mardi 17 décembre 2024

CLUB5A - REPORTAGE AUTO- Tour Auto.... les marques italiennes disparues !!

On ne dira jamais assez que la rétrospective du Tour Auto, qui se déroulera entre Paris et Nice, n'est pas uniquement une épreuve sportive. Elle remplit une mission esthétique et culturelle. C'est ainsi que la manifestation française accomplit un devoir de mémoire et s'attache à rendre hommage à certaines marques disparues qui sont venues, au gré des époques, chercher gloire et notoriété sur les routes de France. L'an dernier, les organisateurs ont célébré les marques françaises. Cette année, c'est au tour des Italiennes de tenir le haut de l'affiche. Cette édition qui s'élance du Grand Palais accueille douze véhicules répondant aux critères de cette catégorie: Autobianchi, De Tomaso, Osca, Siata. Sans verser dans les questions de sémantique et sans chercher le courroux de l'organisateur, qu'il nous soit permis ici d'y ajouter deux autres firmes transalpines. La première n'est autre que Lancia, la seule marque à avoir inscrit son nom au palmarès du Tour avec Ferrari. Personne n'a oublié les exploits de la Stratos bleue aux couleurs de l'importateur Chardonnet et pilotée par Bernard Darniche.
Lancia, on le sait, a disparu du paysage et n'existe plus que sur son marché domestique à travers l'Ypsilon. Pour combien de temps encore? 
Tout est-il que le Tour  donnera à voir plusieurs modèles qui ont marqué de leur empreinte l'histoire de l'épreuve. À commencer par des Stratos, des Fulvia HF et des Flaminia Zagato. La seconde appartient aussi au groupe Fiat. Il s'agit d'Abarth. Or la sortie de l'oubli de ce label n'est que le produit d'une décision marketing. Si aujourd'hui la firme au scorpion se contente de produire des Fiat améliorées, du temps de sa splendeur, elle a donné naissance à de vraies Abarth de sport et de compétition.

 C'est le cas de l'Abarth Simca 2000 GT de 1963 dont on salue la présence d'un exemplaire cette année sur les routes de France. Une idée de Carlo, la berlinette «2 Mila» animée par un 2 litres Simca pouvant afficher plus de 200 chevaux était la bête noire de la Porsche 904 GTS en compétition. 
Autre marque disparue bien représentée cette semaine avec trois modèles, Osca (Officine Specializzate Costruzione Automobili) a été fondée par les frères Maserati - Bindo, Ernesto et Ettore - en 1947 après avoir cédé leur firme à la famille Orsi. 
Pendant près d'une quinzaine d'années, Osca se distingue avec une production confidentielle de voitures de sport et de compétition de petite cylindrée. Certaines ont été habillées par le carrossier milanais Zagato. C'est le cas du splendide coupé 1600 GT que l'on pourra admirer tout au long du parcours passant par les villes étapes de Besançon, Megève, Avignon, Aix-en-Provence et Nice.
L'existence de Siata fut plus longue mais encore plus confidentielle qu'Osca. Fondée en 1926 par Giorgio Ambrosini, la «Societa Italiana Auto Transformazione Accessori» est surtout réputée pour la 208 S de 1953. Sorte d'AC Cobra avant l'heure, ce spider était propulsé par un V8 Fiat en aluminium propulsant aussi la Fiat 8V. La majorité des spiders prirent le chemin des États-Unis. Inconnue des plus jeunes d'entre nous, la marque De Tomaso est aussi au départ avec plusieurs exemplaires de Pantera. Cette berlinette dotée d'un Ford V8 installé en position centrale arrière a participé au Tour au début des années 1970. À la même époque, Autobianchi animait, de son côté, le peloton des petites avec ses A112 Abarth dont deux exemplaires prennent le départ. Mais les italiennes risquent d'être éclipsées par le retour, sur les routes du Tour, d'une Matra MS650. Si la fiabilité est au rendez-vous, entendre rugir le V12 de ce prototype justifie à lui seul le déplacement sur le parcours.
Source : lefigaro.fr /  Jean Yves Gautron

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - DIS PAPA C'EST QUOI UNE HERNIE !!


 

lundi 16 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LES MERES ET PERES NOEL TRES MOTIVES POUR CETTE RONDE NOEL 2016...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - AU VOLANT RESTONS ZEN !!


