mardi 10 septembre 2024

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN PIK-UP PILE-POIL DANS LE GABARIT DU LIT !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE TRÉSOR AUTOMOBILE OUBLIE PENDANT 50 ANS !

Découverte d’une collection automobile... près de Niort dans le département des Deux sèvres .


Ce transporteur cachait une collection incroyable de voitures rarissimes dans son domaine des Deux-Sèvres. Ses trésors ont été vendus aux enchères.
Il s'agit d'un trésor automobile oublié près de Niort dans le département des Deux Sèvres. 
Près d'une centaine d'automobiles prestigieuses des années 1920 à 1960 que l'on croyait perdues ont été dévoilées par les héritiers de deux collectionneurs. 
"La découverte du siècle" Roger Baillon, un transporteur de Niort, avait accumulé des voitures souvent uniques jusqu’à sa mort. Mais pendant près de 50 ans cette collection était restée sous des hangars, plus ou moins étanches, où un revers de fortune l’avait reléguée. "La découverte du siècle", avait titré en septembre un magazine américain spécialisé, à la vue de ces tôles rouillées, capotes arrachées et moteurs figés. La vente elle-même a eu un "écho mondial", a souligné Me Poulain. Au total, la collection Baillon a été dispersée pour 25,15 millions d’euros frais de vente inclus, soit deux fois l’estimation initiale.
 Source : Allain Guillemot / sudouest.fr/ AFP 

CLUB5A - SPORT AUTO - TRAGÉDIE SUR LE CIRCUIT DU MANS EN 1955 .......


De passionnantes enquêtes historiques à partir des images d'archives du XXe siècle, célèbres ou inédites. 
 Le 11 juin 1955, quelque 300 000 personnes sont venues assister à la plus célèbre de toutes les courses automobiles d'endurance : les 24 Heures du Mans. 
Comme tous les ans, l'événement est très médiatisé. Pour cette 23e édition, les voitures de sport les plus performantes du monde sont en compétition. Tout à coup, à la 147e minute, une Mercedes explose et c'est la catastrophe. Quatre-vingts morts et plus de cent quarante blessés. C'est l'accident le plus meurtrier de toute l'histoire du sport automobile. Que s'est-il passé ? Pourquoi tant de victimes ? Et pourquoi les organisateurs n'ont-ils pas arrêté la course ? 

 Collection documentaire de Serge Viallet ~ Réalisation : Serge Viallet/par ARTE EDITIONS et l¿Ina-France 3 Pays de la Loire
France 3 Pays de la Loire

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUAND LA D.S CITROEN PARTICIPAIT AU RALLYE DE MONTE-CARLO !!


 

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - LA TRIUMPH TIGER - T100 ...LA MOTO GRAND PUBLIC CONCUE COMME UNE SPORTIVE !!

 

La Triumph Tiger 100 (T100) était une moto standard fabriquée pour la première fois par la compagnie de moto britannique Triumpph en 1939. La production a cessé lorsque l'usine Triumph a été détruite par les bombardements allemands en 1940 pendant la 2e guerre mondiale, mais a repris Plusieurs variantes ont été fabriquées jusqu'en 1973. 
1939 Triomphe "Tiger 100" 
Grande-Bretagne 🇬🇧 Le Tiger 100 était une modification sportive du célèbre Triumph Speed Twin dans le monde de la moto. En installant un carburateur Amal Monoblock, des arbres à came plus tranchants et des pistons forgés, la puissance du moteur de 500 cm a été portée de 26 à 33 cv. 
Il comportait également un réservoir d'essence plus grand et des silhouettes à libération rapide. 
Le Tiger 100 plus léger, plus puissant, a été conçu comme une machine de sport, et comme les modèles précédents, la désignation numérique (« 100 ») indiquait la vitesse maximale revendiquée en miles à l'heure. À la fin des années 30, le Triumph Tiger a pris sa place qui lui revient en tant que l'une des motos de production les plus rapides de son temps sur le marché britannique.
 Pour ceux qui désirent réitérer l'exploit de Freddie Clark qui en 1939 sur un Tiger "100" spécialement préparé a montré la vitesse record de 189,93 km/h, la société proposait une large gamme d'accessoires de course : pistons, ressorts de soupapes renforcés, boîte de vitesses ars avec un ratio changé, mufflers-mégaphones, etc. 
Avec l'apparition du Tiger T100, les perspectives pour l'ensemble de la marque étaient bonnes, mais la guerre a changé : d'abord la production de modèles civils a été arrêtée au profit des modèles militaires, et un peu plus tard, en 1940, l'usine Triumph était compliquée etely détruit par les bombardiers allemands. 
Source : Motorworld by V.Sheyanov-Ride Journal

