dimanche 5 janvier 2025

CLUB5A - SPORT AUTO - Deuxième édition de la concentration Alpine Alain Serpaggi : « J’ai arrêté la compétition en 1975 »

À 81 ans, l’ancien pilote automobile Alain Serpaggi n’a rien perdu de sa passion pour la course et l’Alpine. Son attachement à la marque reste intact. Il participe ce samedi 7 septembre, à la deuxième concentration Alpine dans les jardins de l'abbaye de Thiron-Gardais. De quand date votre première collaboration avec Alpine ? 
J’ai été embauché comme vendeur au siège d’Alpine à Épinay-sur-Seine le 1 er mars 1968. Six mois après on m’a proposé un volant et j’ai participé à mes premiers 24 Heures du Mans ! En fait, avant, je faisais déjà de la compétition. Je pilotais pour l’importateur Triumph en France. Et j’avais déjà contacté plusieurs fois Alpine pour essayer de trouver un volant chez eux mais sans suite ! Je me disais alors qu’une fois un pied dans la maison j’essaierais de devenir pilote. Finalement, cela s’est réalisé mais un peu plus tard. 
En 1974, j’ai été champion d’Europe des prototypes avec une Alpine A441. Quels souvenirs gardez-vous de votre première participation aux 24 Heures du Mans ? J’ai pris le départ au volant d’un prototype Alpine 1.500 cm 3 et j’ai terminé à la neuvième place. Pour une première course sur le circuit mythique du Mans, c’était formidable. Après j’ai continué. On m’a confié des monoplaces. C’était mon rêve de courir sur ces voitures-là. De quelles courses êtes-vous le plus fier ? En 1974, j’ai remporté le championnat d’Europe des prototypes avec une Alpine A441. Une belle victoire. Champion d’Europe, c’est un titre enviable. Et en 1985, j’ai été Champion de France des rallyes avec une Renault 5 turbo. 
J’ai aussi participé cinq fois aux 24 Heures du Mans. Quand avez-vous arrêté la compétition ? J’ai couru jusqu’en 1975. Après, j’ai travaillé à l’usine Alpine de Dieppe où grâce à mon expérience de la course automobile, je me suis occupé de la mise au point des voitures. J’ai encore l’occasion de la conduire de temps en temps. J’ai continué à travailler jusqu’en 1995, l’année où je suis parti en retraite. Vous n’avez pas pour autant stoppé vos activités... Je fais beaucoup de démonstrations pour Renault Classic, un service de la marque qui gère toutes les anciennes voitures, celles de séries mais aussi celles de course et de rallye.


 Une voiture légère, que l’on conduit avec beaucoup de plaisir. Ma mission est d’entretenir les voitures de course et d’effectuer des démonstrations lors de différentes manifestations. Cela me permet de rester en contact avec le milieu de l’automobile et de la course. L’Alpine, c’est la passion de toute votre vie ... 

Je porte un regard bienveillant sur le milieu Alpine au sein duquel j’ai fait toute ma carrière. Avec les clubs, on a continué à faire revivre la marque lors de différentes manifestations. C’est une voiture passion, une voiture extrêmement légère, vivante que l’on conduit avec beaucoup de plaisir, en faisant le plein de sensations. Aujourd’hui, quel regard portez-vous sur la compétition ? 
La passion ne m’a jamais quitté. Je suis toujours de très près les courses et les rallyes qui se déroulent chaque année. Le jeune pilote chartrain Anthoine Hubert est dernièrement décédé lors d’une course de Formule 2, en Belgique. Le connaissiez-vous ? Je l’avais croisé. J’ai eu l’occasion de faire des essais avec lui il y a deux ans. 
Je l’avais également rencontré il y a deux ans sur le circuit de Goodwood en Angleterre où nous conduisions chacun une formule 1 lors de démonstrations. C’est un accident terrible. La sécurité s’est beaucoup développée sur les circuits mais malheureusement en course automobile le risque zéro n’existe pas. 
Source : lechorepublicain.fr/Matthieu Turel-CarsGuide

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

samedi 4 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - ENTRE JEAN-LOUIS ET REGIS C'EST UNE LONGUE HISTOIRE D'AMITIE...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - COMMENT CALCULER FACILEMENT MON SALAIRE BRUT ET NET ??


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - NOUVEAU : POUR UN MEILLEUR DEMARRAGE UTILISEZ UN ANTI-PARASITE AVEC FILTRE !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - SORTIE DE GRANGE...LA TRACTION CITROËN 11B 1953.....



