vendredi 29 août 2025

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA SIMCA 1000 AVEC LES CHEVALIERS DU FIEL !


À la fin des années 1980, Eriec Carrière, docteur en sociologie, et Francis Ginibre, diplômé des Beaux-Arts, font leurs débuts sur scène dans une cave-spectacle de Toulouse.
Suite  leur rencontre avec Gilles Petit en 1984, ils créent leur premier spectacle, Le Détournement d'avion le plus fou de l'année (1984) qui connut un véritable succès et donna naissance aux Chevaliers du fiel (qui seront 3 jusqu'en 1990).

Leurs premières apparitions télévisuelles se font sur TLT (Télé Toulouse), avec des courts métrages comiques (La clinique Saint-Thomas de PinsaguelBuck et NickJean-Paul André).
En cinq saisons, cinq nouveaux spectacles se succèdent. Après s'être donné en spectacle plusieurs années au festival d'Avignon, le duo se produit à Paris.
 Il monte sur scène en septembre 1995 à l'Européen mais leur spectacle ne connaît pas un franc succès, échec en grande partie lié à la fameuse grève des transports. Ce revers va se transformer en difficultés financières, les humoristes étant leurs propres producteurs.
Mais le duo ne se décourage pas et, en 1996, il est à l'affiche pour trois semaines au théatre Grévin. En réalité, le succès de leur spectacle leur permet de se produire quatre mois. La même année, les Chevaliers du fiel font leur première télévision nationale avec Michel Drucker et sortent leur chanson humoristique La Simca 10002,3 dont ils vendent 400 000 exemplaires en six mois.
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, LES CHEVALIERS DU FIEL - DANS LA SIMCA MILLE
Source : turbo.fr / Source : bourraslandboss

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - TEST TOIT !!

 

Nous sommes en juin de 1933. 
Citroën est passé à la toiture acier, pour ne pas parler d’accident qui est mal interprété dans une publication, on démontre l’efficacité par un exploit. 
Donc on charge la toiture de la voiture avec 5 tonnes, et on prouve l’efficacité par l’ouverture et la fermeture des portes. Bonne journée 
Source : Henri Florin

CLUB5A-REPORTAGE AUTO - LANCEMENT DE LA PEUGEOT 403...C’ÉTAIT EN 1955 !!

La Peugeot 403 est présentée à la presse et aux badauds parisiens en avant-première le 20 avril 1955 au Palais de Chaillot au Trocadero à Paris.
 
La 403 (8 CV) a été présentée pour la première fois le 20 avril 1955 au palais de Chaillot au Trocadero à Paris.
 Il s'agissait d'une berline à toit ouvrant. À l'époque, le capot était orné d'un lion chromé, symbole de la marque, un accessoire retiré au salon de 1958 car considéré comme dangereux en cas de choc avec un piéton ou un cycliste.
C'est au salon 1957 que fut présentée par le constructeur Peugeot la première automobile 403 berline N4Y à sécurité passive.
Peugeot supprimait le lion du capot, offert à l'acheteur toutefois, et remplacé par une petite baguette chromée (pour 1959 montage d'une grande baguette chromée). 
Plus tard, en 1957, les flèches arrière seront remplacées par des clignotants, les codes européens apparaîtront et les essuie-glaces deviendront parallèles en 1958.
Source : philippe baron

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UNE PANHARD 24 ...

