mercredi 4 septembre 2024

CLUB5A- REVUE DE PRESSE - Sortie de grange. Une collection d’une centaine de Citroën aux enchères...

 

Le 28 septembre prochain, l’Hôtel des ventes de la Seine mettra en vente une impressionnante collection de Citroën qu’un passionné a accumulées pendant des années. Entre modèles d’avant-guerre, pléthore de 2CV, versions sportives, exemplaires dans leur jus ou au contraire quasi neufs, il y en aura pour tous les goûts. Fin septembre, la petite bourgade de Fleury-sur-Andelle risque fort d’être le point de ralliement de tous les mordus de Citroën. C’est en effet dans cette localité de l’Eure (27) que se situe l’Hôtel des ventes de la Seine, qui aura la lourde tâche de disperser la collection d’un véritable fana de la marque aux chevrons. Ce collectionneur compulsif qui, tout au long de sa vie, a acheté tout ce qui pouvait provenir du Quai de Javel s’est enfin décidé à se débarrasser de ses trésors. Et le terme de trésor n’est pas usurpé quand on jette un œil à quelques-uns des modèles qui passeront sous le marteau du commissaire-priseur. Pour tous les goûts… et tous les budgets .
Cette sortie de grange réunit en effet un large éventail de la production du constructeur français.
Et, avec près d’une centaine de Citroën annoncées aux enchères, il ne va pas être facile de choisir. Les budgets les plus modestes (et les acheteurs les plus bricoleurs) pourront se concentrer sur la multitude d’exemplaires dans leur jus, parmi lesquels figurent des Citroën d'avant-guerre, une pléiade de 2CV, des Méhari (dont une version 4 x 4), une belle brochette de Type H, ainsi que de la CX, de la DS, l’ensemble de la gamme Ami (Ami 6 et 8 en berline et en break) et même un rare camping-car Tissier sur base de CX.
 Les pilotes amateurs ne seront pas oubliés avec une rare BX 4TC, dont il ne subsisterait aujourd’hui que 40 exemplaires dans le monde. Parmi les autres modèles vitaminés, le catalogue comprend des Visa GTI et Chrono, ainsi qu’une BX Sport avec 92 000 km au compteur. Les collectionneurs de « curiosités » ne seront pas en reste. Ils pourront craquer pour une M35, le modèle expérimental à moteur rotatif, produit à seulement 267 unités. 
La vente comprend également une très craquante Citroën Bijou, un coupé sur base de 2CV produit et vendu exclusivement au Royaume-Uni en très petite quantité dans les années 1960. Enfin, la collection comprend quelques « capsules spatio-temporelles », ces modèles qui n’ont que très peu roulé et qui, malgré leur âge, semblent tout droit sortis d’une concession. L’argus a ainsi repéré une GSA Pallas C-Matic qui n’affiche que 6 400 km au compteur et une autre GS, une birotor, avec 42 000 km. Enfin, difficile de ne pas craquer pour la 2CVA de 1950 qui semble flambant neuve et qui pourrait bien faire grimper les enchères. 
Source : largus.fr

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CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA BENTLEY SPEED SIX HAUTE PERFORMANCE .....LE SPORT DANS LE LUXE !!

 

