samedi 8 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - MOTOS ..SOLEX...MOBS...SIDE-CARS..TOUT CE QUI A 2 OU 3 OU 4 ROUES ET QUI EST ANCIENS EST LE BIENVENU AU CLUB DES 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO MOTO - POUR CONSERVER DES ARTICULATIONS BIEN "HUILEES" ... A PRENDRE TOUS LES MATINS AVANT LE PETIT DEJEUNER !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Près de 35 millions d’euros pour la Ferrari 250 LM victorieuse au Mans

 

ENCHÈRES - En marge du salon Rétromobile, la neuvième Ferrari victorieuse dans la Sarthe a battu un record en vente publique. 
Tous les ingrédients d’un record étaient réunis : la première berlinette de course à moteur central arrière de Ferrari, la victoire aux 24 Heures du Mans 1965 sous les couleurs de l’écurie privée américaine du NART, la neuvième de la marque italienne dans la Sarthe et la dernière avant le retour de Ferrari dans la Sarthe en 2023 avec ses Hypercar 499P, une histoire limpide, et une vente spectacle dans le cadre du Carrousel du Louvre, durant la semaine de Rétromobile.
 Mercredi 5 février au soir, la salle a retenu son souffle. La maison RM Sotheby’s a adjugé au marteau la fameuse Ferrari 31 millions d’euros, soit 34,88 millions d’euros avec les frais. C’est un record pour une berlinette 250 LM. On se souvient qu’un modèle similaire avait été vendu 15 771 200 euros en juillet 2023 par la maison française Artcurial. La voiture n’avait pas le palmarès de l’exemplaire que la maison RM Sotheby’s a vendu hier. 
C’est le musée du Speedway d’Indianapolis qui se frotte les mains. Ses dirigeants avaient annoncé voici quelques mois confier la vente de quelques pépites de la collection américaine à la maison RM Sotheby’s en vue de financer des travaux d’embellissement au sein du musée. 

Samedi dernier, la Mercedes W 196 au volant de laquelle Juan Manuel Fangio a remporté le grand prix d’Argentine en 1955 est devenue la Formule 1 la plus chère de tous les temps, atteignant la somme faramineuse de 51,155 millions d’euros. Quant à la Ferrari vendue mercredi soir, dans la famille des trente-deux berlinettes 250 LM produites par l’artisan de Maranello entre 1963 et 1966, il y a le châssis 5893 et les autres. 
La 250 LM répertoriée 5893 est la plus célèbre de toute la série. Elle est entrée dans la légende en signant la neuvième victoire de Ferrari aux 24 Heures du Mans en à peine seize ans de présence. Entre 1949 et 1965, le constructeur italien a marqué la plus importante épreuve d’endurance au monde de son empreinte. Produite en 1964 et livrée aux États-Unis à l’importateur Luigi Chinetti, la LM 5893 est acquise par Madame Irene Young de Walton, dans le Connecticut. Avec son mari, elle possède déjà la LM n°5901. 
Aussi, la LM 5893 retourne assez rapidement chez Chinetti Motors. C’est alors que Chinetti décide de l’engager à l’édition 1965 des 24 Heures du Mans sous l’écurie North American Racing Team (NART) qu’il a créé. Au début de cette année-là, la LM revient en Italie où le carrossier Piero Drogo lui greffe un capot allongé. En 1965, la LM ne peut déjà plus jouer les premiers rôles en endurance. 
L’affichage s’annonce comme un nouvel épisode du duel Ferrari-Ford, 330 P2 contre GT 40. 
Pour ces deux adversaires, ce sera l’hécatombe. Les voitures officielles des deux constructeurs abandonnent les unes après les autres. Un autre scénario se dessine. La lutte pour la victoire se résume alors à duel de 250 LM : la jaune de l’écurie Francorchamps du belge Jacques Swaters et la rouge de l’écurie du NART dirigée par Luigi Chinetti. Au volant de la berlinette portant le numéro de course 21, l’écurie américaine a fait le pari de l’expérience et de la fougue. 
Le bouillant américain Masten Gregory partage le volant de la LM avec le jeune espoir et fougueux Autrichien Jochen Rindt. Après un début de course retardé par leur démarreur puis par leur condensateur, les deux pilotes n’ont d’autre stratégie que de foncer, pied au plancher. 
Dimanche midi, la LM rouge n’est plus qu’à un tour de la LM jaune. Dans le camp américain, on commence à y croire, d’autant que Rindt ne ménage pas sa monture, alignant les tours à une cadence de grand prix. Un déchapage de la LM jaune va finalement décider de la victoire. Gregory et Rindt triomphent avec une avance de près de six tours. 
Les deux pilotes ont eu chaud. Le différentiel, qui donnait déjà des signes de fatigue, perd toutes ses dents après le passage du drapeau à damiers. À la suite de son succès sarthois, la LM 5893 courra encore trois épreuves de 24 heures. 
 Au printemps 1970, le musée du Speedway d’Indianapolis décide d’en faire l’acquisition. La LM 5893 peut se diriger vers une retraite bien méritée. 
C’est sans doute l’une des LM parmi les plus authentiques. Espérons qu’elle ne rejoindra pas un musée et que nous pourrons la voir rouler et peut-être courir. 
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une voiture volée toutes les 4 minutes en France : voici les modèles préférés des malfrats

