conducteur.
Mais l'épisode n'est pas fini !
Nous arrivons donc à ISSOIRE, et vue la marge de temps dont nous disposions, certains d'entre nous décidons de partir dîner en ville où nous passerons une agréable soirée, d'autres préférant prendre leur repas au restaurant de l'hôtel. Et voilà arrivé le départ de la dernière étape qui débute par une boucle dans les volcans d'Auvergne avant de rattraper un itinéraire plus conventionnel vers SAINT-FLOUR.
Le groupe se morcelle quelque peu en cours de route, selon les envies de chacun de flâner un peu... Je vous ai dit que nous n'en avions pas fini avec la Caravelle: après un arrêt à MURAT, nouvelle explosion au redémarrage du moteur accompagnée d'une épaisse fumée dans l'habitacle qui nous donné une belle frayeur, mais heureusement, ce n'était pas un début d'incendie; le joint de couvre-culbuteur a de nouveau fait des siennes. Il sera vite remis en place et notre petit groupe pourra reprendre sereinement son chemin.
Un arrêt à LAGUIOLE qui rappelle quelques souvenirs de 7 ans déjà puis nous nous retrouvons quelques-uns à ESPALION (8 exactement) pour la pause de midi. Après ce repas les routes commencent à se séparer.
C'est à l'entrée de RODEZ que nous nous disons au revoir car nous allons emprunter des itinéraires différents pour terminer ce périple qui totalisera sur mon compteur à l'arrivée, 2500 kilomètres..
Texte : MICHEL TERRAST ... / Photos FRANCOISE PALLY-GUILLAUME - JOSY ERLENWEIN
Il fait encore frais et 6 voitures du groupe s'élancent, 6 seulement car deux autres se joindront à nous à OLONZAC. Nous traverserons donc les zones montagneuses des départements de l'Hérault, d'une partie du Tarn, de l'Aveyron sous uns chaleur qui s'accentue au fil des heures. La traversée des agglomérations en devient parfois pénible, à cause de la densité de la circulation et de cette chaleur qui éprouve mécaniques et organismes, le summum étant atteint lorsque l'on se retrouve, à vitesse réduite, derrière un poids-lourd dans une longue montée !
Nous retrouvons Roger et Christiane à SAINTE AFFRIQUE. Nous traversons des panoramas toujours grandioses et nous nous arrêtons pour la halte pique-nique, tout cela nous fait vite oublier ces petits désagréments en nous permettant de partager les petites préparations élaborées par nos talentueuses cuisinières ! Les moteurs pourront également refroidir, un peu, car le soleil cogne de toutes ses forces!
Le reste du voyage jusqu'au PUY EN VELAY se déroule sans encombre, l'arrivée à l'hôtel nous permettra de nous requinquer avant d'aller dîner en ville et d'admirer, en soirée des animations par projections murales sur certains édifices de la ville, dignes de la fête des Lumières à LYON. Le lendemain, peu après le départ du PUY, le groupe s'arrête à la suite d'un « caprice » sur la Fiat qui empêche le moteur de tourner normalement : un simple fil mal isolé sur le dispositif d'allumage va demander environ une heure mais les choses rentreront dans l'ordre grâce aux compétences du propriétaire qui connaît « sa bête »ainsi que grâce une efficace assistance téléphonique de Jean-Pierre, Roger...
Cette pause nous aura permis de discuter avec la propriétaire d'une maison riveraine, collectionneuse avec son mari qui était justement parti chercher une voiture ancienne; elle nous montrera sa 403 garée à l'abri et nous pourrons échanger un petit moment sur notre passion. Mais la Fiat arrive et tout le monde repart. La montée vers BESANҪON se fera toujours «au chaud», la recherche d'ombre pour la pause de midi marquera encore cette journée. Le contournement des grandes villes se fera sans encombre grâce à l'itinéraire minutieusement concocté par nos amis. Un arrêt sur un site historique nous permettra de contempler les beaux monuments des «Salines Royales» près d'ARC ET SENANS mais compte-tenu de l'heure, la visite ne sera pas possible. Le repas du soir sera pris sur place, à l'hôtel Ibis de BESANҪON et nous dégusterons ensuite une petite goutte, près du Doubs, goutte trébéenne qui avait déjà fait le voyage à EGGENFELDEN, en 2014.
