lundi 16 décembre 2024

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES AUTOMOBILES - LES AUTOMOBILES AMILCAR LA VOITURE FRANÇAISE PAR EXCELLENCE !!

Amilcar C GS 3 de 1924 , fabriqué à seulement 724 exemplaires.7Cv et 4 Cylindres.
Fondée en 1921, Amilcar était une des nombreuses sociétés créées avant la Première Guerre mondiale dédiée aux voitures de sport légères appelés voiturettes.Ce 1924 CGS-3 modèle avait un moteur à quatre cylindres de 1,1 litre. 
Voitures oubliées pendant les temps difficiles des années 30. 
La firme française a fermé ses portes pour de bon en 1939.  
Amilcar est un ancien constructeur automobile français établi à Saint-Denis. La société, célèbre pour ses voitures sportives légères dans la catégorie des cyclecars, a produit des véhicules de 1921 à 1939. Le nom « Amilcar » vient d'un anagramme imparfait des noms des deux fondateurs : Joseph Lamy et Émile Akar. La première réalisation de la marque présentée au Salon de Paris en 1921 est le type CC qui rappelle l'automobile Le Zèbre d'avant-guerre car son concepteur Edmond Moyet était auparavant employé de la marque.
Il s'agit d'un véhicule à deux places entraîné par un moteur quatre cylindres de 903 cm3 à soupapes latérales avec une boîte de vitesses à trois rapports. Sa vitesse maximale est de 75 km/h. L'année suivante, deux nouveaux dérivés sont lancés : le type CS, version sport à châssis court et le type C4, voiturette familiale à châssis long avec quatre places, toutes deux entraînées par un moteur de 1 004 cm3. L'Amilcar la plus célèbre demeure la CGS (pour « Châssis Grand Sport ») du Salon 1923 qui possède un moteur porté à 1 074 cm3 et un freinage sur les quatre roues (brevet Amilcar), mais il n'y a pas de différentiel. Trois ans plus tard, le modèle donne naissance à la plus sportive des Amilcar, la CGSS (pour « Châssis Grand Sport Surbaissé »). 
Lorsqu'elles sont construites sous licence, ces voiturettes s'appellent « Pluto » en Allemagne, « Grofri » en Autriche et « Amilcar-Italiana (en) » en Italie. Dès les débuts, la marque est présente en compétition. En 1922, elle remporte le Bol d'or automobile (2e en 1925). En 1925, pour contrer Salmson, la voiture de course CO est équipée d'un moteur six-cylindres à double arbre à cames en tête avec vilebrequin sur sept paliers à rouleaux de 1 100 cm3 à compresseur.
 Elle bat le record du mille lancé, à 197,42 km/h de moyenne. La version client, la voiture de sport C6 lancée en 1927, possèdera aussi un moteur à double arbre à cames en tête. La même année André Lefebvre-Despaux remporte le rallye Monte-Carlo, sur 1 100 cm3. En 1928, Ernst von Halle termine troisième de l'Eifelrennen sur le Nürburgring (et Vernon Balls cinquième des 6 Heures de Brooklands). en 1939, l'entreprise participe aux 500 miles d'Indianapolis avec Jules Moriceau. En 1930, Charles Bénitah gagne le Grand Prix Automobile du Maroc en catégorie Tourisme à Anfa. 
 En 1933, l'entreprise s'impose pour la deuxième fois au Bol d'or, après avoir été quatrième en 1931. Elle sera encore en 1933 et 1934 cinquième de l'épreuve, puis deuxième des 8 Heures du Bol d'or en 1935, servant alors de course de pré-qualifications. En 1936, Georges Grignard finit troisième pour un dernier podium au Bol, puis en septembre de la même année Fernande Roux est aussi à une troisième place, cette fois du Grand Prix du M.C.F.. 
En 1938, René Biolay est encore deuxième des Coupes de Paris à l'autodrome de Linas-Montlhéry, puis quatrième du Grand Prix des Frontières. Après le conflit mondial, les résultats ne seront plus à la hauteur des attentes, même lors du Bol d'or (André Le Jamtel 4e en 1948). À partir de 1925, une petite voiture de tourisme est fabriquée, le type G suivie par les modèles L, M, M2, M3 et M4. L'année 1929 voit la fabrication d'une 13 CV de luxe, la CS8, avec un bloc moteur à huit cylindres en ligne de 2,3 litres à un arbre à cames en tête. 
Ayant une bonne tenue de route et une vitesse de pointe de 120 km/h, la CS8 disparaît rapidement à cause d'une fiabilité médiocre. En août 1934, à cause de ventes insuffisantes, l'usine de Saint-Denis ferme définitivement. À l'automne, Amilcar présente le modèle Pégase (en) produit avec des moyens réduits à Boulogne-Billancourt. Il possède un moteur quatre cylindres Delahaye et des roues avant indépendantes. En septembre 1937, la société, qui est rachetée et qui fusionne avec Hotchkiss, présente l'Amilcar Compound très avancée dans sa conception due à Jean Albert Grégoire. La production des voitures Amilcar ne survit pas à la Seconde Guerre mondiale.
Source : voituresapedales--alaud56