 

Selon l’Observatoire Coyote, les vols de voitures sont en hausse. Des réseaux organisés sévissent sur certains types de modèles et dans des régions précises. 
Les chiffres ne mentent jamais. Toutes les quatre minutes, une voiture est volée en France. C’est le constat sidérant du Ministère de l’intérieur : en 2024, 140.269 véhicules ont été dérobés dans le pays. Pire encore, plus de neuf vols sur dix sont réalisés sans même que les malfaiteurs aient eu besoin de briser la vitre de la voiture, indique Coyote. L’entreprise de systèmes d’aide à la conduite a créé un observatoire pour comprendre les raisons de ces vols massifs. 
Sa méthode est simple, elle analyse les données de 500.000 véhicules équipés d’un boîtier de traçage GPS/GSM, ainsi qu’un système d’onde 0G (un réseau bas débit de géolocalisation très résistant au brouillage). Le résultat est sans appel, et confirme les chiffres du ministère de l’intérieur, le taux de sinistralité (le nombre de véhicules volés, par rapport au total de la flotte automobile) a augmenté de 3,3% en un an. «Aujourd’hui, il est extrêmement difficile d’empêcher le vol des voitures modernes, équipées en grande majorité de système électronique», explique Stéphane Curtelin, directeur marketing et produits de Coyote. 
C’est le fléau du «mouse jacking» qui permet aux malfaiteurs d’entrer sans effraction dans un véhicule, en quelques secondes. «Les avancées technologiques offrent aux malfaiteurs des moyens toujours plus sophistiqués pour s’emparer des voitures sans laisser de traces visibles», abonde Philippe Nozière, président de « 40 millions d’automobilistes ». 
 Les SUV et voitures hybrides très touchés D’après l’observatoire, les SUV sont les véhicules les plus prisés des voleurs : ils représentent 66% des vols de voitures. «Cela peut s’expliquer également parce que ce sont les modèles les plus vendus sur le marché», tempère toutefois Coyote. Côté motorisation, les voitures hybrides représentent 53% des vols en 2024. «C’est 13 points de plus par rapport à notre observatoire de 2023», indique Coyote. De manière générale, la Renault Mégane IV et la Renault Clio IV sont les véhicules les plus touchés, selon les chiffres de France assureurs. Le Peugeot 3008 est aussi particulièrement visé selon des sources interrogées par Le Figaro. 
 Quant à la localisation des vols, les réseaux semblent se concentrer sur trois à quatre régions. «Naturellement en Ile-de-France, du fait de la forte activité économique», commente Stéphane Curtelin. Le bassin francilien reste en effet la région la plus sinistrée de France avec un taux de 5,6 vols pour mille véhicules, observe Coyote. Derrière, c’est la région des Hauts-de-France qui est le plus à risque. Un réseau de vol semble s’y être durablement installé cette année, avec une augmentation de 29% par rapport à l’année précédente, et 3,6 vols pour 1000 véhicules. 
Attention en régions PACA et Auvergne-Rhône-Alpes, le vol reste également élevé, avec respectivement 3,5 et 3,4 vols pour mille véhicules. Toujours selon l’observatoire des vols mené par Coyote, ces opérations de vols électroniques se font aussi en bande organisée à l’international. «En 2024, les opérations réalisées au-delà des frontières françaises ont augmenté de 22% par rapport à 2023», indique l’entreprise. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA FORD GT40 LA SPORTIVE DE FORD DES ANNÉES 60 !!

