mardi 21 novembre 2023

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Un air de nostalgie pour les prochaines Renault électriques...

 

ACTUALITÉ - La citadine à moins de 20 000 euros du constructeur au Losange se veut une interprétation moderne de la Twingo 1. Les Renault boys l’appellent «la surprise du chef». À part les hommes du design qui en ont tracé les contours, peu de personnes en interne étaient dans la confidence. Mobilisés dans les environs du circuit de Morefontaine avec une partie des jurés de la Voiture de l’Année pour le premier essai du Scenic électrique, les communicants du constructeur français en charge du produit découvrent avec stupéfaction le retour d’une Twingo au catalogue. 
Devant la presse économique et financière mais également les investisseurs réunis autour de la première présentation de la stratégie de la nouvelle entreprise Ampère dédiée à la mobilité électrique, Luca de Meo, le directeur général du groupe Renault, a fait sensation en dévoilant sur la scène un prototype qui renvoie à la Twingo 1 qui a marqué les années 1990 et qui doit donner naissance à un modèle de série. Après la R5 et la 4L, Renaultpoursuit dans la voie du néorétro. Certains y verront un manque d’inspiration et de créativité. 
D’autres seront séduits par la renaissance de ces icônes qui fleurent bon la nostalgie. Luca de Meo a réussi son coup: les projecteurs sont braqués sur le Losange qui fait preuve d’un dynamisme incroyable. Si la physionomie de la prochaine Twingo renvoie clairement au modèle présenté au salon de Paris de 1992, la silhouette est celle d’un modèle 5 portes. Quant aux flancs et au traitement de la poupe, ils évoquent plutôt la Twingo 2. Une nouvelle Twingo électrique à moins de 20 000 euros.
  Pas commercialisée avant la fin de l’année 2025 ou le début de l’année 2026, la nouvelle Twingo sera animée par un moteur électrique. Elle permettra à Renault de relever le challenge d’une voiture zéro émission à moins de 20 000 euros. Ce véhicule pourrait être produit dans l’usine de Novo Mesto, en Slovénie, en charge de la production de la Twingo depuis la deuxième génération. 
Pour tenir le pari d’une voiture électrique accessible, Renault devra recourir à des technologies éprouvées et déjà rentabilisées sur la Zoé par exemple. S’il est encore trop tôt pour en connaître tous les détails, en 2026, la nouvelle Twingo côtoiera au catalogue de la gamme Ampère la R5 commercialisée l’an prochain, la 4L lancée en 2025, la Mégane E-Tech Electric et le Scenic E-Tech Electric. Ce dernier sera lancé au printemps prochain à un tarif ultra-compétitif.
 Courant 2028, la Mégane et le Scenic seront renouvelés. La prochaine génération de ces modèles inaugurera le moteur électrique E7A à rotor bobiné issu d’un codéveloppement avec Valeo. L’équipementier apporte son expertise sur le stator. Ce futur moteur, dont le rotor se dispensera de recourir à des terres rares, sera 30 % plus compact que les moteurs actuels. De troisième génération, ce bloc fonctionnera en 800V. Il est prévu pour afficher jusqu’à 200 kW (272 ch) de puissance. 
Source : lefigaro.fr/Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - L'AVANTAGE D'AVOIR UNE MINI-MOTO !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LE 34° TOUR DE L'AUDE ORGANISE PAR LE CLUB 5A CARCASSONNE...

 

Découvrez l'article sur le tour de l'Aude paru dans l'Authentique revue trimestrielle de la FFVE. 

Merci Régis Arnaud pour le suivi de l'info...

lundi 20 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - OUI JEAN-PIERRE CETTE VOITURE EST BIEN VERROUILLEE ....


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - LOULOU TRES CONCENTRE DANS CET ENTRETIEN....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NE RESTEZ PAS STATIONNER TROP LONGTEMPS ....IL Y A DES RISQUES !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION MOTO - L' URAL DE MON GRAND PERE !!