La Panhard 24 est une automobile de la marque Panhard produite de 1963 à 1967 ; dernier modèle produit par le constructeur, elle marque la fin de production de la « doyenne des marques » automobiles françaises. La Panhard 24 est la dernière voiture créée par la société Panhard et Levassor. Cette firme fut la première au monde à se lancer dans la construction en série d’automobiles en 1890. Après la Seconde Guerre mondiale, Panhard obtient de l'État français la possibilité de produire une voiture en aluminium (pour créer un débouché à ce matériau), ce sera la Dyna X suivie de la Dyna Z. Vers 1957, l’aluminium cèdera la place à l’acier sur les Dyna Z puis sur les PL 17 leurs héritières. 
La branche automobile de Panhard se trouvait en difficulté financière à cause d’une gestion trop frileuse et paternaliste. Un rapprochement avec Citroën amorcé en 1955 scellera le destin de la marque. Citroën a des moyens colossaux mais articule sa production de berlines sur deux modèles diamétralement opposés, la 2CV et la DS/ID. Panhard n’a qu’un modèle la Dyna Z, modèle de milieu de gamme typée sportive dotée d’un bicylindre à plat refroidi par air de 848 cm3 faisant une quarantaine de chevaux. Les deux gammes se complètent parfaitement, et la Dyna Z vient à point nommé concurrencer l'Aronde de Simca comme la 403 de Peugeot. 
L'avenir semble souriant pour Panhard. En 1959, au moment du lancement de la PL 17, Panhard pense déjà à son avenir et au modèle qui succédera à la nouveauté. Citroën s’oppose formellement à l’étude d’une nouvelle berline qui risquerait de concurrencer les ID et la future Ami 6. Il est donc décidé de lancer un coupé. C'est une merveille de design et d’ingéniosité si l'on considère le peu de moyens de Panhard et l’impossibilité d’étudier un nouveau moteur, notamment un projet de moteur à 4 cylindres en X. 
Louis Bionier, dessinateur des Panhard depuis les années 1930, assisté de René Ducassou-Pehau et André Jouan, réalisera là son chef-d’œuvre. Les doubles optiques avant (non orientables) sont protégées par une vitre, principe qui sera repris par la DS à partir de 1967. Le toit est plat, la face avant est lisse, avec une fine entrée d'air intégrée au pare-chocs et un jonc chromé ceinture la carrosserie. La silhouette très basse et élancée est une réussite. Le modèle fut présenté à la presse le 24 juin 1963 : une 24 C bicolore quetsche / gris capelinos Toute la conception de la voiture est axée sur la sécurité. 
Y participent le châssis ultra rigide, les doubles optiques, le pare-chocs enveloppant en inox, les feux arrière débordant sur les flancs mais protégés par les rebords du coffre, les bourrelets de protection sur le tableau de bord et autour du pavillon, le volant creusé et rembourré. Les plis de tôle des ailes, du capot, du toit et du coffre augmentent la rigidité de l'ensemble. Le système d'essuie-glace est puissant. Des ceintures de sécurité sont disponibles en option. Des feux asservis aux feux de position s'allument en bout des accoudoirs quand on ouvre une portière. La gamme est répartie en 5 modèles. 
Au lancement, les châssis courts coupé 2+2 C et CT sont respectivement qualifiés de coach 4 places et coupé 2+22. La C est plutôt typée bourgeoise avec une sellerie en velours de nylon, elle sera abandonnée après 1964. La CT est plus sportive avec un tableau de bord plus complet (compte-tours) et une sellerie en vinyle. Elle possède un moteur plus puissant Les châssis longs coach 4-5 places BA, B et BT sont abusivement dénommés berlines. La B a un équipement simplifié par rapport à la C et la BT un équipement équivalent à la CT. La BA est une tentative de relance du modèle avec une finition très dépouillée, trop dépouillée même, car les clients ne suivent pas. La structure est considérablement modifiée à l'arrière pour obtenir le châssis long : 
 - Le plancher est abaissé de 5 cm au niveau des pieds des passagers arrières. 
 - L'empattement est rallongé de 25 cm mais la banquette ne recule que de 11 cm. Le coffre gagne donc 14 cm de profondeur en partie basse. 
 - De plus, le dossier est plus incliné vers l'arrière, l'écart avec le siège avant augmente donc de 16 cm à ce niveau. Le gain en profondeur du coffre est ainsi de 9 cm en partie haute. Les roues ne forment donc plus d'arches encombrantes sur les côtés de l'assise et du dossier. 
La garde au toit est meilleure et le coffre est plus volumineux : son volume passe de 350 à L’équipement est très riche (sauf sur la BA), les sièges avant sont réglables en hauteur, longueur et inclinaison. La banquette des finitions T est rabattable, le miroir de courtoisie du pare-soleil passager est éclairé. La roue de secours se trouve à l'abri de la saleté, dans une trappe sous le coffre très vaste. Les accoudoirs des portes sont prolongés par une lampe s'allumant à l'ouverture. Il y a même un thermomètre d'ambiance sur le couvercle de la boîte à gants. Le volant est réglable en profondeur.
 Le chauffage, très ingénieux, est assuré par des prises d'air au niveau des cylindres et distribué grâce à des canalisations ceinturant l’habitacle, soufflant l'air vers le pare-brise, ou la lunette arrière. Il est dirigé par une commande rotative sur le tableau de bord. Globalement, la 24 est une voiture très appréciée : elle est assez vive et dynamique (sur le plat ! ), consomme environ 6l/100 km et son comportement routier est impérial. Le problème vient de sa motorisation, trop modeste en regard de sa ligne sportive et élégante. Techniquement, ce moteur datant de 1947 a été poussé dans ses derniers retranchements par les ingénieurs Panhard, mais avec des économies de moyens entraînant une baisse progressive de la fiabilité au fur et à mesure de son évolution. 
Certaines évolutions tenaient plus du bricolage qu'autre chose. Le moteur ne s'exprime que dans les hauts régimes et manque beaucoup de souplesse, accentuant encore le caractère Panhard de cette mécanique. La conduite est très particulière, ne pas maîtriser toutes ses subtilités entraîne une dégradation rapide du moteur et de la boîte. Ces autos nécessitent un entretien scrupuleux. Par exemple, elles sont dépourvues de filtre à huile, la filtration se faisant par un système centrifuge efficace, cependant les larmiers (orifices d’évacuation) se bouchent progressivement avec les impuretés. 
Le nettoyage des larmiers doit se faire tous les 50 000 km, ce qui entraîne la dépose et le démontage complet du moteur. La vidange et les graissages se font environ tous les 3 000 km. Le synchro de première et celui de quatrième sont extrêmement faibles. Les Panhard souffrent d'une corrosion typique des autos de cette époque, renforcée par la présence d'une structure en caisson de tôles non traitées accumulant l'humidité.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Myster Kevin