1930 Bentley 61 ⁄2 litres Speed Six Sportsman Saloon LWB par Corse 
La Bentley 61 ⁄2 litre ordinaire et la Bentley Speed Six haute performance étaient des voitures de sport et de luxe basées sur châssis roulant Bentley en production de 1926 à 1930. Le Speed Six, introduit en 1928, deviendra la Bentley la plus réussie. Deux Bentley Speed Six sont devenus connus sous le nom de Blue Train Bentleys après l'implication de leur propriétaire Woolf Barnato dans les courses de Train Bleu de 1930. 
En 1924, Bentley décide de construire un châssis plus grand que le 3 litres, avec un moteur plus lisse et plus puissant. Le nouveau châssis serait plus adapté aux grandes carrosseries lourdes que beaucoup de ses clients posaient alors sur son châssis de voiture de sport, et la voiture qui en résulterait serait plus raffinée et mieux adaptée à une motorisation générale confortable Réalisant de la course improvisée que le Sun n'avait aucun avantage sur le dernier développement de Rolls-Royce, W. Oh, mon Dieu. a augmenté l'alésage de son moteur six cylindres de 80 millimètres à 100 millimètres. 
Avec une course de 140 mm  le moteur avait un déplacement de 6,6 L (6 597 cc Comme le moteur à quatre cylindres, la droite-6 de Bentley comprenait un arbre à cames, 4 soupapes par cylindre et un bloc moteur mono-pièce et une culasse de cylindre ca st in fer, ce qui a éliminé la nécessité d'un joint de culasse. Sous forme de base, avec un seul carburateur Smiths 5 jet, des magnétos à allumage double et un rapport de compression de 4,4:1, la Bentley 61 ⁄2 litre a livré 147 chevaux (110 kW) à 3500 tours par minute. 
Le modèle était disponible comme voiture routière pour un usage quotidien. 
Le Speed Six personnel de Barnato avait une carrosserie sur mesure par divers carrosseries, et le département des enquêtes criminelles de la police de l'Australie occidentale a utilisé deux exemples de corps de saloon comme voitures de patrouille. En mars 1930, Barnato a couru contre le train bleu dans une vitesse Six avec H. J. Le carrosse du saloon Mulliner, atteignant son club à Londres avant que le train ne soit arrivé dans la gare de Calais. On pensait généralement que la voiture dans la course était un coupé de brancard Nutting Sportsman, mais le coupé avait été livré à Barnato en mai 1930, plus d'un mois après la course. 
La version course du Speed Six avait un empattement de 11 pieds (132 po ; 3 353 mm) et un moteur avec un rapport de compression de 6,1:1 qui produisait 200 ch (150 kW) à 3500 tr/min. Réussissant dans la course, ces voitures ont remporté les 24 Heures du Mans en 1929 et 1930 avec les pilotes des Bentley Boys "Tim" Birkin, Glen Kidston et Woolf Barnato, le président de Bentley Motors Une époque où les voitures étaient de l'art - Voitures et motos Stars de l'ère dorée. 
Source : Cars & Motorbikes Stars of the Golden era-Gumbal
Gumbal

mardi 3 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - QUE LA MONTAGNE EST BELLE......


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - AVOIR DE LA PUISSANCE C'EST BIEN...LA MAITRISER C'EST MIEUX !!


 

CLUB5A - MUSEE-SALON ET CONCENTRATION - MUSEE MOTO-GUZZI A MANDELLO ITALIE !!

Moto Guzzi est connu partout dans le monde en tant que 
 L Aquila (l'aigle) di Mandello-. 

Mais seulement quelques personnes connaissent l'histoire de la   la marque conçue par Carlo Guzzi et Giorgio Parodi en 1921. Quand leur aventure dans le monde des motocycles a commencé, "il y a un aigle de vol". C'est une histoire très courte qui vaut la peine d'être connue.

Carlo Guzzi était un jeune technicien, qui a habité à Mandello ; il a eu la passion des motocyclettes et a élaboré un plan, auquel il a cru, la construction d'un modèle absolument original. 

Au déclenchement de la première guerre mondiale, Carlo Guzzi est appelé en tant qu'ingénieur technique dans le bataillon d'air de l'armée italienne. 

 Avec la grande connaissance des trois soldats, grâce à la passion commune des motos ; ils ont décidé qu'à la fin de la guerre, ils établiraient une société et une industrie de moto, basées sur les idées techniques de Guzzi, le capital de Parodi et la puissance, comme un pilote nommé Ravelli. 
Ils l'ont fait, mais malheureusement Giovanni Ravelli ne pourrait pas participer à l'aventure : quelques jours après la fin de la guerre celui-ci est mort dans un accident de vol. 
Pour l'honorer, "l'Aquila" est entré dans la marque de Moto Guzzi. Le musée de Moto Guzzi est ouvert chaque jour ouvrable. Dans certains cas, avec une réservation et seulement pour de nombreux groupes (au moins quinze personnes)
 La visite est libre, le bâtiment qui contient la collection est à l'intérieur de l'usine de Moto Guzzi dans Mandello du Lario, la même usine dans laquelle, en 1921 jusqu'à aujourd'hui les motos sont fabriquées.
 Source texte :lacdecomeonline.com / POLLOREY /  
MonYogui

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? DEUX GAMINS DE 13 ET 9 ANS VOYAGENT A TRAVERS LES ETATS-UNIS EN 1913 SANS ACCOMPAGNATEUR....

