vendredi 4 août 2023

CLUB5A - SOUVENIRS - SOUVENIRS - ETAPE A RIEUX EN VAL POUR LA SORTIE PIQUENIQUE DE LA SORTIE MOTOS D'AOUT 2017....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN AMOUR ELECTRIQUE !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LES RALLYES AUTOMOBILES INDISSOCIABLES DE LA CITE DE CARCASSONNE...

 

La coupe des Pyrénées fit étape à Carcassonne en 1905. Organisée par le journal "La vie au Grand air", cette course automobile s'étala sur une semaine du 20 au 27 août 1905. 
Source : Coll. Martial Andrieu

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - IL EST IMPORTANT DE CONDUIRE UNE VOITURE APPROPRIÉE A SA TAILLE !!


mardi 1 août 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - BOIRE UN P'TIT COUP C'EST AGREABLE AVEC GISELE ET JEAN...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE PASSION QUI PREND L'EAU !!


CLUB5A - SPORT-AUTO - UNE DES PLUS ANCIENNE COMPÉTITION AUTOMOBILE...LES 24H DU MANS !!

Les 24 Heures du Mans sont une course automobile d'une durée de 24 heures, se déroulant en juin (généralement la vingt-quatrième semaine de l'année) sur un circuit routier, au sud de la ville du Mans, dans le département de la Sarthe en France. Cette épreuve, existant depuis 1923, est l'une des trois courses les plus prestigieuses au monde avec le Grand Prix de Monaco et les 500 miles d'Indianapolis. 
 Depuis 2012, l'épreuve fait partie du championnat du monde d'endurance FIA, et selon la National Geographic Society américaine, elle est l'événement sportif numéro 1 mondial. La course a, au fil des ans, inspiré des courses similaires partout dans le monde et popularisé le format de 24 heures notamment à Daytona, au Nürburgring, et à Spa-Francorchamps. Les championnats série American Le Mans et Le Mans Series ont été essaimés du règlement des 24 Heures du Mans.
 En 1920, l'Automobile Club de l'Ouest, en particulier par son secrétaire général Georges Durand, œuvre à la réalisation d'une compétition dont le caractère devait contribuer à l'évolution du progrès technique et favoriser l'essor de l'automobile. En 1922, le club annonce la création d'un nouveau type de compétition dans la Sarthe, une épreuve d'endurance, alors que le Bol d'or automobile vient tout juste d'être créé. Pendant l'épreuve, des équipages de deux pilotes par voiture se relaieraient jour et nuit. 
 La première édition, avec trente-trois équipages, se déroule les 26 et 27 mai 1923 sur un circuit près de la ville du Mans. Elle fut remportée par André Lagache et René Léonard sur une Chenard & Walcker. Ils couvrirent 128 tours à la moyenne de 92,064 km/h. Aujourd'hui, les « 24 Heures du Mans » ont lieu chaque année en juin. 
C'est la plus ancienne et la plus prestigieuse des courses d'endurance pour automobile de sport et Sport-prototypes. La piste, mesurant 13,626 km10, emprunte une partie du circuit Bugatti et comporte une grande partie de route nationale. Les passages les plus célèbres sont les virages du Tertre Rouge, Mulsanne, Arnage et la ligne droite des Hunaudières, longue de presque 6 km où les prototypes maintenaient auparavant une vitesse de près de 400 km/h pendant une minute. Cette portion du circuit a été divisée en trois lignes droites par l'installation de deux chicanes en 1990. 
Ces chicanes ont pour but de limiter la recherche de la vitesse maximale par des réductions d'appuis aérodynamiques trop importantes et de limiter par conséquent les différences de vitesse entre concurrents. 
L'envol de certains véhicules était dû à la géométrie de la piste avec un changement de plan qui pouvait créer un décrochage aérodynamique suivant leurs configurations et réglages aérodynamiques. La bosse a été aplanie pour l'édition 2001. Le record absolu du tour le plus court est au crédit de Jackie Oliver avec une Porsche 917 en 1971, sur l'ancien tracé, bien avant la création des chicanes, avec un temps de 3 min 13 s 6 et une moyenne de 250,07 km/h. 
Le record homologué de vitesse maximum atteinte sur le circuit est de 405 km/h dans la ligne droite des Hunaudières et appartient à Roger Dorchy sur WM P88 à moteur Peugeot lors des 24 Heures du Mans 1988. Le record du meilleur tour en course appartient à André Lotterer sur Audi R18 e-tron quattro avec un temps de 3 min 17 s 475, soit 248,459 km/h de moyenne, réalisé lors de l'édition 2015.  Le tour le plus rapide de toute l'histoire des 24 Heures du Mans est au crédit de Kamui Kobayashi avec Toyota, lors des essais qualificatifs de l'édition 2017, avec un temps de 3 min 14 s 791 et une moyenne de 251,882 km/h, tour le plus court depuis l'existence des deux chicanes dans la ligne droite des Hunaudières. 
 Source : Dragpark77

lundi 31 juillet 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - PHOTO DE GROUPE AU PARKING DU ROND POINT DES OURS .....C'EST EN 2017 !!


