mercredi 23 avril 2025

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - RESTAURATION D'UN MOTEUR DE SOLEX....

Reportage sur la restauration d'un solex..dans les phases de finitions...
Solex est l'entreprise de mécanique créée vers 1905 par Maurice Goudard (1881-1948) et Marcel Mennesson (1884-1976), tous les deux centraliens, et connue pour ses carburateurs et son cyclomoteur, le VéloSoleX. En 1905, création par Maurice Goudard et Marcel Mennesson d'une société à leur nom, vite rebaptisée Solex, qui fabrique des radiateurs centrifuges, puis des carburateurs et starters pour automobiles. 
 En 1906, premiers grands succès pour Solex, qui gagne l'appel d'offres lancé par la Compagnie générale des omnibus, ce qui représente quatre cents autobus à équiper de carburateurs centrifuges, et donnera la notoriété nécessaire au groupe. En 1916, Marcel Mennesson fait une demande de brevet pour une bicyclette peu gourmande en énergie avec un moteur auxiliaire à explosion à loger au centre de la roue arrière ; ce brevet lui sera accordé le 31 décembre 1917. 
 En 1918, un second brevet est déposé ; il sera délivré en mai 1919 pour un deux-roues complet consistant en : un cadre composé d'un tube unique de large section allant de la selle à la colonne de direction en passant par le repose-pied, ainsi qu'une suspension avant par fourche pendulaire. Ces brevets ne seront jamais suivis d'une mise en production. 
 En 1940, Marcel Mennesson fait réaliser un prototype de l'engin avec moteur à explosion situé sur l'avant. 
Les caractéristiques sont celles du futur Solex : cylindrée de 38 cm³, une transmission par galet, le cylindre décalé par rapport à l'axe de la roue et le carburateur à niveau constant alimenté par une pompe à membrane avec retour du surplus de carburant vers le réservoir. En décembre 1940, ce moteur est installé sur un vélo d'homme Alcyon à grandes roues de 700, couleur noir à filets blanc et rouge, c'est donc le premier modèle de VéloSoleX.

Source : Jaltaniac-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

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CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - LA SIMCA ARONDE P60 ..LA VOITURE EN AVANCE SUR SON TEMPS !!

La Simca Aronde P60, P pour personnalisation et 60 pour la décennie à venir (sous-entendu « en avance sur son temps ») a été construite pour les modèles 1959 à 1963. Une première série de P60 fut refusée par Henri Pigozzi, alors qu'il en avait déjà été produit 750 exemplaires, tous de couleur noire, avec des différences avec la P60 finale, non au niveau de la ligne générale, mais au niveau du traitement des formes, de la calandre, des pare-chocs avant (en deux parties), des ailes et des feux arrière. 
Ceux-ci furent stockés à Bordeaux, quai de Bacalan, puis vendus en majorité dans les pays de l'Est comme taxis : 100 exemplaires partirent vers l'Allemagne, les exemplaires restants furent vendus aux employés de la firme avec interdiction de les revendre à un tiers, et sinon de les ramener à Poissy (vraisemblablement pour être détruits). Il reste cependant des exemplaires roulants et restaurés de ces voitures aujourd'hui, désignées sous le nom de Simca Aronde P60 Bacalan. 
Dévoilée en avant première au Salon de l'automobile de Paris à l'automne 1958, elle est présentée officiellement et commercialisée en janvier 1959. Présentée comme un nouveau modèle, la P60 n'est en fait que l'ultime évolution de l'Aronde, lancée deux ans plus tôt mais dont les ventes s'essoufflent déjà de manière dangereuse. Faute de temps et surtout de moyens financiers pour concevoir une voiture entièrement nouvelle et moderne, la direction de Simca décide de simplement rajeunir l'Aronde en conservant toute la base mécanique. 
Aidée par une audace de style et surtout un marketing très agressif, la P60 fera illusion. Elle a connu un grand succès mais assez éphémère. La P60 produite en grande série avait des lignes plus tendues et plus modernes. Elle connut deux motorisations : le moteur « Flash », puis le moteur « Rush » à cinq paliers pour 19611. Au total, 1 400 000 Aronde ont été construites, dont 455.000 P60. 
C'est principalement grâce à ce modèle que Simca a été le second constructeur automobile français à la fin des années 1950. Simca avait le don de communiquer et s'y employa avec bonheur sur son modèle phare, durant toute sa carrière. Ainsi, l'Aronde bénéficia d'intenses et très efficaces campagnes de presse, recevant même « l'Oscar de la publicité » pour le lancement de la gamme P 60. Deux modèles sportifs apparaissent : un coupé « Plein-Ciel » et un cabriolet « Océane ». Le 22 mai 1963, elle est remplacée par la Simca 13001.
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0-Hallebarde

lundi 21 avril 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UN EQUIPAGE FEMININ QUI N'ENGENDRE PAS LA MELANCOLIE...


