samedi 5 avril 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - C'EST LA PAUSE CAFE POUR GERARD ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - L'ESPRIT PRATIQUE ET ECONOMIQUE ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UN PETIT MOMENT DE DETENTE DANS UN MONDE DE BRUTE...


 

CLUB5A - SPORT AUTO - LE TOUR DE FRANCE AUTOMOBILE ...

Après guerre, le Tour Auto est relancé grâce à l'Automobile Club de Nice Côte d'Azur et adopte la formule qui fera son succès, avec de réelles épreuves de vitesse. 
D'ailleurs, l'édition 1951 sera désignée sous le nom de 1er Tour Auto (en fait le quinzième en comptant les épreuves d'avant-guerre). 
Le Tour sera disputé treize fois lors de cette période, seule l'édition de 1955 étant annulée pour cause d'interdiction du sport automobile en France, après la catastrophe du Mans.
Source : Ina Sport

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Patrick 65 ans, roule avec les motocross dont il rêvait ado alors qu’il n’avait «pas de thune»

 

DANS MON GARAGE - Chaque semaine, des automobilistes ou motards présentent au Figaro leurs véhicules d’exception. Aujourd’hui Patrick, un retraité du nord de la France, nous parle de sa Moto Villa 350 MC de 1980 et de la Kawasaki KLX 250 de 1979 qu’il est en train de restaurer. D’où vient cette passion de Patrick, retraité béthunois de 65 ans, qui passe des heures à restaurer et conduire des motocross vintage ? La réponse paraîtra triviale à un psychanalyste : de l’enfance. Cette passion l’accompagne depuis l’âge de 16 ans. «J’ai toujours roulé à moto . 
Quand j’étais jeune, mes parents me disaient : “Pas sur la route, c’est trop dangereux. Tu feras du tout-terrain”». Il s’est donc exécuté. «J’ai eu la chance entre 1976 et 1979 d’habiter à Compiègne , [avec la forêt] qui n’était pas encore interdite à la pratique du motocross». Car aujourd’hui, raconte le retraité, «plus rien n’est faisable» dans la nature. Il dénonce ce qu’il appelle un «diktat vert» venant «autant des écolos que de l’ONF ». «Ça devient compliqué», soupire-t-il. La moto pour se changer les idées Cette passion est restée «une espèce de fil rouge», dit-il. Dans les années 80, alors que ses amis tombent dans les drogues dures, «l’amour de la moto» lui évite de connaître «cette descente aux enfers». Cette passion exigeante le pousse même à se «remettre en cause» professionnellement. «La moto est onéreuse et mes petits boulots ne suffisaient plus à l’entretenir» raconte-t-il. C’est cette histoire, ce parcours de vie, ces souvenirs qui nous amènent en 2012. 
Patrick a alors 52 ans et sa vie est rythmée par le métro-boulot-dodo. Sans le métro qui n’existe pas à Béthune. «Ce n’était pas une période facile dans mon couple», confie-t-il. «J’avais besoin de m’évader, de m’aérer le cerveau». Patrick observe alors ses amis franchir le cap vers les motos vintage. «Pour continuer à faire des compétitions à un niveau d’exigence physique moindre, ils se sont rabattus sur les motos vintage. Moi je l’ai fait pour m’amuser, pour l’ambiance». Conseils mécaniques Magie de la vie, Patrick touche enfin du doigt des machines qui le «faisaient rêver» quand il avait 16 ans et pour lesquelles il n’avait pas «de thune». Il acquiert donc une Moto Villa 350 MC de 1980, modèle italien qui le faisait rêver adolescent, fabriqué «dans des petits ateliers». Il l’a toujours. Mais attention, Patrick n’est pas un collectionneur. «Mes motos, je les achète et les restaure pour pouvoir rouler avec», assure-t-il. «Quand on s’entoure bien, on peut apprendre et sinon il y a toujours un ami qui sera là pour fraiser ou souder... 
Là je suis en train d’accumuler des pièces pour une Kawasaki KLX 250 de 1979. Ça m’oblige à aller voir ailleurs, à solliciter les réseaux». À son secours, un forum de moto tout-terrain, «Le guide vert». «Ces espaces virtuels permettent de confronter des avis, de bénéficier de l’expertise de passionnés, d’anciens professionnels ou de génies de la mécanique», explique le sexagénaire. Pour trouver des pièces et les modèles les plus rares, Patrick se rend sur des sites spécialisés comme «deuxiememain.be» ou «lesanciennes.com». C’est son dernier secret. L’âge apporte une certaine sagesse, mais aussi des contraintes. Du haut de sa soixantaine, Patrick doit adapter sa pratique. 
«J’ai le genou et les hanches bien fragiles, il faut donc que je me rabatte sur des démarreurs électriques». Si les motos vintage n’ont qu’un «kick» et une «grosse compression» qui rendent le démarrage difficile, le charme de la restauration reste que tout est possible, y compris de changer le démarreur. À 65 ans Patrick aura donc fait du motocross l’une des passions de sa vie. 
Source : lefigaro.fr-Merci David Sarda pour le suivi de l'info...

