jeudi 28 novembre 2024

CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA RENAULT 8 GORDINI ...LA LEGENDE !!

Jeunes ou moins jeunes, tout le monde connaît la Renault 8 Gordini. La « Gorde », comme la surnomment affectueusement ses admirateurs, est l'icône sportive de la génération des trente glorieuses. Pas trop chère, sportive à souhait, nécessitant une bonne dose de savoir-faire et, surtout, habilement promue par une coupe monotype révélant toute une série de pilotes français, la Renault 8 est entrée par la grande porte au Panthéon de la voiture de sport. A l'occasion de ses 50 ans, un retour sur ce mythe français permet de voir à quel point son aura reste intacte… 
C'est au début des années 50 que Renault s'engage officiellement en compétition. D'abord avec sa petite 4 CV 1063, à partir de laquelle Jean Redélé créera son coach Alpine A106 première d'une longue lignée, puis avec ses Dauphine 1093. La maniabilité de ces petites voitures alliée à des équipes solides constituées de pilotes de talents fut une véritable aubaine pour Renault. De nombreux pilotes passèrent par cette école Renault avant de devenir célèbres par la suite, tel Gérard Larrousse. En 1962 Renault remplace sa Dauphine par la nouvelle « 8 ». 

Si son physique est des plus traditionnel et bien dans le ton de l'époque (une caisse carrée genre boîte à savon), la berline de la Régie recèle dans ses entrailles des nouveautés intéressantes. L'architecture générale fait toujours confiance au moteur placé en porte-à-faux arrière mais ce dernier est en revanche tout nouveau par sa conception. Il va permettre ainsi quelques années plus tard au "sorcier" Amédé Gordini d'exercer son art... La Renault 8 Gordini doit permettre à toute une clientèle d'enthousiastes et d'amateurs de conduite sportive de satisfaire leur passion sans pour cela devoir investir plus que le prix d'une voiture de grande série". 
C'est avec cette phrase que débute le dossier de presse diffusé à l'automne 1964. Le message est clair et correspond à la tendance de l'époque qui rend le sport automobile plus accessible et populaire que jamais. Passé la reconstruction du pays et le redémarrage de l'économie, nous sommes alors en pleine période de croissance et tout le monde veut en profiter, y compris les amateurs peu fortunés d'automobiles sportives. Enfin, non contente d'être performante, la Renault 8 Gordini 1100 offre une présentation unique et spécifique. 
Dans sa livrée intégrale unique "bleu de France" (référence 418), elle se pare de deux bandes blanches qui courent tout le long de la carrosserie et qui marqueront les esprits, comme plus tard les capots noirs mats chez Fiat et Abarth dans les années 70. Techniquement, la Gordini 1100 repose sur une caisse de R8 Major reconnaissable au L inversé embouti sur le montant de toit AR. Elle reçoit cependant plusieurs renforts, sur le longeron et sur la traverse avant, et une barre de renfort support moteur arrière supplémentaire. Les trains roulants sont eux aussi modifiés avec des triangles de suspension avant renforcés, des ressorts plus courts et des double-amortisseurs sur le train arrière ainsi qu'une crémaillère de direction plus directe (3,25 tours entre butées). 
Mais la R8 Gordini n'est pas la sportive dépouillée et spartiate que la légende a retenu d'elle. Au contraire, c'est même une version qui s'inscrit pleinement comme haut de gamme avec un équipement de série supérieur. L'instrumentation complète (compteur, compte-tours, indicateur de température d'eau, éclairage intégré au rétrovieur intérieur et un inédit témoins de niveau de liquide de frein) se conjugue aux petites attentions comme la poignée de maintien passager, une sellerie en skaï ou tissu noir avec les sièges avant réglables en inclinaison, des panneaux de portes intérieurs en skaï avec baguettes chromées, un précablage électrique avec des voyants et interrupteurs pour les anti-brouillards, un chauffage à 2 vitesses, un éclairage du compartiment moteur et un pare-brise en verre feuilleté.
 L'autre grande force de la Renault 8 Gordini, est son prix de vente évidemment très inférieur à celui des GT d'alors, mais également à la Mini Cooper S et à la Ford Cortina Lotus. Le succès commercial des Renault 8 Gordini est porté par un engagement en compétition couronné de succès (voir encadré en bas de page). 
Un mois après la présentation des Renault 8 Gordini, elles triomphent en rallye au Tour de Corse, puis récidivent en 1965 et 1966 devant les Alfa Romeo GTA et autres Porsche 911. Véritable icône d'une génération, la R8 Gordini est devenue un collector qui s'arrache à prix d'or et fait aujourd'hui cher payer son statut peu commun dans la gamme Renault. Il faut dire qu'avec le temps, les vrais beaux exemplaires d'origine ne sont plus si faciles à trouver et, malgré des performances largement dépassées, la "Gorde" offre toujours un caractère affirmé pour qui aime le pilotage sans artifice et la glisse ! 
 Source : Pat Rivers-automobile-sportive.com

