mardi 16 juillet 2024
CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Dans les année 1970 était à vendre une vraie Ferrari 250 GTO !!
A tel point qu'on retrouvait certains de ces 36 exemplaires à vendre moyennant des prix dérisoires, même s'il faut évidemment relativiser le terme "dérisoire" en rappelant que le dollar n'a plus du tout la même valeur depuis son temps. Neuve en 1962, une Ferrari 250 GTO valait 18 500 dollars à la vente. A l'époque, c'était tout de même quasiment dix fois le prix d'une grande berline américaine. Et cette image trouvée sur Twitter montre une annonce pour le châssis numéro 4757 probablement publiée au milieu des années 70 dans un magazine spécialisé.
Source : autoplus.fr-carshowclassic
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La collection de la famille Grimaldi en Alsace...
Jusqu’au 13 novembre prochain, un pan de l’histoire de la famille du prince Albert II de Monaco s’expose au musée de Mulhouse avec la présence d’une vingtaine de véhicules de la collection du prince de Monaco.
Voici deux bonnes raisons de visiter le Musée national de l’automobile de Mulhouse. En plus de (re)découvrir la richesse de cette collection constituée par les frères Schlumpf au cours des années 1950 et 1960 - on y trouve notamment le plus grand rassemblement de Bugatti au monde -, le musée alsacien accueille jusqu’au 13 novembre prochain une vingtaine de véhicules provenant de la collection privée du prince de Monaco. Certaines n’ont jamais été vues auparavant.
L’histoire de la principauté de Monaco est étroitement liée à l’automobile. Passionné par les techniques nouvelles, le prince Albert 1er lance les premières compétitions motorisées au début du XXe siècle. En janvier 1911, Alexandre Noghès et Gabriel Vialon créent le premier Rallye automobile Monaco, qui va devenir le fameux Rallye automobile Monte-Carlo. Louis II se glisse dans les pas de son père Albert 1er.
Sous son impulsion, les voitures de grand prix commencent à rugir dans les rues de la principauté à partir de 1929. Le premier vainqueur est l’Anglais Williams, au volant d’une Bugatti 35.
En 1950, la deuxième course du premier championnat du monde de F1 se tient sur les rives de la Méditerranée. Elle est le théâtre de la première victoire de l’Argentin Juan Manuel Fangio dans la discipline.
Portes échancrées et siègesen osier pour aller à la plage
Le Rallye Monte-Carlo et le Grand Prix de Monaco sont les deux épreuves sportives les plus réputées du calendrier annuel, celles que les pilotes rêvent d’accrocher à leur palmarès.
L’exposition en fait largement l’écho à travers la présence d’affiches d’époque et d’objets. Mais le cœur de cette exhibition, ce sont les voitures provenant de la collection privée de la famille Grimaldi. C’est le prince Rainier III qui a commencé à collectionner les véhicules. En plus des modèles de la famille qu’il conserve, le garage s’enrichit d’achats coups de cœur.
Voitures prestigieuses, sportives ou populaires: toutes les nations sont représentées.
À partir de 1993, le prince Rainier III, qui a transmis le virus de l’automobile à ses enfants, présente sa collection au public. Depuis sa disparition, son fils, SAS Albert de Monaco, a pris la relève, prenant soin de la développer. À Mulhouse, les visiteurs peuvent ainsi découvrir que l’une de ses premières voitures fut une originale Lotus Seven IV. Pas étonnant que ce féru de sport qui a participé cinq fois aux Jeux olympiques d’hiver, entre 1988 et 2002, comme pilote du bobsleigh monégasque, ait choisi le petit roadster anglais pour ses premières armes de conducteur.
Mais sa préférée reste la Renault Floride de 1959, qui lui renvoie des souvenirs d’une période heureuse. C’était la voiture de sa mère, la princesse Grace.
De la même époque que le cabriolet français, on trouve une exotique Fiat 600 Jolly. Cette voiture de plage avec ses portes échancrées et ses sièges en osier était utilisée pour se rendre à la plage. Ce modèle était très prisé de la jet-set et des grands de ce monde. Autre modèle exposé, la Lexus LC que le prince Albert a fait carrosser en landaulet pour son mariage, en juillet 2011, avec Charlene Wittstock.