 

CLUB5A – PHOTO INSOLITE - Seules les images ont la faculté de pénétrer profondément dans la mémoire ….Il fait froid..En moto sortons couvert !


 

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES AMILCAR LA VOITURE FRANÇAISE PAR EXCELLENCE !!

Amilcar C GS 3 de 1924 , fabriqué à seulement 724 exemplaires.7Cv et 4 Cylindres.
Fondée en 1921, Amilcar était une des nombreuses sociétés créées avant la Première Guerre mondiale dédiée aux voitures de sport légères appelés voiturettes.Ce 1924 CGS-3 modèle avait un moteur à quatre cylindres de 1,1 litre. 
Voitures oubliées pendant les temps difficiles des années 30. 
La firme française a fermé ses portes pour de bon en 1939.  
Amilcar est un ancien constructeur automobile français établi à Saint-Denis. La société, célèbre pour ses voitures sportives légères dans la catégorie des cyclecars, a produit des véhicules de 1921 à 1939. Le nom « Amilcar » vient d'un anagramme imparfait des noms des deux fondateurs : Joseph Lamy et Émile Akar. La première réalisation de la marque présentée au Salon de Paris en 1921 est le type CC qui rappelle l'automobile Le Zèbre d'avant-guerre car son concepteur Edmond Moyet était auparavant employé de la marque.
Il s'agit d'un véhicule à deux places entraîné par un moteur quatre cylindres de 903 cm3 à soupapes latérales avec une boîte de vitesses à trois rapports. Sa vitesse maximale est de 75 km/h. L'année suivante, deux nouveaux dérivés sont lancés : le type CS, version sport à châssis court et le type C4, voiturette familiale à châssis long avec quatre places, toutes deux entraînées par un moteur de 1 004 cm3. L'Amilcar la plus célèbre demeure la CGS (pour « Châssis Grand Sport ») du Salon 1923 qui possède un moteur porté à 1 074 cm3 et un freinage sur les quatre roues (brevet Amilcar), mais il n'y a pas de différentiel. Trois ans plus tard, le modèle donne naissance à la plus sportive des Amilcar, la CGSS (pour « Châssis Grand Sport Surbaissé »). 
Lorsqu'elles sont construites sous licence, ces voiturettes s'appellent « Pluto » en Allemagne, « Grofri » en Autriche et « Amilcar-Italiana (en) » en Italie. Dès les débuts, la marque est présente en compétition. En 1922, elle remporte le Bol d'or automobile (2e en 1925). En 1925, pour contrer Salmson, la voiture de course CO est équipée d'un moteur six-cylindres à double arbre à cames en tête avec vilebrequin sur sept paliers à rouleaux de 1 100 cm3 à compresseur.
 Elle bat le record du mille lancé, à 197,42 km/h de moyenne. La version client, la voiture de sport C6 lancée en 1927, possèdera aussi un moteur à double arbre à cames en tête. La même année André Lefebvre-Despaux remporte le rallye Monte-Carlo, sur 1 100 cm3. En 1928, Ernst von Halle termine troisième de l'Eifelrennen sur le Nürburgring (et Vernon Balls cinquième des 6 Heures de Brooklands). en 1939, l'entreprise participe aux 500 miles d'Indianapolis avec Jules Moriceau. En 1930, Charles Bénitah gagne le Grand Prix Automobile du Maroc en catégorie Tourisme à Anfa. 
 En 1933, l'entreprise s'impose pour la deuxième fois au Bol d'or, après avoir été quatrième en 1931. Elle sera encore en 1933 et 1934 cinquième de l'épreuve, puis deuxième des 8 Heures du Bol d'or en 1935, servant alors de course de pré-qualifications. En 1936, Georges Grignard finit troisième pour un dernier podium au Bol, puis en septembre de la même année Fernande Roux est aussi à une troisième place, cette fois du Grand Prix du M.C.F.. 
En 1938, René Biolay est encore deuxième des Coupes de Paris à l'autodrome de Linas-Montlhéry, puis quatrième du Grand Prix des Frontières. Après le conflit mondial, les résultats ne seront plus à la hauteur des attentes, même lors du Bol d'or (André Le Jamtel 4e en 1948). À partir de 1925, une petite voiture de tourisme est fabriquée, le type G suivie par les modèles L, M, M2, M3 et M4. L'année 1929 voit la fabrication d'une 13 CV de luxe, la CS8, avec un bloc moteur à huit cylindres en ligne de 2,3 litres à un arbre à cames en tête. 
Ayant une bonne tenue de route et une vitesse de pointe de 120 km/h, la CS8 disparaît rapidement à cause d'une fiabilité médiocre. En août 1934, à cause de ventes insuffisantes, l'usine de Saint-Denis ferme définitivement. À l'automne, Amilcar présente le modèle Pégase (en) produit avec des moyens réduits à Boulogne-Billancourt. Il possède un moteur quatre cylindres Delahaye et des roues avant indépendantes. En septembre 1937, la société, qui est rachetée et qui fusionne avec Hotchkiss, présente l'Amilcar Compound très avancée dans sa conception due à Jean Albert Grégoire. La production des voitures Amilcar ne survit pas à la Seconde Guerre mondiale.
Source : voituresapedales--alaud56