mercredi 27 novembre 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LE RALLYE DE LA BOUSSOLE ORGANISE PAR LE CLUB 5A CARCASSONNE LE 23 NOVEMBRE 2024...

Source : l'indépendant - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info... 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - MICHEL ET ALAIN ...UNE DISCUSSION QUI VA BON TRAIN...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - Le porte gobelets dans le camion de mon maçon...


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOS - RENAULT 115 ANS D'INNOVATIONS !!

Cette saga aborde 115 ans d'innovation Renault sous le prisme des grandes thématiques qui font la force de la marque aujourd'hui : la qualité, la mobilité zéro émission, le design et l'innovation pour tous. 
 Petit avant-goût avec cette vidéo qui retrace notre grande histoire de 115 ans. De la voiturette en 1898 à la ZOE d'aujourd'hui, vous allez pouvoir découvrir l'évolution de Renault et pour les plus anciens avoir un sentiment de nostalgie en revoyant certains de nos véhicules mythiques.
Source : renaultTV

CLUB5A - COMPÉTITION AUTOS - LES 24H DU MANS DE 1952 ....

La 20ème course des 24 heures du Mans regroupe 114 pilotes. Mais cette édition 1952 s'illustre particulièrement par la double victoire de Mercedes.
 

 Pilotée notament par Hermann Lang, Fritz Riess, Theo Helfrich et Helmut Niedermayr, la marque allemande réalise le meilleur parcours et remporte la course.
Source Ladju24·

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CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOS CATERHAM...LE CABRIOLET DEUX PLACES !!

Caterham est un constructeur d'automobiles britannique, appartenant depuis le 27 avril 2011, à Tony Fernandes qui l'a racheté au fonds d'investissement américain Corven Group propriétaire depuis 2006. 

Sportive sans filtre et généreuse en sensations, la Seven 275R est un vrai bol d'air frais au propre comme au figuré ! 
Follement amusante sur petites routes, dotée d'un moteur rageur et de performances élevées, la Caterham est tout simplement irrésistible. 
Son histoire est liée à celle de la marque Lotus et de son modèle la Super Seven, un cabriolet deux places, qui figure au générique de la série télévisée Le Prisonnier. 

 Construites sur un châssis tubulaire en acier revêtu de panneaux d'aluminium (les ailes et le cône de nez sont en fibre de verre ou en fibre de carbone) et disponibles en kit dans certains pays (sauf la CSR) ou prémontées, les Caterham pèsent entre 500 et 575 kg selon le modèle, ce qui leur permet des performances très élevées. 

