dimanche 2 mars 2025

CLUB5A - PILOTE DE LÉGENDE AUTO - JUAN MANUEL FANGIO...

Après la 2éme guerre mondiale, une fois la paix revenue Maserati recommence à construire des automobiles de compétition. Un homme clé intègre l’équipe Maserati l'ingénieur Alberto Massimino, un ancien de Fiat, passé aussi chez Alfa Roméo et chez Ferrari. Il sera responsable de la conception de tous les modèles compétition pendant dix ans.
Juan Manuel Fangio Maserati 250F sur le circuit de Modena Italie 
 Avec lui et les ingénieurs Giulio Alferi (1924-2002), Vitorrio Bellantani et Gioachino Colombo (1903 - 1987), l'auteur du moteur V12 Ferrari, qui le rejoignent, 

Maserati retrouve les succès en course notamment avec le célèbre pilote JUAN MANUEL FANGIO dans les années 1950 avec la A6GCM jusqu'au championnat du monde en 1957 avec la mASERATI 250F. Fangio sera entouré d'autres pilotes célèbres comme Emmanuel de raffenried (1914-2007), Louis Chiron(1899-1979) et le Prince Bira (1914-1985). 
 Maserati se distingue ensuite dans les courses de voitures sport avec la Tipo 60 et la Tipo 61surnommée « cage à oiseau » en référence à son inhabituel châssis multitubulaire.

 En 1946, les premières voitures sportives de route sortent de l'usine Maserati, à commencer par la A6 1500, présentée au Salon de Genève. Elle sera construite à environ 150 exemplaires.

Source vidéo : flatlanddotcc

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samedi 1 mars 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PETITE PAUSE EN BORD DE ROUTE POUR LES PARTICIPANTS LORS DE CETTE SORTIE MOBYLETTES...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - NOS ENNEMIS N'ONT QU'A BIEN SE TENIR CAR NOTRE EQUIPEMENT MILITAIRE EST VAIMENT OPERATIONNEL !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT TESTER LA SOLIDITE D'UNE AUTOMOBILE ??


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - L'époque où Valéry Giscard d’Estaing faisait entrer Peugeot à l’Élysée....

 

Avec le troisième président de la Ve République, la marque au lion remplace Citroën dans la cour de l’Élysée. Tout un symbole. Dès son élection à la présidence de la République, Valéry Giscard d’Estaing veut inscrire son mandat dans la modernité. Cela tombe bien: sa prise de fonction coïncide avec l’arrivée d’une nouvelle génération de grandes routières françaises. En fonction depuis les débuts de la Ve République, la Citroën DS a fait son temps. Si la CX la remplace dans le courant de l’année 1974, l’antique DS joue les prolongations à l’Élysée. 
Pendant encore près de deux ans. Quant à la SM rallongée et cabriolet exécutée par le carrossier Chapron sous le mandat de Georges Pompidou, elle est réservée aux défilés et aux grandes occasions. Animée par un modeste 4-cylindres 2 litres de 102 chevaux, la nouvelle berline du quai de Javel n’a pas le prestige suffisant pour transporter le chef de l’État. Cela viendra avec le modèle Prestige mais Valéry Giscard d’Estaing se plaint du manque d’espace aux places arrière. Même avec la version rallongée par Heuliez. Sans compter que le moteur de la CX souffre de la comparaison avec le V6 PRV qui vient se glisser sous le capot des Peugeot 604 et Renault 30. C’est ainsi que la grande berline de la marque de Sochaux révélée en mars 1975 au salon de Genève intègre dans le courant de l’année suivante le garage de l’Élysée. 
À dire vrai, la 604, qui incarne le charme discret de la bourgeoisie, correspond mieux que la nouvelle Citroën mais aussi à la Renault 30, à l’image du troisième président de la Ve République. De par son architecture bicorps (avec hayon), la R30 n’est pas aussi statutaire que sa concurrente de Sochaux conçue autour d’une silhouette tricorps. La ligne se défend de toute originalité mais la 604 représente la plus longue, la plus large, la plus luxueuse des voitures françaises. D’une longueur de 4,72 m et animée par le V6 2,6 litres de 136 ch à carburateur, cette grande routière commercialisée au tarif de 41 700 francs en version SL revendique une vitesse de pointe de 180 km/h. Il faut croire que la berline franc-comtoise est à son goût car Valéry Giscard d’Estaing ne rechigne pas à en faire son véhicule principal et privé. S’il n’est pas aussi amateur de voitures que son prédécesseur Georges Pompidou qui roulait en Porsche 356 avant d’entrer à Matignon, Valéry Giscard d’Estaing apprécie prendre le volant de sa 604 en compagnie de sa famille.
 En Auvergne notamment. Les différentes 604 qui vont composer le parc de l’Élysée transporteront également de nombreuses personnalités du monde politique. Lors de son voyage officiel en France, le président américain Jimmy Carter sera ainsi véhiculé dans la grande berline sochalienne. Même si des CX Prestige rallongées par Heuliez sont aussi utilisées durant son septennat, Giscard d’Estaing leur préférera la berline Peugeot. Le troisième président de la Ve République restera l’homme qui a fait entrer Peugeot à l’Élysée.  
Élu en 1981, François Mitterrand se convertira assez rapidement à Renault. Quant à Valéry Giscard d’Estaing, il restera fidèle à la marque sochalienne jusqu’à la fin de sa vie. Ce n’est qu’avec la prise de fonction d’Emmanuel Macron que Peugeot a fait son retour à l’Élysée. Il utilise ainsi régulièrement un SUV 5008 blindé. Soucieux d’assurer la promotion de l’industrie française, le président actuel circule aussi en fonction des circonstances en Renault Espace et en DS7 Crossback. 
Source : lefigaro - Sylvain Reisser-Label Image