Ce modèle hybride, qui souligne l’engagement écologique du prince, côtoie d’autres véhicules d’apparat de la famille princière. Une Daimler pose ainsi à côté de berlines Mercedes des années 1950.
Le véhicule le plus sensationnel n’est pas une automobile mais un deux-roues. Il s’agit d’une réplique de la motocyclette Beeston Humber qu’Albert Ier conduisait en 1903. Au guidon de cette machine de 2,75 ch capable d’atteindre 40 km/h, le prince a sillonné la France incognito, réalisant des Monaco-Paris en passant par la Creuse ou le Jura. Cela lui valut quelques péripéties. Le 20 mai 1903, alors qu’il n’avait plus que 90 km à parcourir avant de rejoindre la capitale, il eut un accident. Sa machine heurta un chien. Blessé, il fut transporté sur la charrette d’un paysan chez un médecin de Provins!
Source/ Sylvain Reisser-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....DEUX PILOTES FRANCAIS VAINQUEURS EN 1953 LORS DE LA CARRERA PANAMERICANA...
La Studebaker a été Championne en 1953 (type Nascar 460 ch) pilotée par Pierre de Thoisy et Philippe Lemoine, doubles vainqueurs de la CARRERA PANAMERICANA - MEXICO...
CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - FIAT 1500 : L'AÉRODYNAMISME AU POUVOIR !!
A son arrivée, en 1935, la 1500 A étonne pour ses formes effilées et ultramodernes d’inspiration américaine. Mais sous sa robe charmante, la plus innovante des Fiat d’avant-guerre cache un grand nombre de nouveautés : premier modèle de la marque aux suspensions avant indépendantes tirées de l’original brevet Dubonnet, elle est également mue par le plus petit six cylindres au monde, conçu de façon atypique : en ajoutant deux cylindres au moteur d’une Balilla !
Aérodynamique, sinon rien. Au cours des années 30 s’imposent des voitures aux lignes souples, modernes, dessinées par le vent. La mode vient des Etats-Unis, où Chrysler a présenté l’étonnante Airflow en 1934, et s’est vite répandue dans tout l’Ancien Continent. Il n’y a plus un seul constructeur européen qui n’arbore pas, au milieu de sa gamme, un véhicule de ce type. En France, Citroën ose la Traction, Peugeot les 402 et 202. En Allemagne, Volkswagen donne le jour à la Coccinelle. En Italie, Lancia présente son Aprilia et Fiat sa 1500, à ne pas confondre avec la plus célèbre 1500, sœur jumelle de la 1300, arrivée en 1961 et produite jusqu’à 1967.
Le modèle originel est donc souvent désigné 1500 6C, pour six cylindres, afin de le distinguer et d’en souligner l’une des spécificités mécaniques. Mais Fiat n’utilisera jamais officiellement cette appellation. Un centre de gravité très bas Lorsque le Salon de Milan ouvre ses portes, le samedi 9 novembre 1935, le public a du mal à en croire ses yeux. Fiat dévoile sur son stand cette 1500 qui va faire vieillir d'un coup tout le reste de sa gamme, articulée autour de la 508 Balilla, des 518 à moteurs 1 750 et 2 000 cm3 et de la 527 dotée d’un 2 500 cm3. Cette originale berline poussera la concurrence à réagir. La Lancia Aprilia, par exemple, considérée comme le chef-d’œuvre de Vincenzo Lancia, ne débarquera qu’un an plus tard.
Certes encore plus innovante (carrosserie autoporteuse, quatre roues indépendantes…), mais postérieure à la 1500. A cette époque, la production de Fiat est pour le moins traditionnelle : châssis à longerons et traverses, mécaniques à soupapes latérales, courbes simples et consensuelles. La 1500 bouleverse tous ces principes. Elle a une ligne aérodynamique (Cx 0,50 contre 0,70 pour une Balilla) au pavillon courbé, un pare-brise incliné et des phares en forme de gouttes d’eau partiellement incorporés aux ailes. Un design que l’on doit à Mario Revelli di Beaumont. Son centre de gravité est très bas grâce à son châssis à traverse centrale qui intègre l’arbre de transmission, en deux tronçons. La suspension avant adopte, pour la première fois dans l’histoire de Fiat, les roues indépendantes suivant le brevet Dubonnet.