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - Restauration complète d'une Citroën DS ID20 en 5 semaines.!!

La Citroën ID est une automobile construite par Citroën, version simplifiée de la Citroën DS. On opposait symboliquement la « déesse » à « l'idée ».
À sa sortie, en mai 1957, la Citroën ID 19 Luxe est motorisée par un « moteur série D » 1 911 cm3 66 ch à carburateur simple corps (double corps sur DS). C'est une évolution du moteur « 11 D » de la Traction Avant 11 cv, doté d'une culasse hémisphérique. Elle partage avec la DS la suspension hydraulique, mais s'en démarque par la boîte de vitesses à embrayage classique, la direction et le freinage non assistés. Les ID, à la finition moins luxueuse que la DS, se reconnaissent à l'absence d'enjoliveurs de roues, aux enjoliveurs de phares couleur carrosserie et non chromés (petits enjoliveurs de roues et tours des phares chromés à partir des modèles 1959), au caoutchouc noir de leur entourage de pare-brise (couvre joint gris sur DS), à leurs cornets de clignotant arrière en plastique bordeaux puis noir (chromés sur DS) et aux chevrons argentés apposés sur la malle arrière (dorés sur DS). 
Le toit des ID est en fibre de verre translucide non peint (couleur coquille d'œuf) ; il est peint en blanc à partir des modèles 1962. Le cabriolet ID 19, lancé en juillet1 1961, possède une présentation identique à celle du cabriolet DS hormis la planche de bord de la berline et l'absence des grilles « cendriers » au-dessus de chaque aile avant. À partir de février 1962, après environ trente exemplaires produits, il hérite du moteur de la DS 19 puis il est supprimé courant 19651. Au total, pour la série D, 741 747 berlines et 93 919 dérivés break ont été fabriqués. Lors de son lancement, dans le courant du millésime 1957, l'ID 19 fut proposée en trois niveaux de finition : version ID 19 Luxe (berline, break, familiale, commerciale) : Chronologiquement, c'est la première version commercialisée en mai 1957. 
Culasse hémisphérique, 66 ch SAE (135 km/h). Par rapport à la DS 19 : sièges avant à dossiers fixes, absence d'accoudoir central arrière, petits accoudoirs rajoutés uniquement sur les portes arrière à partir des modèles 1959, tissu intérieur spécifique et garnitures de sièges lavables sur break et dérivés, tapis de sol caoutchouc à l'avant, pas de montre, pas de garniture intérieure de pavillon (jusqu'au modèles 1962), coffre sans capitonnage. 
 version ID 19 Normale : Commercialisée quelques semaines après, uniquement en berline, c'est une version encore plus basique. Culasse type Traction Avant, 63 ch SAE (130 km/h), pieds milieux et ceintures de pavillon peints en noir, roue de secours dans le coffre (sous capot moteur pour autres versions) plaque Citroën sur le pare-chocs arrière (pas de chevrons sur la malle)2, couleur noire uniquement, vitres AR fixes, pas de joints de portes, banquette AV à la place des sièges, un seul pare-soleil... 
Cette version à l'équipement spartiate a eu une diffusion confidentielle, elle fut retirée du catalogue en 1961. version ID 19 Confort (berline, break, familiale, commerciale) : Commercialisée a l'été 1957, c'est l'ID haut de gamme, celle qui fut la plus diffusée, réalisée à partir du modèle Luxe. Trois accoudoirs de portes intégrés dans les panneaux latéraux (pas d'accoudoir sur porte conducteur), sièges avant inclinables, montre, miroir de courtoisie, accoudoir arrière central (sur berline et break), amenée de chauffage à l'arrière gauche et joints de porte2. L'ambulance était livrée d'office en finition Confort. Durant la longue carrière de l'ID, l'équipement s'est régulièrement amélioré.  
Source : Manu PRODIMAGE

CLUB5A - REGLEMENTATION - Ce panneau entre officiellement dans le code de la route, ne pas le respecter peut coûter 135 euros d’amende...