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jeudi 28 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - ROGER ET JEAN... ESPRIT D'EQUIPE POUR UN OBJECTIF COMMUN !


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE COUP DE CŒUR MOTO DU JOUR ...LA MOTO A MOTEUR D'OPEL !!

Moto avec un moteur d'Opel de 1970 placé dans un cadre personnalisé.  Le cuivre est très présent dans ce montage et donne un aspect rétro !

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA BMW R50 SÉRIE 2 ...LA PLUS COUPLEUSE !!



La R50/2 (1961/1967), 26 cv à 5800 tr/mn sera, avec 19 036 exemplaires, l'une des plus fabriquées des oscillantes. La moins puissante certes, mais la plus "coupleuse" et increvable, elle est capable de performances surprenantes et honorables. Il faut savoir que les puissances annoncées sont de 26 cv pour la R50, mais en fait la VFM en 1955 trouvait 30,7 cv à 6500 tr/mn soit /- 70 cv/litre. L'usine BMW pour compenser toute différence éventuelle pouvant exister pour le moteur d'un même modèle, préférait donner la puissance minimum relevée au banc d'essai. Ainsi une R50 avec 26 cv "pessimistes" se retrouve avec 30 cv bien réels. Dans le même esprit, les vitesses max. ne sont jamais données !!!


Source vidéo : Oemparts7 /Johan VermeulenWKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - CONCENTRATION ET MUSÉE - VISITE AU MAGNIFIQUE ‘MUSÉE DE SAVIGNY LES BEAUNE !!