Le troisième jour (déjà) doit nous conduire à notre destination, à savoir COLMAR. La sortie de BESANҪON est un cauchemar !
La partie de ville où nous devons évoluer pour en sortir est un chantier total, apparemment à cause de la construction du tramway. Mais finalement tout le monde réussit à s'extirper du labyrinthe et retrouve la sérénité des petites routes campagnardes.
Non, nous ne sommes pas à NEW-YORK mais dans la patrie de Bartoldi, le créateur de la célèbre sculpture. Cette dernière portion nous aura permis d'admirer l'environnement montagneux -la chaîne des Ballons- de cette partie de l'Alsace puis le fameux vignoble producteur de vins réputés, sous une température plus clémente que celle qui nous a accablés lors du départ.
Le repas du vendredi soir sera pris dans le vieux COLMAR, nous donnant ainsi l'occasion de découvrir la ville «by night». La mécanique qui depuis deux jours était tranquille nous rappelle à la réalité avec les problèmes de freinage de la petite Spitfire. Il faut de toute urgence trouver des plaquettes de freins avant sinon....elle risque de ne pas pouvoir repartir !
Après quelques coups de téléphones judicieux (merci les réseaux issus des clubs) les précieuses garnitures seront finalement trouvées le lendemain samedi et montées dans la foulée, permettant ainsi à la Triumph de repartir et aussi de s'arrêter !
Le samedi matin sera d'ailleurs mis à profit pour rafraîchir les voitures légèrement éprouvées par le voyage. L'après-midi, ce sera destination MULHOUSE pour d'abord retrouver nos amis d'EGGENFELDEN et visiter ensuite avec eux le somptueux musée de l'Automobile sous la conduite du talentueux conservateur qui nous livrera l'histoire et mille anecdotes qui entourent ce monument.
Chacun en prend plein les yeux, on ne sait plus où regarder tellement les trésors sont nombreux. La marque Bugatti occupe une place de choix et c'est vraiment une opportunité unique qui est offerte de parfaire sa connaissance de cette marque exceptionnelle.
Le clou de la visite sera l'accès à l'atelier et aux réserves du musée où des dizaines d'autres voitures attendent leur tour pour reprendre vie. Ce privilège aura été possible grâce à François BREBANT qui nous a permis cette découverte dans des conditions vraiment remarquables.
Nous lui en sommes reconnaissants. Le soir, nous retrouvons au restaurant de l'hôtel les amis d'EGGENFELDEN avec lesquels nous partagerons un rare moment de convivialité, tous se retrouvant avec plaisir, notamment Alain CAMUS qui, avec Georg et Josy, sert de pivot en facilitant les conversations entre nous tous.
Des cadeaux sont échangés, en particulier des plaques de rallye commémoratives qui permettront d'immortaliser le moment ; les membres des « 5A » se verront également remettre des écussons à l'effigie du « Rottaler Veteranen Freunde ». Mais l'heure tourne et tout ce petit monde se sépare, sur le parking de l'hôtel nous assistons au départ de nos amis dans leurs superbes voitures. Le lendemain sera une journée libre qu'une majorité d'entre nous consacrera à la visite des villages typiques des environs : KAYSERSBERG - classé village préféré des français 2017 - RIQUEWIHR RIBEAUVILLE.
Des villages aux maisons à colombages et façades aux couleurs vives, des géraniums aux fenêtres, des cigognes sur les toits, de la choucroute et de la bière, du Riesling, Gewurztraminer et Pinot noir aux cartes des restaurants: nous sommes bien en Alsace...et la fréquentation de ces villages est bien celle d'un mois d'Août. Pour certains de nos amis, la soirée s'achèvera dans le vieux COLMAR après la découverte de la petite Venise. C'était déjà le clap de fin pour ce séjour et il est l'heure de refaire les valises pour penser au retour. Le lundi matin, après une photo de groupe, tout le monde dit au revoir à COLMAR. Nous nous dirigeons vers le sud, à travers le Jura. Un parcours de montagne sans difficultés particulières, sauf un peu de «jardinage» de ma part au contournement de PONTARLIER pour recoller au groupe que nous retrouverons sous le château de JOUX pour un petit pique-nique.