lundi 9 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LE CLUB DES 5A C'EST AUSSI UNE HISTOIRE DE FAMILLE ....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA FRANCE ...L'AUTRE PAYS DES GRANDES LIMOUSINES !!




 

CLUB5A - Technique auto -Panhard 24 CT 1967 proto motorisation DS

Prototype vu au Conservatoire Citroën à Aulnay sous Bois (93). Équipée d'un moteur prototype de DS (4 cylindres, double arbre).
   
La Panhard 24, voiture automobile de la marque Panhard produite de 1963 à 1967 ; elle marque également le dernier modèle et la fin de production de la « doyenne des marques » automobiles françaises. La Panhard 24 est la dernière voiture créée par la société Panhard et Levassor. 
Cette firme fut la première au monde à se lancer dans la construction en série d’automobiles en 1890. Après la Seconde Guerre mondiale, Panhard obtient de l'État français la possibilité de produire une voiture en aluminium (pour créer un débouché à ce matériau), ce sera la Dyna X suivie de la Dyna Z. Vers 1957, l’aluminium cédera la place à l’acier sur les Dyna Z puis sur les PL 17 leurs héritières. La branche automobile de Panhard se trouvait en difficulté financière à cause d’une gestion trop frileuse et paternaliste. 
Un rapprochement avec Citroën amorcé en 1955 scellera le destin de la marque. Citroën a des moyens colossaux mais articule sa production de berlines sur deux modèles diamétralement opposés, la 2CV et la DS/ID. Panhard n’a qu’un modèle la Dyna Z, modèle de milieu de gamme typée sportive dotée d’un bicylindre à plat refroidi par air de 848 cm3 faisant une quarantaine de chevaux. Les deux gammes se complètent parfaitement, et la Dyna Z vient à point nommé concurrencer l'Aronde de Simca comme la 403 de Peugeot. L'avenir semble souriant pour Panhard. En 1959, au moment du lancement de la PL 17, Panhard pense déjà à son avenir et au modèle qui succédera à la nouveauté. Citroën s’oppose formellement à l’étude d’une nouvelle berline qui risquerait de concurrencer les ID et la future Ami 6. 
Il est donc décidé de lancer un coupé. C'est une merveille de design et d’ingéniosité si l'on considère le peu de moyens de Panhard et l’impossibilité d’étudier un nouveau moteur, notamment un projet de moteur à 4 cylindres en X. 
Louis Bionier, dessinateur des Panhard depuis les années 1930, assisté de René Ducassou-Pehau et André Jouan, réalisera là son chef-d’œuvre. Les doubles optiques avant (non orientables) sont protégées par une vitre, principe qui sera repris par la DS à partir de 1967. Le toit est plat, la face avant est lisse, avec une fine entrée d'air intégrée au pare-chocs et un jonc chromé ceinture la carrosserie. La silhouette très basse et élancée est une réussite. Le modèle fut présenté à la presse le 24 juin 1963 : une 24 C bicolore quetsche / gris capelinos  
Source : Mister59Bean

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - IL EST TEMPS DE PASSER AU LAVAGE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA BMW TOASTER !!


 

dimanche 8 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - DOMINIQUE ET MICHEL ...UNE AMITIE DE LONGUE DATE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - COMMENT EXPLIQUER LE SYSTEME DE FREINAGE A DISQUE A SON ENFANT AVEC LES MOYENS DU BORD ?


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - Taxi Peugeot 404 en Ethiopie - plus d'un million de KM !