 

Depuis le 9 avril, ce nouveau panneau - qui était testé depuis 3 ans - est désormais officiellement entré en vigueur. Le Figaro résume ce qu’il faut savoir. 
Depuis le 9 avril 2025, un nouveau panneau de signalisation routière vient de faire officiellement son entrée dans le code de la route. 
Il s’agit de «la création d’une nouvelle signalisation verticale d’information relative au respect du corridor de sécurité». Ce panneau - à la définition un peu barbare -, signifie simplement qu’à «la vue d’un véhicule immobilisé ou circulant à faible allure sur bande d’arrêt d’urgence» faisant l’usage «de ses feux de détresse ou de ses feux spéciaux», il faut ralentir, s’éloigner, et changer de voie si possible. 
Gare à l’amende Selon l’arrêté relatif à la modification de la signalisation routière, cette évolution vise à «améliorer la sécurité des usagers de la route et la sécurité des agents de la route», et à «adapter la signalisation à certaines contraintes des gestionnaires de voirie». 
Une amélioration de la sécurité qui n’intervient pas du jour au lendemain, le dispositif est testé depuis trois ans en expérimentation sur les autoroutes Vinci et plusieurs axes très fréquentés. 
Et si vous ne respectez pas ce panneau, attention à l’amende, une contravention de quatrième classe est prévue, soit 135 euros. Dans les faits, même avant l’installation de ces panneaux, le corridor de sécurité, était déjà inscrit dans le Code de la route depuis 2018 (article R.412-11-1). 
Texte qui imposait déjà aux conducteurs de ralentir, de s’écarter ou de changer de voie «lorsqu’ils croisent un véhicule d’intervention ou un véhicule en détresse sur l’accotement ou la bande d’arrêt d’urgence». 
D’après le baromètre 2024 de la conduite responsable, publié par Vinci Autoroutes, l’installation de ces panneaux a entraîné une meilleure connaissance de la règle : la part de conducteurs ignorants le corridor de sécurité est passée de 27% en 2020 à 19% en 2024. 
Même si, selon la même étude, 67 % des conducteurs n’appliquent pas systématiquement cette règle, «et chaque semaine, un véhicule d’intervention est percuté sur le réseau Vinci Autoroutes», indique le concessionnaire autoroutier. Source : lefigaro.fr - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

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CLUB5A - VOITURE DE LÉGENDE - la Mini...brillante cure de modestie !!