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CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - MOTOS EXCELSIOR LE TROISIÈME FABRIQUANT DE MOTOS AUX USA DANS LES ANNÉES 30 !!

Excelsior Motor Manufacturing & Supply Company était une fabrique américaine de motos créée en 1907 et basée à Chicago. En 1912 la compagnie fut rachetée par Ignaz Schwinn, propriétaire des vélos Arnold, Schwinn & Co.. 
La même année une Excelsior fut la première moto à être officiellement chronométrée à une vitesse de 100 milles par heure (161 kilomètres par heure) . La Société Henderson Motorcycle est devenue une division d'Excelsior quand Schwinn racheta Henderson en 1917 . En 1928, Excelsior était le troisième fabriquant de motos aux États-Unis derrière Indian et Harley-Davidson. 

La Grande Dépression convaincu Schwinn de fermer Excelsior en septembre 1931. Durant les années 1910 et 1920 le pilier de la production d'Excelsior était le Modèle BigX de 61ci (1.000 cm3). Elle avait un moteur V-twin IOE, d'abord équipée d'une transmission à 2 vitesses par courroie puis d'une boîte de vitesses à 3 rapports.
 Les couleurs disponibles étaient le gris avec panneaux rouges au début de sa production, le «modèle militaire» de la fin de cette période était quand a lui couleur kaki (une nuance vert-brun). 

Les modèles des années 1920 étaient peint en bleu très foncé avec de fines rayures dorées. Beaucoup de ces motos furent exportées, l’Europe et l’Australie en recevant un certain nombre. Dans les années 20 un très petit nombre de BigX furent équipées de moteurs de 74 ci (1.200 cm3). La production de la BigX se poursuivit jusqu'en 1924, date à laquelle elle fut remplacée par la SuperX. Excelsior présenta son modèle Super X en 1925. 