samedi 14 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR CETTE RONDE DE NOEL GERARD EST PRET ET ATTENDS LE DEPART ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - MOITIE...MOITIE !!


 

CLUB5A - PRESENTATION DE LA NOUVELLE RENAULT 4L...C'ETAIT EN 1961 !!

La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958. 
 Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.

 La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité. 
 En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
À côté de la R3 et de la R4 de base — sensiblement équivalente à la R3 dans sa présentation — il existait une déclinaison « Luxe » dite R4 L, elle se caractérisait par sa troisième vitre latérale et différents accessoires et baguettes inox, qui la rendait plus luxueuse. 
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L. 
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable. 
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT RAMENER SES COURSES QUAND ON EST EN SCOOTER ??


 

vendredi 13 décembre 2024

CLUB5A - REVUE DE PRESSE - RETOUR SUR LA SORTIE MOTOS "CASSOULET" DU 8 DECEMBRE 2024...

Source : l'Indépendant - J-G - Merci DAVID SARDA pour le suivi de l'info...

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - SOPHIE ET PATRICK SUR LES BOULEVARDS DE CARCASSONNE MALGRE LE FROID ...


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - C'EST CELA AUSSI LA FRANCE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - ATTENTION TRANSPORT DE CHAMEAU !!


 

CLUB5A - IMAGES D'ARCHIVES - LES VÉHICULES RENAULT EN DIRECTION DU CAP...C’ÉTAIT EN 1951 !!

Participation de six véhicules Renault au rallye Méditerranée-Le Cap, en février 1951. L'équipe Renault comprenait deux 4CV, une Savane série Coloral, un pick-up série Coloral, un break 1000 kilos Tropic et un camion 5 tonnes avec un moteur horizontal sous le chassis. 
La randonnée Alger-Le Cap (16000 km en 32 étapes) est une épreuve sportive mais aussi un banc d'essai. Avant le départ, les pilotes présentent à Billancourt leurs véhicules et matériel à la direction de la Régie qui n'a pas craint d'engager dans l'épreuve les derniers nés de la série Coloral. Long résumé en images de l'épreuve Alger-Le Cap et des étapes à : Gao, Fort Lamy, Stanleyville, Elisabethville, Victoria Falls, Pretoria, Johannesburg, Port-Elizabeth .   
Source : WKPDIA/CC-BY-SA-3.0. ina.fr

jeudi 12 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - LES JOLIES NATTES DE MICHEL ...


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - L'AVENIR DE L'HOMME C'EST LA MOTO !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - La location avec option d’achat séduit et bouleverse le marché !!