La traversée de SAINT-CLAUDE demeure fidèle à elle-même, aussi compliquée qu'il y a 3 ans mais grâce aux dons de navigation des copilotes, on sort de la ville sans encombre.
Nous choisirons de rejoindre notre hôtel par la route de MIJOUX qui nous offrira une belle descente sur BELLEGARDE SUR VALSERINE.
L'avant-dernière partie du retour, en direction d'ISSOIRE, démarre sous la pluie d'abord régulière puis qui va se renforcer au fur et à mesure que nous nous dirigeons vers l'Ouest, sous forme d'importantes averses orageuses. Déjà, le matin, les voitures les moins étanches avaient pris l'eau à cause des pluies nocturnes, au point qu'il a fallu écoper dans un spider «Duetto», ce qui n'a pas empêché Roger d'avoir les pieds humides !
Heureusement en fin de matinée la pluie cessait peu à peu et le retour du soleil allait faire oublier ces désagréments. C'est le jour choisi par la Caravelle pour se faire entendre, dans le vrai sens du terme, à coups de pétarades et d'explosions plus fréquentes que les jours précédents, qui obligent son conducteur à s'arrêter pour remettre en place le joint du couvre-culbuteur qui se «fait la malle» selon la mauvaise humeur de l'allumage !
Pas très rassurés, nous espérons tous que Jean-Pierre et Marlène pourront rentrer sans encombre mais la demoiselle fait un gros caprice dans la montée des routes auvergnates; cette fois-ci, Jean-Pierre décide d'enlever un élément électronique de l'allumage, censé améliorer le fonctionnement mais qui en réalité le perturbe plutôt !
Et tout le monde de dire que rien ne vaut le maintien de l'origine ! Le moteur accepte de redémarrer et de tourner plus «rond» sans inquiéter davantage son conducteur.
Mais l'épisode n'est pas fini !
Nous arrivons donc à ISSOIRE, et vue la marge de temps dont nous disposions, certains d'entre nous décidons de partir dîner en ville où nous passerons une agréable soirée, d'autres préférant prendre leur repas au restaurant de l'hôtel. Et voilà arrivé le départ de la dernière étape qui débute par une boucle dans les volcans d'Auvergne avant de rattraper un itinéraire plus conventionnel vers SAINT-FLOUR.
Le groupe se morcelle quelque peu en cours de route, selon les envies de chacun de flâner un peu... Je vous ai dit que nous n'en avions pas fini avec la Caravelle: après un arrêt à MURAT, nouvelle explosion au redémarrage du moteur accompagnée d'une épaisse fumée dans l'habitacle qui nous donné une belle frayeur, mais heureusement, ce n'était pas un début d'incendie; le joint de couvre-culbuteur a de nouveau fait des siennes. Il sera vite remis en place et notre petit groupe pourra reprendre sereinement son chemin.
Un arrêt à LAGUIOLE qui rappelle quelques souvenirs de 7 ans déjà puis nous nous retrouvons quelques-uns à ESPALION (8 exactement) pour la pause de midi. Après ce repas les routes commencent à se séparer.
C'est à l'entrée de RODEZ que nous nous disons au revoir car nous allons emprunter des itinéraires différents pour terminer ce périple qui totalisera sur mon compteur à l'arrivée, 2500 kilomètres..
Texte : MICHEL TERRAST ... / Photos FRANCOISE PALLY-GUILLAUME - JOSY ERLENWEIN
jeudi 17 août 2017
CLUB5A - RENCONTRE DU CLUB DES 5A AVEC NOS AMIS D'EGGENFELDEN...C’ÉTAIT DU 2 AU 9 AOÛT 2017 A COLMAR ...