 

En 1913, les frères Abernathy Louis âgés de 13 ans et Temple âgés de 9 ans, ont roulé d'Oklahoma à New York City sur la moto Indian. Ce n'était pas la première aventure des garçons Abernathy. 
En 1909, les deux frères, Louis « Bud » âgé de neuf ans et Temple cinq, rencontrent une foule d'obstacles du Old West, dont des loups et des rivières sauvages, lorsqu'ils ont parcouru plus de 1000 miles de l'Oklahoma à Santa Fe et retour complétement SEUL ! 
L'année suivante (1910), les frères posent leur objectif sur New York City, qu'ils atteignent après un mois de d'un long et dur voyage. 
À l'été 1911, ils ont fait l'impossible. Ils ont parcouru près de 4 000 miles, de New York à San Francisco, en seulement soixante-deux jours. Encore une fois, les Abernathy Boys avaient fait une balade historique sans aucune aide d'adultes et accompli un exploit qui n'a jamais été égalé.. 
Source : Timeless Tributes

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - QUAND MADAME SE PROMENE EN ISETTA ...C'ETAIT EN 1955 !!


 

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CLUB5A - REPORTAGE AUTO - GUSTAVE FOUILLARON L'INVENTEUR DU VARIATEUR DE VITESSE !!

 