 En 2012, l'équipe de Formule 1 Caterham F1 Team est officiellement nommée d'après cette marque. La firme Caterham Cars Service a été fondée en 1959 par Graham Nearn. En 1948, l'ingénieur Colin Chapman avait construit une voiture de course qu’il avait baptisée « Lotus ». 
En 1957, après divers modèles de compétition, il propose la Seven, une voiture sportive adaptée à un usage routier avec une carrosserie en aluminium. Caterham devient distributeur de Lotus et se focalise sur la Seven dès les années 1960. Il devient ensuite le plus gros distributeur de Seven de Grande-Bretagne, avant d'en obtenir l'exclusivité de Lotus. 


Lotus confie alors à Caterham l'assemblage des Lotus Seven. En 1973, Chapman cède à Nearn les droits de production et l’outillage de la S7. En 2004, l'entreprise est toujours dirigée par son fondateur, secondé par son fils Simon. L'usine, située à Dartford, non loin de Londres, emploie quatre-vingts personnes et produit environ 500 voitures par an. 
 En 2006, l'entreprise est reprise par le fonds d'investissement américain Corven Group. Le 27 avril 2011, Tony Fernandes, patron de Team Lotus annonce avoir racheté Caterham Cars. En novembre 2012, Carlos Ghosn, patron de Renault, et Tony Fernandes, annoncent un partenariat pour produire une nouvelle Alpine dans l'usine Renault de Dieppe à partir de 2016. 
Ce projet d'alliance sera abandonné fin mars 2014 sans qu'on en connaisse les raisons. En octobre 2013, Caterham annonce la création du Caterham Moto Racing Team, une écurie de course qui entrera dans le championnat Moto dès la saison 2014, et en novembre 2013 lors du salon moto EICMA de Milan, Caterham Bikes, la nouvelle division deux-roues de Caterham, présente la Brutus 750, une moto 750 cm3 à boîte automatique pensée comme un « SUV » 2-roues, de même que deux vélos électriques...
Source :WKPDIA/CC-BY-SA-3.0- Motorlegend

lundi 25 novembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LA FAMILLE ARNAUD AU DEPART DU 28ème TOUR DE L'AUDE...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LE RETOUR AUX SOURCES !!

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - POUR TRAVAILLER TOUJOURS SE POSITIONNER EN DE POSITION CONFORT !


 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA HOREX 350cc ...DEUTSCH QUALITY !!

Après la Seconde Guerre mondiale , Horex à Bad Homburg a été la première marque allemande permettant aux alliés de fabriquer des motos de plus de 250 cm3. Cela a abouti en 1950 à l' Horex Regina 350 , un monocylindre qui se vendait bien, mais qui reposait en partie sur la technologie d'avant-guerre du Horex S 35 et du Horex SB 35 . 
C'était toujours un moteur à longue course qui ne délivrait que 18 chevaux et 20 chevaux en sport. De plus, le Regina a reçu une suspension de piston à l' arrière et une structure de pont . Une version 250cc du Regina est apparue ainsi qu'une version 400cc, qui devait servir à tirer le sidecar.. Cette fonction a été reprise en 1954 par l’ Horex Imperator 400 , une victoire parallèle forte de 26 ch avec un cadre à double berceau et une suspension à bras articulé à l’ arrière. 

Pour les conducteurs de side-car, l’Imperator pouvait être équipé d’une fourche pivotante , également considérée comme plus moderne que la fourche télescopique en Allemagne à cette époque . 
La Horex Resident 350 qui est arrivé sur le marché en 1956 avait encore peu de caractéristiques du Regina. La machine était très bien conçue, avec un grand garde-boue avant, une fourche pivotante et un bras oscillant arrière. Le cadre était le cadre à double berceau de l’Imperator 400. 
Le carter était complètement lisse et les ailettes de refroidissement renfermaient maintenant le tube dans lequel se trouvaient les poussoirs . L' arbre à cames était haut dans le carter moteur. De plus, le rapport alésage / course était différent. Le moteur à course longue du Regina (69 x 91,5 mm) était maintenant un moteur à course courte (77 x 75 mm). La capacitéavait fortement augmenté, passant de 20 ch à 24 hp à 6 500 tr / min. 
Le résident n’avait qu’une soupape d’échappement, mais deux orifices de sortie et deux sorties. La transmission primaire et la transmission secondaire ont été déplacées vers la droite. Les clients résidents pouvaient également choisir entre une fourche pivotante ou une fourche télescopique. Au même moment, une version 250cc du Resident était publiée, identique à la 350, mais avec un moteur plus petit produisant 19 chevaux. 
Les 250 avaient un poids sec de seulement 110 kg.
Source : Motorvision