La 404 entretient la réputation de robustesse du constructeur. Un importateur kenyan l’engage dans l’East African Safari, long de 5 000 kilomètres. 
Confiée à des équipages locaux qui connaissent par cœur les pistes, elle s’impose en 1963, 1966, 1967 et 1968. Les Africains sont convaincus, et la lionne va se transformer en mule à tout faire. Du Maghreb à l’Afrique noire, on s’entasse dans des breaks taxis-brousse et l’on charge jusqu’au ciel des pick-up dont l’horloge n’affiche plus les heures de labeur. 
 Peugeot trouve donc sur ce continent de fructueux débouchés.
Les  404  ont fait les belles heures de Peugeot en Afrique
 Salomon, Chaffeur de taxi en Ethiopie transporte jusqu'à 500 personnes par jour avec sa vieille Peugeot 404 des années 60' !
 Source : DAM - Documentaires Auto / Moto

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA MOTO RAIL...UNE AUTRE IDEE DU VOYAGE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA CORBUSIER DE L'ARCHITECTURE BATIMENT A L'AUTOMOBILE ...

 

Le Corbusier – Voiture minimum... Charles-Edouard Jeanneret-Gris, plus connu sous le pseudonyme « Le Corbusier », est avant tout célèbre pour son rôle d’architecte surdoué ou de sculpteur précurseur, il s’est aussi essayé à l’automobile en 1936 en théorisant la « voiture minimum »… Doit-on encore présenter Le Corbusier ? Architecte surdoué dont l’œuvre est reconnue, parfois décriée. Citons entre autres les maisons La Roche et Jeanneret à Paris (1925), la Villa Savoye de Poissy (1928), la Cité Radieuse de Marseille (1947) ou encore Notre Dame du Haut (1955) pour ne citer que ses plus célèbres créations présentes en France. 

Le Corbusier était également un amateur d’automobile et faisait souvent des références dans son travail. En 1923, dans « Toward an Architecture », il écrivait « si les maisons étaient bâties industriellement, produites en séries comme un châssis automobile, il serait beaucoup plus aisé de créer une esthétique forte avec une précision surprenante ». Aussi, Le Corbusier photographier ses œuvres architecturales avec des voitures, souvent avec sa Voisin C7 et sa carrosserie « art-déco ». 
Plus qu’un simple architecte, Le Corbusier n’hésite pas à avoir une vision plus large, il s’intéresse à l’urbanisme au sens large, et s’intéresse au transport et à l’automobile. En octobre 1934, la Société des Ingénieurs de l’Automobile lance un concours dont l’enjeu est de «concevoir une voiture économique à deux places pouvant rouler à 80 km/h et vendue moins de 8 000 francs.». (à titre de comparaison, une Citroën 8 Rosalie était commercialisée 18.750francs en 1933). 
Sur les 103 propositions reçues, l’une émane de Le Corbussier, en association avec son cousin Pierre Jeanneret, lui aussi architecte et designer. Ensemble, ils conçoivent une voiture minimaliste mais avec des fonctionnalités maximisées : la « Voiture Minimum ». Le concept est original pour l’époque, une voiture de petite taille avec un toit en arc de cercle coulissant, avec des ailes qui disparaissent dans la caisse pour les roues arrières et une voie large totalement utilisée. 
Le moteur, situé à l’arrière, permet de dégager complètement l’espace avant permettant au poste de conduite d’être avancé, et de se dispenser d’un capot. Des pare-chocs permettent de protéger les faces avant et arrière, tandis que des tubes viennent protéger les côtés. La carrosserie est réalisée en tôle place pour faciliter sa fabrication. Simple projet, la Voiture Minimum resta au stade du croquis, sans jamais n’avoir été réalisée, elle ne remporta pas le concours organisé par le S.I.A. Rétrospectivement, la Voiture Minimum du Corbusier s’insère dans un mouvement de fonds de ces années 1930 : la recherche d’une voiture populaire… 
Source : lautomobileancienne.com/Le Centre des monuments nationaux
Le Centre des monuments nationaux

samedi 7 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - AU COEUR DE LA BOURSE DE BRAM AVEC GERARD...JOSETTE ET PIERRE !


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - COMMENT LIVRER UN LIT AVEC UN SCOOTER ?


 

CLUB5A - RESTAURATION MOTO - Restauration d'une Peugeot 125 type 55 AL de 1953 ....