Le moteur, comme les mesures d’alésage et course le confirment, n’est autre que le bloc 108 CS de la Balilla Sport (donc à soupapes en tête) augmenté du 50 % par l’adjonction de deux cylindres !
Le plus petit 6 cyindres au monde
De nos jours, on parle souvent de "moteurs modulaires", des blocs ayant une origine commune malgré un nombre de cylindres différent : Fiat y avait déjà pensé il y a plus de 80 ans ! A sa sortie, et pour longtemps, ce sera le plus petit six cylindres au monde. Par rapport à une Ardita 1750 à quatre cylindres, la 1500 est plus puissante (45 ch contre 40) et profite surtout de sa silhouette aérodynamique pour atteindre les 115 km/h (contre 100). La publicité, qui aime bien exagérer les formes, rend la 1500 encore plus effilée qu’elle ne l’est en réalité. De nombreux exemples de ces croquis publicitaires ont récemment été dévoilés lors d’une attrayante exposition temporaire au Centro Storico Fiat.
De plus, la présence du châssis séparé permet à un grand nombre de carrossiers de se lancer aisément dans la conception de hors-séries du plus bel effet. Fiat réalise de son côté une petite série de cabriolets deux places disposant de portes suicides.
Source : gazoline.net/whiteonyx
Aérodynamique, sinon rien. Au cours des années 30 s’imposent des voitures aux lignes souples, modernes, dessinées par le vent. La mode vient des Etats-Unis, où Chrysler a présenté l’étonnante Airflow en 1934, et s’est vite répandue dans tout l’Ancien Continent. Il n’y a plus un seul constructeur européen qui n’arbore pas, au milieu de sa gamme, un véhicule de ce type. En France, Citroën ose la Traction, Peugeot les 402 et 202. En Allemagne, Volkswagen donne le jour à la Coccinelle. En Italie, Lancia présente son Aprilia et Fiat sa 1500, à ne pas confondre avec la plus célèbre 1500, sœur jumelle de la 1300, arrivée en 1961 et produite jusqu’à 1967.
Le modèle originel est donc souvent désigné 1500 6C, pour six cylindres, afin de le distinguer et d’en souligner l’une des spécificités mécaniques. Mais Fiat n’utilisera jamais officiellement cette appellation. Un centre de gravité très bas Lorsque le Salon de Milan ouvre ses portes, le samedi 9 novembre 1935, le public a du mal à en croire ses yeux. Fiat dévoile sur son stand cette 1500 qui va faire vieillir d'un coup tout le reste de sa gamme, articulée autour de la 508 Balilla, des 518 à moteurs 1 750 et 2 000 cm3 et de la 527 dotée d’un 2 500 cm3. Cette originale berline poussera la concurrence à réagir. La Lancia Aprilia, par exemple, considérée comme le chef-d’œuvre de Vincenzo Lancia, ne débarquera qu’un an plus tard.
Certes encore plus innovante (carrosserie autoporteuse, quatre roues indépendantes…), mais postérieure à la 1500. A cette époque, la production de Fiat est pour le moins traditionnelle : châssis à longerons et traverses, mécaniques à soupapes latérales, courbes simples et consensuelles. La 1500 bouleverse tous ces principes. Elle a une ligne aérodynamique (Cx 0,50 contre 0,70 pour une Balilla) au pavillon courbé, un pare-brise incliné et des phares en forme de gouttes d’eau partiellement incorporés aux ailes. Un design que l’on doit à Mario Revelli di Beaumont. Son centre de gravité est très bas grâce à son châssis à traverse centrale qui intègre l’arbre de transmission, en deux tronçons. La suspension avant adopte, pour la première fois dans l’histoire de Fiat, les roues indépendantes suivant le brevet Dubonnet.
De plus, la présence du châssis séparé permet à un grand nombre de carrossiers de se lancer aisément dans la conception de hors-séries du plus bel effet. Fiat réalise de son côté une petite série de cabriolets deux places disposant de portes suicides.