dimanche 24 novembre 2024

CLUB5A - COMMUNICATION - PLANIFIEZ VOS SORTIES AUTOS MOTOS LE CALENDRIER 2025 EST DISPONIBLE !

 


CLUB5A - A VENDRE - JEAN-LOUIS MEMBRE DU CLUB ET DE LA SECTION MOTO VEND UNE MOTO SUZUKI 125cc ...


Jean-Louis vend une Suzuki Maraudeur 125 Cc, en bon état tournante, révisée, de 1998 équipée top case casque, carte grise prix 800€ 
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CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - SORTIE NEIGE AVANT LA LOI "MONTAGNE"....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - ESPRIT D'EQUIPE EN MODE DEPANNAGE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE - BATAILLE ET SES CASCADEURS 1960-1970....

  Les grands rodéos de France. Super Show d'auto cascade extraordinaire spectacle automobile des années 1960-1970... La famille Bataille rassemble 3 générations de cascadeurs. 

La carrière officielle de la famille Bataille démarre en 1956, à l’occasion d’une tournée internationale de cascades automobiles emmenée par Gil Delamare, considéré comme «le prince des cascadeurs». 
Pendant trente ans, Maurice Bataille conçoit des spectacles de cascades qui se produisent dans l’Europe entière. Son épouse Marie-Lou Bataille fut Championne de France, et Championne d’Europe de Stock-Car, dès le début des années 50. Leurs neuf enfants étaient tous, garçons et filles leurs cascadeurs attitrés. 
Source : la_bombe_citroen

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - REGLE N°1 ...NE PAS AVOIR LE MAL DU TRANSPORT !!


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES AUTOMOBILES BRASIER ....LES VOITURES GAGNANTES !!

Brasier, précédemment connue sous le nom de Richard-Brasier, est une ancienne entreprise automobile française, fondée en 1902 par Georges Richard et Charles-Henri Brasier. Le siège social et les services commerciaux se situaient 23 avenue de la Grande-Armée, à Paris 16e arrondissement, et l'usine 2 rue de Galilée, à Ivry-Port. Durant les années 1900, les automobiles Brasier obtiennent de nombreux succès en courses automobiles, bien qu'elles soient très sujettes au retournement. 
 En 1905, Brasier, alors directeur et administrateur, profite de l'absence répétée de Richard dans l'entreprise en raison d'un accident pour mettre un terme à son contrat, prenant ainsi seul la tête de la marque. Les automobiles produites par la suite ne connaissent pas le même succès. Bien que la marque s'associe avec Camille Chaigneau, l'entreprise fait faillite et disparaît en 1930. Georges Richard et son frère aîné, Félix-Maxime, travaillent durant les années 1890 dans un atelier de réparation et de fabrication de bicyclettes. 