Restauration vieille Peugeot 55 AL de 1953 sortie d'une grange après plusieurs année 
 C'est en 1946 qu'apparaît le premier "Type 55" construit sur la base du modèle P53 d'avant guerre dont la cylindrée est passée de 100 à 125 cc. Ce modèle est équipé * d'une fourche à parallélogramme, pas de suspension arrière, * d'une boite 3 vitesses commandée à main, * d'une culasse ronde.
Les nombreux modèles basés sur le "type 55" ont eu un grand succès populaire dans l'immédiat après guerre. Ces "vélomoteurs", selon l'appellation officielle, sont avant tout des utilitaires simples et fiables. Ces caractéristiques et leur grande diffusion font qu'aujourd'hui, ils servent souvent de base à une première restauration. Ils sont en outre parfaitement aptes à rouler tous les jours, mais attention, la robustesse n'est pas leur point fort.

Pendant 10 ans, le Type 55 va évoluer et Peugeot va donner naissance à une foule de modèles différents. 55 AL, C, T, TA, TC, TCL, GL, GLT, GTS, avec ou sans suspension arrière coulissante, avec fourche à parallélogramme ou télescopique, vitesses à main ou sélecteur au pied, versions économiques ou luxe, bref, il y en avait pour tous les goûts et toutes les bourses ! Au total près de 16 modèles différents pour le Type 55.
 Cela ne facilite pas la tâche du restaurateur scrupuleux. D'autant plus qu'il existe assez peu de "refabrications" pour cette gamme de modèles exceptés les caoutchoucs, les décalcomanies et les dessus de selle. Heureusement les machines ont été construites à grand nombre d'exemplaires et l'on trouve encore son bonheur dans les différentes bourses.
Source : Chaîne de Gordette67/ motocollection.com

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA MEHARI LE SYMBOLE D'UNE JEUNESSE PEACE AND LOVE !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Restauration : Eviter 9 erreurs fréquentes...

 