Restauration d'une vieille moto soviétique

Je me souviens comment, enfant, mon grand-père avait un Ural avec un berceau, la moto semblait si énorme et puissante qu'elle grondait dans tout le village. Grand-père le regardait et se préparait pour l'été chaque hiver. Nous sommes allés à la rivière, il a pêché, et je me suis assis dans l'Oural et j'ai roulé, pensant que quand je serai grand, je m'en achèterai certainement un. C'est Ural M63, année 1969, il est resté immobile pendant de nombreuses années. 
Source : Great idea

Dans sa course à l’armement d’avant guerre, l’Allemagne nazie se dote (entre autres véhicules), de motocyclettes attelées. En effet, facile à produire, peu cher à entretenir, doué sur tous les terrains, le side-car est d’une grande utilité pour les armées d’alors. Sa mobilité et ses facilités de portage – personnel, armement, approvisionnement- ne tarde pas à susciter des convoitises … notamment de la part de son voisin, le géant soviétique, bien mal équipé en moyens de transport légers et qui voit avec inquiétude la militarisation croissante de l’Allemagne ainsi que ses appétits de conquêtes. 
 La URAL Aussi en 1939, dans le plus grand secret, et par le biais d’intermédiaires suédois, les russes acquièrent plusieurs attelages et procèdent à du “reverse engineering”. Autrement-dit, ils les démontent pour en copier les éléments et les reproduire à l’identique.. Enfin ça c’est la version officielle… On dit également que la maîtrise de la construction de cette machine (plans, savoir-faire) et jusqu’à l’outillage sont volontairement transmis aux russes, par leur ami Allemand, dans le cadre d’accords industriels et commerciaux qui agrémentent le pacte Germano-soviétique de l’été 1939. D’ailleurs, le premier véhicule produit aurait bien été la “M71” M pour “Moscou” et 71…. selon les spécifications du catalogue BMW ! Mais cette page peu glorieuse serait volontairement “révisionnée” en un fait d’espionnage plus valorisant… Par ailleurs, les Allemands travaillent déjà sur la BMW R75 et finalement la R71 dont elle fait “don” à la Russie n’est qu’une technologie dépassée (c’est le dernier modèle à soupapes latérales de BMW) présentée comme un cadeau de valeur… (d’ailleurs, elle ne fut jamais un véhicule réglementaire de la Wehrmacht). 
 Quoiqu’il en soit, ce nouveau véhicule est baptisé M72 et est fabriqué sur deux sites : Moscou et Léningrad. Malheureusement en 1941, les troupes allemandes se ruent sur l’union soviétique et les usines doivent être déplacée hors d’atteinte des bombardements nazis. Celle de Moscou est reconstruite dans les montagnes de l’Oural à Irbit en Sibérie. Le sigle de l’usine est IMZ (Irbitskiy Motocykletnyi Zavod) et la M72, qui n’a pas vraiment de nom, devient connue sous le nom d’URAL, sa province d’origine. L’usine de Leningrad est, quant à elle, déplacée à Gorkii (jusqu’en 1956, cette usine fabriquera tous les châssis et caisses des side-cars). Les aléas militaires retardent la production et les premières M72 sont livrées le 25 octobre 1942. 9799 d’entre elles seront produites au cours du conflit. En fait, il apparaît que, pour des raisons de capacité des sites de production, d’autres usines, à Kiev et Harkov, participeront, au cours de la guerre, à la production de la M72.
 Pendant la guerre, à titre d’aide, Les États-Unis fourniront une partie des machines-outils (certaines, parait-il, encore utilisées de nos jours…) nécessaires à la production de la M72. Malheureusement, après les hostilités, la méfiance dont fait l’objet l’URSS totalitaire la prive de toute nouvelle aide technologique ou financière de la part des alliés. C’est donc sans évolution majeure que la M72 reste en production et, bien que continuant à fournir l’armée rouge, l’usine Ural commence à approvisionner le marché civil. Dans les années 50 (vraisemblablement encore une fois par “récupération technologique”), la moto bénéficie enfin de la distribution culbutée avec soupapes en tête. L’usine d’Irbit est alors majoritairement dédiée au marché civil dans les Républiques Socialistes Soviétiques et, à partir de 1953, à l’exportation dans les pays frères du COMECON. 
En 1957, la production militaire est transféré à Kiev, en Ukraine, pour produire la DNEPR. 
 A l’occasion de cette redistribution des rôles, le temps des moteurs à soupapes latérales étant presque révolu, l’usine de Gorki est fermée et ses outillages sont cédés à la Chine qui va produire la CHANG-JIANG. Cette mutation se traduit, chez URAL par la production exclusive de modèles civils à 1 roue motrice. Ce n’est qu’en 1995 qu’apparaîtront à nouveau les modèles à 2 roues motrices. 
Source : http://dnepr-ural.fr/

samedi 18 novembre 2023

CLUB5A - 2015 - LE TOP DES 5A - QUAND PATRICK ET ROGER SE CONCERTENT ....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN TRIPORTEUR ROYAL-ENFIELD EQUIPEE D'UNE MITRAILLEUSE ANTI-AERIENNE...