Automobiles Fouillaron 92 Levallois Perret 1900/1914 Gustave Fouillaron, né le 9 août 1849 à La Caillère-Saint-Hilaire (Vendée) et mort le 24 novembre 1933 à Cholet (Maine-et-Loire), est un constructeur automobile français, inventeur du variateur de vitesse. 
François Gustave Victor Fouillaron, est le fils de Cyrice Fouillaron, marchand, originaire de Dienne (Cantal) et d'Henriette Glorian. Il épouse une Choletaise, Marguerite Julie Blouin, le 30 novembre 1878 à Cholet. Il est mobilisé avec le grade de sergent au 35e régiment de la Garde mobile de Vendée, pendant la guerre de 1870. De 1901 et jusqu'au début de la Grande Guerre, Gustave Fouillaron est membre de la Chambre syndicale de l'automobile et des industries à Paris. 
 En 1918, Gustave Fouillaron, âgé de 69 ans, a perdu son fils aîné en 1913 et le cadet meurt à son tour en 1927, des suites de complications liées au gazage durant les hostilités. Il reste économiquement et politiquement très engagé localement (municipalité, Chambre de commerce, etc.). La marque Columba pour les vélos et les machines à coudre est transmise à son neveu Gustave Frappier. Il poursuit la gestion de son commerce de mercerie, ouvre de nouvelles petites industries à Cholet et aux environs dont une bonneterie, plusieurs ateliers de tricotage. 
En 1928, il fait poser, par son petit-fils André Fouillaron, âgé de seulement huit ans, la première pierre de l'usine Grangeard à Cholet, pour la fabrication de bas en coton. Gustave Fouillaron meurt le 24 novembre 1933 à Cholet. Négociant, d'abord mercier, il élargit son négoce à Cholet en lançant, après les machines à coudre et à tricoter, une fabrication de bicyclettes. Il ouvre bientôt avec autant de succès plusieurs succursales dans ses activités initiales, dont une à La Roche-sur-Yon, une autre à Angers, rue Boisnet, proche de la gare Saint-Serge. 
La maison de mercerie de Cholet, fondée par lui, ne tardera pas à devenir une des premières de la région à occuper un nombreux personnel. Le journal L'Intérêt public du 19 juin 1898 relate qu'à la fin du xixe siècle l'industriel Fouillaron fait construire une piste privée, rue de l'Étoile à Cholet. Le vélodrome Columbia accueille ainsi gratuitement les clients du fabricant de cycles en toute sécurité et à l'abri des regards afin de leur faciliter l'apprentissage de la bicyclette puis, plus tard, de la conduite automobile. 
Par la suite Gustave Fouillaron ouvre à Angers, en 1899, une autre fabrique de bicyclettes. C'est en transformant un tricycle en voiturette qu'il élabore son prototype vendéen. La voiture est testée par Jean-Michel Corre sur les routes de la région d'Angers, Clisson, Cholet, La Roche-sur-Yon et du Sud-Vendée8, incluant des côtes mythiques comme le mont des alouettes aux Herbiers ou la montée du bourg de La Séguinière, près de Cholet. En 1900 il déménage ses ateliers à Levallois-Perret, année au cours de laquelle débute la fabrication d'automobiles sous la marque à son nom. 
Même après avoir installé en région parisienne un nouvel atelier d'assemblage personnalisé de voitures à partir d'un châssis standard, de fait, Gustave Fouillaron n'a jamais quitté ses autres activités de négoce en Anjou et en Vendée, pas plus que ses responsabilités institutionnelles et engagements pris à Cholet. Jean-Michel Corre, que Fouillaron a nommé directeur de l'Agence française de l'automobile, rompt l'alliance en mars 1901. En 1901, Fouillaron présente deux modèles lors du Salon de l'automobile, du cycle et des sports de Paris, équipés de moteurs monocylindres (de) De Dion-Bouton développant respectivement 6 et 8 CV9.
 Les premiers modèles construits par Fouillaron, sous la marque Columba — déposée le 4 avril 1898 au greffe du tribunal civil de Cholet10 — sont similaires aux véhicules Renault du début du xxe siècle, avec un radiateur placé derrière le bloc moteur. À partir de 1904, le radiateur est placé devant le moteur et la calandre arrondie rappelle alors les productions de Delaunay-Belleville. Les ensembles constituant le moteur comprennent entre un et six cylindres, provenant d'ateliers spécialisés comme Buchet ou De Dion-Bouton. La boîte de vitesses dispose d'une transmission assurée par des poulies extensibles, conçues par l'entreprise Fouillaron et constituant un variateur de vitesse mécanique. 
Si l'historiographie locale d'Élie Chamard, autour de l'invention par son directeur technique le mécanicien Victor Jousse, interroge encore aujourd'hui, c'est bien formellement Gustave Fouillaron (représenté par une société d'ingénieurs à Paris) qui dépose et signe le brevet no 301.625, le 26 juin 1900 « pour un système de changement de vitesse par poulies extensibles ». Entre 1900 et 1910, il a été relevé en France comme à l'étranger, comme politique systématique, jusqu'à vingt-six dépôts de brevets menant la courroie initiale aux progrès successifs vers la chaîne-courroie, constituée de trapèzes en cuir chromé.
 À compter du Salon 1903, remplaçant les transmissions par chaînes, la concurrence impose la prise directe par engrenages mécaniques de Louis Renault (brevet du 9 février 1899). En 1904, à l'exposition internationale de Saint-Louis, Gustave Fouillaron présente un changement de vitesse breveté qu'il construit et exploite. En 1906, une voiturette Fouillaron participe au Tour de France de l'Automobile Club de France, à la coupe de voiturettes et au concours de régularité, « soit en tout 10 000 kilomètres sans ennui ». En 1908, Fouillaron gagne six courses automobiles.