dimanche 15 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - LORS DE LA RONDE DE NOEL DE 2016... LE PERE NOEL A ECHANGE SON TRAINEAU CONTRE UNE JOLIE BMW SERIE 2....


 

CLUB5A - HUMOUR AUTO - UNE LIVRAISON CONFORME A LA COMMANDE !!


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Citroën 2 CV de 1949.... une vente record à plus de 75 000 euros !!

Dernièrement , une collection de 2 CV a enflammé une vente de Me Osenat. Un modèle de 1949 a été adjugé 75 600 euros. Un nouveau record ! Depuis quelques jours, la nouvelle se répand sur les réseaux sociaux et sur Internet. Elle anime les conversations de comptoirs. On ne sait pas encore si elle a atteint les endroits les plus isolés de l'Hexagone mais elle n'a pas fini de faire parler d'elle. Maître Jean-Pierre Osenat a battu un record du monde lors de la vente d'une cinquantaine d'automobiles qu'il organisait en son site de Fontainebleau. 
Contre toute attente, l'effervescence n'est pas venue de certaines pièces de la collection Terzulli abritée depuis plusieurs décennies dans le parking souterrain d'une résidence de la région parisienne. Ce sont des Citroën 2 CV provenant d'un amateur et conservées à l'abri des regards qui ont enflammé la salle des ventes et plus particulièrement l'une d'entre elles. Parmi les quatre exemplaires de 2 CV proposés, le catalogue comportait un rare modèle Type A de 1949, la première année de commercialisation. Présentée en grande pompe au salon de Paris de 1948, la 2 CV fut commercialisée au début de l'année 1949. 
Cette année-là, l'usine du quai de Javel ne produisit que 876 exemplaires, tous identiques. Portant le numéro 0458, le modèle de la vente arbore donc la teinte gris mat et comporte un tachymètre et un ampèremètre en guise d'instruments de bord. Présentant un bon état général, cette 2 CV Type A complète est à remettre en route. Visiblement, cela n'a pas effrayé les amateurs. 
Et il a fallu que deux personnes se disputent cette voiture populaire pour que les enchères flambent à 75.600 euros, avec les frais. Un nouveau record pour une 2 CV standard. La 2 CV la plus chère au monde quitte notre territoire pour la Hollande. Le record, tous modèles confondus, reste toutefois à l'actif de la 2 CV Sahara de la collection d'André Trigano. A Rétromobile, la maison Articurial avait adjugé ce véhicule 172.840 €.
Source : lefigaro.fr - Griffin

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ...En 1963 le scooter Lambretta symbolisait la reprise économique...

 

En 1963 le Lambretta, marque de scooter populaire en Italie d'après-guerre, symbolisait à la fois la reprise économique et le sentiment naissant de liberté et de modernité de l'époque. 
Le scooter, souvent associé à la culture vibrante de l'Italie et au boom économique des années 1950 et 1960, aurait été un choix pratique et élégant pour le transport familial. Le design de Lambretta, avec ses lignes épurées et ses fonctionnalités innovantes, reflète l'embrassement de l'époque des nouvelles technologies et de l'esthétique. Les familles qui utilisent des scooters pour naviguer dans les milieux urbains et ruraux étaient communes.
Il souligne l'évolution des transports personnels, reflétant les tendances plus larges de la société italienne au début des années 1960. 
Source : Amy Couch

CLUB5A - 15/12 - PHOTO INSOLITE - NOUS VOUS SOUHAITONS UN NOEL RENVERSANT !