Source : gazoline.net/whiteonyx
lundi 15 juillet 2024
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Voitures anciennes en majesté à la cité de Carcassonne...
Alors que le peloton du Tour de France s’apprête à passer dans l’Aude (ce sera à Gruissan, avec un départ mardi), un autre tour a précédé la Grande Boucle ce samedi 13 juillet.
Pas de vélo cette fois mais des véhicules rutilants qui savent attirer l’œil, et pour cause: tous ont été fabriqués avant 1945.
Comme prévu, la 35e édition du Tour de l’Aude des voitures anciennes a pris son départ depuis les abords de la Cité de Carcassonne (porte Narbonnaise).
Au fond, deux types de patrimoine se rencontraient, l’un de pierre et l’autre mécanique, et il y a toujours quelque chose d’à la fois magique et cohérent de voir ainsi ces deux univers se côtoyer l’espace de quelques instants.
Les visiteurs (a fortiori photographes) étaient en tout cas ravis d’être présents à ce moment-là : ces 64 bijoux mobiles sont partis ensuite pour Narbonne et ses Halles.
Jusqu’à mardi après-midi, ils sillonneront aussi les Hautes Corbières et le Minervois, et s’autoriseront même un crochet par l’Ariège.
Source : lindependant.fr - Photos et vid2o PL - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...AMERICAN MOTORS CORPORATION (AMC) A ETE REPRIS PAR RENAULT EN 1979...
Il y a 70 ans cette année (1954), American Motors Corporation (AMC) a été créé par la fusion de Nash et Hudson. Il devient le quatrième constructeur américain.
AMC a laissé une empreinte indélébile sur l’automobile américaine. À partir de l’année 1958, les bannières Nash et Hudson furent abandonnées en faveur du nom Rambler très populaire.
La Pacer, surnommé l’Aquarium, est introduite en 1975 (voiture de Coluche dans le film L'Aile ou la Cuisse de 1976). AMC voit, à la fin des années 1970, ses ventes décliner face à la concurrence des trois grands constructeurs américains et japonais.
American Motors Corporation dut s’allier puis être repris par Renault en 1979. Mais face aux difficultés du groupe français, AMC fut revendu à Chrysler en mars 1987. Ce dernier cessa l’utilisation de la marque AMC et les modèles venant de Renault (Alliance et Encore) pour ne retenir que la division Jeep et la marque Eagle.
Source : Rva66 Canet
CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - BSA ROCKET 3...L'UNION FAIT LA FORCE !!
BSA Rocket 3 de 1971.
Je vous raconte pourquoi cette moto est importante.
Avant d'arriver chez Triumph avec la voluptueuse 3 cylindres de 2.3, le nom Rocket 3 a été donné à une BSA, marque qui était alors dans le giron de Triumph et avec laquelle elle partagea ce moteur. Ce qui n'empêche pas la Rocket 3 d'avoir sa propre identité, que l'on vous détaille ci-dessous.
BSA Rocket 3, sa vie, son œuvre
L'union fait la force. En Grande-Bretagne, on en est persuadé et on sent venir, dès le milieu des années 60, le péril japonais. Les British ont beau être snobs, ils sont conscients de leurs limites et notamment d'être tributaires de vieux moteur bicylindres, qu'ils font évoluer tant bien que mal, mais qui souffrent de vibrations et d'inertie au fur et à mesure que le marché américain (alors leur principal débouché) leur demande toujours plus de cylindrée et de chevaux.
De fait, BSA et Triumph imaginent un nouveau bloc 3 cylindres (oh, rien de révolutionnaire : il s'agit simplement d'un bloc de Triumph 500 Tiger ouvert et élargi pour caser un cylindre de plus). Les premiers prototypes tournent en 1965, mais les Anglais détestant la simplicité, on fait en sorte que les moteurs soient produits chez BSA puis assemblés chez Triumph.
Les moteurs diffèrent d'ailleurs, contre toute attente : BSA l'installe dans un cadre double bercau et on favorise le refroidissement en l'inclinant vers l'avant de 12°, tandis que ce même moteur est accroché à une épine dorsale et implanté bien droit chez Triumph.