La Super X était la première moto américaine dotée d'un moteur bicylindre en V de 45 ci (737 cm3). Elle fut conçu pour concurrencer l'Indian Scout 5 de plus petite cylindrée. En réponse à la popularité de la Super X, Indian porta tout d'abord la cylindrée de sa Scout à 45 ci également, puis présenta sa nouvelle 101 Scout 6. 
Harley-Davidson présenta également une moto de 45 ci, le modèle D. Joe Petrali, le fameux pilote moto américain des années 1920, persuada Ignaz Schwinn de relancer Excelsior en compétition. 
Il aida la compagnie à concevoir plusieurs moteurs de course qui s'avérèrent être de grands succès entre les mains de pilotes talentueux. Fait unique, Ignaz Schwinn accepta de laisser Petrali piloter sa propre Harley-Davidson sur des pistes où il pensait qu'elle était plus compétitive que ses modèles. En 1927 Petrali remporta pour Excelsior son premier championnat des 10 km AMA sur piste de terre devant les pilotes Harley sur le Milwaukee Mile. 
 En 1929 Petrali commença son aventure en Hill-Climbing avec la marque, remportant les championnats nationaux sur des Excelsior de 45 et 61 ci à Muskegon, Michigan. La grosse Excelsior de 61ci (1.000 cm3) construit sur mesure par Petrali était affectueusement surnommé "Big Bertha". 
À son guidon il devint le premier pilote à franchir de nombreuses montées historiques du circuit. En 1929, le krach boursier et la Grande Dépression qui en résultèrent firent chuter les ventes de motos. À l'été 1931, Schwinn convoqua ses chefs de département pour une réunion au siège d’Excelsior. Il leur dit carrément, sans aucune indication préalable : « Gentlemen, today we stop » (« Messieurs, aujourd'hui nous arrêtons »). Schwinn estimait que la dépression pourrait facilement durer huit ans et même s'aggraver. Malgré un carnet de commandes bien rempli, Schwinn choisi ainsi de réduire radicalement ses engagements commerciaux à son cœur d'activité, la fabrication de motos. Toutes les opérations chez Excelsior prirent fin en septembre 1931. 
Source : rodolfo croci-ReelNostalgia - WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

vendredi 4 avril 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SOIREE CARITATIVE CONTRE LE CANCER DES ENFANTS LE 29 MARS 2025...

 

Source : lindependant.fr - J-G - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LORETTE ET BERNARD ET LA 4CV PLEIN POT SUR LES GRANDS BOULEVARDS DE CARCASSONNE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - PARTIR EN VEHICULES ANCIENS ET RETROUVER LE TEMPS DE VIVRE .....

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ELLE EST TROP FORTE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE ET REVUE DE PRESSE - PIERRE CARDIN ET LES AUTOMOBILES ....

 

Pierre Cardin Automotive était un constructeur automobile américain qui proposait un coupé de luxe à prix élevé appelé Evolution I à partir de 1980 . L'entreprise a utilisé le nom du créateur de mode français Pierre Cardin , qui a obtenu la paternité de la conception de la carrosserie de ce véhicule. 

L'évolution I était une soi-disant voiture de charme. un véhicule qui était basé sur un modèle de grand volume bien connu et avait une carrosserie aliénée et un intérieur exclusif. Seuls quelques dizaines d'exemplaires ont été fabriqués en 1981 et vendus en 1982. 
Source : J-Paul Caille-BELLES AUTOS


CLUB5A - REVUE DE PRESSE - Tour Auto 2025, la France des petites routes...

 