 

CLUB5A - SPORT AUTO ET REVUE DE PRESSE - Combien vaut la Ferrari 330 P3/P4 ?

 

Faut-il s’attendre à une enchère record pour la Ferrari 330 P3/P4 de Jim Glickenhaus que Bonhams vend à Pebble Beach? C’est l’une des questions qui taraude le monde de la collection depuis des lustres? Combien vaut le sport-prototype Ferrari 412 P? En d’autres termes, cette Ferrariaussi connue sous l’appellation P3/P4 peut-elle approcher la cote d’une Ferrari250 GTO ou d’une Bugatti 57 SC Atlantic? 
On sait que les 135 millions d’euros déboursés l’an dernier pour l’une des deux Mercedes 300 SLR coupé Ulhenhaut peuvent difficilement être atteints. Avec la vente par la maison anglo-saxonne Bonhams du numéro de châssis #0854, un modèle compétition-client, on va enfin pouvoir être fixé. Il est vrai que le marché manque de repères puisqu’il est rare que ces machines changent de mains.
 L’exemplaire recarrossé en spider Canam (châssis #0858) proposé aux enchères par RM Auctions à Maranello au printemps 2009 n’avait pas trouvé preneur. L’arme du constructeur de Maranello durant la saison 1967 d’endurance n’est pas seulement considérée comme l’une des plus belles voitures au monde. Elle occupe aussi une place à part dans la nomenclature de la Scuderia Ferrari. Ce prototype n’a couru que l’espace de la saison 1967, il avait été élaboré pour défendre les couleurs de Maranello dans le Trophée international des prototypes et barrer la route de Ford dans la Sarthe. Il a laissé une trace indélébile dans l’histoire de la compétition. La P4 est l’actrice d’une pièce étonnante: David contre Goliath. Ferrari, le petit artisan de l’Émilie-Romagne, affronte le géant américain Ford pour la suprématie du championnat de voitures de sport. Le duel atteint son paroxysme au Mans. 
La P4 est la fille d’un orgueil blessé. En 1966, le rouleau compresseur Ford a terrassé Ferrari. Henri Ford II tient sa revanche. L’héritier de la firme de Dearborn s’était mis en tête de racheter Ferrari après avoir assisté à l’échec des Cobra face aux 250 GTO aux 12 Heures de Sebring 1963. Les discussions furent vite engagées. Mais plus elles avançaient, plus Enzo Ferrari devenait réticent. Lors d’une réunion qui eut lieu le 13 mai 1963, alors que les Américains espéraient aboutir à un accord définitif, l’Ingeniere laissa tout tomber. 
Il semble que l’Italien avait utilisé les négociations en cours avec Ford pour faire pression sur Fiat avec qui il allait lier son sort. Lorsqu’il apprit l’échec de la transaction, Lee Iaccoca, furieux, décida de lancer la construction d’une voiture de course capable de damer le pion à Ferrari. De ce projet naît la GT40. C’est ainsi que Ford touche au but en installant trois de ses prototypes sur le podium du Mans 1966. 
Les Ferrari P3 ne peuvent lutter. Enzo boit le calice de l’amertume. Mais, il n’a pas dit son dernier mot et prépare sa revanche. Son arme: la P4, sans doute la plus belle «sport-prototype» de toute l’histoire. À l’aube de la saison 1967, Ferrari semble capable de répliquer. Mauro Forghieri, le directeur technique, a bien préparé son affaire. Le nouveau prototype a été entièrement revu. Le châssis est toujours tubulaire et les panneaux d’aluminium sont toujours rivetés comme sur la P3 mais le moteur est désormais boulonné à la structure. Il s’agit d’un nouveau V12 4 litres à 3 soupapes par cylindre et quatre arbres à cames en tête. Il délivre 450 ch. Trois voitures neuves sont produites, des coupés à partir d’un prototype qui lui restera en version spider. 