2 au 9 août 2017
Il s’agit de la 8e rencontre entre les clubs de véhicules anciens de Carcassonne - 5A - et d’Eggenfelden – RVF. Afin de ménager montures et cavaliers, une rencontre à mi-chemin a été décidée. Colmar semblait un bon point de chute. Donc, il en fut décidé. 2 août, 8h00, atelier de Jean-Pierre Foli. Six équipages au départ, les trois autres se joindront à nous au cours du trajet. Petit briefing, remise des plaques de la sortie, et hop, c’est parti. Direction Le Puy en Velay, but de la première étape. Premier arrêt à la sortie d’Olonzac où nous retrouvons la famille Cavaillé et la famille Guilhaumon. Via St Pons de Thomières et Lacaune, nous rejoignons St Affrique où nous attendent Christiane et Roger Debien. Nous voilà au complet. Millau et son pont, un bout des gorges du Tarn et arrêt pique-nique au Massegros. Il fait chaud, les voitures souffrent, mais les passagers aussi !
Plus de 35°, soleil éclatant, ciel d’azur, mais il faut continuer. Au bout de 350 km et de 8 heures de route (sans compter les arrêts) nous arrivons à notre hôtel sans encombre. Nous déposons les bagages, visite du Puy en Velay et repas. Certains d’entre nous, les jeunes qui ne sont pas trop fatigués, décident de rester plus tard en ville pour assister au « Puy en lumière », animation un peu semblable à celle de Lyon avec la fête des lumières.
Il fait encore plus de 30° à 22h00 !
Vendredi 4 août, Besançon – Colmar. La sortie de Besançon s’avère périlleuse, tours et détours sont au programme car la ville est en travaux permanents depuis maintenant plus de 3 ans. Mais nous avons des experts du GPS avec nous. On se retrouve pour faire le plein et nous prenons la direction de Ronchamp. Visite de la chapelle construite par l’architecte Le Corbusier (mais oui, vous connaissez : celui qui a fait la Cité Radieuse à Marseille). Moment de calme et même de musique. Mais ce n’est pas tout de méditer, le Ballon d’Alsace nous attend, virages, montées, descentes, mais quel plaisir ! Col des Feignes, Col de la Schlucht, Col du Calvaire, puis atterrissage dans la plaine de Colmar. Entretemps, quelques équipages ont déjà visité Kaysersberg, village préféré des Français en 2017. On n’est pas tous seuls, mais bon…..
Samedi 5 août – Dimanche 6 août – Quartier libre à Colmar et environs. Grâce à l’intervention d’un de nos participants, une visite guidée, non seulement du musée Schlumpf, mais également des réserves, a pu avoir lieu. Tout le monde était enchanté mais ce que contiennent les réserves ne peut être divulgué, donc … chuuuuut. Le soir du 5 août, nous retrouvons tous les participants du club d’Eggenfelden pour un repas commun. Mais la langue, pour beaucoup d’entre nous est toujours un obstacle et les conversations communes ne sont pas faciles.
Peu importe, l’amitié et le hobby commun aident au rapprochement. Un tout grand bravo à notre Michel Terrats international qui s’est lancé avec succès dans l’étude de la langue teutonne et converse allègrement avec nos amis d’Eggenfelden.
Le dimanche a vu s’égayer toute la troupe dans toutes les directions, chacun avait son programme : villages environnants, musées plus lointains (Lalique), Colmar en barque…..
Lundi 7 août – Colmar – Bellegarde sur Valsérine Ce trajet avait déjà été planifié par 2 fois, mais il nous a toujours fallu le modifier pour raisons de pluie. Cette fois, c’est la bonne. Nous quittons la région alsacienne pour prendre la direction du Jura. Morteau, Mouthe, Saint Claude (et sa célèbre conférence), les petites routes des vallées et arrivée à Bellegarde. 330 km et 7 heures de route. Petit apéro, repas et dodo…
Mardi 8 août, Bellegarde – Issoire Réveil orageux, et pluvieux, je dirais même très pluvieux. Heureusement Roger a réussi à fermer la capote de son Alfa la veille au soir, mais cela ne l’a pas empêché de devoir écoper de grand matin. Sous la pluie battante, entourés par les éclairs, nous prenons la route vers Nantua, Chalamont, Marcy et son beaujolais, Feurs, Saint-Amant-Roche-Savine, Parentignat et son château. Arrivée à Issoire au bout de 340 km. Heureusement la pluie a cessé, mais il fait frisquet…. Issoire by night pour certains, resto de l’hôtel pour d’autres.