Dès mardi 8 avril, près de 250 véhicules de collection couvrant la période de 1930 à 1981 sont attendus sur les routes de France pour la 34e édition de cette classique annuelle. Direction Nice via Dijon, Mulhouse et Villeneuve-lez-Avignon. 
Cela fait 34 ans que ça dure. 
Depuis 1992, près de 250 équipages font l’école buissonnière au mois d’avril pour participer à la rétrospective du Tour de France Automobile, l’une des épreuves routières parmi les plus renommées, qui a connu son heure de gloire entre 1950 et le début des années 1970. Le programme des réjouissances n’a rien d’une promenade de santé : réveil aux aurores pendant cinq jours, 2 000 km de petites routes, et coucher avec les dernières infos de la nuit. Mais pour rouler sur les traces de leurs glorieux aînés - Gendebien, Moss, Mairesse, Consten, Larrousse, Darniche, Ragnotti pour n’en citer que quelques-uns -, les participants sont prêts à tous les sacrifices. 
Avoir été retenu par le comité de sélection est déjà une première victoire. 
Chaque année, il y a plus d’appelés que d’élus. Pour en être, il vaut mieux présenter une automobile produite à peu d’exemplaires ou une curiosité. 
L’édition 2025 ne déroge pas à la règle et les spectateurs massés le long des routes ou dans les villes étapes pourront découvrir à peu près tout ce que l’automobile compte de fascinant et de spectaculaire. En écho à l’âge d’or du sport automobile, la plupart des véhicules engagés couvrent les années 1950 à 1970. Les plus anciennes sont deux Bugatti, un Type 55 de 1935, et un Type 57S de 1936. 
Les modèles populaires de grand-papa sont aussi de la partie : Peugeot 404, Citroën DS 21. Mais le gros bataillon des engagés est composé de Porsche 911, du modèle 2 litres de 1965 à la 3.0 RS de 1975 en passant par les 2.3 ST du début des années 1970. L’édition 2025 met toutefois à l’honneur la Lancia Stratos qui a commencé sa carrière sportive en 1973 par une victoire au Tour Auto avant de dominer le championnat du monde des rallyes.
 Cette année, plusieurs exemplaires sont engagés. Dans le cockpit de la Groupe 4 portant le numéro 119, on trouvera l’horloger Richard Mille et Pierre Fillon, le président de l’Automobile club de l’Ouest. 
En cette année des 70 ans de la naissance d’Alpine, un grand nombre de berlinettes se retrouveront sur les routes de France. On ne change pas une formule qui marche, cette année encore, les concurrents se répartissent dans les deux catégories «Régularité» et «Compétition». Les premiers se reconnaissent à leurs numéros de course rouge jusqu’à 149 et les seconds disposent de numéros noirs à partir de 150. 
Des épreuves sur circuit et des spéciales de rallye permettent de départager les concurrents. Comme son nom l’indique, pour la Régularité, il faut être le plus près possible de la moyenne choisie pour l’emporter. 
En compétition, c’est bien entendu le plus rapide qui gagne. Dans le classement VHC, la victoire se jouera certainement entre les AC Cobra, les Jaguar Type E et les Lotus Elan 26R toujours très à l’aise dans les spéciales. 
Dès le dimanche 6 avril jusqu’au lundi 7 avril, la caravane du Tour Auto élit domicile au parc des expositions de Paris, porte de Versailles. Le départ mardi 8 avril emmène les participants au château de Vaux-le-Vicomte, en Seine-et-Marne, à proximité de Melun. 
Les participants prendront ensuite la direction de Dijon, première ville étape de ce Tour 2025, via Chablis. Le circuit de Dijon-Prenois ponctuera cette première journée. Mercredi 9 avril, 387 km attendent les équipages pour rejoindre Mulhouse en passant par le circuit l’Anneau du Rhin. 
Le jeudi s’annonce plus corsé avec une traversée de la France, de Mulhouse à Clermont-Ferrand, soit 608 km, en passant par le circuit de Bresse et les régions viticoles du Mâconnais et du Beaujolais. Le vendredi 11 avril, les rescapés rejoindront Villeneuve-lez-Avignon, après une halte au circuit de Charade et deux spéciales sur route. Il restera encore 400 km de petites routes pour atteindre l’arrivée promenade des Anglais, à Nice. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE-LA FORD VEDETTE… FRANÇAISE AVANT D’ETRE AMÉRICAINE !!