La restauration d’une voiture est opération complexe, très complexe. Même si les émissions de télévision comme Wheeler Dealers laissent penser que c’est rapide, facile et sans risque de perte financière ou de frustration, c’est rarement le cas. La plupart des restaurations nécessitent des centaines, voire des milliers d’heures de travail, une somme d’argent considérable et un délai qui peut s’étendre sur des années. Bien sûr, il y a des moments d’enthousiasme, comme le jour de l’achat, le jour de la peinture, le premier démarrage du moteur ou le premier trajet. Mais il y a aussi des moments d’abattement, quand on découvre des dommages inattendus, des dépassements de budget et des erreurs pures et simples, qu’il est parfois difficile d’admettre (par amour propre). Même si vos propres erreurs vous en apprennent probablement davantage, apprendre de celles des autres coûte généralement moins cher. Avant de vous lancer, prenez le temps d’étudier ces neuf erreurs courantes de la restauration des anciennes… 
 1 – Commencer avec la mauvaise voiture Démarrer avec une voiture à reconstruire de fond en comble n’est sans doute pas la meilleure idée. Restaurer n’est pas entretenir. La « bonne voiture » sera presque toujours celle dans le « moins mauvais état » que vous puissiez trouver. La rouille, les pièces manquantes, les dommages causés par une collision ou l’usure extrême rendent une voiture moins chère à l’achat mais généralement beaucoup plus coûteuse à restaurer. Rechercher soigneusement un bon exemple accélérera votre restauration et préservera votre budget. 
2 – Ne pas en avoir conduit une autre avant La plupart des restaurations commencent par un rêve : une vision idéalisée de ce que sera la voiture au final. Le problème est que la plupart des restaurations, aussi bien exécutées soient-elles, ne concernent encore que de vieilles voitures une fois terminées. La plupart des voitures anciennes n’ont rien à voir avec les voitures contemporaines. Elles démarrent moins bien, ne freinent pas aussi bien, n’éclairent pas aussi bien, ne se conduisent pas aussi bien ou ne disposent pas des commodités que nous avons oubliées tellement nous les aimons. Essayez de conduire un modèle similaire déjà restauré, avant de vous lancer dans votre projet. Découvrez si vous avez le feeling … ou pas au volant. Performances, tenue de route, confort, freinage, … encore une fois, même restaurée à neuf, une voiture des années 50 ne sera jamais une voiture des années 2000. Quoi qu’il en soit, ce serait dommage d’attendre la fin de la restauration pour découvrir que vous n’aimez pas tant que ça conduire votre voiture… 
3 – Refaire le moteur trop tôt La règle est simple : ne reconstruisez pas le moteur avant qu’il soit temps de le remettre en place. Le risque est de « cramer » le budget et de se retrouver avec un moteur rutilant mais sans le budget pour travailler correctement la carrosserie, la sellerie et le châssis qui sont au final les postes de restauration les plus importants. On peut toujours repeindre un moteur usagé, changer quelques joints, le remettre en place, rouler (quitte à remettre un peu d’huile périodiquement) pour le re-déposer et le reconstruire plus tard. 
4 – Lésiner sur la carrosserie et la peinture Nous venons de le dire au point 3. Vous pouvez refaire à peu près n’importe quel travail mécanique avec un peu de temps et un peu d’argent, mais refaire une carrosserie à la va-vite, c’est mettre un pansement sur une jambe de bois. La carrosserie est généralement la partie la plus coûteuse de la restauration, et trop de gens tentent de réduire les coûts en rognant sur les bonnes pratiques. On peut toujours recouvrir à la pelle à tarte un bas de caisse pourri avec du mastic et une belle peinture brillante. Mais dans 2 ans, tout sera cloqué et sera à refaire. C’est une fausse économie : la seule façon d’économiser sur la carrosserie et la peinture est de trouver une voiture saine et surtout de s’assurer que les travaux seront faits dans les règles de l’art 
5 – Ne pas vérifier les références des professionnels Que vous confiiez la restauration complète à un professionnel ou juste quelques éléments, il est essentiel de vérifier ses références. Notez le pluriel, car une seule référence ne suffit pas. Les rassemblements d’anciennes vous permettront surement de croiser d’anciens client de votre futur atelier. Il y a trois choses à leur demander : L’atelier a-t-il effectué un travail de qualité ? Était-ce dans le budget ? Était-ce à l’heure ? La prise d’information est un sujet difficile. Un client déçu dira-t-il « Je me suis fait avoir, j’ai choisi Untel et il n’a pas fait un bon boulot » ? 
 Si ce n’était pas un travail de qualité, éloignez-vous. Si ce n’était pas dans les délais ou dans le budget, cela peut être acceptable – la qualité coûte du temps et de l’argent, après tout – mais vous devrez planifier en fonction de ces éléments. Et suivre le chantier régulièrement. Pour la carrosserie et la peinture, vous ne devez pas seulement parler aux derniers clients, mais aussi essayer de voir des voitures qui ont été restaurées il y a 2, 3 ou 5 ans. Ca peut parfois être mal perçu, mais le client est roi et on est sur des budgets conséquents qui méritent de prendre des garanties. Dans le « monde des Anciennes » on est trop souvent dans l’affect, dans le monde des copains… Devis verbal à la louche (effet Vintage Mecanic), prix dit « d’ami », liste approximative des travaux prévus … on s’accommode de pratiques que l’on accepterai pas pour l’achat d’un canapé. Sans être trop procédurier, il faut trouver le bon compromis. De toute façon, c’est réglementaire … 
 6 – Acheter des pièces trop tôt C’est un corollaire de nos conseils moteur. Trop de gens s’approvisionnent en pièces détachées pour des milliers d’euros bien avant d’en avoir besoin. Ces pièces peuvent être endommagées lors du stockage, égarées, être les mauvaises et ne plus pouvoir être échangées et, encore une fois, elles accaparent une part importante du budget. Ne vous laissez pas embobiner par un vendeur qui assure que c’est son dernier lot. Vous seriez surpris de constater le nombre de pièces que l’on trouve actuellement sur le marché et qui étaient pourtant réputées « introuvables » il y a 30 ans ! Si vous laissez passer une vente, il y en aura probablement une autre dans 3 mois. Achetez vos pièces en temps et heure mais n’achetez pas de pièces que vous n’êtes pas _absolument_ prêt à utiliser. 
7 – Oublier vos objectifs de départ Sans objectifs, les restaurations échouent. J’espère que votre premier objectif est de vous amuser. Au-delà de cela, vous voudrez peut-être recevoir des prix, faire de belles balades, dire que vous l’avez fait vous-même ou rencontrer des personnes partageant les mêmes idées. Mais si vous occultez l’aspect émotionnel et êtes trop préoccupé par les plannings, les budgets, les problèmes ou autres distractions, votre restauration risquera un échec majeur. Gardez cet objectif émotionnel à l’avant-plan de votre esprit et ajustez les choses rapidement si vous vous en éloignez. Notez bien que nous n’avons pas mentionné « faire une plus-value ». Là encore, les émissions de télé où l’on ne comptabilise pas les heures de main d’oeuvre, où tous les outils tombent gratuitement du ciel, où les « prix d’amis » sont généralisés, où les voitures se vendent en 30 secondes … restent des fictions à finalité de divertissement. Pas la vraie vie. 