La Ford GT40, parfois appelée Ford GT40 Mk I est une voiture de sport du constructeur américain Ford qui a été fabriquée à 126 exemplaires, de 1964 à 1968. Elle a permis à la firme américaine de remporter, entre autres, les 24 Heures du Mans à quatre reprises successives, de 1966 à 1969. L'appellation GT40 vient des initiales « GT » de la catégorie « Grand Touring » (Grand Tourisme), complétées par le nombre « 40 » pour sa hauteur de caisse de 40 pouces (soit 1,02 m). Dès le début des années 1960, Henry Ford II, petit-fils de Henry Ford, qui vient d'être nommé au poste de président-directeur général de la Ford Motor Company, souhaite que la marque participe à l'épreuve prestigieuse des 24 Heures du Mans.
 Au printemps 1963, Ford apprend par un intermédiaire européen qu'Enzo Ferrari, qui rencontre des difficultés financières, pourrait être intéressé par la vente de son entreprise. Aux fins d'une acquisition, Ford dépense alors plusieurs millions de dollars dans un audit comptable et financier complet de la compagnie italienne et en frais juridiques, mais Ferrari se retire des négociations au dernier moment. 
Enzo Ferrari, qui voulait conserver seul la direction du département compétition, aurait refusé une clause qui l'aurait empêché de courir aux 500 miles d'Indianapolis et, de colère, annule brusquement le projet de vente. Vexé, Henry Ford II décide alors de créer une voiture pouvant concurrencer la marque au cheval cabré. Il contacte trois constructeurs britanniques : Lotus, Lola et Cooper. Finalement, c'est le designer anglais Eric Broadley, propriétaire de Lola Cars, qui sera retenu pour concevoir la GT406. La première GT40 est terminée le 1er avril 19646 et deux exemplaires sont prêts à temps pour les essais préliminaires du Mans des 16 et 17 avril 19647. 
Une voiture est détruite et l'autre endommagée durant ces tout premiers essais en conditions de course. En cause, des défauts de conception aérodynamique importants : l'avant a tendance à se soulever à grande vitesse, et l'arrière manque d'appui et donc d'adhérence. Grâce à de nombreuses modifications et à la préparation, les années suivantes, due à l'équipe de Carroll Shelby, l'écurie Ford réussit à relever le défi en battant Ferrari sur son terrain, notamment au circuit du Mans. 
En mai 1964, la GT40 participe à sa première course, les 1 000 km du Nürburgring. Trois semaines plus tard, trois GT40 Mk I équipées de V8 de 4,2 L sont engagées au Mans. La voiture de Ginther/Gregory prend la tête de la course au deuxième tour et y reste jusqu'à son premier arrêt aux stands mais les trois voitures se retirent successivement sur des problèmes mécaniques, laissant la victoire aux Ferrari. 
 La première victoire de la GT40 arrive en janvier 1965 aux 2 000 km de Daytona. Il s'agit d'une Mk II (7 L) préparée par Carroll Shelby. 
Elle obtient par la suite la seconde place aux 12 Heures de Sebring. En 1965, six GT40 sont engagées au Mans ; deux Mk II de 7 L préparées par Shelby-American et quatre Mk I (moteur de 4,7 L) confiées à quatre équipes différentes. Les Mk II sont les plus rapides sur la piste et celle de Mac Laren/Miles est en tête. Malheureusement, toutes les GT40 auront abandonné sur casse mécanique dès la 7e heure de la course, laissant une fois encore la victoire à Ferrari. Une armada de huit Mk II (7 L) et cinq GT40 (4,7 L) sont engagées au Mans pour l'édition 1966. 
L'expérience acquise lors des précédentes participations de 1964 et 1965 permet à trois Mk II de finir aux trois premières places, toutes les autres ayant abandonné. La Mk II remporte également les 12 Heures de Sebring et Daytona Beach la même année. Quatre Mk IV, trois Mk II et trois Mk I sont engagées en 1967. La Mk IV est une nouvelle voiture avec un châssis et un design différent, elle est équipée du même moteur de 7 L que la Mk II, capable de propulser la voiture, dont l'aérodynamique a été amélioré, à 340 km/h dans les Hunaudières. La GT40 Mk IV d'A. J. Foyt et Dan Gurney est en tête pendant toute l'épreuve et gagne avec quatre tours d'avance sur la Ferrari qui arrive deuxième. 
La Mk IV gagne les 12 Heures de Sebring la même année. Pour la saison 1968, la FIA modifie le règlement portant sur la cylindrée des voitures. Celle-ci est limitée à 3 L pour les prototypes et 5 L pour les voitures de production (plus de 50 unités). Cinq Ford GT40 Mk I sont engagées pour l'édition 1968 par John Wyer, un ingénieur et directeur d'écurie. Elles sont équipées du bloc de 4,7 L doté de nouvelles culasses Gurney-Eagle et dont la cylindrée augmente juste en deçà de la limite à 4 942 cm3. Ce V8 développe 410 ch. Ferrari refuse le nouveau règlement qui l'empêche de faire courir ses prototypes équipés de V12 de 4 L et boycotte l'épreuve. 
La Mk I, aux couleurs Gulf bleu et orange, gagne face à des prototypes de plus faible cylindrée, les quatre autres GT40 engagées abandonnent. En 1969, la GT40 Mk I 4,9 L de Ickx/Oliver gagne de quelques secondes devant la Porsche 908 de 3 L de Gérard Larrousse et Hans Herrmann. Une deuxième Mk I prend la troisième place du podium, à quatre tours. Sur les cinq Mk I engagées, deux abandonnent. C'est l'année où Jacky Ickx choisit de marcher tranquillement vers sa voiture et prend le temps de mettre son harnais avant de partir, en dernière position. L'année suivante, le fameux « départ Le Mans » (pilotes courant vers leurs voitures placées en épi sur le côté opposé) est abandonné.
Source : Leblogauto