Mercredi 9 août – Issoire – Carcassonne, l’étape la plus longue : 500 km. Départ à 8 h comme tous les jours. Petit pull, capotes fermées. Jolie vue sur les monts d’Auvergne et du Cantal. De 37° nous passons à 8° : contraste flagrant. Condat, Murat, St Flour, arrêt à Laguiole pour quelques-uns, Espalion et son andouillette des 5A (excellent restaurant, à recommander), puis Rodez.
C’est là que la troupe se disperse : direction Réquista et Lacaune pour les uns, direction Albi et Castres pour les autres et même direction Elne pour les troisièmes. Le noyau dur se retrouve, comme au départ, chez Jean-Pierre, l’annexe des 5A, pour un petit apéro.
Nous restons encore une nuit à Carcassonne avant de rentrer chez nous dans le Lot-et-Garonne le jeudi matin.
Pour nous, ce fut un plaisir de préparer cette équipée, de retrouver les amis de longue date (plus de 20 ans maintenant que nous nous connaissons) et de voir et découvrir la France dans ses endroits perdus mais si jolis…. 2.260 km + 500 pour le trajet A/R vers Carcassonne, du rire, du plaisir. Merci à toutes et tous.
Les Erlies....
Merci Josy pour ce résumé de cette semaine qui restera, je pense, longtemps dans les mémoires de chacun des participants.../Photos JP FOLI..
A suivre très prochainement : Un nouvel article avec de nouvelles photos et un résumé de Michel TERRAST
lundi 14 août 2017
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LE RALLYE DES POILUS ET SA 25éme EDITION - Photos Inédites de Dominique GARCIA - Le Rallye des poilus sur les routes du département Week-end - Vieux bolides...
Le Rallye des poilus a été lancé hier.
Au total, 36 voitures de collection sont de la partie. Organisé par l'Amicale Denis-Papin, de Lévignac, et le club des 5A, de Carcassonne, cet événement ne regroupe pas moins de 72 participants, venus de toute la France et même de Suisse. L'équipage est composé, à chaque fois, d'un pilote et d'un copilote.
Jusqu'à dimanche, ces passionnés de vieilles voitures emprunteront les routes de tout le département, pour le plus grand plaisir des amateurs de moteurs vrombissants. Des modèles que les moins de cent ans ne peuvent pas connaître. «Le critère est de conduire une voiture datant d'avant 1914, nous précise Régis Arnaud, président du club des 5A. D'où le nom de Rallye des poilus».
Le départ sera donné demain, à 8 h 15 à Carcassonne, avec une première pause à Rieux-Minervois, de 9 heures à 10 heures.
Les fous du volant s'arrêteront ensuite à Caunes-Minervois, de 15 heures à 16 heures, pour arriver à Carcassonne, sur la place Carnot, à 17 h 30.
A.M.I.C.A.L.E. DENIS PAPIN Mairie - 31530 LEVIGNAC Tel : 05 61 85 44 87 amicale.denis.papin@wanadoo.fr
Source : LADEPECHE.FR
jeudi 10 août 2017
CLUB5A - EN RETOUR D'ALSACE NOS AMIS ONT FAIT ETAPE A ESPALION ..ANDOUILLETTES 5A AU MENU !!
Les
5.A sont tellement connus à Espalion, qu'il y a même de l'andouillette à leur
nom !
Source : Josy Erlenwein
vendredi 28 juillet 2017
CLUB5A - DU 14 AU 17 JUILLET 2017 C’ÉTAIT LE 29° TOUR DE L'AUDE EN PAYS CATHARES !!