Pour soutenir l’effort de l’équipe officielle, Ferrari prépare des voitures pour ses principaux clients - le NART aux États-Unis, Maranello Concessionnaires en Angleterre, le Garage Francorchamps en Belgique et Filipinetti en Suisse - en préparant quatre voitures dénommées 412 P pour P3/P4. Il s’agit en fait de deux des P3 alignées l’année précédente et deux voitures jamais terminées en raison des grèves qui avaient paralysé l’usine au printemps 1966. Elles ont reçu les améliorations de la P4 tout en conservant le V12 24 soupapes de 420 ch. Les P4 débutent la saison en fanfare, monopolisant le podium des 24 Heures de Daytona. Voyant ses MKIIB battues à plate couture sur la piste de Floride, Ford lance en toute hâte la Mk4. Elle remporte le trophée aux 12 Heures de Sebring mais Ferrari n’a pas fait le déplacement. 
À Monza, presque dans son jardin, Ferrari, en l’absence de Ford, ne laisse à personne le soin de lui voler la vedette. Au Mans, lors des essais préliminaires d’avril, la balance penche en faveur des machines ornées du cheval cabré. Bandini bat de douze secondes le record du tour détenu depuis 1966 par Ford. Mais, lors des essais officiels, l’ordre est inversé. Les Ford occupent les 3e, 4e et 9e places sur la ligne de départ, la seconde revenant à l’une des deux Chaparral 2F. Les Ferrari se placent aux 7e, 10e, 11e et 13e rangs. Au Mans en juin, le public s’est déplacé en masse assister à la «course du siècle» en raison de l’intensité du duel Ferrari-Ford. On assiste à un match équilibré: huit Ford contre sept Ferrari. La plus véloce des quatre P4 engagées (châssis 0856) est la numéro 21 que se partagent Ludovico Scarfiotti et Mike Parkes. 
L’armada Ford perd trois voitures dans des collisions mais la plus rapide d’entre elles, celle de Gurney-Foyt, fait la course en tête. Elle ne la quittera jamais. Derrière, la Ferrari n°21 ne réussira jamais à refaire son retard, reflet d’un début de course trop timide. Franco Lini, le directeur sportif de l’écurie de Maranello, sera critiqué pour sa tactique trop timorée et il abandonnera peu après ses fonctions pour redevenir journaliste. La P4 0856 termine tout de même sur la deuxième marche du podium. De son côté, l’écurie Francorchamps, qui a hérité pour le Mans et son équipage vedette - Willy Mairesse et Jean Blaton «Beurlys» - d’une P4 usine (#0858), monte sur la 3e marche du podium. La voiture que Bonhams propose aux enchères à Pebble Beach le vendredi 18 août (Quail Lodge), en marge du concours d’élégance, est la P3/P4 de l’écurie Maranello Concessionnaires du Colonel Ronnie Hoare. 
Reconnaissable à sa livrée rouge à bande bleu ciel, elle a débuté sa carrière sportive à l’occasion des 1 000 km de Spa-Francorchamps où Richard Attwood et Lucien Bianchi terminèrent 3e. Au Mans, Attwood est associé à Piers Courage. La 412 P abandonne après avoir couvert 208 tours. L’attribution du titre se joue finalement lors de la dernière manche de la saison à Brands Hatch. La 0858 a été transformée en spider pour gagner 40 kilos. Chris Amon est associé à Jackie Stewart. Leur seconde place assure le titre à Ferrari. À domicile, la 412 P de Ronnie Hoare confiée à Richard Attwood et David Piper termine au 7e rang. La fin de la saison approche. Les officiels qui se sont émus des vitesses atteintes durant la saison décident de limiter la course à la puissance en réduisant la cylindrée à 3 litres.
 Maranello Concessionnaires vend sa 412 P à David Piper qui va l’engager dans une multitude d’épreuves en 1968. Au cours des années 1970-1990, le sport-prototype passe successivement entre les mains des collectionneurs Anthony Bamford, Paul Vestey, John et Bruce McCaw. En 2005, Jim Glickenhaus s’en porte acquéreur. Il entreprend une restauration complète qui va durer neuf ans. L’Américain est réputé pour avoir fait construire par Pininfarina une supercar dénommée P4/5 qui se veut une interprétation moderne de sa P3/P4. La mise en vente de cette pièce majeure de l’histoire de Ferrari représente un événement sans précédent. Bonhams estime la 412 P autour de 40 millions de dollars. 
 Source : Sylvain Reisser-le figaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA JEEP TONDEUSE A GAZON !


