vendredi 29 mars 2024
CLUB5A - AUTO DE LEGENDE - RENAULT AVANTIME ...LE MAL AIME !!
RENAULT AVANTIME : RETOUR SUR L’OVNI SIGNÉ MATRA...
Quel drôle d’oiseau que ce Renault Avantime. Mal aimé, décrié, moqué, il représente une période d’égarement du losange. Mais aujourd’hui, il prend sa revanche.
En 1998, Louis Schweitzer, PDG de Renault, et Philippe Guédon, PDG de Matra Automobiles, signent un accord de partenariat. Il prévoit le développement par Matra et la commercialisation par Renault d’un nouveau produit haut de gamme, véhicule d’image précurseur du design de la gamme à venir, qui doit séduire une clientèle aisée, moderne et anticonformiste.
Il doit prendre le relais de l’Espace sur les chaînes de Romorantin et de Theillay. Il reprendra le nom du concept dont il est directement issu : Avantime.
Un look futuriste
Son design original se différencie finalement assez peu de l’Espace III et de la limousine Vel Satis avec qui on le confondra souvent. Au-delà des aspects esthétique et pratique, il convient de souligner les qualités routières très élevées de ce modèle 2 : il fut essayé en novembre 2008 sur circuit par les animateurs de la célèbre émission anglaise Top Gear, bluffés par la tenue de route de l’Avantime.
Tout ça pour ça…
L’Avantime n’aura su convaincre que peu de personnes. Pourtant, son design se rapproche fortement de la Mégane 2 qui elle s’est très bien vendue. Peut être était-ce à cause du prix pas forcément avantageux, ou du fait d’avoir fait le choix d’un moteur V6 essence à l’époque où le diesel était le carburant le plus populaire. Précocement abandonné par Renault, seuls 8 557 exemplaires de ce modèle ont été produits. La commercialisation et la maintenance ont été assurées par le réseau Renault.
Malgré l’exceptionnel écho de ce véhicule inhabituel dans la presse professionnelle internationale, son remarquable confort et son agrément de conduite, l’Avantime se révèle un échec commercial, handicapé par son atypisme déroutant autant que par son positionnement haut de gamme que sa finition aléatoire rend pourtant inaccessible. Il reste, en revanche, le précurseur d’une longue lignée de véhicules mêlant les inspirations, que l’on nommera crossover.
Source : Martin Businaro- Crédit photo : netcarshow.com-autoplus.fr
jeudi 28 mars 2024
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Jody Scheckter vend sa collection de monoplaces....
ENCHÈRES - Champion du monde de F1 1979, le pilote sud-africain se sépare de ses monoplaces lors de la vente RM Sotheby’s de Monaco, les 10 et 11 mai prochains. Jody Scheckter appartient à la catégorie des pilotes sentimentaux. Sacré champion du monde de Formule 1 en 1979, le Sud-Africain s’était attaché à posséder la plupart des monoplaces qu’il avait pilotées en grand prix. À 74 ans passés, ce pilote qui a raccroché casque, gants et combinaison au soir de la saison 1980 a décidé de se séparer de sa collection. La maison RM Sotheby’s a été mandatée pour la disperser, les 10 et 11 mai prochains. Tout un symbole, c’est à Monaco que la collection du champion du monde sud-africain sera proposée.
La pièce la plus importante de la collection est ni plus ni moins que la Ferrari 312 T4 qui permit à Scheckter de remporter le championnat du monde 1979 et au volant de laquelle il remporta le grand prix de Monaco, la même année. Au volant de la monoplace de Maranello, il gagna également les grands prix de Belgique à Zolder et d’Italie à Monza. À l’heure des comptes, Scheckter devançait de 4 points son équipier Gilles Villeneuve, vainqueur à deux reprises en 1979.