vendredi 7 février 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Espagne : les Français dispensés de l’obligation du gyrophare dans le véhicule...

 

À partir de janvier 2026, les automobilistes espagnols devront se munir d’un gyrophare dans leur véhicule. Mais une convention protège les Français de cette nouvelle réglementation. À partir du 1er janvier 2026, un petit gyrophare nommé V-16, sera obligatoire à bord de tous les véhicules roulant en Espagne. 
La direction Générale du Trafic en Espagne, vient d’ailleurs de préciser les modalités d’application de la mesure. 
Pas d’inquiétude pour les Français roulant régulièrement dans le pays de Don Quichotte, le gyrophare ne sera pas obligatoire pour eux. 
C’est l'exception qui confirme la règle. Et pour cela, les conducteurs français peuvent remercier la Convention de Vienne. 
«Circulation internationale» Ce texte dispose que les pays peuvent exiger, pour permettre la « circulation internationale » sur leur territoire, que le véhicule soit équipé à bord d’un dispositif de signalisation consistant en « une plaque en forme de triangle équilatéral » ou « tout autre dispositif d’égale efficacité prévu par la législation du pays où le véhicule est immatriculé ».
 Les véhicules immatriculés dans d’autres pays qui circulent en Espagne en «circulation internationale» seront conformes à la réglementation s’ils utilisent des triangles, précise la direction Générale du Trafic en Espagne. 
En d’autres termes, les automobilistes français n’auront rien à changer dans leur véhicule, pour continuer à rouler en Espagne.
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CITROEN JUSQU'AU BOUT !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Rétromobile 2025, pour ne rien rater...

