mardi 26 décembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - L'EQUIPAGE CAMILLE ET GILLES SUR LA GRILLE DE DEPART ...


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Un trésor automobile, ignoré pendant 50 ans, mis en aux enchères en France !!

Des voitures de la collection automobile de Roger Baillon dans la propriété Gaillard à Echiré (Deux-Sèvres), le 26 novembre 2014
Des Bugatti, des Hispano-Suiza, des Delahaye mais aussi des Maserati et des Ferrari, certaines rarissimes: découvertes dans les dépendances d'une propriété, 60 belles endormies des années 30 aux années 70 vont être vendues aux enchères. Estimées 16 millions d’euros au total, ces véhicules de légende, la plupart dignes d'un musée et signées des carrossiers les plus illustres dont Chapron et Million-Guiet, seront dispersées par Artcurial....
 Qualifiées de "graal automobile" par les experts, une légendaire Talbot Lago T26 de 1948 et une Ferrari 250 California de 1961 notamment dormaient dans une propriété de 3 hectares, dans l'ouest de la France, sous des abris de fortune. 
 Cette incroyable collection, retrouvée en état "sortie de grange", selon le jargon des spécialistes, a été constituée par un passionné, Roger Baillon, entrepreneur dans le transport de marchandises, avec l’ambition de sauver le patrimoine automobile d’avant-guerre et d’ouvrir un musée dans sa propriété. 
 "L’homme est un collectionneur de la première heure. Il veut célébrer le génie automobile et achète une propriété pour construire un musée. 
Il se met alors à acheter en France, mais aussi en Europe, des modèles emblématiques", raconte à l’AFP Matthieu Lamour, directeur de Artcurial Motocars.
"Si aujourd’hui, les voitures de collection d’après-guerre s’arrachent lors des ventes aux enchères, cela n’a pas toujours été le cas. A l’époque, Roger Baillon sauve véritablement de la casse beaucoup de ces merveilles", ajoute-t-il.
-
Revers de fortune - Un revers de fortune devait mettre fin à son rêve. Comme un secret de famille, sa collection resta inconnue pendant des dizaines d’années, même après sa mort au début des années 2000. Le décès récent du fils du collectionneur a conduit les héritiers à contacter la maison Artcurial. "Quand on nous a parlé la première fois de cette collection avec une Ferrari 250 California, parmi les plus beaux cabriolets de la seconde moitié du XXe siècle, on n’y croyait pas un instant. Ces Ferrari sont habituellement répertoriées et il paraissait impossible qu’un modèle ait disparu", raconte Matthieu Lamour."En arrivant sur la propriété, on est allés de surprise en surprise dans les dépendances et sous des abris en tôle ondulée accrochée à des piquets. 
C’était surréaliste, un vrai choc. 
Il y a quelques années, une Bugatti a été retrouvée après avoir passé 80 ans au fond du Lac Majeur. Nous vivons la même émotion avec cette collection emblématique, véritable trésor automobile". L’une des trois seules Maserati A6G Gran Sport de 1956 a été ainsi retrouvée. 
Tout comme une Ferrari 250 California ayant appartenu un temps à Alain Delon, exhumée sous un amoncellement indescriptible de journaux et de vieux magazines qui la recouvrait entièrement. 
 "Estimée entre 9 et 12 millions d’euros, ce cabriolet dessiné par Pininfarina a été construit à 52 exemplaires et perdu de vue par tous les historiens de la marque". "Cette automobile était pistée comme une chimère. Elle était en France, oubliée dans une grange".
Source : Artcurial Briest - Poulain - F. Tajan / la-croix.com

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La fantastique collection de véhicules de la Gendarmerie nationale

 