Sortie de grange, lavage et mise à l'abri de ma  Citroën Traction Avant 11B de 1953. "11" veut dire 11 chevaux fiscaux et B signifie qu'elle est "normale", contrairement aux "BL" qui sont dites "légères...
Blog de club5a : Association Audoise des Amateurs d'Automobiles Anciennes, TECHNIQUE AUTO - Sortie de préau Traction 11B 1953...

La Citroën Traction Avant est une automobile produite par le constructeur français Citroen de 1934 à 1957. Son histoire est liée dans la mémoire collective à l'Occupation, tour à tour voiture de la Gestapo et icône de la Résistance, sa facilité à être volée associée à des qualités routières exceptionnelles pour son époque en faisant par ailleurs le véhicule préféré des gangsters.
Tractionfr02.jpg
Cette automobile dispose d'une particularité peu répandue à l'époque : ce sont les roues avant, et non pas arrière, qui sont motrices. La traction avant  n'est pas une innovation puisqu'avec Cord aux États-Unis puis Adler ou DKW en Allemagne, des constructeurs la proposent déjà en série depuis plusieurs années. Cette technique est en tout cas rapidement associée en France à la Citroën, ce qui lui vaut son surnom de « traction ». La vraie nouveauté du modèle est en fait d'associer sur un même véhicule les solutions les plus modernes de l'époque avec, en plus de son mode de transmission, une structure monocoque, des freins hydrauliques et une suspension à roues indépendantes. La Traction Avant bénéficie quoi qu'il en soit d'une meilleure tenue de route que la plupart de ses contemporaines, ce qui attise l'imagination des publicitaires : « La Traction Avant dompte la force centrifuge ». Sans cesse améliorée par André Lefebvre, cette Citroën a ouvert la voie à la production en grande série de véhicules équipés de cette technique, ses qualités lui valant une longue carrière et une production de 760 000 exemplaires.
Source :le mecano du dimanche

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

vendredi 3 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - IL EST IMPORTANT D'ATTENDRE LES RETARDATAIRES...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LE SAVIEZ-VOUS ? CHAQUE PARTIE DU PNEU CORRESPOND A UNE SAISON !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE BEN-HUR MODERNE ....


 

CLUB5A - MOTO DE LÉGENDE - La Harley Davidson Rocker...

Harley Davidson se met au chop’ radical. Le Rocker 1600 C reprend le look des hardtail sans sacrifier au confort. 

 - Et si la Harley Rocker secoue, c’est uniquement comme un bon vieux rock’n roll.
Le look hardtail (cadre rigide et selle hyper basse, parfois montée sur ressort) est là, mais pas l’inconfort de ce type de machines. En effet, un amorto astucieusement planqué préserve à la fois les lombaires du pilote et la ligne vintage de la machine. - En outre, la Rocker C (C pour chrome) dispose également d’un siège passager escamotable sous l’assise du conducteur. Une simple manipulation permet d’assembler les deux éléments et de déplier la partie arrière. 
L’assise est plutôt accueillante d’autant que la distance selle-repose-pieds est tout à fait acceptable (+ de 400 mm). Au guidon, assis hyper bas (641 mm), replier la béquille est d’une étonnante simplicité. Seul le poids (311 kg sans les pleins) oblige à prendre correctement appui lors des s’arrêter au feu. - Une fois en route, l’empattement de super tanker (1760 mm) et le large point d’appui de son énorme pneu arrière (240 mm) permettent d’évoluer à faible vitesse sans se stresser pour trouver son équilibre. Un point fort pour ce type de machine qui ne tourne pas dans un mouchoir de poche ! - Mais on se surprend à enchaîner les virages avec un réel plaisir. Motorisé par le nouveau 1600 cm3, la Rocker C offre les sensations que l’on attend d’une moto aussi radicale grâce à une poussée généreuse dès 2.000 tr/min. Verdict.Plein de charmes, véritable réplique « usine » des choppers américains.
 Source texte : moto-mag.fr -Etienne Garcin-Marrou / Rolling Thunder Harley Davidson

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES MOTOS - LA MOTO REVE ...LA MOTO DE VOS RÊVES !!