 

ACTUALITÉ Organisé du mardi 4 au dimanche 9 février à Paris, porte de Versailles, le plus prestigieux salon de la voiture de collection au monde rivalise d’animations. 49 ans et pas une ride. Le temps n’a pas d’emprise sur le plus ancien salon de la voiture ancienne au monde. Cette année encore, Rétromobile, fidèle à lui-même et à son histoire, multiplie les centres d’intérêt. De 7 à 77 ans, ce salon s’adresse à tous les publics. Que l’on soit collectionneur, amateur de belles mécaniques et de carrosseries d’hier, ou simple curieux, chaque visiteur aura l’assurance de passer un bon moment. Les sujets de réjouissance sont partout. Dans chaque hall. Sur chaque stand. Les curiosités se multiplient. 
Rétromobile est la seule manifestation où l’on peut retrouver le club de sa marque ou de son modèle préféré, rencontrer les organisateurs des plus grandes manifestations de voitures anciennes, acheter un véhicule, fouiner une pièce pour restaurer sa voiture, dénicher le modèle réduit manquant dans sa collection, trouver des livres ou de la littérature dédiée à la locomotion, des photos d’archives et de la documentation, des objets de décoration automobiles avec la présence de nombreux artistes (peintres, sculpteurs et photographes) et tout l’équipement de conduite d’une ancienne ou d’une youngtimer. Tout l’écosystème du secteur de la voiture ancienne est par ailleurs présent : assurance, expertise, entretien, restauration, vente. Rétromobile démontre l’extrême richesse de l’histoire de l’automobile. Une invention qui a révolutionné la mobilité et modelé nos sociétés depuis la fin du XIXe siècle. Une invention qui doit beaucoup à la France et à quelques courageux et visionnaires pionniers. 
Depuis les débuts cahin-caha de la mobilité individuelle motorisée, elle se distingue par de nombreuses performances, que ce soit dans le domaine des innovations ou des succès sportifs. Cette année, parmi les nombreuses animations, le Salon Rétromobile fait l’éloge du génie français à travers le parcours d’Adolphe Kégresse, les soixante-dix de la Citroën DS et une exposition consacrée à la Formule 1 française, de la fin des années 1960 à aujourd’hui. 
Né le 2 juin 1879, le Franc-Comtois Kégresse grandit en développant une passion pour la mécanique. De nombreuses inventions ponctuent sa vie. Pendant son service militaire, il installe un moteur sur un vélo et donne naissance à l’un des premiers vélomoteurs. Aiguillonné par l’un de ses compatriotes, il prend la direction de Saint-Pétersbourg en 1903 où il devient mécanicien de la compagnie des chemins de fer. 
Un matin, son destin bascule lorsqu’il libère le train impérial prisonnier des glaces. 
Nommé responsable des services automobiles du tsar Nicolas II, il s’illustre encore en trouvant une solution pour que le tsar continue de pratiquer la chasse aux loups l’hiver. Pour éviter l’enlisement des véhicules dans la neige, il a l’idée de fixer des skis sur le train avant et d’installer une courroie sur le train arrière pour propulser le véhicule. Breveté, ce système donne naissance en 1913 aux chenilles souples. De retour en France, l’invention est présentée à André Citroën qui l’adopte sur-le-champ. Un département Autochenilles voit le jour ; Citroën se lance dans de grandes explorations à travers le monde. L’ingénieur décède le 9 février 1943. 
 De Citroën, il en est encore question avec les 70 ans de la DS. Pour l’occasion, l’exposition mise en lumière par Mathieu Lustrerie, présentera une réplique de la DS posée sur des ballons qui avait été imaginée pour une campagne promotionnelle à fin des années 1950. Grâce à un collectionneur qui a fourni le véhicule, à l’Aventure Peugeot-Citroën-DS, et aux organisateurs du salon, les élèves du Garac ont reconstruit à l’identique cette DS hors du commun qui avait disparu. Dans un registre très différent, la France s’illustre depuis la fin des années 1960 sur les Grands Prix de Formule 1. À travers la présence d’une sélection de monoplaces, de Matra à Alpine, en passant par Renault et Prost GP, Rétromobile fait défiler et témoigner la grande famille de la Formule 1 française. 
Une séquence nostalgie émouvante montrant que les Bleus ont toujours occupé les avant-postes. De nombreux anciens pilotes, mécaniciens, acteurs de la discipline reine du sport automobile sont attendus à la porte de Versailles pour témoigner et partager leurs aventures avec le public. 
Quant à l’horloger de luxe Richard Mille, partenaire de la Scuderia Ferrari, il fait défiler plus de cinquante ans de Formule 1 de Maranello, depuis la 312 B du Belge Jacky Ickx à la F1 de la saison 2008. 
 Rétromobile s’est également imposé comme un salon de l’auto bis durant cette dernière décennie. Les constructeurs ont historiquement toujours été présents pour présenter leur patrimoine et cette année pour nombre d’entre eux, c’est une première. 
C’est le cas de Cadillac qui vient de revenir en Europe, de Toyota qui nous rappelle qu’il a commencé à explorer l’hybridation dans les années 1960, de Mazda qui célèbre son roadster MX-5, de Mitsubishi qui rappelle ses succès dans les rallyes raids et en championnat du monde de rallyes. À ces nouveaux venus s’ajoutent les habitués du salon : Porsche qui souffle les 25 ans bougies de la 911 GT3, Renault qui rend hommage à la R4 et au centenaire des records de la 40 CV avec un concept car électrique, Skoda qui fête ses 130 ans, Mercedes qui présente quelques modèles phares de son histoire. Les motos n’ont pas été oubliées. 
Brough Superior, Honda, Kawasaki, Indian Motorcycle, Royal Enfield et Triumph explorent des pans de leur histoire. De son côté, Eric de Seynes, l’ancien directeur de Yamaha Europe, se raconte à travers une sélection de machines de sa collection. Enfin, Rétromobile, c’est encore dans l’enceinte du salon, les trois ventes de la maison Artcurial, à partir de vendredi 7. Du 5 au 9 février, à Paris Expo Porte de Versailles. De 10 h à 19 h, nocturnes jusqu’à 22 heures les 5 et 7 février. Tarif web : 20 €, gratuit pour les moins de 12 ans (Retromobile.com/fr).
Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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jeudi 6 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - CHRISTOPHE ET NICOLAS SONT PRETS POUR LE DEPART....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - BONNE OU MAUVAISE NOUVELLE ?