Ce moteur était bien né, en témoignent des victoires au Tourist Trophy en 1970 et un triplé à Daytona ainsi qu'une victoire au Bol d'Or en 1971. La BSA Rocket 3 sera produite de 1968 à 1972, tandis qu'avec ce même moteur, les Triumph Trident T150 et T160 (démarreur électrique, frein à disque à l'arrière et sélecteur à gauche !) existeront jusqu'en 1976.
BSA Rocket 3, trois choses qui m'ont fait kiffer
Déjà, se retrouver sur une machine anglaise au blason mythique, à l'instar de la Birmingham Small Arms (BSA, donc), c'est toujours un moment d'émotion !
Et celui-ci est décuplé car la Rocket 3 est tout simplement l'une des meilleures motos anciennes qu'il m'ait été donné d'essayer. Voici pourquoi :
Déjà, regardez-moi ça ! Entre le cadre peint d'un délicat gris clair, le petit réservoir goutte d'eau qui alterne le chrome et l'orange profond, le tout subtilement mis en valeur par un logo en bakélite translucide, comment ne pas tomber sous le charme de cette beauté ?
Et regardez-moi le "camembert" troué qui recouvre les filtres à air des trois carburateurs ?
Un coup de kick et ça part. Contrairement au vertical twin, le démarrage du trois cylindres en ligne culbuté (les tiges sont bien planquées dans la partie arrière du bloc) est plus simple. Et là, m'sieurs-dames, j'annonce grand moment d'émotion ! Cette sonorité est tout simplement magistrale : c'est Pavarotti qui se gratte la gorge à bas régime, c'est une Porsche 911 à mi-régime et ça tire dans les aigus comme un V12 Ferrari Colombo à pleine charge.
Selon la modulation de la poignée de gaz, la Rocket 3 vous fait passer d'une petite balade à la Chevauchée des Walkyries !
Et ce moteur est aussi bon qu'il sonne juste. Ses valeurs ne sont pas ébourrifantes (58 ch à 7250 tr/mn, 69 Nm à 6900 tr/mn), mais son caractère est magique ! Rapeux mais souple, coupleux dès le régime de ralenti, il tire le meilleur de la démultiplication judicieuse de sa boîte 4 (à droite) pour offrir une belle allonge. Comme le châssis est bien équilibré et que le freinage à tambours, s'il est bien réglé, n'est pas effrayant, on a la une moto qui vous balance des tonnes de plaisir sur le réseau secondaire.
Une BSA Rocket 3 aujourd'hui, combien, comment ?
Elle ne court pas les rues, la Rocket 3 et en trouver une propre, ça n'arrive pas tous les jours. Déjà, il va falloir se décider si vous préférez le modèle "européen" (1968 - 1970), aux formes plus carrées, ou le modèle redessiné pour le marché américain (1971 - 1972), tel celui qui illustre la photo principale, et que l'on reconnaît avec son cadre crème et son petit réservoir "goutte d'eau". Un bel exemplaire peut prétendre à quasiment 20 000 €, puisque déjà un bloc moteur seul, en état de marche, se revend quasiment 4000 €.
Si vous êtes plus attaché aux sensations mécaniques qu'à l'histoire, alors une belle Triumph Trident T150 sera à vous contre de 9 à 12000 € voire près de 40 000 pour une Triumph Hurricane X75 qui, elle aussi, a eu le même bloc. Et une fois dans votre garage, on fera attention à l'état de la carburation, tandis qu'avec 11 plants de joints internes, une petite goutte d'huile baladeuse est forcément possible, voire inévitable... Sachez aussi que le cylindre central est mal ventilé, notamment en ville. Enfin, on note que 5897 BSA ont reçu ce moteur, contre 19179 Triumph T150, 7104 Triumph T160 et 1048 X75...
Source : lamotoclassic.com/
dimanche 14 juillet 2024
CLUB 5A - REVUE DE PRESSE - Le 35e Tour de l’Aude des voitures anciennes va faire son show...
La 35e édition du Tour de l’Aude des voitures anciennes démarre ce samedi matin 13 juillet de la Cité de Carcassonne.