Lors de l’excellent ‘Salon Auto-Moto Rétro de Dijon‘, j’avais fait le connaissance de Michel Pont, Fondateur et Propriétaire du « Musée de Savigny lès Beaune« . Un personnage hors du commun -dans le bon sens du terme- et qui ne saurait laisser indifférent?! Je m’étais promis de retourner le voir dès que possible et visiter attentivement son Musée que l’on disait tout à fait… exceptionnel ! Un mois et demi après, c’est chose faite. Savigny lès Beaune est un petit village à la sortie nord de Beaune. Toute l’économie de la région tourne, je ne vous surprendrai pas, tourne naturellement autour du vin de Bourgogne. 
 Le Bourgogne ? Michel Pont, n’est pas né dans un fût mais presque, fils de vigneron il n’était guère passionné par les études, du coup son père lui dit : «maintenant, tu vas travailler à la vigne» À 15 ans, il remarqua que les vendanges étaient très imparfaites et laissaient de nombreuses grappes sur les pieds de vigne. Pas farouche pour deux sous, le gamin Michel, demanda alors à son père, oncle et amis, l’autorisation de passer derrière eux, pour récupérer ce qui allait être gâché. Il en fit une récolte de 600 bouteilles avec lesquelles, il acheta son premier lopin de vigne. Début d’une success-story comme cela était possible dans l’immédiat après-guerre. Parallèlement à ses activités de vigneron, Michel Pont avait la passion des motos… et des automobiles de sport, les… Abarth ! Les premières pour se déplacer, les secondes pour courir et s‘aligner dans des Courses de Côte. Il se décrit lui-même comme un ‘bon’ pilote, sans être exceptionnel, mais il termina tout de même second du Championnat de France de la Montagne de sa catégorie, grâce à sa régularité et à son assiduité. Qu’en aurait-t-il été, s’il avait consacré 100 % de son temps à la Compétition ? On ne saura jamais, on ne refait pas l’histoire… 
Au fur et à mesure qu’il développait son domaine viticole, Michel commença à recueillir et j’insiste sur le terme, vous verrez un peu plus tard, il a toute son importance, des motos et des Abarth. Aujourd’hui, il y a près de 200 motos dont environ 100 sont à restaurer mais bien préservées, au fur et à mesure de ses possibilités -il fait tout avec ses propres moyens sans solliciter aucune aide ou subvention- et donne à restaurer les plus belles pièces, notamment une rarissime moto Blériot ou encore des Vincent… Il possède même les trois «Tigre» deux en version civile et une en version racing endurance… La Tigre était un prototype très abouti de la fin des années 60, début des années 70, autour d’un Flat Twin de Panhard PL 17… 
Plus de 200 km/h réels, une consommation de moineau, légèreté et fiabilité mais hélas jamais industrialisée ! Deux raisons à cela: La clientèle moto ne jurait à l’époque que par la révolution Japonaise, la moto Française était un pan de l’industrie, ayant perdu son pouvoir de séduction auprès des banquiers et industriels Français. Ils oubliaient volontiers que dans les années 50, la France était quasiment leader mondial dans les petites et moyennes cylindrées ! Un seul géant de l’industrie Française vola à son secours ! Marcel Dassault rachetant sa participation Motobécane à Renault en 80. Trop tard, déjà trop tard… Et puisque nous parlons de Marcel Dassault, continuons donc la visite du ‘Musée de Savigny’, avec pas moins d’une centaine d’avions de chasse ! Nous connaissons tous, un oncle François ou une tante Marie qui, par amour des animaux, pour empêcher qu’ils ne soient euthanasiés, recueille un chat, un chien, deux chats, deux chiens et se retrouve au final avec une maison refuge d’animaux… 
 Michel Pont, a agi de la sorte avec ces avions qui, sans lui, auraient terminé leur vie tronçonnés par des ferrailleurs ! Un «privé» qui rachète des avions avec son propre argent et les entrepose dans le parc de son château ! Vous imaginez ce que l’ homme a pu endurer comme dénigrement, jalousie ? Oublions ces vilains traits de la nature humaine (Balzac les a dépeints mieux que quiconque dans la Comédie Humaine que je vous invite à lire, ou relire ô toi ami lecteur.) Certes, les avions sont entreposés en plein air et non pas dans des hangars chauffés. Notre ami Vigneron consacre tous ses moyens à cette passion. S’il avait consacré tout son temps, toute cette énergie, tous ses moyens à la vigne et à son activité première, nulle doute qu’aujourd’hui, ce ne sont pas dix-sept hectares qu’il aurait, mais trois, quatre, dix fois plus et probablement les moyens d’abriter cette collection dans de beaux hangars… 
 Oui, à un détail près, la plupart des avions auraient déjà été tronçonnés depuis des décennies. Ne boudons pas notre plaisir et saluons le travail accompli, la passion, la préservation du patrimoine. Dans un pays anglo-saxon, les mécènes afflueraient pour l’aider, qu’ils soient privés ou entreprise. Ici ce n’est hélas pas encore dans les mentalités. Autre exemple de la passion et des qualités humaines de Michel Pont, il a rassemblé (refrain : toujours avec ses propres deniers) une partie des collections du Musée des engins de Pompier de Jean Claude Picot… Ceci amène à une réflexion un peu triste : Le Musée Maeght près de Cannes dans l’Estérel ? Vendu, dispersé aux enchères avec de nombreuses autos parties à l’étranger. Le Musée des Voitures de Chefs d’État de Montjalin ? Vendu aux enchères avec de nombreuses autos parties à l’étranger. Le Musée Jean Claude Picot ? Vendu aux Enchères ! 
 La Collection Chapleur (motos) du Musée d’Amneville? En grand danger ! Etc, etc … Saluons donc la formidable passion d’un Michel Pont, d’un Michel Hommell avec son Musée de Lohéac et qui se battent pour continuer à offrir aux regards des spectateurs, les véhicules de leur jeunesse. Une visite à Savigny lès Beaune ? À 3 heures de Paris, une heure et demi de Lyon. Franchement, l’occasion de passer un bon moment en compagnie du ‘Maître’ des lieux, Michel Pont, charmant jeune homme de… 85 ans, heureux de partager avec ses visiteurs histoires et anecdotes. 
 Par ailleurs, ce peut être l’occasion de remplir votre cave, le Château-Musée, proposant en effet, d’excellents Bourgognes et ce à des tarifs, on ne peut plus attractifs Enfin, entre les petites routes viroleuses et tous les bons restaurants (raisonnables entre 15 et 30 €) il faudrait vraiment être ennemi du bonheur, pour reporter une visite et ne pas se laisser tenter…
Source : Patrick HORNSTEIN-autonewsinfo.com/Photo : FranckM-Syl Vie