Moto Rêve est un ancien constructeur de motos suisse , qui a existé de 1904 à 1925 et qui possédait également des succursales au Royaume-Uni , en Australie , en France et en Italie . 
Fondé Moto Rêve (dt. De rêve à moto ou rêve moto ) par l' ingénieur David et les concepteurs Kustner et Retor.  Moto une fois l' un des Rêve du fabricant de motos les plus avancées en Europe. Le premier modèle a été présenté en 1906 et était alimenté par un petit moteur V2. Moto Rêve a ouvert entre 1912 et 1917 deux succursales anglaises.
 Pour la société, la production au Royaume-Uni représentait une opportunité d'utiliser des câbles Bowden . L'utilisation de cette innovation brevetée en dehors de l'Angleterre a posé des problèmes juridiques. 
Les Moto Rêves fabriquées au Royaume-Uni étaient différentes des Suisses, en particulier les cadres étaient différents. Plus tard, des usines ont été construites en Australie, en France et en Italie. Les fabriqués en Angleterre motos Moto-ont été parmi les Rêve noms Alp et MR vendus. Moto Rêve était connu pour son moteur V2 de 298 cm3, 403 cm3 et 497 cm3 de cylindrée, ainsi que pour les moteurs monocylindres plus petits .
 Après la Première Guerre mondiale, une baisse de la marque a été observée. Enfin, en 1925, un nouveau moteur avec soupapes en tête et une cylindrée de 346 cm3 a été introduit. En Angleterre, des machines furent à nouveau proposées sous le nom de MR . 

 Le nom exact de l'entreprise était Moto-Rêve SA (Genève), plus tard Moto Rêve Ltd (Acton Vale, Middlesex) et Moto Rêve Ltd (Alperton, Wembley). En 1907, une moto à moteur intégré Moto Rêve est présentée au Stanley Show de Londres sur le stand Norton Motorcycles sous le nom Energette . Norton utilise ce nom depuis 1902 pour les premiers vélos à moteur de la marque, qui étaient toutefois équipés de moteurs monocylindre de Clément & Cie .
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0 yesterdaysnl

jeudi 2 janvier 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - PHOTO DE GROUPE POUR CETTE SORTIE NEIGE ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - IL Y A DE QUOI HESITER !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE BON TUYAU C'EST PEUT-ETRE CELUI QUE L'ON TRANSPORTE !!


 

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? - UN TRIPORTEUR ROYAL-ENFIELD EQUIPEE D'UNE MITRAILLEUSE ANTI-AERIENNE..

 

Une Royal Enfield 6HP V-Twin affichant l'une de ses positions de fusil alternatives anti-aériens. 
Capturée à l'extérieur des œuvres originales d'Enfield Cycle Co à Redditch, cette incroyable photographie....1914-1915.. 
Source :  collection d'archives et date d'environ. 

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

mercredi 1 janvier 2025

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UN VOLANT ET DE LA BONNE MUSIQUE ...C'EST PEUT ETRE CELA LA MEILLEURE THERAPIE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - EST-CE LA BONNE FACON DE FAIRE LE PLEIN SUR UNE COCCINELLE ?


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTOS - Renault "les années turbo" sur le stand de Youngtimers !!

Nos confrères du magazine Youngtimers ont eu la bonne idée de rendre hommage aux années turbo chez Renault en rassemblant sur leur stand presque tous les modèles de série dotés de cette technologie.
 
Classic Car ou automobile de collection sont des termes utilisés pour décrire un ancien modèle d’automobile (généralement plus de 30 ans). 
Mais le sens exact est sujet à des différences d’opinion selon l’âge, le genre, la marque, le modèle, et l’histoire du véhicule. Une Citroën Traction Avant, modèle emblématique français 1934-1957. La Fédération internationale des véhicules anciens (FIVA)1 a décidé en octobre 2008, l’adoption d’une nouvelle définition du véhicule historique. 
Cette nouvelle définition place l’âge limite à 30 ans au lieu de 25 ans. 
Les youngtimers sont des voitures dont la production a stoppé depuis au moins 15 ans et pas encore trentenaires, trop récentes pour être considérées comme de collection par la FIVA et une certaine frange de la communauté des collectionneurs. 
 Leur faible valeur les met à la portée des bourses les plus modestes. 
Certains modèles regroupent de nombreux passionnés, d'autres intéressent moins les amateurs. 
Ces voitures commencent à être considérées grâce notamment en France à une presse spécialisée en croissance dédiée à l'automobile de collection.
Source : automotomagazine

CLUB5A - RESTEZ CONNECTES AU BLOG DU CLUB 5A CARCASSONNE...


 

mardi 31 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - JOSETTE DANS L'ACTION ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - SECURITE ROUTIERE : IL VAUT MIEUX UN PETIT CLIC QU'UN GRAND CHOC !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE COCCINELLE SURVITAMINE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - LA RENAULT EPURE ...CONTRE LA MORTALITE ROUTIERE !!