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samedi 29 juillet 2023

CLUB5A - LE TOP DES 5A - AU CLUB DES 5A NOUS SAVONS FAIRE BEAUCOUP DE CHOSES...MEME ORGANISER DES BOUCHONS !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Ferrari 250 GT Zagato une berlinette à double bosse..

 

C’est l’un des événements de Pebble Beach: RM Sotheby’s vend l’une des cinq berlinettes «Tour de France» carrossées par Zagato. Les collectionneurs se frottent les mains. Tout finit par arriver sur le marché. C’est juste une question de timing. Ces dernières années ont ainsi vu la vente de monstres sacrés ou de modèles de grande importance que l’on croyait jamais devoir changer de mains. 

Il en va ainsi de la Mercedes 300 SLR Coupé Uhlenhaut, de la Mercedes300 SL Cabriolet de Juan Manuel Fangio, de la Bugatti Type 59 ayant appartenu au roi Leopold III de Belgique, de la Ferrari 275 P provenant de la collection Bardinon et victorieuse à deux reprises aux 24 Heures du Mans. En marge de l’édition 2023 du concours d’élégance de Pebble Beach, le marché de la collection s’apprête à vivre des moments forts. Alors que la maison Bonhams est chargée par Jim Glickenhaus de vendre sa Ferrari 412 P (ex-Maranello Concessionnaires), le catalogue Gooding & Company propose une Ferrari 250 GT Passo Corto (3507 GT) jamais restaurée. 
Dans la bataille à la plus belle affiche, la maison RM Sotheby’s multiplie aussi les pépites. Ses ventes représentent une occasion en or d’acquérir l’une des seize Jaguar XKSS, une Ferrari 250 LM ou encore une Jaguar Type D. Ces machines d’exception sont pourtant éclipsées par un autre monstre sacré. En préambule de ses trois ventes programmées entre le 17 et le 19 août à Monterey, RM propose le 16 août une Ferrari 250 GT «Tour de France» habillée par le carrossier Zagato. Ce n’est pas loin d’être un événement. Le carrossier milanais n’a pas posé sa griffe que sur cinq châssis 250 GT châssis long «Tour de France»: 0515 GT, 0537 GT, 0665 GT, 0689 GT et 1367 GT. Assez proches, les cinq châssis ont connu des fortunes diverses. La voiture de la vente RM est sans doute la plus prestigieuse. Portant le numéro de châssis #0665 GT, cette berlinette bleu nuit, toit gris clair et intérieur cuir bordeaux a été commandée par le Génois Camillo Luglio, un pilote amateur. 
Le carrossier Zagato s’est écarté de la berlinette «usine» pour livrer des formes très personnelles, en ligne avec sa signature. Alors que l’on retrouve le toit à double bosse, l’une des caractéristiques du style Zagato, les projecteurs sous globe descendent très bas sur les ailes avant. Quant aux ailes arrière potelées et fuselées, elles se terminent en pointe par des petits feux verticaux. Troisième des cinq 250 GT «Tour de France» produites, la 250 GT #0665 GT est à peine livrée que Luglio l’engage au Giro di Sicilia où il termine 5e au général et 2e de sa catégorie. Avec Umberto Carli, il enchaîne avec les Mille Miglia. Portant le numéro 441, qui est celui de l’horaire de départ de la voiture, la 250 GT Zagato bleu nuit passe à travers toutes les embûches du parcours pour franchir la ligne d’arrivée des dernières Mille Miglia de l’histoire à la 6e place au général. A la suite de la sortie de route de leur Ferrari 315 S en raison de l’éclatement d’un pneu, le marquis de Portago et son coéquipier sont tués sur le coup. 
Mais la voiture provoque un carnage dans une foule qui n’a jamais été aussi nombreuse et dense: neuf malheureux spectateurs n’en réchapperont pas. On retrouve Luglio et sa Ferrari engagés aux 12 Heures de Reims 1957 en compagnie du Français François Picard. Là encore, leur course régulière est récompensée par une cinquième place au général. Après les 3 Heures de Pau 1958, Luglio vend #0665 GT à un autre gentleman driver italien, Vladimiro Galuzzi. En 1959, la berlinette Zagato prend le chemin des États-Unis. Elle revient en Europe au début des années 1980. L’Allemand Peter Kaus s’est mis en tête de collectionner toutes les carrosseries Zagato de première importance. La berlinette bleu nuit en fait partie. L’Allemand donne naissance à la collection Rosso Bianco, l’une des plus importantes, si ce n’est la plus importante, en matière de modèles Zagato et Maserati. À la suite d’un revers de fortune, Kaus commence à vendre ses machines au début des années 1990. L’étude Poulain-Le Fur organise une vente Zagato au Palais des Congrès, à Paris. La Ferrari n’est pas vendue. Elle le sera à Gstaad, neuf ans plus tard, par la maison Brooks. La Zagato refranchit l’Atlantique. Elle rejoint la collection de Lee Herrington qui comporte essentiellement des Ferrari de route, souvent à carrosserie spéciale. Avec sa vente à Pebble Beach, la 250 GT Zagato 0665 GT s’apprête à commencer une nouvelle vie. 
 Source : Sylvain Reisser-lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - PHOTO INSOLITE LE GPS MOTO DES ANNEES 70 !!