 

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - IL SUFFIT D'UN PEU D'IMAGINATION POUR POUVOIR ROULER !!


 

CLUB5A - MOTO DE LEGENDE - La Chang-Jiang 750 Black Star...La BMW Chinoise !!

 

Chang-Jiang 750 Black Star: la moto de collection neuve.... 
Ce n'est ni la plus belle, ni la plus grosse, encore moins la plus puissante.. Mais je la classe quand même dans la catégorie des motos d'exception. Car, mettre en vente en 1990 une moto dont la conception remonte à 1938, ce n'est vraiment pas courant. Cette moto venait de Chine où elle y était construite depuis 1957, date à laquelle les droits de fabrication avaient été rachetés à BMW.
 En détaillant les caractéristiques techniques, il semblait évident que la moto avait subi peu d'évolutions depuis cette date puisque le moteur à soupapes latérales développait 22 chevaux au régime faramineux de 4900 tours/minute! Avec ses deux selles suspendues séparées par une large poignée de maintien, son frein à tambour décentré, sa suspension coulissante, elle ressemblait trait pour trait à la vieille BMW d'avant guerre. Chang-Jiang est une marque de motos chinoise est le nom retranscris de l'ancienne China Nanchang Aircraft Manufacturing Company. Cette marque tire son nom du fleuve Chang Jiang, également connue sous le nom de Yangtsé ou, en anglais, the Long River. En 1957, l'Union soviétique modernise ses Oural en utilisant un moteur culbuté, à la place de l'ancien à soupapes latérales. 
Elle décide alors de revendre à la République Populaire de Chine l'outillage et les méthodes de fabrication de l'usine de Gorki. La première moto chinoise sort des chaînes en 1961. Elle s'appelle la Chang-Jiang, du nom du fleuve le plus long du pays (traduit par Yangzi Jiang en français). Elle équipe immédiatement les administrations et l'armée. Chaque unité de production disséminée dans tout le pays semble avoir son propre bureau d'étude. On ne peut donc pas connaitre avec certitude le nombre de modèles différents issus de la firme. La CJ750 est basée sur l'IMZ MZ-195 d'origine soviétique (Irbitski Mototsikletniy Zavod) de 1956, elle-même dérivée de la BMW R 71 allemande datant de 1938. Presque toutes sont des side-cars. On désigne souvent à tort les CJ750 comme étant des «répliques» de BMW, alors qu’elles sont en fait des dérivés de l’IMZ M-72. La production chinoise a commencé à la fin des années 1950 début des années 1960, certaines sources citant différentes dates. 
Elles furent produites à l'origine pour l'armée chinoise et sont propulsées par un moteur bicylindre à plat quatre temps refroidi par air de 746 cm³. La roue arrière du side-car est entraînée par un arbre reliée à la roue arrière de la moto jumelée. Les modèles les plus courants sont : La M1 : moteur à soupapes latérale, système électrique 6V. Ce modèle est un clone de l'IMZ M-72 et ressemble beaucoup à la BMW R 71 de 1938. Le M1M : moteur à soupapes latérale, système électrique 12V et équipé d’une marche arrière. Il a également un démarreur électrique quand la M1 ne dispose que d'un kick. Ces améliorations ont été conçues avec l’aide d’ingénieurs allemands. Le M1S (ou "Super") : moteur à soupapes en tête, système électrique 12 V, démarreur électrique et marche arrière. Le système OHV est fondamentalement de conception allemande BMW. 