Scheckter remettait son titre en jeu la saison suivante mais il se heurtait à la montée en puissance de la Williams d’Alan Jones et à la Brabham de Nelson Piquet. À la fin de l’année 1980, Scheckter prenait sa retraite sportive à 30 ans. C’est en 1982 qu’il acquiert la Ferrari 312 T4 qui lui a permis de figurer au palmarès du championnat du monde de Formule 1. La monoplace rouge n’a jamais été pilotée par un autre champion que Scheckter. Pour célébrer les 40 ans de son titre, il la sortit de sa retraite pour effectuer quelques tours à Monza en 2019.
Ce monstre sacré de l’histoire de la F1 est estimé entre 5 250 000 euros et 6 500 000 euros.
La carrière du Sud-Africain aura été fulgurante. Elle débute au sein de l’écurie McLaren alors qu’il n’a que 22 ans. Pilote impétueux, Scheckter ne tarde pas à s’attirer les foudres de ses rivaux et des médias. Au grand prix de France 1973, lors de son troisième grand prix, il s’accroche avec le champion du monde en titre Emerson Fittipaldi. La semaine suivante, il déclenche un énorme carambolage après avoir perdu le contrôle de sa monoplace. Son team manager lui conseille de se cacher dans le motor-home pour éviter de se faire lyncher par les autres pilotes. Il est exclu des quatre courses suivantes. De sa période McLaren, il possède la monoplace M19A au volant de laquelle il a débuté en grand prix à l’occasion de la manche américaine de Watkins Glen.
Sa collection comporte aussi une McLaren M21 de 1972 et la McLaren M23 qui permit à Peter Revson de remporter le grand prix d’Angleterre 1973.
À partir de la saison 1974, Scheckter rejoint l’écurie anglaise Tyrrell, à la place de Jackie Stewart. Le pilote s’est assagi et grâce à une nouvelle approche de la compétition, il obtient des résultats. Il signe deux premières victoires et en 1975, il devient le premier Sud-Africain à remporter le grand prix de son pays. En 1976, il remporte une victoire au volant de l’inédite Tyrrell P34 à six roues. L’exemplaire de la collection Scheckter a été fabriqué en 2008 à partir du châssis numéro 8 et d’un stock de pièces conservé. Il est estimé entre 450 000 et 650 000 euros.
À la surprise générale, Scheckter quitte Tyrrell à la fin de la saison 1976 pour aller chez Wolf. Le Sud-Africain réussit l’exploit d’imposer sa nouvelle monoplace lors du premier grand prix de la jeune écurie autrichienne. Il gagne deux autres courses en 1977: Monaco et Mosport au Canada. À la fin de la saison, Scheckter termine sur la deuxième marche du classement du championnat.
La Wolf WR1 est estimée entre 450 000 et 650 000 euros.
La collection Scheckter propose également une Alfa Romeo Giulietta SZ de 1960 au volant de laquelle Ignazio Giunti a commencé sa carrière sportive.
Source : lefigaro.fr-Sylvain Reisser-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
mercredi 27 mars 2024
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Des françaises de la collection Mullin en vente....
ENCHÈRES - La maison Gooding & Company disperse quelques modèles du grand collectionneur américain décédé en septembre 2023. Fortune faite dans les assurances et passionné avec sa femme par la période Art Déco, Peter Mullin aura consacré une grande partie de sa vie à constituer l’une des plus incroyables collections de voitures françaises de l’âge d’or de la carrosserie tricolore. Il avait vidé nos granges de leurs trésors pour constituer à Oxnard, près de Los Angeles, un musée rassemblant les modèles qui font la fierté de la France. Sa collection comptait ainsi quelques monstres sacrés de la production française de l’entre-deux-guerres. Autour d’une scénographie inspirée des salons de l’automobile du Grand Palais, sa collection ouverte au public, sur rendez-vous, rassemblait plus de trente Bugatti dont une 57 SC Atlantic et la Brescia oubliée au fond du lac Majeur pendant soixante-dix ans.
C’est chez lui que l’on pouvait aussi admirer l’extravagante Hispano-Suiza H6 Xenia, l’élégante Talbot-Lago Grand Sport signée Saoutchik et la singularité de la Voisin C25 Aérodyne, en passant par la flamboyante Delahaye V12 Type 165 de 1939. C’est aussi chez Mullin que les carrossiers français, ayant pour nom Figoni & Falaschi, Franay, Henri Chapron, Henri Labourdette, Letourneur & Marchand, Pourtout, Saoutchik, Vanvooren, pouvaient se côtoyer.