Ford Vedette. Elle a beau s’appeler Ford et avoir un look d’américaine, la Vedette est une française bien de chez nous. Une française qui trouve toutefois ses origines… outre-Atlantique, comme vous allez le comprendre. La Ford Vedette est une limousine à six glaces latérales présentée par la filiale de Ford en France (Ford SAF) en octobre 1948. La Vedette concurrence la Citroën Traction Avant 15-Six. 
Succédant aux Matford d'avant guerre, la voiture est le premier modèle de Ford SAF. Équipée d'un moteur V8 à soupapes latérales (les soupapes ne sont pas en haut du moteur ou en tête, il n'y a donc pas de culbuteurs) de 60 ch SAE et basée sur une étude de voiture d'entrée de gamme Mercury de Ford USA non retenue pour le marché américain, elle fut d'abord une limousine à deux volumes. 
 La Vedette est la première voiture Ford en France à proposer une suspension avant à roues indépendantes avec des triangles superposés et des ressorts hélicoïdaux, cela en attendant sa remplaçante la Versailles sur laquelle l'ingénieur Earle MacPherson1 développera sa suspension à jambe de force. Une autre originalité est les portes arrière à ouverture inversée (cette disposition est appelée aujourd'hui « portes antagonistes »). 
 Pour les modèles 1950, un coach et un cabriolet s'ajoutent jusqu'en 1952 ainsi qu'une boîte de vitesses Cotal en option avec commande manuelle électromagnétique. Les pare-chocs sont inversés (bourrelet en bas). Ceux-ci sont plus longs en mai 1951 tandis que les enjoliveurs de roue sont lisses. Pour 1952, le coupé de luxe Comète est lancé. En mai 1952, l'Abeille est une version utilitaire dépouillée de tous chromes avec un hayon arrière en deux parties. 
 Pour 1953, la Vedette, qui est remaniée, est présentée avec une carrosserie cossue trois volumes avec coffre séparé. L'ancien pare-brise en deux parties planes, devient en une seule partie en gardant son angle central et la calandre est nouvelle. En mai, le nom Vedette s'inscrit sur la baguette latérale. Celle-ci s'affine et se prolonge sur la porte avec l'écusson de la ville de Poissy pour 1954. En octobre 1953, la marque lance un puissant modèle de haut de gamme (22 CV), la Vedette Vendôme. 
Elle bénéficie d'un moteur Mistral de 3,9 litres de 95 ch SAE d'origine Mercury qui transforme le comportement de la voiture. Le même traitement moteur est appliqué au Coupé Comète qui devient la luxueuse Ford Comète Monte-Carlo. La série suivante (Vedette modèles 1955 Trianon Versailles Régence) présentée en septembre 1954 n'a conservé le nom de Ford que durant quelques mois. L'absorption de Ford SAF par Simca en 1954 fit que le nouveau modèle s'appela Simca Vedette série Versailles dès le mois de décembre 1954.
Source : René SELIGMANN

jeudi 3 avril 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - LA B2 DE PATRICK RESTE UNE TRES JOLIE VITRINE POUR NOTRE ASSOCIATION...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LA RENAULT 4 ET LES JEUX DU CIRQUE ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE EPOQUE OU LES NORMES DE SECURITE ETAIENT TRES ALEATOIRES !!


 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - LA PUCH 250 MODÈLE ALLSTATE...

En 1964  250 motos du modèle Allstate ont été construites par Puch et vendues aux États-Unis sous la marque Allstate. Le moteur Twin, qui était un moteur 2-temps 250cc avec un cylindre et 2 pistons. Le réservoir Chromé est vraiment sympa, et c'est une petite moto qui a bonne mine. La version autrichienne de cette moto a été appelé le PUCH SGS (Schwing-Gabel-Sport). C'est une moto classique.... 
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, MOTO DE LEGENDE - LA PUCHE 250 MODÈLE ALLSTATE...
Les Puch 250 SGS ( S chwing- G Abel- S du port) était une moto fabriquée par l' autrichien Steyr Daimler Puch AG en Thondorf près de Graz .
La moto était propulsé par un split-single moteur à deux temps (deux pistons partageant une seule chambre de combustion). 

Il a été commercialisé aux États-Unis par Sears comme la «Allstate 250" ou "Twingle".
Un total de 38 584 Puch 250 SGS motos ont été produites entre son lancement le 1 Octobre, 1953 et la fin de la fabrication en 1970.
Source : classic-motorcycle.com

CLUB5A – PHOTO INSOLITE - Seules les images ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire ….


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO-MOTO - IL VAUT MIEUX EN RIRE....


 

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