Les trois modèles utilisent le même cadre et la même carrosserie. Les modèles M1 et M1M d'apparences presque identiques peuvent être différenciés en observant certains détails. Sur ces motorisations, se greffent différentes carrosseries propres à chaque unité de production. En 1950, l'Armée de libération du peuple de Beijing n ° 6, Automotive Works, développa une moto militaire en procédant à de la rétro ingénierie à partir d'une moto allemande Zundapp KS500. Cette moto entra en production en 1951. 4 248 exemplaires furent construits avant le transfert de la production de motos militaires aux usines de machines de Hongdu et de Xingjiang. Les deux usines restent à ce jour des filiales de l'industrie aéronautique gérées par l'État Chinois. Au milieu des années 1950, les Soviétiques considéraient que le M72 était obsolète et la Chine allant bientôt acquérir tous les outils pour produire ses propres M72, la machine basée sur la Zundapp KS500 fut abandonnée. 
 La M72 chinoise portait le nom de Chang Jiang 750. Selon certaines sources, elle serait entrée en production en novembre 1957 à l’usine de machines de Ganjiang, propriété de l’État. La production initiale utilisait des pièces russes M72. Les premiers CJ étaient presque identiques aux M72. La transmission Chang Jiang a été révisée plusieurs fois depuis le début de sa production. De 1957 à 1966, les CJ ont été équipés de moteurs et de transmissions de type I. Cette transmission était presque identique à celles des BMW R71 et Oural M72. En septembre 1966, la production du moteur et de la boîte de vitesses de type II débuta. Ce n'est qu'en 1972 que le moteur de type II remplaça le type I généralement utilisé. L'utilisation du moteur de type I en 1966-1972 résultait d'un excédent de composants du type I, avec un nombre important de moteurs de type I en service, les pièces restèrent en production jusqu'au début des années soixante-dix. 
Les motos de type I entretenus par l’armée remplaçaient leurs moteurs et/ou les boîtes de vitesses par des composants de type II. Cela permettait de faciliter la maintenance, selon la disponibilité des pièces et améliorer les caractéristiques du moteur. Les motos de type I avaient souvent leurs boîtes de vitesses d'origine remplacées par des Type II. Les moteurs fabriqués avec un numéro de série à partir de 661802 et au-delà sont du type II. Dans les années 1960, l’usine a été renommée Usine de machines de Changjiang, toujours propriété de l’État. En 1969, la CJ750 a subi quelques modifications de conception mineures, principalement liées aux cadres de side-car et aux commutateurs montés sur les phares. 
Des réservoirs d'essence avec des boîtes à outils intégrées sont apparus à cette époque. À la fin des années 1970, l’usine a été fusionnée avec le constructeur aéronautique Guo Ying Hongdu Ji Xie Chang. A cette époque, un moteur 6V OHV de 30 chevaux était en cours de développement. On ne trouve aujourd'hui que quelques-uns de ces moteurs qui furentrapidement remplacés par une version 12V de 32 chevaux. En décembre 1980, un petit nombre de moteurs OHV de 900 cm3 ont été produits à la suite de l’acquisition de motos BMW par la police militaire chinoise. Seule une poignée de ces machines ont été construites, probablement moins d'une dizaine. La marque Chang Jiang produit principalement des side-cars à trois ou quatre places (deux places dans le panier, non autorisé en France). 
Le modèle solo est aussi produit. À la différence des motos russes Dniepr et Ural (Oural) aucun modèle Chang Jiang ne dispose de deux roues motrices. L’histoire technologique de Chang Jiang comprend des motos de course, des moteurs expérimentaux et de vaines tentatives de modernisation en apparence de machines obsolètes. 
À partir du milieu des années 1980, plus de dix ans après la normalisation des relations entre la Chine et les États-Unis, la Chine a ouvert ses marchés aux fabricants de motos étrangers, accélérant ainsi la fin de la production en série de la CJ750. Aujourd'hui, la marque continue d'exister grâce à l'intérêt d'amateurs étrangers. 
Source :Chang Jiang Demo-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