L’histoire de l’automobile s’est écrite avec celle des crises des XXe et XXIe siècles. Fin 1956, la crise de Suez fait réapparaître les tickets d’essence. Et le souci chez les constructeurs de développer des petits moteurs. Réponse outre-Manche avec la Mini, une citadine au chic anglais qui se vendra à plus de 5 millions d’unités. Un coup de tonnerre dans un ciel serein. Fin 1956, alors que semblait définitivement écarté le spectre du rationnement, le fiasco de l’expédition franco-britannique contre l’Egypte de Nasser va brusquement réveiller de vieux démons. 
Non seulement les deux pays, contraints par l’Union soviétique et les Etats-Unis, ne pourront s’opposer à la nationalisation du canal de Suez décidée par le président égyptien, mais ils vont déclencher une brève mais sévère crise pétrolière. Fin novembre 1956, les automobilistes français voient réapparaître avec effroi les tickets d’essence. La crise de Suez engendre une pénurie qui ne prendra fin qu’en juillet suivant, accompagnée d’une forte hausse du prix à la pompe. 
 Chez les constructeurs, on comprend vite que l’heure est aux petits moteurs. D’autant que, mi-1956, a été instituée la fameuse vignette automobile destinée – en principe – à financer la création du minimum vieillesse. Chez Simca, cette nouvelle donne inspire l’Ariane, dérivée de la luxueuse Trianon mais avec la modeste mécanique de l’Aronde.
 Lourde, cette familiale aux faux airs d’Américaine se traîne dans les montées mais elle se vendra plutôt bien. De l’autre côté de la Manche, le sentiment qu’il faut opter pour une forme d’humilité automobile est tout aussi prégnant. Père de la Morris Minor (1948), qui fut aux Britanniques ce que la 4CV fut aux Français, Alec Issigonis (1906-1988) est chargé en mars 1957 par la direction de la British Motor Corporation (BMC, constructeur né de la fusion d’Austin et de Morris) d’imaginer un petit modèle adapté au nouveau contexte. 
Anglais d’origine grecque, cet ingénieur qui sera anobli par la reine va faire preuve d’une rare audace. Présentée en 1959, sa création porte un nom qui résume parfaitement l’enjeu : Mini. Elle se faufile et se gare partout Cette voiture au style merveilleusement équilibré qui la rendra intemporelle présente un rapport habitabilité/encombrement jamais vu. 
Elle ne mesure que 3,05 m (40 cm de moins qu’une Renault 4CV !) mais peut recevoir quatre passagers (certes un peu serrés, à l’arrière…) et quelques bagages. Ses roues fichées aux quatre coins de sa carrosserie comme ses suspensions articulées sur des supports en caoutchouc lui procurent une tenue de route impeccable et la rendent très amusante à conduire. Comble de l’originalité, le moteur a été logé en position transversale avec la boîte de vitesse juste en dessous. L’ensemble est léger, la consommation est réduite. 
Ces choix permettent de s’affranchir du sacro-saint principe, synonyme de médiocre comportement routier, consistant à loger la mécanique sur l’essieu arrière comme le pratiquent les petites Renault et Fiat. La création de Sir Alec rompt avec le conservatisme dans lequel la production automobile britannique s’était retranchée. Elle élargit le spectre de la production automobile en apportant la démonstration qu’une petite voiture peut être prise au sérieux.
 La Mini incarne le chic anglais en à peine plus de trois mètres de long, tout en demeurant un objet accessible réalisé avec une économie de moyens. Cette petite merveille sonne l’heure de la voiture à vocation urbaine. Alors que les villes poussent comme des champignons et commencent à connaître des problèmes de surpopulation automobile, la Mini se faufile et se gare partout. Indéboulonnable, ce modèle produit à 5,3 millions d’unités jusqu’en 2000 résistera aux diverses tentatives (Mini Clubman, Austin Metro) destinées à lui succéder. La Mini se trouvera finalement une descendance en 2001, lorsque BMW décidera non pas de la remplacer mais de la réincarner en bonne et due forme. 
 Source : Les crises dans le rétro-Jean-Michel Normand-Lunaris2142

dimanche 20 avril 2025

CLUB5A- SORTIE NEIGE DU 13 AVRIL 2025 - SUR LES PETITES ROUTES DES HAUTS PLATEAUX DE L'AUDE !

 

Les prévisions climatiques qui nous avaient été communiquées pour cette excursion « neige » étaient véritablement représentatives d’un mois d’avril en mode « pluvieux », avec un temps imprévisible et des températures légèrement fraîches… 30 véhicules et 56 participants prêts à s’attaquer aux petites routes à la limite des P.O de ce magnifique département de l’Aude, plus spécifiquement la zone d’Escouloubre. 
Le dimanche 13 avril 2025 à 8h30 du matin, comme convenu, nous étions réunis sur le parking près des rives de l'Aude, à la salle des associations. 
Comme d'habitude, Corinne et Patrick étaient aux commandes, soit pour finaliser et organiser la balade, soit pour nous préparer un café chaud...nous remercions chacun d'entre vous pour votre disponibilité ! 
 Avec le carnet de route de l'itinéraire en main, nous étions pleinement préparés à nous lancer dans la bataille. Mais avant de partir et nous « lâcher » Patrick nous à effectuer un briefe afin de nous préciser quelques points implorants sur le parcours. 
En route vers les petites voies situées à environ 1000 mètres d'altitude et leurs paysages époustouflants ! 
9 heures…Il est urgent de s'en aller. Corinne et Patrick, les coordinateurs de cet événement, donnent le coup d'envoi et c'est parti pour un circuit d'environ une centaine de kilomètres…voir plus….et toujours sous la pluie. 
Comme le souligne Patrick, l'essentiel est de se retrouver d'abord pour l'apéritif et ensuite pour le repas. Après une heure de trajet sous une pluie battante, nos organisateurs avaient prévu un rassemblement sur un parking. 
Mais aussitôt arrivé…aussitôt repartit.(il pleuvait toujours) A travers nos parebrises et les gouttelettes de nos vitres latérales, nous pouvions apercevoir de magnifiques paysages, sans parler des jolis petits villages que nous pouvions admirer. 
À propos de l'apéritif, et oui, vous l'aviez deviné, les hauts alpages donnent soif ! 
 C’est devant la salle polyvalente que celui-ci était organisé…moment très conviviale. Une fois que les « glottes » étaient bien désaltérées, nous avons filé au restaurant où nous avions prévu de prendre le déjeuner, à savoir « LE COCHON DE MADRE » à Escouloubre ! 
Le repas était vraiment excellent composé de produits locaux et certains fait maison, servi par un personnel très compétent et sympathique. 