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mercredi 27 août 2025

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - GRANDE DÉCLARATION D'AMOUR ENTRE UNE PINCE MULTIPRISE ET UNE TENAILLE ....

 

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - MEME LES RALENTISSEURS NE POUVAIENT RALENTIR JEAN-PIERRE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - TOUJOURS PRENDRE SOIN DE NOS ANCIENS !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - 2CV CONTRE 2CV ...UN CONSTAT AMIABLE QUI S'ANNNONCE PARTICULIER !!

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES VOITURES DE COLLECTION .LE PLACEMENT PASSION..

Expert, restaurateur de renom et collectionneur, Jean-Paul Humbert voit le marché de l’automobile ancienne s’envoler de nouveau. Interview, à l'occasion d'une nouvelle édition du salon de la voiture ancienne Rétromobile. Qui a entendu chanter à pleine voix le V12 d'une Matra de course, n'oublie plus ce solo. Encore faut-il savoir le régler et le synchroniser. 
Jean-Paul Humbert est à peu près le dernier à en maîtriser les sortilèges, sa réputation est aujourd'hui planétaire. Voici une dizaine d'années, l'ancien responsable technique du patrimoine Matra a ouvert, en lisière de Romorantin (Loir-et-Cher), l'Epaf un atelier spécialisé dans la restauration de ces voitures d'exception, élargissant son art aux marques françaises de prestige. Collectionneur éclairé et familier des allées de « Rétromobile », il donne son sentiment sur un marché dont il connut tous les soubresauts, toutes les fantaisie et tous les caprices.
Les prix bondissent de nouveau, notamment sur le rare et l'exceptionnel. Le marché paraît inépuisable. « La réalité, c'est que les très riches sont de plus en plus riches ce qui est évidemment profitable à ce marché. Mais cela ne signifie pas qu'ils dépensent aveuglément. Vous avez au fond deux catégories de clients. La première, celle des investisseurs, spécule. La seconde, celle des collectionneurs, choisit. 
L'acquisition d'une voiture de collection associe le rationnel et le passionnel. » « Mais il ne faut pas oublier qu'un véhicule de cette catégorie est assimilé à une œuvre d'art et bénéficie en conséquence d'avantages fiscaux qui peuvent être considérables. Clairement, aujourd'hui, le secteur est en reprise. Si je m'en tiens à mes activités, voici deux ans à peine nous n'avions plus de visibilité. Aujourd'hui, nous avons un carnet de commandes rempli pour les trois années à venir et j'ai embauché en conséquence puisque nous sommes presque une dizaine. 
Or, je suis loin de tout accepter. J'ai un caractère de cochon, c'est proverbial dans le milieu. Je choisis mes chantiers et mes clients, c'est mon luxe. » 
Quelles sont les tendances ? 
 « Ce qui n'a jamais diminué et s'envole, souvent, ce sont les productions d'après-guerre. De la fin des années cinquante aux années soixante-dix, sur le haut de gamme de l'époque, les modèles un peu luxueux ou sportifs évidemment assez bien carrossés. Les cabriolets de l'immédiat avant-guerre tiennent pas mal la cote aussi. Mais tout le reste, et notamment ce qui est antérieur sous d'autres carrosseries, est un peu boudé et pas si simple à trouver. Paradoxalement, c'est ce qui m'intéresse désormais. »
Source :greglec / lanouvellerepublique.fr