 

Une Royal Enfield 6HP V-Twin affichant l'une de ses positions de fusil alternatives anti-aériens. 
Capturée à l'extérieur des œuvres originales d'Enfield Cycle Co à Redditch, cette incroyable photographie....1914-1915.. 
Source :  collection d'archives et date d'environ. 

vendredi 17 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - L'A.G DES 5A EST TOUJOURS UN MOMENT APPRECIE DES ADHERENTS ....


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GTO 4 litres: 51,7 millions de dollars aux enchères...

  

Enchère record pour la berlinette vendue par RM Sotheby’s à New York lundi 13 novembre. Presque 52 millions de dollars, soit un peu plus de 48,2 millions d’euros selon le cours actuel des devises. C’est le montant déboursé par un amateur pour acquérir la berlinette Ferrari de 1962 portant le numéro de châssis 3765 LM. Ce véhicule devient la Ferrarila plus chère jamais vendue aux enchères - en 2018, RM a adjugé 48 millions de dollars la 250 GTO châssis 3413 GT - et détient désormais le titre de deuxième enchère la plus élevée pour une voiture. La première place est toujours détenue par la Mercedes 300 SLR coupé Uhlenhaut adjugée l’an dernier 135 millions d’euros.

 La somme rondelette déboursée pour acquérir la Ferrari figure en retrait par rapport à l’estimation de la maison RM Sotheby’s chargée de la vente de cette diva automobile et par rapport aux derniers changements de propriétaires de 250 GTO enregistrées dans le cadre de transactions de gré à gré. Mais la berlinette 3765 LM peut-elle être considérée comme faisant partie de la série des 250 GTO? Là se situe en effet une partie du débat qui a agité le microcosme des collectionneurs avant la vente. La berlinette 3765 LM possède bien une carrosserie de 250 GTO mais sous le capot à gros bossage se cache non pas un 12 cylindres 3 litres mais un 4 litres de 340 ch. Cela vaut parfois à cette berlinette la dénomination 330. 

 Autre sujet à controverse, qui à notre connaissance n’a toujours pas été tranchée: cette GTO spéciale qui est la seule GTO engagée par l’usine en 1962 est-elle celle qui a couru les 1 000 km du Nürburgring et permis à Willy Mairesse et Mike Parkes, deux pilotes officiels de la Scuderia, de terminer à la 2ème place au classement général sur le toboggan allemand? Par contre, cela ne prête pas le flanc à toutes les supputations, la GTO spéciale 3765 LM a bien couru les 24 Heures du Mans 1962 avec l’équipage Mike Parkes et Lorenzo Bandini. La berlinette abandonnait à la sixième heure à la suite de l’ensablage de Parkes à Mulsanne.

 On ne revit jamais la berlinette 4 litres dans une épreuve internationale. Elle fut vendue à un gentleman driver italien qui l’engagea dans des courses de côte durant la saison 1965. En 1967, 3765 LM traverse l’Atlantique comme certaines de ses sœurs. Depuis 1985, elle était la propriété de James Jaeger de Cincinnati, dans l’Ohio. Ce passionné de la marque italienne a été président du club Ferrari en Amérique du Nord. Après 38 ans de vie commune et plusieurs prix dans des concours d’élégance, le septuagénaire avait décidé de se séparer de sa berlinette. 

 Source : Sylvain Reisser - lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info.../

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES CREATEURS DES PREMIERE VOITURES PUBLICITAIRES AVAIENT DE L'IMAGINATION !!


 

jeudi 16 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - AU CLUB DES 5A QUAND ON PARLE DE 203 PEUGEOT .....C'EST SYNONYME AVEC MICHEL TERKI !