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - L'IMPORTANT C'EST DE PARTICIPER !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO-MOTO - DELVAUX JEAN-LUC ...L’ILLUSTRATEUR DES VÉHICULES ANCIENS ..MAIS PAS QUE !

Né en 1970 un crayon à la main, Jean-Luc Delvaux s'est très vite passionné pour tout ce qui possède 4 roues. 


Il troque sa poussette pour un magnifique "buggy" à pédales et passe le plus clair de son temps à dessiner... des autos.
 Plus tard, je serai... Il reçoit pour un anniversaire les 4 premières aventures de Gil Jourdan et c'est la révélation; "Plus tard, je serai dessinateur de BD!". 
Après des humanités artistiques, il effectue un graduat en illustration et rajoute des personnages et des décors aux voitures. C'est en voyant une Dauphine faire le plein lors d'un rallye d'anciennes Renault qu'il a un véritable "coup de coeur" et dès lors va se passionner pour les automobiles d'un certain âge et leurs époques. À 20 ans, il s'offre enfin sa première auto... une Dauphine de 1957 !
 Commencent alors les choses sérieuses, il présente ses planches à l'éditeur Claude Lefrancq qui est séduit et lui propose un scénario de Michel Oleffe. De là naîtront les aventures du Marquis dont 2 titres sont parus en 1995 et 1997. Parallèlement, il collabore avec Jean Graton sur Michel Vaillant. En 1999, les aventures d'Abel Simonin dit "l'Abel occase" sont publiées dans le magazine "Rétromania". 
Retrouvez tous les mois "Gazafond" une nouvelle série dans le magazine "Gazoline", le magazine qui aime les populaires !
 "L'automobile racontée aux enfants", une nouvelle rubrique pour les petits... et pour les plus grands à découvrir dans le magazine "Gazoline" ! Journaliste à "France- Enquêtes", qui nous emmène sur la Nationale 7 au début des années 50' à la poursuite du "Gang des pinardiers" !
Source : bedetheque.com - Festival BD de Liège

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