samedi 14 décembre 2024

CLUB5A - LE TOP DES 5A - 2016 - POUR CETTE RONDE DE NOEL GERARD EST PRET ET ATTENDS LE DEPART ....


 

CLUB5A - HUMOUR MOTO - MOITIE...MOITIE !!


 

CLUB5A - PRESENTATION DE LA NOUVELLE RENAULT 4L...C'ETAIT EN 1961 !!

La Renault 4 (couramment appelée 4L) est une petite voiture populaire de grande diffusion de conception simple et pratique. Ce fut aussi la première application de la traction sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault après que cette technique a été adoptée sur l'Estafette en 1958. 
 Elle est construite d'août 1961 à la fin 1992 dans 28 pays, initialement avec la Dauphine sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt ainsi qu'à l'usine Renault de Flins, en Espagne (par Fasa-Renault), en Argentine par IKA-Renault, en Italie par Alfa Romeo (sous licence), au Maroc, à Madagascar, en Afrique du Sud, puis en Slovénie pour les dernières années de sa production.

 La Renault 4 connut un grand succès auprès des PME, des artisans, de la gendarmerie (c'était l'une des voitures françaises de l'époque qui permettait de conduire avec le képi sur la tête), mais également auprès des PTT, de France Télécom ou EdF dans sa version fourgonnette F4 ; ces contrats lui donnèrent une très grande visibilité. 
 En France, la Renault 4 fut en tête des ventes de 1962 à 1965 (succédant à la Renault Dauphine), puis de 1967 à 1968. Elle reste aujourd'hui.
Quand ?
la deuxième voiture française la plus vendue avec 8 135 424 exemplaires derrière la Peugeot 206 et juste devant le duo Renault 9 et 11.
À côté de la R3 et de la R4 de base — sensiblement équivalente à la R3 dans sa présentation — il existait une déclinaison « Luxe » dite R4 L, elle se caractérisait par sa troisième vitre latérale et différents accessoires et baguettes inox, qui la rendait plus luxueuse. 
Cette version, qui s'appela bientôt R4 L Export, fut la plus vendue. À tel point que l'appellation générique de la Renault 4 deviendra progressivement 4L. 
Par rapport à la version de base, qui possédait des sièges du type « strapontins suspendus » de même type que la 2 CV, la R4 L Export possédait des sièges plus élaborés et plus confortables (séparés à l'avant) et une banquette arrière rabattable. 
Source : INA.fr-WKPDIA/CC-BY-SA-3.0

CLUB5A - LE SAVIEZ-VOUS ? ....La Ford Model T de 1931 est une voiture pionnière....

 

La Ford Model T de 1931 est une voiture classique pionnière célébrée pour son impact révolutionnaire sur l'histoire de l'automobile. 
Souvent considérée comme la voiture qui a mis l'Amérique sur roues, elle présente un design simple mais fonctionnel avec un cadre robuste et un moteur quatre cylindres. 
L'abordabilité et les techniques de production de masse du Model T ont transformé l'industrie automobile, rendant la propriété automobile accessible à l'Américain moyen. 
Son design utilitaire et ses performances fiables illustrent l'ingénierie automobile du début du 20e siècle. 
Symbole d'innovation et d'accessibilité, le modèle T de 1931 reste un classique vénéré, incarnant l'esprit de la motorisation précoce. 
Source : Dream Car

CLUB5A - PHOTO INSOLITE - COMMENT RAMENER SES COURSES QUAND ON EST EN SCOOTER ??


 

CLUB5A - REPORTAGE AUTO - Cinq anciennes taillées pour l’hiver....

 