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CLUB5A - VOITURE DE LEGENDE - LA VOISIN C23 CHAR DE 1931 LA VOITURE ART-DECO !!

 

Voisin C23 Demi-Berline Char 1931....En règle générale Les voitures sortant des ateliers « Avions Voisin » possédaient déjà leurs propres carrosseries, à une époque où la plupart de ses concurrents directs livraient encore des châssis nus qui devait être ensuite habillés par un carrossier. Les carrosseries Voisin étaient toutes identifiées par un code tiré du « Lieber » télégraphique. Au début du 20èmesiècle, l'envoi de télégraphes était une action couteuse et les messages n'étaient pas protégés.
 Des codes furent alors créés pour rendre les télégrammes moins chers et surtout plus sécurisés. Le Lieber est l’un d’entre eux. C’est ainsi que le modèle C23 présenté en mars 1931 possède plusieurs déclinaisons : en berline 5 places (Charente), en demi-berline (Char) et en conduite intérieure 6- 7 places (Chartril). Dérivé du précédent type C14, cette voiture possède toujours un châssis (« type Meltem ») de dimensions identiques, à 3,22 m d’empattement. 
Le moteur 6 cylindres en ligne, sans soupapes, licence Knight, se situe maintenant à 2994 cm3 de cylindrée. Grâce à une restauration exemplaire, on peut admirer l’intérieur incroyable de cette C23. Tout à fait dans son époque, avec ce style « Art- Déco » qui rend les Voisin si différentes. 
De la même façon, la carrosserie en alumiuim, tout en angles vifs, la signale immédiatement comme étant une création de Gabriel Voisin. Cette C23 fait d’ailleurs l’actualité du moment puisqu’elle est utilisée par l’acteur Benoit Poelvoorde dans le film de Clovis Cornillac « Les couleurs de l’incendie » . 
Photos prises à l’exposition « l'Art Automobile », Château de Neuville à Gambay (Yvelines), en septembre 2022. Source : Les Ancêtromobilistes-Thierry Gil-Jean-Noel Rossignol

vendredi 28 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - DOMINIQUE PARMI TOUS CES HOMMES SAIT SE FAIRE ENTENDRE QUAND IL LE FAUT !


 

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CLUB5A - PILOTE DE LÉGENDE - LEON THERY CELUI QUE l'ON SURNOMMAIT LE CHRONOMÈTRE !!