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - REGLAGE DES PHARES DANS LES ANNEES 30....

 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA VESPA...LA LIBERTÉ SUR DEUX ROUES !!

Ça ne vous donne pas envie d’enfiler un pantalon cigarette noir, d’enrouler un foulard autour de votre tête et de la jouer « Vacances Romaines » ? 
On ne sait pas si le Vespa fait ressembler à Audrey Hepburn mais en tout cas il donne une allure......... c’est sûr. 
Lancée en 1946, la Vespa suscite l'intérêt dans le monde entier. En 1953, le réseau compte 10 000 points de vente à travers le monde, y compris en Asie et en Amérique. En 1950, la Vespa est construite en Allemagne, puis au Royaume-Uni et en France. En Espagne, la production débute en 1953 à Madrid. Des usines sont construites en Inde (à Bombay) et au Brésil. La marque s'implante également aux États-Unis. 
 La Vespa sera construite dans treize pays et commercialisée dans 114, dont l'Australie, l'Afrique du Sud, l'Iran, le Maroc et la Chine. Dans le monde entier, la Vespa est devenue un produit typiquement italien, synonyme de liberté, de mobilité et de convivialité. Elle est devenue l'apanage d'une classe aisée, et synonyme d'une certaine aisance. Elle doit aussi son succès à son utilisation dans le cinéma, comme Gregory Peck et Audrey Hepburn dans Vacances romaines (1953) ou Marcello Mastroianni et Anita Ekberg dans La Dolce Vita (1960). 
Source : Ilaria Casati  / video : vespa vml

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mardi 26 août 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2015 - TOUR DE L'AUDE - ACCEUIL EXCEPTIONNEL A MAZERES !


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - CONDUIRE..... APRES SA COPINE !!


CLUB5A - PHOTO INSOLITE - SAVOIR FAIRE LE PLEIN DES ENERGIES !!


CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - La Microcar Inter 175A Berline de 1956 !!

L' Inter 175A Berline est un microcar, souvent appelée simplement Inter Autoscooter, dans l'esprit d'autres voitures de la taille d'une pinte comme le Messerschmidt KR-175.
 Dans l'Europe de l'après-Seconde Guerre mondiale, les petits véhicules économiques étaient populaires en raison de leur faible coût d'achat et de fonctionnement, et du fait qu'ils s'inscrivaient dans les rues étroites de nombreuses grandes villes du continent. 
 L'Inter Autoscooter est un microcar à trois roues français qui est apparu pour la première fois au Salon de Paris 1953.
La configuration à trois roues offre une traînée mécanique légèrement inférieure et sur certains premiers modèles, les deux roues avant pouvaient être tournées vers l'avant pour se garer dans des espaces restreints.

 Celui ici, une version topless appelée "Torpedo". Chaque Berline Inter 175A était propulsée par le même moteur 
- un monocylindre à deux temps d'une capacité de 175 cm3 et 8 ch. La vitesse de pointe est de 80 km / h. 
Environ 38 véhicules survivent aux mains de musées et de collectionneurs, dont seuls quelques-uns sont encore en état de marche.
Source : themindcircle.com/
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