Depuis son décès, sa femme et ses enfants ont décidé de faire le ménage dans la collection. La maison Gooding & Company a été chargée de disperser les pièces dont la famille Mullin ne souhaite pas conserver. Une première vente a eu lieu à Amelia Island en début d’année. Cette vacation a permis de se séparer d’une Bugatti 35C Grand Prix de 1925 mais aussi de l’une des cinq Delage D6 Grand Prix de 1946, châssis 880004 et de la Delahaye 175 GP de 1948.
De la marque Citroën dont Peter Mullin était passionné, la maison Gooding a vendu une Traction Avant 11B Coupé de 1938 et quatre DS à carrosserie spéciale Chapron: une DS19 Concorde et une DS 19 Dandy de 1963; une DS19 Majesty de 1965 commandée à l’époque par Louis Dreyfus; une DS21 Le Leman de 1965.
Le 26 avril prochain, dans le cadre du musée d’Oxnard, Gooding & Company va procéder à une deuxième vente. Elle comprend une Bugatti 57 C Aravis Special Cabriolet de 1937. Réalisé par le carrossier Gangloff, cet exemplaire fait partie des trois exemplaires survivants. Il avait été commandé par le pilote français Maurice Trintignant. Avec ce véhicule, Peter Mullin avait remporté sa catégorie au concours d’élégance de Pebble Beach, en 2005. Ce cabriolet est estimé entre 2,5 et 3,5 millions de dollars. Pour la même estimation, le catalogue propose une Hispano-Suiza J12 Cabriolet carrossée par Vanvooren en 1935. Cette vente est aussi l’occasion d’acquérir une Delage D8-120 habillée en cabriolet par Chapron en 1937, une Bugatti type 46 semi-profilée et quelques voitures dans leur jus et issues des réserves de la collection Schlumpf. Il s’agit d’une Bugatti type 40 break de chasse et de deux type 57 Ventoux.
Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info
mardi 26 mars 2024
CLUB5A - SALON AVIGNON-MOTOR LES 22-23-24 MARS 2024 ...L'EVENEMENT INCONTOURNALE !
Du 22 au 24 mars 2024, les amateurs de belles mécaniques avaient rendez-vous à Avignon pour l’événement incontournable de l’année : Motor Passion 2024. Organisé par Avignon Tourisme en collaboration avec l’Association des Amis du Circuit d’Avignon Vaucluse (ACAV). Motor Passion, s’est déroulé au Parc des Expositions d’Avignon.
Avec la participation de plus de 300 exposants et 100 clubs automobiles, le salon à offert une expérience unique aux visiteurs. Ces derniers ont eux l’opportunité de découvrir une large gamme de véhicules, de compléter leur collection de miniatures et de rencontrer des clubs spécialisés.
Une des attractions principales de cette édition a été l’exposition dédiée au centenaire de la marque MG. Depuis ses débuts en 1923 jusqu’à sa résurgence actuelle sous l’égide d’un groupe chinois, MG a marqué l’histoire de l’automobile avec ses modèles emblématiques. Les passionnés ont eux l’occasion de revivre l’épopée de cette marque légendaire grâce à la contribution de la Fondation Hervé, du MG Club de France et d’autres partenaires.
Le salon a réservé également une place de choix à l’histoire de la compétition automobile. Des véhicules légendaires des années 1900/1910 jusqu’aux exploits des femmes pilotes, l’exposition a retracé les moments forts de cette grande aventure sportive. L’ACAV, partenaire de longue date, à mis en lumière les Grands Prix Historiques d’Avignon et leur contribution à l’histoire du sport automobile.
Outre les expositions principales, Motor Passion 2024 a proposé une variété d’activités et de services pour tous les passionnés.