Léon Théry (16 avril 1879 - 8 mars 19091), dit Le Chronomètre pour ses temps en course, est un pilote automobile français vainqueur, notamment, à deux reprises de la coupe automobile Gordon Bennett. Fils du graveur Louis Eugène Théry, Léon Théry naît au domicile de ses parents dans le 10e arrondissement de Paris De formation mécanicien (déjà embarqué à 19 ans sur le Paris-Amsterdam-Paris en juillet 1898 sans piloter, interpellant alors André Michelin d'un fameux « voilà Bibendum, vive Bibendum » qui devait définitivement populariser ce tout récent personnage alors qu'il ne connaissait pas le latin).
 Léon Théry effectue six grandes compétitions sur voitures Decauville entre 1899 et 1903, obtenant avec ce constructeur une deuxième place lors du premier Tour de France automobile dans la catégorie Voiturettes en 1899, une victoire face à son compatriote Dumond lors du Richmond Motor Show anglais la même année en catégorie professionnel, une victoire dans la Coupe des Voiturettes en 19006 suivie d'une deuxième place dans le deuxième Critérium des Voiturettes derrière Louis Cottereau, ainsi que de deux succès durant la semaine de Nice en mars 1900 -à la côte de La Turbie et à l'étape d'Arles-Salon-de-Provence, puis il se classe dix-huitième du Paris-Bordeaux 1901, soixante-douzième du Paris-Vienne 1902 (malgré une chute dans l'Arlberg)10 et vingt-sixième du meurtrier Paris-Madrid 1903. 
Il doit abandonner au Paris-Bordeaux 1899 (état d'épuisement et amnésie), au Paris-Arras-Paris 1902 et au circuit des Ardennes de Bastogne en 1902. Il est alors renommé pour sa documentation méthodique, et son « journal de course » est scrupuleusement tenu, avec des détails nombreux sur les circuits, l'état des routes, les pneumatiques, la fiabilité des moteurs, la performance des voitures… en respectant ensuite le plus scrupuleusement possible les vitesses estimées qu'il avait notées dans son carnet de bord. 
 Bientôt pilote vedette du constructeur Charles-Henri Brasier, il gagne en 1904 la course des Ardennes françaises en Champagne-Ardenne ainsi qu'une première fois les Éliminatoires Françaises de la Coupe Internationale le 20 mai au circuit d'Argonne à près de 100 kilomètres par heure et il est la même année aussi vainqueur une première fois le 17 juin avec son mécanicien embarqué Muller de la coupe internationale Gordon Bennett au Taunus en Allemagne près de Hombourg (course à laquelle assiste dans une région montagneuse et boisée l'empereur Guillaume II, devant Camille Jenatzy le vainqueur en 1903 et des représentants de huit nations) sur une Richard-Brasier 80 HP. 
À son retour à Paris, des milliers de parisiens l'acclament au balcon de l'Automobile Club de France et Fernand Charron fait augmenter ses primes ainsi que celles de ses trois mécaniciens déplacés en Allemagne pour l'occasion ; puis il part avec Brasier pour une tournée de gala en Amérique.
 Il est ensuite victorieux le 5 juillet de l'année suivante désormais une 96 HP, sur le circuit, déplacé en Auvergne près de Clermont-Ferrand suite à sa victoire (comptant pour la France) l'année précédente. 
Le parcours est à accomplir quatre fois (en tout 548 km) et il pilote une Brasier de onze litres, obtenant la victoire dans cette course de renommée mondiale toujours avec Muller en 7 heures et 6 minutes sur le circuit dit Michelin, soit une moyenne de presque 80 km/h, alors que ses pneumatiques Michelin ont subi un traitement de vulcanisation spécial. En cette même année 1905 Théry a aussi remporté pour la seconde fois les Éliminatoires  Françaises de la Coupe Internationale le 16 juin, déjà en Auvergne, en réalisant une première fois sur le circuit Michelin le meilleur temps au tour à 82 km/h de moyenne. 
Léon Théry participe au Grand Prix de l'ACF 1908 mais abandonne dans l'avant dernier tour sur un problème de roue. Ses deux succès contribuent à la décision de l'Automobile Club de France d'organiser un premier Grand Prix automobile de France en 1908. 

 Il essaie alors de monter durant deux ans sa propre structure de course, sans succès : ayant beaucoup investi, il doit travailler comme chauffeur du reporter de La Vie au grand air lors de la course cycliste Paris-Bordeaux, en mai 1908. Il participe encore sur une Brasier au grand prix de l'ACF à Dieppe en 1908, un retour en compétition effectué à la demande de Charles-Henri Brasier, malgré l'évolution de sa maladie rénale (pneu éclaté au dixième tour, alors qu'il était quatrième et premier français). 
Théry avait alors de nouveau mis son expérience technique et sa popularité au service de la firme Michelin, mais il meurt en son domicile dans le 17e arrondissement de Paris à près de trente ans d'albuminurie quelques mois plus tard, en lien avec une tuberculose rénale, ayant pu cependant durant sa carrière effectuer 13 courses en 7 saisons (hors GP de France). Il est inhumé le 11 mars 1909 au cimetière du Père-Lachaise.
 Léon Théry et Charles-Henri Brasier avaient été accueillis en héros à travers les rues de Paris après leur deuxième Gordon Bennett Cup, avant d'être reçus au Palais de l'Élysée par le Président Émile Loubet. En 2005, pour le centième anniversaire de la seconde victoire dans la Bennett Cup, de nombreuses manifestations ont été organisées, l'administration postale éditant pour l'occasion un timbre18,19 et la Monnaie de Paris frappant une médaille commémorative avec Léon Théry au volant de sa Brasier, ainsi qu'une coupelle argentée avec son médaillon.
Source : British Pathé - BSP Vintage