300 euros par mois pour une belle voiture… 
La location avec option d’achat séduit de plus en plus de conducteurs, tout en les incitant à choisir du haut de gamme. 
C’est une révolution silencieuse qui prend racine et commence à modifier la manière de consommer l’automobile. Pour un nombre grandissant d’acheteurs de voitures neuves, la location avec option d’achat (LOA) est en train de s’imposer comme la norme. Acheteurs pas au sens propre du terme, en réalité. Cette pratique qui s’applique à une voiture neuve de particulier sur trois, contre une sur vingt il y a cinq ans, consiste à louer, généralement pour une durée de trois ou quatre ans, un véhicule à une société financière, liée ou non au constructeur.
 Le succès de la formule a déjà changé la communication publicitaire des marques qui, désormais, mettent en exergue un loyer mensuel, de 100 euros à plus de 1 000 euros selon le modèle, plutôt qu’un prix de vente. Au terme du contrat, le véhicule pourra être acquis par son utilisateur à un montant fixé au préalable, mais, dans la presque totalité des cas (plus de 90 %), c’est l’organisme financier ou la marque qui le récupère. La LOA représente aussi une bonne affaire pour les concessionnaires, car elle alimente le marché des occasions récentes qui, jusqu’à présent, se revendent bien. 
Qui dit LOA dit souvent belle bagnole. Pourquoi ? 
L’équation location incite l’automobiliste à monter en gamme et à s’installer au volant d’une voiture qu’il n’aurait sans doute pas pu s’offrir rubis sur l’ongle ou en contractant un prêt. Par ailleurs, la pierre angulaire de ce système est la valeur résiduelle du véhicule à l’échéance de la location. C’est cette donnée qui sert de base au calcul du loyer, qui sera d’autant plus bas que la décote du véhicule, liée aussi au kilométrage parcouru, sera limitée. 
De facto, la LOA avantage les modèles qui ont du succès et/ou appartiennent à des constructeurs « premium ». Cette formule, qui a largement contribué à tirer vers le haut le prix moyen sur le marché du neuf, contrecarre en partie la moindre appétence d’une partie des consommateurs pour l’objet automobile.
Source : lemonde.fr / Jean-Michel Normand / Conso Mag

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LA TWINGO CROSSOVER !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Comment la civilisation de l’automobile va s’éteindre....

 

Tout concourt à mettre fin, d’ici le milieu du siècle, à la possession individuelle d’une voiture. Cette évolution voulue et imposée, en tout cas en Europe, par les gouvernements, les institutions communautaires et les grandes métropoles, semble inéluctable. Il suffit de continuer à rendre les coûts d’acquisition et d’usage de plus en plus élevés et les possibilités d’utilisation de plus en plus limitées. 
L’invention de l’automobile il y a plus d’un siècle a transformé nos sociétés. Elle a en quelque sorte accéléré le rythme de la vie humaine et dopé la liberté individuelle en offrant une mobilité sans précédent. Mais cette liberté individuelle de se déplacer où nous voulons quand nous voulons est menacée sans que nous en ayons forcément conscience. 
 Dans trente ans, serons-nous encore nombreux à posséder une voiture ? Rien n’est moins sûr. L’investissement et le coût d’usage sont de plus en plus élevés et les possibilités d’utilisation de plus en plus limitées rendant chaque jour moins rationnel l’acquisition individuelle d’une automobile. La généralisation des véhicules électriques et un jour autonomes, quand les effets d’annonce et les promesses deviendront réalité, renforce cette évolution. «Une nouvelle relation uniquement utilitaire» Et puis, la voiture ne fait plus beaucoup rêver. Elle est déjà devenue pour une partie grandissante des automobilistes juste une machine au même titre presque qu’un lave-vaisselle. 


Pour les jeunes générations, celles des métropoles mondialisées, elle est même souvent considérée comme une nuisance, archaïque et polluante. Elle n’y est plus nécessaire pour avoir une vie sociale. Les smartphones, les réseaux sociaux, les vélos et les transports collectifs y suffisent. C’est un constat fait notamment par les experts de Bloomberg New Energy Finance (BNEF) qui insistent sur l’impact sur la relation à l’automobile du vieillissement de la population et de la disparition des boomers. Gros consommateurs de véhicules neufs, ils vont laisser la place à des clients plus jeunes, plus citadins et rompus à d’autres moyens de locomotion imposés par la taille et l’engorgement des mégalopoles. 
Cela se traduira par « la généralisation d’une nouvelle relation, uniquement utilitaire, et non plus statutaire et aspirationnelle, à l’automobile ». BNEF ajoute que « l’essor des voitures partagées et autonomes, notamment, fera consommer moins d’automobile et d’une autre façon. » Le pic automobile atteint dans les pays occidentaux au début du siècle L’utilisation de l’automobile dans les pays occidentaux a en fait déjà commencé à beaucoup changer. Elle a atteint son maximum, le pic automobile, au début du siècle et a depuis reflué. Même aux États-Unis, le nombre de kilomètres effectué chaque année par véhicule et par personne baisse depuis 2004. La distance moyenne parcourue au volant d’une voiture par personne a diminué.... 
Source : transitionsenergies.com/AM Importation

mercredi 11 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - RONDE DE NOEL 2016 - JEAN-PIERRE DANS LES STARTING-BLOKS ...