Des espaces de restauration, des ventes de véhicules de collection et d’accessoires, des expositions de motos classiques, des rencontres entre particuliers, sans oublier les stands dédiés aux sports mécaniques, offrent une expérience riche et diversifiée.
Le salon s’est positionné comme un événement incontournable dans le calendrier des passionnés et collectionneurs de véhicules motorisés.
En mettant en valeur l’histoire, la diversité et la passion qui animent le monde de l’automobile.
Pour les passionnés d’automobile, Motor Passion 2024 à Avignon à été l’événement à ne pas manquer.
Entre expositions prestigieuses, hommages aux marques emblématiques et rencontres avec des experts du domaine, ce salon a offert une expérience unique qui a combler les passionnés de tous âges.
Le Salon Motor Passion a célébré cette année son vingtième anniversaire, un événement dédié non seulement aux véhicules mais aussi à la passion qui les anime.
Source : avignon-et-moi-Photo : P-L
CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Le meilleur d’Alfa Romeo sous le marteau....
ENCHÈRES - L’étude Osenat disperse la splendide collection Alfa Romeo du Suisse Gérald Bugnon le 21 avril, à Fontainebleau. Les passionnés de voitures italiennes voient rouge. La maison Osenat est chargée de disperser une partie de la collection du Suisse Gérald Bugnon. Passionné d’Alfa Romeo, ce collectionneur a rassemblé quelques-uns des modèles parmi les plus emblématiques de la firme d’Arèse. Le 21 avril prochain, à son étude de Fontainebleau, Me Jean-Pierre Osenat va procéder à la vente de huit chefs-d’œuvre de la marque milanaise.
Le fleuron de cette collection est le sport-prototype Tipo 33.2 développé pour le championnat du monde des Marques de 1967. Après avoir trusté le podium des 24 Heures de Daytona 1968 dans la catégorie 2 litres, les prototypes acquièrent le surnom Daytona. C’est surtout en courses de côte que les 33.2 étoffent leur palmarès. Livrée neuve à l’importateur français de la marque, la SOFAR, l’exemplaire de la vente a permis à Ignazio Giunti de remporter la Ronde Cévenole de 1969.
La collection comprend également un exemplaire de TZ1. Il s’agit de la voiture exposée au salon de la voiture de course de Londres, en janvier 1965.
La voiture est dans un excellent état de préservation. C’est le cas également de la SZ Tonda qui n’est autre que l’ancienne voiture au volant de laquelle le Lyonnais Maurice Sauzay a remporté le Tour Auto 1980. Les amateurs de SZ n’auront que l’embarras du choix. Le catalogue comprend aussi l’un des 44 exemplaires de la SZ Coda Tronca. Me Osenat vend aussi la berline Giulietta Ti Série 1, la première Alfa de M. Bugnon et le modèle à l’origine de sa passion pour les machines ornées du Biscione. Autre pépite de la collection: l’un des prototypes de la Giulietta Spider réalisée par le carrossier italien Pininfarina. Enfin, la collection compte également une Giulietta Sprint Speciale Tipo 750 reconnaissable à son nez plongeant et une GTA préparée pour la course.
Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...
CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - LES MOTO-B.S.A.......ANGLAISE JUSQU'AU BOUT DES POIGNÉES...
BSA bat tous les records , car la marque remonte à 1689 . C'est la Birmingham Small Arms .
En 1689 Guillaume II , à la recherche d'armes pour défendre l'Angleterre contre l'offensive Française , décida de s'adresser aux armuriers de Birmingham
En 1967 , BSA remporta le Prix Royal pour l'industrie destiné à récompenser ses exportations de motos BSA et de Triumph , et le reçut également l'année suivante , totalisant 80% des exportations Britanniques de motos .
Pendant 150 ans les armuriers de Birmingham fournirent des armes à l'armée Anglaise et fondèrent une société anonyme en 1861 : La Birmingham Small Arms Company Ltd . La société connut des fortunes diverses . En 1878 ses ateliers fermèrent , faute de travail . Le gouvernement passa une commande supplémentaire d'armes ce qui permit aux ateliers de tourner , tandis que l'équipe dirigeante se mettait en quête de nouvelles fabrications .