 Le 17 mai 1908, Grillet sur une Fouillaron remporte une course de côte à La Baraque (près de Clermont-Ferrand), en 10 min 34 s sur 5 kilomètres. Après avoir connu des évolutions continuelles de limitations de vitesse, passant de 10 km/h jusqu'à 60 km/h maximum en campagne, l'abolition des restrictions qui suit à partir de 1909, n'est pas très favorable cette fois à la marque ; elle « fera apparaître les véhicules Fouillaron comme plutôt dépassés (au sens propre et figuré) ».
 En 1906 Londres ouvre aussi un Salon de l'automobile dit l'Olympia. Du fait de la concurrence et des coûts de cet événement, à partir de 1910, à Paris, le Salon devient bi-annuel. 
De nombreux petits constructeurs et assembleurs, comme les fabriques Fouillaron, vont ainsi perdre un important moment de la commercialisation de leur production. En 1914, le montage des automobiles cesse. Gustave Fouillaron reste un inventeur, un assembleur et ne passe pas le cap de constructeur automobile de grande série : « le succès relatif dans le monde de l'automobile conduit son inventeur à s'orienter de plus en plus vers les applications industrielles de son système qui devient transmission de vitesses progressive pour l'industrie ». 
Selon Calixte de Nigremont « Si en 1914, l’usine automobile Fouillaron cesse sa production (le secteur est devenu beaucoup trop concurrentiel), son fondateur continue ses multiples activités à Cholet et en Anjou. À la mercerie, s’est ajouté la bonneterie, le tricotage, et, entre-temps, Gustave Fouillaron, a été élu conseiller municipal (malgré une propension à « bouffer du curé » assez mal vue dans les Mauges). 
Celui qui s’éteint en 1933 est, plus qu’un notable, un chevalier d’industrie visionnaire ». En octobre 1938, Jean Andreau, président de la 1re section technique à la Société des ingénieurs de l'automobile, dans une conférence sur les transformateurs de vitesse continus, souligne : « la première réalisation connue est celle de Fouillaron et date du début de l'automobile il est probable que bon nombre de solutions, reprises avec l'emploi de nos connaissances et matériaux modernes, seraient capables de fournir des solutions à l'heure actuelle, sinon demain ». 
 Le 14 avril 1978, une voiture Fouillaron, exposée à la cité de l'automobile de Mulhouse, est classée au titre des objets historiques. Jean Maillard, dans son dernier chapitre, L'avenir d'une invention, relève dès 1940, aux États-Unis, une généralisation des premières boîtes automatiques. En 1957, Hub Van Doorne, pour son projet d'une petite voiture — dans la gamme de celles de Citroën, Renault et Fiat — envisage comme les voitures américaines, une transmission automatique : « DAF reprend en le modernisant le schéma Fouillaron, sous le nom de Varomatic ». 
Quelque 820 000 voitures de ce type sont produites jusqu'en 1975. Par son énorme potentiel en termes d'économie, de confort, de simplicité de conduite, bientôt le système hérité de Fouillaron, resurgit sous l'appellation CVT (Continuously Variable Transmission). Il devient le meilleur principe de transmission selon Gerhard Wagner de chez Mercedes. En 1996, la technologie CVT est proposée en option par neuf constructeurs européens. Ce sont les constructeurs coréens et japonais, sans préjugés acquis, qui vont le plus promouvoir le système. Jean Maillard conclut le dernier chapitre par : « Fouillaron n'aura pas été prophète en son pays ».
 Il boucle sa conclusion par la question qui s'impose : « L'invention de Fouillaron était-elle en avance sur son temps ? ». En 2015, Éric Fouillaron a récupéré, lors d'une vente aux enchères, un quadricycle à moteur construit par son arrière-grand-père au début du xxe siècle. Il prévoit de le remettre en état de marche en précisant : « Équipée d’une carrosserie tonneau en bois et d’un moteur monocylindre De Dion 6 HP, la voiture ne dépasse pas 20 km/h et encore en descente avec le vent dans le dos ». L'occasion pour cet arrière petit-fils de témoigner : « c’est en 1897, en réparant un fil d’un métier à tisser, que l’idée vint à mon arrière grand-père d’inventer un variateur de vitesse.
 Petit à petit, il imagina un système de transmission par poulie extensible monté dans une partie mécanique d’un moteur De Dion-Bouton. L’année suivante, il assembla une 4e roue sur un tricycle Léon Bollée. En 1900, il déposa son brevet de transmission par poulie extensible et décida de créer un atelier à Levallois Perret pour se lancer dans la production d’automobiles. » Dans Le Mystère Frontenac, François Mauriac évoque la modernité et la robustesse des voitures du constructeur choletais. Un des personnages du livre explique : « C'est une voiture Fouillaron... 
Je suis venu en trois heures de Bordeaux : 70 kilomètres, pas une anicroche ». Le buste de Gustave Fouillaron, est une remarquable réalisation du sculpteur choletais Charles Maillard. La famille en fait don à la Société des sciences lettres et arts (SLA). Depuis plus d'un demi-siècle, il reste exposé à la Chambre de commerce et d'industrie à Cholet dont Gustave Fouillaron est l'un des premiers membres devenu très vite le trésorier, puis vice-président ; en 1933, investi depuis 33 ans, il en est nommé président honoraire. En 2009, au château Colbert à Maulévrier, lors du concours de l'âge d'or de l'automobile, Claude Boutin, ingénieur en construction automobile et aéronautique, présente une Ferrari mythique des années 1958 à 1962. 
La particularité vient du fait qu'il l'a équipé d'un variateur, acheté au Canada, inspiré du changement de vitesse inventé par le choletais Gustave Fouillaron (Un modèle réduit qui toutefois fait deux mètres quatre-vingt, sur un mètre vIngt). Il en est à sa quatorzième voiture. Une rue de Cholet porte le nom de Gustave Fouillaron Au deuxième semestre 2021, Gustave Fouillaron intègre Le Panthéon de l'Anjou de Calixte de Nigremont.
 Source : Scènes d'automobiles avant guerre.WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Simon