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LES MOTOS BMW ...FAIRE SIMPLE ET SOLIDE !!



Après l’échec commercial de la R39, c’est une réforme administrative qui va pousser BMW à relancer la fabrication d’un monocylindre. 
En effet, à partir du 1er avril 1928, (le poisson n’existe pas outre-Rhin, enfin je ne crois pas comme chez nous…), on peut conduire une moto de moins de 200 cm3 sans le permis de conduire. 
De plus, ces petites cylindrées sont exonérées de la taxe sur les véhicules.
La création de la firme remonte officieusement à 1916, mais plus officiellement au 20 juillet 1917 ou, la Rapp Motoren Werke (fusion de la "Bayerische Flugzeug Werke" un constructeur d'avions et de la "Otto Werke", un fabricant de moteurs) devient la BMW : Bayerische Motoren Werke (en français : Manufacture Bavaroise de Moteurs).
 BMW n'est pas l'inventeur du bicylindre à plat, mais c'est certainement la marque qui lui donna ces titres de noblesse. Et aussi une fiabilité jusqu'alors inconnue. De la R 32 à la dernière R 100 RT1, le flat culbuté suit son petit bonhomme de chemin, de petites évolutions en grandes "révolutions", les ingénieurs allemands gardèrent toujours à l'esprit un principe important : 
" FAIRE SIMPLE ET SOLIDE". 
Dans les années 1916 - 1918, les affaires sont fructueuses en cette période de guerre, où il faut mécaniser les armées tant sur terre, sur mer, que dans les airs. L'ingénieur Max Fritz récemment embauché, spécialisé dans les moteurs d'avion, met au point un carburateur spécial, permettant de voler à une altitude supérieure à tout ce qui avait été possible jusque-là. C'est à lui que nous devons le moteur M2B33, qui ouvrait de nouvelles perspectives dans ce domaine. 
 Mais cela ne dura pas, et avec la signature de l'armistice du 11 novembre 1918, ce fut l'arrêt immédiat de la production de moteurs d'avions pour BMW. Heureusement, Franz Joseff Popp, directeur technique, avait eu l'idée de faire diversifier les productions de l'usine avec des participations dans une société de machines-outils. 
Le traité de Versailles le 28 juin 1919, mis fin à toutes ces perspectives, obligeant même l'usine à détruire moteurs, machines-outils... Les trois responsables d'alors, F J Popp, Max Friz et Martin Stolle durent prendre une décision avant que la firme ne disparaisse. Friz pensait toujours moteurs d'avions, seul Stolle, qui possédait personnellement une moto bicylindre anglaise de la marque Douglas, proposa la reconversion dans la construction de motos. La décision fut prise, à condition de ne développer que le moteur. 
Ainsi, BMW commença à produire des moteurs de motos vu qu'ils ne pouvaient plus construire des moteurs d'avion. La "Douglas" de Martin Stoll fut autopsiée, analysée et copiée pour donner naissance au moteur BMW M2B15. Le moteur fut proposé à la firme Victoria qui en équipa ses motos type KR durant 2 ans. Avec le rachat d'ateliers en semi-abandon, et notamment celui d' Helios, BMW héritait de la fabrication de deux motos : la FLINK (monocylindre léger) et la HELIOS. BMW repensa entièrement la moto Hélios, en modifiant la position du moteur dans le cadre et en ajoutant la transmission acatène. 
La R32 était née, première vrai BMW. Présentée pour la première fois en 1923 au salon de Paris, elle n'avait rien de très novateur mais la grande trouvaille de Friz fut de tout réorganiser, en faisant simple ! 
Plus de 3000 exemplaires de la R32 virent le jour. Les bases des nombreuses descendantes étaient jetées car à l'époque elle possédait déjà des caractéristiques que l’on retrouve sur les productions actuelles à savoir : 
un moteur flat-twin transversal, une boîte de vitesses commandée par un embrayage à friction, transmission arrière par arbre sans cardan, une suspension avant par ressorts à lame, et pas de frein avant. Rapidement, la R32 (1923-1926) à soupapes latérales fut doublée d'une version à soupapes en tête : la R37 (1924-1926) à moteur culbuté construite à 152 exemplaires avec 494 cm3, 3 vitesses et 16 CV. 
Une 250 monocylindre culbutée reprenant les cotes de la R37 fut proposée simultanément, la R39 (1925-1927). Dès 1926, de nouveaux modèles furent proposés avec la R42 (latérale) et la R47 (culbutée) (1928), produites respectivement à 6502 et 1720 exemplaires. Ce fut avec les travaux de Hopf sur la suralimentation par compresseur que Ernst Henne décrochât en 1929 des records à 216 puis 220 km/h.
 L'image sportive de l'usine bavaroise était forgée. Ces mêmes années, les R52, R57, R62 et R63 (1928/1929) voyaient le jour. Dorénavant, l'usine doublera tous ces modèles latéraux d'une version sportive à soupapes en tête. BMW se lança dans les compétitions avec des hommes comme Schleicher, Bieber et Reich qui rapportèrent de nombreuses victoires. 
Source :legendes-motorcycle.com