8 – Vouloir finir trop vite Nous pensons que la plupart des voitures présentées comme « restaurées » sont en réalité à encore 50 à 100 heures de leur finition. Bien sûr, elles sont jolies et se conduisent plutôt bien, mais sont-elles vraiment terminées ? Une bonne restauration se termine par de nombreux essais de conduite et par l’établissement de listes. Les listes indiqueront les irritants, les choses qui ne vont pas tout à fait bien, les pièces qui ne s’ajustent pas si bien que ça et tous les points qui nécessitent une attention particulière. Ils peuvent même inclure un gros travail, comme retirer la transmission pour modifier quelque chose. Vous n’avez peut-être plus d’argent, vous en avez marre de travailler sur votre voiture, après tout le temps passé et vous voulez avant tout rouler avec. Mais le contrôle objectif du « reste à faire » et sa planification transformera une restauration correcte en une excellente restauration voire exceptionnelle. 
9 – Ne pas admettre ses erreurs Voilà, le plus important : si vous avez commis des erreurs dans votre restauration, admettez-les et posez vous la question de savoir pourquoi vous les avez commises : J’essayais de gagner du temps J’essayais d’économiser de l’argent Je pensais que c’était OK Je n’ai pas réfléchi à la prochaine étape Mon pote pensait que ça avait l’air bien Le gars du (magasin/piste/meeting) a dit que ça marcherait Je ne voulais pas attendre la bonne pièce/outil/aide J’ai vu quelqu’un d’autre le faire … Le sujet est vaste. La restauration d’un véhicule ancien est une expérience incroyable, mais à condition d’en mesurer toutes les arcanes et d’avoir du temps, de l’énergie et de l’argent à y consacrer. 
Source : autocollec.com

CLUB5A - REPORTAGE - PHENOMENE ETRANGE ...LA DAME BLANCHE ...LE PHANTOME DE NOS ROUTES ...

 

La Dame Blanche. 
Sorte de légende urbaine transposée à la campagne, on a tous entendu parler de cette dame très pâle qui faisait du stop la nuit le long d'une route, emmenée par des amis d'amis d'amis... 
Elle aurait eu un comportement bizarre, insistant sur les dangers de la route, de plus en plus nerveuse jusqu'au moment où, au bord de la crise de nerf, elle demande au conducteur de la laisser là, au milieu de rien... 
À peine reparti, le conducteur regarde dans son rétro, elle a disparu !..
 Se renseignant plus tard au village voisin, notre automobiliste apprend qu'il y a quelques années, un effroyable accident automobile aurait tué cette femme qui, depuis, apparait de temps en temps pour faire du stop... 
La légende de la femme blanche était née... 
C'est tout de suite à ça que j'ai pensé en voyant cette photo, assez pâle, d'une femme attendant dans le fossé, qu'on la prenne en photo près d'une borne de la Nationale 7.
 Avant, on le faisait souvent, comme pour apporter aux amis une sorte de souvenir de voyage, la preuve qu'on était allé là... 
 Après, les lieux ont finalement peu changé. Le Km 67 de la N7 dans l'Allier est toujours là, Roanne est toujours à 48 kilomètres mais la borne a été remplacée par une triste plaquette métallique. La circulation est à peine plus importante qu’à l’époque de la photo depuis qu’une déviation contourne la ville.
 Quand à cette dame, apparition quasiment fantasmagorique au bord de la route, je ne saurai jamais qui c'était ni ce qu'elle faisait là... À moins que...
Source : Thierry Dubois N7-Vendredi Soir