64 participants sont au départ, direction les Halles de Narbonne. Dimanche ils prendront la route pour les Hautes Corbières, lundi pour l’Ariège et mardi pour le Minervois.
Pour cette 35e édition, le Tour de l’Aude réunit 64 voitures d’avant 1945, basées pendant quatre jours, de samedi à mardi, à Carcassonne, avec à chaque fois une étape différente pour découvrir le patrimoine local.
Ils ne prendront pas l’autoroute mais plutôt les chemins de traverse avec leur Amilcar, Bugatti type 23, Fiat Balila, Peugeot 301 ou autre Hotchkiss.
Ce samedi, les participants s’élanceront vers 8 h 30 de la porte Narbonnaise, à la Cité de Carcassonne, pour rejoindre les Halles de Narbonne, un petit détour par Narbonne Plage et retour au sein du chef-lieu audois.
Le lendemain, ils iront découvrir les routes des Hautes Corbières en passant par Termes (10 h), Peyrepertuse, Cucugnan, Limoux (13 h) avant de profiter de l’embrasement de la Cité.
Lundi, c’est du côté de l’Ariège que les passionnés de vielles mécaniques sont attendus, plus exactement à Camon (11 h), le village aux 100 rosiers.
Ils reviendront par Rennes-le-Château (16 h 30) où ils se plongeront dans la légende de l’abbé Saunière. Enfin, mardi, direction le Minervois et le domaine Sainte-Eulalie au cœur du cru la Livinière (10 h 30), avec des points de vue et des panoramas à couper le souffle, avant de faire une halte au château de Cavanac (13 h).
Encore une fois, les bénévoles de l’association organisatrice se sont pliés en quatre pour faire de ce Tour de l’Aude des voitures anciennes un événement remarquable, qui fait partie des grands rendez-vous de l’été.
Source : l'independant - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - 35° TOUR DE L'AUDE - LE JOUR D'AVANT .....
Le 35éme Tour de l’Aude …du 13 au 16 juillet 2024 c’est « LE » grand événement de l’année pour le club des 5A Carcassonne ! Pour les participants le programme proposé par le « STAF » de ce rallye ne sera pas de tout repos de plus, il faudra compter avec la chaleur et peut une météo orageuse…et oui nous sommes dans le sud donc l’ambiance sera chaude !
La veille du jour « J », il est important pour les organisateurs de recevoir et accueillir véritablement d’une manière conviviale chaque équipage et de vérifier à ce chacun de manque de rien et que les véhicules soient sécurisés sur le parking de l’établissement hôtelier qui devient notre partenaire pendant pratiquement une semaine.
Ce rallye, cette année, partira sur les routes de notre département de l’Aude et l’ensemble des bénévoles de l’association du club 5A est fier d’accueillir les pilotes et copilotes et de répondre aux interrogations ou questions que pourraient se poser sur le déroulement de ces 4 jours.
Vous le savez la préparation d’une épreuve comme le Tour de l’Aude qui réunit un plateau prestigieux de voitures d’exception qui à ce jour a une réputation dépassant les frontières de l’hexagone, ce rallye qui chaque année accueille entre 60 et 70 voitures et entre 120 et 150 personnes suivant les millésimes se prépare pratiquement une année à l’avance et chaque détail est revu et voir corrigé si cela ne conviendrait pas à l’esprit du rallye..
Deux personnes sont aux manettes et maîtrise d’une main de maitre l’organisation, j’ai nommé Jean Guilhaumon et Régis Arnaud un duo complémentaire et sans failles qui travaillent pour que chacun trouve du plaisir à effectuer ces belles balades dans les meilleurs conditions possibles et sans prise de tète..
Le maître mot pour ce rallye est : Prenez du plaisir !
Bien sur, derrière le décor, vous avez toutes les petites mains …les invisibles de l’association qui œuvrent et qui sans ces bénévoles rien ne seraient possibles !
Nous souhaitons à tous les participants un excellent rallye, prenez du plaisir sur les routes du sud de la France où vous trouverez des paysages somptueux, nous vous donnons rendez-vous comme à l’accoutumée au château de CAVAGNAC pour le repas de clôture et le final de cet événement !
P-L
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