Voitures de sport, motoneige, chars, camions : l’institution militaire est à la tête d’un patrimoine mécanique qui ne cesse de s’enrichir. Ils sont noirs, kakis ou bleus. Certains nous sont familiers. D'autres moins. Leur particularité : tous ces véhicules ont servi sous les ordres de la Gendarmerie nationale. Que ce soit sur la route, dans les airs, dans les chemins creux, sur les pistes de ski ou sur l'eau. Aujourd'hui déclassés, ils composent la mémoire mécanique du musée de l'institution militaire. Après une vie active particulièrement dense et parsemée d'anecdotes à remplir des missions variées, ce patrimoine roulant coule une retraite paisible en Seine-et-Marne. 
Alors que les motos sont conservées au musée de la Gendarmerie de Melun installé dans une ancienne caserne du XIXe siècle à la superbe façade, les voitures sont stockées à l'abri des regards, dans des bâtiments derrière le château de Fontainebleau. En cumulant les deux sites qui ne sont pas ouverts au public, l'institution peut se flatter de posséder plus de cent cinquante véhicules. Depuis quelques années, elle a décidé qu'il était temps de préserver ce patrimoine mais également de le faire vivre et d'assurer son rayonnement. Cette collection raconte ainsi l'histoire de la Gendarmerie nationale à travers les époques et les décennies. On la doit à un lieutenant-colonel qui a eu l'idée en 1998 de sauver et de rassembler ces trésors. Depuis 2017, le musée de la Gendarmerie nationale mène une politique de restauration et de conservation de ses différentes gammes de véhicules. 
Dans un souci d'exhaustivité, la collection a vocation à s'étoffer. Le lieutenant Christophe Da Silva, le directeur du musée de la Gendarmerie nationale, et ses hommes, ont identifié des carences dans la collection. Ils comptent bien y remédier. Un fonds au service de la Gendarmerie Pour cela, la Gendarmerie nationale et le musée peuvent s'appuyer sur le fonds de dotation pour le musée de la Gendarmerie nationale lancé à l'occasion de l'édition 2022 du salon Rétromobile. Cette structure indépendante et administrée par une équipe de réservistes citoyens bénévoles a pour mission principale d'accompagner le musée de la Gendarmerie nationale dans la conservation de son patrimoine mécanique. Florent Descatoire, son vice-président, nous a expliqué les raisons de la création de ce fonds : «La Gendarmerie nationale ne peut pas recevoir de subventions et de fonds en direct.» 
 Autour de Jean Todt, ancien président de la Fia (Fédération Internationale de l'Automobile) nommé président d'honneur, ce fonds dispose de prestigieux fondateurs : l'Automobile Club de l'Ouest, Amaury Sport Organisation, la société qui organise le Dakar et le Tour de France, ainsi que la société de lubrifiants Motul très impliquée dans les sports mécaniques et le milieu des véhicules de collection. Quelques mécènes contribuent à cette structure dont Patrick Peter, l'organisateur du Tour Auto mais aussi du Mans Classic. Certains mécènes sont capables de faire un chèque de 50 000 euros. Florent Descatoire nous raconte que le fonds a pour missions principales «de contribuer à la conservation et à l'enrichissement des collections de l'institution militaire en finançant des programmes de restauration mais également à la mise en valeur de ce patrimoine. 
En corollaire, le fonds participe à la formation des jeunes en nouant des partenariats avec l'éducation nationale et les lycées professionnels dans le cadre de la restauration d'une voiture ou d'une moto.» Loin d'être figée, la mémoire mécanique de la Gendarmerie nationale est ainsi amenée à s'étendre. Une collection éclectique Signe de la richesse de cette collection, outre les motos, les voitures et les camions, un hélicoptère Alouette II de 1958 côtoie une motoneige mais également des chars et des camions. Le premier a commencé sa carrière en assistant les gendarmes lors de la rupture, le 2 décembre 1959, du barrage de Malpasset. Cette catastrophe, la plus grande qu'ait connue la France, qui fera déverser 50 millions de mètres cubes d'eau vers la mer, coûtera la vie à 423 personnes. 
Quant au skidoo Yamaha, il a servi lors des Jeux Olympiques d'hiver à Albertville en 1992. De leur côté, les chars sont des témoins de la période antérieure à la chute du mur de Berlin. Avant 1989, la défense opérationnelle du territoire nécessitait de disposer de ces matériels. Ceux qui ont vécu les événements de mai 1968 se souviennent certainement des Berliet GAK. Équipés de lance à eau et d'une citerne, ces camions étaient une composante essentielle du maintien de l'ordre. À Fontainebleau, le véhicule le plus ancien est une Renault Juvaquatre. Chaque brigade reçoit au début des années cinquante un modèle de cette petite fourgonnette qui peut accueillir jusqu'à quatre gendarmes et qui s'équipe même d'un système radio. Au milieu des années cinquante, la Renault est progressivement remplacée par un break Peugeot 403. C'est le premier véhicule cinq portes à équiper les brigades départementales. 