lundi 2 septembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR MICHEL UN BON VENDEUR DOIT ETRE AUSSI UN BON "TOP MODELE" ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE AUTRE FACON DE SOULEVER SA VOITURE !!


 

CLUB5A - LE DESSIN DU MOIS - LÀ OÙ IL Y A DE LA GAZOGÈNE...

Lorsqu'il n'y a plus d'essence, il existe encore des solutions pour rouler. Pendant l'Occupation, de triste mémoire, le gazogène s'est même imposé comme LE moyen numéro un, équipant bon nombre de camions de livraisons et de voitures. il a même connu un regain d'intérêt juste après la crise de Suez. Et si, aujourd'hui, il revenait à la mode, poussé par les interdictions de circulation qui frappent Paris et bientôt d'autres villes en France ? 
Je vous l'accorde, c'est politiquement et techniquement incorrect, mais un peu d'humour ne peut pas faire de mal, non ? 
Allez, gaz... à fond !

Source :  Par François Roussel / robert heid

CLUB5A - LA SAVIEZ-VOUS ? ...En1940 les patrouilles routières de l'armée américaine étaient chargées de faire respecter les lois sur la circulation et la sécurité routière....

 

L'officier de la patrouille routière dans les années 1940 en train de démontrer le bulldoging d'une voiture : 
1. **Contexte historique** : 
 - Cette photo date des années 1940, une période marquée par la Seconde Guerre mondiale et des changements sociaux importants. 
 - La patrouille routière était chargée de faire respecter les lois sur la circulation et la sécurité routière. 
2. **L'officier et la voiture** : 
 - L'officier est probablement un membre de la patrouille routière du Texas, comme l'indique le texte sur le pare-brise de la voiture. 
 - La voiture est une Ford Standard Fordor de 1935, pas une Ford Model A, mais elle est de la même époque. 
3. **Bulldoging de la voiture** : 
 - Le terme "bulldoging" fait référence à une technique utilisée pour arrêter un véhicule en sautant sur son capot. 
 - Cette technique était dangereuse et rarement utilisée dans la pratique, mais elle était parfois enseignée aux officiers pour des situations extrêmes. 
4. **Staged ou réel ?** : 
 - Certains pensent que cette photo est tirée d'un film ou d'une séance d'entraînement. 
 - D'autres suggèrent que c'était une mise en scène pour montrer les compétences des officiers. 
5. **Réflexions supplémentaires** : 
 - La destruction d'une moto ancienne pour une simple photo est déplorable pour certains. 
 - Si seulement nous pouvions remonter dans le temps et demander au conducteur quel type d'huile est la meilleur ! 
En somme, cette image capture un moment fascinant de l'histoire des forces de l'ordre et de l'automobile. 
Source : Màk Çÿme Rìche Chãr

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CHARGEMENT D'UNE BUICK EN 1929 DANS UN TRAIN !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Une casse devenue un véritable musée...

 