L’hiver est une saison qui fait parfois peur pour rouler en ancienne. Mais certains modèles sont parfaitement adaptés aux conditions de la mauvaise saison. Nous vous proposons d’en découvrir quelques anciennes pour l’hiver ! 
 La Mercedes W123 
Modèle d’entrée de gamme jusqu’au lancement de la 190, la W123 était l’équivalent de la BMW Série 5 chez Mercedes, et bien qu’elle soit aussi spartiate que la plupart des voitures allemandes de son époque, c’est un modèle de robustesse qui a survécu à presque tout. 
Les meilleurs choix sont probablement les modèles 230E/TE/CE et 280E/TE/CE – les plus gros des quatre et six cylindres à essence qui sont disponibles avec tous les types de carrosserie. Comme toutes les vieilles Mercedes, elles rouillent, mais pas plus que tout ce qui se faisait à leur époque et cela peut être
 facilement détecté. 
 La Volvo Amazon 
C’est peut-être évident, mais la Volvo Amazon est l’une des berlines les mieux construites et les plus robustes des années 1960. Elle devait l’être pour survivre à tous les hivers suédois ! 
Confortable, simple et facile à entretenir grâce à des pièces qui, dans certains cas, ont perduré jusqu’aux années 1990, l’Amazon est sûrement une candidate idéale pour ceux qui souhaitent l’utiliser toute l’année. 
 Nous avons le choix entre des berlines à deux et quatre portes ainsi qu’un break très spacieux, et des mécaniques avec un ou deux carburateurs. 
N’oubliez pas que l’Amazon a un historique en rallye, ce qui lui donne de la crédibilité pour rouler par tous les temps ! 
 La Saab 99 
La Saab 99 elle aussi venue du grand nord reprend tous les éléments qui ont rendu les anciennes Saab si attrayantes, les intègre dans une carrosserie affûtée propulsée par une mécanique dérivée du moteur Triumph Slant-4. 
Le résultat final est une berline solide et robuste qui offre les mêmes avantages que la Volvo Amazon, mais avec une carrosserie plus compacte. 
La Saab 99 a existé en berline deux et quatre portes avant d’être déclinée ultérieurement modèles en trois et cinq portes. Bien que beaucoup se souviennent de la Turbo, redoutablement rapide et rare, les versions standard offrent un excellent moyen de transport pour ceux qui aiment les voitures simples et solides, avec un chauffage efficace et un style unique. Lorsque le modèle est devenu la 900 et monté en gamme, une carrosserie 900 à deux portes a été équipée d’un nez et d’un tableau de bord 99 et vendue sous le nom de 90, remplissant le rôle de modèle d’entrée de gamme. 
Ces modèles sont particulièrement rares aujourd’hui. 
 La Lada Niva 
Conçue spécialement pour les citoyens soviétiques des zones rurales, la Niva (VAZ-2121, pour reprendre sa désignation officielle d’origine) était une conception inhabituelle, avec sa carrosserie trois portes compacte sur un châssis tout-terrain sérieux. 
Dans ce domaine, il s’agissait en fait d’un Range Rover miniature, avec des ressorts hélicoïdaux à grand débattement à chaque coin, une transmission intégrale permanente, un différentiel à blocage central et une gamme haute et basse. L’objectif était de proposer au monde rural un modèle plus performant qu’un Land Rover pour la moitié du prix. Le succès est tel que de multiples clubs et écoles centrés sur la pratique du tout terrain en Niva voient le jour. Conçu pour déplacer confortablement les familles russes à travers les steppes, le petit 4×4 Lada devient un objet de mode en Europe, à tel point qu’au printemps 1983 apparaît une version cabriolet signée par le carrossier français Wassermann ! 

 Les Land Rover 90/110 
Un châssis robuste, une transmission intégrale et une carrosserie en acier épais font des Land Rover d’excellents classiques pour une utilisation hivernale. Mais dans le cas des modèles 90 et 110, il y a également du confort des ressorts hélicoïdaux à la place des ressorts à lames des modèles antérieurs. Les moteurs sont généralement dérivés des moteurs essence et diesel de 2,25 litres de la Série 3, mais beaucoup ont adopté le 200TDi et même le 300TDi. 
Ce sont les modèles les plus utilisables pour la conduite quotidienne. Les Land Rover 90 et 110 représentent l’un des rares classiques où l’originalité n’a pas vraiment d’importance, et les améliorations de confort valent toujours la peine. Mais si on veut du confort et de l’originalité, il faudra rechercher les modèles badgés County qui sont livrés avec des finitions plus cossues. 
 Quelle que soit l’époque que vous préférez, il existera toujours quelques anciennes pour l’hiver, adaptées aux spécificités des conditions. Mais comme toujours, à condition de bien acheter et de veiller à maîtriser ses faiblesses. Les solutions pour rouler l’hiver en sécurité et avec du confort sont légion et nos propositions ne sont évidemment pas limitatives. Et les baroudeuses tirent logiquement leur épingle du jeu dans ce contexte. 
Mais quand on peut se satisfaire d’un radiateur de chauffage entartré l’été, ce n’est plus la même chose à la mauvaise saison. Source :  autocollec.com

CLUB5A - LA SAGA DES MARQUES - L'HISTOIRE DE PORSCHE ET VOLKSWAGEN...