Pouvant loger jusqu'à six gendarmes, ce break dispose d'une grande radio très performante qui permet de contacter la brigade, à condition d'être situé à proximité et de déployer la grande antenne en forme d'arc de cercle entre le capot avant et l'extrémité arrière du toit. Se succèdent ensuite des Simca Aronde puis des Renault 4 et des Estafette ornées du losange de la firme de Boulogne. Chaque véhicule répond à des missions bien précises. Avec la naissance des premières autoroutes, l'augmentation de la circulation et des infractions au Code de la route, la Gendarmerie nationale crée les brigades d'intervention rapide (BRI). 
En 1967, trois Matra Djet rejoignent cette nouvelle unité. À cette époque, les sportives françaises ne sont pas légion. À la demande de Jean-Luc Lagardère, le patron de Matra, le pilote Henri Pescarolo est chargé de former les premiers gendarmes désignés pour conduire ces petites sportives. Les Djet ne restent pas longtemps en fonction. Les bénéficiaires s'en plaignent. Les habitacles sont exigus pour deux gendarmes en tenue et l'été, ils se transforment en étuve en raison de la grande lunette arrière. Les Matra sont remplacées par des berlinette Alpine A110. «On en comptabilisera quatorze en service», dit le vice-président du fonds de dotation. Jusqu'à l'an dernier, aucune ne figurait dans les collections. «Une absence qu'il fallait absolument réparer», poursuit Florent Descatoire. 
 Un souci d’authenticité «La solution de facilité aurait été d'acheter un véhicule à partir duquel serait réalisée une réplique conforme à l'époque. À l’instar du Louvre à qui il ne viendrait jamais à l'idée d'acheter un faux, nous sommes tombés d'accord pour acheter l'une des quatorze. Le fonds s'est ainsi mis en chasse de l'une de ces berlinettes pour l'offrir à la Gendarmerie nationale. Il nous a fallu reconstituer la liste des propriétaires.» Un travail de fourmi car toutes ces Alpine ont été vendues depuis longtemps. À force d'enquêtes, les hommes du fonds apprennent qu'il n'en reste que douze - deux ont été détruites - et que l'une d'entre elles serait à vendre. 
Devenue blanche mais complète et roulante, la voiture en question n'a pas quitté son garage de l'Essonne où elle est entreposée depuis 1991. Elle nécessite une restauration complète. À l’issue de la vérification de son authenticité par des experts grâce notamment au numéro de châssis, le fonds l'a acquise en juin 2023. Tous passionnés, les hommes du fonds et de la gendarmerie ont même retrouvé l'un des gendarmes affectés à la fameuse berlinette au début des années soixante-dix. Surprise : l'Alpine 1600 S est comme au soir de sa dernière mission d'intervention. 
Elle a conservé ses sièges spécifiques permettant aux gendarmes de s'asseoir avec leurs équipements, son châssis course montagne, sa préparation moteur permettant de gagner quelques kilomètres heure et son équipement radio. Sa restauration a été confiée à Aurélien Letheux qui dirige le garage Meca Rétro Sport sur la route de Dieppe. Elle a débuté depuis le mois d'octobre mais la berlinette, sans doute désossée, sera l'une des vedettes du stand de la Gendarmerie nationale lors du salon Rétromobile en février prochain, à la porte de Versailles à Paris. 
Cette exposition est l'un des principaux rendez-vous de l'année de l'institution. Elle participe également aux 24 Heures du Mans, au Mans Classic mais également à la parade du Tour de France cycliste. En parallèle de la restauration de l'Alpine A110, le fonds de dotation poursuit la remise en état et l'enrichissement du patrimoine mécanique de la Gendarmerie. Alors qu'il vient de restaurer entièrement une Citroën CX 2400 GTi qui a servi à la BRI, il commence la réfection d'une Peugeot 405 Mi16. «Un mécène, à qui nous faisions visiter le hangar de Fontainebleau, s'est arrêté devant la berline sochalienne. La 405 avait été l'une de ses premières voitures. 
Il nous a donné 16 000 euros pour la restaurer.» Des histoires comme celle-ci, Florent Descatoire pourrait en raconter des dizaines. La preuve que l'automobile fait toujours rêver. La prochaine mission du fonds ? 
Retrouver l’une des cinq Citroën SM qui a servi dans la BRI au début des années soixante-dix. Il ne resterait plus que trois exemplaires de ces coupés 2 + 2 achetés à l’époque en raison de leurs performances. Le moteur V6 Maserati assurait une vitesse de pointe de près de 230 km/h. 
«Nous en avons manqué une récemment. En novembre dernier, on m’a appelé pour me prévenir qu’une SM de la Gendarmerie allait être vendue aux enchères la semaine suivante. Le délai était trop court pour s’organiser», explique notre interlocuteur. Ce n’est que partie remise. 
 Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info..