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE PERCE- NEIGE !!


 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - LE H.Y CITROEN EN MODE BIERES DE COLMAR !!


 

CLUB5A - TECHNIQUE ET RESTAURATION - LA COURROIE D’ACCESSOIRES …OUI MAIS ESSENTIEL !!

 

COURROIE D’ACCESSOIRES, CE PETIT MORCEAU DE CAOUTCHOUC …
Du plus modeste bicylindre à plat de quelques centaines de cm3 au plus noble V12 de plusieurs litres de cylindrée, chaque moteur possède une courroie absolument indispensable à son fonctionnement. On y pense rarement, mais la courroie dite « d’accessoires » a au moins deux rôles majeurs dans le fonctionnement du moteur de nos anciennes. La courroie dite « d’accessoire » relie une poulie fixée sur le vilebrequin du moteur aux différents « accessoires » qu’elle va entrainer. Sans rapport avec la courroie de distribution, elle est présente sur tous les véhicules et son importance est cruciale.
LE REFROIDISSEMENT DU MOTEUR 
Sans la courroie, pas de refroidissement moteur. Sur les moteurs refroidis par air (Citroen 2cv et ses dérivés, VW Coccinelle et ses dérivés, Porsche 356 et 911 …) la courroie entraine l’hélice qui pulse l’air dans les conduits d’air du refroidissement. Sur les moteurs refroidis par eau, la courroie entraine la pompe à eau. Sur certaines Saab à moteur 2 temps, la courroie entraine une hélice pour forcer l’air à travers le radiateur d’eau ! Bref, on le comprend facilement, si la courroie se rompt, on ne peut plus rouler, le moteur ne sera plus refroidi. Et peut même casser …
 L’ENTRAINEMENT DE LA GÉNÉRATRICE OU ALTERNATEUR
 De la même façon, tous les véhicules disposent d’une dynamo ou d’un alternateur destiné à recharger la batterie. Un véhicule a besoin d’énergie : l’allumage, en premier lieu, les feux de stop, clignotants et selon les circonstances, éclairage, ventilation, essuie-glace … sans dynamo ou alternateur pour recharger la batterie, cette dernière sera vide au bout de quelques dizaines de kilomètres. Et là encore, la voiture va s’arrêter, même si contrairement au refroidissement, on ne risque pas de casser le moteur. 
LES ACCESSOIRES 
La courroie va également entrainer la pompe hydraulique de direction assistée et/ou le compresseur de climatisation pour les véhicules qui en sont équipés. Sur certaines Mercedes luxueuses, elle faisait également tourner une pompe à vide destinée à faire fonctionner certains accessoires. 
 SA STRUCTURE 
La courroie dite « d’accessoires » est la plupart du temps de section trapézoïdale. Cette structure est celle qui va offrir la meilleure surface de friction mais également permettre le réglage de sa tension sur les véhicules les plus anciens en jouant sur l’écartement des gorges de la poulie à l’aide de rondelles de réglage (en rapprochant les flasques de poulie on tend la courroie, en les éloignant on détend la courroie. Sur les véhicules plus récents, c’est un tendeur à réglage manuel ou automatique qui garantit la bonne tension de la courroie. 
SON REMPLACEMENT 
La courroie d’accessoire est faite de matériaux souples (caoutchouc, fibre etc…) et elle viellit, même si elle ne sert pas. C’est comme pour les pneus : elle sèche et durcit, voire elle craquelle. Et on n’y pense jamais. Certains conseillent de surveiller visuellement l’état d’usure de la courroie. Si la courroie est fatiguée, elle présente des craquelures, des déchirures ou des irrégularités. Notre avis : on la remplace systématiquement à l’acquisition d’une voiture. Et ensuite, c’est au moins tous les 5 ans. Et on en prend une d’avance que l’on met dans la trousse à outils. Elle ne coûte que quelques euros donc on ne prend pas le moindre risque. Son remplacement est généralement à la portée d’un bon bricoleur, mais peut nécessiter la dépose d’autres éléments pour y accéder. 
Source : autocollec.com/Méca Auto Diag
Méca Auto Diag