En raison de leur succès, les deux frères fondent leur société nommée « Société des Cycles Georges Richard » où il est fait mention pour la première fois de la construction et de la vente d'automobiles.
 La qualité de leurs cycles est telle que les deux frères garantissent leur construction à vie sur tout défaut inhérent à la fabrication même. Cet engagement forgeant leur réputation, la société obtient des contrats de ventes avec le Service de santé des armées et celui des Postes et Télégraphes. Leurs activités grandissantes les obligent à changer de nom pour devenir officiellement « Société de Construction de cycles et d'Automobiles Georges Richard ». Leur « première » automobile, une deux places propulsée par un moteur monocylindre de 708 cm3, d'une puissance de 3,5 ch, est présentée au 3e salon du cycle, salon ouvert pour la première fois aux « cycles sans chevaux ». Baptisé « Poney », cette voiturette sera construite de 1896 à 1902. 
Depuis 1886, Charles-Henri Brasier, diplômé de l'École des arts et métiers de Chalons, est dessinateur dans pour l'entreprise Mors. « Intelligent et ingénieux »5, Brasier réussit la conception du premier moteur quatre cylindres en V avec allumage par rupteur pour voiture. Lorsqu'Émile Mors décide d'engager ses automobiles en compétition, Brasier trouve enfin l'occasion d'exprimer ses qualités. 
En peu d'années, les automobiles Mors seront connues pour leurs innombrables succès en course automobile : Paris-Dieppe, Paris-Trouville, Paris-Amsterdam, Paris-Ostende, Paris-Berlin... Les excès engendrés par la construction d'automobiles de plus en plus puissantes ainsi que les exigences de Brasier, que peu de personnes supportent, mènent à des conflits entre Brasier et Mors. En 1901, Brasier quitte l'entreprise, année qui marque également la fin des victoires Mors dans les compétitions d'envergure. 
En 1902, Brasier rejoint Richard dans l'entreprise d'automobiles, désormais connues sous le nom de Richard-Brasier. De cette association naitront des automobiles innovantes, d'une puissance variant de 8 à 12 chevaux, mais qui auront néanmoins une forte ressemblance avec les automobiles de Panhard et Levassor. De nombreux brevets sont déposés par Brasier et Richard, comme des bougies dites à dilatation libre, un embrayage par courroie ou encore un changement de vitesses serti dans un carter étanche. La plus grande innovation est surtout un carburateur à pulvérisation et réglage automatique, permettant de délivrer un débit constant de carburant.
 D'une petite entreprise artisanale, Richard et Brasier sont désormais à la tête d'un complexe industriel de 300 personnes. Une automobile plus puissante est également construite pour participer à la course Paris-Madrid de 1903, une des plus célèbres courses à cette époque. Georges Richard participe en personne à la course, ce qui aura une influence inattendue sur le cours de l'entreprise. En effet, la course Paris-Madrid est également connue pour son nombre de participants décédés pendant l'épreuve. Richard, quant à lui, percute un arbre en voulant éviter un spectateur, se blessant ainsi grièvement la jambe.
 En 1904 et en 1905, les voitures Richard-Brasier sont vainqueurs de la Coupe Gordon-Bennett, le championnat le plus prestigieux : en effet, la plupart des marques automobiles de l'époque non seulement françaises mais également internationales y sont représentées. Léon Théry termine en tête en 1904 sur une quatre cylindres de 80 HP, et en 1905 sur une autre de 96 HP. Ces deux victoires participent amplement à la renommée mondiale de la marque. Néanmoins, son âge d'or n'est que de courte durée. Durant la seconde moitié des années 1900 sont encore à citer pour elle les pilotes Paul Bablot, Paul Baras, ou Jules Barillier (quatrième des Grand Prix de France et circuit des Ardennes en 1906, 7e du premier en 1907). 
 En 1927, Jean Chaigneau gagne le Critérium Paris-Nice avec une TD4 torpédo sport.
 • Brasier est le seul et unique motoriste, français, à pouvoir revendiquer un titre de champion olympique, avec Émile Blakelock Thubron, le 29 août 1908 à Southampton (avec son moteur 90 H.P. de 4 cylindres, monté sur une coque française Pitre de 30 pieds de longueur). En 1936, le constructeur motoriste britannique Singer s'imposera dans l'épreuve de course automobile des Jeux olympiques d'été de 1936, mais à titre de démonstration. 
• L'auteur et musicien Boris Vian a contribué à la renommée posthume de la marque en vantant et en se montrant à bord de sa « sensationnelle Richard-Brasier 1911 avec frein à pédale », notamment sur la pochette de son seul disque vinyle.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-F1KillerQueen