Nous remercions toute l'équipe pour cet accueil impeccable et ce repas à la fois délicieux et généreux... 
 Le retour s'est bien déroulé... 
Merci à Corinne et Patrick pour cette organisation impeccable. (Malgré la météo mais celle-ci sera toujours imprévisible) 
On se retrouve l'année prochaine pour une autre aventure en neige…ou pas ! 
  Texte : PL – photos : P-L-Sonja-Régis-Famille Raynaud - Famille Letuc

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - HUMOUR ET GIBOULEE DE NEIGE N'EST PAS INCOMPATIBLE...


 

CLUB5A - Humour auto - "Retour vers le futur"....

 


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samedi 19 avril 2025

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - UNE TABLE D'ORIENTATION BIEN UTILE POUR NOS TROIS ADHERENTS ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - LA MOTO DU CELEBRE BARON ROUGE A ETE RETROUVE....


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - UNE PETITE SOIF ?....CITROEN A TOUJOURS UNE SOLUTION A VOUS PROPOSER ....


 

CLUB5A - REPORTAGE TECHNIQUE ET RESTAURATION - GUILLAUME BROCHU ARTISAN-DESIGNER-MÉCANICIEN !!

l’atelier de l’artisan-designer-mécanicien Guillaume Brochu, un passionné de motos de course vintage. Dans cet univers fascinant, nous découvrons comment ces motos sont démontées et reconstruites minutieusement pour en faire non seulement des engins performants uniques, mais aussi de véritables œuvres d’art. 
Voici une compagnie du Québec qui fabrique de belles motos. Guillaume Brochu, fondateur de Purebreed Fine Motorcycles à Granby, se spécialise dans la restauration de café-racers. Guillaume ne pensait pas devenir restaurateur de motos anciennes. 

Diplômé en comptabilité, il a travaillé comme sommelier et comme représentant des vins avant de se lancer dans le monde de la moto. 

C’est un de ses amis qui l’a initié, il y a quelques années, lors d’un voyage en Italie, là où ce type de moto est très populaire. Son expérience était presque nulle en tant que mécano de motos, mais il a tout de même fondé Purebreed Motorcylces. 
Il a donc dû apprendre par lui-même en déléguant les tâches qu'il ne pouvait pas faire. Il a installé son atelier dans le quartier industriel de Granby. Il refait les motos de A à Z, pratiquement toutes les pièces sont neuves. Il voit et revoit chaque pièce pour s’assurer que tout soit parfait. Toutes les motos qu’il restaure ont le logo Purebreed et non celui de la marque d’origine (même principe que Deus Ex Machina). Il donne carrément une deuxième vie à des motos que plusieurs croient bonnes pour les vidanges. 
 Les motos Purebreed se vendent aux alentours de 10 000$. C’est le prix d’une moto neuve, parce que s’en est pratiquement une. Selon moi, c’est encore mieux qu’une moto neuve puisqu’elles sont plus puissantes, plus belles (selon moi) et personnalisées pour chaque client. 
Il passe environ 300 heures à travailler sur une moto avant qu’elle soit terminée et il met en moyenne 8000 $ de pièces neuves par moto. 
 Je suis très emballé de voir qu’une compagnie du genre est établie au Québec. 
Ce sont des produits de qualités qui gagnent à être connus. J’espère un jour être moi-même client chez Purebreed. Je vous invite a visiter la page Facebook de Purebreed pour plus d'information et pour être au courant des projets futurs.
Source : Lud Ovic - Motos cafe racers S1 FR-tonbarbier.com

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