Du Pays Cathare aux Hauts cantons de l’Hérault
Cette année la manifestation débute le Vendredi 14 Juillet 2017 dès 9h00 au pied de la cité médiévale devant la porte Narbonnaise comme chaque année.
En effet cette, année ce sont 57 équipages venus principalement de France, Belgique et Suisse, qui s’élancent en direction de Saissac en passant par la vallée de l’Orbiel, le lac de Laprades.
La municipalité de Saissac nous attend pour un apéritif en musique et un repas servi dans son pôle culturel. 38 voitures des membres du club nous rejoignent pour la traditionnelle journée club. L’après-midi est consacrée à la visite du château et du musée des vieux métiers.
Arrivée à Carcassonne où nous sommes attendus comme le veut la tradition chez Charles et Jeannine Crouzet pour admirer un des plus beaux feux d’artifice de France. Le lendemain nous prenons la direction des hauts cantons du Minervois. Une pause-café au moulin de Féline Minervois, une visite d’Ollargue classé plus beau village de France et repas au Golf de Lamalou les bains.
L’après-midi visite du site des écluses de Fontseranes et arrivé à l’hôtel.
Après une nuit bien méritée notre joyeuse troupe repart pour une longue étape vers le Lac du Salagou, en passant par Pezenas et un repas pris à la Baume Auriol avec vue imprenable sur le cirque de Navacelles.
Après cette pause bien mérité retour à Béziers par les gorges de l’Hérault et la visite du village de Saint Guilhem le désert. Le Lundi 17 Juillet retour vers Carcassonne sans oublier de prendre au paravent le petit déjeuné a Ginestas où nous attend le Maire. Lieu traditionnel de clôture du Tour de l’Aude « le château de Cavanac » réputé pour sa fine table et son service sans faille.
Nous retiendrons de cette édition une très bonne ambiance, un plateau de très grande qualité, Bugatti, Delage, Delahaye, Hotchkiss, Salmson, et aussi Renault, Peugeot, Citroën… Un grand merci a toute l’équipe de bénévoles, Jean et Gisèle Guilhaumon les coorganisateurs qui font de cette épreuve ce qu’elle est aujourd’hui, à tous les concurrents qui au fil du temps sont devenus des fidèles et des amis.
Que vive le 30° Tour de l’Aude !!!
Texte : Régis ARNAUD - Photos : Coco - Lorette RICARD
La municipalité de Saissac nous attend pour un apéritif en musique et un repas servi dans son pôle culturel. 38 voitures des membres du club nous rejoignent pour la traditionnelle journée club. L’après-midi est consacrée à la visite du château et du musée des vieux métiers.
Arrivée à Carcassonne où nous sommes attendus comme le veut la tradition chez Charles et Jeannine Crouzet pour admirer un des plus beaux feux d’artifice de France. Le lendemain nous prenons la direction des hauts cantons du Minervois. Une pause-café au moulin de Féline Minervois, une visite d’Ollargue classé plus beau village de France et repas au Golf de Lamalou les bains.
Après cette pause bien mérité retour à Béziers par les gorges de l’Hérault et la visite du village de Saint Guilhem le désert. Le Lundi 17 Juillet retour vers Carcassonne sans oublier de prendre au paravent le petit déjeuné a Ginestas où nous attend le Maire. Lieu traditionnel de clôture du Tour de l’Aude « le château de Cavanac » réputé pour sa fine table et son service sans faille.
Nous retiendrons de cette édition une très bonne ambiance, un plateau de très grande qualité, Bugatti, Delage, Delahaye, Hotchkiss, Salmson, et aussi Renault, Peugeot, Citroën… Un grand merci a toute l’équipe de bénévoles, Jean et Gisèle Guilhaumon les coorganisateurs qui font de cette épreuve ce qu’elle est aujourd’hui, à tous les concurrents qui au fil du temps sont devenus des fidèles et des amis.
Que vive le 30° Tour de l’Aude !!!
Texte : Régis ARNAUD - Photos : Coco - Lorette RICARD
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