En 1880 commença la fabrication de la bicyclette Otto EFC ; un an plus tard , BSA concevait des bicyclettes et surtout des vélocipèdes . La société ne tarda pas à introduire la première bicyclette " sécurité ", avec transmission par chaîne vers la roue arrière .
A la fin du siècle , BSA avait acquis une bonne réputation de fabricant de cycles et de pièces détachées . Le premier cycle fabriqué entièrement par BSA apparut en 1908 et un an plus tard , BSA lançait sa première moto . De par les relations qu'elle entretenait avec le gouvernement pour la fabrication d'armes , la société BSA était en bonne position pour remporter des marchés dans le domaine de l'équipement de l'armée .
Durant la Première Guerre , la société s'agrandit , employant plus de 20000 ouvriers ; en 1918 les deux groupes ( cycles et motos ) constituèrent la BSA cycles Ltd .
Désormais ses fabrications n'étaient plus conçues comme les à-côtés d'une fabrication d'armes . Pendant la crise économique des années 20 , environ la moitié du personnel de BSA fut licencié . La vente de motos pourtant se maintint . Étant donné l'importance de la société , BSA fut à même de présenter une importante gamme de modèles , allant des petites 150 cc monocylindres à quatre temps à l'impressionnante bicylindre de 1000 cc . Cette dernière s'établit une réputation de moto avec side-car des plus fiables et fut souvent utilisée comme moto-taxi ou moto de livraison .
Deux slogans publicitaires illustrent le succès de BSA : " une moto sur quatre est une BSA " et " BSA est la gamme la plus complète jamais offerte par une firme ". En 1923 , BSA se lança dans la grande série avec le modèle à réservoir rond de 250 cc . Comme publicité , la société envoya quatre pilotes à l'ascension du mont Snowdon . En 1926 deux BSA firent le tour du monde , parcourant 32 000 km dans 24 pays différents en 18 mois .
Pendant la Deuxième Guerre mondiale , BSA connut une nouvelle phase d'expansion en fournissant des véhicules de reconnaissance , des mitrailleuses et des motos aux forces Britanniques . La firme était le plus grand fournisseur de motos à l'armée Anglaise avec 126 344 exemplaires entre 1939 et 1945 .
Il s'agissait pour la plupart de M20 ( 500 cc ) qui n'étaient pas très rapides ( 80 km/h ) mais très solides . Des M20 et M21 de 600 cc furent vendues jusqu'en 1960 . Vers la fin de la guerre , New Hudson , Sunbeam et les cycles Ariel furent repris par BSA qui fit encore l'acquisition de Triumph en 1951 ; BSA devint le plus grand fabricarit Européen de motos . Vers 1955 , en plus de quelques filiales comprenant les cycles BSA , le groupe comptait plus de 30 usines . Les motos BSA étaient utilisées par le Royal Automobile Club , l'Association Automobile , l'armée Britannique et les forces de police du monde entier . La bicylindre de 500 cc A7 et sa grande soeur de 750 cc l'AL0 Golden Flash furent les modèles de la nouvelle génération des bicylindres verticaux ayant le plus de succès ; la mono Gold Star , dans ses versions de 350 et 500 cc , devenait classique , aussi bien pour les pilotes de courses que pour les passionnés de la route .
En 1967 , BSA remporta le Prix Royal pour l'industrie destiné à récompenser ses exportations de motos BSA et de Triumph , et le reçut également l'année suivante , totalisant 80% des exportations Britanniques de motos .
1971 fut un tournant ; la société fit de lourdes pertes ; un emprunt bancaire fut négocié et on introduisit sur le marché la Fury bicylindre de 350 cc ; mais ce fut l'échec . Le nouveau modèle fut abandonné .
L'année suivante , la société fut réachetée par le groupe NVT . Le dernier modèle BSA , la Rocket Three à trois cylindres de 750 cc fut laissée de côté dans la série des modèles de 1973 .
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 - Source vidéo : production LTD /appeldephare.com
-
Inscription à :
Articles (Atom)