jeudi 27 février 2025

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR IMAGE SUR LA SORTIE MOTOS DU 23 FEVRIER 2025 "SOUPE AUX CHOUX"...

Source : lindependant.fr -JG - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - BERNARD ET LORETTE DE BON MATIN LEUR FIDELE 4CV ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - EN FRANCE NOUS N'AVONS PAS DE PETROLE MAIS NOUS AVONS DES SOLUTIONS ENERGETIQUES !!


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LES CONSIGNES DE SECURITE ONT VRAIMENT CHANGE AU FIL DU TEMPS.....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA DEUDEUCHE MULTI-FONCTIONS DE NOS CAMPAGNES ...


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LES JOLIES SORTIES DE GRANGES !!

Sortie de grange...quel amateur de voiture ancienne n'a pas rêvé de tomber un jour au hasard d'une promenade nez à nez avec une merveille endormie an fond d'une vieille grange...Et il est vrai que plusieurs belles histoires circulent au sujet des sorties de granges...
Il arrive parfois de tomber sur des modèles rares ou n'ayant que très peu servi, bien protégés par une épaisse couche de poussière ou une bâche. Après une courte restauration, les voilà pimpants prêts à reprendre la route...J'ai eu la chance de tomber l'été dernier sur une vraie "sortie de grange" : une citroën C4 "dans son jus", complète mais terriblement oxydée, et n'ayant finalement que peu de chances d'en sortir, de cette grange. Mais peu importe, elle était là, n'avait pas bougé depuis des lustres : depuis combien de temps exactement ? 
Et pourquoi était-elle là, qui l'avait mise, pourquoi sa vie s'est elle arrêtée à cet endroit ? 
Quelle a été son histoire, forcément passionnante...? 

 Une sortie de grange, c'est un morceau de passé à l'état brut. Plus récemment, je me suis rendu avec un ami dans une autre grange, où étaient entreposés depuis des années deux trésors. Il s'agissait d'une part d'un modèle unique, conçu par Gordini pour le salon 1948. 
Révolutionnaire, entièrement fabriqué en aluminium, ce prototype parfaitement symétrique entre l'avant et l'arrière et extrèmement léger se caractérise par la présence d'un moteur central qui sépare les deux sièges avant (dans le sens de la marche) des deux sièges arrières qui sont dos à dos. C'est une véritable curiosité, dont je vous laisse découvrir les photos dans l'album "sortie de grange". A coté se trouve une Citroën B4, dans un état incroyable, avec son intérieur étonnant de fraicheur, et qui n'a pourtant jamais été restauré... 
 Source : Faits Intéressants- citropersoboulot.typepad.com/Petites Observations Automobiles

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mercredi 26 février 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PHOTO DE GROUPE POUR CETTE SORTIE MOBYLETTES....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - CE N'EST PAS L'ENDROIT IDEAL POUR SE SOUVENIR DE LA DERNIERE BALADE EN MOTO ..


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - A TOUT AGE SON VEHICULE VINTAGE .....


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION AUTO - Restauration Voiture Ancienne Peinture Porsche 911 Turbo TARGA ....

La Porsche 911 est une voiture de sport et de luxe fabriquée par la firme allemande Porsche. La commercialisation de la première génération commence en 1963. Elle est alors la première intégralement conçue par la firme de Stuttgart. Près de cinquante ans plus tard, le modèle historique de Porsche en conserve l'esthétique et le nom. La 911, dans la version de type 991, est toujours produite et vendue. 
L'architecture du moteur est restée inchangée jusqu'à aujourd'hui. Il s'agit du 6-cylindres à plat (flat-six), disposé en porte-à-faux arrière. La Porsche 911 est le modèle le plus célèbre de Porsche. Le modèle actuel a beaucoup évolué par rapport à la première génération : il existe en effet une quinzaine de modèles différents de la Porsche 911, les anciens modèles font aujourd’hui partie des voitures de sport les plus recherchées par les collectionneurs.

Source : Psykopaint custom

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