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NOUS DEVONS RESPECTER LA NATURE ...MAIS LA NATURE DOIT AUSSI NOUS RESPERCTER !!


 

mercredi 20 décembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2017 - QUI A DIT QUE LE PERE NOEL N'AIMAIT PAS LA COMPETITION ?


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - CE N'EST PAS BIEN D'ECRASER UNE BETE A BON DIEU !!


 

CLUB5A - RONDE DE NOEL DU 17 DECEMBRE 2023 - AVEC LE CLUB 5A C'EST NOEL EN PERMANENCE !

 

Pour ce dimanche 17 décembre 2023 nous avions tous rendez-vous sur le parking de la maison des associations dite « le Paichérou» depuis maintenant plusieurs années que cet événement « festif » est organisé et fait partie intégrante du calendrier des 5A de la ville de Carcassonne mais aussi intégré dans le programme des fééries de Noël avec la participation de la municipalité. 
 Aux manettes, l’ensemble du staff des 5A, vous les connaissez tous : Régis, Josette, Véronique, Corinne, Patrick, Lisèle, Dominique et bien d’autres que j’oublie et je m’en excuse auprès d’eux …toutes ces personnes ont œuvré pendant les 12 mois que nous venons de traversée à organiser et mettre en place des différentes sorties et événements dont vous avez surement participé et nous les en remercions vivement.
 Cette « ronde », vous l’avez compris, est un événement qui vient «boucler» l’année et nos nombreuses activités. En début de matinée (9h15), tous nos participants étaient réunis afin de préparer les décorations de l’ensemble des voitures et autres véhicules afin que nos fringantes voitures rentrent dans la catégorie de « belle d’un jour » et ce fut le cas ! Guirlandes, boules, cloches et petit père Noël étaient présents sur la plupart des voitures qui allaient être présentées en exposition sur la place Carnot. Une trentaine de véhicules étaient au rendez-vous …rien qu’un mot : MERCI ET BRAVO A TOUS !. 
Mention spéciale pour le père noël motard qui pour le coup ressemblait à deux gouttes d’eau au vrai père noël..Merci à lui pour sa participation. 
Pour l’occasion la majorité de nos participants étaient équipés du bonnet du père Noel accompagné de quelques décorations pour les véhicules et chacun a apporté sa petite « touche » personnelle et nous devons reconnaitre que la plus part se sont vraiment impliqué et n’oublions pas qu’à cette occasion une magnifique plaque et affiche ont été crée pour « marquer » cette événement (affiche reprise par la municipalité de Carcassonne).. Pour la partie vestimentaire à chacun son costume de sa composition, inspiré de la magie de Noël, de son choix ou de sa création ». 
Tout le monde est prêt ?.....Petit « briffe » de notre président Régis Arnaud et de Patrick Cilia afin de commenter et d’expliquer le programme et le déroulement de cette matinée et de prendre une photo de l’ensemble du groupe avant le départ….(Pas toujours facile la photo de groupe !..Car nous sommes nombreux et souvent indisciplinés…) Côté météo, cette année, nous avons été vraiment gâté, grand soleil pratiquement pas de vent avec une température largement supportable pour cette saison… 
 Comme prévu à 10h30 pétante le départ s’est effectué…et toute cette troupe de mères et pères Noël à se mettre en route sur les petites routes du Carcassonnais et traverser les villages de : Conques sur Orbiel – Villagailhenc – Pennautier et pour finir place Carnot à CARCASSONNE … Le défilé festif et joyeux à converger et stationner sur cette place emblématique du centre-ville jusqu’à environ 12h30 et effectuer un rassemblement pour un rendez-vous avec le public. 
Les habitants, officiels et représentants de la ville ont accueilli très chaleureusement cette parade et ont apostrophé d’une manière très conviviale le groupe de passionnées dans leurs élégantes voitures et vous l’aviez deviné les photos « crépitaient » à tout va sur les différents véhicules de collection… Nous remercions la Mairie de Carcassonne pour leur confiance et leur soutien sans failles qui ont permis la réalisation de cet événement. Pour clore cette dernière sortie de l’année au sein de notre association, l’ensemble des participants se sont dirigés au restaurant et ont festoyé dans une ambiance des plus conviviales.. 
Joyeuses fêtes à tous….Rendez-vous en 2024 pour d’autres aventures au sein du club 5A ! N’oubliez pas l’épiphanie qui aura lieu le samedi 6 janvier 2024 à 17h à la salle des associations où nous aurons la joie de partager la galette des rois tous ensemble… 
Texte : P.L – Photo : Famille Raynaud-Famille Cilia – Gilles Zambaux - P.L