C’est l’événement de la rentrée: la vente spectacle de la collection de l’Américain Rudi Klein... Il faut se rendre à l’évidence. Il reste encore des dizaines et des dizaines de voitures de collection abandonnées, ici et là, et dont l’existence n’est connue que de quelques personnes. C’est ce que nous enseigne la vente spectacle en octobre prochain d’une casse pas comme les autres située à Los Angeles et entourée de barbelés et de cactus. Comment cela est-il encore possible à l’ère de l’information en continu, des réseaux sociaux et des drones? 
 Depuis la dispersion des collections Baillon (France) et Medlin (États-Unis) qui avaient fait grand bruit, on pensait pourtant que ces découvertes relevaient du passé. Dans le premier cas, il s’agissait de la vente de 59 machines dont la Ferrari 250 GT Spyder California ayant appartenu à Alain Delon remisée depuis quarante ans sous un fatras de draps et de vieux magazines et, dans le second cas, de vingt Ferrari détruites ou passablement amochées lors du passage du cyclone Harvey en 2004 sur le littoral sud des États-Unis. La source ne se tarira donc jamais?
 Au milieu du mois d’août, à quelques heures de ses ventes phares de Pebble Beach, dans l’effervescence de la semaine du concours d’élégance californien, la maison RM Sotheby’s annonçait la dispersion, à l’automne prochain, de la collection de l’Allemand Rudi Klein. Arrivé en Amérique du Nord à la fin des années 1950, l’homme avait commencé sa carrière comme boucher avant de se tourner vers le commerce de voitures européennes, par le biais d’une casse installée dans la banlieue sud de Los Angeles. Portant la bannière «Porsche Foreign Auto», son affaire se concentrait principalement sur les machines venant de la marque des voitures de sport de Zuffenhausen. À force d’amasser des véhicules en fin de vie, accidentés ou en panne, les lieux ont fini par devenir une véritable caverne d’Ali Baba. Par manque de place, Rudi Klein finit par ériger des échafaudages pour stocker les voitures en hauteur, sur plusieurs niveaux.
 Certaines, restées à l’extérieur cuisent depuis plusieurs décennies sous le soleil de Californie. Elles sont dans un état de décrépitude avancé. De la marque Porsche, on trouve des 356, le premier modèle du constructeur, mais également un nombre impressionnant de 911. Ses origines allemandes s’expriment aussi à travers une forte représentation de Mercedes. Des Pagode alignées comme à la parade côtoient des paquets de roadsters R107, identiques à celui que Bobby Ewing conduisait dans la série Dallas. On ne compte plus le nombre de caisses désossées. Au temps de sa splendeur, le Porsche Foreign Auto était devenu l’endroit rêvé pour celui qui avait besoin d’une pièce pour sa 911 de 1968 ou sa Mercedes 280 SL de 1970. Le casseur avait pris soin de démonter la plupart des voitures et de stocker les pièces détachées - moteurs, jantes, tableau de bord, sièges -, sur des étagères à plusieurs niveaux, comme chez Ikea. 
Ceux qui l’ont pratiqué racontent aujourd’hui que le maître des lieux, aussi excentrique que bourru, éconduisait les curieux. Rien n’a bougé depuis que Klein, décédé en 2001, a laissé deux fils et une veuve. En raison d’un inventaire en cours, il est impossible pour le moment de connaître le nombre de véhicules mais ils sont plus d’une centaine. On se pince tellement ce spectacle paraît à peine croyable. Si de nombreuses voitures ont été stockées dehors, d’autres ont été conservées sous des hangars. S’il n’était pas facile, Rudi Klein était loin d’être fou. Juste passionné. Il savait ce qu’il avait entre les mains. Les véhicules en mesure d’être réparés ou restaurés ont été préservés pour la plupart sous des bâches. C’est ainsi que dans un coin, un alignement de Porsche 356 coupé et cabriolet côtoie des Mercedes 300 SL roadster et coupé des années 1950, dont une rare version à carrosserie aluminium. De la firme à l’étoile, la star est sans conteste le coupé 500 K à compresseur ayant appartenu au champion allemand Rudolf Caracciola. 
Certains estiment que ce morceau d’histoire, qui a remporté sa classe au concours d’élégance de Pebble Beach de 1978, pourrait valoir plus de 10 millions d’euros. Restaurée dans les années 1960, la Mercedes a été préservée des aléas du temps. La collection de Rudi Klein comporte d’autres pépites: une paire de Maybach d’avant-guerre; l’unique Iso Grifo A3/L prototype carrossée en spyder par Bertone en 1967; une Facel Véga; quelques BMW 502 et 507; six Lamborghini Miura; une Ferrari 365 GTC/4 et le dernier exemplaire survivant des sept Horch 855 Spezial Roadster jamais construits. Ce véhicule aurait appartenu à Eva Braun, la compagne d’Adolf Hitler. À ce stade, d’autres révélations ne sont pas impossibles. 
Source : le figaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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