 

Renault EPURE (1979)... Au début des années 1970, la mortalité routière devient un sujet qui intéresse l’Etat français qui compte bien faire chuter le nombre de victimes, qui sont alors entre 1.000 et 1.500 en moyenne chaque mois. Face à ces chiffres l’Etat français va frapper tous azimuts : comportement des automobilistes, amélioration du réseau routier, et amélioration de la sécurité des automobiles. La Renault E.P.U.R.E, présentée en 1979, est une illustration de ce dernier point. L’année 1972 est une année noire pour les automobilistes avec plus de 18.000 morts sur les routes françaises, l’Etat s’engage alors dans une politique de lutte contre « l’insécurité routière » et met en œuvre des mesures qui ont un fort retentissement médiatique, à commencer par les limitations de vitesse instituées entre 1973 et 1974 avec le choc pétrolier en couverture de fonds pour justifier la mesure, ou encore la ceinture de sécurité devenue obligatoire en 1973 hors agglomération. 
Si le comportement de l’automobiliste doit évoluer, il en va de même pour l’automobile qui doit devenir plus sûre, l’Etat français s’appuie sur la Régie Renault pour lui livrer une étude qui servira d’étalon en la matière. A cette époque, les études en matière de sécurité automobile commençaient à apparaître, à l’initiative de l’organisme américain NHSB (National Highway Safety Bureau) qui a lancé un concours, initialement entre les constructeurs américains, puis mondiaux, visant à présenter une voiture à sécurité passive. Ford, GM, Fiat, Volvo, Mercedes, Nissan, Renault et tant d’autres répondent à l’invitation et propose leur vision d’une voiture à sécurité passive. Renault a ainsi présenté son concept-car BRV en 1974. Quelques années plus tard, l’Etat français s’intéresse à son tour aux questions de sécurité passive des automobiles et fait appel à Renault, entreprise nationalisée, à développer une étude en ce sens mais qui pourrait se voir produite en série. 
Pour y inciter Renault, l’Etat français prend à sa charge 50% du développement de la voiture. 60.000 heures de travail plus tard, Renault rend sa copie en 1979 sur la base d’une Renault 5 nommée « EPURE » pour « Etude pour la Protection des Usagers de la Route et de l’Environnement ». Concrètement, l’EPURE ressemble à une Renault 5 (lire aussi : La Renault 5) dont la face avant a été profondément remaniée, mais dans les détails, il s’agit bel et bien d’un petit laboratoire roulant qui expérimente diverses pistes pour les futurs modèles de la Régie. L’Etat français, quant à lui, se servira de l’EPURE pour analyser ce que les constructeurs pourraient être en mesure de faire sur la sécurité passive, et modifier la législation pour les y contraindre.
 L’étude EPURE vise ainsi trois type de protections :
 – La protection contre les chocs frontaux : la Renault EPURE est étudiée pour voir son avant se déformer pour encaisser le maximum d’énergie en cas de choc, la structure de la voiture est quant à elle améliorée pour rendre l’habitacle indéformable et en faire une bulle de sécurité pour ses occupants. Un important travail autour de la ceinture de sécurité est réalisé pour rendre solidaires les occupants à la voiture, notamment à l’aide de cartouche de gaz qui sont censées resserrer les ceintures en cas de choc. Notons également l’amélioration du réservoir d’essence censé limiter les risques d’explosion. – La protection contre les chocs latéraux : La Renault EPURE voit ses longerons renforcés, les portes bénéficient d’une armature les rendant plus solides et au besoin, solidaires avec le reste de la carrosserie. 
Ces dernières sont rembourrées à l’aide de matériaux souples destinés à épouser la forme du corps humain si besoin. – La protection des piétons : Beaucoup d’accidents de la circulation se faisaient entre une voiture et un piéton, c’est pour cela que l’Epure se dote d’un pare-choc taillé pour éviter les blessures aux genoux, le capot quant à lui repose sur deux cylindres de caoutchouc qui lui permettent de se déformer lors de l’impact avec un piéton. Enfin, les gouttières sur le toit sont protégées par des écrans en plastique. 
 Au final, la Renault EPURE ne pèse que 850kg sur la balance et les performances en matière de sécurité passive sont comparables à l’étude BRV présentée cinq ans plus tôt, et ce alors même que l’EPURE pèse 400kg de moins. Si l’EPURE ne fut pas produite en série, les travaux intégrerons les développements des autres modèles de la Régie pour proposer des voitures encore plus sûres… 
Source : lautomobileancienne.com-superCode by digiSchool
superCode by digiSchool

lundi 30 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - CETTE ANNEE LA LA B2 CITROEN ETAIT DE SERVICE POUR LA TOURNEE DES CADEAUX DE NOEL...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - LES AVANTAGES D'UNE BMW AU MOMENT DU REPAS !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE AUTO - CHAÎNE DE MONTAGE ET ASSEMBLAGE DE VOITURES EN 1926 AUX ETATS UNIS ....