Les origines de la marque se retrouvent dans l’Allemagne nazie des années 1930 avec le projet de construire la voiture populaire qu’allait devenir la Coccinelle (officiellement désignée « type », appelée Käfer en Allemagne). 
 Avant de désigner une société automobile, le mot Volkswagen (la voiture du peuple) désigne le modèle de véhicule qui allait faire le succès de l’entreprise dans un contexte de mono-industrie qui allait d’ailleurs causer à l'entreprise des difficultés dans les années 1970. 
Avant la guerre, le désir d’Hitler est que chacun puisse s’offrir une voiture, car l’Allemagne vient de se doter d’un large réseau d’autoroutes qui restent désertes. L’ingénieur Ferdinand Porsche, voyant dans ce projet l’occasion de réaliser son plus vieux rêve : fabriquer un modèle de voiture populaire, lui fit une proposition en ce sens, inspirée des modèles avant-gardistes Tatra de Hans Ledwinka. 
Les prototypes de ce véhicule appelé provisoirement KdF-Wagen, (Kraft durch Freude également nom d’une des principales organisations du parti hitlérien) apparaissent en 1936. La voiture ainsi sortie d’usine avait déjà sa forme ronde spécifique et son architecture du tout à l’arrière : boîte-pont et moteur 4 cylindres à plat refroidi par air monté en porte-à-faux arrière, ainsi que des suspensions à barres de torsion. Le projet tel que le voulait Hitler s’accompagnait d’une formule de financement révolutionnaire basée sur la constitution d’une épargne par achat de timbres dans les bureaux de l'organisation KdF. 

 Erwin Komenda, l’ingénieur en chef de Porsche a développé la carrosserie du prototype qui est devenue celle de la Coccinelle telle qu’on la connaît aujourd’hui. La nouvelle usine dans la nouvelle ville de KdF-Stadt, aujourd’hui appelée Wolfsbourg du nom du château sur les terres duquel elle fut construite, bâtie pour loger les ouvriers de l’usine, avait seulement produit une poignée de véhicules quand la Seconde Guerre mondiale débuta en 1939. 
Les premières versions ont ainsi surtout été des véhicules militaires, la Kübelwagen, équivalent de la jeep américaine, la Schwimmwagen amphibie et le Kommandeurwagen qui utilise la carrosserie de la voiture KdF.
    
Ferdinand Porsche est né le 3 septembre 1875 à Maffersdorf en Tchécoslovaquie actuelle. Étant jeune, Ferdinand avait déjà une passion pour l’électricité. Cette passion se modifia avec le temps en passion pour la mécanique qui sera désormais à la base de sa vie. 

Il étudia au collège de Reichenberg dans le but de faire des études universitaires mais il dut y renoncer en raison de ses notes trop faibles. Malgré tout, il se trouva un emploi dans le domaine de la mécanique. Mais Ferdinand voulait autre chose. Alors, lorsque Jakob Lohner lui proposa de concevoir un prototype de “voiture électrique”, Ferdinand accepta et ce fut une incroyable réussite. La Lohner-Porsche reçu donc le premier prix de l’Exposition Universelle de Paris en 1900 rendant ainsi Ferdinand très célèbre auprès de la population ainsi qu’auprès des autres constructeurs. Plus tard, Ferdinand devint directeur technique chez Austro-Daimler, le constructeur des Mercedes.
 Il participa à quelques projets mais sans faire de vague. Ferdinand eut une autre chance de se faire valoir lors de la Première Guerre mondiale. Il mit au point des tracteurs d’artillerie à propulsion mixte système Lohner qui lui valurent un diplôme honoraire (titre de docteur) de l’Université technique de Vienne où il n’avait pu étudier antérieurement. Ensuite, il devint directeur d’Austro-Daimler en 1918.Avant la fin de la guerre, Ferdinand est capturé par les Alliés qui ne le relâcheront que beaucoup plus tard, en échange d’une caution. 
 Ferdinand Porsche est aussi connu pour sa collaboration avec Hitler.Il a ainsi donné naissance à la " voiture du peuple " ,ce qui était le souhait du dictateur. Cette voiture du peuple reste connue de tous, la coccinelle, la première voiture qui fut accessible au peuple, un luxe auparavent réservé aux plus riches. Jusqu’à ce jour, Porsche n’avait construit aucune voiture de sport. C’est en 1948 qu’il conçut sa première voiture du type: la 356. 
Ferdinand s’éteignit quelques années plus tard, le 30 janvier 1951. Son fils Ferry Porsche reprend l' entreprise de son pére .  Source:  Jeffrey Rice porschehistorique.e-monsite.com/ Basic
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