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DECIDEMENT IL N'Y A PAS D'AGE POUR PRENDRE UN P.V !!


 

lundi 13 novembre 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - AU CLUB 5A NOUS AVONS QUELQUES "PAPARAZZIS" ILS PEUVENT ETRE MASCULINS OU FEMININS....


 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - QUAND L'ANCIENNE EQUIPE PRESIDAIT L'A.G DES 5A..HOMMAGE A JEAN LAPASSET..


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LE SALON EPOQ'AUTO A REMIS LE COUVERT POUR 2023 - DE NOTRE ENVOYE SPECIAL REGIS ARNAUD ...

 

Le salon époq’auto à remis le couvert pour cette année 2023, avec toujours cette même volonté en bandoulière de respecter autant l’automobile que le visiteur… Les amoureux d’automobiles anciennes ont sans été nombreux cet automne à se rendre à Lyon-Eurexpo pour satisfaire leur envie (besoin ?) d’arpenter les allées du salon Epoq’auto. 
 Un millésime 2023 qui a satisfait jusqu’aux plus exigeants. Ainsi, du 10 au 12 novembre 2023, cette 44ème édition a été haute en couleur, avec, notamment, un vibrant hommage rendu à Peugeot, Talbot et Cadillac. Peugeot en force Du côté de la marque au Lion, Peugeot à investi les 750 m² réservés au traditionnel Plateau Populaire situé dans le Hall 5. Le constructeur français à été par ailleurs aussi présent Galerie 6, avec ses sportives aux multiples palmarès, de la 905 victorieuse aux 24 heures du Mans en 1992, à la 405 Pikes Peak en passant par la 206 Turbo 16 qui s’est illustrée sur le Dakar. 
 Exigeant et sans concession sur la qualité constante offerte chaque année au public, Epoq’Auto a privilégié la continuité, quand le succès populaire exponentiel rencontré par ce salon a pu le soumettre à la tentation d'un nouvel agrandissement. La qualité plutôt que la quantité à tout crin, le Club des 3A (Amateurs d’Automobiles Anciennes), organisateur de l’événement, ne dit pas autre chose, par la voix de Claude Passot, commissaire général du salon : "Nous aurions pu agrandir de nouveau la surface d’exposition, qui culminait à 80 000 m² en 2022, et accueillir encore plus de véhicules et d’exposants, mais nous avons décidé de marquer une pause pour privilégier le confort des visiteurs." 
Des partenaires historiques Bien entendu, les fidèles partenaires de l’événement lyonnais ont été de nouveau de la partie cette année. La Fondation des Automobiles Berliet, naturellement, mais aussi l’étude Osenat, qui a organisé les ventes aux enchères consacrées aux motos, samedi 11 novembre, et aux voitures le dimanche 12.
 Quant aux Plateaux Moto et Utilitaires attendus, le premier c’est dessiné une nouvelle fois en deux espaces, avec un focus sur les modèles 50 cm3 et un autre sur la marque française Dollar, disparue à la veille de la deuxième guerre mondiale. 
 Le second plateau, pour lequel les organisateurs ont à nouveau sollicité le club PTRA (Patrimoine du Transport Routier Ancien), a été consacré aux autobus et autocars. Quant à celui dédié aux Youngtimers a été finalisé. 
 Source : automobile-magazine.fr- Photos Régis Arnaud

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - MOTO DE COWBOY EQUIPEE POUR UNE BALADE EN TOUTE SECURITE !!