Le travail à la chaîne vise la productivité du travail ( produire « plus » en « moins de temps ») Reposant initialement sur l'introduction des méthodes scientifiques d'organisation du travail (l'OST), le concept hérite par la suite des possibilités ouvertes par l'automatisation.
Le travail à la chaîne mis en œuvre dans les abattoirs inspire Henry Ford qui déclare dans sa biographie : « L'idée générale de la chaîne m'est venue en regardant les bennes utilisées dans les abattoirs pour parer les bœufs.» 
 Le 1er mars 1913, est installée dans l'usine automobile de Détroit la première chaîne d'assemblage d'une voiture automobile, le Modèle T, voiture conçue et destinée à un large public. 
L'originalité du procédé réside dans l'installation à mi-hauteur de corps d'homme d'un convoyeur qui déplace d'un poste de travail à un autre le véhicule en cours de montage. 
Le travail étant apporté à l'ouvrier (et non l'inverse), celui-ci n'a plus qu'à exécuter les opérations limitées et strictement définies qui lui ont été allouées. La méthode se révèle efficace : le temps de montage est divisé par douze dans les années 1920.
Source vidéo : bysv33

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - GARDONS LE CONTACT !!


 

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - La Duesenberg de la reine de Yougoslavie aux enchères...

 

Lors de sa vente d’Amelia Island les 6 et 7 mars prochain, la maison Gooding & Company vendra la plus célèbre des Duesenberg Model J. Entré dans le giron de la maison de ventes Christie’s au mois de septembre dernier, Gooding & Company commence à lever le voile sur son programme 2025. Dans le cadre de ses ventes d’Amelia Island, les 6 et 7 mars prochains, la maison spécialisée dans la vente de voitures de collection et de prestige proposera la Duesenberg Model J de 1931 ayant appartenu à la reine Maria de Yougoslavie. La femme d’Alexandre 1er de Yougoslavie acquiert ce majestueux convertible après son exposition au Grand Palais, dans le cadre du salon de l’automobile de Paris. Depuis ses débuts au Salon de l’auto de New York à la fin de l’année 1928, la Duesenberg Model J est le porte-drapeau de l’industrie automobile américaine par son ingénierie, sa technologie et son luxe. 
Comme de nombreux véhicules de prestige à cette époque, chaque Duesenberg Model J bénéficie de carrosseries personnalisées et beaucoup d’entre elles sont habillées par les carrossiers européens les plus en vogue. C’est le cas de la Model J Convertible Sedan de 1931, châssis n° 2465, moteur n° J-446. L’élégante carrosserie berline cabriolet à double pare-brise porte la signature de la carrosserie française Franay, installée à Levallois-Perret. Ce modèle était à l’origine fini en gris perle et intérieur beige rose. 
 Après l’avoir utilisé pendant quelque temps, la reine Maria l’a cédée au baron du sucre et playboy international Antonio Chopitea de Lima, au Pérou. Les frères Chopitea étaient des acheteurs en série de Duesenberg et sont surtout connus pour être propriétaires de la Figoni « French Speedster » à ailes de ponton. Revenu en France chez un brasseur parisien, le châssis J-446 traverse ensuite définitivement l’Atlantique. Entrée dans la collection de Charles Goodman en 1977, elle bénéficie d’une restauration complète en 1996. Depuis, elle a remporté de nombreux prix dans les concours d’élégance : classe Touring d’avant-guerre à laLouis Vuitton Classic organisée au Rockefeller Center de New York ; le Concours d’élégance de Pebble Beach et le Concours d’élégance de Meadow Brook Hall en 1997 ; le Concours d’élégance de la Villa d’Este 2005. Prête pour un nouveau départ, la Duesenberg Model J parmi les plus célèbres de la lignée dispose d’un bouchon de réservoir en cristal Lalique. Elle est estimée entre 1,7 et 1,9 million de dollars. 
 Source : lefigaro.fr-Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...